Edito. Dans les pages suivantes : P2 : la réponse des banques aux clients fragiles P3 : celle des établissements de crédit P5 : quelles perspectives?
|
|
- Bertrand Bertrand
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Edito Aurel / Le Monde 30/3/2011 Si les pouvoirs publics se préoccupent de remédier à cette situation, les banques et établissements financiers se montrent aussi pro-actifs pour faire évoluer leurs pratiques. Les motivations qui les animent sont multiples et peut-être encore imprécises : enjeu d image, pression politique pour certains établissements porteurs d une mission d intérêt général, pression réglementaire (droit au compte; limitation des frais bancaires; ); enjeux commerciaux (cf article du Monde du 30/3/2011 «Les ménages pauvres, des clients comme les autres»), ou encore sens des responsabilités sociétales. Il n empêche que l intérêt des initiatives qui émergent, les perspectives qu elles ouvrent dans la conciliation des enjeux économiques et des enjeux sociaux, méritent d être soulignés. Les partenariats entre acteurs financiers, associatifs et sociaux qu elles entraînent en attestent. Nous vous proposons donc dans ce numéro un tour d horizon des actions des établissements financiers face aux clients fragiles, thème de la table ronde organisée le 17 mai (cf encart ci-contre). Catherine Martin - directrice Les services financiers sont devenus incontournables pour mener une vie normale. Impossible sans compte bancaire de percevoir ses revenus, d accéder à un logement, au téléphone,. Difficile aussi de se passer de carte bancaire, de chéquier, de crédit à la consommation. Pourtant, l accès à ces services n est pas le même pour tous et le coût est souvent inversement proportionnel aux ressources (financières ou culturelles) : crédits plus chers; mandats payants; prélèvements imposés avec un risque d incidents cher payés. Cette exclusion bancaire et financière résulte des exigences de rentabilité fixées par les acteurs économiques : un client «pauvre» présente peu d intérêt commercial et rapporte moins qu il ne coûte (pour aller plus loin, cf G. Gloukoviezoff, «le lien social à l épreuve de la rentabilité»). Ce numéro fait suite à une table ronde organisée le 17 mai à la MDA de Lille, réunissant les intervenants suivants. Stéphane Breton Jean-Louis Morel Jean-Pierre Ledez Marie Cécile Rochet Etienne Epitalon Dominique Dran Institut d'education financière des Publics Passerelle / Crédit Agricole Nord de France Banque Créatis Cofidis Crédit Agricole Consumer Finance La Banque Postale Parcours Confiance nous a été présenté lors d une rencontre spécifique avec la Fédération Nationale des Caisses d Epargne. Dans les pages suivantes : P2 : la réponse des banques aux clients fragiles P3 : celle des établissements de crédit P5 : quelles perspectives?
2 Face aux clients fragiles la réponse des banques Page 2/5 Entre 5 et 6 millions de français rencontrent des difficultés pour utiliser correctement ou tout simplement accéder aux produits et services bancaires. Cela explique que la loi encadre de plus en plus l accès au service bancaire (droit bancaire, solde insaisissable, frais facturables). Les trois banques ci-dessous, non seulement en raison de leur taille, mais aussi de leur philosophie, gèrent les comptes de 90% de la population la plus précaire. Pour ces banques, apporter à ces clients un service et une communication adaptés et de qualité relève de la nécessité. Stéphane Breton, observateur de choix au sein de l Institut d Education Financière des Publics, note un changement d approche en la matière sur les dernières années et principalement depuis la crise. Accompagner les moments difficile Les points Passerelle ont été développés par le Crédit Agricole. Ils existent depuis 1993 et viennent d arriver dans le nord où 9 conseillers interviennent sur 4 sites. 90% du public de ces points est constitué des clients de la banque. Ils sont reçus par d'anciens banquiers en retraite, alliant leur expertise bancaire et leur expérience de la vie. Ils sont renforcés par des accompagnants bénévoles. Leur mission est d'accueillir, diagnostiquer et rechercher des solutions de médiation et parfois d' accompagnement budgétaire du public (avec un rendez vous mensuel par exemple). Ils sont dédiés aux victimes d'accidents de la vie (séparation, décès, perte emploi, maladie, ). Le fait majeur, c'est de prendre des gens non habitués à être assistés, confrontés à une rupture à un moment de leur vie, que Passerelle aide à retrouver leur autonomie. En vue de pérenniser et développer les Points Passerelle, le Crédit Agricole réfléchit également à un mode de financement basé sur l appel à la solidarité des sociétaires clients de la banque (cotisations spécifiques sur certains services). La place du client fragile dans l agence bancaire Le Crédit Agricole, les Caisses d Epargne ou encore le Crédit Mutuel Nord Europe, ont opté pour la création de points d accueil séparés des agences traditionnelles, avec un nom d ailleurs bien distinct (Points Passerelle, Parcours Confiance, Caisse Solidaire). Les banquiers expliquent le fait que le client en précarité n ait pas sa place dans les guichets traditionnels, par l inadéquation de culture et de formation des conseillers bancaires qui y travaillent aux besoins de ces clients. Les solutions en terme de services adaptés ne sont ensuite qu à l état de recherche. L agence dédiée est donc la solution retenue. Les ponts entre agences (ou dispositifs) dédiées et agences traditionnelles sont néanmoins nombreux, en raison du besoin de solutionner les situations des clients de la banque. Les cas concrets traités ne laissent pas insensibles les agents bancaires et contribuent au changement des modes de pensée. Offrir des dispositifs d inclusion financière Les Caisses d Épargne ont mis au point une solution originale, fondée sur des produits et un accompagnement adaptés, afin d aider les publics en difficulté à recouvrer une situation financière stable et équilibrée. Il s agit de Parcours Confiance. Ce dispositif s articule autour de 3 services : Un accompagnement dans la durée : lorsqu une personne intègre Parcours Confiance, un conseiller l aide à faire un point sur sa situation financière et lui propose un suivi bancaire personnalisé. Une offre bancaire adaptée : carte de retrait à autorisation systématique (i.e. contrôle du solde du compte), forfait à prix négocié ainsi qu un microcrédit lorsqu il souhaite financer un projet. Un soutien pédagogique : les bénéficiaires qui le souhaitent peuvent assister aux ateliers organisés par Finances & Pédagogie, une association fondée il y a plus de 50 ans par les Caisse d Epargne. Les thèmes des ateliers concernent principalement la gestion du budget, le crédit ou encore la relation à sa banque. L action des associations Parcours Confiance est complétée par celle des acteurs sociaux et des réseaux d accompagnement à la création d entreprise avec lesquels de nombreux partenariats ont été noués.
