Statistiques canadiennes sur le cancer 2008 Le cancer au Canada : les faits en bref

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Transcription:

1 Statistiques canadiennes sur le cancer 2008 Le cancer au Canada : les faits en bref Le livret des Statistiques canadiennes sur le cancer 2008 a été dévoilé le 9 avril 2008 par la Société canadienne du cancer. Dans l ensemble, aucun changement considérable n a été constaté depuis l an dernier. En général, les taux d incidence et de mortalité pour la plupart des sièges du cancer sont stables ou ont chuté au cours de la dernière décennie. Ceci signifie que le risque que court une personne de contracter le cancer demeure stable. Le cancer en général Plus de 200 maladies différentes pour lesquelles il n existe pas un remède/thérapie unique. Principale cause de décès au Québec depuis 2005. Principale cause de décès prématuré au Canada. Au Québec, toutes les 13 minutes, une personne apprend qu'elle a un cancer; une personne en meurt toutes les 30 minutes. Toutes les 3 minutes, 1 Canadien apprend qu il a un cancer et une personne en meurt toutes les 7 minutes. Plus d une personne sur trois 40% des Canadiennes et 45 % des Canadiens développera un cancer au cours de sa vie. 24% des femmes et presque 29% des hommes, soit environ 1 Canadien sur 4, mourront du cancer. D ici quelques années, ce sera une personne sur deux qui souffrira d au moins un cancer au cours de sa vie. Les nouveaux cas et les décès Le nombre de nouveaux cas de cancer et de décès attribuables au cancer connaît une croissance soutenue alors que la population canadienne augmente et prend de l âge. Au Québec, en 2008 : o On estime qu il y aura 42 100 nouveaux cas de cancer (166 400 au Canada), soit une augmentation de 1 100 cas par rapport à l an dernier (6 500 au Canada). La survie o On estime qu il y aura 19 700 décès causés par le cancer (73 800 au pays), soit une augmentation de 200 cas par rapport à l an dernier (1 100 au Canada). Au Canada, pour les diagnostics posés de 2001 à 2003, le taux de survie relative à 5 ans pour tous les cancers combinés s élevait à 62 %.

2 La prévalence En 2004, environ 396 900 hommes et 456 500 femmes (1 Canadien sur 40 et 1 Canadienne sur 35) avaient survécu au cancer, soit un total d environ 853 400 Canadiens (ou 2,7 % de la population), ce qui représente une hausse de 21 % par rapport aux chiffres correspondants signalés antérieurement à l égard de 1998, soit 679 800. L augmentation du nombre de survivants du cancer s explique par le nombre croissant de nouveaux cas de cancer et par l amélioration des taux de survie associés à la maladie. Chez les hommes Le taux de mortalité total : Depuis 1988, le taux de mortalité total attribuable au cancer chez les hommes canadiens a connu une baisse, et ce, en raison de la chute des taux de mortalité attribuables au cancer du poumon, au cancer colorectal et à d autres cancers. Le taux d incidence total : Le taux d incidence total du cancer chez les hommes a connu une légère augmentation au début des années 1990 (à la suite de l incidence à la hausse du cancer de la prostate au cours de cette période) pour ensuite chuter rapidement. On prévoit que la chute graduelle de l incidence du cancer chez les hommes se poursuivra. Entre 1995 et 2004, chez les hommes, les changements statistiquement significatifs (de 2 % ou plus par an) suivants ont été observés : Les taux d incidence : o des cancers du larynx, du poumon et de l estomac ont diminué; o des cancers de la thyroïde et du foie ont augmenté. Les taux de mortalité : o des cancers de l estomac, du larynx, de la prostate, de la cavité buccale et du poumon ainsi que lymphomes hodgkiniens et non hodgkiniens ont diminué. Chez les femmes Le taux de mortalité total : Le taux de mortalité total attribuable au cancer chez les femmes est demeuré fondamentalement stable depuis 1979. En excluant le cancer du poumon, une baisse marquée de 20 % des autres types de cancer a été observée en 30 ans. Le taux d incidence total : Chez les femmes canadiennes, le taux d incidence total du cancer a augmenté lentement et régulièrement, et ce, en grande partie en raison de l incidence croissante du cancer du poumon, mais celui-ci pourrait être en voie de stabilisation.

