Coronarographie : Matériel, optimisation de l image, incidences de base, aspect angiographique des coronaires. Dr Pierre Meyer
|
|
- Gilles Nolet
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Coronarographie : Matériel, optimisation de l image, incidences de base, aspect angiographique des coronaires Dr Pierre Meyer Institut Arnault Tzanck Saint Laurent du Var
2 Plan du cours 1. Introduction 2. Le matériel radiologique. Quelques notions à connaitre 3. Optimisation de l image et diminution des doses délivrées 4. Les incidences radiologiques de base 5. Les pièges et limites de la coronarographie ; complémentarité des méthodes invasives d évaluation du réseau coronarien 6. Conclusions
3 La coronarographie Méthode invasive de visualisation des coronaires reposant sur l injection intra artérielle sélective d un produit de contraste permettant de recueillir la luminographie par un appareil externe de rayons X. Introduite par Sones en 1961 L analyse précise de l état des coronaires est devenue routinière depuis une trentaine d années grâce à la voie percutanée fémorale, à l initiative de Seldinger et Judkins, et à l utilisation du radiocinéma. Jusqu au début des années 80, son but était de dépister les lésions significatives et d apprécier la qualité des lits d aval afin d orienter les coronariens les plus graves vers la chirurgie de revascularisation. Les progrès de la technique et de l imagerie par rayons X, une meilleure connaissance physiopathologique des diverses manifestations cliniques de la maladie coronarienne, l avènement du cathétérisme interventionnel en ont fait un outil indispensable de diagnostic et le prélude à toute discussion thérapeutique.
4 La coronarographie est un examen invasif Ponction artérielle Cathétérisme artériel sélectif des coronaires Utilisation de rayons X Nécessité d un produit de contraste «Le risque d une complication potentiellement mortelle existe pour n importe quel geste invasif impliquant la manipulation d un cathéter dans un ostium coronaire» Bernard Meier Le patient doit en être averti
5 Guidelines on the management of stable angina pectoris. ESC 2006 The risk assessment hierarchy can be described as : 1. risk stratification by clinical evaluation 2. risk stratification by response to stress testing 3. risk stratification by ventricular function 4. risk stratification by coronary anatomy LV function is the strongest predictor of survival in patients with chronic stable coronary disease. The next most important factor is the distribution of coronary stenosis. Left main disease, three vessel disease and the proximal involvement of the LAD are common characteristics predicting a poor outcome and increase the risk of ischaemic events.
6 Indications of different imaging tests for the diagnosis of obstructive coronary artery disease and for the assessment of prognosis in subjects without known coronary artery disease ESC 2010
7 Mr J 62 ans Angor apparu depuis 3 mois; stable, Cl II Seul FR connu : Hérédité (père ponté à 67 ans)
8 Mr J 62 ans
9 Mr J 62 ans Lésion critique CD II effacée par un stent actif
10 En 2011, la coronarographie demeure l examen de référence permettant d apprécier la qualité des artères coronaires, surtout s il est couplé à l écho : Inventaire des lésions athéromateuses Calcifications du réseau, Diffusion de l athérome, Sévérité et longueur des sténoses (QCA) Rupture de plaque, ulcération, thrombus Qualité des lits d aval, du flux coronaire, Collatéralité vers les axes occlus, Vasomotricité du réseau Retentissement fonctionnel d une lésion (FFR) Étendue de son territoire de distribution Tous éléments indispensables à l établissement du pronostic et à la décision thérapeutique +++ nécessitant un examen irréprochable.
11 Réalisation du cathétérisme cardiaque Un cathétérisme cardiaque ne se conçoit que dans un centre de cardiologie spécialisé, structuré et organisé dans le respect des recommandations de la SFC, chez un patient préalablement bien cadré et informé.
12 Matériel radiologique et optimisation de l image le tube et l amplificateur de brillance doivent être d excellente qualité et régulièrement entretenus. la chaîne d imagerie doit être numérique (scopie et graphie) tout centre de cathétérisme, diagnostique ou interventionnel, doit fournir pour chaque examen des documents de qualité (format Dicom médical ou film cinéma 35 mm).
