L ACTIVITE. Evolution de l'activité industrielle secteur privé. Evolution de l'activité industrielle secteur public

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1 N 729 ENQUETE SUR LA SITUATION ET LES PERSPECTIVES DANS L INDUSTRIE AU - TROISIEME TRIMESTRE L enquête d opinion auprès des chefs d entreprise industrielle, initiée par les services de l ONS couvre plusieurs domaines non traités par les enquêtes traditionnelles (la maind œuvre, la trésorerie, l équipement, la demande et la distribution), mais elle ne les décrit pas de façon quantitative, elle les appréhende à travers un recueil d opinions des chefs d entreprise. Les tendances sont présentées par des courbes, elles traduisent des soldes d opinion ou des proportions (voir page 8). Les points situés au-dessus de la ligne zéro correspondent toujours à des réponses indiquant une augmentation ou un niveau supérieur, les points au-dessous de la ligne zéro traduisent une diminution. L ACTIVITE L activité industrielle est demeurée stable durant ce troisième trimestre 215, selon les chefs d entreprise publique enquêtés. Plus de 72% du potentiel de production du secteur public et 83% de celui du privé ont utilisé leurs capacités de production à plus de 5%. Le niveau d approvisionnement en matières premières a été égal à la demande exprimée pour plus de 88% des enquêtés du privé, tandis qu il a été inférieur pour près de 28% de ceux du public, ce qui a engendré des ruptures de stocks à près de 34% d entre eux, causant des arrêts de travail, allant jusqu à 59 jours. Plus de 2% du potentiel de production du public et plus de 32% de celui du privé ont connu des pannes d électricité causant des arrêts de travail inférieurs à 12 jours pour la majorité des concernés des premiers et inférieur à 6 jours pour la plupart des seconds. Par ailleurs, l approvisionnement en eau a été suffisant selon près de 9% des enquêtés des premiers et plus de 62% des seconds Evolution de l'activité industrielle secteur privé secteur public Directeur de la publication : Mounir Khaled BERRAH Ce numéro est élaboré par la Direction Technique chargée des statistiques des entreprises et du suivi de la conjoncture ISSN Prix = 4 DA décembre 215 Site Web: ONS Avenue Belkacemi Mohamed- ravin de la femme sauvage El Anasser Alger - : : Courriel: ons@ons.dz stat@ons.dz

2 2 LA DEMANDE La demande en produits fabriqués poursuit sa tendance à la hausse durant ce troisième trimestre 215 selon les chefs d entreprise publique, tandis qu elle a relativement baissé selon ceux du privé. Près de 59% des chefs d entreprise des premiers et plus 93% des seconds ont satisfait toutes les commandes reçues et il subsiste des stocks de produits fabriqués selon la plupart, situation jugée normale par 67% des concernés publics et 49% de ceux du privé. Plus de 33% des industriels publics ont rencontré des problèmes de transport durant ce trimestre Tendance de la demande secteur privé Tendance de la demande secteur public LA MAIN D ŒUVRE Avec l installation de nouvelles capacités de production et la hausse du volume des commandes, les effectifs ont encore augmenté durant ce troisième trimestre 215. La hausse est plus prononcée pour le secteur public. Près de 72% des chefs d entreprise publique et plus de 74% de ceux du privé jugent le niveau de qualification du personnel suffisant. Toutefois, près de 11% des premiers et près de 59% des seconds déclarent avoir trouvé des difficultés à recruter notamment du personnel d encadrement. Le taux d absentéisme a été inférieur au trimestre précédent selon plus de 47% des enquêtés du secteur public et reste égal selon la majorité de ceux du privé. Prés de 94% des chefs d entreprise publique enquêtés et plus de 53% de ceux du privé déclarent ne pas pouvoir produire davantage en embauchant du personnel supplémentaire. À cause de conflits sociaux, plus de 6% du potentiel de production du secteur public et 2% seulement de ceux du privé ont connu des arrêts de travail, inférieurs à 6 jours. Evolution des effectifs (public) Evolution des effectifs (privé)

