Collectif de travail - Descriptif
|
|
- Jean-Pascal Corbeil
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Collectif de travail - Descriptif Prévention des escarres Isabelle Amherdt / Anthony Staines 17 décembre 2015 Contexte Les établissements membres de la Fédération des hôpitaux vaudois ont retenu le thème de la sécurité des patients (gestion du risque clinique) comme un axe prioritaire de collaboration. Un portefeuille de projets a été mis sur pied sur ce thème et, après un projet concernant la prévention des événements indésirables liés aux médicaments, puis un projet d amélioration de l hygiène des mains, le thème de la prévention des escarres a été retenu comme sujet prioritaire par la Commission Sécurité des patients le 1 er juillet Le concept de «collectif de travail» Ce concept a été développé par l Institute for Healthcare Improvement de Boston, sous l appellation «Breakthrough Collaborative». Nous retiendrons le terme «collectif de travail» utilisé au Québec. Cette méthode est prévue pour l étude et la diffusion de pratiques fondées sur l évidence scientifique ou sur un consensus d experts. Un collectif rassemble des équipes de projet de différents établissements de soins, autour d une démarche structurée pour améliorer un aspect de la qualité des soins ou de la sécurité des patients. Le groupe se retrouve pour une série de rencontres, afin de découvrir les meilleures pratiques dans le domaine retenu et de permettre à chaque participant d en retenir les leçons pour son organisation. La recherche montre qu un collectif peut être une organisation apprenante temporaire, puissante et motivante, qui apporte des connaissances, des compétences et du soutien, tout en développant sa propre culture. Thèmes des interventions d'amélioration Les thèmes des interventions d'amélioration se fondent sur une revue de littérature visant à identifier les pratiques que la recherche démontre comme étant les plus efficaces pour diminuer la survenue des escarres. Pour diminuer la survenue des escarres, les thèmes suivants sont retenus : 1. Evaluation du risque d escarres 2. Amélioration des pratiques cliniques par l application systématique du bundle de prévention 3. Formation des collaborateurs 4. Responsabilisation des collaborateurs par la mesure et la restitution 5. Implication des patients et des familles 6. Culture institutionnelle de la sécurité et leadership Les interventions d'amélioration proposées seront organisées autour de ces six thèmes. Elles sont détaillées sur le diagramme des déterminants qui figure en annexe. Objectif du collectif L objectif du collectif est de réduire de 50% la survenue d escarre nosocomiale au sein des établissements participants, d'ici au 30 septembre 2018, puis maintenir ou diminuer le taux obtenu de façon pérenne. Financement L ensemble des coûts liés à l organisation et à l animation du collectif de travail sont pris en charge par le fonds "sécurité des patients" et par le budget de la Fédération des hôpitaux vaudois. Les coûts internes aux établissements sont à charge de ceux-ci. 1
2 Organisation du collectif de travail Le schéma suivant résume l ensemble de l organisation du collectif. Organisation interne aux établissements participants La Fédération des hôpitaux vaudois apporte une structure transversale et un soutien aux établissements, incluant les méthodes, la documentation, la formation et le traitement des données. Elle n'organise en revanche pas le projet à l'interne de l'établissement. Chaque hôpital participant devra prévoir une organisation de projet à l'interne, une planification, un plan de communication, une stratégie de déploiement, etc. Chaque hôpital désignera une équipe, une équipe interne et une équipe de mesure, ainsi qu'un groupe de référence interne à l hôpital (organe de pilotage). Des relais dans les services devront être identifiés. Equipe déléguée Rôle : organiser le projet dans l établissement, coordonner les différentes actions, être les répondants du projet au sein de l établissement. Les membres de l équipe déléguée participent à l ensemble des sessions de projet. Composition : un cadre de soins, un spécialiste des plaies et un soignant. Si l établissement le souhaite, il peut ajouter à cette équipe un expert (p. ex. responsable qualité, coordinateur sécurité patients). L'une de ces personnes aura la fonction de chef de projet dans l'établissement et de répondant vis-à-vis de la FHV. Cette personne a une expérience de conduite de projet, un sens de l'organisation et du leadership. Une séance d information aura lieu le 16 juin 2016 à l intention des équipes déléguées. Equipe interne L équipe déléguée est appuyée par des spécialistes concernés par la problématique des escarres. Rôle : tester, puis organiser la diffusion des pratiques, mesurer les indicateurs de processus (tels que audit de mise en œuvre des interventions d amélioration et implication des patients). Composition : tous les membres de l équipe déléguée plus un médecin, un physiothérapeute, un diététicien, un assistant en soins et santé communautaire ou un aide-soignant, ainsi que toute fonction jugée utile (responsable sécurité patients, chargé de communication, clinicien, etc.) Ces personnes seront amenées à tester les interventions d amélioration dans une unité de soins, puis à les diffuser dans l ensemble de l organisation. Elles organisent également la concertation avec l'équipe de mesure et se chargent de la diffusion des résultats et de l'accompagnement des unités après réception de leurs résultats. Dès lors, il est important qu il s agisse de personnes reconnues par 2