13 L image fournie par le capteur plan résulte de l interaction des photons X et des tissus traversés, qui vont absorber plus ou moins le rayonnement, le diffuser La principale source d irradiation pour le médecin se fait à l interface patient/pénétration des rayons X
14 L arceau, le tube, l amplificateur et la table mobile Rotation permettant les obliques droite et gauche
15 Incidences dans le plan transversal
16 Incidences en plan sagital
17 Qu est ce qu une coronarographie correcte? C est un examen qui doit permettre une évaluation anatomique de la lumière vasculaire suffisante pour établir un diagnostic précis et une thérapeutique adéquate : chaque segment, chaque zone de bifurcation, chaque voie de collatéralisation doivent être définis sans laisser aucun doute La qualité image dépend de la qualité technique de l équipement radiologique des caractéristiques du patient (corpulence, diaphragme, seins) de la technique de coronarographie et du soin méticuleux apporté à l optimisation de la qualité image (et de la dose Rx)
18 OTIMISER LA DISTANCE TUBE / DETECTEUR SUR CHAQUE INCIDENCE Vérifiez la DFI : Distance Foyer Intensificateur d Image (Amplificateur ou Capteur Plan) Optimiser la DFI limite l effet d atténuation de la grille lorsque l on s écarte trop des tolérances relatives à sa distance de focalisation évite de faire monter inutilement les KV
19 Soignez vos cadrages, utilisez les caches semi lunaires et diaphragmes, et les repositionner pour toute incidence Centrez la zone douteuse à étudier au centre de l'écran pour limiter le flou cinétique et le rayonnement diffusé.
20 Réduction de la dose par le filtre de contour et l inspiration 76 kv 800 ma 68 kv 540 ma
21 Optimisation et Qualité image La qualité d image est une notion subjective Colimater +++ caches semi lunaires et diaphragmes Plaquer l ampli de brillance ou le capteur plan au patient Travailler en cadence d acquisition adaptée à la fréquence cardiaque Eviter les incidences redondantes dès lors que l état des coronaires est précisé
22 Les temps successifs d une coronarographie
23 Quelle voie d abord? Le choix de la voie d'abord doit échapper à tout dogmatisme +++ La voie d'abord doit être choisie après un examen vasculaire complet, au mieux des intérêts du patient, en fonction de la stratégie d'exploration à mener et d'une éventuelle angioplastie ad hoc Elle doit permettre un bilan exhaustif de l ensemble des lésions athéromateuses à documenter, puis, si nécessaire, un abord optimal de toutes les lésions à traiter, sans imposer de limitation technique (kissing, rotablator...), ni compromettre la sécurité, notamment en cas de survenue de complication.
24
25 La ventriculographie.
26 Ventriculographie en OAD 30
27 Ventriculographie en OAD 40 Mr Bu Infarctus post traité par angioplastie primaire 6 mois auparavant
28
29 Analyse de la cinétique segmentaire
30 Les stades angiographiques de l IM < 3 beats
31 Potentialisation post extra-systolique La récupération d une cinétique orthodoxe signe la viabilité
32 Anevrysme postérieur par thrombose droite dominante Volumineux anévrysme postéro-basal fortement dyskinétique. FE : 37%. PTDVG : 30 mm Hg. IM stade II Stimulation Ventriculaire Programmée positive (induction de TV soutenue)
33 Aortographie (facultative)
34 La coronarographie armature interne donnant le torque, la mémoire de forme, la résistance au twist et la stabilité à l injection extrémité mousse (soft-tip) participant à rendre le cathéter atraumatique.
