Jeunes réfugiées bhoutanaises au camp de Beldangi, au Népal oriental. 38 Appel global du HCR
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- Marie-Rose Martel
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1 38 Appel global du HCR Jeunes réfugiées bhoutanaises au camp de Beldangi, au Népal oriental.
2 Subvenir aux besoins essentiels Quels sont les besoins les plus pressants d une personne qui a fui son pays à cause d un conflit ou de persécutions? Ce chapitre cherchera à répondre à cette question en montrant, par des exemples, comment le HCR et ses partenaires assurent la survie immédiate des personnes qui ont été déplacées et leur donnent les moyens de rester en bonne santé et de résister en attendant de trouver des solutions plus durables. Les défis sont nombreux ; si l on veut les relever, il faut que la communauté internationale fasse preuve de solidarité vis-à-vis de populations qui figurent parmi les plus démunies au monde. HCR / S. BHATTARAI Appel global du HCR 39
3 S U B V E N I R A U X BESOINS ESSENTIELS En 2013, les projecteurs des médias ont été constamment braqués sur la crise en République arabe syrienne (Syrie) et dans la région alentour : ainsi, il ne s est pas écoulé un jour sans que ne nous soit rappelé, de manière poignante, le sort de ceux qui, dans de nombreux pays, ont été arrachés à leur foyer. Coupés de leur univers familier, des millions de femmes, d hommes, de garçons et de filles se retrouvent privés de tout ce qu ils connaissaient et de tout ce qu ils aimaient. En 2014, le HCR continuera de subvenir aux besoins les plus urgents des personnes déplacées vivant dans des camps et des zones urbaines. Le Haut Commissariat renforcera la capacité des États hôtes à répondre aux nouvelles crises de réfugiés, ainsi qu aux situations prolongées. Les programmes d assistance tireront parti des compétences des spécialistes du HCR et de ses partenaires techniques, issus de la communauté humanitaire ou du secteur du développement, ainsi que des institutions publiques, des universités et des fondations privées. Toutes les décisions seront prises en tenant compte de l opinion des réfugiés. Vous trouverez un aperçu de certains domaines d intervention prévus pour l année à venir, accompagné d exemples, dans la matrice du chapitre. Ces domaines d intervention sont extraits du programme du HCR pour l exercice biennal SANTÉ Les maladies contagieuses constituent la principale cause de mortalité et de morbidité chez les réfugiés, en particulier pendant la phase d urgence. Le HCR veillera à ce que tous les camps de réfugiés soient dotés de plans actualisés de réponse aux épidémies. Il aidera à consolider les systèmes nationaux d alerte rapide en cas d épidémie et renforcera les programmes multisectoriels de prévention et de réponse qui relient le secteur de la santé publique et le secteur de l eau, de l assainissement et de l hygiène (WASH). Une attention particulière sera accordée à la survie des enfants. L Organisation s efforcera d améliorer et d étendre les programmes de vaccination, ainsi que l utilisation de protocoles cliniques standardisés. Elle cherchera également à stimuler la participation des collectivités aux programmes sanitaires. Les réfugiés recevront des services de santé mentale et un accompagnement psychosocial ; parallèlement, le traitement des maladies non contagieuses bénéficiera d une attention accrue. Comme les régimes d assurance maladie se sont avérés viables pour les réfugiés qui ne vivent pas dans des camps, de nouveaux régimes seront appliqués aux opérations en Afrique, en Asie et au Moyen-Orient. La plateforme d information sanitaire en ligne Twine (twine.unhcr.org) sera totalement en service en Elle comprendra des outils et des informations concernant divers domaines de la santé publique, dont la santé, le VIH et le sida, la nutrition, la sécurité alimentaire, ainsi que l eau, l assainissement et l hygiène. La plateforme améliorera les interactions, non seulement entre différents secteurs du HCR mais aussi entre le HCR et des partenaires comme les ministères de la santé et des ressources naturelles, les ONG et les donateurs. VIH ET SANTÉ PROCRÉATIVE Le HCR continue d intégrer ses programmes en matière de santé sexuelle et