3 leurs pairs, connaissant bien le fonctionnement de l établissement et ayant une influence facilitant la diffusion du changement. Il est également recommandé de choisir des personnes qui pourront participer durant l ensemble de la durée du collectif, puis participer à la pérennisation des améliorations dans l établissement. Equipe de mesure Rôle : collecter les indicateurs cliniques (auprès du patient et/ou auprès du dossier du patient) : suivi de l évaluation du risque, suivi de la survenue des escarres, suivi de l application des bonnes pratiques de prévention. Composition : au minimum une infirmière clinicienne et une infirmière expérimentée. Un membre de l'équipe agit comme coordinateur. Il se charge d'organiser le planning de travail et supervise la collecte et la saisie des données. Formation : une journée de formation pour les membres des équipes de mesure (automne 2016), deux rencontres de suivi, puis appui et concertations téléphoniques (ou vidéo-conférence). Il n est pas attendu de la part de cette équipe de participer aux sessions de projet. Groupe de référence Rôle : soutenir l équipe déléguée, faciliter la diffusion, lever les obstacles, faciliter l accès aux ressources nécessaires. Composition : Il est suggéré de confier cette mission à un comité "qualité" ou "sécurité des patients" existant, en veillant à ce qu'il inclue un membre de la direction générale, un médecin-chef, un cadre de soins, un cadre du service logistique, le responsable qualité et le coordinateur «sécurité des patients». Ce groupe fera un point de situation sur le projet au minimum 4 fois par an. Travail préparatoire Il sera demandé à chaque équipe de réaliser un travail préparatoire avant la première session du projet. L équipe recevra une documentation dont elle prendra connaissance et elle réalisera un bilan initial des pratiques et des résultats de son établissement sur chacun des thèmes du collectif. Alternance de sessions de projet et de périodes d action Le collectif sera ouvert par une session de trois jours. Au cours de cette session, l ensemble des interventions d amélioration seront présentées par des professionnels et des experts des domaines concernés. Le système de mesure sera également développé, ainsi que le modèle d amélioration. Le thème de la diffusion du changement fera aussi partie de cette session. Après cela, le collectif alternera des périodes d action (mise en œuvre des interventions d amélioration) et des sessions de projets trimestrielles d une journée. Durant les périodes d action, les équipes déléguées bénéficieront de conférences téléphoniques ou de webinars. Un rapport mensuel d avancement sera demandé à chaque équipe, incluant les indicateurs collectés. Calendrier Temps Mi-décembre 2015 Janvier-février 2016 Actions Invitation aux établissements. Présentation du concept au sein des organes FHV. 29 février 2016 Confirmation de participation des établissements. Mars 2016 Constitution des groupes de références et des équipes déléguées au sein des établissements (équipes de mesure constituées 2-3 mois après) et confirmation des noms à la FHV 16 juin 2016 Séance d information pour les équipes déléguées Juin août 2016 Travail préparatoire au collectif octobre 2016 Session d ouverture du collectif (3 jours). Octobre-décembre 2016 Préparatifs des interventions d'amélioration, formation des équipes de mesure et essais de mesure (unités pilotes). 3
4 Janvier-mars mois suivants ( ) Pérennisation Mesure de baseline. Alternance de sessions de projets (trimestrielles) et de périodes de mise en œuvre (test, mesure, ajustement, diffusion). Les établissements s organisent dès l origine pour que les améliorations acquises durant la période du collectif puissent être maintenues et développées après son échéance. Pérennisation A l'issue du collectif, une mesure de la survenue des escarres, du dépistage du risque et de la mise en œuvre des actions de prévention, avec retour aux équipes, sera poursuivie par l'établissement de manière moins fréquente. Engagements La recherche montre de façon très claire qu il ne suffit pas de présenter une proposition d amélioration ou de donner le titre «collectif de travail» pour que l amélioration se produise. La clé du succès réside dans la qualité du processus de mise en œuvre, au sein de chaque établissement, des changements de pratiques recommandés par la littérature. Ceci implique des engagements de la part de chaque hôpital participant au collectif : Un soutien de la direction générale au projet et un suivi par celle-ci des indicateurs de progrès. La désignation d un membre de la direction générale pour participer au groupe de référence interne (pilotage interne du projet) et pour la liaison avec l équipe déléguée. La désignation d une équipe de personnes (équipe déléguée) qui participera régulièrement aux séances du collectif et se chargera de la diffusion des bonnes pratiques dans l établissement. Cette équipe inclut au moins trois personnes, dont un cadre de soins et un spécialiste des plaies. Chaque membre de l'équipe bénéficie d'un taux d'activité dédié au