Dossier de presse. La référence qualité en matière de maintenance



Documents pareils
Architecte. Informatique. Numérique. et Bureautique des Entreprises.

Architecte. Informatique. Numérique. et Bureautique des Entreprises.

Assessment & development center

ACTION DE GROUPE IMMOBILIERE 3F

Village des Métiers, de la Formation et de l Emploi

VAE. Validation des Acquis de l Expérience. Mon expérience professionnelle transformée en diplôme? C est fait pour moi! pratiques d Actalians SALARIÉ

Notre expertise construit votre performance. ici. ici. ici. ici. qualité immobilier optimisation services

La certifi cation des comptes, une exigence de transparence fi nancière

la conformité LES PRINCIPES D ACTION

STATUTS DE L ASSOCIATION REMP

J ai beau être son superpapa, je ne suis pas immortel.

L'EXERCICE DU DROIT SYNDICAL DANS LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE Année 2015

Veille sociale au 12 septembre 2014

démographie des masseurs-kinésithérapeutes

Épreuve d expression orale (tâche 2)

MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION PUBLIQUE ET DE LA REFORME DE L ÉTAT

Le tableau de bord de la fonction comptable

ACCORD DU 9 DECEMBRE 2014 PORTANT MODIFICATION DE L ACCORD RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUEL DU 21 MARS 2007

Réunion d informations du 12 novembre La réforme de la formation professionnelle : analyse des changements apportés par la loi du 5 mars 2014

Les métiers de l informatique. à la direction générale des Finances publiques

R EPÈRES GUIDE DE L'ACCÈS AU LOGEMENT SE LOGER À L'USAGE SIAO INSERTION 75, UT DRIHL PARIS DES TRAVAILLEURS SOCIAUX

ma référence solidaire

90 logements en habitat participatif, ZAC de la Cartoucherie Toulouse

ma référence solidaire

Etre societaire, pour vivre la banque autrement.

d adhésion Dossier Vous trouverez dans ce dossier à imprimer : 3 étapes pour adhérer :

Une association qui entreprend au service de l intérêt général

Présentation UNIFAF / Réforme de la Formation Professionnelle Continue / Les dispositifs UNIFAF

Notre industrie : le SERVICE

d adhésion Un mandat de prélèvement SEPA

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE ET DE LA SOLIDARITÉ CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale

Envoyer. de l argent à l étranger. Le site d informations pratiques sur la banque et l argent LES MINI-GUIDES BANCAIRES

TRANSPORT EN AMBULANCE VSL - TAXI. Marché à procédure adaptée. Dossier S REGLEMENT DE LA CONSULTATION

Maximiser la performance de vos projets immobiliers de bureaux

COTISATIONS ET POINTS DE

Démographie des masseurs-kinésithérapeutes

LES FEUX D HABITATION À PARIS

ECM ENTERPRISE CONTENT MANAGEMENT POUR

LA VERSION ELECTRONIQUE FAIT FOI

Service Courrier. L externalisation de l envoi de vos documents de gestion : Quels gains pour votre entreprise?

Technico-commercial en Packaging et façonnages papetiers (étiquettes, articles de papeterie, sacs)

ÉTUDES SUPÉRIEURES EN INITIAL

Juillet Réponse de la MGEN et de la MS Consultation sur la gouvernance d entreprise 1

I- Quel est le but du contrôle «quinquennal» (contrôle obligatoire tous les cinq ans)?

Formulaire de demande d aide financière extra-légale

Les dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France

PRÊTS IMMOBILIERS. Concrétisez vos projets immobiliers!