35 Règle de sécurité à respecter absolument : Toujours travailler en pression +++ Mauvaise pression = complication en vue
36 Bien surveiller la pression en bout de cathéter +++ Mauvais reflux ou pression amortie, wedge, voire imprenable : 1. Thrombus dans le cathéter : tout enlever et vérifier Cathéter occlusif sur une lésion ostiale : reculer et injections semi-sélectives 3. Cathéter spasmogène : injecter sous nitrés 4. Cathéter engagé dans une petite branche secondaire : artère du nœud, du conus ou petite bissectrice 5. Cathéter engagé sous une plaque d athérome : risque de dissection Cathéter attaquant la paroi perpendiculairement
37 Surveillez la pression dès que vous entrez votre cathéter dans l ostium +++ Intubation de la gauche
38 Mme Beau 75 ans. Angor de novo avec négativation de T antérieure étendue et élévation de la troponine
39 Qu est ce qu une coronarographie correcte? Un bon examen doit fournir une opacification complète et simultanée de la lumière artérielle de l ostium à la distalité du vaisseau, ou au moins jusqu a la première lésion limitant le flux, avec visualisation correcte du lit d aval sur les temps tardifs, Pour améliorer la différenciation de la lumière vasculaire, il convient d éloigner les structures de voisinage : colonne vertébrale, diaphragme, poumons, aorte Faire les acquisitions en inspiration profonde et en apnée s il existe une superposition avec le diaphragme, en tenant les bras en dehors du champ (sous la tête par ex) Limiter le nombre d incidences si les critères sus-définis sont remplis (et éviter en tout cas le profil 90 qui irradie l opérateur. Opter pour le profil inversé. Eduquer les chirurgiens à cette incidence+++)
40 Critères cliniques pour la Coronarographie Tous les segments doivent être analysables : 1) Reproduction visuellement nette des trois segments de chacune des 3 branches principales (particulièrement de la bifurcation IVP/RVG et de la bifurcation IVA/Diagonale où l athérome siège fréquemment). Les lits d aval doivent être remplis et visibles jusqu en distalité +++ 2) Les ostia doivent être visualisés dans au moins une incidence 3) Contours des vaisseaux 1.5 mm bien définis, ainsi que leurs lésions Une lésion doit être dégagée dans au moins deux incidences orthogonales sans superposition ni raccourcissement excessif afin de pouvoir mesurer la sévérité de la lésion et opter pour le matériel le plus approprié si ATC La circulation collatérale doit être visualisée (si présente) de son origine au lit d aval, nécessitant parfois une double injection pour analyser sa qualité
41 Un examen «standard» doit comporter Deux à trois incidences sur la droite Trois à cinq sur la gauche Plus si anatomie particulière (vaisseaux sinueux, lésion en zone de superposition, absence de tronc commun ) En cadence 12.5 ou 15 i/s. 25 à 30 i/s seulement si FC rapide (ne pas hésiter à ralentir le patient pour optimiser la qualité de l examen) 2 cycles cardiaques (+ si flux ralenti) sont suffisants pour analyser correctement la luminographie et analyser la vitesse circulatoire Une cinquantaine d images par séquence suffisent
42 Les incidences de base pour tout examen : Coronaire gauche : OAD 30 OAG 60 craniale 30 Profil strict (inversé si possible) Spyder (OAG 45 caudale) optionnel Coronaire droite : OAG 60 (craniale 10 ) OAD 30 Profil optionnel
43 Coronaire gauche OAD 30 simple : vue d ensemble de 1 intention : bien regarder le flux de contraste en sortie de cathéter sur la 1 injection +++ Tronc commun Cx proximale IVA Septales Diagonale latérale IVA apicale TPL (Cx distale)
44 Coronaire gauche OAD 10 caudale : dégage mieux le tronc et sa bifurcation Tronc commun Cx proximale Marginale IVA Septales Diagonale IVA apicale TPL (Cx distale)
45 Coronaire gauche OAD craniale : permet de bien dérouler le tronc et l IVA Tronc commun Marginale IVA proximale Cx proximale Septales TPL (Cx distale) Diagonale IVA apicale
46 Coronaire gauche OAG simple : permet de bien dégager le tronc et la Cx L adjonction de craniale permet de dérouler l IVA Tronc commun IVA proximale Cx proximale Marginale
47 Coronaire gauche OAG craniale : permet de bien dégager le tronc et ses branches de division. Selon l axe cardiaque, il faudra parfois mettre au contraire de la caudale pour ce faire (spyder) Tronc commun Cx proximale IVA proximale Marginale Cx distale
48 Coronaire gauche Profil strict : déroule bien l IVA et son lit d aval Tronc commun IVA Septales Diagonale Cx proximale Marginale IVA apicale
49 Coronaire droite dominante en OAG craniale
50 Coronaire droite en OAD et Profil
51 Coronaire droite équilibrée OAG OAD
52 Mr Rus Contrôle d un double pontage mammaire chez un vieil artéritique opéré d une fourche aorto-bifémorale
53