3 Face aux clients fragiles la réponse des banques Page 3/5 Agir en prévention La Banque Postale a choisi d appeler son projet expérimental REFLEX (réagir ensemble face à l exclusion). Considérant que le compte bancaire est un révélateur de la fragilité budgétaire des ménages (via les rejets..., les découverts non autorisés... les prélèvements de sociétés de crédit consommation qui augmentent...), la Banque Postale pense qu il est de son devoir de prévenir les difficultés financières. Lorsqu'un compte présente un effondrement des soldes créditeurs, une flambée de prélèvements et pas d'épargne, la Banque Postale essaie de joindre le client pour l'aider. L aide apportée prend la forme d un remboursement des frais de prélèvement, d'un maintien des moyens de paiement et de découvert, en contre partie d une prise de contact par l intéressé avec son CCAS. Même s il est trop tôt pour tirer des résultats et si le feed back de la part des CCAS est limité en raison du secret professionnel invoqué par les assistantes sociales, la mise en réseau des acteurs semble tout de même prometteuse. Les travailleurs sociaux sont quant à eux «contents» d agir à un niveau plus préventif que curatif. La réponse des établissements de crédit La problématique des établissements de crédit est de deux ordres : faire face à la hausse des défaillances de leurs emprunteurs; s ouvrir à de nouvelles populations croissantes de publics n ayant pas accès jusque là à leurs services. Face à ces enjeux, toutes les sociétés de crédit mettent en place des actions, généralement en partenariat avec des acteurs sociaux. Repenser les pratiques métier Faire en sorte que les produits et les crédits soient bien adaptés au monde qui bouge, telle est l'ambition de Crédit Agricole Consumer Finance. Un outil de cette politique est le partenariat avec Archime'd. En accueillant certains clients de Crédit Agricole Consumer Finance et en traitant leur demande avec une regard à la fois social et financier, Archime d apporte un éclairage nouveau à l entreprise, lequel lui permet de revenir sur certaines certitudes et d envisager des évolutions. Mais la grosse entreprise garde des process de masse; elle est maladroite et lente face à l évolution des situations sociales (précarité professionnelle, foyers mono-parentaux, ) que les scores appréhendent avec retard. Elle rencontre des difficultés à répondre aux situations atypiques. Face à ces limites, l action d Archime'd permet de débloquer de nombreuses situations de clients et de «tendre la main» à des personnes qui ont une capacité à progresser. Les partenariats Rares sont les actions mises en place sans un partenariat avec des services sociaux, des réseaux associatifs ou des associations locales. Les sociétés financières semblent avoir bien compris l enjeu de telles alliances pour élargir leurs prestations et éventuellement leur savoir-faire. Pour les acteurs sociaux, les partenariats sont également essentiels. Sans passer par des voies spécifiques, difficile d obtenir une écoute et des solutions originales adaptées de la part des sociétés financières. Ceci d autant plus que la situation est aggravée et que la relation de confiance doit être reconstruite ou à l inverse que les échéances sont honorées avec des efforts du client difficilement tenables sur la durée; l établissement financier, non conscient de la situation, accepte alors rarement de revoir ses conditions. Les deux mondes doivent toutefois encore apprendre à travailler ensemble. Les cultures sont très différentes et les résistances et incompréhensions ne doivent pas être sous-estimées.
4 La réponse des établissements de crédit Page 4/5 Mettre la technologie au service de l action Chez Cofidis, le savoir-faire technologique a été mis à profit pour développer des services d accompagnement et de conseil budgétaire. Les clients en impayé peuvent notamment joindre des assistantes sociales indépendantes, via le site internet. Une application pour smartphone a été développée offrant des outils de suivi du budget. Un «serious game» ayant pour objectif le «coaching de son budget» a été conçu, accessible sur le site fort de 2,5 millions de visiteurs mensuels. Enfin, un site non commercial a été développé en vue d améliorer la transparence de l information et de renforcer la connaissance des emprunteurs. Sur ce site, on n'a pas peur de dire par exemple que le rachat de crédit peut coûter plus cher. En parallèle, des actions plus classiques ont été développées, telle que la diffusion d une newsletter et la réécriture des courriers de gestion afin de supprimer le jargon trop souvent utilisé et de favoriser une meilleure compréhension par le client. Sucess story d un partenariat réussi Mme B., 82 ans, respecte difficilement les limites imposées par ses ressources. Sa situation se dégrade et les services sociaux, désireux de lui éviter le surendettement, la mettent en relation avec Archime d. Suite aux actions mise en oeuvre, la situation de Mme B. s améliore. Archime d identifie les facteurs de réussite suivants : La forte volonté de l intéressée à en sortir, l amenant à limiter ses dépenses L établissement d une relation de confiance et de transparence avec l intéressée, permettant de trouver des solutions constructives face aux difficultés rencontrées L implication de l ensemble des créanciers L accompagnement dans la durée, et le contact de proximité avec le banquier, s avère cependant indispensable pour aider Mme B. à maintenir les efforts et gérer les inévitable aléas (frais de santé; réparations; ). Valoriser de nouveaux services La banque Creatis est issue de Crédits Municipaux. Son coeur de métier est le rachat de crédit et le crédit à la consommation via un réseau de courtiers. Créatis considère que les clients fragiles constituent son cœur de cible, si cette notion correspond à l'ensemble des personnes ayant des difficultés à boucler leur budget. Cette population représenterait 15 à 20 millions de Français à qui il manquerait entre 50 et 100 euros par mois. Si l octroi d un crédit ou d un découvert donne une bouffée d'oxygène, il ne résout pas le problème de fond. La démarche de Créatis est alors d'aller plus loin : en explorant l'ensemble des postes budgétaires du clients (téléphone, vêtement), des recherches d économie sont faites. Trouver des gains de 10 à 20 euros par poste peut représenter une économie globale équivalente à 10% du salaire médian. La démarche consiste surtout en la proposition d astuces dont le conseiller démontre l intérêt, sans porter de jugements de valeur et en intégrant les aspects irrationnels des choix de consommation. Le plus difficile est d abord faire prendre conscience aux gens qu'ils ne connaissent pas leur budget. Ensuite, sous réserve de qualités de conviction, 65% des clients s'accaparent les astuces proposées.
