Techniques bancaires 2015/ e édition. > L environnement bancaire > Produits d épargne > Marchés financiers > Fiscalité > Crédits
|
|
- Achille Pageau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Philippe Monnier Sandrine Mahier-Lefrançois Techniques bancaires 2015/2016 > L environnement bancaire > Produits d épargne > Marchés financiers > Fiscalité > Crédits 6 e édition
2 Compléments en ligne Comment utiliser les compléments en ligne de ce livre? 1. Téléchargez un lecteur de QR code gratuit et photographiez le QR Code avec votre mobile 2. Ou allez directement sur 3. Téléchargez mises à jour et contenus complémentaires Dunod, rue Laromiguière, Paris ISBN
3 L ENVIRONNEMENT BANCAIRE 1 L organisation du système bancaire 2 1 Les différentes catégories d établissements 2 2 La réglementation bancaire 4 3 Les fichiers de la Banque de France 7 2 La mercatique bancaire 10 1 L évolution de la mercatique bancaire 10 2 Les défis de la mercatique bancaire 11 3 La clé de voûte de la mercatique bancaire : l activité de conseil 13 4 La mise en œuvre d une politique mercatique 13 5 Un zoom sur le plan de marchéage (marketing mix en anglais) 13 6 Les limites de la mercatique bancaire 14 Applications 15 iii 3 La segmentation des clientèles 16 1 Critères usuels de segmentation 16 Application 17 4 La connaissance du client bancaire 19 1 Les comportements du client particulier 19 2 Les grandes tendances de comportement du client bancaire 20 Applications 21
4 5 Le cycle de vie du client 24 1 La notion de cycle de vie en mercatique 24 2 La notion de cycle de vie en mercatique bancaire 24 Application 25 6 L analyse externe de l agence 27 1 Les objectifs de l analyse externe 27 2 L étude de marché 27 3 Zoom sur la zone de chalandise 28 Application 29 iv 7 L analyse interne de l agence 30 1 L étude de la clientèle de l agence 30 2 L étude du portefeuille de l agence 30 3 L analyse du tableau de bord de l agence 31 4 L organisation de l agence et ses moyens 31 5 L étude des forces et des faiblesses de l agence 31 Application 32 8 La rentabilité de l agence et du portefeuille 35 1 Présentation de l activité d une banque 35 2 Le produit net bancaire 36 3 Le coefficient d exploitation 37 4 D autres indicateurs de rentabilité bancaire 38 5 L exploitation des résultats de rentabilité par le chargé de clientèle 38 Applications 39 9 Un zoom sur la négociation bancaire 40 1 La relation banque-client : une relation multicanal 40 2 Les attentes du client lors d un entretien avec son banquier 40 3 La nécessité de suivre une méthode de vente 41 4 Les étapes de l entretien de vente 41 5 La réussite de l entrée en relation 41
5 6 La prise en compte de l autre 42 7 Des astuces pour mieux vendre 42 8 Les devoirs du banquier dans le cadre de sa déontologie 43 Applications Entraînement à la certification professionnelle 43 LE COMPTE ET LES MOYENS (SERVICES) DE PAIEMENT 10 Le compte bancaire et son ouverture 48 1 Le droit au compte 48 2 Le service de base bancaire 49 3 L inclusion bancaire 50 4 Le compte Nickel : le compte bancaire chez le buraliste 51 5 Typologie des comptes 51 6 Les modalités pratiques d une ouverture de compte 52 7 Le fonctionnement du compte : la convention de compte 53 8 La procuration 55 9 Les comptes bancaires inactifs Précisions juridiques 55 Applications 58 v 11 L entretien en face à face 59 1 La préparation de l entretien de vente 59 2 L accueil 60 3 La découverte 60 4 La concrétisation de l ouverture du compte 63 5 L argumentation 63 6 La proposition de l offre 64 7 La recommandation 64 8 La prise de congé 65 9 Le suivi de la démarche commerciale 65 Application 66
6 12 Les incidents de fonctionnement 68 1 L avis à tiers détenteur (ATD) 68 2 La saisie attribution 69 3 Zoom sur le blanchiment 70 Applications Les agios et autres frais bancaires 73 1 Le calcul des agios 73 2 Les autres frais bancaires 75 3 Frais bancaires et réglementation 75 Applications Les services associés au compte 81 1 Les services traditionnels 81 2 Les autres services associés au compte 82 3 Le développement des services extrabancaires 83 Applications 83 vi 15 Le chèque 85 1 La forme 85 2 Les mentions obligatoires 85 3 Les autres caractéristiques d un chèque 86 4 Typologie des chèques 86 5 Le paiement d un chèque 87 6 La responsabilité du banquier 92 Application Les cartes bancaires 93 1 Typologie des cartes bancaires 93 2 Incidents liés à l utilisation d une carte bancaire 95 3 Les cartes bancaires à l heure de l espace de paiement unique européen (SEPA) 96 Applications 97
7 17 La vente de cartes bancaires : la montée en gamme 98 1 L argumentation pour vendre une carte de prestige (visa premier ou gold mastercard) à un client particulier 98 2 Les opportunités de vente d une carte prestige 100 Application Les autres services de paiement Le nouveau cadre juridique des services de paiement Zoom sur le prélèvement SEPA 104 Application La clôture du compte Clôture à l initiative de la banque Clôture à l initiative du client Le décès du client Clôture ou transfert? 108 Applications Entraînement à la certification professionnelle 109 LA FISCALITÉ DU PARTICULIER vii 20 Le système fiscal français Typologie des impôts Les principes fiscaux et les sources du droit fiscal Les prélèvements sociaux Un système fiscal complexe Les revenus catégoriels et le calcul de l impôt sur les revenus Typologie des revenus Les étapes du calcul de l impôt (IR) Les principales charges déductibles Les principales réductions d impôt Les crédits d impôt Les particularités les plus fréquentes 120 Application 122
8 22 Les revenus fonciers et les plus-values immobilières Les revenus fonciers Les plus-values immobilières 126 Applications Les revenus de capitaux mobiliers et les plus-values de cessions de valeurs mobilières Les revenus de capitaux mobiliers (RCM) Les plus-values de cessions de valeurs mobilières Schéma synthétique du calcul de l impôt sur le revenu 134 Applications L impôt de solidarité sur la fortune (ISF) Détermination de l actif net Calcul de l impôt : les différentes étapes Comment réduire son ISF? 139 Application 139 viii 25 Les successions et donations Les donations Les successions Le calcul des droits Exemples de calculs Régimes matrimoniaux et notion de bien propre 146 Application Les produits de défiscalisation Les principaux dispositifs de défiscalisation dans l immobilier Les autres dispositifs : les investissements dans les entreprises Les mesures en faveur de la famille et de la résidence principale 152 Applications Entraînement à la certification professionnelle 152
9 L ÉPARGNE BANCAIRE ET FINANCIÈRE 27 Éléments de mathématiques financières Intérêts simples et intérêts composés Cas particuliers Taux proportionnel et taux équivalent Valeur acquise et valeur actuelle d une suite d annuité, taux proportionnel ; taux équivalent 158 Applications L épargne bancaire Particularités des principaux produits d épargne à vue Points communs aux principaux produits d épargne à vue La fixation des taux d intérêt des produits d épargne réglementée La fiscalité des livrets dʼépargne bancaire soumis à l IR et aux PS L or d investissement 165 Application Les produits d épargne à terme Les principaux produits à terme Les autres produits 169 Applications 170 ix 30 L épargne logement Le plan d épargne logement ouvert avant le 1 er mars Le plan d épargne logement souscrit après le 1 er mars 2011 : les nouvelles règles en vigueur Le compte épargne logement Est-il toujours judicieux d emprunter avec l épargne logement? 179 Application L assurance-vie La souscription du contrat 182