procréative, ainsi que ses programmes de lutte contre le VIH, dans le dispositif global d intervention humanitaire par l intermédiaire de l ONUSIDA (voir aussi le chapitre Collaboration avec les partenaires). L intégration des réfugiés dans les systèmes LES MALADIES CONTAGIEUSES CONSTITUENT LA PRINCIPALE CAUSE DE MORTALITÉ ET DE MORBIDITÉ CHEZ LES RÉFUGIÉS nationaux demeurera au premier plan des priorités. Dans cette optique, le HCR coopèrera avec les autorités nationales qui appliquent des programmes de lutte contre le VIH et le sida pour élargir l accès des enfants et des adultes réfugiés aux traitements antirétroviraux. L accent sera mis en particulier sur l élimination de la transmission de la mère à l enfant, une tâche délicate dans certains secteurs de l Afrique subsaharienne. Compte tenu de l augmentation du nombre de réfugiés qui suivent un traitement antirétroviral, le HCR améliorera la régularité du traitement en mettant en place de solides systèmes d appui communautaire. SÉCURITÉ ALIMENTAIRE ET NUTRITION Malgré les améliorations notables observées ces dernières années, les taux d anémie, de malnutrition aiguë et de retards de croissance excèdent les normes admissibles dans la plupart des opérations. La stratégie du HCR pour améliorer l état nutritionnel des personnes qui relèvent de sa compétence consistera en premier lieu à fournir des compléments alimentaires fortifiés aux plus vulnérables des femmes et des enfants réfugiés, ou à distribuer des bons d achat ou des allocations en espèces à cet effet. Une attention non moins grande sera accordée à la promotion des pratiques saines d alimentation du nourrisson et du jeune enfant, ainsi qu au traitement de la malnutrition. La promotion de pratiques adéquates d alimentation au début des situations d urgence est particulièrement importante car elle permet de sauver la vie des nourrissons et des enfants de moins de deux ans les plus vulnérables. Des campagnes de sensibilisation encourageront les pratiques alimentaires qui favorisent le bien-être nutritionnel et réduisent la morbidité chez les enfants de moins de 24 mois. Le HCR recherchera également des solutions locales et adaptables à la culture des bénéficiaires pour prévenir la malnutrition. Celles-ci consistent notamment à élargir l accès au lait frais au sein des populations d éleveurs et à tirer parti de certains aliments traditionnels susceptibles d améliorer la nutrition, comme les insectes. Il est difficile d obtenir des informations sur l état nutritionnel des populations réfugiées vivant en milieu urbain. En 2014, le HCR s attaquera à ce problème en introduisant de nouvelles méthodologies pour réaliser des études nutritionnelles auprès des réfugiés urbains. EAU, ASSAINISSEMENT ET HYGIÈNE (WASH) En 2013, le HCR et ses partenaires sont parvenus à atteindre les niveaux de base pour les indicateurs WASH dans des pays clés, où des opérations d urgence étaient en cours. Cependant, il faudra encore relever des défis majeurs en 2014, en particulier dans les pays qui subissent les répercussions de la situation en Syrie (Liban, Iraq et Jordanie). En milieu urbain, il s est avéré particulièrement difficile de cibler les personnes relevant de la compétence du HCR qui avaient besoin d une aide dans le secteur WASH. De concert avec l UNICEF, le HCR élabore actuellement un instrument pour calculer le coût de l eau fournie aux réfugiés dans les camps, en vue d améliorer la conception et la gestion des réseaux de distribution de l eau. Par le passé, les systèmes WASH étaient souvent mis en place sans tenir compte des besoins en matière d entretien à long terme et des effets sur (suite à la page 43) u 40 Appel global du HCR