projet (pour un hôpital de zone de taille moyenne, 0.3 EPT pour le chef de projet et un total de 0.3 EPT pour les autres membres). La désignation d une équipe interne, composée des membres de l équipe déléguée ainsi que d un médecin, d un physiothérapeute, d un diététicien et d un assistant en soins et santé communautaire ou d un aide-soignant, qui se chargera de la mise en œuvre dans l établissement (pour un hôpital de zone de taille moyenne, le temps dédié par les autres membres de l équipe interne est estimé à un total de 0.1 EPT). La désignation d'une équipe de mesure, composée au minimum d une infirmière clinicienne et d une infirmière expérimentée, chargée de collecter les indicateurs cliniques, disponible pour consacrer 2,5 heures-homme par mois et par unité de soins à cette activité (à ajuster selon le degré d automatisation de la collecte des données), de novembre 2016 à fin septembre L'établissement s'engage à allouer ces ressources (équipe déléguée, équipe interne et équipe de mesure), ainsi qu un budget d environ 15% du budget en personnel pour les dépenses diverses. L'intégration au collectif de toutes les unités de soins aigus, de réadaptation, de soins palliatifs et d hébergement médico-social. Un accord pour collecter et partager les indicateurs (mesures relatives aux processus et résultats) au sein du collectif. Un engagement à respecter la confidentialité de ces données à l égard de l externe ainsi que de l utilisation des résultats. La mise en œuvre des interventions d amélioration pertinentes pour la mission et le contexte spécifique de l établissement. Une dédite financière à payer au collectif en cas de départ prématuré du collectif ou d'incapacité à tenir les engagements ci-dessus. Il est à souligner qu'à l'interne de l'établissement, le projet sera à présenter comme un projet institutionnel, s'appuyant sur un collectif FHV, et non comme un projet animé exclusivement par des spécialistes de la prévention des escarres. Ces derniers sont sollicités comme experts, conseillers, formateurs, en appui d'un projet institutionnel. L'établissement s'engage à respecter cet esprit du projet. 4
5 Collectif Prévention des escarres But Déterminants de 1 er niveau Déterminants de 2 e niveau Réduire de 50% la survenue d escarres nosocomiales Evaluation du risque d escarres Amélioration des pratiques cliniques par l application systématique du bundle de prévention Formation des collaborateurs Responsabilisation des collaborateurs par la mesure et la restitution Implication des patients et des familles Culture et leadership - Identifier les facteurs de risque et évaluer le risque d escarre de tout patient admis - Evaluer la peau de tout patient admis - Réévaluer le risque - Tracer les patients à risque - Appliquer systématiquement le bundle de prévention : o S assurer que le patient dispose de la bonne surface o Inspecter régulièrement la peau o Mobiliser et repositionner régulièrement le patient, décharger les points de pression o Gérer l humidité o Optimiser la nutrition et l hydratation - Favoriser la mobilisation hors du lit (politique anti-alitement) - Développer la collaboration interdisciplinaire - Mettre en place un concept de formation comprenant la mise à niveau des connaissances des collaborateurs (infirmière, ASSC, aides, personnel de salle d opération, physiothérapeute, etc.) - Formation systématique des nouveaux collaborateurs - Suivre la survenue d escarres nosocomiales - Restituer les indicateurs aux collaborateurs - Animer un processus d'amélioration continue au sein des équipes - Informer et former les patients et les familles sur les actions de prévention dont les patients doivent bénéficier et sur leur contribution possible - Sensibiliser la direction et les cadres cliniques à leur rôle de leadership pour la prévention des escarres - Mettre en place un plan d'action de marketing social
6 Collectif Prévention des escarres Déterminants de 2 e niveau Actions conduisant aux résultats - Identifier les facteurs de risque et évaluer le risque d escarre de tout patient admis - Evaluer la peau de tout patient admis - Réévaluer le risque - Tracer les patients à risque - Appliquer systématiquement le bundle de prévention : o S assurer que le patient dispose de la bonne surface o Inspecter régulièrement la peau o Mobiliser et repositionner régulièrement le patient, décharger les points de pression o Gérer l humidité o Optimiser la nutrition et l hydratation - Favoriser la mobilisation hors du lit (politique anti-alitement) - Développer la collaboration interdisciplinaire - Mettre en place un concept de formation comprenant la mise à niveau des connaissances des collaborateurs (infirmière, ASSC, aides, personnel de salle d opération, physiothérapeute, etc.) - Formation systématique des nouveaux collaborateurs - Suivre la survenue d escarres nosocomiales - Restituer les indicateurs aux collaborateurs - Animer un processus d'amélioration continue au sein des équipes - Informer et former les patients et les familles sur les actions de prévention dont les patients doivent bénéficier et sur leur contribution possible - Sensibiliser la direction et les cadres cliniques à leur rôle de leadership pour la prévention des escarres - Mettre en place un plan d'action de marketing social - Evaluer le risque d escarre à l aide du jugement clinique et de l