Définir et consolider son projet associatif

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Définir et consolider son projet associatif"

Transcription

1 FICHE PRATI QUE Définir et consolider son projet associatif L association se place sous le signe de la liberté : celle de se regrouper pour prendre collectivement une initiative. De l idée à la conception, de l envie à la mise en mouvement, le projet associatif est de son côté conçu pour aider chaque association à penser son rôle et réfléchir l ensemble des objectifs et actions en vue de répondre à sa raison d être. Il peut être concrètement compris comme un projet de développement à court, moyen et long terme qui permet : de concevoir le travail de l association comme un ensemble cohérant permettant d atteindre les objectifs que l association s est fixée et ainsi de faire évoluer réellement la situation sur laquelle elle travaille. de savoir communiquer en interne et en externe sur la raison d être de l association ainsi que sur les objectifs et les actions qui ont été retenues pour que le travail de l association puisse porter ses fruits. de mobiliser les membres et partenaires qui à travers le projet associatif auront une meilleure vision à la fois idéalement et concrètement de leur engagement. 1- La réalisation d un état des lieux Avant d aller plus en avant et définir son projet associatif, l association doit porter un regard et une réflexion à la fois sur elle- même et sur l environnement dans lequel elle souhaite s inscrire. La réalisation d un état des lieux permettra de croiser sa véritable raison d être avec le contexte social, ses capacités d action et la légitimité sur laquelle elle peut s appuyer. La première étape d un état des lieux consiste ainsi à s interroger sur l identité, les valeurs et les finalités que l association souhaite porter. Cette introspection initiale est dans une seconde étape croisée à l analyse du contexte social qui doit permettre de relier ses valeurs et ses buts avec la réalité sociale en identifiant à la fois des besoins, mais également les attentes liées aux besoins identifiés ainsi que les réponses que ce soit au niveau institutionnel ou civil qui existent déjà. L association en relation avec sa raison d être aura à partir de ce sondage une vision plus claire des besoins auxquels elles pourra répondre. Elle devra ensuite croiser ces éléments avec ses propres capacités d action en s interrogeant à la fois sur ces moyens humains (nombre de membres et éventuellement de salariés) et financiers, les ressources sur lesquelles elle peut s appuyer ainsi que les compétences de ses membres. Une dernière interrogation consistera à confronter, une nouvelle fois, l ensemble des éléments avec la légitimité dont elle dispose et ainsi interroger l environnement politique et législatif ainsi que la reconnaissance externe sur laquelle elle peut s appuyer pour mettre en mouvement son projet.

2 Exemple d état des lieux de l association Femmes d ici et d ailleurs CE QUE NOUS VOULONS FAIRE EN TENANT COMPTE DU CONTEXTE IDENTITE Une association de défense des femmes. VALEURS Solidarité, Autonomie, Dignité. FINALITES Favoriser l épanouissement personnel des femmes, Encourager leur insertion sur le marché du travail, Militer pour la reconnaissance de leurs droits. BESOINS Solitude ; Absence d espace de rencontre pour les femmes ; Quasi inexistence d une offre de loisirs ; Faible maillage de l offre de cours de langue et informatique ; Manque d information sur l insertion sur le marché du travail, etc. L EXISTANT Une association s attache à ces besoins, mais leur démarche ne correspond pas à la philosophie du Centre des femmes d ici et d ailleurs. LES ATTENTES Les femmes du quartier sont attachées au Centre des femmes d ici et d ailleurs expriment les mêmes besoins que ceux qui ont été repérés par l association. Etat des lieux EN TENANT COMPTE DE NOTRE CAPACITE D ACTION MOYENS Un budget annuel de euro. Une équipe de 30 bénévoles et de 5 salariés. RESSOURCES Un solide réseau sur lequel l association peut s appuyer. COMPETENCES Un savoir faire en animation et formation, Une étroite connaissance du champs d activité. EN TENANT COMPTE DE NOTRE LEGITIMITE RECONNAISSANCE EXTERNE Une histoire associative de 15 années reconnue par les différents acteurs associatifs et institutionnels. ENVIRONNEMENT POLITIQUE ET LEGISLATIF Un environnement législatif favorable à l émancipation des femmes de toutes origines. clae services asbl