10 2 Fiscalité de l assurance-vie Les prélèvements sociaux sur les contrats d assurance-vie La lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme en assurance-vie 191 Applications La vente de l assurance-vie Les enjeux de la vente de l assurance-vie pour la banque Le contact de la clientèle à rencontrer pour proposer le produit L entretien en face à face avec le client 197 Application 200 x 33 Le plan d épargne retraite populaire (PERP) Les différents types de contrats Le PERP : un produit encadré Caractéristiques du PERP Fiscalité et PERP La rente viagère 206 Applications Comment augmenter la collecte d épargne du réseau? L organisation du conseiller La mise en œuvre d actions commerciales Le recours à l agence en ligne ou plateforme téléphonique La gestion des appels Des astuces pour un bon phoning 215 Applications Entraînement à la certification professionnelle 215 LES CRÉDITS 35 Les crédits de trésorerie et les crédits à la consommation Les crédits de trésorerie Les crédits à la consommation 220
11 3 Zoom sur le prêt étudiant Zoom sur le crédit renouvelable Le cadre juridique des crédits à la consommation 223 Applications La vente de crédits à court terme Sélection du crédit à court terme adapté au client Présentation des arguments de vente de crédits à court terme Zoom sur la vente de l autorisation de découvert 229 Application Les crédits immobiliers et la gestion du risque Typologie des crédits immobiliers Les étapes de mise en place d un crédit Le cadre juridique des prêts immobiliers 235 Application La vente d un crédit immobilier 237 Application 239 xi 39 Les prêts aidés Le prêt à taux zéro Les prêts conventionnés Le prêt à l accession sociale 244 Application Le coût d un crédit Le tableau d amortissement Le remboursement par amortissement constant Le remboursement par annuité constante Les taux L assurance-décès invalidité Les autres frais Le cautionnement mutuel 253 Applications 254
12 41 Les opérations sur crédit Le déblocage des fonds Le différé d amortissement Les incidents de remboursement Le remboursement anticipé Les autres opérations Le surendettement 259 Applications Les prêts relais et prêts in fine Le prêt relais Le prêt in fine 266 Applications Entraînement à la certification professionnelle 267 LES MARCHÉS FINANCIERS xii 43 L organisation des marchés financiers La structure des marchés financiers Le rôle des différents acteurs Le cheminement d un ordre de bourse La cotation et le fonctionnement des marchés Les horaires de cotation et les règles de réservation Le cours d une action Le service à règlement différé 277 Application Les ordres de bourse Les ordres de bourse Synthèse : avantages et inconvénients des différents ordres de bourse Les frais liés au passage d un ordre 285 Application 286
13 46 Les actions et opérations sur actions Les caractéristiques d une action Les droits des actionnaires Les opérations sur action Les indices boursiers 289 Applications Les obligations Les caractéristiques d une obligation Les principales catégories d obligation Précisions fiscales 294 Applications Les OPCVM Classification institutionnelle des OPCVM (classification AMF) Fonctionnement des OPCVM La fiscalité des OPCVM Commercialisation des OPCVM Les autres produits financiers 300 Application 303 xiii 49 Le plan d épargne en actions Le PEA : une enveloppe fiscale Les conséquences fiscales des retraits sur un PEA Un nouveau PEA dédié aux PME La fiscalité sur les produits d épargne et l immobilier 305 Application La vente d un PEA Déceler des opportunités de vente Suivre les étapes de la vente Répondre à l objection récurrente des clients 309
14 4 Proposer par téléphone un rendez-vous avec le conseiller pour une présentation du PEA 310 Applications Entraînement à la certification professionnelle 311 LES PRODUITS D ASSURANCE 51 Les produits d assurance Les assurances IARD Les autres assurances de personne Le calcul d une prime d assurance-décès 320 xiv 52 La vente de produits d assurance Lever les freins des clients qui refusent la banque-assurance La vente d un contrat assurance multirisques habitation (MRH) La vente d un contrat assurance-décès invalidité (ADI) La vente d un contrat d assurance dépendance Quelques astuces pour mieux vendre 324 Applications Entraînement à la certification professionnelle 325 LE CLIENT MÉCONTENT DE LA RELATION BANCAIRE 53 La gestion d un client mécontent Les éléments à prendre en compte pour mieux comprendre le client et le raisonner La réception du client mécontent à l accueil L entretien en face à face avec un client mécontent L entretien par téléphone en agence en ligne avec un client mécontent 330 Applications Entraînement à la certification professionnelle 331 Index 333
15 Partie 1 L ENVIRONNEMENT BANCAIRE L organisation du système bancaire La mercatique bancaire La segmentation des clientèles La connaissance du client bancaire Le cycle de vie du client L analyse externe de l agence L analyse interne de l agence La rentabilité de l agence et du portefeuille Un zoom sur la négociation bancaire
16 1 L organisation du système bancaire 2 L article L définit les établissements de crédit comme des «personnes morales dont l activité consiste, pour leur propre compte et à titre de profession habituelle, à recevoir des fonds remboursables du public mentionnés à l article L et à octroyer des crédits mentionnés à l article L ». Les opérations de banque comprennent la réception de fonds remboursables du public, les opérations de crédit, ainsi que les services bancaires de paiement. (Article L ). Par ailleurs, un établissement de crédit peut réaliser des opérations connexes au sens de l article L : Extrait de l article L Les opérations de change ; 2. Les opérations sur or, métaux précieux et pièces ; 3. Le placement, la souscription, l achat, la gestion, la garde et la vente de valeurs mobilières et de tout produit financier ; 4. Le conseil et l assistance en matière de gestion de patrimoine ; 5. Le conseil et l assistance en matière de gestion financière, l ingénierie financière et d une manière générale tous les services destinés à faciliter la création et le développement des entreprises, sous réserve des dispositions législatives relatives à l exercice illégal de certaines professions ; 6. Les opérations de location simple de biens mobiliers ou immobiliers pour les établissements habilités à effectuer des opérations de crédit-bail ; 7. Les services de paiement mentionnés au II de l article L ; 8. L émission et la gestion de monnaie électronique. Lorsqu il constitue la fourniture de services d investissement au sens de l article L , l exercice des opérations connexes et de l activité de conservation est subordonné à l agrément préalable prévu à l article L Source : Code monétaire et financier. L activité bancaire (mesurée par le PNB) représente 2,4 % du PIB français. C est également salariés (dont 70 % dans la banque de détail), agences bancaires et enfin environ recrutements par an (dont 60 % en CDI). 1 Les différentes catégories d établissements A Typologie des établissements Catégories d établissement Banques commerciales Caractéristiques Banque de détail traditionnelle, banque de marché, banques d affaires, banques universelles. Ces banques sont des sociétés de capitaux (BNP Paribas, Société Générale, LCL) : 32 millions de comptes à vue et 57 millions de comptes à terme.