MARCHÉ PUBLIC DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES RÈGLEMENT DE LA CONSULTATION

FORMATION CONTINUE Accélérateur de compétences commerciales

- Validation des Acquis de l Expérience - Certificat de Qualification Professionnelle «Relation Clientèle Assurance»

Interpeller le gouvernement et négocier

ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE SUR LA VALIDATION DES ACQUIS ET DE L EXPERIENCE DU 6 JUIN 2006

REGLES D ATTRIBUTION ET DE SUIVI DE LA CERTIFICATION AMIANTE 1552

III MEMBRES I BUTS II SIÈGE

Rapport final de la Mission d information et d évaluation sur :

REPERTOIRE PROFESSIONNEL DES CONSULTANTS FORMATEURS INDEPENDANTS

Quelle durée retenir?

I QUATRE PROPOSITIONS POUR MAINTENIR PERSONNES DANS L EMPLOI

Guide du futur. propriétaire. Le groupe SNI vous donne les clés

LE COMPTE EPARGNE TEMPS

MISE EN PLACE D UNE DEMARCHE CQP / CQPI AU SEIN D UNE BRANCHE

MEMBRE AFFILIE à la FEDERATION FRANCAISE DE MUSICOTHERAPIE

Objet de la consultation

Le chapitre 12 : Le Sport Professionnel

POUR LE DÉVELOPPEMENT DU TERRITOIRE D EST ENSEMBLE

Règlement intérieur de l Université Sorbonne Paris Cité

CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions

LE BEL AVENIR DU TRAVAIL PRÉCAIRE

Le compte professionnel LES MINI-GUIDES BANCAIRES DES PROFESSIONNELS

Livret 1 : Livret de recevabilité de la demande de VAE

CIRCULAIRE CDG90 COMITE TECHNIQUE COMITE D HYGIENE, DE SECURITE ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL COMMISSION ADMINISTRATIVE PARITAIRE

AGENCE POUR LE DÉVELOPPEMENT DE L EMPLOI

REFERENTIEL DU CQPM. TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 OBJECTIF PROFESSIONNEL DU CQPM

Alerte. «Les Organisations Syndicales doivent établir des comptes annuels pour 2009 ainsi que des comptes consolidés»

SOLUTION DE PAIEMENT PAR INTERNET. Facilitateur de commerce

Un outil de portage au service des copropriétés

Ta formation, ton avenir

Catalogue Formation. Prévention des risques. Réglementations et choix techniques. Construction durable et énergies. Immobilier et logement social

Avenant Avenant du 28 avril 2014 à l accord du 6 juillet 2010 relatif aux certificats de qualification professionnelle

PROJETS DE RESOLUTIONS A SOUMETTRE A L ASSEMBLEE GENERALE MIXTE DU 27 MAI 2014

Maintenance des parcs informatiques des écoles de Charente-Maritime. Charte de référencement des prestataires informatiques

>> Concrètement, qu est-ce que l Assurance Maladie Risques Professionnels vous propose?

CHAPITRE I ER NÉGOCIATION DE BRANCHE

LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE :

Protocole d accord sur l Observatoire prospectif des métiers et des qualifications du Spectacle Vivant

Les partenariats associations & entreprises

Votre contrat Prévoyance / Dépendance Entreprise

Otilift elevator company

NOGENT PERCHE HABITAT Office Public de l Habitat

COUR DES COMPTES. L informatique administrative en Région wallonne. Rapport de la Cour des comptes transmis au Parlement wallon

BLANC MIQUEL IMMOBILIER

Prestation de service Lieu d accueil enfants - parents. Juin /5

Société Civile de Placements Immobiliers à capital fixe

Fiche d informations pour le domaine d expertise Microsoft Business Solutions (Solutions d entreprise)

mode d emploi Représentativité des syndicats

ACCORD SUR LES ASTREINTES UES CAPGEMINI

UNIS. Ce que tout copropriétaire doit connaître COLLECTION LIVRET 4 TOUT SAVOIR SUR. Le conseil syndical

Un exemple de métamorphoses des missions et des métiers : le projet Santé Active

CERTIFICAT E-COMMERCE

Prix EAC Meilleure Animation Culturelle 2014

Transcription:

