Les peurs des marchés financiers sont-elles vraiment légitimes? Philippe Ithurbide, Directeur de la Recherche, Stratégie et Analyse Amundi

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les peurs des marchés financiers sont-elles vraiment légitimes? Philippe Ithurbide, Directeur de la Recherche, Stratégie et Analyse Amundi"

Transcription

1 Les peurs des marchés financiers sont-elles vraiment légitimes? Philippe Ithurbide, Directeur de la Recherche, Stratégie et Analyse Amundi Depuis l été dernier, la machine s est déréglée. Les marchés financiers broient du noir, tout étant sujet à interprétation négative. Pourquoi en est-on arrivé là? Doit-on revoir en profondeur les perspectives économiques et financières? 1. Pourquoi la baisse du prix du pétrole fait-elle peur? Elle affaiblit les pays producteurs de brut, les rend vulnérables, voire les met en situation de difficultés extrêmes. Elle fait craindre des défauts / faillites dans des entreprises du secteur de l énergie (cf. High Yield* aux US), avec les implications que l on imagine pour les banques. Elle a également un impact sur les réserves de certains fonds souverains (fonds pétrole et fonds souverains en général) qui peuvent être amenés à solder des portefeuilles* pour «remonter» des liquidités* aux États. Il faut rappeler que dans le cas du pétrole, deux tiers de la baisse sont liés à des phénomènes d offre. Or, il est difficile de prévoir des décisions de réduction de la production de pétrole. La prochaine réunion officielle de l OPEC n aura lieu qu en juin, dans la crainte de voir le prix du pétrole poursuivre sa chute libre d ici là, avec les conséquences pour les États producteurs, les entreprises du secteur et les banques. 2. Pourquoi les banques centrales ne parviennent-elles pas à rassurer les marchés financiers? Les banques centrales semblent avoir perdu la main, et elles n ont plus la même crédibilité qu avant. La Banque du Japon (BoJ)* a adopté un taux négatif pour les nouveaux dépôts que feraient les banques auprès de la banque centrale, reconnaissant de façon implicite le manque d efficacité de la politique monétaire non conventionnelle*. La Banque Centrale Européenne (BCE)* a avoué qu elle allait reconsidérer sa politique monétaire*, compte tenu des faits «nouveaux» que sont les prix de l énergie et le retour de la volatilité*. Quant à la Réserve fédérale (Fed)*, en l absence d inflation* et face au repli de la croissance (le PIB* n aura progressé que de 0,7 % au dernier trimestre 2015), il paraît bien compliqué de poursuivre activement une politique de hausses des taux. * Ce terme est défini dans le lexique

2 2 3. Pourquoi la Chine continue-t-elle d inquiéter les marchés financiers? La Chine représente sans conteste le risque* le plus systémique, et les évènements de ces derniers mois (baisse du yuan, fermeture temporaire des marchés actions en août et en janvier) ont alimenté les craintes. Celles-ci nous semblent excessives : le ralentissement économique de la Chine n est pas un fait nouveau, et ce pays ne procèdera pas à une dévaluation* du yuan. D ailleurs, depuis l été, la Chine gère avec un réel succès la stabilité du cours de change. Il n y aura pas non plus d atterrissage brutal de la croissance chinoise à horizon proche. 4. Doit-on craindre une récession aux États-Unis? Nous avons, à de nombreuses reprises, mentionné que le consensus de marché était trop optimiste, et nous sommes en phase de révision globale de ces prévisions. En ce qui concerne les États-Unis, il faut rappeler d une part la bonne tenue de la consommation (qui représente plus de 70 % du PIB), et d autre part le grand écart entre le secteur des services (solide) et le secteur manufacturier (plus fragile). Tout cela, selon nous, plaide pour une croissance de l ordre de 2 % et non pour une croissance négative. Il n est pas question à ce jour de récession* aux États-Unis, mais ce qui inquiète, c est l absence de marges de manœuvre de la part de la Réserve fédérale (Fed), incapable jusqu ici de relever ses taux. 5. Doit-on revoir les prévisions sur le dollar? Il y a deux façons complémentaires d expliquer la hausse de l euro : 1. L élément nouveau : la révision en baisse des prévisions de croissance américaine et la révision en baisse des anticipations de resserrement monétaire, toutes deux désormais plus en adéquation avec nos propres révisions. 2. La politique de change* : il y a une vraie politique de change, explicite, au Japon, en Chine et aux États-Unis, ce qui n est pas le cas de la zone euro. Comme cela est le cas depuis l introduction de la monnaie unique, l euro s ajuste et demeure la «devise* de respiration» du système. Au total, nous conservons notre bande de fluctuation 1,05-1,15, avec un objectif de 1,05 contre USD à 6 mois. Conclusion Nous restons en réalité dans un monde marqué par : 1. Un ralentissement de l économie mondiale lié aux pays émergents, un découplage net entre les zones, et l absence de blocs homogènes : bloc Europe, bloc émergents, bloc dollar ne sont ni les uns, ni les autres une réalité économique palpable Autrement dit, des opportunités d investissement liées au découplage entre pays avancés et pays émergents, entre pays (ceux à forte demande intérieure* et les autres), et entre pays émergents eux - mêmes (ceux qui produisent des matières premières et ceux qui sont plutôt consommateurs). 2. Des anticipations de croissance encore trop optimistes et des craintes sans doute excessives à moyen terme (elles ne justifient pas une capitulation complète), mais bien présentes à court terme : la peur d une récession aux États -Unis, les risques que fait peser le contre-choc pétrolier (sur des pays, sur des entreprises et sur des banques), des doutes sur la capacité de la Chine à maîtriser la situation, et enfin l incapacité des banques centrales à rassurer Autrement dit, des craintes qui justifient am plement les stratégies de macrohedging développées chez Amundi depuis 6 mois (long* US Treasuries et long Bunds, long volatilité, long USD et JPY, long cash USD, long or). * Ce terme est défini dans le lexique

