Rapport d activités 2000 du Projet PBI en Haïti et rapport de fermeture

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1 Brigades de Paix Internationales Brigad Entènasyonal Lapè Peace Brigades International Projet Haïti HAITI Rapport d activités 2000 du Projet PBI en Haïti et rapport de fermeture Activités réalisées sur demande: Durée du projet : Ateliers de base utilisant les techniques et méthodes de résolution nonviolente de conflits (RNVC) - Formation à l animation de tels ateliers - Reconstruction du tissu social dans la société civile haïtienne et renforcement des structures naissantes pour la RNVC - Sensibilisation de la communauté internationale au travers de rapports impartiaux sur la situation en Haïti Organisation : Peace Brigades International Bureau international : PBI International Office : 5 Caledonian Road, London GB - N1 9DX, U.K. Tel: , pbiio@gn.apc.org Coordination du projet: PBI-Projet Haïti : Jürgen Störk, Greyerzstrasse 50, 3013 Berne, Suisse Tél. et fax : , jstoerk@dataway.ch Table des matières TABLE DES MATIERES HISTORIQUE DU PROJET PBI ACTIVITES DU PROJET EN a) Présence internationale observatrice... 3 b) Développement des ressources haïtiennes en RNVC... 3 c) Développement d un réseau pour la promotion de la gestion positive des conflits... 4 d) Diffusion d informations au niveau local et international ) BILAN PROVISOIRE ) EVALUATION EXTERNE DU TRAVAIL EFFECTUE PAR PBI-HAÏTI...6 ANNEXES... 7 I. CALENDRIER ET SOMMAIRE DE L ACTION PBI EN HAÏTI EN II. LES PARTENAIRES DE PBI EN HAÏTI...8 III. LES RESSOURCES DU PROJET HAÏTI Ressources humaines du projet Haïti Les sources de financement du projet en IV. LES DEPENSES DU PROJET EN

2 Soutien au processus de démocratisation en Haïti 1. Historique du projet PBI - En 1992, pendant la période du régime de facto du Général Raoul Cedras, une première demande nous est parvenue du Mouvement Paysan Papaye (MPP) pour une présence protectrice en Haïti contre des violations de Droits de l Homme. - En juin 1993, plusieurs organisations de Paix, dont PBI, formèrent un collectif appelé "Cry for Justice", afin d'être présent en Haïti durant la période du coup d Etat. - Malgré le retour au pouvoir du président Jean Bertrand Aristide et le retour à l ordre constitutionnel, l équipe exploratoire de PBI au printemps 1995 recense plusieurs demandes pour l installation d une équipe PBI permanente. Le but serait moins la protection d activistes engagés dans le domaine des Droits de l Homme, mais surtout un soutien au processus de démocratisation ainsi que pour la promotion de la Résolution Non-Violente de Conflits (RNVC). - Après la mise en place de la structure minimale d un projet PBI avec une coordination permanente à Paris et un comité de projet bénévole, ainsi que la recherche et la formation de volontaires prospectifs, la première équipe est arrivée en Haïti le 10 décembre Depuis le printemps 1996, l équipe a réalisé de multiples actions de formation, de partage et d accompagnement sur le terrain. - Dans la deuxième moitié de l année 1999, le comité de projet a commencé une évaluation profonde de toutes les activités entreprises au fil des quatre années écoulées. Cette évaluation interne a permis de constater que PBI avait atteint ce qui lui était possible de faire, dans les limites de son mandat et de ses ressources. Actuellement, il est non seulement possible mais souhaitable que les taches que PBI avait acceptées de partager, concernant principalement les formations à la résolution de conflits, soient reprises entièrement par nos partenaires. D autre part, le comité de projet a décidé de mettre en œuvre une évaluation externe approfondie. - Le comité de projet a décidé de proposer à PBI la fermeture du projet dans un délai d un an, avec