LE SECRETARIAT PERMANENT



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RÉPUBLIQUE DE COTE D IVOIRE Union Discipline Travail --------------------- --------------------------- CCM CÔTE D IVOIRE ---------------------- LE SECRETARIAT PERMANENT -------------------------- RAPPORT DE L ATELIER DE FORMATION DES MEMBRES DU COMITE SUIVI STRATEGIQUE DU CCM ET DES PR SUR LE DASHBOARD (A l espace CRRAE-UMOA D Abidjan Plateau- 04 Octobre 2012) I. INTRODUCTION Le Jeudi 04 Octobre 2012, s est tenu à l espace CRRAE-UMOA, sis à Abidjan Plateau, un atelier de formation sur le Dashboard, destinée aux membres du comité suivi stratégique du CCM et des PR. Cet atelier était présidé par Dr Ouattara Djéneba, Présidente du CCM, et a eu pour facilitateur principal Dr Mémain Daniel, Secrétaire Permanent du CCM. II. DÉROULEMENT L atelier a débuté à 08 hrs 47 Min par le mot de bienvenue de Madame la Présidente du CCM, Dr Ouattara Djéneba. Cette dernière a remercié tous les membres du comité suivi stratégique du CCM et les PR pour leur présence effective à cet atelier. Elle a salué la pertinence de cet atelier qui va permettre à tous les membres du comité suivi stratégique du CCM, de prendre connaissance de l immensité de son rôle et de l outil Dashboard a utilisé, surtout que le suivi stratégique fait partie des fonctions principales d un CCM. Dr OUATTARA a par la suite présenté les membres de son bureau et les différents comités qui ont été constitués au CCM. Un tour de table a été organisé afin que tous les participants puissent se présenter. Dr Mémain a présenté l agenda de l atelier pour amendement. Il a dit être heureux de voir la participation effective de la PSP et la DIPE, car étant des structures faisant parties intégrantes du système national, et qui pourraient apporter des éclaircissements sur la question de la remontée des données. A la suite du Secrétaire Permanent du CCM, Mr Akpané Eustache, consultant MSH a procédé à la définition du thème de suivi-stratégique. Selon Mr Akpané, un CCM a cinq fonctions principales à savoir : (i) l organisation et le fonctionnement du CCM et de son Secrétariat, (ii) l harmonisation des fonds avec les autres bailleurs, (iii) le développement des demandes de

subvention, (iiii) le suivi-supervision des subventions et des PR, et (iiiii) la documentation et la communication avec les secteurs et le Fonds Mondial. Le suivi-stratégique est différent de la gestion car il est une vue d ensemble des subventions permettant d optimiser la performance des subventions ; il est stratégique car axé sur des objectifs et des résultats clés. Le suivistratégique suit des cycles de reporting pour l évaluation (performances du PR, exécution dans les temps du plan de travail, des résultats techniques en relation avec les objectifs trimestriels et annuels). Les objectifs du suivistratégique sont d aider le PR à identifier les problèmes et les goulots d étranglement entravant la performance de la subvention, trouver des solutions et de résoudre les problématiques dépassant la compétence ou l autorité du seul PR. Tous les membres du CCM sont concernés. Pour finir sa présentation, Mr Akpané a insisté sur le fait que le CCM doit être inéluctablement la solution. Il a encouragé les PR à être plus ouvert au CCM pour la résolution des problèmes. Le Suivi-Stratégique doit être un outil d amélioration et non de sanction. A la suite de Monsieur AKPANE, Mme Meredith Klein, Project Officer à MSH Boston a pris la parole pour faire une présentation du Dashboard. Le Dashboard offre des signaux visuels des indicateurs clés du fonctionnement et de performance. Sur la question de savoir qui doit utiliser le Dashboard, Dr Kagubaré Jean a indiqué que les membres du CCM peuvent l utiliser pour l oversight des subventions, le CCM pour la communication avec les organisations de base, les autorités nationales et les autres partenaires, et les membres du comité de suivi-stratégique pour une revue ou intervention périodique. Les PR peuvent aussi communiquer les informations au CCM. Le Dashboard est le bienvenu car il synthétise les informations pour les décideurs et réduit la charge de travail. Il ne remplace les PUDR ou autres documents requis par le Fonds Mondial. Dr Kagubaré Jean a aussi fait l historique du Dashboard. Le Dashboard a été développé sur Microsoft Excel. Il a été introduit pour la première fois au Nicaragua sous le projet LMS en 2006. Il fût testé par GMS et le Fonds Mondial dans 7 pays en 2009. Le CCM, à partir du Dashboard doit être capable de répondre aux cinq questions clés suivantes : 1. Où est l argent? 2. Les SR reçoivent-ils les ressources et l assistance technique prévus? 3. Où sont les médicaments, moustiquaires, et les autres consommables? 4. Les subventions sont-elles mises en œuvre telles que planifiées? 5. Les résultats atteignent-ils les objectifs fixés? Le Dashboard fournit les informations au niveau finance, gestion et programmatique. Après Mme Meredith Klein, Dr Kagubaré Jean, a également montré un modèle de Dashboard. Le Dashboard comprend neuf feuilles qui sont nommées respectivement de la façon suivante: le menu (informations relatives à la subvention, indicateurs et les rapports), la liste des indicateurs,