3 Notre position Pascal Blanqué, Directeur des Investissements, Directeur du Métier Institutionnels et Distributeurs Tiers Amundi Vincent Mortier, Directeur adjoint des gestions - Amundi Depuis plusieurs mois les marchés financiers sont accaparés par de vrais sujets (mouvements sur les matières premières et les parités de change, déstabilisation des pays émergents, actions par fois peu lisibles des banques centrales, révisions à la baisse du consensus de croissance, inquiétudes sur l économie et les politiques chinoises) mais aussi de nombreuses fausses peurs (entrée en récession des États-Unis, fragilité du secteur bancaire dans son ensemble, écrasement de la Chine ). S il y a incontestablement des stress financiers, les anticipations de cassure de la croissance mondiale nous paraissent exagérées au regard des différentes dynamiques à l œuvre dans les différentes économies. En termes de dynamique de marché, les pressions vendeuses notamment de la part de certains grands institutionnels trouvent parfois difficilement des acheteurs, ce qui entraîne des comportements auto-réalisants. Nous restons raisonnablement positifs sur les actifs risqués, notamment les actions de la zone euro dont les niveaux de valorisation intègrent désormais des scénarios trop extrêmes en termes de dynamique de résultats d entreprises. Dans ce contexte, en gardant à l esprit une vision de moyen terme, les gestions d Am undi maintiennent leur allocation d actifs mais le risque global a été réduit, notamment via l achat de titres gouvernementaux. Lexique BCE (Banque Centrale Européenne) Depuis la mise en place de l euro le 1er janvier 1999, la Banque Centrale Européenne (BCE) est la gardienne de la stabilité des prix de la zone euro. Sa mission principale est d abord d assurer la maîtrise de l'inflation, condition nécessaire à la croissance durable de l économie, selon le traité de Maastricht. Compte tenu de la mission qui lui a été assignée, elle peut agir sur le niveau des taux d intérêt, en particulier le taux «Refi» (taux des opérations principales de refinancement). Ce taux est celui auquel les banques commerciales peuvent obtenir des liquidités auprès de la Banque centrale. Dès lors, la BCE agit indirectement sur la plupart des taux d intérêt pratiqués dans l ensemble de l économie de la zone euro, comme ceux rémunérant les prêts accordés par les banques commerciales et ceux rémunérant certains dépôts des épargnants. Banque du Japon (BoJ) La Banque centrale du Japon contrôle la politique monétaire du pays, avec pour objectif le soutien à la croissance économique et la gestion de l inflation. Demande Intérieure Somme de la consommation, des investissements et des dépenses publiques. Dévaluation Décision prise par un gouvernement ou une banque centrale qui conduit à abaisser la valeur de sa monnaie contre une ou plusieurs autres monnaies. La monnaie dévaluée voit son taux de change déprécié par rapport à une monnaie de référence. L objectif de la dévaluation est d accroître la compétitivité-prix des exportations.

4 4 Devise Unité monétaire, le plus souvent émise par une banque centrale (dollar, euro, yen, livre sterling ). Chaque pays ou chaque zone géographique possède sa devise officielle. Chaque devise se subdivise généralement en une autre unité qui équivaut à une fraction de la monnaie en vigueur. Un code de trois lettres est utilisé pour identifier chaque devise, USD, EUR Une devise est cotée sur le marché des devises (marché des changes ou forex) ou parfois par la banque centrale du pays. Elle peut être convertible et donc librement échangée contre d autres devises ou non convertible, c est-à-dire non échangeable ou à des conditions très strictes en terme de taux et de quantité. Le dollar US est la devise la plus échangée dans le monde, tout particulièrement contre l Euro. High Yield (Obligation à haut rendement) Emissions obligataires qui proposent un fort rendement en contrepartie d'un haut niveau de risque. Les émetteurs concernés sont souvent des sociétés en difficulté ou qui ont un niveau d'endettement élevé associé à un faible montant de fonds propres. Cela donne un caractère fortement spéculatif aux obligations High yield. Le taux d'intérêt de ces obligations peut atteindre 7 % à 8 % et parfois davantage. On les appelait autrefois junk bonds. Une obligation est appelée High Yield lorsque la note Standard & Poor s de l'émetteur est inférieure à BBB-. Si la note de l émetteur repasse audessus de BBB- ses émissions deviennent «investment grade». Inflation Hausse générale des prix des biens et services en circulation dans un pays et sur une période donnée. L'inflation se traduit par un phénomène d'augmentation générale des prix et peut ainsi entraîner une baisse du pouvoir d'achat et de la monnaie. Au contraire, la déflation est le phénomène d'une baisse généralisée et durable du niveau des prix. Pour mesurer le taux d'inflation, l'insee s'appuie notamment sur l'indice des prix à la consommation(ipc). Liquidité Capacité et rapidité avec laquelle il est possible d acheter ou de vendre un actif sur un marché sans que les prix du support n en soient fortement affectés. La notion de liquidité s applique à l ensemble des actifs bancaires, financiers, Pour beaucoup d'acteurs économiques, la liquidité mesure la capacité à assumer ses différentes échéances financières à court terme dans le cadre de son activité courante. L insuffisance de liquidités peut conduire à des situations de cessation de paiement. Obligations Titres de créance représentant la part d un emprunt émis soit par l Etat, soit par des collectivités territoriales, soit par des entreprises publiques ou privées. Si l obligation est émise avec un taux fixe, l émetteur s engage à verser un revenu constant pendant toute la durée de l emprunt. Si l obligation est émise avec un taux variable, l émetteur s engage à verser un revenu qui varie en fonction des taux de marché pendant toute la durée de l emprunt. Le porteur est assuré d être remboursé selon les modalités prévues dans le contrat. Son risque se limite à une faillite de l émetteur ou à une grave défaillance entraînant une modification des conditions de paiement prévues. La valeur d une obligation à taux fixe varie, à la hausse comme à la baisse, dans le sens inverse de l évolution des taux d intérêt, c'est à dire que le cours d'une obligation augmente si les taux d'intérêts baissent et inversement. PIB (Produit intérieur brut) Le produit intérieur brut est la somme de la production de biens et services réalisée sur le territoire national d'un pays quelle que soit la nationalité des producteurs pendant une période donnée. Le produit intérieur brut ne prend pas en compte les richesses produites par les entreprises du pays sur les marchés. Le produit intérieur brut peut être calculé par trimestre mais sa période habituelle de référence est annuelle. Le PIB est un indicateur phare de l'activité économique d'un pays. Il permet