une stratégie de transmission d expériences et de renforcement des structures locales naissantes en Haïti, selon les demandes de nos partenaires locaux.. Lors de la réunion du conseil international en janvier 2000, PBI a approuvé le plan de fermeture. - Le 31 juillet 2000, la présence permanente de PBI sur cette île des Caraïbes a pris fin, et le bureau de coordination à Paris a été fermé en même temps. En automne, les activités de fermeture ont été réalisées, tandis que se poursuit l évaluation externe du projet, dans le but de publier un livret sur cette expérience en "Je vous présente une corbeille de remerciements pour avoir travaillé en Haïti pendant 5 ans et pour m'avoir initié à la R.N.V.C. Les grains que vous avez semés ont commencé à pousser et grandissent davantage. Le GFP prendra certainement la relève. Au nom de tous les membres du GFP, je tiens à vous dire : Allez en Paix car le GFP travaillera pour développer la Culture de Paix en Haïti." Ernst PIERRE, membre du GFP et de SKDE (Sant Kretyen pou Devlopman Entegre), note du Activités du projet en 2000 En 2000, les tâches principales du projet, détaillées dans la proposition de fermeture adressée au Conseil International, étaient concentrées sur deux domaines d action : répondre aux demandes formulées par les organisations partenaires haïtiennes et réaliser une évaluation par une personne extérieure à PBI, afin d analyser en profondeur l expérience particulière que représentent les cinq années de travail de PBI en Haïti. Page 2 de 2

3 L annonce du départ de PBI en Haïti pour la fin juillet 2000 a été l occasion d un large travail de relations publiques, ceci en contactant tous nos partenaires présents dans les quatre coins du pays. Pendant cette tournée, les volontaires ont premièrement été à l écoute des besoins de nos partenaires, et deuxièmement à la recherche de toutes les ressources disponibles pour la RNVC ainsi que pour des techniques d animation participatives en Haïti. En présence de Gilles Danroc, membre du comité, en février 2000, la synthèse de ces demandes a débouché sur une stratégie finale de transmission et de mise en réseau de nos partenaires. a) Présence internationale observatrice L équipe a continué d assurer en 2000 une présence internationale en faveur du processus de démocratisation. Dans ce cadre, PBI a maintenu une présence dans des actions luttant contre l impunité, notamment l observation d un sit-in hebdomadaire de victimes réclamant justice et réparation, de manière allégée (une fois sur deux). Quant à l axe de travail habituellement le plus fort dans les équipes de PBI, l accompagnement protecteur, celui-ci n offre pas de protection contre certains types de menaces perçues par les Haïtiens tels que l empoisonnement, les maléfices vaudous, ou la vengeance à long terme. De plus, PBI a découvert chez plusieurs militants que le fait d être accompagné par un Blanc (ce qui signifie un étranger en Haïti) ne correspondait pas à l idée qu ils se font de leur propre engagement. b) Développement des ressources haïtiennes en RNVC. Pendant les quatre ans d activités du projet Haïti, le développement et l organisation d ateliers de base pour favoriser le développement de compétences locales en résolution non-violente des conflits (RNVC) fut l axe de travail le plus important de l équipe de Paix en Haïti. Le travail entrepris par PBI a bénéficié d'appuis locaux précieux. Depuis l installation de l équipe en 1995, un réseau de relations s est constitué avec une multitude d ONGs à travers le pays, ainsi qu avec des organismes internationaux, ce qui a permis l implantation, le développement et la diffusion de l action de PBI (animation d ateliers, formation de formateurs, visites, analyses, publications etc.). Depuis 1996, l