5 Aller plus loin, plus vite? Ces actions qui touchent une petite minorité de personnes laissent de nombreux acteurs sociaux sur leur faim. Le développement du micro-crédit personnel par exemple, dispositif majeur d inclusion financière soutenu par les pouvoirs publics, reste très limité : seuls personnes en ont bénéficié en 2010 au niveau national. Ainsi, le Secours Catholique propose de passer par la voie réglementaire pour contraindre les acteurs financiers à des évolutions plus sensibles (cf ci-dessous). Archime d souscrit pleinement à l idée d inciter les expérimentations, tout en les encadrant et surtout en les évaluant. L expérience du micro-crédit personnel illustre ce besoin, étant données les questions qu il soulève tant sur le plan social : conciliation possible avec les objectifs de prévention du surendettement (les publics sollicitant le MCP ont en effet souvent un budget «éligible» à la procédure de surendettement), pédagogie budgétaire et incitation à l épargne; que sur le plan économique : modalités d équilibre. Enfin, l adhésion des publics concernés aux produits et démarches proposés est elle aussi à prendre en compte (combien de personnes renoncent au microcrédit pour une solution commerciale plus coûteuse mais plus rapide et moins contraignante?). Tout est allé très vite sur les dernières années, et pourtant, tout reste à inventer. Progresser passe indispensablement par l encouragement de la créativité et le fait de se doter des moyens de mesurer l ensemble des impacts dans un système complexe. La vision de La Banque Postale sur le micro-crédit Le manifeste du Secours Catholique Page 5/5 La Banque Postale est un acteur important du dispositif de micro-crédit personnel, même si elle est encore peu présente (542 microcrédits effectués en 2010, soit 7% du total). Le représentant de la Banque Postale analyse les écueils du dispositifs de la façon suivantes : Tout d abord par le fait que 90% des demandes sont détectés par les réseaux d'accompagnement. Or, ces acteurs cherchent des solutions qui ne les emmènent pas forcément sur le terrain du crédit. En parallèle, le micro-crédit coûte de l'argent aux banques, lesquelles n'en tirent pas de bénéfice ce qu elles acceptent tant que le volume est peu important. Enfin, la cible éligible au micro-crédit est étroite, puisqu elle concerne des personnes non éligibles au crédit «économique». La campagne publicitaire menée par le Crédit Municipal aurait entrainé appels. Seuls 5% des appels auraient abouti sur un micro-crédit. Pour augmenter le volume, l'intervenant de la Banque Postale suggèrerait d augmenter les moyens des associations et des banques par une contribution des fonds publics. Cela n est envisageable que sous réserve de montrer que le micro-crédit évite des coûts pour la collectivité. Même s il reconnaît que le système bancaire français permet à tout un chacun d ouvrir un compte et d utiliser des moyens de paiement modernes et sûrs, le Secours Catholique considère qu une part importante de la population reste exclue de nombreux services bancaires, ceux notamment entraînant une prise de risque financier par la banque (découvert, crédit, ). Cette exclusion, accrue par la crise financière incitant les banques à plus de prudence, marginalise les personnes concernées. Pour le Secours Catholique, les obligations légales imposées aux banques en matière d accessibilité bancaire sont trop limitatives (elles concernent l optimisation de la procédure de droit au compte). Il souhaiterait que les engagements des banques, et la vérification de ces engagements, portent, au-delà du droit au compte, sur des offres d entrée de gamme par exemple et sur le fait de bâtir une offre bancaire appropriée aux personnes concernées. Le Secours Catholique souhaite que l Etat propose un cadre de référence en la matière, par voie réglementaire ou législative, amenant à certifier les banques sur leurs actions facilitant l accessibilité bancaire par populations et territoires servis, ainsi que sur la qualité de leurs usages. Il s agirait d un dispositif incitatif consistant à encourager fortement les établissements bancaires à mettre en œuvre des actions positives en direction des populations jusqu alors exclues et connaissant des difficultés d insertion financière.
Positionnement de l UNCCAS relatif au registre national des crédits aux particuliers ou «fichier positif»
Positionnement de l UNCCAS relatif au registre national des crédits aux particuliers ou «fichier positif» Ce registre national des crédits aux particuliers a été introduit (article 22) dans le projet de
Plus en détailLes dispositifs solidaires du Crédit Mutuel Arkéa
Les dispositifs solidaires du Crédit Mutuel Arkéa Les aides financières à l investissement et à la création d emplois L aide aux emprunteurs en difficulté Le micro-crédit personnel Les difficultés ponctuelles
Plus en détailEdito. Catherine Martin Directrice
Edito Les sociétés de crédit ont mauvaise presse. Outre les drames liés au surendettement dans notre pays, la crise des subprimes aux USA et l emballement de certaines économies (Islande par exemple),
Plus en détailRéponse des autorités françaises à la consultation de la Commission européenne sur l accès à un compte de paiement de base
Novembre 2010 Réponse des autorités françaises à la consultation de la Commission européenne sur l accès à un compte de paiement de base La France partage pleinement le souci de la Commission européenne
Plus en détailCréer son propre emploi
Vous souhaitez voir intervenir, au sein de votre établissement, un de nos conseillers régionaux : prenez contact avec lui pour établir, ensemble, une proposition adaptée à vos besoins et à votre public.