3 Entre 1995 et 2004, chez les femmes, les changements statistiquement significatifs (de 2 % ou plus par an) suivants ont été observés : Les taux d incidence : o des cancers du larynx, de l estomac et du cerveau ont diminué; o du cancer de la thyroïde ont augmenté. Les taux de mortalité : o des lymphomes hodgkiniens et des cancers du col de l utérus, et de l estomac ont diminué. Le cancer du sein Le cancer du sein demeure le cancer le plus fréquemment diagnostiqué chez les femmes canadiennes. En 2008, au Québec, on estime à 5 900 le nombre de femmes qui recevront un diagnostic de cancer du sein (22 400 au Canada) et à 1 350 le nombre de celles qui en mourront (5 300 au Canada). Une femme sur neuf risque de développer un cancer du sein au cours de sa vie et une sur 28 d en mourir. Depuis 1999, le taux d incidence du cancer du sein a connu une baisse considérable, soit 1,7 % par an en moyenne. Le taux de mortalité attribuable au cancer du sein a chuté de plus de 25 % depuis 1986. Au Canada, la survie relative à cinq ans est de 87 % pour le cancer du sein (chez les femmes qui ont reçu un diagnostic de cancer du sein entre 2001 et 2003). Le cancer de la prostate Le cancer de la prostate demeure le cancer le plus fréquemment diagnostiqué chez les hommes canadiens. En 2008, au Québec, on estime à 4 400 le nombre d hommes qui recevront un diagnostic de cancer de la prostate (24 700 au Canada) et à 870 le nombre de ceux qui en mourront (4 300 au Canada). Un homme sur sept risque de développer un cancer de la prostate au cours de sa vie mais un seul sur 27 risque d en mourir. Cette année, la méthode d estimation des nouveaux cas de cancer de la prostate a été modifiée. La tendance relative aux nouveaux cas de cancer de la prostate s est révélée instable, et ceci, en raison de deux périodes de hausses rapides des nouveaux cas, auxquelles ont succédé des baisses. Vraisemblablement, les hausses sont attribuables à l utilisation plus répandue du test de l antigène prostatique spécifique (APS). Puisqu au cours des dernières années, la tendance s est stabilisée, une démarche d estimation différente a pu être utilisée. Cette démarche reflète avec plus de précision la tendance actuelle de nouveaux cas de cancer de la prostate.