équipe PBI a accompagné un noyau de formateurs haïtiens bénévoles après une première formation de formateurs organisée par PBI. Dès lors, ce groupe s est réuni mensuellement à la maison PBI pour des sessions alternant des ateliers de formation permanente et la mise en place d une association de formateurs en techniques de transformation de conflits et d animation participative. Plusieurs de ces formateurs ont collaboré régulièrement avec les volontaires PBI pour la réalisation d ateliers de base. Durant ces quatre années d activités, l équipe a organisé 7 formations de formateurs/animateurs en RNVC et en animation participative, dans la capitale et dans la province, pour un total de plus de 70 personnes haïtiennes, dont une grande partie s est intégrée au Groupe de formateurs pour la Paix (GFP). Celui-ci s est constitué en mars 1999 en tant qu association autonome à but non lucratif afin de poursuivre la promotion de la gestion positive des conflits. Depuis 1996, des demandes pour des ateliers de base en matière de RNVC provenant de différentes organisations populaires du pays ont débouché, dans la mesure du possible, sur des ateliers coanimés par des volontaires PBI et des animateurs du GFP. Ceci a permis un renforcement des compétences des formateurs et l adaptation continue des méthodes et techniques de RNVC à la culture haïtienne. Au fur et à mesure, des matériaux pédagogiques ont été également créés, et mis à disposition des partenaires haïtiens. Parallèlement à la décision de fermeture, un processus de transmission d expériences et de renforcement systématique des organisations haïtiennes naissantes, qui travaillent dans le domaine de la transformation des conflits par des méthodes non-violentes, a été mis en œuvre. Dans le cadre du soutien à la consolidation du GFP et à travers un échange proche et continu avec les formateurs, plusieurs ateliers de formation ont été réalisés sur des sujets comme les Page 3 sur 10

4 méthodes d évaluation, la production d un bulletin, la recherche de fonds, la rédaction de rapports financiers et de rapports d activités. Le but de ces ateliers était d aider le GFP à s établir comme organisation autonome et viable. Lors de son assemblée générale du 15 juillet 2000, le comité exécutif a pu annoncer la reconnaissance par l Etat haïtien de l association Groupe formateur pour la Paix comme ONG. Il s agissait d un point important pour les membres du GFP, dans leurs démarches d autonomisation et leurs perspectives d avenir. Comme dernier coup de pouce, PBI a également donné du mobilier et un ordinateur pour le bureau que le GFP souhaite ouvrir. c) Développement d un réseau pour la promotion de la gestion positive des conflits Nouer et maintenir un réseau large de contacts a fait partie intégrante de la présence non-violente de PBI en Haïti. L équipe a été surtout en relation avec des ONGs nationales et locales dans la Capitale et dans la plupart des provinces et a entretenu des relations avec des instances gouvernementales, des ambassades, avec des ONGs internationales. PBI a ainsi informé ses interlocuteurs sur ses objectifs, son rôle, ses principes et ses limites. D autre part, ces relations ont permis à l équipe de saisir diverses facettes de la réalité socio-politique haïtienne et d enrichir ainsi leur compréhension et leur analyse de la situation. Dès sa naissance, le projet Haïti a activement favorisé l échange de ressources, d expériences et de matériaux pédagogiques entre les différents organismes engagés dans ce domaine en Haïti. A cet effet, l équipe a maintenu dans sa maison une bibliothèque spécialisée, qui était disponible également pour nos partenaires. Après la fermeture de l équipe en Haïti, cette bibliothèque a été remise au GFP. A travers une investigation