la saisie des données, le détail de la subvention, les indicateurs financiers, les indicateurs de gestion, les indicateurs programmatiques, les recommandations et actions. Les PR auront à saisir leurs sonnées dans la feuille dénommé Saisie des données. Les données saisies seront transmises directement dans la feuille nommée Détail de la subvention. Le CCM aura donc la possibilité d analyser les données saisies au niveau des feuilles des différents indicateurs, à l intérieur desquelles des graphes seront élaborés automatiquement. Le CCM pourra également faire des recommandations en fonction des différents indicateurs, et sur la dernière feuille Actions, le CCM prendra des décisions à appliquer dans un délai défini, avec un responsable identifié. Le Dashboard a une partie qui décrit les actions qui devraient être mise en œuvre la période précédente. Dr Kagubaré Jean a demandé aux PR de transmettre leur Dashboard au CCM dans les 30-35 jours afin l envoi final au Fonds Mondial. A la suite de ces différentes interventions, le Secrétaire Permanent du CCM a demandé aux PR de présenté leur projet de façon générale, ainsi que leur système de suivi évaluation. Ainsi : ALLIANCE CI ALLIANCE CI est le PR communautaire de la série 9, composante VIH. Le début de la subvention date d octobre 2011, d un montant total de 12 442 275 Euros. ALLIANCE CI a cinq sous-récipiendaires repartis de la façon suivante : 5 sr régionaux et 4 sr nationaux (ccc, populations clés, secteur prive, préservatifs). Les buts d ALLIANCE sont : Améliorer l'offre des services de prévention pour réduire les nouvelles infections dans la population générale, chez les femmes et les Populations clés à haut risque d'infection à VIH en tenant compte de la dimension genre. Réduire la morbidité et la mortalité dues au sida en assurant l'accès aux soins, la qualité des services et le continuum de soins. Renforcer le leadership, la coordination et le Suivi Evaluation de la réponse nationale. ALLIANCE CI a délivré la liste des indicateurs inscrits dans le cadre de performance de la subvention (Indicateurs d effets et indicateurs de résultats). Pour finir, ALLIANCE a expliqué de façon schématique, son plan de suivi-évaluation. CARE CI L intitulé de la subvention de CARE est le suivant : Projet de passage a échelle des interventions de lutte contre le paludisme en cote d ivoire dans un contexte de reconstruction nationale. CARE est le PR volet communautaire, composante