17 L organisation du système bancaire 1 Catégories d établissement Banques coopératives ou mutualistes Sociétés financières Caisses de crédit municipal Les institutions financières spécialisées Caractéristiques Les clients de ces réseaux sont porteurs de parts sociales. C est la différence essentielle avec les banques commerciales (Crédit Mutuel, Caisse d Épargne, Crédit Agricole). 71 millions de comptes à vue, 147 millions de comptes à terme. Elles ne peuvent pas réaliser toutes les opérations de banques. Elles interviennent sur des domaines comme le crédit-bail, l affacturage. Établissement public de crédit et d aide sociale. Octroi des crédits, collecte des dépôts et offre des services bancaires. Ces caisses ont un droit exclusif pour les prêts sur gage corporels confirmé par la loi du 15 juin Établissement de crédit investi par l État d une mission de service public. Aujourd hui, le marché français est dominé par 5 grands réseaux (Crédit Agricole-LCL, BNP- Paribas, le groupe Caisse d Epargne-Banque Populaire, le groupe Crédit Mutuel-CIC, la Société Générale). Le système bancaire gère 73 millions de comptes à vue et 150 millions de comptes à terme et comptes d épargne à régime spécial (Livret A, livret bleu, CEL, PEL, LEP, livret Jeune, livret de développement durable). Des banques en ligne ont été créées par des groupes bancaires pour compléter leur réseau d agences bancaires physiques dites «de proximité». Quelques exemples de banques en ligne : Boursorama Banque (filiale de la Société Générale, positionnement visé : banque universelle), Fortuneo (filiale du Crédit Mutuel Arkea) ; B for Bank (émanation des caisses régionales du Crédit Agricole hors Ile-de-France, positionnement visé : banque en ligne haut de gamme), Cortal Consors (filiale de BNP- Paribas) ; ING Direct (filiale du groupe néerlandais ING, positionnement visé : banque universelle). 3 B Zoom sur la part sociale de la banque mutualiste Cette banque émet des parts sociales. Une part sociale peut être vue comme «mi-action et mi-obligation» dans le patrimoine de la banque mutualiste. Un client qui a souscrit une part sociale devient sociétaire de la banque. L argent des clients sociétaires investi en parts sociales renforce les capitaux propres de la banque. À titre d exemple, l assurancevie mobilise des fonds propres. Le sociétariat permet de fidéliser la clientèle et de faire participer celle-ci à la gouvernance du groupe. Le sociétaire devient alors membre d un mouvement mutualiste fortement enraciné dans la vie locale. Il participe alors à l assemblée générale de la caisse (communication des résultats ), élit des administrateurs, peut être candidat à l élection des membres du conseil de la caisse et ainsi participer à l orientation, à la mise en œuvre, à l animation et au contrôle de l activité de la caisse. Des produits et services peuvent même lui être exclusivement réservés. Une part sociale s échange à sa valeur nominale et n est
18 1 L organisation du système bancaire pas soumise aux fluctuations du marché. Le risque de perte en capital est faible. Mais en cas de défaillance de la banque, la valeur de la part sociale peut être réduite à 0. Le rendement de la part sociale se nomme «l intérêt statutaire» (plafonné au taux moyen des obligations privées). Les parts sociales ne se cèdent pas rapidement (existence d un préavis). La demande de remboursement est soumise à l autorisation du conseil d administration afin de respecter les ratios réglementaires de fonds propres. En pratique, une demande de remboursement n est jamais refusée. Les nouvelles normes réglementaires sur les capitaux propres des banques (Bâle III) peuvent entraîner un allongement des délais de remboursement des parts sociales. Une part sociale est donc moins liquide qu un livret. La fiscalité des actions est appliquée aux parts sociales : impôt sur la plus-value au barème de l IR et prélèvements sociaux. Les dividendes sont également imposés au titre de l IR après un abattement de 40 %. Si les parts sociales sont placées dans un PEA détenu dans l établissement concerné, les prélèvements sociaux ne seront acquittés qu à la clôture de plan. 2 La réglementation bancaire A Les principaux textes sur l activité bancaire 4 Textes Loi bancaire de1984 Loi du 2 juillet 1996 : modernisation des activités financières Loi de juin 1999 sur l épargne et la sécurité financière Loi MURCEF (mesure d urgence à caractère économique et financier) en 2001 Loi du 2 août 2003 sur la sécurité financière Contenu Elle impose le principe d universalité. La loi distingue : les banques, les établissements coopératifs, les caisses d épargne et de prévoyance et les caisses de crédit municipal, les sociétés financières et les institutions financières spécialisées. Cette loi concerne les services d investissement (passage des ordres de bourse, compte titre). Les établissements de crédit ne sont alors plus seuls à proposer ces services puisqu une nouvelle catégorie (les entreprises d investissement) est créée. Modification de statuts des caisses d épargne qui deviennent des établissements de crédit coopératifs. Création également d un fond de garantie des dépôts auquel doivent obligatoirement adhérer les établissements de crédit qui collectent des dépôts. Loi qui prévoit un certain nombre de dispositions visant à améliorer la relation entre la banque et son client. Elle instaure en particulier la création d un service de base bancaire, met en place un dispositif de médiation, généralise le recours aux conventions de compte et clarifie la communication sur les tarifs bancaires. Création de l autorité des marchés financiers par la fusion de la COB (Commission des opérations de bourse) et du CMF (Conseil des marchés financiers).