large pendant plusieurs mois, l équipe a établi et publié une liste des ressources disponibles en Haïti dans le domaine des formations à la transformation non-violente des conflits et aux méthodes d animation participative. Cette liste regroupe des personnes et des organisations, haïtiennes et internationales, travaillant dans le domaine de l animation, de l organisation ou du financement de formations. L inventaire a été distribué en Haïti comme annexe au Bulletin No 15. Il est également disponible sur le site Internet de PBI-HAP. A la fête de clôture de l équipe en Haïti, le 15 juillet 2000, plus de 170 personnes ont été présentes, parmi lesquelles 30 membres du Groupe de formateurs pour la Paix, ainsi que des représentants des 10 organisations des droits de l homme haïtiennes les plus importantes, de 34 autres organisations haïtiennes (développement, solidarité,...) et de 11 organisations internationales. d) Diffusion d informations au niveau local et international Le projet Haïti a diffusé, en Haïti et à travers le réseau PBI (niveau international), des informations non-partisanes sur la situation actuelle ainsi que des articles sur des actions nonviolentes réalisées par les Haïtiens(ne)s pour consolider leur démocratie ou défendre le respect des Droits Humains. Ceci comprend des informations variées sur la vie quotidienne et la culture du pays ainsi que sur les actions menées par PBI. A cet effet, il existe pour leur diffusion : le bulletin thématique, les pages Internet ( les rapports destinés au public intéressé, les conférences et les entretiens réalisés par des ex-volontaires lors de leur retour. En 2000, l équipe a réalisé un bulletin de 24 pages, contenant des réflexions et des opinions diverses sur les chances et limites de la lutte non-violente en Haïti. Ce bulletin à été distribué en Haïti conjointement avec l inventaire des ressources en RNVC, à plus de 400 exemplaires. Au niveau international, le tirage atteint plusieurs centaines d exemplaires avec des traductions dans diverses langues. Régulièrement, plusieurs articles ont été sélectionnés par d autres organisations ou par le service d information appartenant à des réseaux comme Haïti Europe ou la plate-forme haïtienne de Suisse. Page 4 sur 10

5 3) Bilan provisoire Quel bilan tirer de ces 5 ans de présence en Haïti sans anticiper les résultats de l évaluation externe toujours en cours? La question essentielle pour une organisation non-ingérente comme PBI, n est pas tant: Qu avons-nous réalisé?, mais plutôt: (LEUR) avons-nous été utiles?, le LEUR signifiant les Haïtiens engagés de manière non-violente en faveur des Droits de l Homme et de la Paix. Dès lors, les signes réjouissants ne se trouvent pas dans les résultats directs des actions de PBI, mais dans celles réalisées par nos partenaires haïtiens. Lors de leurs présences au cours du processus de fermeture du projet, divers membres du comité ont eu l opportunité de séjourner en Haïti et de reprendre contact avec des partenaires avec lesquels ils avaient travaillé à l époque de leur propre engagement volontaire. Ces visites ont permis d explorer la question de l utilité à moyen terme (3 à 5 ans) de la présence de PBI et de constater entre autre les faits suivants: Lorsque PBI présentait les termes de résolution de conflit et de non-violence active il y a 5 ans, il s agissait souvent de notions peu claires ou peu attrayantes à premier abord pour nos interlocuteurs. Actuellement, la notion de résolution de conflits suscite un intérêt large. La présence active de PBI a sans doute contribué à l éveil et à la sensibilisation à ces thèmes. Plusieurs dizaines d animateurs haïtiens, formés par PBI à la conduite de séminaires de résolution de conflits, continuent ce travail au sein