3 3 LA TRESORERIE L état de la trésorerie est jugé bon par près de 64% des chefs d entreprise publique et près de 36% de ceux du privé, néanmoins, il reste mauvais selon près de 21% des premiers et 8% des seconds. Toutefois, les charges élevées, l allongement des délais de remboursements continuent d influer sur l état de la trésorerie. Près de 15% du potentiel de production du secteur public et près de 64% de celui du privé ont recouru à des crédits bancaires. Près de 89% des premiers et plus de 32% des seconds n ont pas trouvé de difficultés à les contracter. Evolution de la trésorerie (public) Evolution de la trésorerie (privé) L EQUIPEMENT Pour des raisons essentiellement de vétusté des équipements, près de 6% du potentiel de production du secteur public et plus de 47% de celui du privé ont connu des pannes, engendrant des arrêts de travail atteignant plus de 3 jours pour près de 45% des premiers et jusqu à 13 jours pour la plupart des seconds. Plus de 88% des chefs d entreprise publique ont procédé à des remises en marche de leur équipement après une panne et plus de 76% des concernés des deux secteurs ont procédé à des renouvellements. Plus de 89% des chefs d entreprise du secteur public et plus de 72% de ceux du privé déclarent pouvoir produire davantage en renouvelant l équipement et sans embauche supplémentaire du personnel. PREVISION Pour le prochain trimestre et comparativement au précédent, les chefs d entreprise des deux secteurs prévoient de bonnes perspectives de leur activité, de la demande et des effectifs. Contrairement aux industriels publics qui prévoient une baisse des prix de vente, ceux du privé préconisent une stabilité. Par ailleurs, les chefs d entreprise des deux secteurs prévoient de bonnes perspectives de leur trésorerie Evolution des prix de vente secteur public Evolution des prix de vente secteur privé 7 1t6

4 4 EVOLUTION PAR SECTEUR D ACTIVITE 1- MINES ET CARRIERES Selon l opinion des chefs d entreprise, l activité dans les mines et carrières a baissé durant ce troisième trimestre 215. Les capacités de production utilisées se situent entre 5 et % selon la majorité des concernés. Près de 19% des enquêtés déclarent des commandes en matières premières inférieures à leurs besoins. La consommation d énergie est restée stable. La demande en produits fabriqués a baissé selon l opinion des chefs d entreprise enquêtés. Plus de 81% affirme avoir satisfait toutes les commandes reçues et il leur subsistait des stocks de produits fabriqués, situation jugée anormale. Près de 19% des enquêtés déclarent avoir rencontré des problémes de transport durant ce trimestre. Les effectifs ont baissé durant ce troisième trimestre 215. Plus de 84% des enquêtés sont satisfaits du niveau de qualification du personnel et plus de 78% déclarent avoir trouvé des difficultés à recruter du personnel d encadrement et de maîtrise. La majorité des enquêtés affirme ne pas produire davantage en embauchant du personnel supplémentaire. La majorité des concernés déclare ne pas connaitre de panne d équipement. Par ailleurs, ils affirment pouvoir produire davantage juste en réorganisant le processus de production sans renouvellement ni extension de leurs équipements secteur mines et carrières L état de la trésorerie est jugé normal selon plus de 98% des enquêtés du secteur. Néanmoins, la majorité a recouru à des crédits bancaires, contractés sans difficultés. Pour le prochain trimestre, les entrepreneurs des mines et carrières prévoient une hausse de l activité et de la demande avec une stabilité des prix de vente et des effectifs. Ils prévoient également une meilleure perspective de la trésorerie. 2- ISMMEE L activité industrielle dans les ISMMEE a connu une baisse durant ce troisième trimestre 215 par rapport au trimestre précédent. Près de % du potentiel de production ont utilisé leurs capacités de production à moins de %. Le degré de satisfaction des commandes en matières premières a été inférieur aux besoins exprimés selon plus de 46%, ce qui a engendré des ruptures de stocks pour plus de 57% d entre eux, causant des arrêts de travail allant jusqu à 59 jours. La consommation d énergie a baissé. Prés de 11% du potentiel de production a connu des pannes d électricité, causant des arrêts de travail allant jusqu à 12 jours. L approvisionnement en eau a été suffisant selon prés de 84% des enquêtés. La demande en produits fabriqués a baissé durant ce trimestre. Plus de 51% des chefs d entreprise enquêtés n ont pas satisfait toutes les commandes reçues et il subsiste des stocks de produits fabriqués pour près de 94%, situation jugée normale par près de 88% d entre eux. L état de la trésorerie est jugé bon selon près de 44% des chefs d entreprise enquêtés et est mauvais selon 34%. Les délais de remboursement des prêts et les charges élevées continuent d influer négativement sur l état de la trésorerie. Près de % du potentiel de production