Plus en détailNote préparatoire Petit déjeuner du 27/05/13
Note préparatoire Petit déjeuner du 27/05/13 L exclusion bancaire Contexte et enjeux de l exclusion bancaire L utilisation de biens et services bancaires est devenu une nécessité pour chacun dans sa vie
Plus en détailLE MICROCREDIT PERSONNEL PARIS ILE-DE-FRANCE
LE MICROCREDIT PERSONNEL PARIS ILE-DE-FRANCE LE MICROCREDIT EN FRANCE LE MICROCRÉDIT PROFESSIONNEL LE MICROCRÉDIT PERSONNEL - Retour à l autonomie financière par la création de son propre emploi - Crédit
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATIONS 2014-2015
CATALOGUE DE FORMATIONS 2014-2015 L organisme de formation professionnelle 72 33 09109 33 SIRET 793 870 684 000 16 1 CATALOGUE DE FORMATIONS Sommaire Qui sommes-nous 2 Modules de formation proposés Module
Plus en détailConférence contre l exclusion. Propositions du groupe BPCE
Conférence contre l exclusion Propositions du groupe BPCE Les Banques Populaires et les Caisses d Epargne sont des banques coopératives qui servent 36 millions de clients. Détenues par 8,1 millions de
Plus en détailPrésentation du dispositif départemental d aide au «Microcrédit Personnel»
DOSSIER DE PRESSE Présentation du dispositif départemental d aide au «Microcrédit Personnel» Lundi 21 janvier 2013 à 15h30 A l Hôtel du Département, à Rouen En présence de : Didier MARIE, Président du
Plus en détailConseil national de l information statistique
Conseil national de l information statistique Commission Système financier et financement de l économie Accessibilité et inclusion bancaire 25 septembre 2014 1 Pourquoi la Croix-Rouge française s occupe-t-elle
Plus en détailLe compte bancaire est un compte ouvert. Foire aux questions. Le COMPTE et son fonctionnement. Trouvez des réponses à vos questions.
Foire aux questions Trouvez des réponses à vos questions Aout 2014 Le COMPTE et son fonctionnement Le compte bancaire est un compte ouvert par la banque à un ou plusieurs clients proposant des services
Plus en détailLes principaux crédits et les pièges à éviter
Chapitre 1 Les principaux crédits et les pièges à éviter 1. Le crédit revolving Le crédit revolving (ou crédit permanent) est souvent vendu comme une réserve d argent permettant de financer des envies
Plus en détailCMP-Banque, une banque municipale et sociale
CMP-Banque, une banque municipale et sociale Un acteur de la politique sociale CMP-Banque, la banque du Crédit Municipal de Paris, est une institution bancaire ancienne et singulière où la responsabilité
Plus en détailBANQUE FRANÇAISE MUTUALISTE LA BANQUE DES AGENTS DU SECTEUR PUBLIC
BANQUE FRANÇAISE MUTUALISTE LA BANQUE DES AGENTS DU SECTEUR PUBLIC DOSSIER DE PRESSE Contact presse Caroline Weill cweill@selfimage.fr 01 47 04 12 52 Audrey Peauger apeauger@selfimage.fr 01 47 04 12 53
Plus en détailGlossaire. Pour bien comprendre le vocabulaire de la banque
Glossaire Pour bien comprendre le vocabulaire de la banque A COMME... AGIOS Également appelés «intérêts débiteurs», les agios sont les intérêts dus à la banque, lorsqu un compte présente un solde débiteur
Plus en détailAnticiper les difficultés financières : l'apport du scoring comportemental
Anticiper les difficultés financières : l'apport du scoring comportemental Le développement de l'industrie du crédit, telle qu'on la connaît aujourd'hui, a notamment été rendu possible grâce au modèle
Plus en détail3. Un crédit à la consommation responsable
3. Un crédit à la consommation responsable Comité consultatif du secteur financier Rapport 2009-2010 49 Au cours de l exercice 2009-2010, le CCSF a suivi de près l évolution du texte de loi sur la réforme
Plus en détailStratégie d assurance retraite
Stratégie d assurance retraite Département de Formation INDUSTRIELLE ALLIANCE Page 1 Table des matières : Stratégie d assurance retraite Introduction et situation actuelle page 3 Fiscalité de la police
Plus en détailPROGRAMME DE LA FORMATION DE FORMATEURS SPECIALISTES EN MICROCREDIT PERSONNEL
PROGRAMME DE LA FORMATION DE FORMATEURS SPECIALISTES EN MICROCREDIT PERSONNEL Introduction (ANDML) : rappel de la convention CDCANDML encadrant la recherche-action de trois ans sur le développement du
Plus en détailLe point sur le service bancaire de base, cinq ans après son introduction
Le point sur le service bancaire de base, cinq ans après son introduction Le rapport du Service de médiation banque-crédit-placements annonce une diminution du nombre de comptes bancaires de base ouverts
Plus en détailSéparation, rupture. Séparation, rupture de la vie commune. Comment. ma? mapeut-elle. Bon à savoir
? Séparation, rupture Séparation, rupture de la vie commune? Comment ma? mapeut-elle banque m accompagner?? Bon à savoir 2 NOTES Édito Chère cliente, cher client, Nous nous connaissons peut-être depuis