de leur association ou sur mandat. Une bonne partie des personnes ayant suivi une formation de formateurs avec PBI se sont regroupée dans l association à but non lucratif Groupe de Formateurs pour la Paix. Dans certaines zones en Haïti, dont les mornes Cahos, se sont créés des réseaux de personnes actives dans la résolution non-violente de conflit. Au cours des trois dernières années s est développé en Haïti un nouveau type de mobilisation. Il s agit de nombreuses actions non-violentes, par exemple contre l impunité : Fax rouge, sit-in, téléphone rouge,... Au travers de ces actions non-violentes, les citoyens sont invités, par exemple, à faire pression sur le ministère de la justice. Ces quelques constats permettent déjà de conclure que la présence de PBI a été efficiente. Surtout si l on prend en considération le fait que Haïti est réputé être, d une manière générale, l un des pays les plus difficiles en matière d aide internationale. Le travail de PBI a eu des impacts positifs, en participant au développement de perspectives non-violentes avec des acteurs variés de la société civile haïtienne, et en accompagnant, en collaboration avec des partenaires locaux, la naissance d initiatives haïtiennes autonomes, prêtes à poursuivre la promotion active de la transformation non-violente de conflits après la fin du mandat de PBI. Le but de PBI était de contribuer à la consolidation de la démocratie en Haïti avec la participation active des Haïtiens, ceci à travers un processus de conscientisation et de formation. A travers des ateliers de base sur demande d organisations populaires s engageant dans les domaines de la démocratisation, la justice et la paix en Haïti, PBI a contribué au développement de la société civile haïtienne, par la formation de personnes capables de gérer des conflits avec des moyens non-violents. Le travail entrepris par PBI en Haïti s est réalisé exclusivement sur demandes (notamment celles de la Commission Justice et Paix, ainsi que celles d une multitude d ONGs locales. Cf. liste de partenaires en annexe). Les bénéficiaires directs de notre action étaient les femmes et les hommes qui travaillent, par des moyens non-violents, dans des associations haïtiennes, à l'instauration d'une véritable démocratie en Haïti. Il y a eu, parmi eux, des leaders de communautés, des acteurs sociaux, des éducateurs, des religieux des animateurs d organisations populaires, etc. PBI n a travaillé qu'avec des associations qui ne demandaient pas d'engagement partisan de notre part et principalement avec des gens qui étaient prêts à s engager à titre bénévole pour la construction de la paix et de la démocratie en Haïti. PBI n ayant travaillé que Page 5 sur 10

6 sur la base des demandes d organisations et de personnes locales, tout travail réalisé répondait réellement aux besoins et aux souhaits des partenaires haïtiens. D une façon plus générale, PBI est intervenue dans une situation où les organisations et les ressources travaillant pour les Droits de l Homme en Haïti étaient très dispersées. Tout au long de sa présence, PBI a cherché à favoriser la mise en réseaux, les contacts entre ces acteurs et a ainsi peut-être contribué à leur plus grande cohérence d aujourd hui. Au nom du peuple haïtien, je souhaite tous vous remercier pour votre formidable travail pour la promotion de la paix et de la justice sociale sans violence dans ce pays. Je vous souhaite un grand courage, car la lutte vient seulement de commencer. Luckner Jean Baptiste, PIDA (Projet Intégré pour le développement Alternatif et GFP), ) Evaluation externe du travail effectué par PBI-Haïti Le projet PBI-Haïti a trouvé des personnes hautement compétentes pour une évaluation externe des 5 années du projet en Haïti : 1. Sabine Manigat (PNUD, Haïti) a travaillé à l évaluation de l impact du travail en Haïti. L équipe a contribué au processus en contribuant à réaliser un questionnaire, en préparant un atelier d introduction à PBI pour les étudiants et en faisant des recherches dans les archives. Avec un groupe de sept étudiants spécialement formés dans ce but, elle a interviewé environ 80 personnes dans la capitale et les provinces. Son rapport de 35 pages est disponible en français. 