4 DOMAINES D INTERVENTION PRÉVUS EN 2014 BESOINS DE BASE ET SERVICES ESSENTIELS Santé publique EXEMPLES Renforcer le suivi de la qualité des programmes de soins primaires Favoriser la survie de l enfance grâce à la meilleure couverture des programmes de vaccination élargis Faciliter l accès aux mesures intégrées de prévention et de lutte contre les maladies chroniques Améliorer les programmes de santé mentale et de soutien psychosocial Assurer l accès aux soins spécialisés et l accès aux systèmes de santé nationaux, y compris aux régimes d assurance maladie Renforcer les programmes de santé fondés sur des données probantes dans les zones urbaines VIH et santé procréative Améliorer l accès des femmes aux programmes intégrés de santé de la procréation et aux technologies innovantes Assurer l accès aux traitements antirétroviraux et éliminer la transmission mère-enfant du VIH-sida Promouvoir la santé des femmes Nutrition et sécurité alimentaire Améliorer la détection de l anémie Améliorer les pratiques d alimentation du nourrisson et du jeune enfant Maintenir la qualité des données issues des études nutritionnelles afin d éclairer les interventions programmatiques Eau, assainissement et hygiène (WASH) Améliorer le suivi de la qualité des programmes WASH Renforcer la capacité d intervention dans le secteur WASH lors des nouvelles situations d urgence touchant des réfugiés Appliquer l innovation aux activités menées dans le secteur WASH Abris et zones d installation Mettre au point une réponse globale pour les abris et les zones d installation en situation d urgence Intégrer les zones d installation dans les processus de planification des mesures d urgence Renforcer la capacité du HCR à proposer un assortiment de solutions en matière de zones d installation Investir dans la recherche et le développement pour mettre au point des solutions innovantes en matière d abris Environnement et énergie Développer une vision à long terme sur l accès à l énergie Fournir des réchauds plus propres, notamment des dispositifs utilisant des énergies renouvelables, aux réfugiés Renforcer la capacité de suivi et d évaluation Mettre la gestion de l environnement au cœur de toute intervention humanitaire La méthodologie des «tableaux de bord prospectifs», faisant appel à la participation de la collectivité et élaborée avec l Université John Hopkins, sera introduite dans 20 sites accueillant des réfugiés. La couverture des programmes de vaccination élargis sera améliorée dans cinq pays qui n atteignent pas la cible en Les protocoles cliniques seront actualisés pour les maladies non contagieuses les plus courantes et trois pays bénéficieront d une aide pour améliorer leurs programmes de lutte contre les maladies non contagieuses. Des missions d évaluation et d appui aux programmes de santé mentale et de soutien psychosocial seront entreprises dans 10 pays, conformément aux principes directeurs du HCR. Une évaluation et une étude des possibilités d introduction d un régime d assurance maladie seront réalisées dans 8 pays. La collecte et l utilisation systématique de données au moyen du système d information sanitaire en milieu urbain et du système de surveillance prospective en milieu urbain seront développées. Un nouveau plan stratégique quinquennal ( ) sur la santé de la procréation et le VIH sera mis en œuvre. Une version actualisée du Guide clinique pour la prise en charge antirétrovirale des populations déplacées sera publiée. Le HCR et ses partenaires feront activement campagne pour que les vaccins contre le virus du papillome humain (VPH) soient mis à la disposition des jeunes filles réfugiées dans les pays où la population nationale y a déjà accès. 20 opérations soumettront toutes les femmes enceintes à un dépistage de l anémie. De nouvelles interventions destinées à faciliter l alimentation du nourrisson et du jeune enfant notamment l aménagement d espaces amis des bébés et de biberonneries seront menées dans cinq pays. La méthode standardisée du HCR pour les études nutritionnelles étendues sera appliquée dans 20 opérations à l aide de la téléphonie mobile. Une étude standardisée des connaissances, attitudes et pratiques sera réalisée dans deux pays. Un stage de formation sur les programmes WASH en situation d urgence sera organisé à l intention du personnel du HCR et de ses partenaires mobilisables en renfort. Un système de pompes solaires sera mis à l essai dans deux pays. La stratégie globale du HCR pour les abris et zones d installation ( ) sera diffusée et mise en œuvre. Les stratégies relatives aux zones d installation seront intégrées aux processus de planification des mesures d urgence et comprendront une série de configurations et de plans adaptés pour les abris et les zones d installation dans une situation donnée. Des