paludisme de la série 8. Ses activités se résument en la distribution de masse de MIILDA, la communication pour le changement des comportements chez les populations pour la prévention du paludisme, et les consultations prénatales foraines. Les informations suivantes sur le projet ont été données : Phase: phase 1 : du 1ier janvier 2010 au 31 décembre 2011 suivi d un No Cost Extention du 1ier janvier au 31 juillet 2012. Début de la subvention: 1ier janvier 2010 Montant total: Phase 1: 61 401 736 Euros - phase 2: 20 503 301 Euros Total: 81 905 037 Euros = 53 726 182 227 CFA Les Sous-récipiendaires de CARE sont: 1. Population Services International (PSI) 2. APROSAM: Association pour la promotion de la santé de la santé de la femme, de l enfant et de la famille. 3. CESACO: 4. HOPE Côte d Ivoire 5. ANADER DR Sud 6. ANADER Sud-Comé 7. ANADER Moyen-Comoé 8. ANADER DR Ouest 9. ANADER Odienné L objectif général de la subvention est de réduire de 50%, par rapport aux taux de 2000, la morbidité et la mortalité liées au paludisme d ici 2013 en Côte d Ivoire. CARE a donné la liste des indicateurs inscrits dans le cadre de performance de la subvention (Indicateurs d effets, d impact et de couverture). Pour finir, CARE a expliqué de façon schématique, son plan de suivi-évaluation. (Annexe 1 : Plan de suivi-évaluation de CARE). CARITAS CI L intitulé de la subvention de CARITAS est le suivant : Prévention de la tuberculose multi résistante par l amélioration de la prise en charge globale de la tuberculose. CARITAS est le PR volet communautaire, composante Tuberculose de la série 9 L objectif général de la subvention est de réduire le poids de la tuberculose en capitalisant les acquis en matière de lutte et en garantissant les soins de qualité pour tous les patients atteints de la tuberculose. Les oobjectifs spécifiques sont : Poursuivre l extension d un DOTS de qualité et son amélioration ; Lutter contre la co-infection tuberculose-vih et la tuberculose multirésistante ; Renforcer le partenariat Public privé, Renforcer la communication à travers les mass médias et l implication communautaire. Les informations suivantes sur le projet ont été données : Début de la subvention: Prévu: 1er Juillet 2010 (Début réel: Septembre 2011)

Montant total: 5.888.649 Phase 1= 3.182.498 ; Phase 2 = 2.706.151 Sous-récipiendaires: Processus en cours (34 ONG prévues) CARITAS a listé des indicateurs d effets et de produits inscrits dans le cadre de performance de la subvention. Pour finir, CARITAS a expliqué de façon schématique, son circuit d information. (Annexe 2 : circuit d information de CARITAS). PNLP L intitulé de la subvention: Passage à échelle des interventions de lutte contre le paludisme en Côte d Ivoire dans un contexte de reconstruction national. Le PNLP est le PR volet public de la subvention R8, de la composante Paludisme. Le PNLP a donné les détails suivants : Début de la subvention: 01 Aôut 2012 Montant total: 40,432,847 euros Sous-récipiendaires: PSP, DIPE, DPM, DRS et UNICEF Le PNLP se trouve en phase 2 de la subvention. L objectif principal est de mettre à échelle les interventions de lutte contre le paludisme en Côte d Ivoire. Le PNLP a listé tous les indicateurs de résultats, spécifiés dans le cadre de performance de la subvention. Le PNLP a décrit le circuit de l information de la façon suivante : Le circuit de l information sanitaire national comprend trois grands niveaux : le niveau opérationnel: données générées mensuellement au niveau des ESPC, des HG et de la communauté, compilées et transmises sur support papier rapport (A) au district. Les rapports (A) compilés, traités, analysés et validés par le district avant transmission chaque trimestre sur support électronique à la Direction Régionale de Santé. le niveau intermédiaire : Direction Régionale de santé compile, traite, analyse et valide les données transmises mensuellement par les DDS et les CHR avant de les acheminer à la DIPE sur support électronique. Dans le cadre du projet R8 un contrôle de la qualité des données des DDS est effectué chaque trimestre par la DIPE et le PNLP. Chaque trimestre le PNLP en collaboration avec la DIPE et la PSP réalise une validation des données des DDS pour chacune des 20 régions sanitaires. le niveau central : La DIPE reçoit chaque trimestre les rapports provenant de toutes les régions sanitaires et des EPN. Elle procède au traitement et une l analyse fine de toutes les données reçues pour les rendre utilisables en vu de la prise de décision. Dans le cadre du projet les données issues des réunions de validation sont compilées, analysées, commentées et transmises au Fonds mondiale par le PNLP chaque trimestre avec le CCM en copie. Délais d envoi des rapports du SNIS : - Centre de santé vers le district sanitaire : au plus tard le 5 du mois - DDS vers la région sanitaire: Au plus tard le 10 du mois