2. Pour une évaluation externe de la stratégie du projet, de sa structure, des dynamiques en oeuvre, ainsi que de l organisation et du fonctionnement du projet, le professeur Ueli Mäder, de la Fachhochschule Sozialarbeit Basel, travaillera avec Hektor Schmassmann, un collaborateur de son institut. 3. Al Imfeld est bien connu en Suisse pour l esprit critique de ses publications concernant l aide au développement ainsi que pour ses compétences d évaluateur. Il a travaillé sur une large variété de projets, souvent à grande échelle, dans des pays en voie de développement, principalement en Afrique, mais aussi en Haïti. Il fournira une méta-analyse du projet et la situera dans le contexte de l aide au développement contemporaine et des stratégies de transformation des conflits, afin de définir la spécificité de l approche de PBI. 4. Par ailleurs, Hazel Tulecke de PBI USA, a fourni une contribution en se concentrant sur les questions spécifiques à PBI. Elle a visité l équipe en avril 2000 et a conduit une série d entretiens avec les membres de l équipe et le coordinateur. Elle a fourni ses impressions personnelles sur le projet dans un rapport au comité. Sabine Manigat a conclu que les bons résultats que PBI avait été à même d atteindre dans certaines régions étaient peut-être dus aux lignes directrices de l approche en collaboration avec les partenaires haïtiens. Elle a recommandé à tous les volontaires souhaitant travailler dans l éducation à la paix d étudier quelques-unes des activités les plus réussies de PBI. Un membre d un groupe de formateurs haïtiens a soutenu cette évaluation en disant de façon assez optimiste : PBI laisse en Haïti des germes qui ont le potentiel de transformer ce pays en dix ans. Cependant, l ensemble des personnes concernées est conscient du fait que la réalisation de cette transformation dépendra avant tout des Haïtiens euxmêmes. En automne 2001, le comité de projet souhaite publier en français et anglais un livre qui résumera l expérience unique des cinq ans de travail de l équipe de Paix de PBI en Haïti. Page 6 sur 10

7 Annexes I. CALENDRIER et SOMMAIRE de l action PBI en Haïti en 2000 Janvier février 2000 : Poursuite de l annonce de fermeture à tous nos partenaires, du recueil des dernières demandes, ainsi que de la recherche d informations pour la publication d un inventaire des ressources haïtiennes. Mise en contacts des différents acteurs. Transmission systématique de toutes les demandes d ateliers au GFP. Février 2000 : présence de Gilles Danroc, membre de comité, au sein de l équipe Synthèse des demandes et décision des tâches à réaliser dans les mois restants. Recherche d évaluateurs / évaluatrices externes en Haïti. Mars avril : évaluation externe de l équipe PBI La cohérence avec le mandat et les principes de PBI par Hazel Tulecke de PBI- USA Avril mai : présence du coordinateur Luis Urrego au sein de l équipe Avril - juillet : évaluation externe du travail réalisé en Haïti Par Sabine Manigat du PNUD Haïti. Pendant toute cette période, l équipe était à disposition pour répondre à ses questions. 14 avril : formation des enquêteurs L équipe organise les ateliers réalisés pour informer les sept enquêteurs haïtiens pour l évaluation externe. 