ont recouru à des crédits bancaires et 82% d entre eux n ont pas eu des difficultés à les contracter secteur des ISMMEE En raison, essentiellement, de la vétusté de l équipement, près de 78% des chefs d entreprise enquêtés ont connu des pannes, causant des arrêts de travail allant à plus de 3 jours pour près de la moitié d entre eux. Cependant, près de 76% des concernés ont remis en marche leur équipement dont plus de 45% ont procédé à son renouvellement. Près de 84% des chefs d entreprise enquêtés déclarent pouvoir produire davantage avec un renouvellement de l équipement et sans embauche supplémentaire du personnel. Plus de 11% déclarent pouvoir produire davantage juste en réorganisant le processus de production sans renouvellement ni extension. Suite aux difficultés d approvisionnements et à l arrêt de l équipement, les effectifs ont connu une baisse durant ce troisième trimestre 215. Près de 59% des chefs d entreprise enquêtés jugent le niveau de qualification du personnel insuffisant et près de

5 5 29% déclarent avoir rencontré des difficultés à en recruter. Pour des raisons de conflits sociaux, près de 11% des enquêtés du secteur ont connu des arrêts de travail, néanmoins, inférieurs à 6 jours. Pour le prochain trimestre, les chefs d entreprise prévoient une hausse de l activité et des effectifs. Par ailleurs, ils prévoient une baisse de la demande et des prix de vente. 3- MATERIAUX DE CONSTRUCTION Selon l opinion des chefs d entreprise enquêtés, l activité industrielle dans les matériaux de construction poursuit sa tendance à la hausse au cours de ce troisième trimestre 215. Près de l ensemble des enquêtés a utilisé ses capacités de production à plus de %. Le degré de satisfaction des commandes en matières premières a été inférieur à la demande exprimée selon plus de 46%. La consommation d énergie a augmenté durant ce trimestre et l ensemble est satisfait de l approvisionnement en eau. Avec la stabilité des prix de vente, la demande en matériaux de construction continue d augmenter durant ce trimestre, selon l opinion des chefs d entreprise enquêtés. L ensemble des enquêtés déclare avoir satisfait toutes les commandes reçues et il leur reste des stocks de produits, situation jugée anormale par plus de 64% d entre eux. Pour des raisons essentiellement de vétusté, plus de la moitié des enquêtés déclare avoir connu des pannes d équipement, causant des arrêts de travail, allant jusqu à 13 jours. Cependant, la majorité déclare avoir remis en marche l équipement et procédé à des renouvellements. L ensemble de ces derniers déclare pouvoir produire davantage juste avec un renouvellement de l équipement et sans embauche supplémentaire du personnel secteur matériaux de construction Avec la hausse du volume des commandes et l installation de nouvelles capacités de production, les effectifs continuent d augmenter durant ce trimestre selon l opinion des chefs d entreprise enquêtés. Près de 9% des entrepreneurs déclarent être satisfaits du niveau de qualification du personnel et plus de 92% n ont pas trouvé de difficultés à en recruter. Le taux d absentéisme a été inférieur par rapport au trimestre précédent selon 74%. Plus de 88% des enquêtés déclarent ne pas pouvoir produire davantage en embauchant du personnel. L état de la trésorerie est jugé bon selon près de l ensemble des chefs d entreprise enquêtés. Pour le prochain trimestre, les industriels des matériaux de construction prévoient une stabilité de l activité, de la demande et des prix de vente ainsi que des effectifs. Par ailleurs, ils prévoient une bonne perspective de leur trésorerie. 4- CHIMIE Selon l opinion des chefs d entreprise enquêtés, l activité dans l industrie chimique a baissé durant ce troisième trimestre 215. Le degré de satisfaction des commandes en matières premières a été égal à la demande exprimée selon la majorité des concernés. Néanmoins, près de 17% déclarent avoir eu des ruptures de stocks, causant des arrêts de travail allant jusqu à 29 jours. Près de 72% du potentiel de production ont connu des pannes d électricité engendrant des arrêts de travail allant jusqu à 12 jours pour la majorité. Près de 86% déclarent que l approvisionnement en eau a été suffisant durant ce trimestre. Avec la stabilité des prix de vente, la demande en produits fabriqués continue d augmenter durant ce troisième trimestre 215. Près de 33% des enquêtés n ont pas satisfait toutes les commandes reçues et il subsiste des stocks de produis fabriqués pour près