Dossier de presse La référence qualité en matière de maintenance

UN SECTEUR, OBJET D INVESTISSEMENTS CONSÉQUENTS Depuis de nombreuses années, les propriétaires d ascenseurs ont investi massivement pour effectuer les travaux de mises aux normes. La loi a défi ni 17 dispositifs de sécurité visant à réduire les principaux risques d accidents (Loi n 2003-590 du 2 juillet 2003 «urbanisme et habitat»). Trois phases ont été fi xées légalement pour échelonner les travaux d amélioration de la sécurité à effectuer en 2010, 2014 et 2018. En France, plus de 400 000 ascenseurs sont concernés par ces travaux. Les propriétaires ont dépensé 2,8 milliards d euros pour réaliser la première phase et 4,5 milliards d euros pour la deuxième. Ces travaux, près de 20 000 euros par appareil, représentent un effort fi nancier important de la part des propriétaires d ascenseurs. Ces investissements concernent les travaux d amélioration de la sécurité mais n ont pas traité du sujet de la maintenance pour laquelle des problèmes persistent. Nombre d usagers se plaignent des pannes récurrentes et de l indisponibilité de leur ascenseur sur de longues durées. 1 Réalisation d un bilan de l avancement des travaux réglementaires de mise en sécurité des ascenseurs, Ministère de l égalité des territoires et du logement, Janvier 2013

LA NÉCESSITÉ D AMÉLIORER LA MAINTENANCE Pour les bailleurs sociaux, il y avait donc un enjeu majeur à s attaquer à ce sujet d insatisfaction des locataires et à répondre ainsi à l objectif d amélioration de la qualité de service qui les guide. C était aussi une demande des locataires. C est pourquoi, à l initiative du Maire de Paris, une réfl exion a été engagée sur la création d une structure inter-bailleurs relative à la maintenance des ascenseurs. C est ainsi que le 18 octobre 2013, l Association Exigence Ascenseurs (AEA), initiative innovante des bailleurs, a vu le jour. Elle a pour objet, à l échelle de l Île-de-France, de mettre en place un référentiel destiné à améliorer la qualité de service des ascenseurs et la sécurité. Les ascensoristes répondant aux exigences seront référencés par l association. L AORIF a bien entendu été étroitement associée à cette démarche et est membre adhérent de l association. LE FONCTIONNEMENT DE L ASSOCIATION La composition : 1 er collège : 19 bailleurs sociaux présents en Île-de-France représentant 560 000 logements et 15 000 ascenseurs, 2 e collège : des associations d usagers et de locataires du parc social, 3 e collège : des personnalités qualifi ées. Le financement Le fi nancement de l association est assuré par les bailleurs sociaux adhérents. Le montant de la cotisation annuelle est calculé en fonction de la taille du parc d ascenseurs. de 1 à 99 ascenseurs 1 000 ; de 100 à 499 ascenseurs 5 000 ; de 500 à 1 999 ascenseurs 10 000 ; plus de 2 000 ascenseurs 20 000. Les usagers et personnalités qualifi ées versent chacun une cotisation symbolique de dix euros. Le comité de référencement Ce comité paritaire gère l attribution du référentiel. Les trois collèges y sont représentés et disposent chacun d une voix.