évaluation de la peau dans les 6 heures suivant l admission - Evaluer le risque d escarre à l aide de l échelle de Braden dans les 24 heures suivant l admission - Réévaluer quotidiennement le risque pour les patients à risque - Documenter le risque - S assurer que les surfaces minimisant le risque et le matériel de repositionnement soient disponibles, prévoir un algorithme de choix des surfaces / matériel - Inspecter régulièrement la peau pour détecter toute altération - Encourager les patients à se mobiliser, repositionner toutes les deux heures les patients alités, toutes les heures les patients en fauteuil roulant, mettre en place des rappels - Mettre en place des tournées régulières pour s assurer que le patient soit propre et sec, utiliser des produits de soins adaptés - Mettre en place des consultations diététiques pour les patients à risque - Mettre en place des actions de mobilisation précoce et une politique alternative à l alitement - Coordonner les interventions des différentes professions pour la mise en place du bundle - Proposer des formations continues, des formations ciblées, des formations pour les nouveaux collaborateurs, des ateliers - Suivre la participation aux formations - Mettre à disposition un module en e-learning - Suivre des indicateurs d outcome, suivre des indicateurs de processus - Organiser la communication des résultats aux collaborateurs - Animer un processus d'amélioration continue au sein des équipes au moyen du cycle PDCA (plan/do/check/act), prévoir des professionnels relais dans les équipes - Réaliser une analyse systémique de toute escarre de degré 2 à 4 - Impliquer les patients et les familles à la mobilisation, mettre en place des fiches informatives, des rappels - Former les collaborateurs à l implication des patients et des familles - Proposer des conseils sur la manière de mettre en œuvre le leadership - Développer un programme structuré de visites de cadres dans les unités, avec dialogue sur le thème de la prévention des escarres - Mettre en place des tableaux de bord de suivi des indicateurs - Proposer et mettre en œuvre un plan d'action de marketing social
Le processus d inspection professionnelle du CSSS du Sud de Lanaudière: Une expérience enrichissante
Le processus d inspection professionnelle du CSSS du Sud de Lanaudière: Une expérience enrichissante Marilou Dionne, inf. M.Sc. Conseillère clinicienne en soins infirmiers Manon Allard, inf. M.Sc. Coordonnatrice
Plus en détailTRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO
TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000
Plus en détailCompte Qualité. Maquette V1 commentée
Compte Qualité Maquette V1 commentée Élaborée suite à l expérimentation conduite par la Haute Autorité de santé au second semestre 2013 auprès de 60 établissements testeurs. Direction de l Amélioration
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détailOFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS
OFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS Filière : APS et Bachelor en soins infirmier Nom de l institution : CHUV Nom de l
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détail1. ANTÉCÉDENTS ET JUSTIFICATION
REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION DES ARCHIVES INFORMATION DOCUMENTATION ET RELATIONS PUBLIQUES TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN ASSISTANT TECHNIQUE
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailProgramme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients
Programme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients Dr Isabelle Hagon- Traub Mme Léonie Chinet Direc:on Programme cantonal Diabète Maladies chroniques: préoccupations partagées
Plus en détailPlan thérapeutique infirmier et stratégies pédagogiques
Plan thérapeutique infirmier et stratégies pédagogiques Jacinthe Savard, inf. M. Sc. Andrée-Anne Picard, inf. B. Sc. AEESICQ St-Jean-sur-Richelieu 2009 Plan de présentation Activités d apprentissage et
Plus en détailDomaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé
Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailRAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE
22.05.08 RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE Le Conseil d administration de la Société Générale a pris connaissance du rapport ci-joint du Comité spécial qu il a constitué le 30
Plus en détailÉtat de la situation: dépenses en médicaments au Québec, comparaison canadienne et internationale
Journée d étude - Contrôle du coût des médicaments : cible prioritaire pour les finances publiques Union des consommateurs, 21 octobre 2010. État de la situation: dépenses en médicaments au Québec, comparaison
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS
TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS 1. INFORMATIONS GÉNÉRALES... 1 1.1. Pays bénéficiaire... 1 1.2. Autorité contractante... 1 2. CONTEXTE...
Plus en détailUne formation continue du Luxembourg Lifelong Learning Center / www.lllc.lu CERTIFICAT
Une formation continue du Luxembrg Lifelong Learning Center / www.lllc.lu CERTIFICAT EN CONTRÔLE INTERNE certified internal control specialist (CICS) AVRIL 2014 Inscrivez-vs en ligne / www.lllc.lu Certificat
Plus en détailCependant, les étapes de préparation des budgets et leur analyse sont maintenues et continueront à être réalisées par le niveau régional.