de 92%, situation jugée anormale par près de 35% des concernés. Plus de 5% des chefs d entreprise enquêtés ont connu des problèmes de transport durant ce trimestre. Près de 81% des chefs d entreprise enquêtés déclarent avoir connu des pannes d équipement durant ce trimestre, engendrant des arrêts de travail inférieurs à 6 jours pour plus de 67% et allant de 13 à 3 jours pour près de 33%. Cependant, près de 7% ont remis en marche leur équipement et plus de 92% ont procédé à des renouvellements. Près de l ensemble des enquêtés déclare pouvoir produire davantage avec un renouvellement de l équipement et sans embauche supplémentaire du personnel. Avec la hausse du volume des commandes et l installation de nouvelles capacités de production, les effectifs ont augmenté durant ce trimestre selon l opinion des enquêtés. Environ, 95% des chefs d entreprise jugent le niveau de qualification du personnel suffisant et près de 76% déclarent avoir eu des difficultés à recruter, particulièrement, du personnel d encadrement. Le taux d absentéisme a été inférieur durant ce trimestre par rapport au trimestre précédent selon près de 44% secteur de la chimie

6 6 solde d'opinion L état de la trésorerie est jugé bon selon plus de 64% des chefs d entreprise enquêtés et reste mauvais selon plus de 15%. L allongement des délais de recouvrement des créances et la rigidité des prix continuent d influer négativement sur l état de la trésorerie. Près de 22% des enquêtés ont recouru à des crédits bancaires et prés de 93% n ont pas trouvé des difficultés à les contracter. Pour le trimestre prochain et par rapport au précédent, les chefs d entreprise prévoient une baisse de la production et des prix de vente. Par ailleurs, ils prévoient une hausse de la demande et des effectifs, ainsi qu une meilleure perspective de la trésorerie. 5- INDUSTRIES AGROALIMENTAIRES (IAA) Prés de 89% des enquêtés des IAA, ont utilisé leurs capacités de production à plus de 5%. Le degré de satisfaction des commandes en matières premières reste égal aux besoins exprimés selon l opinion de la majorité des enquêtés. Près de 6% ont connu des ruptures de stocks engendrant des arrêts de travail, inférieurs à 1 jours pour la plupart des concernés. Près de 48% ont enregistré des arrêts de travail, à cause des pannes d électricité, néanmoins, inférieurs à 6 jours pour la plupart. Près de 76% déclarent être suffisamment approvisionné en eau. La demande en produits fabriqués poursuit sa tendance à la hausse durant ce troisième trimestre 215 selon l opinion des chefs d entreprise enquêtés. Près de 33% des enquêtés n ont pas satisfait toutes les commandes reçues et il subsiste des stocks de produits fabriqués pour plus de 89%, situation jugée anormale par près de 52% des concernés. Près de 27% des enquêtés déclarent avoir rencontré des problèmes de transport durant ce trimestre. Selon l opinion des chefs d entreprise enquêtés, l état de la trésorerie est jugé bon selon 56% et reste normal selon près de 4%. Plus de 36% des chefs d entreprise ont recouru à des crédits bancaires et 78% n ont pas rencontré de difficultés à les contracter secteur agroalimentaire Avec la hausse du volume des commandes et de la mise en place de nouvelles capacités de production, les effectifs continuent d augmenter durant ce troisième trimestre 215, selon l opinion des chefs d entreprise enquêtés. Plus de % des chefs d entreprise jugent le niveau de qualification du personnel insuffisant et plus de 57% trouvent des difficultés à en recruter notamment le personnel d encadrement. Près de 57% des enquêtés estiment ne pas pouvoir produire davantage en embauchant du personnel supplémentaire. Le taux d absentéisme reste égal au trimestre précédent selon l opinion de la plupart des enquêtés. En raison, essentiellement, de la vétusté de l équipement, 57% du potentiel de production enquêté a enregistré des pannes au cours de ce trimestre, engendrant des arrêts de travail, inférieurs à 13 jours pour la majorité. Plus de 82% ont procédé à des renouvellements de l équipement et plus de 49% déclarent l avoir remis en marche. Près de 8% des enquêtés déclarent pouvoir produire davantage avec un renouvellement de l équipement et sans embauche supplémentaire du personnel. Pour le prochain trimestre et comparativement au précédent, les industriels des IAA prévoient une hausse de l activité, de la demande, des Les effectifs effectifs et sont une stabilité restés stables des prix durant de vente. ce Par ailleurs, ils