LES MEMBRES Aujourd hui, nombre de bailleurs, d associations d usagers et de professionnels ont rejoint l association : Premier Collège : les bailleurs sociaux Antin Résidences, Batigère Île-de-France, Bobigny Habitat, Bondy Habitat, Colombes Habitat Public, Domaxis, Elogie, Emmaüs Habitat, Groupe Logement Français, ICF Habitat La Sablière, LogiRep, OPH de Seine Saint Denis, Opievoy, Osica, Paris Habitat, RIVP, SIEMP, Val d Oise Habitat, Vilogia. Deuxième Collège : les usagers La Confédération Nationale du Logement (CNL), le Syndicat du Logement et de la Consommation - Confédération Syndicale des Familles (SLC-CSF), l Union Départementale des Associations Familiales (UDAF). Troisième Collège : les personnalités qualifiées La COFNA (Coordination des Organismes Français Notifi és pour l évaluation de la conformité des Ascenseurs) est une association de membres notifi és par la commission européenne dans le cadre des procédures de mise sur le marché destinées à l obtention du marquage «CE» des ascenseurs. La COPREC est une organisation professionnelle qui fédère les organismes de prévention, d inspection et de contrôle tierce partie indépendante. La FIEBCA (Fédération des Indépendants Experts et Bureaux de Contrôle Ascenseurs), regroupe une trentaine de sociétés d experts indépendants, professionnels du contrôle, du conseil ou des études en ascenseur. MASE (Manuel d Amélioration Sécurité Entreprises) est un système de management géré par une association dont l objectif est l amélioration continue et permanente des performances sécurité, santé et environnement. Cette association fédère plus de 4 000 adhérents dont 80% sont des entreprises de moins de 100 salariés. Les membres d honneur L AORIF (l Union sociale pour l habitat d Île-de-France) et la CRAMIF (Caisse Régionale d Assurance Maladie d Île-de-France) soutiennent cette initiative. Les groupements professionnels des sociétés d ascenseurs ont été informés de la démarche dès le mois d octobre 2012 et destinataires du projet de référentiel AEA. Pour le moment, ils n ont pas souhaité être associés à la démarche.

LE RÉFÉRENTIEL L élaboration du référentiel Portés par une même ambition, les usagers et les bailleurs ont engagé une réfl exion commune sur les axes d amélioration en matière de maintenance des ascenseurs. Ils ont été à la rencontre des professionnels du secteur. Ces différentes réunions de concertation ont abouti à la création d un référentiel. La situation des PME du secteur a fait l objet d une attention particulière lors de la défi nition des critères. Ils ont ainsi été conçus de manière à s adapter à des structures de taille moyenne dans un secteur fortement marqué par la présence de quatre majors. Les 5 axes Les réunions de concertation ont permis de faire émerger cinq axes, avec pour objectif d apporter des améliorations réelles du service en maîtrisant les impacts de coûts pour les bailleurs comme pour les locataires. axe 1 : la sécurité L association demandera aux candidats d être certifi és MASE (Manuel d Amélioration de la Sécurité des Entreprises). Cette certifi cation sécurité, santé et environnement existe depuis plus de dix ans et a obtenu des résultats probants dans les domaines de l industrie et des services. Au regard des résultats MASE, les entreprises certifi ées ont diminué fortement la fréquence et la gravité des accidents du travail. axe 2 : l information des usagers Le référentiel réaffi rme la nécessité de communiquer auprès des usagers sur les différentes étapes d intervention. L ascensoriste devra signaler sa présence et informer sur les arrêts d appareils : affi chage au cours de l intervention de maintenance préventive ou de dépannage, indication de la date de dernière maintenance, information lorsqu un appareil est laissé à l arrêt suite à une panne et actualisation de cette information lorsque l arrêt se prolonge au-delà de 72 heures. La réalité de cette information sera contrôlée de façon inopinée.