- Région sanitaire vers niveau central: Au plus tard le 15 du mois Délais d envoi des rapports du projet R8 : - DDS vers le PNLP (version électronique avant validation): Au plus tard 30 jours après la fin du trimestre - PNLP au Fonds mondial: Au plus tard 45 jrs après la fin du trimestre. PNLT Le PNLT est le PR volet public de la composante Tuberculose, série 9. L intitulé de la subvention: Prévention de la TB multi résistante par l amélioration de la prise en charge globale de la tuberculose. Les détails suivants ont été donnés : Phase 2 Début de la subvention: 01 JANVIER 2013 Montant total: 13 407 496 EUROS Sous-récipiendaires: NEANT L objectif général est de réduire le poids de la tuberculose en Côte d Ivoire. Les objectifs spécifiques sont: 1- Poursuivre l extension d un DOTS de qualité et son amélioration 2 -Accroitre le taux de succès du traitement 3- Lutter contre la co-infection tuberculose - VIH et la tuberculose multi résistante 4-Renforcer les capacités de gestion du programme national de lutte contre la tuberculose tout en contribuant au renforcement des capacités du système de santé. Le PNLT a décrit son système de suivi-évaluation de la façon suivante : Au niveau du CDT : l infirmier enregistre tous les cas de tuberculose, remplit les supports d enregistrement (registre de déclaration des cas, registre de distribution des médicaments, carte de traitement, fiche de stock des médicaments). Le technicien de laboratoire remplit le registre de laboratoire et les fiches de stock des réactifs et consommables de laboratoire. L infirmier et le technicien de laboratoire transmettent les rapports de dépistage, de traitement, de laboratoires et de commande des médicaments correspondant à leurs activités au responsable du centre de surveillance épidémiologique du district et au CAT régional. Au niveau du district : le responsable du centre de surveillance épidémiologique compile les données qui sont informatisées. Le médecin chef du District sera destinataire des rapports d analyses effectués mensuellement au niveau du district. Le responsable du centre de surveillance épidémiologique du district transmet à la direction régionale l ensemble des données des patients tuberculeux. Au niveau de la région : le responsable du centre de surveillance épidémiologique de la région sanitaire compile toutes les données des établissements sanitaires de sa région avant de les transmettre au plus tard le 15 du mois suivant au niveau central (DIPE) par tout moyen en sa possession.

Le responsable du CAT régional collecte les données de tous les districts de sa région, les analysent et assure une retro-information aux responsables des CDT avant de les transmettre au service suivi évaluation du PNLT. Au niveau central : la DIPE analyse les tendances générales de la maladie et cible les ressources pour la lutte dans les zones à haut risque. Elle fait la retro information au niveau intermédiaire et périphérique. Elle assure la liaison avec les autres pays et les organismes internationaux. Le service suivi évaluation du programme collecte l ensemble des données régionales sur support électronique et papier, les analyse et assure une retroinformation aux responsables des CAT lors de la réunion d évaluation annuelle des activités du programme. La coordination du PNLT transmet les données annuelles validées au service de la DIPE du Ministère de la Santé, et aux partenaires. Pour finir le PNLT a noté qu il y avait des avancées notables dans la Lutte Antituberculeuse avec l appui du Fond Mondial. Des défis existent notamment au niveau de la prise en charge de la TBMR, la décentralisation des activités de LAT, l amélioration de la qualité des données, etc. et il existe de bonnes perspectives en rapport avec le passage à la phase2. PNPEC Le PNPEC est le PR volet public de la subvention R9 de la composante VIH. L intitulé de la subvention est la suivante : renforcement de la réponse nationale au VIH pour le passage à l'échelle de la prévention et de la prise en charge globale prenant en compte le genre et les populations clés à haut risque d infection. La première phase a débuté le 1er avril 2011 pour un montant 29 176 698 euros. Le PNPEC a pour Sous récipiendaire ESTHER (populations carcérales) et des prestataires dont : PNSR/PF (VBG), STCO/DGLS (Leadership, Décentralisation et Multisectorialité), 19 régions sanitaires (CD, PTME et ARV) et la PSP-CI (gestion des médicaments et des intrants). Les buts de la subvention sont : Améliorer l offre des services de prévention pour réduire les nouvelles infections dans la population générale, chez les femmes et les populations clés à haut risques d infection à VIH Réduire la morbidité et la mortalité dues au sida en assurant l accès aux soins, la qualité des services et le continuum de soins Renforcer le leadership, la coordination et le suivi évaluation de la réponse nationale. Les objectifs sont : 1. Renforcer la mobilisation sociale et la communication pour la lutte contre le VIH pour les femmes, les jeunes filles et les populations clés à haut risque d'infection à VIH 2. Améliorer l'accessibilité et la qualité des services de Conseil et de dépistage 3. Renforcer l'accessibilité et la qualité de la Prévention de la Transmission de l'infection à VIH de la Mère à l'enfant 4. Renforcer la lutte contre le sida sur les lieux de travail