Plus en détailDébat participatif. La vie chère. «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse»
Débat participatif La vie chère «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse» Ségolène ROYAL Les enjeux de notre débat : Réconcilier les Français
Plus en détail7. LA VIE DU CONTRAT, LE TRAITEMENT DES INCIDENTS ET LE SURENDETTEMENT
7. LA VIE DU CONTRAT, LE TRAITEMENT DES INCIDENTS ET LE SURENDETTEMENT 7.1. La gestion des plafonds 7.1.1. Le suivi des utilisations Les banques déclarent ne pas avoir de suivi spécifique en dehors de
Plus en détailComité national d évaluation du rsa Annexes
Comité national d évaluation du rsa Annexes Annexe 11 La mise en place du Rsa dans les caisses d allocations familiales (*) Pauline Domingo, Stéphane Donné (Cnaf) Décembre 2011 Les documents d études sont
Plus en détailLutter contre les exclusions
D 2 COHESION SOCIALE ENTRE LES POPULATIONS, LES TERRITOIRES, LES GENERATIONS Si, globalement, la population vélizienne semble peu exposée au risque d exclusion (taux d emploi élevé, revenu médian moyen,
Plus en détailPetites entreprises, votre compte au quotidien
Petites entreprises, votre compte au quotidien Créée en 1957 par les Caisses d Epargne, Finances & Pédagogie est une association qui réalise des actions de sensibilisation et de formation, sur le thème
Plus en détailSéparation, rupture de la vie commune
Séparation, rupture de la vie commune ÊTRE ACCOMPAGNÉ PAR SA BANQUE À CHAQUE ÉTAPE DE SA VIE. 2 SOMMAIRE QUELLES DÉMARCHES POUR... Que notre relation soit ancienne ou plus récente, nous nous engageons
Plus en détailCorrigé BTS Banque E32 Session 2014
Dossier 1 : Analyse d arrêt (20 points) Corrigé BTS Banque E32 Session 2014 1.1 Analysez l arrêt présenté en annexe (12 points) - Présentation de la décision.1 point Il s agit d un arrêt de la chambre
Plus en détailSEMINAIRE SOCIAL DU GIRACAL. CHARLEVILLE MEZIERES Les 15 et 16 novembre 2013
SEMINAIRE SOCIAL DU GIRACAL CHARLEVILLE MEZIERES Les 15 et 16 novembre 2013 Le service social 2 Pour qui? Les adhérents d'un contrat individuel MNSPF santé ou prévoyance : - Les Sapeurs-Pompiers inscrits
Plus en détailGuide du crédit à la consommation
Guide du crédit à la consommation Ce qu il faut savoir avant de s engager Sommaire Le crédit à la consommation, qu est-ce que c est?... page 4 Ce qu il faut savoir avant de s engager...page 12 Que faire
Plus en détailretraite PERP Pair Plan Agipi Innovant pour la Retraite Profitez des avantages d une retraite bien préparée
retraite PERP Pair Plan Agipi Innovant pour la Retraite Profitez des avantages d une retraite bien préparée Bien vivre sa retraite pour en profiter pleinement est le souhait de chacun. Pour cela, il est
Plus en détailLe regroupement de crédits, la solution? LES MINI-GUIDES BANCAIRES
Imprimé avec des encres végétales sur du papier PEFC par une imprimerie détentrice de la marque Imprim vert, label qui garantit la gestion des déchets dangereux dans les fi lières agréées. La certifi cation
Plus en détailCrédit Consommation. Ce qui change avec la réforme du 1/5/2011
Crédit Consommation Ce qui change avec la réforme du 1/5/2011 Sommaire Les points clés de la réforme Les changements Notre philosophie de la réforme Les changements Notre philosophie Le crédit : - est
Plus en détailPlateforme électorale Ecolo Elections fédérales du 13 juin 2010. Axe Emploi et Solidarité. PME - Indépendants
Plateforme électorale Ecolo Elections fédérales du 13 juin 2010 Axe Emploi et Solidarité PME - Indépendants Plateforme électorale Ecolo Elections fédérales du 13 juin 2010 PME - Indépendants Etat des lieux
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. La microfinance : un outil important de réinsertion sociale en Belgique depuis 10 ans
COMMUNIQUÉ DE PRESSE 14,7% de la population belge sous le seuil de pauvreté 1 La microfinance : un outil important de réinsertion sociale en Belgique depuis 10 ans Forte hausse des demandes de microcrédits
Plus en détailà rebondir le mini-prêt qui vous aide Paris Ile-de-France LE MICROCRÉDIT PERSONNEL, Nom et prénom du demandeur : Cachet de la structure instructrice :
Nom et prénom du demandeur : Paris Ile-de-France LE MICROCRÉDIT PERSONNEL, le mini-prêt qui vous aide à rebondir Cachet de la structure instructrice : Nom et prénom de l instructeur : Coordonnées de l
Plus en détailLE CRÉDIT A LA CONSOMMATION Au-delà des idées reçues
LE CRÉDIT A LA CONSOMMATION Au-delà des idées reçues Juillet 2013 SOMMAIRE I. L utilité du crédit à la consommation Quel est le rôle du crédit dans l économie? Le marché du crédit à la consommation. A
Plus en détailEtudiez à l étranger. Avril 2011. Le site d informations pratiques sur la banque et l argent. FBF - 18 rue La Fayette - 75009 Paris 1 cles@fbf.