5 5 de mesurer d une année sur l autre l évolution économique d un pays et de comparer l importance et l évolution des pays les uns par rapport aux autres. Politique de change Il s agit de l action des Etats (le plus généralement des banques centrales) sur les cours de change. L objectif est de modifier la valeur du cours de change (pour accroitre la compétitivité, par exemple), ou de protéger une monnaie nationale qui se déprécie sur le marché des changes. Il s agit dans ce cas d intervenir sur le marché en vendant des devises étrangères (issues des réserves de change et banques centrales) contre la monnaie nationale. Une autre façon de modifier la valeur de la monnaie nationale est d agir via les taux d intérêt : toutes choses égales par ailleurs une hausse des taux a tendance à favoriser une appréciation de la monnaie (entrée de capitaux pour bénéficier d une rémunération plus élevée), et inversement. Enfin, un Etat peut décider de mettre en place un contrôle des changes (restrictions sur les sortes de capitaux) pour protéger sa monnaie. Politique monétaire Politique menée par une banque centrale, institut d émission d une monnaie, pour piloter le niveau de l inflation et/ou de la croissance économique d un pays ou d une zone monétaire. Chaque banque centrale mène sa propre politique monétaire et dispose d un panel assez large d outils «monétaires». Les banques centrales qui ont la politique monétaire la plus influente sont la Banque Centrale Européenne (BCE) et la Réserve Fédérale des Etats-Unis (FED). Parmi les outils de la politique monétaire, le niveau du taux d intérêt directeur est le plus important car il impacte directement le niveau des taux pratiqués par les banques commerciales et donc le coût de l argent pour les entreprises sur le marché monétaire. Politiques monétaires non conventionnelles Elles consistent, pour les banques centrales à augmenter massivement la quantité de monnaie en circulation dans l économie par la mise en place d une politique d achats de titres (assouplissement quantitatif). Portefeuille Le portefeuille boursier est la représentation de l ensemble des titres sur lesquels un agent économique a investi sur le marché financier. Un portefeuille boursier comprend des valeurs mobilières, dont les actions et obligations, mais également, des OPC (SICAV et FCP), des produits plus sophistiqués, comme les produits dérivés, etc. La composition et la gestion d un portefeuille boursier nécessite de tenir compte de facteurs tels que les objectifs de croissance d une économie, d un secteur et des entreprises mais aussi, des seuils de tolérance de l investisseur vis-à-vis du risque. Récession Désigne un recul de l'activité économique d'un pays. On dit qu'un pays entre en récession lorsque son produit intérieur brut (PIB) se contracte sur deux trimestres consécutifs. Réserve fédérale (Fed) La Réserve fédérale (Fed) est la Banque centrale américaine, fondée en 1913 par l Etat fédéral des Etats-Unis. Elle contrôle la politique monétaire américaine avec pour objectif le soutien à la croissance économique et la gestion de l inflation. C est l institut d émission du Dollar américain. La Fed est la Banque centrale la plus importante du monde, notamment parce qu elle apporte un soutien très actif à la croissance économique de la première économie mondiale. Elle est réputée pour son pragmatisme et sa politique monétaire expansionniste, à la différence de la BCE qui privilégie la stabilité des prix. L évolution de son taux directeur est très sensible à l évolution de la conjoncture économique des Etats-Unis et elle procède régulièrement à de la création monétaire

6 6 pour soutenir l Etat fédéral américain et le système financier américain (mesures quantitatives, QE). Janet Yellen a été nommée présidente de la Fed en Risque La notion de risque en finance est très proche de celle d'incertitude. Le risque d'un titre financier peut ainsi avoir plusieurs origines. On distingue notamment les risques économiques (politiques, naturels, d'inflation...) qui menacent les flux liés aux titres et relèvent du monde économique, et les risques financiers (liquidité, change, taux...) qui ne portent pas directement sur ces flux et sont propres à la sphère financière. Quelle que soit sa nature, tout risque se traduit par une fluctuation de la valeur du titre financier. C'est d'ailleurs ce qui distingue la comptabilité pure, qui ne se préoccupe que de taux de rentabilité, et la finance, qui intègre la notion de risque pour déterminer la valeur. Le risque d'un titre financier se mesure à la volatilité de sa valeur (ou de son taux de rentabilité) : plus la volatilité est élevée, plus le risque est fort, et inversement. Volatilité Mesure l'amplitude de la variation de la valeur d'un actif pendant une période donnée. Une volatilité importante traduit généralement une forte exposition au risque. Lorsque la volatilité est élevée, la possibilité de gain est importante, mais le risque de perte l'est aussi. Avertissement Achevé de rédiger le 08/02/2016 Les informations figurant dans cette publication ne visent pas à être distribuées ni utilisées par toute personne ou entité dans un pays ou une juridiction où cette distribution ou utilisation serait contraire aux dispositions légales ou réglementaires, ou qui imposerait à Amundi ou ses sociétés affiliées de se conformer aux obligations d enregistrement de ces pays. Notamment cette publication ne s adresse pas aux US persons telle que cette expression est définie dans le US Securities Act de Les données et informations figurant dans cette publication sont fournies à titre d information uniquement. Aucune information contenue dans cette publication ne constitue une offre ou une sollicitation par un membre quelconque du groupe Amundi de fournir un conseil ou un service d investissement ou pour acheter ou vendre des instruments financiers. Les informations contenues dans cette publication sont basées sur des sources que nous considérons fiables, mais nous ne garantissons pas qu elles soient exactes, complètes, valides ou à propos et ne doivent pas être considérées comme telles à quelque fin que ce soit. Les informations sont inévitablement partielles, fournies sur la base de données de marché constatées à un moment précis et sont susceptibles d évolution. Les prévisions, évaluations et analyses ne doivent pas être regardées comme des faits avérés et ne sauraient être considérées comme des prédictions exactes des événements futurs. Cette publication ne peut être reproduite, en totalité ou en partie, ou communiquée à des tiers sans notre autorisation. Edité par Amundi - Société anonyme au capital de euros - Siège social : 90, boulevard Pasteur, Paris - Société de gestion de portefeuille agréée par l AMF n GP RCS Paris.

mai COMMENTAIRE DE MARCHÉ

mai COMMENTAIRE DE MARCHÉ mai 2014 COMMENTAIRE DE MARCHÉ SOMMAIRE Introduction 2 En bref 3 INTRODUCTION L heure semble au découplage entre les Etats-Unis et l Europe. Alors que de l autre côté de l Atlantique, certains plaident

Plus en détail

LE COMITÉ D INVESTISSEMENT DE LA GESTION PRIVÉE

LE COMITÉ D INVESTISSEMENT DE LA GESTION PRIVÉE DE LA GESTION PRIVÉE COMPTE RENDU DAVID DESOLNEUX DIRECTEUR DE LA GESTION SCÉNARIO ÉCONOMIQUE ACTIVITÉS La croissance économique redémarre, portée par les pays développés. Aux Etats-Unis, après une croissance

Plus en détail

Boussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!

Boussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,

Plus en détail

Présentation Macro-économique. Mai 2013

Présentation Macro-économique. Mai 2013 Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%

Plus en détail

Expertise Crédit Euro. La sélection de titres au coeur de la performance de notre gestion. Décembre 2014

Expertise Crédit Euro. La sélection de titres au coeur de la performance de notre gestion. Décembre 2014 Expertise Crédit Euro La sélection de titres au coeur de la performance de notre gestion Décembre 2014 destiné à des investisseurs professionnels au sens de la Directive Européenne MIF Performance cumulée

Plus en détail

DORVAL FLEXIBLE MONDE

DORVAL FLEXIBLE MONDE DORVAL FLEXIBLE MONDE Rapport de gestion 2014 Catégorie : Diversifié International/Gestion flexible Objectif de gestion : L objectif de gestion consiste à participer à la hausse des marchés de taux et

Plus en détail

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES

CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications

Plus en détail

LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier

LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de

Plus en détail

ANTICIPATIONS HEBDO. 16 Février 2015. L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015

ANTICIPATIONS HEBDO. 16 Février 2015. L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015 Direction de la Recherche Economique Auteur : Philippe Waechter L'élément clé durant la semaine du 9 Février 2015 Le premier point cette semaine porte sur la croissance modérée de la zone Euro au dernier

Plus en détail

Flash Stratégie n 2 Octobre 2014

Flash Stratégie n 2 Octobre 2014 Flash Stratégie n 2 Octobre 2014 Vers un retour de l or comme garantie du système financier international. Jean Borjeix Aurélien Blandin Paris, le 7 octobre 2014 Faisant suite aux opérations de règlement

Plus en détail

Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient

Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues

Plus en détail

TURBOS JOUR : DES EFFETS DE LEVIER DE x20, x50, x100 jusqu à x300!

TURBOS JOUR : DES EFFETS DE LEVIER DE x20, x50, x100 jusqu à x300! TURBOS Jour TURBOS JOUR : DES EFFETS DE LEVIER DE x20, x50, x100 jusqu à x300! PRODUITS À EFFET DE LEVIER PRéSENTANT UN RISQUE DE PERTE DU CAPITAL Société Générale propose une nouvelle génération de Turbos,

Plus en détail

A PLUS FINANCE FONDS DE FONDS

A PLUS FINANCE FONDS DE FONDS FINANCE FONDS DE FONDS A PLUS DYNAMIQUE A PLUS PATRIMOINE A PLUS TALENTS A PLUS OBLIGATIONS RAPPORT DE AU 30-06-2015 COMMENTAIRE DE 1 er SEMESTRE 2015 Le premier semestre 2015 a été caractérisé par le

Plus en détail

Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien

Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,

Plus en détail

QU EST-CE QUE LE FOREX?

QU EST-CE QUE LE FOREX? Chapitre 1 QU EST-CE QUE LE FOREX? 1. INTRODUCTION Forex est la contraction de foreign exchange qui signifie «marché des changes». C est le plus grand marché du monde. Le volume journalier moyen des transactions

Plus en détail

CHAPITRE 1 : LES BASES DU MARCHE DES CHANGES

CHAPITRE 1 : LES BASES DU MARCHE DES CHANGES CHAPITRE 1 : LES BASES DU MARCHE DES CHANGES Marché des changes : techniques financières David Guerreiro david.guerreiro@univ-paris8.fr Année 2014-2015 Université Paris 8 Objectifs du cours Connaissances

Plus en détail

Calcul et gestion de taux

Calcul et gestion de taux Calcul et gestion de taux Chapitre 1 : la gestion du risque obligataire... 2 1. Caractéristique d une obligation (Bond/ Bund / Gilt)... 2 2. Typologie... 4 3. Cotation d une obligation à taux fixe... 4

Plus en détail

TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD

TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident

Plus en détail

Les divergences dominent le marché

Les divergences dominent le marché Les divergences dominent le marché L euro a continué de glisser, pour la sixième semaine consécutive, face au dollar américain. Et cette baisse devrait continuer de s accentuer dans les prochains jours,

Plus en détail

CA Oblig Immo (Janv. 2014)

CA Oblig Immo (Janv. 2014) CA Oblig Immo (Janv. 2014) Titre obligataire émis par Amundi Finance Emissions, véhicule d émission ad hoc de droit français Souscription du 14 janvier au 17 février 2014 Bénéficier d un rendement fixe

Plus en détail

Manuel de référence Options sur devises

Manuel de référence Options sur devises Manuel de référence Options sur devises Groupe TMX Actions Bourse de Toronto Bourse de croissance TSX TMX Select Equicom Produits dérivés Bourse de Montréal CDCC Marché climatique de Montréal Titres à

Plus en détail

Quel rôle pour la Banque de France depuis l avènement de l euro?

Quel rôle pour la Banque de France depuis l avènement de l euro? Florian Colas Conférence d économie approfondie Note sur un point technique, élaborée à partir d un entretien avec Madame Claudine Cortet, Conseiller auprès du Directeur général des Etudes et Relations

Plus en détail

Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions

Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions 27 novembre 213 N 5 Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions La Chine semble vouloir développer le poids du RMB comme monnaie internationale, aussi bien financière que

Plus en détail

Compte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant)

Compte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant) Compte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant) Présentation Cogefi Gestion est la société de gestion, filiale à 100% de la maison mère Cogefi. Elle fait partie

Plus en détail

PARTIE A STATUTAIRE PRESENTATION SUCCINCTE : INFORMATIONS CONCERNANT LES PLACEMENTS ET LA GESTION : OPCVM conforme aux normes européennes

PARTIE A STATUTAIRE PRESENTATION SUCCINCTE : INFORMATIONS CONCERNANT LES PLACEMENTS ET LA GESTION : OPCVM conforme aux normes européennes SG MONETAIRE EURO PROSPECTUS SIMPLIFIE OPCVM conforme aux normes européennes PARTIE A STATUTAIRE PRESENTATION SUCCINCTE : DENOMINATION : SG MONETAIRE EURO FORME JURIDIQUE : SICAV de droit français COMPARTIMENTS/NOURRICIER

Plus en détail

TUTORIAL D UTILISATION ET DE COMPREHENSION PLATEFORME DE TRADING TRADMAKER

TUTORIAL D UTILISATION ET DE COMPREHENSION PLATEFORME DE TRADING TRADMAKER P a g e 1 TUTORIAL D UTILISATION ET DE COMPREHENSION PLATEFORME DE TRADING TRADMAKER P a g e 2 TABLE DES MATIERES 1. TERMINOLOGIE DE BASE 1.1 Symboles 1.2 Taux Bid 1.3 Taux Ask 1.4 Spread 1.5 High Bid

Plus en détail

thématique d'investissement

thématique d'investissement 6// thématique d'investissement PRéSERVER LE CAPITAL AVEC DU CRéDIT DE QUALITé Alors qu elles avaient bien résisté à la crise de la dette souveraine sur le premier semestre, les obligations d entreprise

Plus en détail

2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée?

