Commission Consultative Sous-Régionale du Dispositif Intégré d Insertion Socio- Professionnelle de Mons
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- Maxime Durand
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1 Commission Consultative Sous-Régionale du Dispositif Intégré d Insertion Socio- Professionnelle de Mons Projet d action d animation visant à développer des pratiques collectives d écoute et de participation des bénéficiaires du dispositif intégré d insertion socioprofessionnelle. Rapport intermédiaire-décembre Les objectifs du projet 2.Les étapes du projet 3.Les organismes participant au projet 4.La relation entre les objectifs et la réalité du terrain 5.Les pistes pour le projet
2 1. Les objectifs du projet Un comité d accompagnement technique se réunit régulièrement pour assurer l encadrement et le suivi du projet. Les premières réunions de travail de ce comité ont permis aux équipes du CSEF, M. DE BRUYN et Mme PICARD, chargés de mission au C.S.E.F. (Comité Subrégional de l Emploi et de la Formation) et de l Université de Mons-Hainaut, M. MURILLO et Melle DAUBECHIES de définir les objectifs à mettre en place et souligner différents points importants. Les objectifs du projet sont les suivants : le premier est la mise en évidence des bonnes pratiques. Le but est de poser un regard extérieur sur les animations proposées afin de les améliorer, si besoin en est. Il ne s agit pas d une évaluation, mais de pouvoir dégager celles-ci afin de les partager avec d autres organismes. Il s agit de donner des pistes de travail et de dynamiser certaines autres institutions. Il n y a pas une bonne pratique d écoute et de participation. Celle-ci dépend du type de public, du nombre de personnes ou encore de la philosophie de l organisme ; le second objectif est de dégager la parole du stagiaire quant à son parcours d insertion socioprofessionnelle (au niveau global). Il s agit d amener les débats sur des sujets plus transversaux (accueil, orientation, information ) qui pourront être relayés vers la Commission de coordination sous-régionale du DIISP et alimenter ses actions. L objectif final est la création, à terme, d une commission consultative sousrégionale constituée de représentants d opérateurs, de partenaires sociaux et de stagiaires. Pour cela, un travail préalable sur le terrain est indispensable afin de développer, de relancer ou de renforcer des activités d écoute et de participation au niveau interne des organismes. Ce travail ne s arrêtera pas pour autant en juin ; il s agit d un accompagnement continu auprès des opérateurs. 2
3 2. Les étapes du projet La première étape du projet est la suivante : la visite des différents organismes qui participent au projet. Il s agit d un processus de négociations qui permet de clarifier ce que les opérateurs attendent du projet et vice-versa. La deuxième étape consiste en l établissement d un agenda afin de fixer les différentes réunions : des réunions avec les formateurs/animateurs ; des réunions avec les stagiaires ; une réunion où seront confrontés les points de vue des stagiaires et des formateurs ; une réunion avec des collaborateurs (coordinateur, assistant social ) afin de prendre connaissance de leurs expériences. La troisième étape vise à réaliser une synthèse écrite des résultats obtenus. La possibilité de réaliser des vidéos courtes des animations réalisées est à envisager. Cela pourrait être un support didactique enrichissant pour les organismes qui participeront au projet par après. Enfin, la dernière étape consiste en un rôle d accompagnement des institutions qui voudraient réfléchir sur leurs pratiques ou celles qu ils voudraient mettre en place. Ce rôle est à distinguer d une supervision. Cet accompagnement est à envisager après la mise en route du projet. Il faut, avant tout, une base de matières et de réflexion pour prendre connaissance des méthodes qui fonctionnent sur le terrain. Ce sont les deux premières étapes qui ont fait l objet du travail des chercheurs durant la période s étalant du mois de septembre au mois de décembre
4 3. Les organismes participant au projet Les quatre organismes qui participent au projet sont le CIEP (Mons), l OISP Transvia (Hornu), la Régie de quartier de Colfontaine et le CPAS de Frameries. a) le CIEP Le CIEP (Centre d Information et d Education Populaire), pour le volet ALPHA, est un organisme d éducation permanente. L équipe se compose de quatre représentants et animateurs. Il y a un permanent, une responsable de l accueil des apprenants, une animatrice chargée de la sensibilisation et une coordinatrice pédagogique. Ceux-ci ont des contacts avec les groupes, de manière ponctuelle. Il y a également 14 formateurs bénévoles. Le CIEP compte environ 100 apprenants qui suivent des cours d alphabétisation et de français/langues étrangères. Le public est à 75 % d origine étrangère (beaucoup de personnes d origine turque et russe). Celui-ci est plus ou moins stable tout au long de l année. Les motivations à venir sont diverses. Certains apprenants viennent via le FOREM ou le CPAS. D autres viennent par le bouche-à-oreille ou encore pour leur intérêt personnel. Le projet du CIEP est la mise en place d une commission participative au sein des cours d alphabétisation. Celui-ci vise tout le public du CIEP. Selon le CIEP, le projet de l apprenant ne se trouve pas assez au cœur de la pratique, essentiellement axée sur l enseignement scolaire. Une petite expérience de participation avait été menée pour la fête de fin d année du CIEP, en juin Une détachée pédagogique avait travaillé avec un comité des fêtes composé de cinq apprenants volontaires. Durant un an, la coordinatrice pédagogique a mené une réflexion sur les tenants et les aboutissants de l Alpha. Elle a mis en place un groupe de travail sur le sujet de 4
