L heure du numérique 3 Facebook et les réseaux sociaux
Sommaire Qu est-ce qu une identité numérique? A quoi sert un réseau social en ligne en 2015? Intérêts comparés de Facebook, Twitter, Google Plus, Linkedin Maîtriser son(ses) comptes 2
Notre identité numérique Sur l Internet, rien n est gratuit. > Si vous ne payez pas, c est que vous n êtes pas un consommateur, mais un produit à vendre. http://framablog.org/2011/12/31/gratuite-publicite-facebook/ Rappel : La grande majorité des services sont proposés par des sociétés qui ont un intérêt à connaître nos «profils» (de consommateurs), afin de cibler leurs campagnes de publicités, ou celles de leurs partenaires. C est pourquoi contre un accès à un service, nous sont demandés des informations plus ou moins importantes. - La première est notre adresse mail. C est LA porte d entrée pour un service web. On appelle cette donnée généralement : l identifiant, ou login. - Un mot de passe est aussi demandé (à créer) 3
Du moment ou ces deux données sont validées en ligne, vous avez créé ce qu on appelle une identité numérique, et vous allez laisser des traces sur le réseau Internet. 4
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A quoi me ser(virai)t un réseau social? A titre privé J ai des passions à partager. Je souhaite faire connaissance avec toutes les personnes qui peuvent m apporter quelque chose en termes d informations et d échanges culturels. Je souhaite me sentir moins seul. Je veux rester en contact avec des membres de ma famille facilement sur une plateforme dédiée. Associatif/commerce Je souhaite faire connaître l association/le commerce pour lesquels je m investis. Je veux communiquer efficacement sur nos animations, et partager infos et photos, vidéos trouver de nouveaux adhérents/clients Professionnel Je veux rejoindre un réseau professionnel. Partager des infos, et en trouver facilement. Faire de la veille sur des sujets précis. Mettre en valeur les actions de mon travail 6
Intérêts comparés de quatre services Pour chaque service, les conditions d utilisation sont clairement spécifiées. A vous de les lire! 7
Exemple d une page associative Très pratique pour que chacun ait accès aux informations, aux photos. L administrateur du compte voit le nombre de personnes ayant «liké» (aimé) la page, c est à dire la suivant. Chacun est libre (ou pas) de laisser aussi des commentaires. On voit aussi l impact de chaque publication. 8
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Twitter et plutôt réservé à l immédiateté, la veille en instantané sur un sujet, ou pour rentrer en contact avec certaines personnes absentes ailleurs. C est aussi un moyen de montrer ses intérêts. 10
On suit des personnes «physiques» ou morales sur Twitter, et on a des abonnés qui nous suivent à leur tour. On peut créer des listes d intérêt, afin de filtrer et les suivre plus facilement sur son mur». 11
La recherche sur Twitter Si l on n est pas sûr de trouver le compte de la personne souhaitée, on peut tout de même suivre l actualité des tweets, aves le ou les mots clés.? 12
Attention à ne pas se tromper de compte lorsque l on cherche une personne. Le bon Le mauvais 13
Idem lors de l écriture d un Tweet adressé à une personne : > A t-on choisi la bonne? 14
Si l on souhaite que chacun puisse trouver le tweet, mettre un hashtag (dièse) dans son texte. Rappel : Le @ concernera la personne en particulier! 15
Exemple avec le hashtag «Palmyre» > Voilà ce que l on obtiendra en recherche : Tous les tweets ayant utilisé ce mot clé apparaîtront. 16
Google +, actif dés que l on a un compte Gmail, permet le réseautage avec ses autres contacts Gmail. L idée des cercles fermés vient de lui. 17
Néanmoins, ce réseau reste très peu utilisé en dehors de petits cercles. http://uk.businessinsider.com/google-active-users-2015-1?r=us 18
Début 2014, le site revendique plus de 93 millions de membresissus de 170 secteurs d'activités dans plus de 200 pays et territoireset près de 8 millions d'utilisateurs en France. 19
En dehors de bénéficier d une veille professionnelle intéressante, et de l intérêt d être «vu», vos contacts vous connaissant bien peuvent vous attribuer des compétences. Pas inutile 20
Maîtriser son (ses) comptes L exemple avec Facebook 21
La «mauvaise réputation» Surfer sur le web et fréquenter des réseaux sociaux est une activité courante aujourd hui. Notre identité numérique, comme «réelle» peuvent en être affectées. > Au moins deux attitudes complètement opposées peuvent être remarquées : - Le : «Je ne mange pas de ce pain là», c est trop dangereux» - Le : «Je surfe, sans trop connaître les risques. Je ne pense pas que je soisendanger» Mais une troisième voie est aussi envisageable : la connaissance et l assumation. http://owni.fr/2011/11/10/la-mauvaise-ereputation-facebook-twitter/ 22
Pour aller plus loin: Le site de la CNIL, pour mieux comprendre les traces que nous laissons. http://www.netpublic.fr/2011/06/surfer-sur-internet-ca-laisse-des-traces-test-de-la-cnil/ 23
http://www.pewinternet.org/2015/01/09/frequency-of-social-media-use-2/ 24