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Transcription:

Pint de cnjncture Décembre 2016 Crissance du PIB Déficit public 1,5 0,4 1,4-0,3 1,2 1,3 1,3-3,8-2,9-2,4-1,5 2015 2016 2017 2018 2019 Prévisins en France (en %) Banque de France Prévisins de 2017 (en %) Cmmissin eurpéenne CONJONCTURE EN FRANCE Crissance Seln la Banque de France, la crissance du PIB en 2016 s établirait à 1,3 %. La cnsmmatin des ménages et la frmatin brute de capital fixe (investissement) demeureraient les principaux mteurs de l activité. La demande intérieure cntribuerait alrs à une hausse de 1,7 pint du PIB. En revanche, le cmmerce extérieur pénaliserait l activité, à hauteur de 0,4 pint. Pur 2017, les prévisins de crissance de la France seraient semblables à celles de 2016, à savir une augmentatin du PIB de 1,3 %. Cncernant la zne eur, la Banque centrale eurpéenne anticipe une crissance de 1,7 % en 2016 et 2017, sit des niveaux supérieurs à celle de la France. Les dépenses des administratins publiques et l investissement en zne eur accélèreraient ntamment plus vivement qu en ntre pays. Directin des Affaires Écnmiques 1

Finances publiques Au 31 ctbre 2016, les recettes budgétaires augmentent de 3,5 % sur un an, à périmètre curant. Pur les seules recettes fiscales, la hausse s élève à 4,9 %, en raisn ntamment d un bnd des rentrées liées à la taxe intérieure de cnsmmatin sur les prduits énergétiques (+ 16,7 %). Parallèlement, à la même date, les dépenses budgétaires prgressent de 1,1 % sur un an, à périmètre curant. Les dépenses d investissement et d interventin accélèrent vivement (+ 7,1 % et + 14,2 % respectivement). A l inverse, les charges de la dette de l Etat se réduisent sur un an (- 2,1 %). Dès lrs, et en tenant cmpte des avances accrdées par l Etat aux cllectivités territriales et à l Unin eurpéenne, le déficit s élève à 85,5 milliards d eurs cntre 76,2 milliards un an auparavant à la même date. Le slde se dégrade ainsi de 12,2 % par rapprt à fin ctbre 2015. Par ailleurs, la Cmmissin eurpéenne estime désrmais que la France atteindra un déficit de 2,9 % du PIB en 2017. Le pays respecterait ainsi un des critères définis par le Traité de Maastricht (déficit public inférieur à 3 %) pur la première fis depuis 2008. Balance cmmerciale En ctbre 2016, le slde cmmercial est déficitaire de 5,2 milliards d eurs. Il s agit du déficit le plus élevé depuis aût 2014. Cette dégradatin des échanges s explique par une réductin des exprtatins (- 0,8 %) cmbinée à une augmentatin des imprtatins (+ 0,3 %). La balance cmmerciale de la France est très dépendante de l industrie aérnautique et spatiale. Dès lrs, du fait d une chute des exprtatins en ctbre dans ce secteur (- 17,9 %), l excédent ne s élève plus qu à 513 millins d eurs en ctbre, cntre 1,4 milliard le mis précédent. De même, les achats en hydrcarbures naturels nt prgressé, alurdissant de ce fait la facture énergétique. Par znes gégraphiques, les échanges extérieurs de la France se snt amélirés avec les autres pays de l Unin eurpéenne. La balance demeure néanmins nettement déficitaire (2,5 milliards d eurs). D autre part, le slde cmmercial avec l Amérique, excédentaire en septembre, est devenu déficitaire le mis suivant (442 millins d eurs). Inflatin En nvembre 2016, les prix à la cnsmmatin restent stables sur un mis. Les hausses bservées dans l énergie (+ 0,9 %) et l alimentatin (+ 0,1 %) cmpensent les baisses de prix dans les services (- 0,2 %) et les prduits manufacturés (- 0,1 %). Sur un an, les prix demeurent en hausse (+ 0,5 %). L augmentatin pur les prduits pétrliers et les cmmunicatins est significative (+ 4,1 % et + 2,9 % respectivement). En effet, le prix des services de téléphnie mbile s accrît cnsidérablement par rapprt à nvembre 2015. En revanche, le cût des prduits de santé se réduit sur un an (- 2,3 %). 2 Directin des Affaires Écnmiques