Annexe 4 : Règles de financement des structures de gestion en charge des programmes de dépistage organisé des cancers du sein et du colorectal pour l année 2007 A partir des remontées des budgets 2006,
Plus en détailAVIS DE SOLLICITATION DE MANIFESTATION D INTERET AUPRES DE CONSULTANT INDIVIDUEL
REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE DE SFAX FACULTE DES LETTRES ET SCIENCES HUMAINES CENTRE DE DOCUMENTATION NUMERIQUE ET DE FORMATION
Plus en détailPrésentation générale du Programme
Contexte Le Propias fait suite à Plan stratégique national 2009-2013 de prévention des infections associées aux soins Programme national de prévention des infections nosocomiales 2009-2013 (Propin) Programme
Plus en détailGDR des CPE sous la direction de Nathalie Szoc LIVRET DE FORMATION ET DE COMPETENCE CPE
GDR des CPE sous la direction de Nathalie Szoc LIVRET DE FORMATION ET DE COMPETENCE CPE Compétences communes à tous les professeurs et personnels d éducation Référentiel des compétences professionnelles
Plus en détailDanielle D Amour, inf. Ph.D. IUFRS 24 février 2011
+ Miser sur le renouvellement de l organisation des services infirmiers pour améliorer la qualité et la sécurité des soins Danielle D Amour, inf. Ph.D. IUFRS 24 février 2011 + Membres de l équipe Carl-Ardy
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailBanque européenne d investissement. Charte de l Audit interne
Charte de l Audit interne Juin 2013 Juin 2013 page 1 / 6 Juin 2013 page 2 / 6 1. Politique L Audit interne est une fonction essentielle dans la gestion de la Banque. Il aide la Banque en produisant des
Plus en détailN o d organisme. Rendement actuel Cible Justification de la cible
Plan qualité 2015-2016 pour Soins continus Bruyère Objectifs et initiatives d amélioration BUT Mesure Changement Initiatives prévues Dimension de la qualité Objectif Mesure/indicateur Unité/population
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailUEMS - OB/GYN SECTION LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1.
UEMS - OB/GYN SECTION Board et Collège Européen de Gynécologie et d' Obstétrique ( EBCOG) LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1. ADOPTEES
Plus en détailSONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES
Page 1 of 10 SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES Le Groupe de travail canadien sur la malnutrition (GTCM) a mené une étude à l échelle nationale de 2010 à 2013 afin de déterminer la prévalence de la malnutrition
Plus en détailExternalisation partielle de la chaîne logistique de Lyon Tourisme & Congrès. Cahier des charges
Externalisation partielle de la chaîne logistique de Lyon Tourisme & Congrès Cahier des charges Version du 24/03/2014 Introduction Ce cahier des charges est un document qui décrit la demande de Lyon Tourisme
Plus en détailCONSEIL DES MINISTRES
CONSEIL DES MINISTRES LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSEE LE MERCREDI 1 ER AVRIL 2015 À L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA
Plus en détailMaisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailPLAN D ACTION DE L AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LANAUDIÈRE À L ÉGARD DE L INTÉGRATION DES PERSONNES HANDICAPÉES
PLAN D ACTION DE L AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LANAUDIÈRE À L ÉGARD DE L INTÉGRATION DES PERSONNES HANDICAPÉES Mise à jour au 28 février 2013 Véronique Bibeau, Conseillère en gestion
Plus en détailGestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional
Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut
Plus en détailListe de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale
Équipes de santé familiale Améliorer les soins de santé familiale Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale Juillet 2009 Version 2.0 Table des matières Introduction...3
Plus en détailDE QUALITE GESTION DES RISQUES DEVELOPPEMENT DURABLE
PROJET DE QUALITE / GESTION DES RISQUES / DEVELOPPEMENT DURABLE
Plus en détailSection narrative du plan d'amélioration de la qualité (PAQ) pour les organismes de soins de santé de l'ontario
Section narrative du plan d'amélioration de la qualité (PAQ) pour les organismes de soins de santé de l'ontario Centre d accès aux soins communautaires du Nord-Est Approuvé par le conseil d administration
Plus en détailRéseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP
Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailFormat de rapport pour la notation finale (REF. 4)
Processus 1 : Rassembler les parties prenantes autour d'un même espace Donner une note à chaque étape : 0 (ne s'applique pas), 1 (lancé), 2 (en cours), 3 (presque terminé), 4 (terminé) ÉTAPE 1. Choisir
Plus en détailObjet : Proposition de partenariat avec le Fastt
Objet : Proposition de partenariat avec le Fastt Madame, Monsieur, Le Fastt (www.fastt.org), est une association (Loi 1901) paritaire, créée en 1992 par les partenaires sociaux de la branche professionnelle
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION
Plus en détailDPS 14 septembre 06. Bilan de l avancée de la démarche à 6 mois AIPST Caen
DPS 14 septembre 06 Bilan de l avancée de la démarche à 6 mois AIPST Caen Composition du comité de pilotage, constitué en Janvier 2006 Composition du comité de pilotage de l AIPST / Groupe régional - 2
Plus en détail3 e symposium international