Imprimé avec des encres végétales sur du papier PEFC par une imprimerie détentrice de la marque Imprim vert, label qui garantit la gestion des déchets dangereux dans les filières agréées. La certification
Plus en détailPARLONS CLAIR. Les banques en France UNE BANQUE POUR CHACUN
PARLONS CLAIR Les banques en France UNE BANQUE POUR CHACUN LES BANQUES EN FRANCE... UNE BANQUE POUR CHACUN... même pour les personnes les plus fragiles Tout le monde a besoin d avoir accès à la banque,
Plus en détailC.R.E.S.U.S. Fédération des Chambres Régionales du Surendettement Social
C.R.E.S.U.S. Fédération des Chambres Régionales du Surendettement Social Détection précoce du surendettement Preventive action on over-indebtness Jean-Louis KIEHL, Président Maxime PEKKIP, Responsable
Plus en détailBANQUE FRANÇAISE MUTUALISTE. La banque des agents du secteur public. BFM, partenaire du groupe Société Générale
BANQUE FRANÇAISE MUTUALISTE La banque des agents du secteur public BFM, partenaire du groupe Société Générale BFM, LA BANQUE Plus d un million de clients en métropole et dans les DOM 190 626 prêts BFM
Plus en détailAvenir des retraites : l Assurance retraite lance une grand campagne de communication
Avenir des retraites : l Assurance retraite lance une grand campagne de communication Alors que les concertations sur la réforme des retraites sont actuellement en cours, l Assurance retraite, premier
Plus en détailPour éviter le surendettement
Pour éviter le surendettement Lister et classer ses dépenses dépenses fixes ou préengagées Dépenses réalisées dans le cadre d un contrat difficilement renégociable à court terme. Ces dépenses doivent être
Plus en détailMON COMPTE AU QUOTIDIEN EXTRAIT DES CONDITIONS TARIFAIRES APPLICABLES AUX PARTICULIERS CONVENTION
MON COMPTE AU QUOTIDIEN EXTRAIT DES CONDITIONS TARIFAIRES APPLICABLES AUX PARTICULIERS CONVENTION Juillet 2013 LA VOLONTÉ DU CRÉDIT MUTUEL : AMÉLIORER SANS CESSE L INFORMATION TRANSMISE. et nous vous en
Plus en détailRéforme de la loi sur les crédits à la consommation. (source : Ministère de l Economie, de l Industrie et de l Emploi, mars 2010)
Réforme de la loi sur les crédits à la consommation (source : Ministère de l Economie, de l Industrie et de l Emploi, mars 2010) Introduction Le crédit est utile et nécessaire à la vie des ménages. Ce
Plus en détailGLOSSAIRE des opérations bancaires courantes
13 septembre 2005 GLOSSAIRE des opérations bancaires courantes Ce glossaire a été élaboré sous l égide du CCSF. Il est conçu à des fins purement informatives, et destiné à vous aider à comprendre les termes
Plus en détailLES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ
3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit
Plus en détailContributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles.
Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles. Un groupe de travail se réunit sous la Présidence de Pierre BURBAN au
Plus en détailBANCAIRE FRANÇAISE FÉDÉRATION BANCAIRE FRANÇAISE. Conférence sur la lutte contre la pauvreté et pour l inclusion sociale
FÉDÉRATION Conférence sur la lutte contre la pauvreté et pour l inclusion sociale BANCAIRE Contribution de la Fédération Bancaire Française au groupe de travail FRANÇAISE Inclusion bancaire et lutte contre
Plus en détailCoûts de transfert de compte bancaire
LA MOBILITE BANCAIRE La concurrence ne peut fonctionner que si la mobilité du client est assurée. Avec 2 %, le marché français semble présenter un des taux les plus faibles d attrition au niveau des marchés
Plus en détailLexique de la CIMR. Les termes les plus courants sur la retraite et leur définition
Lexique de la CIMR Les termes les plus courants sur la retraite et leur définition Plus d informations sur 0522 424 888 ou sur www.cimr.ma - www.cimrpro.ma EDITO Pour vous aider à comprendre les termes
Plus en détailDix conseils pratiques pour gérer au mieux son compte bancaire
Imprimé avec des encres végétales sur du papier PEFC par une imprimerie détentrice de la marque Imprim vert, label qui garantit la gestion des déchets dangereux dans les filières agréées. La certification
Plus en détailEmp r u n t e r po u r se dé v e l o p p e r :
Emp r u n t e r po u r se dé v e l o p p e r : u n e ut o p i e po u r le s pe t i t e s a s s o c i a t i o n s? Vous êtes dirigeant d une petite association : vous avez des besoins de financement? vous
Plus en détail[ Adie Contact : un lien avec le créateur sur la durée. [ L informatique se met à la portée des créateurs. [ Une action au coût limité
Le pôle accompagnement : L offre d accompagnement de l Adie est accessible aux créateurs pendant toute la durée de remboursement de leur prêt et à pour but de les aider à pérenniser et à développer leur
Plus en détailRECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE
RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Bonnes Pratiques ont été approuvées
Plus en détailLe Comité Consultatif du Secteur Financier. L accès aux services bancaires et au crédit: les outils du CCSF
Le Comité Consultatif du Secteur Financier L accès aux services bancaires et au crédit: les outils du CCSF Lucien Bernadine Secrétariat général du Comité consultatif du secteur financier Vendredi 21 mars
Plus en détailFocus sur les politiques publiques de l épargne en France
Focus sur les politiques publiques de l épargne en France T. Mosquera Yon Banque de France 1 En France, les pouvoirs publics ont, dès 1818, souhaité mettre en place des dispositifs visant à encourager
Plus en détailRhône Développement Initiative 1993-2013. Au service de l entrepreneuriat 20 ans et de l économie de proximité. www.rdi.asso.fr