54 Le bilan d une maladie athéromateuse doit être guidé sur l examen clinique et aussi exhaustif que nécessaire Dépistage de la maladie rénovasculaire, des anévrysmes aortiques, des lésions carotidiennes Tout en tenant compte des risques de tubulopathie à l iode
55 Mr Le Str 72 ans Hypertendu équilibré, dyslipidémique. Ischémie silencieuse à 120 W (- 1.5 mm ; p =0 ; récupération rapide) 13 ans après ATC au ballon de l IVA I/II Ventriculographie gauche normale
56
57 Quelles incidences pour réaliser une coronarographie de qualité? Il n y a pas d incidences stéréotypées applicables à tous patients +++ Chaque segment doit être déroulé et analysable Chaque zone, notamment de bifurcation doit être dégagée Chaque examen doit avoir ses incidences personnalisées. Chaque lésion pose des questions spécifiques pouvant nécessiter si besoin des clichés centrés en petit champ : Position précise notamment par rapport aux collatérales Caractéristiques : rupture de plaque, calcifications Longueur de la lésion Sévérité de la lésion sous nitrés +++ Diamètre de référence Est-elle collatéralisée? Qualité du lit d aval +++ C est en salle que vous devez y répondre +++
58 Adjonction de quelques degrés de craniale à l injection OAG de la coronaire droite dominante pour bien dégager la croix du coeur
59 L OAG craniale dégage habituellement bien la bifurcation IVA/diagonale Noter l utilisation du cache semi lunaire, de l inspiration profonde et le choix de la sonde (El Gamal par voie radiale) pour optimiser l image
60 Effet du passage de l OAG craniale à la caudale chez un patient pour dégager la division du tronc permettant de sortir la bifurcation IVA/Diagonale 1 lorsque celle-ci nait en position de bissectrice
61 Un examen de qualité comportera en cas de flux ralenti, ou de collatéralité, une séquence en cadence lente (7.5 i/s) en remplissant bien la coronaire avec temps tardifs centrés sur les lits d aval, dégagés des structures de voisinage des clichés centrés sur la zone d intérêt avec diaphragmes pour bien analyser les lésions mal définies, après avoir repéré l incidence optimale. Avant de dilater, bien analyser le film du diagnostic pour sélectionner les incidences de travail, les pièges à contourner, et ne pas refaire toutes les autres incidences pour l iconographie. S assurer par contre de la qualité du résultat sur deux incidences orthogonales dégageant bien la lésion sans téléscopage ni superposition attendre au moindre doute
62 Analysez soigneusement la lésion Pour en comprendre la nature, la compléxité, les rapports avec les branches de division, les pièges, le territoire de distribution, les suppléances éventuelles L échographie endocoronaire n est pas indispensable! Angiographies de qualité +++ scopie avant graphie cadences adéquates optimisation de l image incidences adaptées
63 Mr Be a 52 ans. Tabagique, dyslipidémique. Angor de novo sur quelques jours, puis douleur prolongée avec sus décalage post. Admis à Mougins en phase précoce. Thrombolyse. Hausse isolée de TnT signant un infarctus rudimentaire. Récidive avec sus décalage à J3. Perfusion d ABCIXIMAB et transfert en urgence à l IAT. Wallstent & adenosine
64 Mr R 68 ans Non STEMI «stuttering infarction»
65 TAXUS 3.5 x 16 mm
66 Appréciation des lésions coronariennes les pièges de l angiographie analyse morphologique d une lésion quantification semi quantitative des lésions évaluation du retentissement fonctionnel
67 Le premier piège : se laisser abuser par un spasme Une lésion ne peut être correctement évaluée que sous vasodilatateur et soigneusement dégagée
68 Mr Che Infarctus postérieur en 89. Angioplastie IVA Ischémie silencieuse motivant un contrôle en 2005 QCA avant et après risordan. MLD : 2 mm RD : 3.3 mm MLD : 3.1 mm RD 3.5 mm
69 Evaluation de la vasomotricité du réseau coronarien Une coronaire pathologique doit toujours être évaluée en vasodilatation +++ La coronarographie doit systématiquement comporter l étude de la vasomotricité coronarienne en l absence de lésion critique : Le premier stade de la maladie est celui de dysfonction endothéliale provoquant inconstamment un angor vasospastique Ce stade précède souvent l apparition de lésions critiques de plusieurs années Le couplage méthergin-risordan souligne souvent des plaques lisses invisibles à la luminographie avant le test Les tests augmentent la sensibilité de la coronarographie Ils éclairent un diagnostic qu aucune autre méthode ne peut donner
70 Mr Ham Patient tabagique de 50 ans ayant bénéficié d une angioplastie IVA par un stent Taxus en décembre 2004 à Argenteuil. Récidive de douleurs angineuses depuis 3 semaines dont l une prolongée. Electrocardiogramme enregistrant un aspect d infarctus non transmural antérieur avec abrasion R V1 V2 V3 et négativation de l onde T antérieure étendue. Absence d élévation de la troponine, confirmant que la nécrose remonte à plus d une semaine.