Les. Techniques. bancaires. en 53 fiches. Pratiques Applications corrigées. 4 e édition. Philippe Monnier Sandrine Mahier-Lefrançois
Les Techniques bancaires en 53 fiches Pratiques Applications corrigées 4 e édition Philippe Monnier Sandrine Mahier-Lefrançois http://monnier-fiches-cours.p.ht Comment utiliser les compléments en ligne
Plus en détailL essentiel des techniques bancaires
Jean-Marc Béguin Arnaud Bernard L essentiel des techniques bancaires Éditions Groupe Eyrolles, 2008 ISBN : 978-2-212-54115-1 Sommaire Sommaire Introduction...............................................
Plus en détailPratique des techniques bancaires
Aurélien GIRAUD Pratique des techniques bancaires Banque et fiscalité du particulier Édition 2012, 2012 ISBN : 978-2-212-55293-5 Sommaire PARTIE I L ÉPARGNE BANCAIRE CLASSIQUE Chapitre 1. Les livrets bancaires...
Plus en détailGESTION DU PATRIMOINE
Jean-Marc AVELINE Christian PRISCO-CHREIKI GESTION DU PATRIMOINE, 2007 ISBN : 978-2-212-53808-3 TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 1 PREMIÈRE PARTIE LES GRANDS PRINCIPES DE LA GESTION DE PATRIMOINE CHAPITRE
Plus en détailSommaire. La famille. L immobilier. Le couple. La gestion des biens du couple. La séparation. La gestion des biens des mineurs et des incapables
Sommaire La famille Le couple 1. Union 12 2. Mariage, Pacs, concubinage : que choisir? 13 La gestion des biens du couple 3. Biens meubles et immeubles 15 4. Régime primaire 17 5. Choix du régime matrimonial
Plus en détailTarifs et Conditions extrait des prix et services (ttc) au 01/01/2013
Tarifs et Conditions extrait des prix et services (ttc) au 01/01/2013 Sommaire Extrait standard des tarifs...3 Ouverture, fonctionnement et suivi de votre compte...4 Relevés de votre compte...4 Services
Plus en détailUne banque démarre son activité sans un euro de dépôt
Une banque démarre son activité sans un euro de dépôt INTRODUCTION Le cas présenté ci-après permet de comprendre le fonctionnement général d une banque mais reste un cas d école purement théorique. Imaginons
Plus en détailÉtude Patrimoniale Document de collecte d informations. Votre conjoint. Vous. Vos proches. Date de l entretien... DOSSIER
Date de l entretien.... DOSSIER Vous Votre conjoint Prénom.... Prénom.... Nom.... Nom.... Date de naissance... Date de naissance.... Situation familiale marié(e) célibataire divorcé(e) veuf(ve) union libre
Plus en détailCOMPRENDRE LA BOURSE
COMPRENDRE LA BOURSE La fiscalité simplifiée des valeurs mobilières Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre
Plus en détailLa patrithèque. Solution documentaire électronique sur le patrimoine. La patrithèque. www.harvest.fr
Logo_ harvest Finalisation Logo_ harvest Finalisation www.harvest.fr 3 rue La Boétie 75008 PARIS contact@harvest.fr T : 01 53 30 28 00 F : 01 53 30 28 01 La patrithèque Solution documentaire électronique
Plus en détailOPTIMISEZ VOTRE INVESTISSEMENT IMMOBILIER
PASCAL DÉNOS Diplômé d expertise-comptable DESS en Banques et Finances Commissaire aux Comptes et Professeur de droit fiscal OPTIMISEZ VOTRE INVESTISSEMENT IMMOBILIER www.editions-organisation.com/livres/denos
Plus en détailPratiques Applications corrigées
Pratiques Applications corrigées Philippe Monnier Sandrine Mahier-Lefrançois Les Techniques bancaires Les Techniques bancaires en 52 fiches Pratiques - Applications corrigées Philippe Monnier Sandrine
Plus en détailFIP ISATIS DÉVELOPPEMENT N 2
NOTE SUR LA FISCALITÉ DU FONDS FIP ISATIS DÉVELOPPEMENT N 2 Fonds d Investissement de Proximité agréé par l Autorité des Marchés Financiers (Article L. 214-31 du Code Monétaire et Financier) Société de
Plus en détailFiscalité, placements. réductions d impôt
Fiscabanque Fiscalité, placements & réductions d impôt À jour des dispositions de la loi de finances 2011 2014 Actualisé sur Internet Gervais Morel avec la participation de David Ecochard Sommaire I Sommaire
Plus en détailLe plafonnement des impôts directs : mise en place du «bouclier fiscal»
Le plafonnement des impôts directs : mise en place du «bouclier fiscal» Ce qu il faut retenir Article 74 de la loi de finances pour 2006 Dans la situation actuelle, il peut arriver que le montant total
Plus en détailCatalogue. E-learning TV Learn Storytelling Quiz d évaluation. FormaLearning Notre expertise pédagogique au service de vos projets!
Catalogue E-learning TV Learn Storytelling Quiz d évaluation E-learning Banque, fi nance, assurance Initial Le compte bancaire La procuration Les incidents de fonctionnement du compte Les moyens de paiement
Plus en détailPrésentation des résultats 2006. 15 mars 2007
Présentation des résultats 2006 15 mars 2007 Préambule Le intègre dans son périmètre la création de Natixis intervenue le 17 novembre. Les données financières présentées sont issues des comptes pro forma
Plus en détailCréer son propre emploi
Vous souhaitez voir intervenir, au sein de votre établissement, un de nos conseillers régionaux : prenez contact avec lui pour établir, ensemble, une proposition adaptée à vos besoins et à votre public.