directives opérationnelles sur les réfugiés vivant dans des villes et des villages d accueil seront lancées. Une plateforme interactive sur le web proposera des conseils sectoriels et un éventail de solutions en matière d abris. Le premier programme d autoformation en ligne du HCR sur les abris et zones d installation sera organisé. Les activités de recherche et de développement destinées à améliorer les caractéristiques techniques des tentes se poursuivront ; d autres types d abris, utilisant des technologies innovantes, seront mis au point. Une stratégie à cinq ans sur l accès à l énergie dans les camps de réfugiés sera lancée dans 6 à 8 pays. Le HCR entend promouvoir les idées novatrices, ainsi que les solutions fondées sur les énergies renouvelables dans au moins deux grandes opérations (une en Afrique et une dans la région MENA). Un solide cadre de suivi et d évaluation sera élaboré pour la gestion des ressources naturelles et les activités en lien avec l énergie domestique ; le personnel du HCR et de ses partenaires sera formé à son utilisation. Deux ateliers sur l intégration de la gestion environnementale dans les opérations humanitaires seront assurés. Appel global du HCR 41
5 NOUVELLES ET OPINIONS Trésor liquide : le défi de l approvisionnement en eau potable dans un nouveau camp de réfugiés Cet article est une version adaptée d une chronique d actualité du HCR 4 JUILLET 2013 Ab Gadam, Tchad, juillet 2013 Bon nombre de gens aiment avoir un verre d eau à côté de leur lit pour le cas où ils auraient soif en pleine nuit. Zenab, elle, a un jerrycan rempli à ras bord du précieux fluide. «C est notre ration d urgence», expliquet-elle au HCR. Cette réfugiée, mère de cinq enfants est originaire de la région troublée du Darfour occidental (Soudan) et vit dans un camp situé dans une région semi-aride du sud-est du Tchad, où l eau potable n est pas une ressource disponible en abondance, mais un luxe. Veiller à ce que les réfugiés accueillis dans le camp d Ab Gadam, récemment ouvert, aient suffisamment d eau pour étancher leur soif et pour faire la cuisine est donc un véritable défi. Le volume minimum recommandé en situation d urgence est de 15 litres par personne et par jour mais à Ab Gadam, le HCR et ses partenaires ont toutes les peines du monde à atteindre 10 litres par personne et par jour. Pour l instant, ils filtrent l eau d un lac situé à proximité, qui constituera la principale source d approvisionnement du camp lorsque les pluies arriveront et que le site sera coupé du reste du pays. Le volume minimum nécessaire à la survie est de 7 litres. «C est vraiment grave [...] Il faut augmenter l approvisionnement et c est ce que nous nous efforçons de faire», indique Dominique Porteaud, le responsable du HCR chargé de l eau et de l assainissement. Si les gens n ont pas assez d eau potable, explique-t-il, ils se tourneront vers d autres sources, non traitées, ce qui pourrait entraîner des épidémies. Depuis que le camp a ouvert ses portes en mai, le HCR transporte par camion-citerne l eau d un lac situé dans la ville de Tissi. Mais paradoxalement, cette source d approvisionnement ne sera plus accessible à la saison des pluies. Pour accroître l alimentation en eau, il faudra donc prendre d autres mesures, consistant notamment à augmenter le nombre de réservoirs sur le site, ainsi que le nombre de camions-citernes disponibles, et à continuer à chercher des forages productifs une démarche qui a été couronnée de succès à la fin du mois de juin. Le HCR est bien évidemment encouragé par cette découverte mais la principale source d approvisionnement, pendant les semaines à venir, sera un lac situé à neuf kilomètres environ d Ab Gadam. Le problème, c est que l eau du lac n est pas potable. Heureusement, une station d épuration de l eau a été construite avec le concours de deux partenaires, l Aide de l Église norvégienne et le Comité international de secours. Actuellement, l eau produite par la station permet de fournir au moins 10,5 litres par jour à chaque réfugié. HCR / S. BALDWIN Les réfugiés eux-mêmes participent aux efforts déployés pour faire le meilleur usage possible des réserves disponibles : un comité formé de réfugiés a récemment été élu pour surveiller l approvisionnement en eau. Traitée à l aide de produits chimiques dans de grands réservoirs, l eau brune du lac est claire, propre et potable à sa sortie, au terme d un cycle de 11 heures. HCR/R.SCHOEFFL Pour leur part, Zenab et sa famille sont plus qu heureuses de bénéficier d une ration quotidienne de 80 litres. Mais Zenab s inquiète toujours de l avenir et c est pour cette raison qu elle garde un jerrycan rempli d eau en réserve elle se sent un peu plus en sécurité. 42 Appel global du HCR