71
72 Test au méthergin
73 ISDN 1 mg
74 Le 2 piège : les effets d optique qui nous abusent Tenter de s en affranchir en tournant autour de la lésion
75 Interprétation d une coronarographie L image projetée par les rayons X n est que le reflet déformé de la réalité. A vous de la décrypter
76 Les pièges de l angiographie : méfiez-vous de votre œil!
77
78 Mr Mar 63 ans Pontages 14 ans auparavant Angor classe II.
79 Mme Pet effet d optique ou lésion de l IVA? Patiente de 74 ans présentant des douleurs suspectes à l effort sur terrain dyslipidémique. Ergométrie ininterprétable.
80 Quand toutes les difficultés se conjuguent : anatomie hostile et complexe, artéfacts visuels, obésité, paralysie phrénique bien exploiter sa technique, être rigoureux, se laisser guider par sa culture cardiologique Mr Ric 76 ans, ancien fumeur, ponté en 89 pour un angor à seuil bas (- 4 mm à 30W) sur une sténose subtotale du tronc et une lésion critique droite. Contrôle en 2001 pour reprise de l angor : Thrombose du tronc, thrombose droite, thrombose récente du pont Cx. Thrombose de la mammaire gauche destinée à l IVA, thrombose droite CDII. Vit sur deux ponts saphènes corrects destinés à la droite et à la diagonale, redonnant tout le réseau gauche. VG normal. Amélioré sous traitement médical et rééducation. Monte son seuil ischémique à 150W. 2008/2009 : reprise de l angor du à des sténoses focales évolutives du pont droit, nécessitant 3 séances d angioplastie d icelui sur le 1/3 proximal et le 1/3 distal (stents nus Biotronik) Revient en 2011 pour un angor classe II fort
81 Bonne fonction gauche, sans hypokinésie segmentaire Pont droit correct
82 Bon pontage sur la diagonale redonnant tout le réseau gauche
83 Les deux ponts fonctionnent bien Statut quo? Traitement médical
84 Mais pourquoi redevient-il symptomatique???
85 Décision de tentative de désobstruction du tronc et en cas d échec de repontage de l IVA
86 La définition de l angiographie est limités à 0.2 / 0.3 mm. Certaines lésions ne sont pas analysables (ostium de branche, lésions masquées par des collatérales, flou cinétique, obèse ) Certaines lumières, en croissant, déchiquetées, ne permettent pas une interprétation fiable Grande variabilité des interprétations entre observateurs Marge de 20 à 30%, surtout sur les lésions intermédiaires Surévaluation visuelle systématique des lésions critiques Surévaluation des lésions avant traitement et sous évaluation des lésions résiduelles Intérêt dans tous les cas d utiliser l angiographie quantitative qui est très fiable sur les lésions modérées et éduque l œil+++ L échographie endo-coronaire, l OCT, l évaluation des lésions douteuses par FFR sont un appoint indispensable lorsque l évaluation fonctionnelle initiale n a pas été correctement effectuée
87 Background and Rationale Angiography alone cannot fully characterize the clinical significance of coronary stenosis. This well-recognized limitation has been documented repeatedly by intravascular ultrasound imaging and ischemia stress testing. Coronary angiography produces a silhouette image and cannot identify intraluminal detail or provide the angiographer with information about the characteristics of the vessel wall. Furthermore, accurate identification of both normal and diseased vessel segments is complicated by diffuse disease as well as by angiographic artifacts of contrast streaming, image foreshortening, and calcification. Bifurcation or ostial lesion locations may be obscured by overlapping branch segments. The physiological significance of a coronary stenosis, especially for an intermediately severe luminal narrowing (approximately 40% to 70% diameter narrowing), cannot be accurately determined.thus, the rationale for using coronary physiological measurement is to overcome the limitations of coronary angiography and provide the angiographer with an objective indicator of clinically relevant lesion significance.