Plus en détailDocument N 10 Document de travail, n engage pas le Conseil Le PERCO en 2014
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 08 juillet 2015 à 9 h 30 «Le patrimoine des retraités et l épargne retraite» Document N 10 Document de travail, n engage pas le Conseil Le PERCO en
Plus en détailL IMPOT DE SOLIDARITE SUR LA FORTUNE
L IMPOT DE SOLIDARITE SUR LA FORTUNE Introduction L impôt de solidarité sur la fortune est un impôt annuel dû par les personnes physiques détenant un patrimoine net supérieur à 790 000 au 1 er janvier
Plus en détailCORRECTION BANQUE DUPONT-DURAND
CORRECTION BANQUE DUPONT-DURAND DOSSIER A : GESTION DES COMPTES 20 points A.1 Conservation des relevés de compte 2 A.2 Démarche en cas d anomalie sur relevé 3 A.3 Calcul montant des agios (annexe A) 7
Plus en détailBACHELOR BANQUE ASSURANCE OPTION CONSEILLER COMMERCIAL MARCHÉ DES PARTICULIERS
BACHELOR BANQUE ASSURANCE OPTION CONSEILLER COMMERCIAL MARCHÉ DES PARTICULIERS Unité d enseignement 1 : Moyens de paiement et services associés connaître les différents types de compte et appréhender leur
Plus en détailLES ACQUISITIONS DE TITRES. Analyse des opérations d'acquisition de titres (frais bancaires et TVA). TABLE DES MATIERES
LES ACQUISITIONS DE TITRES Objectif(s) : o Classification des titres. Pré-requis : o Analyse des opérations d'acquisition de titres (frais bancaires et TVA). Modalités : o Immobilisations financières :
Plus en détailPlafonnement fiscal des investissements et bouclier fiscal. Du constat au conseil
Plafonnement fiscal des investissements et bouclier fiscal Du constat au conseil Intervenants Félix CICERON, Directeur de l ingénierie patrimoniale, Expert& Finance José SOTO, Directeur des partenariats
Plus en détailLes caractéristiques du secteur bancaire français
Les caractéristiques du secteur bancaire français Fiche 1 Objectifs Découvrir le poids du secteur bancaire en France et ses intervenants Prérequis Aucun Mots-clefs Produit intérieur brut (PIB), organismes
Plus en détailConjuguez immobilier d entreprise et démarche environnementale
L anticipation des nouvelles normes environnementales Lors de la constitution d un patrimoine immobilier à travers la création d une nouvelle SCPI, PERIAL Asset Management s efforcera de prendre en compte
Plus en détailédition 2009 / 2010 Les essentiels 50 conseils Guide pratique hors-série pour payer moins d impôts UNE RELATION DURABLE, ICI, ça CHANGE LA VIE.
édition 2009 / 2010 Les essentiels Guide pratique hors-série 50 conseils pour payer moins d impôts UNE RELATION DURABLE, ICI, ça CHANGE LA VIE. Avant-Propos Déductions, réductions et crédits d impôt de
Plus en détailBien choisir son produit d épargne L e s M i n i - G u i d e s B a n c a i r e s
024 w w w. l e s c l e s d e l a b a n q u e. c o m Le site d informations pratiques sur la banque et l argent Bien choisir son produit d épargne L e s M i n i - G u i d e s B a n c a i r e s FBF - 18
Plus en détailINSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE
INSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE La Banque Centrale du Congo, Vu la loi n 005/2002 du 07 mai 2002
Plus en détailLes Patrimoniales 2013
Les Patrimoniales 2013 La nouvelle fiscalité dans votre stratégie patrimoniale Nathalie ROUVIERE Crédit Agricole Banque Privée Bruno DUCASTEL Amundi Gestions Spécialisées page 1 La gestion de patrimoine
Plus en détail4,50 % Obligation Crédit Mutuel Arkéa Mars 2020. par an (1) pendant 8 ans. Un placement rémunérateur sur plusieurs années
Obligation Crédit Mutuel Arkéa Mars 2020 4,50 % par an (1) pendant 8 ans Souscrivez du 30 janvier au 24 février 2012 (2) La durée conseillée de l investissement est de 8 ans. Le capital est garanti à l
Plus en détailIMPORTANT : Vous devrez joindre ce QCM complété à votre devoir écrit (cas pratique) CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS
IMPORTANT : Vous devrez joindre ce QCM complété à votre devoir écrit (cas pratique) CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS CONCOURS INTERNE D ASSISTANT TECHNIQUE des 18 et 19 décembre 2006 Document n 2 8 pages
Plus en détailDiversifier son patrimoine tout en réduisant ses impôts
Diversifier son patrimoine tout en réduisant ses impôts 1 Diversifier son patrimoine. Problématiques liées au développement du patrimoine Minorer les risques Optimiser la fiscalité Développer son patrimoine
Plus en détailFIP ECUREUIL N 10 IR 2014 ISF 2014 SOUTENEZ LE DÉVELOPPEMENT DES PME FRANÇAISES ET DIVERSIFIEZ VOTRE PATRIMOINE FINANCIER À LONG TERME
ligible à une réduction ISF 2014 ÉÉligible à une réduction ligible à une réduction IR 2014 ÉÉligible à une réduction FIP ECUREUIL N 10 SOUTENEZ LE DÉVELOPPEMENT DES PME FRANÇAISES ET DIVERSIFIEZ VOTRE
Plus en détailÉPARGNE BANCAIRE. Rémunérez vos économies!
ÉPARGNE BANCAIRE Rémunérez vos économies! L ESSENTIEL POUR GÉRER VOTRE ÉPARGNE Avec les solutions Groupama, vous valorisez votre épargne à court, moyen ou long terme. ON A TOUS DES RAISONS R Que ce soit
Plus en détailguide clarté épargne www.creditmutuel.fr
guide clarté épargne UNE BANQUE QUI N A PAS D ACTIONNAIRE, ÇA CHANGE L ÉPARGNE. www.creditmutuel.fr AVEC VOTRE CONSEILLER CRÉDIT MUTUEL, ENVISAGEZ L ÉPARGNE DIFFÉREMMENT. Comme toutes les banques, le Crédit
Plus en détailLES VALEURS MOBILIERES LA FISCALITE DES PLACEMENTS A LONG TERME
LES VALEURS MOBILIERES LA FISCALITE DES PLACEMENTS A LONG TERME Une note de Riviera Family Office Mise à jour : juillet 2004 Les principaux avantages fiscaux des valeurs mobilières Aucune imposition sous
Plus en détailNOTE SUR LA FISCALITÉ DU FONDS
NOTE SUR LA FISCALITÉ DU FONDS Société de Gestion ixo PRIVATE EQUITY 34, rue de Metz 31 0 00 Toulouse Site : www.ixope.fr Dépositaire Réalisation : ixo Private Equity Illustration : Ronald Curchod Graphisme
Plus en détailÉPARGNE BANCAIRE. Rémunérez vos économies!