3 e symposium international de l Association internationale des Acheteurs et Approvisionneurs publics et privés de la Santé Bruxelles, les 18 et 19 octobre 2012 Les Achats: Du support à la coordination
Plus en détailLUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT
LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT Prix À «Mobilisons-nous L ÉCOLE : L AFFAIRE contre DE le TOUS! harcèlement» 2ème édition 2014/2015 Préambule Dans le cadre de la politique conduite pour diminuer le harcèlement
Plus en détailMinistère des sports. Le ministre des sports
Ministère des sports Direction des sports Mission sport et développement durable Personnes chargées du dossier : Arnaud JEAN Tél. : 01 40 45 96 74 Mel: arnaud.jean@jeunesse-sports.gouv.fr Fabienne COBLENCE
Plus en détailGESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ
GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ PLAN Préambule Historique de la démarche Cartographie Organigramme Situation actuelle Constat Préambule OVE comprend : Un secteur social Un secteur médico-social
Plus en détailLe point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale
Spécialistes en santé publique? Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Le CHUV est l employeur de 10 000 personnes Budget 1,4 milliard de frs 2 1 des 5 Hôpitaux
Plus en détailprocessus cliniques et administratifs en santé
Centre de santé et de services sociaux Du Nord de Lanaudière Les principes de la pensée LEAN appliqués s aux processus cliniques et administratifs en santé Marcelle Lajoie Directrice des programmes multiclientèles
Plus en détailSécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III
Sécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III Depuis 2008, l Etablissement assure la mise en place du plateau collaboratif d échange Intranet/Internet
Plus en détailRésidence MBV Les FIGUERES -Capendu-
Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement
Plus en détailQui sont les infirmières et infirmiers cliniciens spécialisés?
Série de Webinaires de l AIIC : Progrès de la pratique Qui sont les infirmières et infirmiers cliniciens spécialisés? Donna Cousineau Infirmière en pratique avancée Hôpital Carleton Queensway Le 12 décembre
Plus en détailVos assurances à la retraite
Printemps 2011 Vos assurances à la retraite Un portrait Une présentation de Pierre Laplante Responsable du dossier des assurances Fédération des Retraités de l Université du Québec Vous avez moins de 65
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un consultant en communication
Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication A. Contexte La Conférence des Ministres de l Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) est une organisation
Plus en détail«WHEN ALL IS SAID AND DONE, MUCH MORE HAS BEEN SAID THAN DONE»
IMPLANTATION D UN MODÈLE DE PRATIQUE PROFESSIONNELLE : UN PROJET INTÉGRÉ D ORGANISATION DU TRAVAIL 27 e colloque Jean-Yves Rivard Climat de travail : gage de qualité et de performance Esther Leclerc, inf.,
Plus en détailL HERBIER PRODUCTION Le Roc Blanc 4 Route d Epieds 27130 MEREY Tél : 02.32.07.00.27 contact@lherbier-production.fr www.yannjamet.
FICHE TECHNIQUE DUREE DU SPECTACLE : 1H15 (SANS ENTRACTE) 1 FICHE TECHNIQUE DE YANN JAMET INFORMATIONS Cette fiche technique a été réalisée par la production pour garantir l organisation et la qualité
Plus en détailConvention. Entre. ci-après désignée «Bureau de Business France en Pologne» d une part,
Convention Entre Business France établissement public industriel et commercial, immatriculé au Registre du commerce et des sociétés de Paris sous le numéro 451 930 051, dont le siège social est sis 77
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. Offre de santé : Le groupe Malakoff Médéric et le régime minier de Sécurité sociale signent un accord de partenariat
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 28 janvier 2009 Offre de santé : Le groupe Malakoff Médéric et le régime minier de Sécurité sociale signent un accord de partenariat Le groupe Malakoff Médéric et la Caisse
Plus en détail1.2 Convocation des administrateurs Conformément à l article 17 des statuts, les administrateurs ont été convoqués par courrier.
Société Anonyme au capital de 36 659 280 Siège social : 20, rue de l'arc de Triomphe - 75017 PARIS 378 557 474 RCS PARIS RAPPORT DU PRESIDENT DIRECTEUR GENERAL ETABLI EN APPLICATION DU DERNIER ALINEA DE
Plus en détailPortfolio des services du ROHSCO Mot de la direction C est avec un immense plaisir que nous vous remettons ce portfolio; fidèle portrait des services du ROHSCO. Au fil des années le Regroupement s est
Plus en détailElaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015
Ville de Grenoble STRATÉGIE PATRIMONIALE DE MISE EN ACCESSIBILITÉ DES ERP Elaboration des Ad AP COTITA 27 janvier 2015 Ville de Grenoble COTITA 30-01-15-1 Contexte La Ville de Grenoble : 300 équipements
Plus en détailGUIDE SUIVI EVALUATION RIDER SUODE
GUIDE SUIVI EVALUATION RIDER SUODE Ce document, réalisé dans le cadre du GT5 «suivi / évaluation», est un guide pour les experts du Comité Scientifique. Les critères et indicateurs choisis dans ce document
Plus en détailles télésoins à domicile
Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans
Plus en détailLivre blanc. CRM: Quels sont les bénéfices pour votre entreprise?