88 Angiography versus FFR in Left Main Stem Hamilos M et al. Circulation. 2009;120: % de lésions du tronc < Lésions 50% > 50% du tronc n ayant pas ont un retentissement fonctionnel de retentissement fonctionnel Percent diameter stenosis at QCA correlated significantly with FFR but a very large scatter was observed (r = -0.38, p <0.001)
89 Mr Rob 70 ans Patient sportif FR : dyslipidémie, HTA, hérédité CV Angor d effort en 2005 sur lésion critique diagonale au sein d un réseau diffusément infiltré. ATC par un stent conventionnel Asymptomatique pendant 6 ans Angor de novo pendant un séjour en Espagne Douleurs à la marche Douleurs spontanées depuis 8 jours Coronaro par voie radiale sondes 4F
90
91
92 Que proposer? Angioplastie de la circonflexe Angioplastie de toutes les lésions Pontages des 3 axes Stratégie hybride
93
94 Pontages mammaires IVA / droite et angioplastie de la circonflexe
95 La coronarographie doit préciser la topographie, les caractères morphologiques, la sévérité d une lésion, et ses conséquences sur la perfusion myocardique. La sévérité d une lésion doit être appréciée par une analyse visuelle, mais également par des mesures plus objectives utilisant des logiciels d analyse quantitative disponibles en salle en temps réel. La qualité du flux, la collatéralité doivent être analysés visuellement et en s aidant si besoin de méthodes d analyse du retentissement fonctionnel (FFR)
96 Les règles à retenir pour faire de bonnes coronarographies Pas de bon examen sans culture cardiologique Pas de bon examen sans curiosité intellectuelle Pas de bon examen sans matériel de qualité Pas de bon examen sans technique irréprochable Pas de bon examen sans méthodologie rigoureuse Pas de bon examen sans analyse critique de ses résultats Complémentarité des méthodes d évaluation Discussion collégiale des dossiers litigieux De la qualité de votre examen dépendront la pertinence de la sanction thérapeutique et la sûreté d une éventuelle angioplastie!
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailUN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie
Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.
Plus en détailLa mesure de la réserve coronaire
Revues Générales Qu est-ce que la FFR? Comment l utiliser? réalités Cardiologiques # 291_Janvier/Février 2013 Résumé : La mesure de la réserve coronaire (FFR : Fractional Flow Reserve) s est imposée depuis
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détailLe compte rendu de scanner et d IRM du cœur. DIU Imagerie CV 2007
Le compte rendu de scanner et d IRM du cœur DIU Imagerie CV 2007 Importance de la communication Interface entre secrétariats de radiologie et de cardiologie Adaptation du schéma proposé par l ESC (07/06)
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailFarzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France. Probability of cardiovascular events. Mortalité CV
Nouveautés dans le diagnostique et le traitement de la maladie coronaire du dialysé Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France Probability of cardiovascular events Mortalité
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailPATHOLOGIE CARDIO VASCULAIRE DES VOYAGEURS D. HOROVITZ
PATHOLOGIE CARDIO VASCULAIRE DES VOYAGEURS D. HOROVITZ Les étapes du transport Y a - t - il un cardiaque dans l avion? CONTRAINTES CX VX L HYPOXIE LES ACCELERATIONS EFFETS DE L ALTITUDE LOI MARIOTTE PV
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailAngine de poitrine. Quelques définitions:
Angine de poitrine Quelques définitions: Syndrome caractérisé par des crises de douleurs constrictives violentes siégeant dans la région précordiale, irradiant dans le bras gauche et s accompagnant d une
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLIRE UN E.C.G. Formation sur le langage et la lecture d un ECG destinée aux techniciens ambulanciers de la région Chaudière-Appalaches
LIRE UN E.C.G. Formation sur le langage et la lecture d un ECG destinée aux techniciens ambulanciers de la région Chaudière-Appalaches Denise Hébert, chargée de projet UCCSPU Février 2006 Le langage et
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailmaladies des artères Changer leur évolution Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs
maladies des artères Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs maladies des artères : comment, pourquoi? La principale maladie de nos artères, appelée athérosclérose,
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détail132- III b - TRAITEMENT DE L'INSUFFISANCE CORONARIENNE HORS SYNDROME CORONARIEN AIGU JM Fauvel 2009
132- III b - TRAITEMENT DE L'INSUFFISANCE CORONARIENNE HORS SYNDROME CORONARIEN AIGU JM Fauvel 2009 Recommandations de la Société Européenne de cardiologie 2006 sur l Angor stable Guidelines on the management
Plus en détailCardiopathies ischémiques
AU PROGRAMME Cardiopathies ischémiques Processus obstructif Notions essentielles 1. Définition Les cardiopathies sont des malformations du cœur : soit acquises, survenant au cours de la vie (cardiopathies
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailDIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h
ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailLa pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle
UEMPSfO - Physiologie Chapitre 4 : La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle Professeur Christophe RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailMÉTHODES DIAGNOSTIQUES DE STÉNOSE DE L ARTÈRE RÉNALE
MÉTHODES DIAGNOSTIQUES DE STÉNOSE DE L ARTÈRE RÉNALE Mai 2004 Service Évaluation Technologique - 1 - Pour recevoir la liste des publications de l Anaes, il vous suffit d envoyer vos coordonnées à l adresse
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailTronc Artériel Commun
Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailMODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE
Collège des Enseignants en Radiologie de France MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE Paris, 3 et 4 Février 2015 PROTECTION DES OPERATEURS EN RADIOLOGIE INTERVENTIONNELLE
Plus en détailAngor stable. Quand faut-il faire des examens invasifs? Quintessence. Indication pronostique à un examen invasif. Introduction. Piero O.