Cnfiance des ménages Taux de chômage 19,2 98,5 98,4 96,1 96,8 11,6 9,8 9,7 5,6 4,1 95,4 nv-15 févr-16 mai-16 aût-16 nv-16 Base 100 = myenne de lng terme - INSEE En ctbre 2016 (en %) - INSEE SITUATION DES MENAGES Cnfiance des ménages En nvembre 2016, la cnfiance des ménages a prgressé, alignant dès lrs une quatrième hausse mensuelle cnsécutive. Les ménages snt davantage ptimistes cncernant le niveau de vie en France. Leurs craintes sur l évlutin du chômage reculent également. En revanche, ils snt plus nmbreux que le mis précédent à déclarer une dégradatin de la situatin financière de leur fyer au curs des duze derniers mis. Chômage Fin ctbre 2016, le nmbre de demandeurs d empli en catégrie A, B et C s élève à 5,46 millins. Il s agit du deuxième mis cnsécutif de baisse (- 0,4 % après - 0,7 % en septembre). Par cntre, sur un an, le nmbre d inscrits augmente (+ 0,4 %, sit 20 900 inscrits supplémentaires). Tutefis, cette hausse se cncentre uniquement sur les demandeurs d empli exerçant une activité (catégries B et C). Pur les inscrits en catégrie A, le nmbre d inscrits recule de 2,8 % sur un an (- 107 700). Il n empêche, cette baisse peut s expliquer par une hausse significative des entrées en stage, bservée depuis le mis de mai 2016, et par le niveau recrd de radiatins administratives pérées en ctbre 2016. Cnsmmatin Après avir reculé en septembre, la cnsmmatin des ménages s est redressée au mis d ctbre (+ 0,9 %). Cette hausse s explique principalement par une reprise des dépenses dans l énergie (+ 3,6 %), les équipements du lgement (+ 2,5 %) et l habillement (+ 2,1 %). En revanche, la cnsmmatin de prduits alimentaires est quasiment stable (- 0,1 %) et les achats d autmbiles chutent (- 1 %). Sur un an, la cnsmmatin prgresse de 1,5 %, en raisn d un bnd des dépenses en équipements du lgement (+ 8,1 %). Les achats de prduits alimentaires prgressent également par rapprt à ctbre 2015 (+ 1,4 %). La cnsmmatin d énergie demeure en revanche quasiment stable (- 0,1 %). Directin des Affaires Écnmiques 3