Rhône Développement Initiative 1993-2013 Au service de l entrepreneuriat 20 ans et de l économie de proximité www.rdi.asso.fr Jean-Jacques MARTIN, Président de RDI Membre des réseaux nationaux RDI Edito
Plus en détail[LA PLUS-VALUE DES MUTUELLES DANS LE CADRE DE LA CMU] Abidjan, le 02 Février 2015. MUGEFCI - TOURE Laciné. MUTREPCI - SERY Jean-Pierre
Abidjan, le 02 Février 2015 MUGEFCI - TOURE Laciné MUTREPCI - SERY Jean-Pierre PASS - HUCHET Jean-Philippe [LA PLUS-VALUE DES MUTUELLES DANS LE CADRE DE LA CMU] 1 Des mutuelles pour participer à la réussite
Plus en détailSommaire. Vos opérations avec l étranger... 10-11. Vos opérations de change... 12-13. Les incidents de fonctionnement... 12-13
Sommaire AXA Banque se réserve la possibilité de facturer toute opération ayant généré un coût spécifique et en informera préalablement le Client. Toute mesure d ordre législatif ou règlementaire ayant
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE NOUVELLES GARANTIES PRÉVOYANCE
DOSSIER DE PRESSE NOUVELLES GARANTIES PRÉVOYANCE Protection ACCIDENT Protection HOSPI Capital ÉQUIPEMENT HANDICAP / DÉPENDANCE Contact presse : Stéphanie ARREGROS Responsable Communication Tél. : 01 64
Plus en détailB2V lance le Prix Solidarité Autonomie Seniors
DOSSIER DE PRESSE B2V lance le Prix Solidarité Autonomie Seniors Sommaire Page 2 : Le Prix B2V en quelques dates Page 3 : Un prix destiné à encourager l innovation sociale en matière d accompagnement du
Plus en détailCOMMUNIQUE DE PRESSE Saint-Denis, le 4 mars 2014
COMMUNIQUE DE PRESSE Saint-Denis, le 4 mars 2014 Aider les plus démunis à rester connectés Connexions Solidaires ouvre à Saint-Denis Grâce au soutien de la Mairie, du Centre Communal d Action Sociale (CCAS)
Plus en détailPERP LIGNAGE PLAN D ÉPARGNE RETRAITE POPULAIRE
PLAN D ÉPARGNE RETRAITE POPULAIRE PERP LIGNAGE Contrat d assurance sur la vie souscrit par le Groupement d Épargne Retraite Populaire ADRECO auprès d ORADEA VIE, compagnie d assurance vie et de capitalisation,
Plus en détailDemande de Prêt Habitat Bonifié
Demande de Prêt Habitat Bonifié Concernant l'adhérent CNG-MG NOM Prénom : : Numéro d'adhérent : PRET SOLLICITE Montant : Durée : ans Partenariat entre la CNG-MG et la Banque Française Mutualiste Page 1
Plus en détailLe Pacte de responsabilité et de solidarité
Le Pacte de responsabilité et de solidarité La France est à un moment décisif. Depuis plus de dix ans, l appareil de production s est affaibli, la compétitivité s est détériorée et le niveau de chômage
Plus en détailDELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL
REUNION DU 20 JUILLET 2012 DELIBERATION N CR-12/05.340 DELIBERATION DU CONSEIL REGIONAL SCHEMA REGIONAL DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET DE L'EMPLOI Stratégie régionale de développement de l'économie sociale
Plus en détailcontre la pauvreté et pour l inclusion sociale
PREMIER MINISTRE PLAN PLURIANNUEL contre la pauvreté et pour l inclusion sociale 3 mars 2015 SYNTHÈSE Adopté à la suite d un comité interministériel de lutte contre l exclusion en 2013, le plan pluriannuel
Plus en détailL essentiel sur. Le crédit immobilier
L essentiel sur Le crédit immobilier Emprunter pour devenir propriétaire Le crédit immobilier est, pour la plupart des ménages, le passage obligé pour financer l achat d un bien immobilier. C est un poste
Plus en détailComment emprunter. L essentiel à connaître avant de souscrire un prêt
emprunter L essentiel à connaître avant de souscrire un prêt emprunter? A savoir avant à la adapter les 2 A SAVOIR AVANT D EMPRUNTER 3 S endetter de manière raisonnable Pour éviter l excès de crédit, avant
Plus en détailRéforme du crédit à la consommation. Statut des enseignants chercheurs. Point sur les États généraux de l outre-mer
LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSÉE LE MERCREDI 22 AVRIL 2009 A L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE A DIFFUSÉ LE
Plus en détailMÉMOIRE CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE
MÉMOIRE DU CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE PRÉSENTÉ À LA COMMISSION DES AFFAIRES SOCIALES AOÛT 2009
Plus en détailLes 10 clés pour bien gérer mon compte en banque
JUIN 2015 N 30 COMPTE LES MINI-GUIDES BANCAIRES www.lesclesdelabanque.com Le site pédagogique sur la banque et l argent Les 10 clés pour bien gérer mon compte en banque Ce mini-guide vous est offert par
Plus en détailVotre épargne s épanouit dans une mutuelle qui n oublie pas d être une mutuelle, elle
Votre épargne s épanouit dans une mutu qui n oublie pas d être une mutu, Votre épargne a tout à gagner des valeurs qui nous animent, Éditorial Fondée à l origine par et pour les anciens combattants, la
Plus en détailDemande de Prêt «Aide au Logement Remboursable (ALR) - Acquisition / Construction»
Demande de Prêt «Aide au Logement Remboursable (ALR) - Acquisition / Construction» Partenariat entre la Mutuelle de l Armée de l Air et la Banque Française Mutualiste BANQUE FRANCAISE MUTUALISTE Profession
Plus en détailProtection du budget. Prévoyance
L offre CACI Forte de son expertise acquise sur son cœur de métier historique, l assurance, Caci a développé une gamme complète de produits d assurance à tination de ses partenaires et de leurs clients
Plus en détailRelations avec les banques et les assurances : faciliter le quotidien des consommateurs 1
Relations avec les banques et les assurances : faciliter le quotidien des consommateurs Déplacement de Michel Sapin, ministre des Finances et des Comptes publics et Carole Delga, secrétaire d État chargée
Plus en détailManuel de l agent de crédit Banco Solidario
Manuel de l agent de crédit Banco Solidario Extraits sur la prévention du surendettement des clients texte original en espagnol La philosophie «Vivre la solidarité» peut s appliquer à toute notre vie.