5. Améliorer l'accessibilité et la qualité de la prise en charge médicale par les ARV, de la prévention et du traitement des IO et du suivi biologique 6. Renforcer la prise en charge communautaire des PVVIH, des femmes, des OEV et des Populations clés à haut risque d'infection à VIH 7. Améliorer le leadership, la coordination et le Suivi Evaluation de la réponse nationale. Le PNPEC a listé les indicateurs qu il utilise et a expliqué de façon schématique son circuit d information (Annexe 3 : Circuit de l information du PNPEC). Après l intervention des différents PR, le Secrétaire Permanent du CCM, Dr Mémain Daniel a demandé à la PSP et à la DIPE de passer également à leurs présentations respectives. Elles devraient permettre normalement à tous les PR et les membres du comité suivi-stratégique du CCM de comprendre leur mode de fonctionnement. Ainsi : La PSP La PSP est un Établissement Public à Caractère Industriel et Commercial (EPIC). La Pharmacie de la Santé Publique de Côte d Ivoire (PSP-CI) est placée sous la double tutelle du MSLS et du MEF et a pour missions essentielles de: Centraliser, programmer, effectuer les approvisionnements en médicaments et matériel médicaux chirurgical nécessaire au fonctionnement des formations sanitaires et des structures ou organisation participant au service public sanitaire Organiser la distribution de ces produits dans les formations sanitaires sus visées Organiser et gérer le recouvrement des coûts; Assurer le suivi et l évaluation de la gestion des médicaments A ce titre, elle est chargée de l approvisionnement en ARV et autres intrants en rapport avec le VIH/SIDA, en Antipaludiques et autres intrants stratégiques utilisés dans la lutte contre le paludisme et en Antituberculeux et autres intrants utilisés dans la lutte contre la tuberculose. La PSP a expliqué de façon schématique, son processus d approvisionnement (Annexe 4 : le processus d approvisionnement). La PSP a listé les indicateurs de processus d'approvisionnement suivants : Pourcentage de fournisseurs ayant respecté le délai de livraison >90% Taux d article entré en machine en 72h >90% Taux d erreur sur entrée en machine < 5% Pourcentage des fournisseurs ayant livrés des produits conformes à la commande >90% Pourcentage des fournisseurs ayant livrées les quantités annoncées >90%

Délai moyen de retour des résultats de contrôle qualité < 24j Taux des expertises réalisés dans les délais >90% Pourcentage de produits stockés en 24h Taux de pertes (périmés et avariés) < 3% Nombre de mois de stock maximum = 6 mois Elle a aussi mentionné les indicateurs de processus de distribution suivants : Réceptionner 90% des commandes clients attendus à la date limite de dépôt prévu Traiter et livrer 80% des clients dans 1 délai de 7 jours ouvrables à compter de la date limite de dépôt des commandes clients Au niveau de la PSP, trois points focaux ont été désignés pour la gestion de chaque programme. Les défis de la PSP sont : Gestion séparée par programme Insuffisance de l espace de stockage et des conditions de stockage Retard de livraison Insuffisance dans le contrôle de qualité post réception Non respect des engagements pris par rapport au plan d approvisionnement par certains bailleurs (ARV) Insuffisance au niveau des rapportages des sites (33% inclusions ARV; ATP) Les perspectives de la PSP sont : Le respect du plan de livraison des produits La collecte des données en routine et informatisée (ARV) La validation des données trimestrielles lors d ateliers (ATP) Le contrôle qualité post réception par le LNSP (ARV, TDR et MILDA) L optimisation de l espace de stockage Le renforcement des capacités de distribution L acquisition d un système de gestion intégré (ERP) La création d'une cellule de gestion des projets La création d'un comité technique unique regroupant tous les intervenants qui aura la charge de coordonner les activités d'approvisionnement et de gestion des produits (un peu copié sur le modèle ARV) La centralisation des activités d'approvisionnement à la PSP L harmonisation des périodes de quantification L unification des plans d'approvisionnement Pour finir, la PSP a indiqué qu en dehors des systèmes d information parallèles, les activités des trois programmes (Sida, Paludisme, Tuberculose) sont intégrées dans les activités de la PSP. De plus la codification particulière à chaque programme permet une excellente traçabilité. Une gestion plus centralisée des activités des