2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Flash Stratégie Janvier 2015 2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Jean Borjeix Paris, le 20 janvier 2015 Dans ce document nous allons tout d abord rapprocher nos

Plus en détail

LES OPERATIONS SUR LE MARCHÉ DES CHANGES. Finance internationale, 9 ème éd. Y. Simon & D. Lautier 1

LES OPERATIONS SUR LE MARCHÉ DES CHANGES. Finance internationale, 9 ème éd. Y. Simon & D. Lautier 1 LES OPERATIONS SUR LE MARCHÉ DES CHANGES Finance internationale, 9 ème éd. Y. Simon & D. Lautier 1 Couverture : Protéger des créances ou des dettes (commerciales ou financières) contre le risque de variation

Plus en détail

UFF PRESENTE UFF OBLICONTEXT 2021, NOUVEAU FONDS A ECHEANCE D OBLIGATIONS INTERNATIONALES, en partenariat avec La Française AM

UFF PRESENTE UFF OBLICONTEXT 2021, NOUVEAU FONDS A ECHEANCE D OBLIGATIONS INTERNATIONALES, en partenariat avec La Française AM COMMUNIQUE de Presse PARIS, LE 13 JANVIER 2015 UFF PRESENTE UFF OBLICONTEXT 2021, NOUVEAU FONDS A ECHEANCE D OBLIGATIONS INTERNATIONALES, en partenariat avec La Française AM UFF Oblicontext 2021 est un

Plus en détail

Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques

Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Je ne caractériserais pas la récente correction du marché comme «une dégringolade». Il semble

Plus en détail

Informations générales 1 er trimestre 2015. Inform La politique monétaire dans le piège des taux bas

Informations générales 1 er trimestre 2015. Inform La politique monétaire dans le piège des taux bas Informations générales 1 er trimestre 2015 Inform La politique monétaire dans le piège des taux bas A propos de Swisscanto Swisscanto figure parmi les plus grands promoteurs de fonds de placement et prestataires

Plus en détail

RAPPORT SEMESTRIEL. ACER ACTIONS S1 au 30.06.2013. Acer Finance Société de Gestion agrément AMF n GP-95009

RAPPORT SEMESTRIEL. ACER ACTIONS S1 au 30.06.2013. Acer Finance Société de Gestion agrément AMF n GP-95009 RAPPORT SEMESTRIEL ACER ACTIONS S1 au 30.06.2013 Acer Finance Société de Gestion agrément AMF n GP-95009 8 rue Danielle Casanova 75002 Paris Tel: +33(0)1.44.55.02.10 / Fax: +33(0)1.44.55.02.20 acerfinance@acerfinance.com

Plus en détail

FINANCE & RISK MANAGEMENT TRAVAIL INDIVIDUEL I

FINANCE & RISK MANAGEMENT TRAVAIL INDIVIDUEL I FINANCE & RISK MANAGEMENT TRAVAIL INDIVIDUEL I ()*( TABLE DES MATIERES 1. EXERCICE I 3 2. EXERCICE II 3 3. EXERCICE III 4 4. EXERCICE IV 4 5. EXERCICE V 5 6. EXERCICE VI 5 7. SOURCES 6 (#*( 1. EXERCICE

Plus en détail

Processus et stratégie d investissement

Processus et stratégie d investissement FCP Bryan Garnier Long Short Equity Recherche de performance par le «stock picking» Processus et stratégie d investissement FCP Bryan Garnier Long Short Equity TABLE DES MATIERES Introduction 2 I Méthodologie

Plus en détail

Deuxième trimestre 2015

Deuxième trimestre 2015 Deuxième trimestre 2015 Contenu Perspectives économiques mondiales Perspectives sur les catégories d'actif Paul English, MBA, CFA vice-président principal, Placements Tara Proper, CFA vice-présidente adjointe,

Plus en détail

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance

Plus en détail

ING Turbos Infinis. Avantages des Turbos Infinis Potentiel de rendement élevé. Pas d impact de la volatilité. La transparence du prix

ING Turbos Infinis. Avantages des Turbos Infinis Potentiel de rendement élevé. Pas d impact de la volatilité. La transparence du prix ING Turbos Infinis Produit présentant un risque de perte en capital et à effet de levier. Les Turbos sont émis par ING Bank N.V. et sont soumis au risque de défaut de l émetteur. ING Turbos Infinis Les

Plus en détail

France et Allemagne : deux moteurs aux régimes distincts

France et Allemagne : deux moteurs aux régimes distincts France et Allemagne : deux moteurs aux régimes distincts Philippe Waechter Directeur de la recherche économique de Natixis AM L a dynamique de l'économie française est-elle franchement différente de celle

Plus en détail

I. Risques généraux s appliquant à l ensemble des instruments financiers

I. Risques généraux s appliquant à l ensemble des instruments financiers I. Risques généraux s appliquant à l ensemble des instruments financiers 1. Risque de liquidité Le risque de liquidité est le risque de ne pas pouvoir acheter ou vendre son actif rapidement. La liquidité

Plus en détail

La guerre des devises, une source d opportunités Mars 2015

La guerre des devises, une source d opportunités Mars 2015 PERSPECTIVES La guerre des devises, une source d opportunités Mars 2015 Depuis le début de l année 2015, de nombreuses banques centrales à travers le monde ont abaissé leur taux d intérêt ou pris d autres

Plus en détail

Total Sélection Période de souscription : Durée d investissement conseillée Éligibilité

Total Sélection Période de souscription : Durée d investissement conseillée  Éligibilité Total Sélection Instrument financier émis par Natixis SA (Moody s : A2, Fitch : A, Standard & Poor s : A au 20 novembre 2014) dont l investisseur supporte le risque de crédit. Total Sélection est une alternative

Plus en détail

L économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions

L économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions L économie ouverte Un modèle de petite économie ouverte V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile Quelques définitions Économie fermée Économie ouverte Exportations et importations Exportations nettes

Plus en détail

La dette des ménages canadiens demeure très élevée

La dette des ménages canadiens demeure très élevée 12 septembre 2014 La dette des ménages canadiens demeure très élevée Faits saillants États Unis : accélération bienvenue des ventes au détail. Forte hausse du crédit à la consommation en juillet aux États