ÉPARGNE BANCAIRE Rémunérez vos économies! L ESSENTIEL POUR GÉRER VOTRE ÉPARGNE Avec les solutions Groupama, vous valorisez votre épargne à court, moyen ou long terme. ON A TOUS DES RAISONS R Que ce soit
Plus en détailRéunions patrimoniales Janvier Février 2013
Réunions patrimoniales Janvier Loi de Finances pour 2013 et 3 ème Loi de finances Rectificative pour 2012 Le présent document vous est transmis à titre personnel, il a été réalisé sur la base de l environnement
Plus en détailFIP ALLIANCE 2014. Soutenez le développement des PME françaises et diversifiez votre patrimoine financier à long terme.
BANQUE POPULAIRE GESTION PRIVÉE FIP ALLIANCE 2014 Soutenez le développement des PME françaises et diversifiez votre patrimoine financier à long terme. DOCUMENT À CARACTÈRE PROMOTIONNEL SOUTENEZ LE DÉVELOPPEMENT
Plus en détailCAPITAL INVEST PME 2014
FCPI CAPITAL INVEST PME 2014 Soutenez le développement d entreprises innovantes tout en allégeant votre fiscalité en contrepartie d un risque de perte en capital Prise en compte des souscriptions - du
Plus en détailLes modalités pratiques
Les modalités pratiques Avertissement Conformément à l article 211-4 du règlement général de l AMF (Autorité des Marchés Financiers), nous vous informons que cette opération s effectue hors du champ de
Plus en détail> Votre conjoint. Adresse :... Régime matrimonial :... ... Avantages matrimoniaux (ou autres particularités) :
Date de l'entretien :... > Vous Prénom :... Nom :... Date de naissance :... Situation familiale : Marié Célibataire Divorcé Veuf Union libre PACS > Votre conjoint Prénom :... Nom :... Date de naissance
Plus en détailAssurances de Personnes des Chefs d entreprise
Conférence / Débat Assurances de Personnes des Chefs d entreprise Les 3 piliers de votre protection sociale La Santé La Retraite La Prévoyance Complémentaire Santé Complémentaire Retraite Complémentaire
Plus en détailPERP. par Élysée Consulting. Votre épargne pour votre retraite PLAN EPARGNE-RETRAITE POLULAIRE
PERP PLAN EPARGNE-RETRAITE POLULAIRE par Élysée Consulting Votre épargne pour votre retraite SOMMAIRE Bénéficiaires 3 Fonctionnnement du plan 3 Gestion du plan 4 Fiscalité des primes versées 5 Dénouement
Plus en détailContrat d assurance-vie Skandia Archipel PEP
Contrat d assurance-vie Skandia Archipel PEP Pourquoi choisir un Conseiller en Gestion de Patrimoine Indépendant? Le Conseiller en Gestion de Patrimoine Indépendant est l interlocuteur idéal pour gérer
Plus en détailÉpargne salariale et actionnariat salarié : des outils de rémunération globale
INTRODUCTION Épargne salariale et actionnariat salarié : des outils de rémunération globale 1 Les différents dispositifs d épargne salariale sont généralement présentés en plusieurs strates, auquel il
Plus en détailLes délais à respecter
Les délais à respecter Dans les 24 heures Contacter les pompes funèbres et organiser les obsèques Si le défunt a souscrit une assurance Garantie obsèques au Crédit Agricole*, prévenir Assistance Obsèques
Plus en détailMise en place de solutions individuelles et collectivespour
Mise en place de solutions individuelles et collectivespour un TNS dans une TPE/PME Le paysage des solutions de retraite Produits individuels PERP Sortie en capital MADELIN Sortie en rente PEE PERCO Produits
Plus en détailPrincipales conditions tarifaires applicables aux particuliers
Principales conditions tarifaires applicables aux particuliers Tarifs en euros TTC en vigueur en Martinique au 01 janvier 2011 Un guide tarifaire avec des conseils qui vous permettent de réaliser des économies!
Plus en détailGuide méthodologique du bilan patrimonial
Guide méthodologique du bilan patrimonial Atelier «Etablir un bilan patrimonial» Pôle LES MISSIONS DE DEMAIN www.experts-comptables.fr/65 Guide méthodologique du bilan patrimonial Sommaire I Définir le
Plus en détail4. Déduction des intérêts d emprunt pour l acquisition de la résidence principale
Lettre d'information - Septembre - Octobre 2007 MESURES FISCALES ET PATRIMONIALES EN FAVEUR DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU POUVOIR D ACHAT ENTREPRISES 1. Défiscalisation des heures supplémentaires 2. Parachutes
Plus en détailactionnariat salarié
actionnariat salarié L Actionnariat Salarié est un outil d épargne collective permettant aux salariés d acquérir directement ou indirectement des actions de leur entreprise au travers du Plan d Épargne
Plus en détailLe cadre fiscal et social de l épargne salariale pour l épargnant
Janvier 2015 Le cadre fiscal et social de l épargne salariale pour l épargnant France métropolitaine et D.O.M. (hors Mayotte) BANQUE DE GRANDE CLIENTÈLE / ÉPARGNE ET ASSURANCE / SERVICES FINANCIERS SPÉCIALISÉS
Plus en détailPERP LIGNAGE PLAN D ÉPARGNE RETRAITE POPULAIRE
PLAN D ÉPARGNE RETRAITE POPULAIRE PERP LIGNAGE Contrat d assurance sur la vie souscrit par le Groupement d Épargne Retraite Populaire ADRECO auprès d ORADEA VIE, compagnie d assurance vie et de capitalisation,
Plus en détailLes atouts de Sélection 1818 pour accompagner vos clients. Marseille 9 octobre 2013
Les atouts de Sélection 1818 pour accompagner vos clients Sommaire 1. Présentation de Sélection 1818 2. Les expertises 3. L offre globale 4. L offre bancaire 5. L offre assurance 6. L offre Luxembourgeoise
Plus en détailVotre résidence fiscale est en France. B8 Impôt sur la fortune (Mise à jour mai 2013)
Votre résidence fiscale est en France B8 Impôt sur la fortune (Mise à jour mai 2013) En France, l impôt sur la fortune, appelé Impôt de Solidarité sur la Fortune (ISF), est un impôt qui frappe le patrimoine.