programmes au sein de la PSP permettrait d optimiser les ressources (humaines, matérielles etc.) et les résultats. La DIPE La présentation de la DIPE avait pour objectif principal de présenter le système d information sanitaire de la côte d ivoire. La DIPE a été Mise en place en 1995. Elle a pour but la conception et la mise en œuvre de la politique du Système d Information Sanitaire. Ses missions sont les suivantes: Coordonner la mise en œuvre du SIS Collecter, traiter, diffuser l information sanitaire Elaborer le Rapport Annuel sur la Situation Sanitaire (RASS), Elaborer et actualiser annuellement la Carte Sanitaire et le répertoire des Etablissements Sanitaires, Mettre en place une base de données sanitaire Assurer l archivage électronique de toutes les informations relatives au système sanitaire, Réaliser les études, planifier et programmer le développement du système sanitaire en collaboration avec la direction de la prospective, de la planification et des stratégies Tenir à jour les statistiques sanitaires Promouvoir un système d évaluation épidémiologique en liaison avec les services compétents La DIPE a les supports de collecte de données suivants : Un registre de consultations curatives ; Un registre de Consultation Prénatale (CPN) ; Un registre d accouchement ; Un registre de vaccination ; Un registre de PTME Un registre de soins VIH Un registre de traitement ARV (suivi longitudinal) Un dossier individuel des patients Un rapport mensuel d activités A, B, C; Un rapport trimestriel D, E ; Un rapport annuel A, B, C ; Une application informatique: SIGVISION Une application informatique: SIGDEP La DIPE a tout comme les autres, expliqué de façon schématique le circuit de l information sanitaire (Annexe 5 : circuit de l information sanitaire). Les difficultés du SIS se trouvent à trois niveaux à savoir: Les facteurs techniques (Nombre élevé de variable à renseigner dans les rapports mensuels (rapport A 2936, rapport B 4400, rapport C 5000 variables) ;

La difficulté du remplissage des outils de collecte (items non compris par les prestataires, non compréhension des guides de remplissage et conseils d utilisation), l utilisation difficile du logiciel SIGVISION par la majorité des CSE contrairement au GDS, l existence de plusieurs systèmes de collecte de données de routine due à une absence d harmonisation des indicateurs de programmes de santé (système d alerte précoce, PNLT, PEV, ) et des partenaires, les délais de transmission des rapports inadapté (délais trop court : collecte, saisie, contrôle qualité, validation, transmission) et une absence ou lenteur dans le processus de mise à jour des applications en rapport avec les besoins (SIGVISION, SIGDEP)). Les facteurs organisationnels : l insuffisance du cadre réglementaire (Arrêté) ne précisant pas les obligations des différents acteurs du système d informations sanitaires (prestataires, GD, CSE, ), l inexistence de plans (opérationnel, pluri annuel) du SIS au niveau des régions, Districts et établissements, l inexistence de plan de formation des ressources humaines, l indisponibilité permanente des outils de collecte au niveau des établissements sanitaires, l insuffisance du budget alloué par le BGE à la gestion et la diffusion de l information, la forte dépendance du SIS des Partenaires Techniques et Financiers, l irrégularité des supervisions à tous les niveaux de la pyramide, l insuffisance du contrôle qualité des données en routine et lors de la supervision à tous les niveaux de la pyramide, et la charge de travail élevée (CSE, GD, SUS) dans le cadre de la gestion du SIS. Les facteurs comportementaux : l insuffisance de manifestation d intérêt pour les données et le personnel démotivé. Pour finir, la DIPE a pour défi national en matière d information sanitaire de produire des données de qualité, disponible à temps à tous les niveaux de la pyramide et systématiquement utilisées pour la prise de décision en vue d améliorer la gestion du système santé. A la suite des interventions de la PSP et de la DIPE, quelques participants ont posé des questions de clarification qui ont trouvé satisfaction auprès des intervenants. Dr Kagubaré Jean a, à son tour a fait remarqué que le taux de décaissement est faible au niveau des PR. Il revient de ce fait aux PR d appliquer les leçons apprises des subventions passées pour ne pas perdre de l argent au niveau de la phase 2. Pour Dr Kagubaré Jean, la visite prochaine de la mission du Fonds Mondial serait une occasion de négociation. Il a aussi demandé au CCM de militer afin que la PSP et la DIPE soient des PR dans les prochaines subventions. III. Divers A cette étape de l atelier, le second vice-président du CCM, Mr Kah Mlei Théodore a remercié au nom de la Présidente du CCM, la participation très active de MSH dans le processus de renouvellement du CCM. Il a apprécié positivement la qualité