5 la participation et ce, au moyen d un questionnaire proposé aux formateurs. Les résultats ont principalement montré le besoin de développer des pratiques de participation. La personne de référence avec laquelle nous travaillons est Madame Isabelle Lebon, la coordinatrice pédagogique du CIEP. b) la Régie de quartier de Colfontaine La Régie de quartier de Colfontaine reçoit un public majeur et demandeur d emploi, habitant sur la commune. Elle fonctionne avec 10 à 12 stagiaires. Ce public est généralement habitué au milieu associatif. Le projet concerne cette Régie spécifiquement. Celle-ci pourra diffuser le projet au sein des autres régies intéressées par la suite. L objectif de la Régie de quartier de Colfontaine est d accompagner les stagiaires dans leur parcours d insertion socioprofessionnelle. Elle a pour objectif la démarche vers la citoyenneté et la réinsertion socioprofessionnelle. Elle vise la re-socialisation pour les personnes ayant vécu une longue période de chômage. La Régie fonctionne avec l aide du Fond social européen, de la Région wallonne et du Forem. La Régie propose une activité de participation collective (carnet de bord). Le stagiaire propose diverses activités à réaliser au cours de l année. Ceci est limité. L organisme voudrait améliorer sa pratique. La Régie voudrait donner un pouvoir décisionnel plus important aux stagiaires tout en respectant le cadre et les limites fixées (horaires et cours de remise à niveau). Il s agit d amener les stagiaires à être plus actifs vis-à-vis de leur propre formation (la Régie a un aspect confortable pour les stagiaires). La personne de référence avec laquelle nous travaillons est Madame D Hooghe, la médiatrice sociale de la régie de quartier. 5
6 c) le CPAS de Frameries L Espace-Projets est un service d'insertion socioprofessionnelle structuré, au sein du CPAS. Ce service est mis en oeuvre pour favoriser l'insertion socioprofessionnelle des bénéficiaires du Revenu d'intégration Sociale. Les intervenants leur proposent un accompagnement individualisé. Divers projets spécifiques sont mis en place par le service : Le projet d économie sociale : la création de services de proximité tels qu une épicerie sociale, une centrale de repassage et un service d aide à domicile ; le projet femmes autonomes adressé aux femmes (avec ou sans enfant), en rupture sociale, ayant un parcours d insertion difficile. Il s agit d une action intégrée pour les aider au quotidien. le développement de l accès à l informatique ; le projet de démocratie participative. Le CPAS a développé une pratique d écoute et de parole pour les femmes seules (Projet-Femmes autonomes). Il voudrait élargir cette pratique au public susceptible d être dirigé vers une formation d insertion socioprofessionnelle. La personne de référence avec laquelle nous travaillons est Madame Nathalie Nisolle, la responsable de l Espace-Projet du CPAS. d) l OISP TRANSVIA Transvia (Transition à la vie active) est un organisme d'insertion socioprofessionnelle. Il s est spécialisé dans le développement de la dimension personnelle de l individu : connaissance de soi, socialisation, élaboration d un projet socioprofessionnel, recherche active d emploi ou encore remise à niveau. L organisme a produit heures de formation en 2006 et accueille environ 300 stagiaires par an. Ceux-ci viennent pour des 6
7 raisons très variées : par le bouche à oreille, le Contrat Crédit d Insertion ou encore le CPAS. Un des objectifs de Transvia est de modifier la motivation d une partie du public qui vient souvent pour se libérer, entre autres, des contraintes avec l ONEM. Il s agit d un travail délicat. La personne de référence avec laquelle nous travaillons est Madame Chrétien, la directrice de Transvia. Transvia a une pratique d écoute et de participation développée. L organisme voudrait renforcer sa pratique et a répondu positivement au projet. Le souhait d un point de vue extérieur a été émis par les formateurs afin d améliorer leur pratique. La mise en place d un nouveau décret en janvier 2008 a engendre un contexte particulier. Transvia se trouvant dans une situation transitoire, pas représentative de son fonctionnement habituel, nous commencerons le projet de manière concrète en janvier. Nous avons toutefois déjà rencontré les formateurs. Ils se sont exprimés au sujet des contenus des animations de participation (conseil coopératif) et sur leurs attentes plus particulières vis-à-vis du projet. 7