prévoient de bonnes perspectives de leur trésorerie. trimestre. Plus de 35% des chefs d entreprise jugent que 6- TEXTILES le niveau de ET qualification CUIRS du personnel reste insuffisant et près de 85% juge que les entreprises ne vont Pour les pas industriels produire des davantage textiles, l activité en embauchant est demeurée du stable durant ce troisième trimestre 215, tandis que ceux des cuirs déclarent une hausse. Les capacités de production ont été utilisées à plus de % selon plus de 79% des concernés des textiles et personnel supplémentaire. la majorité de ceux des cuirs. Le degré de satisfaction des commandes en matières premières reste égal à la demande exprimée selon l opinion de la majorité des industriels des cuirs et reste inférieur pour près de 54% de ceux des textiles engendrant ainsi des ruptures de stocks à près de 31% d entre eux et causant des arrêts de travail allant de 1 à 29 jours pour la plupart. Plus de 66% des enquêtés des textiles ont connu des pannes d électricité conduisant à des arrêts de travail, néanmoins inférieurs à 6 jours. L approvisionnement en eau a été satisfaisant selon la majorité des chefs d entreprise des deux secteurs. La demande en produits finis s est stabilisée selon les industriels des textiles et a augmenté selon ceux des cuirs. Plus de 45% des enquêtés des textiles n ont pas satisfait toutes les commandes reçues et il subsiste des stocks de produits fabriqués, selon la majorité, situation jugée normale par plus de 86% des concernés. L état de la trésorerie est jugé bon selon la plupart des industriels des cuirs et est normal selon 71% de ceux des textiles. Toutefois, les charges trop élevées et l allongement des délais de recouvrement des créances ainsi que le remboursement des

7 7 emprunts continuent d influer sur l état de la trésorerie. Cependant, 27% des industriels des textiles ont recouru à des crédits bancaires et la majorité n a pas trouvé de difficultés à les contracter. En raison, essentiellement de la vétusté de l équipement et des problèmes de maintenance, plus de 67% du potentiel de production des textiles et la plupart de celui des cuirs ont connu des pannes d équipement, conduisant à des arrêts de travail allant jusqu à 13 jours. Près de 51% des industriels des textiles et la majorité de ceux des cuirs déclarent avoir remis en marche l équipement après une panne et près de 59% des premiers ont procédé à des extensions. Plus de 66% des enquêtés des textiles et près de 95% de ceux des cuirs déclarent pouvoir produire davantage avec un renouvellement de l équipement et sans embauche supplémentaire du personnel. Par ailleurs, près de 34% des enquêtés des textiles déclarent pouvoir produire davantage juste en réorganisant le processus de production sans renouvellement ni extension. Durant ce trimestre, les effectifs ont augmenté selon l opinion des chefs d entreprise des textiles et sont restés stables selon ceux des cuirs. Plus de 78% des premiers et près de 68% des seconds jugent le niveau de qualification du personnel suffisant. Néanmoins, près de 18% des industriels des textiles ont eu des difficultés à recruter notamment du personnel de maitrise et d exécution. Près de 57% des industriels des textiles et l ensemble de ceux des cuirs déclarent ne pas pouvoir produire davantage en embauchant du personnel supplémentaire. En prévision pour le trimestre prochain et par rapport au précédent, les industriels des textiles et des cuirs prévoient une hausse de l activité, de la demande et des prix de vente. Ceux des cuirs préconisent une stabilité de leurs effectifs et de bonnes perspectives de leur trésorerie, alors que pour les textiles une baisse des effectifs et à prévoir Evolution de l'activité industrielle secteur textiles secteur des cuirs 7 - BOIS, LIEGE ET PAPIER Selon l opinion des chefs d entreprise enquêtés, l activité industrielle dans les bois et papier poursuit sa tendance à la hausse au cours de ce troisième trimestre 215. Les capacités de production ont été utilisées à plus de % par près de 78% des enquêtés. L approvisionnement en matières premières a été supérieur aux besoins exprimés selon l opinion de plus de 58%. Néanmoins, plus de 8% déclarent avoir enregistré des ruptures de stocks engendrant des arrêts de travail, allant de 1 à 3 jours. Plus de % des enquêtés ont connu des pannes d électricité causant des arrêts de travail de moins de 6 jours et l approvisionnement en eau a été insuffisant selon l opinion de 4% des