Plus en détail

EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER

EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER Chapitre 25 Mankiw 08/02/2015 B. Poirine 1 I. Le système financier A. Les marchés financiers B. Les intermédiaires financiers 08/02/2015 B. Poirine 2 Le système

Plus en détail

Les marchés du monde entier à portée de clic. Les CFD. Une nouvelle façon d investir en bourse

Les marchés du monde entier à portée de clic. Les CFD. Une nouvelle façon d investir en bourse Les marchés du monde entier à portée de clic Les CFD Une nouvelle façon d investir en bourse Sommaire Les CFD : un nouvel outil d investissement sur les marchés 3 Pourquoi investir avec les CFD? 5 La transparence

Plus en détail

GENERALI INVESTMENTS EUROPE GF FIDELITE FR0010113894 15 juin 2015

GENERALI INVESTMENTS EUROPE GF FIDELITE FR0010113894 15 juin 2015 Sur la période 11 mai 2015 au 10 juin 2015, la performance du fonds est en retrait de -1.04% par rapport à son indicateur de référence*. Néanmoins, depuis le début d année, GF Fidélité surperforme son

Plus en détail

Privilégier les actions et les emprunts d entreprise aux placements monétaires et aux emprunts d Etat AAA

Privilégier les actions et les emprunts d entreprise aux placements monétaires et aux emprunts d Etat AAA Swisscanto Asset Management SA Waisenhausstrasse 2 8021 Zurich Téléphone +41 58 344 49 00 Fax +41 58 344 49 01 assetmanagement@swisscanto.ch www.swisscanto.ch Politique de placement de Swisscanto pour

Plus en détail

Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie

Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie Chapitre X : Monnaie et financement de l'économie I. Le financement de l'économie Financement = fait d'apporter des fonds à un individu, une entreprise, ou à soi-même. A) Les différents types de financement

Plus en détail

alpha sélection est une alternative à un placement risqué en actions et présente un risque de perte en capital, en cours de vie et à l échéance.

alpha sélection est une alternative à un placement risqué en actions et présente un risque de perte en capital, en cours de vie et à l échéance. alpha sélection alpha sélection est une alternative à un placement risqué en actions et présente un risque de perte en capital, en cours de vie et à l échéance. Instrument financier émis par Natixis (Moody

Plus en détail

PROSPECTUS COMPLET PROSPECTUS SIMPLIFIE PARTIE A STATUTAIRE

PROSPECTUS COMPLET PROSPECTUS SIMPLIFIE PARTIE A STATUTAIRE PROSPECTUS COMPLET OPCVM conforme aux normes européennes PROSPECTUS SIMPLIFIE PARTIE A STATUTAIRE Présentation succincte : Dénomination : Forme juridique : Compartiments/nourricier : Société de gestion

Plus en détail

Πώς να κάνετε συναλλαγές και πώς να βάζετε εντολές

Πώς να κάνετε συναλλαγές και πώς να βάζετε εντολές Πώς να κάνετε συναλλαγές και πώς να βάζετε εντολές μέσα από την πλατφόρμα SAXO Trader INFORMATIONS GÉNÉRALES SUR LES DEVISES ET INSTRUCTIONS POUR TRADER Για περισσότερη βοήθεια επικοινωνήστε μαζί μας στο

Plus en détail

Nature et risques des instruments financiers

Nature et risques des instruments financiers 1) Les risques Nature et risques des instruments financiers Définition 1. Risque d insolvabilité : le risque d insolvabilité du débiteur est la probabilité, dans le chef de l émetteur de la valeur mobilière,

Plus en détail

LE FOREX ou marché des changes

LE FOREX ou marché des changes LE FOREX ou marché des changes L essentiel sur $ Le risque est au bout du clic En partenariat avec Qu est-ce que c est? Le Forex est le marché des changes (FOReign EXchange en anglais, marché des devises).

Plus en détail

PER Convergence Le Guide de l épargnant

PER Convergence Le Guide de l épargnant Comment choisir vos supports de placement? PER Convergence Le Guide de l épargnant Avec PER Convergence, votre entreprise met à votre disposition deux dispositifs d épargne au service de vos projets dans

Plus en détail

INFORM OBLIGATIONS DE PREMIÈRE QUALITÉ ET OBLIGATIONS À HAUT RENDEMENT: AUGMENTER LE RENDEMENT ET DIMINUER LE RISQUE GRÂCE À UNE JUSTE COMBINAISON

INFORM OBLIGATIONS DE PREMIÈRE QUALITÉ ET OBLIGATIONS À HAUT RENDEMENT: AUGMENTER LE RENDEMENT ET DIMINUER LE RISQUE GRÂCE À UNE JUSTE COMBINAISON 2 2002 INFORM INFORMATIONS FINANCIÈRES ESSENTIELLES POUR LES CAISSES DE PENSION OBLIGATIONS DE PREMIÈRE QUALITÉ ET OBLIGATIONS À HAUT RENDEMENT: AUGMENTER LE RENDEMENT ET DIMINUER LE RISQUE GRÂCE À UNE

Plus en détail

[ les éco_fiches ] Situation en France :

[ les éco_fiches ] Situation en France : Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d

Plus en détail

L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte

L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en

Plus en détail

4,50 % Obligation Crédit Mutuel Arkéa Mars 2020. par an (1) pendant 8 ans. Un placement rémunérateur sur plusieurs années

4,50 % Obligation Crédit Mutuel Arkéa Mars 2020. par an (1) pendant 8 ans. Un placement rémunérateur sur plusieurs années Obligation Crédit Mutuel Arkéa Mars 2020 4,50 % par an (1) pendant 8 ans Souscrivez du 30 janvier au 24 février 2012 (2) La durée conseillée de l investissement est de 8 ans. Le capital est garanti à l

Plus en détail

TURBOS Votre effet de levier sur mesure

TURBOS Votre effet de levier sur mesure TURBOS Votre effet de levier sur mesure Société Générale attire l attention du public sur le fait que ces produits, de par leur nature optionnelle, sont susceptibles de connaître de fortes fluctuations,

Plus en détail

Changement de ton pour la BCE : des impacts sur le marché difficiles à prévoir. Directeur de la recherche économique de Natixis AM

Changement de ton pour la BCE : des impacts sur le marché difficiles à prévoir. Directeur de la recherche économique de Natixis AM FLASH MARCHÉS Changement de ton pour la BCE : des impacts sur le marché difficiles à prévoir Mario Draghi se donne les moyens Philippe Waechter Directeur de la recherche économique de Natixis AM Le ton