Climat des affaires Perspectives d activité par secteur 101,5 102,2 102,4 Industrie Cmmerce 100,8 100,6 nv-15 févr-16 mai-16 aût-16 nv-16 Services Bâtiment Base 100 = myenne de lng terme - INSEE Evlutin de l pinin des chefs d entreprise en nvembre par rapprt au mis d ctbre - INSEE SITUATION DES ENTREPRISES Climat des affaires Le climat des affaires s est améliré au mis de nvembre 2016. Il atteint dès lrs sn plus haut niveau depuis juillet 2011. Dans les secteurs du bâtiment, du cmmerce et des services, le climat des affaires prgresse. Les chefs d entreprises du bâtiment snt plus nmbreux qu en ctbre à signaler une hausse de leur activité. Le taux d utilisatin des capacités de prductin augmente ainsi et retruve sn niveau d aût 2016. De même, davantage de dirigeants anticipent un rebnd de l activité lrs des prchains mis. En revanche, les entrepreneurs snt plus nmbreux qu en ctbre à prévir une baisse des effectifs futurs. Aussi, cmpte tenu de leurs effectifs actuels, les cmmandes n assurent-elles plus que 6,8 mis de travail, sit un niveau inférieur à celui bservé le mis dernier (6,9 mis). Après avir reculé les tris mis précédents, le climat des affaires dans le cmmerce de détail et le cmmerce et réparatin autmbile s est redressé en nvembre, retruvant alrs sn niveau de juillet 2016. L pinin des chefs d entreprise sur leurs ventes passées et futures s amélire, tandis que la situatin de la trésrerie est désrmais jugée nrmale (équivalente à la myenne de lng terme). Davantage de dirigeants des services cnstatent une augmentatin de l activité ces derniers mis. Les chefs d entreprise snt également plus nmbreux qu en ctbre à anticiper une hausse des effectifs et des investissements au curs des prchains mis. La demande prévue demeure en revanche stable. Dans l industrie, le climat se stabilise. Il demeure néanmins au-dessus de sa myenne de lng terme. Si les industriels snt plus nmbreux qu en ctbre à cnstater une hausse de leur activité lrs de ces derniers mis, ils se mntrent en revanche plus pessimistes pur les mis futurs. Les dirigeants signalent ntamment une baisse des carnets de cmmandes natinaux, nn cmpensée par la hausse des cmmandes sur les marchés étrangers. 4 Directin des Affaires Écnmiques

Financement des entreprises A fin ctbre 2016, les crédits mbilisés par les TPE-PME atteignent 385,2 milliards d eurs 1, sit une augmentatin de 2,8 % sur un an. La hausse des encurs s élève également à 2,8 % pur les ETI. Pur les grandes entreprises, elle est par cntre plus élevée (+ 6,4 %). Tutes tailles cnfndues, les encurs de crédits mbilisés prgressent nettement dans l industrie (+ 5,5 %). Ce secteur représente alrs 12,1 % des encurs de crédits des entreprises. En revanche, dans la cnstructin, les crédits mbilisés par les entrepreneurs n augmentent pas (- 0,1 %). Créatins d entreprises Crrigé des variatins saisnnières et des jurs uvrables, le nmbre de créatins d entreprises s élève à 48 755 en nvembre 2016. Il augmente dès lrs de 4,4 % sur un mis. Il s agit également du plus haut niveau depuis nvembre 2011. En dnnées brutes, le nmbre cumulé de créatins sur les 12 derniers mis accélère de 5,7 % sur un an, sit un ttal de 555 823 entreprises enregistrées, entre décembre 2015 et nvembre 2016. Seln le type, le nmbre d entreprises créées sur 12 mis augmente significativement pur les frmes sciétaires (+ 10,2 %) et les entreprises individuelles hrs micr-entrepreneurs (+ 12,5 %). En revanche, le nmbre de créatins d entreprises par des micr-entrepreneurs recule de 1,4 % sur un an. Ceux-ci ne représentent dès lrs plus que 40,4 % des créatins d entreprises, cntre 43,3 % un an plus tôt. Défaillances d entreprises En septembre 2016, le nmbre de défaillances de PME enregistrées s établit à 4 712. Dès lrs, le cumul sur 12 mis, en dnnées brutes, atteint 59 490 pur les entreprises de mins de 250 salariés, sit un repli de 5,5 % sur un an. Indépendamment de la taille, le nmbre de défaillances sur un an recule dans l ensemble des secteurs d activité, à l exceptin de l agriculture. Dans la cnstructin, la baisse est significative (- 10,2 %). Ce secteur ne représente dès lrs plus que 24,1 % des défaillances d entreprises, cntre 25,3 % un an plus tôt. La plupart des dnnées présentées dans ce dcument prviennent de l INSEE, de la Directin Générale des Duanes et Drits Indirects, de la Directin du Budget et de la Banque de France. 1 Ne snt cmptabilisées que les entreprises ayant un encurs de crédit déclaré de plus de 25 000 eurs. Directin des Affaires Écnmiques 5