19 avril : Co-Animation d un atelier à Chénot Atelier de suivi dans la paroisse de Chénot dans la région des mornes Cahos 25 avril : Atelier de transmission avec le GFP Sur la préparation de dossiers et de rapports financiers 01 mai: Atelier de transmission avec le GFP portant sur la rédaction de bulletins d informations 6 mai : atelier de transmission avec le GFP portant sur les méthodes d évaluation 11 mai: parution du bulletin final, no 15, du projet Haïti 11 mai: parution du recensement des ressources haïtiennes et étrangères en résolution non violente de conflit, techniques d'animation et bailleurs de fonds 25 juin 1 juillet : tournée d adieux dans le nord du pays Juin - juillet 00: activités de fermeture, vente du matériel et du mobilier Juillet 2000 : présence de Marc Allenbach, membre du comité, au sein de l équipe Juillet 2000 : remise des évaluations de Hazel Tulecke et de Sabine Manigat 15 Juillet: assemblée générale du Groupe de formateurs pour la Paix 15 Juillet: fête officielle de départ de l équipe PBI- Haïti, avec 175 personnes 31 juillet: fin de la présence permanente de l équipe de Paix PBI et dissolution du bureau de coordination du projet à Paris En août, activités de clôture de la coordination à Paris Août septembre 2000 : compilation des archives du projet pour l évaluation externe et pour l archivage finale aux archives McMasters au Canada octobre : réunion du comité de Projet à Berne (Suisse) 27 octobre : entrevues entre les évaluateurs externes, Ueli Mäder, Hector Schmassmann, Al Imfeld et des membres du comité ainsi que des ex-volontaires. Page 7 sur 10

8 II. Les PARTENAIRES de PBI en Haïti Notre partenariat est basé sur notre relation avec les différentes organisations haïtiennes qui demandent notre intervention. PBI est seule responsable de la mise en place et du déroulement de ses activités. Suit une liste non-exhaustive de nos partenaires les plus importants: -ASSOCIATION DES PLANTEURS POUR LE DEVELOPPEMENT DE DUBUISSON, APDD Personne de contact : Desenat Voknel - BUREAU DES AVOCATS INTERNATIONAUX (BAI) Personne de contact : Brian CONCANNON, Tél. : CARITAS DIOCESAINE DES GONAIVES Responsable : P. Gérard DORMEVIL, Evêché, Gonaïves, Tél. : Et Mathilde Fleurvil, ruelle St. Armand #1, Gonaïves, Tél et CENTRE CHRETIEN POUR LE DEVELOPPEMENT INTEGRE (SKDE) Personne de contact : Ernst Pierre, Delmas 31, rue Toussaint Louverture, ruelle Euclide #6 BP 738, Port-au-Prince, Tél CENTRE DE RECHERCHE ET DE FORMATION ECONOMIQUE ET SOCIALE POUR LE DEVELOPPEMENT INTEGRE (CRESFED) Personne de contact : Suzy Castor - COMITE DE COORDINATION POUR LE DEVELOPPEMENT DE MARTISSANT - COORDINATION D'APPUI A LA DEMOCRATIE (CKODEM-KTAKOD) personne de contact : joseph Bonel - COMMISSION NATIONALE JUSTICE ET PAIX DE HAITI Personne de contact : Père Jan HANNSENS, 56, Ruelle Piguant, B.P. 1572, Port-au-Prince, Haïti Tél. : Fax : EVECHE DES GONAIVES : Evêque des Gonaïves Personne de contact : Mgr Emmanuel CONSTANT, Tél FANM VIKTIM, LEVE KANPE (FAVILEK) Personne de contact : Immacula Deluce - FEDERATION DES ECOLES PROTESTANTES DE HAITI (FEPH) Personne de contact : Henry THOMMEN, rue Fernand, N 7, Port-au-Prince Tél. : fax FONDATION CONNAISSANCE ET LIBERTE (FOKAL) Personne de contact : Michelle Pierre-Louis, 19, rue Magny, Port-au-Prince. mél : fokal@acn2.net - FONDATION 30 SEPTEMBRE (F30S) Personne de contact : Lovinsky PIERRE ANTOINE, Delmas 31, rue Stella et rue Timmer n 1, BP Tél GROUPE D'ACTION CIVIQUE POUR LE DEVELOPPEMENT ET LA CULTURE (GRASDEK) Personnes de contact : Jacques CHRISBERT et Desir Yvel, Boulevard Jean-Jacques Dessalines #53, Port-au-Prince. - GROUPE D'APPUI TECHNIQUE D'ACTION PEDAGOGIQUE (GATAP) Personne de contact : Gracita Osias, 13 impasse Duverger, limite Turgeau, Port-au-Prince Tél HAITI SOLIDARITE INTERNATIONALE (HSI) Personne de contact : TiJean Lherisson, BP 320 Port-au-Prince, Tél. et Fax : INEADI, BP 118, Cap Haïtien - INARA, Avenue Lamartinière 51, Pourt-au-Prince. - MAP-VIV Personne de contact : TiJean LHERISSON, Tél. : NATIONAL COALITION FOR HAITIAN RIGHTS (NCHR) Personne de contact : Espérance PIERRE, B.P Bas Peu-de-Chose, Port-au-Prince, Tél. : Fax : PROGRAMME ALTERNATIF DE JUSTICE (PAJ) Personne de contact : Freud Jean, Tél. : REPUBLIQUE D HAITI, MISSION PERMANENTE AUPRES DE L OFFICE DES NATIONS-UNIES A GENEVE Personne de contact : Ambassadeur Joseph ANTONIO, Tél. : Page 8 sur 10