Angor stable Quand faut-il faire des examens invasifs? Piero O. Bonetti Abteilung für Kardiologie, Kantonsspital Graubünden, Chur Quintessence P L examen invasif par cathétérisme cardiaque gauche est l
Plus en détailMONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013
MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailLa maladie de Takayasu
La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Takayasu. Elle ne se substitue
Plus en détailNouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201?
Symposium Covidien, Nice, 10 mai 2010 Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201? Bernard Songy Centre Cardiologique du Nord St-Denis Thallium 201: Le thallium 201 présente
Plus en détailSOMMAIRE RECOMMANDATIONS DE LA SFC I. ÉVALUATION DU RISQUE D ÉVÉNEMENTS APRÈS IDM 698 II. THÉRAPEUTIQUES MÉDICAMENTEUSES 705
SOMMAIRE RECOMMANDATIONS DE LA SFC I. ÉVALUATION DU RISQUE D ÉVÉNEMENTS APRÈS IDM 698 A. Évaluation non invasive... 700 1. Recherche d une ischémie myocardique... 700 a. Épreuve d effort b. Scintigraphie
Plus en détailPRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI)
PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI) 2 Défibrillateur Automatique Implantable SOMMAIRE Introduction Indications Principe du DAI Historique Composants et structure
Plus en détailVeraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D)
Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Thinking ahead. Focused on life. Veraviewepocs 3De Le générateur à Rayons X pour tous vos besoins
Plus en détailDe l usage des endoprothèses coronaires
GROUPE ATHÉROME CORONAIRE ET CARDIOLOGIE INTERVENTIONNELLE De l usage des endoprothèses coronaires B. Chevalier, H. Eltchaninoff, D. Blanchard, G. Finet, M. Bedossa, T. Corcos, J.-L. Fourrier, M. Hanssen,
Plus en détailSyndromes coronaires aigus
CONGRES American College of Cardiology J.P. COLLET Service de Cardiologie, Hôpital Pitié-Salpêtrière, PARIS. Syndromes coronaires aigus L American College of Cardiology a encore montré le grand dynamisme
Plus en détailLA CHIRURGIE CARDIO-VASCULAIRE Les enjeux, les possibilités chirurgicales, le suivi de l'opéré
A. LEGUERRIER Certificat de cardiologie M4 2007-2008 LA CHIRURGIE CARDIO-VASCULAIRE Les enjeux, les possibilités chirurgicales, le suivi de l'opéré La chirurgie cardio-vasculaire s'est considérablement
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailRéparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients
Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Schéma du cœur avec CIA Aorte Artère pulmonaire Oreillette gauche CIA Appendice auriculaire gauche Oreillette droite
Plus en détailBiométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -
Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailPrise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus
Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailItem : Souffle cardiaque chez l'enfant
Item : Souffle cardiaque chez l'enfant Collège des Enseignants de Cardiologie et Maladies Vasculaires Date de création du document 2011-2012 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Généralités...
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailLes bonnes indications de l ECG d effort. Méthodologie et dépistage de l insuffisance coronaire. F DAVID AMMPPU METZ 14 février 2013
Les bonnes indications de l ECG d effort Méthodologie et dépistage de l insuffisance coronaire F DAVID AMMPPU METZ 14 février 2013 L ECG d effort (EE) dans 3 grandes indications 1 DIAGNOSTIC de l ischémie
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailComment évaluer. la fonction contractile?