Plus en détailLIVRET D ÉPARGNE SALARIALE
LIVRET D ÉPARGNE SALARIALE Tout ce que vous devez savoir sur les dispositifs d épargne salariale 2 - Tout ce que vous devez savoir sur les dispositifs d épargne salariale Sommaire Les dispositifs de participation
Plus en détailparticuliers de nos produits et services Extrait des conditions générales de banque appliquées à compter du 10/06/2005 et modifiables à tout moment
J U I L L E T 2 0 0 5 Guide des prix de nos produits et services particuliers Opérations courantes Des incidents sur votre compte Vos crédits à la consommation Votre financement immobilier Les opérations
Plus en détailBANQUE POPULAIRE GESTION PRIVÉE SCPI SCELLIER BBC FRUCTIRESIDENCE BBC. BANQUE & ASSURANCE www.banquepopulaire.fr
BANQUE POPULAIRE GESTION PRIVÉE SCPI SCELLIER BBC FRUCTIRESIDENCE BBC BANQUE & ASSURANCE www.banquepopulaire.fr Avertissement - Facteurs de risques Lorsque vous investissez dans une SCPI de type «Scellier
Plus en détailMon épargne mon patrimoine. Une épargne, des projets
Mon épargne mon patrimoine Une épargne, des projets Une épargne, des projets, toutes les solutions sont au Crédit Mutuel Que vous souhaitiez vous constituer une épargne disponible, un capital pour préparer
Plus en détailÉtudes. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages
Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Depuis 25 ans, la structure de l épargne financière des ménages a été singulièrement modifiée par l essor
Plus en détailComment sortir l actif immobilier d une société commerciale à moindre coût?
Comment sortir l actif immobilier d une société commerciale à moindre coût? Certaines sociétés commerciales soumises à l impôt sur les sociétés possèdent un actif immobilier à leur bilan. Il s agit le
Plus en détailDéclaration de situation patrimoniale au titre de : Ministre déléguée chargée des personnes âgées et de l autonomie
Déclaration de situation patrimoniale au titre de : Ministre déléguée chargée des personnes âgées et de l autonomie N O M : DELAUNAY P R E N O M : Michèle Déclaration actualisée au 31 mars 2013 Renseignements
Plus en détailGestion & Actualité. La note d information du CGL SOMMAIRE. Plus-values immobilières 2012 Une déclaration unique Un timbre de 35 euros
EXTRAITS DU N 47 NOVEMBRE 2011 Gestion & Actualité La note d information du CGL SOMMAIRE Page 2 Page 3 Page 4 A apprécier Plus-values immobilières 2012 Une déclaration unique Un timbre de 35 euros Vers
Plus en détailla fiscalité des valeurs mobilières en 2015
la fiscalité des valeurs mobilières en 2015 loi de finances 2015 loi n 2014-1654 du 29 décembre 2014 web conference - 10-02-2015 1 les lois de finances 2013 et 2014 régime des plus values simplification
Plus en détailRENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE
RENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE Conférence de presse 13 mars 2012 SOMMAIRE Introduction p. 3 CALCULS DE RENTABILITE IMMOBILIERE Cinq exemples avec des prélèvements sociaux portés à 15,5 %...p.
Plus en détailMesures patrimoniales de la loi de finances 2014, de la loi de finances rectificatives pour 2013
Sources : Mesures patrimoniales de la loi de finances 2014, de la loi de finances rectificatives pour 2013 Loi de finances 2014 : http://www.assembleenationale.fr/14/ta/ta0267.asp Loi de finances rectificatives
Plus en détailNOTE DE PRÉSENTATION
AUTORITE DES NORMES COMPTABLES NOTE DE PRÉSENTATION RÈGLEMENT N 2014-02 du 6 février 2014 Relatif aux modalités d établissement des comptes des sociétés de financement Abrogé et repris par règlement ANC
Plus en détailEdition 2015. Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64
Edition 2015 Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64 Section K : ACTIVITÉS FINANCIÈRES ET D ASSURANCE Cette section comprend les activités des
Plus en détailTRANSFERT DU DOMICILE FISCAL DE FRANCE AU MAROC
TRANSFERT DU DOMICILE FISCAL DE FRANCE AU MAROC I DETERMINATION DE LA RESIDENCE Au plan fiscal, les conséquences résultant pour un résident et ressortissant français de son installation au Maroc dépendent
Plus en détailÉconomie, connaiss.de base Réponse 1. Économie, connaiss.de base Question 1 Affaires bancaires. Économie, connaiss.
Économie, connaiss.de base Question 1 Économie, connaiss.de base Réponse 1 Quels sont les six types de banques les plus importants? les grandes banques les banques cantonales les banques régionales/caisses
Plus en détailAntin FCPI 11. Communication à caractère promotionnel
Antin FCPI 11 Communication à caractère promotionnel Antin FCPI 11, nouveau Fonds Commun de Placement dans l Innovation, vient étoffer la gamme de FCPI du groupe BNP Paribas Blocage des capitaux investis
Plus en détailNord Cap VI. Fonds d Investissement de Proximité
Fonds d Investissement de Proximité FIP Points-Clefs Participer à la vie économique en accompagnant indirectement le développement et la transmission de PME diversifiées du Nord de la France Viser des
Plus en détailNord Cap V. Fonds d Investissement de Proximité
Nord Cap V Fonds d Investissement de Proximité FIP Nord Cap V Points-Clefs Participer à la vie économique en accompagnant indirectement le développement et la transmission de PME diversifiées du Nord de
Plus en détailEPARGNE COLLECTIVE S ALARIALE E PARGNE PEI/PERCOI. gamme
EPARGNE COLLECTIVE gamme EPARGNE COLLECTIVE E PARGNE S ALARIALE PEI/PERCOI E P ARGNE S ALARIALE Confiez la gestion de votre épargne salariale à des professionnels APRIL Patrimoine est une société d APRIL
Plus en détailSAVOIR TIRER PARTI DES OPPORTUNITES FISCALES DE LA SOCIETE CIVILE A L'IR
SAVOIR TIRER PARTI DES OPPORTUNITES FISCALES DE LA SOCIETE CIVILE A L'IR Outil d'optimisation fiscale très performant par rapport à la détention directe d'un patrimoine, la société civile permet de choisir
Plus en détailLa Fiscalité de l Épargne Salariale