6 S U B V E N I R A U X BESOINS ESSENTIELS Une école abandonnée de Saïda (Liban) accueille désormais des centaines de réfugiés syriens. (suite de la page 40) u l environnement, tels que la baisse du niveau des aquifères. Le HCR collabore avec des partenaires suisses, issus des milieux universitaires ou spécialistes du développement, pour éviter que cela ne se reproduise. L Organisation entend également mettre en œuvre le deuxième volet de son système de surveillance de l eau, de l assainissement et de l hygiène en Le système recueille des informations à l échelon des ménages, ce qui permet de cibler l assistance pour répondre à des besoins particuliers. ABRIS ET ZONES D INSTALLATION L objectif principal de la méthodologie du HCR en matière d abris et de zones d installation, dite du «Plan directeur» et élaborée avec le concours de l Université de Stanford, est de réduire la vulnérabilité socioéconomique de la population relevant de sa compétence. Dans cette optique, le HCR s est employé, en partenariat avec des universitaires et des architectes, à tirer les enseignements des opérations menées sur le terrain au Rwanda, en Éthiopie et en Jordanie et à créer un instrument de référence pratique pour la conception des zones d installation. Le guide d aide à la conception résultant de ces efforts et une série de plans de zones d installation seront mis à l essai dans deux pays en L ampleur et la nature du déplacement généré par la crise en Syrie ont confirmé la nécessité de renforcer la capacité à fournir des solutions combinées en matière d abris et de zones d installation en milieu urbain. Tant la population déplacée que la population résidente se voient offrir tout un éventail de solutions dans le secteur de l hébergement : aide financière et articles de secours essentiels pour les familles d accueil, allocations logement, réfection des bâtiments publics en vue de leur reconversion en centres collectifs et rénovation des logements. Le HCR soutient toujours activement les programmes d abris fondés sur l achat de matériaux sur place afin de renforcer l utilisation de techniques de construction traditionnelles et adaptées aux spécificités culturelles, en particulier au Soudan du Sud, au Myanmar et au Mali. Le HCR est tout aussi déterminé à appliquer de nouvelles technologies et à employer des matériaux de construction novateurs. Un nouvel abri modulaire léger, mis au point par le HCR avec le soutien d IKEA, a été mis à l essai à Dollo Ado (Éthiopie). À l issue d une évaluation des performances de l abri, le Haut Commissariat envisagera une application dans des projets à plus grande échelle. ENVIRONNEMENT ET ÉNERGIE La stratégie du HCR en matière d accès à l énergie vise à améliorer la sécurité, à réduire les cas de violence sexuelle et sexiste en rapport avec la collecte du bois de chauffe et avec l obscurité qui règne sur certains sites la nuit, à permettre aux enfants de faire leurs devoirs le soir, à soutenir les moyens de subsistance et à protéger le milieu naturel. L Organisation recherchera des solutions axées sur les énergies renouvelables et introduira des technologies susceptibles de réduire la charge que l utilisation du bois de chauffe fait peser sur les réfugiés et sur leur environnement. Des systèmes améliorés de suivi et d évaluation permettront de détecter les lacunes. Une étroite interaction avec les réfugiés et l identification de leurs besoins permettent au HCR de gérer avec plus d efficacité ces programmes environnementaux. Le Haut Commissariat cherchera également à élargir sa collaboration dans ce domaine avec le secteur privé, les établissements universitaires et les centres de recherche et de technologie. Appel global du HCR 43
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