Plus en détailComment mieux gérer les relations bancaires
Guide Comment mieux gérer les relations bancaires Édito Ce document vient en complément des modules de formation dispensés par Finances & Pédagogie. Il réunit un certain nombre d'informations sur les
Plus en détailGroupe de travail «Inclusion bancaire et lutte contre le surendettement»
Groupe de travail «Inclusion bancaire et lutte contre le surendettement» Responsable du groupe de travail : François Soulage Rapporteure : Laure Becqué-Corcos conférence nationale contre la pauvreté et
Plus en détailLe microcrédit personnel accompagné
Imprimé avec des encres végétales sur du papier PEFC par une imprimerie détentrice de la marque Imprim vert, label qui garantit la gestion des déchets dangereux dans les filières agréées. La certification
Plus en détailLa banque au quotidien. En savoir plus sur les tarifs et les services bancaires
La banque au quotidien En savoir plus sur les tarifs et les services bancaires Le présent guide est exclusivement diffusé à des fins d information du public. La reproduction totale ou partielle des textes
Plus en détailSignature du partenariat banques/acteurs sociaux. Comité des banques de Franche-Comté CCAS de la Ville de Besançon
Signature du partenariat banques/acteurs sociaux Comité des banques de Franche-Comté CCAS de la Ville de Besançon Besançon mardi 18 décembre 2012 Besançon, le 18 décembre 2012 Besançon : la ville et les
Plus en détail2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion?
Chantier sur la cohésion sociale et l inclusion dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés JUIN 2013 1) Mise en contexte Dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés à Saint-Camille, 4 chantiers
Plus en détailSOLUTIONS DE LA BANQUE MANUVIE POUR DES CONTRATS D ASSURANCE PERMANENTE DONNÉS EN GARANTIE D UN PRÊT. Aide-mémoire
SOLUTIONS DE LA BANQUE MANUVIE POUR DES CONTRATS D ASSURANCE PERMANENTE DONNÉS EN GARANTIE D UN PRÊT Aide-mémoire 1 Solutions de la Banque Manuvie pour des contrats d assurance permanente donnés en garantie
Plus en détailMON COMPTE BANCAIRE. Dans ce chapitre. u Votre compte bancaire au quotidien u Choisissez vos moyens de paiement u Rencontrez votre conseiller bancaire
MON COMPTE BANCAIRE Vous démarrez dans la vie active et vous faites face à de nouveaux besoins : votre traitement vous est désormais versé chaque mois; vos dépenses et paiements sont plus nombreux et souvent
Plus en détail«Comment se faire payer par ses clients?»
«Comment se faire payer par ses clients?» Renforcer la trésorerie de son entreprise en limitant les frais financiers. Eviter les impayés grâce à des méthodes simples. 1 Vendredi 10 Octobre 2014 Comment
Plus en détailla pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment
Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier
Plus en détailAu profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics
DOSSIER DE PRESSE PARTENARIAT CCCA-BTP et PRO BTP Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics Bernard Charpenel / CCCA-BTP Signature de la convention et point presse 10 mars 2010 0 SOMMAIRE
Plus en détailLe microcrédit personnel accompagné
OCTOBRE 2013 N 36 CRÉDIT LES MINI-GUIDES BANCAIRES www.lesclesdelabanque.com Le site pédagogique sur la banque et l argent Le microcrédit personnel accompagné Ce mini-guide vous est offert par : SOMMAIRE
Plus en détailCONTRAT D ASSURANCE VIE ASSURANCE
Ligne Beta Ligne Alpha CONTRAT D ASSURANCE VIE LOI ASSURANCE MADELIN VIE Version Arborescence Retraite Essentielle Madelin 1 unité 20 X X Notice Logotype La retraite est un sujet d actualité pour bon nombre
Plus en détailPRODUITS PROPOSES. Carte Mini-Ligne Privilège : barème des taux et mensualités en fonction du montant du crédit consenti : Tranches d'encours
Conditions générales de banque de CDGP Conditions en vigueur au 1 er avril 2014 CDGP S.A. au capital de 19 019 250-18 rue de Londres 75009 PARIS - 310 416 979 R.C.S. PARIS N ORIAS 08043761 Tous les coûts
Plus en détailLa procé duré dé suréndéttémént
La procé duré dé suréndéttémént Vous commencez à avoir des difficultés à rembourser vos crédits et plus généralement vos dettes non professionnelles? Il ne faut pas attendre que votre situation soit trop
Plus en détailLe droit au compte. Nouvelle édition Février 2011. FBF - 18 rue La Fayette - 75009 Paris cles@fbf.fr
Imprimé avec des encres végétales sur du papier PEFC par une imprimerie détentrice de la marque Imprim vert, label qui garantit la gestion des déchets dangereux dans les filières agréées. La certification
Plus en détailProcédures Questionnement Réponses apportées Recommandations et avis de l IT CCAPEX
En association avec PREFET DU RHÔNE Plan Départemental d Action pour le Logement des Personnes Défavorisées du Rhône 2012 2015 Commission de coordination des actions de prévention des expulsions locatives
Plus en détailMICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL
ÉDUCATION FORMATION UDGET INSERTION ORMATION MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 EDUCATION INSERTION SOCIAL MESSAGE DE LA PRÉSIDENTE Florence RAINEIX Directrice générale de la Fédération
Plus en détailASSURANCES DE BIENS. Habitation. Loyers ) Impayés. La location en toute tranquillité. Dépliant
ASSURANCES DE BIENS Habitation ( Loyers ) Impayés La location en toute tranquillité Dépliant ETES VOUS A L ABRI? Même si vous sélectionnez avec soin votre locataire, le paiement de ses loyers peut être
Plus en détailRESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 13 mars 2012 RESULTATS ET ACTIVITE 2011 DE LA BANQUE POSTALE Bonne résistance du PNB et du RBE en 2011, solidité financière confirmée, poursuite de la dynamique de développement
Plus en détail