FISCALITÉ La Fiscalité de l Épargne Salariale Le cadre fiscal et social pour l entreprise A - Les versements dans les dispositifs Pour l entreprise Nature du versement Charges sociales et taxes patronales
Plus en détailNOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER
NOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER REMARQUES PRELIMINAIRES Les ménages n ont pas d obligation de tenir une comptabilité. En revanche, d une part, certaines situations liées à un état de dépendance
Plus en détailPER Convergence Le Guide de l épargnant
Comment choisir vos supports de placement? PER Convergence Le Guide de l épargnant Avec PER Convergence, votre entreprise met à votre disposition deux dispositifs d épargne au service de vos projets dans
Plus en détailSommaire. Vos opérations avec l étranger... 10-11. Vos opérations de change... 12-13. Les incidents de fonctionnement... 12-13
Sommaire AXA Banque se réserve la possibilité de facturer toute opération ayant généré un coût spécifique et en informera préalablement le Client. Toute mesure d ordre législatif ou règlementaire ayant
Plus en détailFIP Axe Croissance. FIP Axe Croissance investira dans des PME industrielles, commerciales ou de services présentant les caractéristiques suivantes :
Souscription ouverte jusqu au 21 juin 2012 sous certaines conditions* (pour les parts A1) Souscription ouverte jusqu au 31 décembre 2012 (pour les parts A2) Diversifiez votre patrimoine financier avec
Plus en détailFCPI et FIP ISF Réduction d ISF en faveur de l investissement dans les PME La règle «de minimis» Calcul de la réduction d ISF : Réduction d ISF =
FCPI et FIP ISF Réduction d ISF en faveur de l investissement dans les PME Un avantage fiscal institué par la loi TEPA afin de permettre aux redevables de l ISF de bénéficier d une réduction d ISF en investissant
Plus en détailEstimation de votre impôt sur les revenus 2007
Estimation de votre impôt sur les revenus 27 21/12/27 Synthèse des données et résultats Données de votre simulation Nombre de parts 1 Revenus net catégoriels Traitements et salaires, pensions et rentes
Plus en détailProgramme de la certification «Conseil en Investissement Immobilier Certifié CGPC»
Programme de la certification «Conseil en Investissement Immobilier Certifié CGPC» Le programme de cette épreuve est un sous-ensemble de l examen de certification CGPC/CFP. 1 / 6 BLOC 1 A-ENVIRONNEMENT
Plus en détailLundi 8 octobre 2007. Nancy. Comment optimiser l organisation de votre patrimoine grâce à la loi TEPA et au projet de Loi de Finances 2008?
Lundi 8 octobre 2007 Nancy Comment optimiser l organisation de votre patrimoine grâce à la loi TEPA et au projet de Loi de Finances 2008? Frédéric Gros Directeur Nancy Élise Moras Ingénieur patrimonial
Plus en détailBTS Banque session 2011 EP 5 : Techniques bancaires Corrigé indicatif CORRIGE INDICATIF BANQUE PARIS MÉDICIS
BTS Banque session 2011 EP 5 : Techniques bancaires Corrigé indicatif CORRIGE INDICATIF BANQUE PARIS MÉDICIS DOSSIER A : GESTION DES MOYENS DE PAIEMENT 26 points A.1 Frais prélevés 3 A.2 Montant des agios
Plus en détailCONTRAT D ASSURANCE VIE ASSURANCE
Ligne Beta Ligne Alpha CONTRAT D ASSURANCE VIE LOI ASSURANCE MADELIN VIE Version Arborescence Retraite Essentielle Madelin 1 unité 20 X X Notice Logotype La retraite est un sujet d actualité pour bon nombre
Plus en détailCONDITIONS TARIFAIRES. Clientèle des particuliers. Des produits et services proposés par Groupama Banque. APPLICABLES AU 1 er mars 2014
Clientèle des particuliers CONDITIONS TARIFAIRES Des produits et services proposés par Groupama Banque APPLICABLES AU 1 er mars 2014 www.groupamabanque.com Les tarifs ci-dessous sont hors offre groupée
Plus en détailTarification du teneur de compte Cortal Consors
Tarification du teneur de compte Cortal Consors Applicable à partir du 1er Juillet 2009 aux clients suivis par les Conseillers Financiers Indépendants GESTION COURANTE DES COMPTES 2-3 OPCVM Opérations
Plus en détailLE BOUCLIER FISCAL RAPPELS SUR L ISF
LE BOUCLIER FISCAL RAPPELS SUR L ISF L impôt de solidarité sur la fortune (ISF) est le dernier impôt à avoir été créé, lors de la loi de finances pour 1989 ; il succède alors à l Impôt sur les Grandes
Plus en détailLes principales dispositions du projet de loi de finances pour 2014 adopté en première lecture à l Assemblée nationale du 19 novembre 2013
Les principales dispositions du projet de loi de finances pour adopté en première lecture à l Assemblée nationale du 19 novembre 2013 IMPÔT SUR LE REVENU Barème CGI. art.197 Décote CGI. art. 197 Barème
Plus en détailMON COMPTE AU QUOTIDIEN
MON COMPTE AU QUOTIDIEN EXTRAIT DES CONDITIONS TARIFAIRES APPLICABLES AUX PARTICULIERS CONVENTION JANVIER 2011 UNE RELATION FONDÉE SUR LA CLARTÉ EST LE GAGE DE VOTRE CONFIANCE ET DE VOTRE FIDÉLITÉ. Pour
Plus en détailsommaire EXTRAIT STANDARD DES TARIFS 3 OUVERTURE, FONCTIONNEMENT ET SUIVI DE VOTRE COMPTE
sommaire EXTRAIT STANDARD DES TARIFS 3 OUVERTURE, FONCTIONNEMENT ET SUIVI DE VOTRE COMPTE Ouverture, transformation, clôture 4 Relevés de compte 4 Tenue de compte 4 Services en agence 4-5 BANQUE À DISTANCE
Plus en détailPROFESSIONNELS, FAITES LES BONS CALCULS POUR OPTIMISER VOTRE RETRAITE
LE GUIDE CONSEIL POUR PRÉPARER VOTRE RETRAITE PROFESSIONNELS, FAITES LES BONS CALCULS POUR OPTIMISER VOTRE RETRAITE Document à caractère publicitaire AVEZ-VOUS PENSÉ À PRÉPARER VOTRE RETRAITE? Vous êtes
Plus en détailPratique des techniques bancaires
Aurélien GIRAUD Pratique des techniques bancaires Banque et fiscalité du particulier Édition 2012, 2012 ISBN : 978-2-212-55293-5 Chapitre 3 Le compte titres ordinaire GÉNÉRALITÉS Le compte titres ordinaire
Plus en détailLa Planification Financière Fiscale Personnelle (PFFP) A nouveaux enjeux nouveaux comportements
La Planification Financière Fiscale Personnelle (PFFP) A nouveaux enjeux nouveaux comportements Intervenants Véronique AUDRAIN Consultante Serge ANOUCHIAN Expert-comptable Sommaire Le contexte La mission
Plus en détail