Plus en détail

LOOKBACK TO MAXIMUM NOTE 2

LOOKBACK TO MAXIMUM NOTE 2 Société Générale (Paris) LOOKBACK TO MAXIMUM NOTE Un instrument de créance structuré émis par Société Générale S.A. (Paris) Durée de 8 ans. Mécanisme d observation annuelle dès la ème année égale à la

Plus en détail

Les mécanismes de transmission de la politique monétaire

Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Chapitre 5 Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Introduction (1/3) Dans le chapitre 4, on a étudié les aspects tactiques de la politique monétaire Comment la BC utilise les instruments

Plus en détail

Informations clés pour l investisseur

Informations clés pour l investisseur Informations clés pour l investisseur Ce document fournit des informations essentielles aux investisseurs de cet OPCVM. Il ne s agit pas d un document promotionnel. Les informations qu il contient vous

Plus en détail

Rétrospective 2014 1 mois, 1 clin d œil

Rétrospective 2014 1 mois, 1 clin d œil Rétrospective 2014 1 mois, 1 clin d œil С Новым Годом! Felice anno nuovo! Bon lanné! Happy new year! E gudd neit Joër! Bonne année! Onnellista uutta vuotta! Feliz año nuevo! Güets nëies johr! Ein gutes

Plus en détail

Cours débutants Partie 1 : LES BASES DU FOREX

Cours débutants Partie 1 : LES BASES DU FOREX Définition du FOREX : FOREX est l abréviation de Foreign Exchange market et désigne le marché sur lequel sont échangées les devises l une contre l autre. C est un des marchés les plus liquides qui soient.

Plus en détail

Weekly Review. Atténuation des tensions sur les devises. L assouplissement quantitatif sera-t-il différent cette fois? Lundi 18 octobre 2010

Weekly Review. Atténuation des tensions sur les devises. L assouplissement quantitatif sera-t-il différent cette fois? Lundi 18 octobre 2010 Atténuation des tensions sur les devises Les tensions à l égard des devises entre les États-Unis et la Chine ont atteint une nouvelle apogée cette semaine lorsque les réserves en devises étrangères de

Plus en détail

La Banque nationale suisse surprend les marchés

La Banque nationale suisse surprend les marchés La Banque nationale suisse surprend les marchés 16 janvier 2015 Faits saillants États-Unis : baisse décevante des ventes au détail en décembre. États-Unis : les prix de l essence font diminuer l inflation,

Plus en détail

La BNS capitule: Fin du taux plancher. Alain Freymond (BBGI Group SA)

La BNS capitule: Fin du taux plancher. Alain Freymond (BBGI Group SA) La BNS capitule: Fin du taux plancher Alain Freymond (BBGI Group SA) Changement radical de politique monétaire le 15/1/2015 Les taux d intérêt négatifs remplacent le taux plancher 1. Abandon du taux plancher

Plus en détail

Marchés Financiers. Cours appliqué de finance de marché. Change

Marchés Financiers. Cours appliqué de finance de marché. Change Marchés Financiers Cours appliqué de finance de marché Change Aoris Conseil Emmanuel Laffort 1 Finance de marché (Devise) 2009-2010 Change - Généralités Caractéristiques Marché international Premier marché

Plus en détail

Natixis Global Risk Parity un an après : une performance au rendez-vous dans le cadre d une approche équilibrée en risque

Natixis Global Risk Parity un an après : une performance au rendez-vous dans le cadre d une approche équilibrée en risque DOCUMENT RESERVE EXCLUSIVEMENT AUX CLIENTS PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF Natixis Global Risk Parity un an après : une performance au rendez-vous dans le cadre d une approche équilibrée en

Plus en détail

GUIDE DES WARRANTS. Donnez du levier à votre portefeuille!

GUIDE DES WARRANTS. Donnez du levier à votre portefeuille! GUIDE DES WARRANTS Donnez du levier à votre portefeuille! Instrument dérivé au sens du Règlement Européen 809/2004 du 29 avril 2004 Produits non garantis en capital à effet de levier EN SAVOIR PLUS? www.listedproducts.cib.bnpparibas.be

Plus en détail

Fonds Assurance Retraite du contrat BNP Paribas Avenir Retraite Données au 31 décembre 2014. Communication à caractère publicitaire

Fonds Assurance Retraite du contrat BNP Paribas Avenir Retraite Données au 31 décembre 2014. Communication à caractère publicitaire Fonds Assurance Retraite BNP Paribas Avenir Retraite Données au 31 décembre 2014 Communication à caractère publicitaire Le contrat BNP Paribas Avenir Retraite est géré par Cardif Assurance Vie avec un

Plus en détail

Réglement Contrat de placement Règlement concernant le Contrat de placement

Réglement Contrat de placement Règlement concernant le Contrat de placement Introduction En signant le contrat de placement, le client accepte les dispositions du présent règlement. Ce règlement est un complément du Règlement Général des Opérations du groupe Crelan Le client a

Plus en détail

ANANTA PATRIMOINE PRESENTATION

ANANTA PATRIMOINE PRESENTATION ANANTA PATRIMOINE PRESENTATION ANNEE 2011 1 ANANTA PATRIMOINE S.A. (Genève) est une société de gestion affiliée à l O.A.R.G. (Organisme d Autorégulation des Gérants de patrimoine) sous le numéro d agrément

Plus en détail

Turbos & Turbos infinis

Turbos & Turbos infinis & Turbos infinis L effet de levier en toute simplicité PRODUITS À EFFET DE LEVIER PRESENTANT UN RISQUE DE PERTE DU CAPITAL Avertissement : «PRODUITS A EFFET DE LEVIER PRESENTANT UN RISQUE DE PERTE DU CAPITAL»

Plus en détail

L instabilité politique en Ukraine et en Grèce sont aussi des éléments qui peuvent continuer à perturber les marchés.