8 4. La relation entre les objectifs du projet et la réalité du terrain Il s agit de faire, pour chaque institution, le point par rapport aux objectifs d écoute et de participation. le CPAS a) Ecoute Le CPAS de Frameries offre un espace d écoute à travers la mise en place du groupe du projet Femmes-autonomes et du groupe de parole. b) Participation Les balises institutionnelles n ont pas encore été clairement fixées. Par conséquent, il est difficile de travailler de façon concrète au niveau de la participation. Il faut tenir compte de la lourdeur administrative du CPAS et de l optique de dépendance qui lui est sousjacente. Quelques pistes concrètes ont toutefois été soulignées : la mise en place d un réseau d aide pour la garde des enfants (groupe Femmes-autonomes) et la question Le CPAS vous donne cela ; à votre tour, que pouvez-vous apporter à l institution? Ce sont des ouvertures à concrétiser. Dans le cas où l expérience s avère positive, il serait important de partager cela avec le réseau des CPAS (mettre en place des moyens afin de développer la pratique). la Régie de quartier a) Ecoute L activité d écoute mise en place est le Carnet de bord. Elle se déroule une fois par mois. Il est nécessaire de clarifier les objectifs de celle-ci. Les chercheurs ont recueilli la parole des stagiaires à propos de leur parcours global d insertion. 8
9 b) Participation C est sur l aspect de participation que la médiatrice sociale, Madame D Hooghe, voudrait travailler. Elle voudrait améliorer le Carnet de bord. Le groupe de la Régie est continuellement en changement. A long terme, pour que la participation soit efficace, il faut que la personne puisse continuer à s exprimer, quelque soit l organisme vers lequel elle est orientée. Transvia a) Ecoute Une dynamique importante d écoute est mise en place. b) Participation Une dynamique importante de participation est mise en place. Le problème pour Transvia est qu il se trouve dans une sorte d impasse. Leur objectif principal est de pouvoir faire un retour sur leur pratique et d avoir un regard extérieur afin d évoluer : est-ce qu on doit changer notre pratique? Les autres institutions doivent-elles évoluer? Le projet se fera ici à un niveau plus transversal. le CIEP a) Ecoute On assiste à la naissance d un projet d écoute et de participation : la commission de participation. Celui-ci introduit une dynamique nouvelle. Le CIEP veut développer ce projet tout en dépassant la difficulté de la langue. Une difficulté se pose au niveau des formateurs : ils travaillent de manière bénévole. Beaucoup ont un engagement limité dans l institution. Il semble qu il n y ait pas de sentiment d appartenance à un groupe (identité du groupe formateurs inexistante). Jusqu à quel point sont-ils participatifs? 9
10 b) Participation L impulsion du projet est née d une dynamique plus générale. Il semble qu il y ait une volonté générale d harmoniser la pratique d écoute et de participation qui existe déjà dans d autres branches du MOC (Vie féminine, Actions Intégrées de développement). 5. Les pistes et les objectifs du projet Plusieurs questions seront à poser en fin de recherche : Les acteurs (participants, formateurs) sont-ils satisfaits? Les personnes ont-elles retiré quelque chose du projet et des rencontres. Quel(s) est(sont) le(s) effet(s) de la recherche? Y a-t-il du changement en terme d écoute et de participation? multiple : A la fin de la recherche, le CSEF aura un rôle de moteur. Celui-ci sera o encourager les opérateurs à poursuivre la dynamique d écoute de la parole globale du stagiaire/de l apprenant ; o faire en sorte que les opérateurs puissent encore se rencontrer par des échanges sur la pratique avec le CREAS ou un accompagnement ponctuel (une réflexion sur la dimension transversale) ; o maintenir une continuité, une cohérence, dans la dynamique d écoute et de participation ; o organiser une commission sous-régionale au moins une fois par an (avec des représentants de stagiaires, de partenaires sociaux et d opérateurs). Quelques bonnes pratiques 10
11 réunion : Plusieurs constats de pratiques importantes ont été mis en évidence lors de la l animation des acteurs varie d un groupe à l autre (apprenants, formateurs ou encore animateurs) ; une étape indispensable pour pouvoir travailler concrètement avec une institution est la mise en place d un cadre et de balises ; avant d installer une expérience de participation dans un organisme, il est important de mener, au préalable, une réflexion avec chaque groupe concerné. Cela afin d induire une dynamique pour le projet ; il est important d écouter tous les acteurs ; il est difficile de mettre en place des activités d écoute et de participation dans un organisme si les formateurs/animateurs ne sont pas eux-mêmes écoutés ; il faut mettre en place un relais, une cohérence, une continuité dans les activités d écoute et de participation des institutions ; ceci afin de limiter les écarts entre les organismes qui développent beaucoup de projets autour de l écoute et de la participation et ceux qui le font peu ou pas du tout. Pour cela, il est nécessaire de sensibiliser les acteurs de terrain et de développer un réseau, un partenariat entre les institutions. Ouverture et accueil positif des stagiaires. 11
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