9 III. Les RESSOURCES du Projet Haïti 1. Ressources humaines du projet Haïti Le comité du projet Haïti - ALLENBACH Marc, (H), né en 1970, suisse, depuis novembre DANROC Gilles, (H), né en 1950, français, depuis janvier REBETEZ Frédérique, (F), né en 1974, suisse, depuis juin STÖRK Jürgen, (H), né en 1961, suisse, depuis juin 1995 Les volontaires de l équipe de Paix en Haïti, jusqu au 31 juillet DABADIE François (H), née en 1967, français, service janvier 00 juillet 00 - ESCHER Judith, (F), née en 1966, suisse, service février 00 juillet 00 - REBETEZ Frédérique (F), née en 1974, suisse, service février 99 avril 00 - LEBRUN Wenefrid (F), née en 1971, française, service octobre 99 juillet 00 Le coordinateur du projet en Haïti et à Paris, jusqu au 31 juillet URREGO Luis Fernando, (M), né en 1961, colombien, depuis octobre 95 juillet 00 - Depuis octobre 2000, Jürgen STÖRK assure une coordination du projet concernant la réalisation de l évaluation externe et la publication d un livre sur les expériences de PBI en Haïti 2. Les sources de financement du projet en 2000 PBI Haïti compte sur le soutien économique de plusieurs donateurs et sur la cotisation des adhérents à PBI. Le projet est entièrement financé par des subventions. Les pays membres de PBI déposent indépendamment des demandes de cofinancement auprès de plusieurs organismes de leur pays pour l année en cours, ce qui rend difficile une estimation des rentrées. Une évaluation approximative peut se faire sur la base des années précédentes. RESSOURCES Devise local Totaux US $ PBI ALLEMAGNE : Rheinische Landeskirche 42584,64 DM Dons divers 104,40 DM PBI BELGIQUE PBI CANADA Divers ,15 FF PBI SUISSE : PBI Suisse ,10 CHF Gemeinschaft der Laien Missionarinnen GLM 1000 CHF Freundeskreis Haiti. 500 CHF Dons divers 3360 CHF PBI USA : 600 Dons divers 600 US$ PBI HAP Secours catholique FF Un monde par tous FF Dons divers GH Ventes matériel et services du projet US$ Intérêts bancaires 520 Haïti 41 US $ France 3 538,21 FF TOTAL REVENUS Page 9 sur 10

10 IV. Les DEPENSES du projet en 2000 Charges directes US $ Salaires employés maison Voyages en Haïti 269 Voyages à destination de Haïti et retour Nourriture et entretien domestique Bourses - équipe Assurance médicale - équipe 8 49 Hôtel, pensions, location salles 70 Téléphone et fax Photocopies 588 Poste 211 Photographies 25 Equipe Bureau 147 Location maison Entretien maison 175 Matériel de référence / information 63 Matériel de bureau 247 Dépréciation Coûts légaux 176 Coûts Médicales 25 Rapatriement Divers 279 Frais bancaires 27 Comité de projet Groupes de travail, ateliers etc Audit comptabilité 962 Sous total Charges de soutien Salaires Charges sociales et Assurance Pensions Voyages en France 643 Location bureau 740 Matériel de bureau 185 Equipement bureau 294 Téléphone Courrier électronique Photocopies 112 Poste 188 Matériel de féférences 235 Indemnités volontaires Charges bancaires 182 Autres coûts de soutien 152 Sous total Charges administratives et autres charges Fonds perdus 20 Perte ventes immobiliers Perte session immobiliers Soutien régional Sous total Total des dépenses Contribution à l'isec Coût total du projet Page 10 sur 10

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