concernés.. Malgré la hausse des prix de vente, la demande en produits fabriqués a augmenté au cours de ce trimestre. Plus de 76% des chefs d entreprise enquêtés ont satisfait toutes les commandes reçues et il subsiste des stocks de produits fabriqués selon 84% d entre eux, situation jugée anormale par plus de 82% des concernés. Plus de 22% des chefs d entreprise enquêtés déclarent avoir rencontré des problèmes de transport durant ce trimestre. Les effectifs ont baissé durant ce trimestre selon l opinion des chefs d entreprise. Plus de 72% des chefs d entreprise enquêtés ne sont pas satisfaits du niveau de qualification du personnel et plus de 87% déclarent avoir rencontré des difficultés à en recruter. Près de 89% des chefs d entreprise estiment pouvoir produire davantage en embauchant du personnel supplémentaire. En raison essentiellement de la vétusté de l équipement, près de 53% du potentiel de production ont connu de pannes, conduisant à des arrêts de travail allant jusqu à 13 jours. Prés de 85% des enquêtés ont remis en marche leur équipement dont près de 24% ont procédé à des extensions. Plus de 74% des chefs d entreprise enquêtés déclarent pouvoir produire davantage avec un renouvellement de l équipement et sans embauche supplémentaire et près de 19% déclarent pouvoir produire davantage juste en réorganisant le processus de production sans renouvellement ni extension. L état de la trésorerie est jugé bon par 27% des enquêtés et reste mauvais par près de 16%. Toutefois, l allongement des délais de recouvrement des créances, les charges trop élevées et le remboursement d emprunts continuent d influer sur l évolution de la trésorerie. Cependant, 61% des chefs d entreprise enquêtés ont recouru à des crédits bancaires et près de 89% n ont pas trouvé de difficultés à les contracter. Pour le trimestre prochain et comparativement au précédent, les industriels du secteur prévoient une hausse de la production, de la demande, des prix de vente et des effectifs. Par ailleurs, ils prévoient de bonnes perspectives de leur trésorerie pour les trois prochains mois.

8 secteur bois et papier Evolution de la consommation d'énergie 2t13 2t12 2t11 2t1 2t9 2t8 2t15 2t14 3t12 3t11 3t1 3t9 3t8 3t7 3t6 Public 3t15 3t14 3t13 Privé LES PRINCIPALES CARACTERISTIQUES DE l ENQUETE DE CONJONCTURE Les enquêtes de conjoncture (enquêtes d opinion) qui sont des enquêtes légères, rapides et qui couvrent aussi les domaines non traités par les enquêtes traditionnelles, sont conçues dans le but : - d une évaluation qualitative des paramètres de la croissance ; - d une connaissance rapide des tendances de l activité ; - de l analyse et de la prévision conjoncturelle. Le champ de l enquête trimestrielle auprès des entreprises industrielles est de 74 entreprises et filiales dont : - 34 entreprises publiques - 4 entreprises privées Le questionnaire traite les différents domaines liés à l activité de l entreprise (le niveau de l activité, la demande et la distribution, la main d œuvre, les équipements et la trésorerie). Les résultats sont disponibles 45 jours après la fin du trimestre avec des taux de réponse variant de 3 à 45%. Solde d opinion Les réponses aux questions posées dans le cadre des enquêtes de conjoncture (enquêtes d opinion) sont à deux modalités (oui - non) ou à trois modalités (hausse - stable - baisse) selon le type de questions posées. Elles sont codées sous forme de notations chiffrées et pondérées en fonction de l importance de chaque entreprise au sein de sa branche d activité (chiffre d affaires de l année précédente) et par les poids respectifs des branches (valeur ajoutée de l année de base (1989) pour le calcul des valeurs synthétiques moyennes aux divers niveaux d agrégation. Les résultats sont tirés sous forme de tableaux statistiques dont les chiffres sont présentés en termes relatifs (%) dégageant ainsi des soldes d opinion pour les réponses à trois modalités et des proportions pour les réponses à deux modalités. Exemple : A la question suivante «Quelle est la tendance de votre production au cours des trois derniers mois?». Trois réponses possibles sont prévues en hausse, stable, en baisse. Le solde d opinion est calculé comme la différence entre la proportion d entreprises qui ont répondu que leur tendance est en hausse et celles pour lesquelles la tendance est en baisse (sans tenir compte de la proportion d entreprises qui ont répondu que leur tendance est stable).

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