L instabilité politique en Ukraine et en Grèce sont aussi des éléments qui peuvent continuer à perturber les marchés. L année 2014 s achève, pour l indice boursier français, au niveau où elle a commencé, le CAC 40 a perdu - 0,5% sur l année, l indice européen (l Eurostoxx 50) a lui gagné + 2,82%, alors que l indice américain

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

ACTIONS ET OBLIGATIONS Les placements financiers en quelques mots

ACTIONS ET OBLIGATIONS Les placements financiers en quelques mots Aperçu des actions et des obligations Qu est-ce qu une action? Une action est une participation dans une entreprise. Quiconque détient une action est copropriétaire (actionnaire) de l entreprise (plus

Plus en détail

Credit Suisse Bond Fund (Lux) Fonds commun de placement de droit luxembourgeois

Credit Suisse Bond Fund (Lux) Fonds commun de placement de droit luxembourgeois Prospectus Septembre 2006 ADDENDUM AU PROSPECTUS POUR LA FRANCE La Directive européenne n 85/611/CEE du 20 décembre 1985 sur les OPCVM telle que modifiée instaure des règles communes en vue de permettre

Plus en détail

Orientations et Stratégie n 149

Orientations et Stratégie n 149 Orientations et Stratégie n 149 Lettre mensuelle de La Française AM Septembre 2014 - Achevée de rédiger le 05 09 2014 Regard sur les marchés Les deux mois d'été ont été agités sur la plupart des classes

Plus en détail

OUESSANT. Vivienne investissement. Printemps-été 2015. Rapport de gestion. L analyse quantitative au service de la gestion active

OUESSANT. Vivienne investissement. Printemps-été 2015. Rapport de gestion. L analyse quantitative au service de la gestion active Ce document est destiné à des investisseurs professionnels uniquement Vivienne investissement L analyse quantitative au service de la gestion active OUESSANT Rapport de gestion Printemps-été 2015 Vivienne

Plus en détail

Gestion financière et. Assurance Vie au Luxembourg

Gestion financière et. Assurance Vie au Luxembourg Gestion financière et Assurance Vie au Luxembourg 1- IGEA Finance : Présentation de la structure IGEA Finance - Gestion financière et Assurance Vie au Luxembourg La Société de Gestion IGEA Finance La structure

Plus en détail

1. La fonction de règlement ne peut être assurée au niveau international que dans des conditions bien différentes. D une part, les agents concernés

1. La fonction de règlement ne peut être assurée au niveau international que dans des conditions bien différentes. D une part, les agents concernés Introduction La notion de système évoque l idée d organisation. Un système monétaire national est l organisation des relations monétaires dans un pays : comment les agents économiques peuvent-ils utiliser

Plus en détail

Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014

Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014 Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 6 mars 2015 Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014 La Banque nationale suisse (BNS) a

Plus en détail

LETTRE MENSUELLE DE LA FRANÇAISE GAM. N 155 - Mars 2015 Achevée de rédiger le 05 03 2015. Regard sur les marchés

LETTRE MENSUELLE DE LA FRANÇAISE GAM. N 155 - Mars 2015 Achevée de rédiger le 05 03 2015. Regard sur les marchés ORIENTATIONS & S T R A T É G I E LETTRE MENSUELLE DE LA FRANÇAISE GAM N 155 - Mars 2015 Achevée de rédiger le 05 03 2015 Regard sur les marchés Février confirme une amorce absolument exceptionnelle des

Plus en détail

Enquête sur les perspectives des entreprises

Enquête sur les perspectives des entreprises Enquête sur les perspectives des entreprises Résultats de l enquête de l été 15 Vol. 12.2 6 juillet 15 L enquête menée cet été laisse entrevoir des perspectives divergentes selon les régions. En effet,

Plus en détail

PARVEST WORLD AGRICULTURE Compartiment de la SICAV PARVEST, Société d Investissement à Capital Variable

PARVEST WORLD AGRICULTURE Compartiment de la SICAV PARVEST, Société d Investissement à Capital Variable Compartiment de la SICAV PARVEST, Société d Investissement à Capital Variable PARVEST World Agriculture a été lancé le 2 avril 2008. Le compartiment a été lancé par activation de sa part N, au prix initial

Plus en détail

Perspectives économiques 2013-2014

Perspectives économiques 2013-2014 Carlos Leitao Économiste en chef Courriel : LeitaoC@vmbl.ca Twitter : @vmbleconomie Perspectives économiques 2013-2014 L amélioration de l économie atténuée par l incertitude politique Prix du pétrole:

Plus en détail

FIN-INTER-01 LE CONTEXTE

FIN-INTER-01 LE CONTEXTE FIN-INTER-01 LE CONTEXTE Public concerné : Etudiants niveau Bac + 2. Durée indicative : 2 heures Objectifs : Positionner le domaine de la finance internationale dans son contexte. Pré requis : Néant. Modalités

Plus en détail

La finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012

La finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012 La finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012 Sommaire I - Le rôle prépondérant des marchés financiers I.1 - Financiarisation de l'économie mondiale I.2 Lien avec l'entreprise

Plus en détail

IGEA Patrimoine FCP agréé par l AMF

IGEA Patrimoine FCP agréé par l AMF IGEA Patrimoine FCP agréé par l AMF Présentation La Société de Gestion IGEA Finance La structure L approche originale Société de gestion agréée par l AMF Gestion diversifiée, patrimoniale Clients privés

Plus en détail

Quel est le "bon" système de Bretton-Woods?

Quel est le bon système de Bretton-Woods? aoűt 9 - N 359 Quel est le "bon" système de Bretton-Woods? Le Système Monétaire International de Bretton-Woods "normal" est un système où le pays dont la monnaie s'affaiblit doit passer à une politique

Plus en détail

PRODUITS DE BOURSE GUIDE DES WARRANTS. Donnez du levier à votre portefeuille! Produits non garantis en capital et à effet de levier

PRODUITS DE BOURSE GUIDE DES WARRANTS. Donnez du levier à votre portefeuille! Produits non garantis en capital et à effet de levier GUIDE DES WARRANTS Donnez du levier à votre portefeuille! PRODUITS DE BOURSE www.produitsdebourse.bnpparibas.com Produits non garantis en capital et à effet de levier COMMENT LES WARRANTS FONCTIONNENT-ILS?

Plus en détail

Monnaie, banques, assurances

Monnaie, banques, assurances Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d

Plus en détail

DEXIA DIVERSIFIED FUTURES

DEXIA DIVERSIFIED FUTURES DEXIA DIVERSIFIED FUTURES RAPPORT ANNUEL au 29 décembre 2011 Fonds Commun de Placement Société de gestion : Dexia Asset Management - 40, rue de Washington - 75008 PARIS Dépositaire : RBCDexia Investor

Plus en détail

Perspectives Economiques Septembre 2015

Perspectives Economiques Septembre 2015 Perspectives Economiques Septembre 2015 Philippe WAECHTER Directeur de la Recherche Economique Compte Twitter: @phil_waechter ou http://twitter.com/phil_waechter Blog: http://philippewaechter.nam.natixis.com

Plus en détail