Livre blanc CRM: Quels sont les bénéfices pour votre entreprise? Longtemps considéré comme un outil de luxe exclusivement réservé aux grands groupes, le CRM a su démontrer au fil du temps, que son efficacité
Plus en détailMANUEL DE MANAGEMENT QUALITE
MANUEL DE MANAGEMENT QUALITE Z.I. Saint Lambert des Levées - 49412 SAUMUR Cedex - France Tél. (+33) 02 41 40 41 40 - Fax. (+33) 02 41 40 41 49 www.castel.fr SOMMAIRE TITRE SECTION TABLE DES MATIERES Domaine
Plus en détailOttawa Montréal Québec Halifax. Besoin de protection? Votre solution idéale. Fière partenaire de
Ottawa Montréal Québec Halifax Besoin de protection? Votre solution idéale Fière partenaire de La solution idéale en matière d assurance maladie Aucune preuve d assurabilité n est exigée! Votre vie prend
Plus en détailCONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI
CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses
Plus en détailACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA
1 APPEL D OFFRES ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA JUILLET 2013 2 1. OBJET DE L APPEL D OFFRE Réalisation d un accompagnement
Plus en détailH A C C P. Hazard Analysis, Critical Control Point. Analyse des dangers, maîtrise des points critiques. Programme de formations.
H A C C P Hazard Analysis, Critical Control Point Analyse des dangers, maîtrise des points critiques Objectifs : L'HACCP est une norme de mise en œuvre destinée à évaluer les dangers, et, mettre en place
Plus en détailSociété anonyme au capital de 10 130 830,84 euros Siège social : 8, rue de la Ville l Evêque 75008 Paris 342 376 332 R.C.S. PARIS
Société anonyme au capital de 10 130 830,84 euros Siège social : 8, rue de la Ville l Evêque 75008 Paris 342 376 332 R.C.S. PARIS Rapport du Président du conseil d administration sur les conditions de
Plus en détailDéploiement national de la carte d achat au CNRS
Déploiement national de la carte d achat au CNRS Délégations pilotes 18 septembre 2007 Délégation Paris B Qu est-ce que la Carte d achat? La carte d achat est un moyen de paiement confié à certains agents
Plus en détailpolitique de la France en matière de cybersécurité
dossier de presse politique de la France en matière de cybersécurité 20 février 2014 Contact presse +33 (0)1 71 75 84 04 communication@ssi.gouv.fr www.ssi.gouv.fr Sommaire L ANSSI L ANSSI en chiffres Le
Plus en détailCharte des Maîtres de Stage des Universités (MSU), en médecine générale
1 Charte des Maîtres de Stage des Universités (MSU), en médecine générale Préambule L objectif du stage de deuxième cycle en médecine générale est d appréhender les grands principes et les spécificités
Plus en détailFICHE PROJET. Déploiement d'un dispositif technologique innovant auprès de personnes avec autisme
FICHE PROJET Déploiement d'un dispositif technologique innovant auprès de personnes avec autisme Contexte Général Les professionnels formés aux méthodes éducatives sont trop peu nombreux en France alors
Plus en détail3152 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées
3152 Infirmiers autorisés/infirmières autorisées Ce groupe de base comprend les infirmiers autorisés, les infirmiers praticiens, les infirmiers psychiatriques autorisés et les finissants d'un programme
Plus en détailLa formation comme levier de changement des pratiques
Place des pharmaciens d officine au sein du réseau Onco 94 Ouest La formation comme levier de changement des pratiques 2 ème congrès des Réseaux de cancérologie Rouen Atelier : place de la formation 3
Plus en détailI. - LES FAITS NÉCESSITANT LA MISE EN ŒUVRE DE LA PROCÉDURE SPÉCIFIQUE D URGENCE A.
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DU TRAVAIL ET DE LA SOLIDARITÉ Délégation générale à l emploi et à la formation professionnelle Sous-direction des formations en alternance et de l insertion des jeunes
Plus en détailLa Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique
+ La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique 15 ème Conférence des Fédérations Hospitalières des Antilles et de la Guyane Y. MARIE-SAINTE Directeur 28/04/2011 V1.0 + #
Plus en détailPlan stratégique 2015-2017. Horizon 2017
Service des bibliothèques et archives Plan stratégique 2015-2017 Horizon 2017 Mise en contexte L environnement dans lequel évoluent les bibliothèques universitaires est en mutation depuis plusieurs années.