Comment évaluer la fonction contractile? Pr Xavier MONNET Service de réanimation médicale Hôpital de Bicêtre Assistance publique Hôpitaux de Paris Conflit d intérêt Pulsion Medical Systems CAP PiCCO Echocardiographie
Plus en détailLigne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D
Ligne Dentaire Système Dentaire Panoramique et 3D La Société Villa Sistemi Medicali est fière de présenter son nouveau panoramique Rotograph Evo 3D, un système d'imagerie dentaire avec fonctionnalité 3-en-1:
Plus en détailLe droit à l image???
Le droit à l image??? Dans ma propre philosophie, je peux parler de DROIT sans évoquer les DEVOIRS.. Vous me permettrez donc de vous en entretenir de prime abord avec cependant les nuances suivantes: Le
Plus en détailPROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc
CONGRES UCL DE MEDECINE GENERALE 1 juin 2013 PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc Philippe Mahaudens, PhD Faculté des sciences de la motricité UCL Service de Médecine Physique et Réadaptation, Saint-Luc
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailORTHOPHOS XG 3 DS. Systèmes de radiographie. ORTHOPHOS XG 3 l accès facile à la panoramique numérique.
ORTHOPHOS XG 3 DS Systèmes de radiographie l accès facile à la panoramique numérique. Conception clichés panoramiques avec technologie XG. technique et design en harmonie. fiable économique 1 Profitez
Plus en détailQUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?
QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailAssurance solde de carte de crédit BMO
Date First Name Last Name Address line 1 Address line 2 City, PR Postal Code Assurance solde de carte de crédit BMO Sommaire de la couverture Certificat n o XXXXXXXXXX Date d effet : Application date Taux
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailPrimeurs en cardiologie I
Primeurs en cardiologie I Chicago Emmanuèle Garnier Le congrès de l American College of Cardiology (ACC), qui avait lieu du 29 mars au 1 er avril, a permis le dévoilement en primeur de nombreux résultats
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailPLATE-FORME COMMUNE UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ. Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR
Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ Vous pouvez faire confiance aux systèmes CR et DR de Carestream pour leur qualité de prise d images. Maintenant
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailPathologie cardio-vasculaire
BACHELIER EN SOINS INFIRMIERS 1 re Année Année académique 2013-2014 Pathologie générale et spéciale 1 Pathologie cardio-vasculaire Docteur Catfolis Institut Supérieur de Soins Infirmiers GALILEE rue Royale
Plus en détailLES FACTEURS DE RISQUE
LES FACTEURS DE RISQUE C EST QUOI UN FACTEUR DE RISQUE? C est une caractéristique lié à une personne, à son environnement à sa culture, à son mode de vie qui entraine pour elle une probabilité plus importante
Plus en détail«Boire un verre de vin par jour augmente la longévité.»
«Boire un verre de vin par jour augmente la longévité.» Boire peu pour boire longtemps. Marcel Aymé Le vin est dans notre pays synonyme de plaisir (gastronomique) ou de déchéance (alcoolique). Le débat
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailPREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
DEFINITION APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE Buts : apporter aux organes ce dont ils ont besoin(o2 ) eliminer les déchets(co2.) APPAREIL : Pompe=cœur Tuyaux=artéres/veines PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailLes maladies valvulaires
CENTRE CARDIO-THORACIQUE DE MONACO information du patient Les maladies valvulaires Maladies, diagnostic et traitements 1 Les maladies valvulaires ou valvulopathies Elles désignent l ensemble des maladies
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détailTUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013
TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline
Plus en détailHospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SPORTS
MINISTERE DE LA SANTE ET DES SPORTS Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Sous-direction de l organisation du système de soins Dossier suivi par : Dr Dominique MARTIN Conseillère
Plus en détailLes bases physiques de l'imagerie radiologique
Les bases physiques de l'imagerie radiologique Radiographie 1895 Röentgen Découverte des propriétés des rayons X par Roentgen. Les rayons X permettent de voir uniquement l'os, le poumon et les produits
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailSéquence maladie: insuffisance cardiaque. Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI
Séquence maladie: insuffisance cardiaque Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI Janvier 2012 Finalité de l atelier: Présentation de la séance Cette séance a pour buts de vous permettre
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détail