axe 3 : la prévention et la formation Une expérience minimale de deux ans sera exigée pour un technicien intervenant seul sur un ascenseur (un an si la personne justifi e d une formation diplômante). Il impose également à l entreprise de défi nir les différentes catégories d appareils qu elle entretient et d adapter la formation de ses techniciens aux catégories rencontrées. Cette disposition a aussi pour objet d assurer des niveaux de qualifi cation adaptés lors des interventions de nuit, de week-end ou lors des périodes de congés. axe 4 : l entretien des appareils Une limite de 90 appareils est imposée par tournée de maintenance pour un technicien. Par ailleurs, en tenant compte des typologies d appareils, la tournée doit être défi nie et adaptée en fonction des opérations de maintenance et de la durée minimale d intervention requise. axe 5 : les dépannages Les pannes survenant les week-ends et jours fériés ainsi que les pannes récurrentes sont particulièrement pénalisantes pour les habitants. L ascensoriste devra justifi er d une organisation capable de remettre en service les appareils les week-ends et les jours fériés. Cette organisation devra également être en mesure de détecter rapidement les pannes récurrentes et de les traiter. Le référencement des ascensoristes Le référencement se séquence en quatre étapes principales : 1 re étape L ascensoriste qui souhaite bénéfi cier du référentiel AEA adresse une demande de candidature à l association et s engage à se mettre en conformité avec le cahier des charges. 2 e étape L ascensoriste adapte son organisation et arrête des procédures. 3 e étape L ascensoriste déclenche, à ses frais, un audit mené par un organisme de contrôle indépendant. Les résultats de l audit sont présentés au comité de référencement d AEA qui statue sur le référencement pour une période de 3 ans. 4 e étape En cas de référencement, un audit de suivi est déclenché au bout de 18 mois et des audits inopinés réalisés par l association viennent contrôler le respect des engagements.

LES CHIFFRES CLÉS 19 membres bailleurs 560 000 45% ascenseurs 15 000 3membres usagers 4 membres personnalités qualifi ées Le parc locatif d AEA représente du parc locatif social. 25% LES PERSPECTIVES logements qui représentent des logements sociaux d Île-de-France Le parc locatif social représente 12% du parc national d ascenseurs. 82% des contrats d entretien d ascenseurs sont confi és à des entreprises ascensoristes qui comptent plus de 400 salariés, à savoir 4 groupes en France. Dès l année prochaine, les démarches de référencement pourront débuter. D ici un an, une partie des ascensoristes aura adapté son organisation et les premiers référencements seront engagés. Les bailleurs membres intégreront le référentiel à leur cahier des charges lors de leurs appels d offres et dès 2014, plus du tiers des contrats seront remis en concurrence. L association engage d ores et déjà, par le biais de son comité de référencement, la rédaction d un guide d utilisation à l usage de ses adhérents et s attachera, via son Conseil d administration, à développer cette initiative en Île-de-France, aussi bien auprès des bailleurs que des professionnels des ascenseurs. Cette initiative vise à rétablir une compétitivité respectueuse des utilisateurs et des conditions de travail des salariés en Île-de-France. Le référentiel est la traduction d une démarche responsable, collective et innovante engagée par des bailleurs sociaux. CONTACTS PRESSE ICF Habitat La Sablière Martine Gillot martine.gillot@icfhabitat.fr 06 75 47 97 43 Paris Habitat Juliette Zylberberg juliette.zylberberg@parishabitat.fr 01 71 37 02 83-06 42 21 24 31 RIVP Gwenaëlle Joffre gwenaelle.joffre@rivp.fr 01 77 75 11 95-06 30 15 66 84

LES MEMBRES Les bailleurs sociaux Les usagers Les professionnels Les membres d honneur

MASE MANUEL D AMÉLIORATION DE LA SÉCURITÉ DES ENTREPRISES MASE est un système de management sécurité, santé et environnement dont l objectif est l amélioration continue et permanente des performances. Ce système a été mis en place par des industriels bénévoles qui se sont regroupés en associations régionales. Ils ont mis en place une organisation permettant de motiver les entreprises à développer un système de management de la sécurité et de contrôler l effi cacité par un suivi des résultats des adhérents. MASE compte au 30 septembre 2013, plus de 4 300 entreprises adhérentes, dont 3 100 déjà certifi ées. Ce système de management est mis en place dans plus d une dizaine de secteurs aussi bien dans les domaines de l industrie que des services. Parmi les entreprises certifi ées, 80% d entre elles ont moins d une centaine de salariés. Enfi n le système MASE évalue les résultats des entreprises engagées dans cette démarche en suivant le taux de fréquence et le taux de gravité des accidents du travail des entreprises engagées et certifi ées.