Plus en détailBilan de la démarche. de certification V 2010. Haute-Normandie
Bilan de la démarche de certification V 2010 Haute-Normandie Juin 2013 La certification V 2010 en Haute Normandie Bilan au 1 er juin 2013 Etat d avancement de la démarche Au 1 er juin 2013, 69 établissements
Plus en détailNouvelles échelles salariales Incluant le PIB
Nouvelles échelles salariales Incluant le PIB Convention collective Mars 2011 Mars 2015 Note : Ce document regroupe les échelles salariales applicables aux différents titres d emploi représentés à la FIQ.
Plus en détailGESTION PARTICIPATIVE: DES GAINS GARANTIS POUR TOUS!
GESTION PARTICIPATIVE: DES GAINS GARANTIS POUR TOUS! XIXe Colloque des CII-CIR Sophie Baillargeon, Adjointe à la DSI et Présidente du CII Anaïck Briand, Chargée de projet TSAC/TCAB 8 mai 2014 PLAN Projet
Plus en détailCertification des Etablissements de Santé en France
Certification des Etablissements de Santé en France Pouvait-on faire sans elle en France? Peut-elle faire mieux? Les enjeux et les perspectives de la procédure 2014 Plan de l intervention 1. Partie 1 :
Plus en détailCOLLOQUE ARY BORDES. Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant. Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011
COLLOQUE ARY BORDES Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011 Faculté des sciences infirmières Faculté des sciences infirmières
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC
METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente
Plus en détailC.R.I.T.E.R. Centre de Ressources et d Ingénierie du Tourisme en Espace Rural
Centre de Ressources et d Ingénierie du Tourisme en Espace Rural C.R.I.T.E.R. Languedoc-Roussillon (Siège social) Parc d Activités Le Millénaire Bruyère 2000 - Bat 1-650, rue Henri Becquerel 34000 MONTPELLIER
Plus en détailUnité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012
Visite de pré-sélection Visite de Mise en place Murielle COURREGES-VIAUD, ARC Laurence GUERY, ARC responsable Assurance Qualité Véronique JOUIS, Coordinatrice des ARCs Responsable Logistique Unité de Recherche
Plus en détailProposition d un MODÈLE D ORGANISATION DE SERVICES
Proposition d un MODÈLE D ORGANISATION DE SERVICES JUIN 2007 Nous tenons à remercier Madame Suzanne Nicolas, consultante en santé primaire et gestion, pour la consultation qu elle a effectué et le rapport
Plus en détailModèle de curriculum vitae thématique. Pierre Dupont 3700 rue Berri Montréal (Québec)
Modèle de curriculum vitae thématique Pierre Dupont 3700 rue Berri Montréal (Québec) Résidence : 514) 873-0000 Bureau : (514) 873-1111 Télécopieur : (514) 873-9304 Courriel : pdupont@pdup.com Cadre infirmier
Plus en détailLE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1
LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»
Plus en détailMESURE DE L ÉNERGIE ET DES FLUIDES
MESURE DE L ÉNERGIE ET DES FLUIDES MESURER EN CONTINU TOUTES VOS CONSOMMATIONS D ÉNERGIE ET DE FLUIDES POUR PERMETTRE UNE OPTIMISATION DE VOS PERFORMANCES ENVIRONNEMENTALES Instrumenter vos immeubles à
Plus en détailL approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé
Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailRevalorisation de la pratique et rehaussement de la compétence en soins de longue durée
Revalorisation de la pratique et rehaussement de la compétence en soins de longue durée Marie-Josée Béliveau, inf. Gaétane Boucher, inf. B. Sc. Monique Bourque, inf. M.A. Carole Brousseau, inf. B. Sc.
Plus en détailPOUR DIFFUSION AUX AGENTS. CONSEILLER EN HYGIENE ET PROPRETE (h/f) B- TECHNICIEN TERRITORIAL C- AGENT DE MAITRISE C- ADJOINT TECHNIQUE BOBIGNY
MESDAMES ET MESSIEURS LES DIRECTEURS ET CHEFS DE SERVICE PPRS/DGP/ERH4/CP/FG/DEJ/N 13-21( 1 bis) Equipe RH 4 01 43 93 89 45 POUR DIFFUSION AUX AGENTS POSTE A POURVOIR : DIRECTION ET SERVICE : CATEGORIE
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailRéférent et management
Référent et management Manager pour une efficacité de prévention Rôle, mission du référent et relais avec l encadrement Comment fédérer tous les acteurs de soins Référent et management Manager pour une
Plus en détailTableaux de bord de gestion du risque Rapport d audit permanent
www.coopami.org Tableaux de bord de gestion du risque Rapport d audit permanent TUNIS 17 décembre 2013 Michel Vigneul Conseiller Actuaire La bonne gestion financière d un système d assurance de soins de
Plus en détailétude de fonctions rémunérations Industrie du médicament
2011 2012 étude de fonctions rémunérations Industrie du médicament & sommaire 3 Editorial Depuis plus d une décennie que Michael Page France intervient sur le marché pharmaceutique, il était grand temps
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détail