des présentations des différents consultants et des PR. Le CCM se réjouit du cadre d échanges, ce qui a permis une mise à niveau des informations. Le bureau fera mains et pieds pour visualiser tous les ponts de blocages, afin de conduire à la solution pour une Côte d Ivoire qui gagne. Plus rien n ayant été suggéré, Mr Kah Mlei Théodore mis fin à l atelier. L atelier pris fin exactement à 13hr47min. IV. Prochaines étapes Finalisation de la sélection des indicateurs programmatiques des BP pour le Dashboard Paramétrage des Dashboard des BP Identification et formation des responsables S/E des BP sur le remplissage du Dashboard Formation des membres du comité de suivi stratégique du CCM dans l analyse des Dashboard Elaboration d un plan de suivi stratégique et plan d action Elaboration du calendrier des revues des Dashboard par le CCM Le Secrétaire Permanent La Présidente du CCM Côte d Ivoire DR. MEMAIN S. Daniel Dr. OUATTARA DJENEBA

Annexe 1 : Plan de Suivi-Evaluation de CARE

Global Founds Local Fund Agent (LFA) Au plus tard 30 jours après la fin du trimestre (rapport trimestriel) Country Coordinating Responsable IEC-CCC Responsable de la formation Au plus tard 25 jours après la fin du trimestre (rapport trimestriel) Unité Sub Grant Directeur Projet Malaria R8 CARE PNLP/DIPE Responsable M&E (Nord/Sud) Le 20 au plus tard (rapport trimestriel) Coordonnateur Adjoint de Zone Le 20 au plus tard (rapport trimestriel) Au plus tard le 27 du moi Le 10 au plus tard Responsable de Zone (CARE) Sous Bénéficiaire de Zone (PSI/APROSAM/autre SB DRS Au plus tard le 21 du moi Le 05 au plus tard Le 10 au plus tard Superviseur (CARE/ONG/SABC de District) DDS Le 30 au plus tard Relais Communautaire (CARE/ONG/SABC de District) Echanges administratifs pour supervision et prise de décision Echanges techniques pour analyse et transmission Echanges techniques et administratifs pour Sub Recipients de Zones (PSI/APROSAM) Echange de données entre les deux M&E et centralisation par le Responsable M&E Principal Annexe 2 : Circuit de l information de CARITAS

Annexe 3 : Circuit de l information du PNPEC

SNU FOND MONDIAL PEPFAR DIFFUSION Bénéficiaire Principal/PNPEC Niveau Central Au plus tard le 15 du mois suivant la fin du mois Direction Régionale de la Santé Sous Bénéficiaire Niveau Intermédiaire Au plus tard le 10 du mois suivant la fin du mois Direction Départementale de la Santé Niveau opérationnel Au plus tard le 05 du mois suivant la fin du mois Etablissement Sanitaires 1 Etablissement Sanitaire 2 Etablissement Sanitaire 3 Légende Niveau opérationnel Information Rétro information Annexe 4 : Le processus d approvisionnement

Annexe 5 : le circuit de l information sanitaire