4 Le risque personnel de contracter un cancer de la prostate n a que peu varié chez les hommes depuis la fin des années 1990. Les taux de mortalité attribuables au cancer de la prostate ont connu une baisse considérable entre 1995 et 2004. Au Canada, la survie relative à cinq ans est de 95 % pour le cancer de la prostate (chez les hommes qui ont reçu un diagnostic de cancer de la prostate entre 2001 et 2003). Le cancer du poumon Le cancer du poumon demeure la principale cause de décès par cancer, aussi bien chez les femmes que chez les hommes : 6 300 au Québec (2 700 femmes et 3 600 hommes), soit 31 % de tous les décès liés au cancer du poumon au pays (20 200 décès au Canada, soit 9 200 femmes et 11 000 hommes). Cette année, au Québec, on estime à 3 400 (11 300 au Canada) le nombre de femmes et à 4 200 (12 600 au Canada) le nombre d hommes qui recevront un diagnostic de cancer du poumon. Une femme sur 16 risque d'être atteinte d un cancer du poumon au cours de sa vie. Une femme sur 18 en mourra. Un homme sur 12 risque d'être atteint d un cancer du poumon au cours de sa vie. Un homme sur 13 en mourra. Chez les femmes, l incidence du cancer du poumon et les taux de mortalité attribuables à celui-ci ont augmenté depuis 1979, et cette tendance se poursuit. C est seulement au milieu des années 1980 que les taux de tabagisme ont connu une légère baisse chez les femmes. Ainsi, la baisse des taux du cancer du poumon qui en découle n est pas encore observable. Chez les hommes, la hausse des taux d incidence du cancer du poumon et des taux de mortalité lui étant attribuables a connu un frein au milieu des années 1980 et depuis, une baisse s est amorcée. Au Canada, la survie relative à cinq ans est de 15 % pour le cancer du poumon (18 % chez les femmes qui ont reçu un diagnostic de cancer du poumon entre 2001 et 2003, 13 % chez les hommes). Le cancer colorectal Le cancer colorectal constitue toujours la deuxième cause de mortalité par cancer au pays. En 2008, au Québec, on estime à 5 600 (21 500 au Canada) le nombre de personnes 2 500 femmes (9 700 au Canada) et 3 100 hommes (11 800 au Canada) - qui recevront un diagnostic de cancer colorectal et à 2 400 (8 900 au Canada) le nombre de personnes - 1 100 femmes et 1 300 hommes (4 100 femmes et 4 800 hommes au Canada) qui en mourront.

5 Une femme sur 16 risque d'être atteinte d un cancer colorectal au cours de sa vie. Une femme sur 31 en mourra. Un homme sur 14 risque d'être atteint d un cancer colorectal au cours de sa vie. Un homme sur 27 en mourra. Plus de 90 % des cas de cancer colorectal sont diagnostiqués chez des Canadiens de plus de 50 ans. Les données scientifiques estiment aussi qu on pourrait enregistrer une réduction d'environ 17 % du nombre de décès par cancer colorectal si 70 % des Canadiens de 50 à 74 ans passaient un test de recherche de sang occulte dans les selles tous les deux ans. attend avec impatience l annonce éminente du ministère de la Santé et des Services sociaux d instaurer au Québec un programme organisé de dépistage du cancer colorectal. Les taux de mortalité attribuable au cancer colorectal continuent de diminuer considérablement, et ceci, tant chez les hommes que chez les femmes. Au Canada, la survie relative à cinq ans est de 62 % pour le cancer colorectal (chez les personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer entre 2001 et 2003). Le document Statistiques canadiennes sur le cancer 2008 est préparé, imprimé et distribué grâce à la collaboration de la Société canadienne du cancer, de l Agence de santé publique du Canada, de l Institut national du cancer du Canada, de Statistique Canada, des registres du cancer provinciaux et territoriaux, de même que de chercheurs du milieu universitaire et de celui des agences du cancer provinciales et territoriales. Le rapport spécial sur le cancer pédiatrique, inclut dans le livret 2008, a été rédigé en partenariat avec le Réseau de recherche en pédiatrie C17, un organisme qui regroupe 17 centres canadiens de lutte contre le cancer chez les enfants. est un organisme bénévole national, à caractère communautaire, dont la mission est l'éradication du cancer et l'amélioration de la qualité de vie des personnes touchées par le cancer. Pour en savoir plus sur le cancer, visitez le www.cancer.ca ou appelez notre Service d'information sur le cancer, un service gratuit et bilingue, au 1 888 939-3333. -30- Note : la survie est calculée à partir de la date du diagnostic de cancer jusqu à cinq ans après le diagnostic. Au Québec, la méthode de détermination de la date du diagnostic diffère de celle utilisée par les autres provinces. Par conséquent, les données de survie au Québec ne peuvent être comparées à celles des autres provinces. Renseignements : André Beaulieu, porte-parole et conseiller principal, Relations publiques Société canadienne du cancer, Division du Québec 514 393-3444 abeaulieu@quebec.cancer.ca