3 2- La définition du projet associatif Le projet associatif consistera par suite et en relation avec le diagnostic posé à élaborer l ensemble des objectifs et actions permettant de mettre en mouvement les finalités de l association. Quelques exemples pour illustrer De quoi parle-t-on? FINALITES 1- Favoriser l épanouissement personnel des femmes. 2- Encourager l insertion des femmes sur le marché du travail. 3- Militer pour la reconnaissance des droits des femmes. Une finalité peut être définie comme un but non daté, poursuivi en permanence et qui n est jamais entièrement atteint. La finalité (inaccessible) sert de repère, donne le sens et la direction à suivre pour se rendre à l objectif (accessible). Quelques exemples pour illustrer De quoi parle-t-on? OBJECTIFS La finalité Favoriser l épanouissement personnel des femmes pourra au regard du diagnostic posé se donner deux objectifs : 1- Lutter contre l isolement des femmes. 2- Proposer des activités de détentes et de loisirs. Les objectifs traduisent les priorités choisies pour avoir un impact sur les finalités. On doit donc vérifier la cohérence des objectifs par rapport aux finalités du projet et du diagnostic. Les objectifs sont atteignables et mesurables. Quelques exemples pour illustrer De quoi parle-t-on? ACTIONS Café- rencontre Soirées interculturelles Atelier de cuisine Les actions traduisent ce que l association a choisi de mettre en œuvre pour atteindre les objectifs qu elle s est fixés.

4 Exemple à partir de la première finalités de l association des Femmes d ici et d ailleurs FINALITE OBJECTIFS ACTIONS Favoriser l épanouissement personnel des femmes Lutter contre l isolement des femmes Proposer des activités de détentes et de loisirs Café- rencontre Soirées interculturelles Ateliers de cuisine Ateliers de yoga Excursions touristiques voir totalité du projet associatif en annexe 3- La planification La planification en envisageant la mise en oeuvre concrète des actions dans le temps évite de surestimer le potentiel de son association et de cibler les actions qui peuvent paraître prioritaires par rapport à d autres. Il est nécessaire dans cette optique de bien garder en mémoire que le projet associatif reflète le développement du travail de l association sur 5 années. Les actions qui ne sont pas immédiatement réalisables doivent être envisagées ultérieurement. Pour réaliser une planification, il est nécessaire : d estimer pour chaque action les ressources à la fois humaines, financières et matérielles nécessaires et déterminer ainsi leur faisabilité dans le temps de réfléchir à la fréquence des actions (différence entre activités récurrentes et ponctuelles), d évaluer la charge de travail nécessaire à la réalisation, ainsi que de tenir compte des contraintes extérieures comme les vacances scolaires et les jours fériés mais aussi de la programmation d autres événements à une même date Outil de planification en annexe clae services asbl

5 4- Le suivi Tout au long de la mise en œuvre du projet associatif, un travail de suivi doit être mené. Il s agira généralement pour le Conseil d administration de garder une vue d ensemble sur le projet associatif, mais aussi de repérer les formes de décalage et les écarts entre les objectifs initiaux et l avancement réel. Cette vision globale permettra d être le plus réactif possible et de réajuster le plan si nécessaire, d adapter le calendrier en fonction de l avancement de la préparation et éventuellement d autres événements imprévus et finalement d organiser et coordonner le travail des personnes engagées autour du projet associatif. Il est dans ce sens recommandé de ne pas faire reposer la charge de travail sur les seuls membres du conseil d administration, mais au contraire de solliciter l implication de tous les membres en répartissant les différentes responsabilités sur la base des différentes actions ou dimensions (communication, demande de financement, etc). 5- L évaluation Chaque année, la tenue de l Assemblée générale est notamment l occasion pour tous les membres de l association d approuver le rapport moral de l association. Ce rapport moral permet de faire le point, de dresser un bilan sur la réalisation et l avancement du projet associatif. Il permet aussi de décider du futur. REPOSER LE CADRE Un rapport moral se compose généralement de quatre parties. La première consiste à reposer le cadre en faisant un rappel des valeurs et du projet associatif. Ce rappel est important pour permettre aux membres nouvellement engagés ou investis dans des actions précises de réentendre la raison d être et l articulation de l ensemble du travail de l association. ANALYSER LES ACTIONS Avant toute analyse des actions, il est important en vue de souder et de renforcer le lien entre les membres de l association, de rappeler les moments les plus importants vécus au cours de l année. Il peut s agir d événements ou d actions qui ont particulièrement significatives et qui ont ainsi marqué la vie de l association. L analyse des actions à proprement parlé permet ensuite de questionner à partir d indicateurs quantitatifs et qualitatifs les actions en relation avec les objectifs posés dans le projet associatif. Elle permettra de vérifier si les actions retenues et réalisées ont permis d atteindre les objectifs.

6 Exemple à partir d un objectif de l association des Femmes d ici et d ailleurs FINALITE OBJECTIF ACTIONS Cours de français Encourager leur insertion sur le marché du travail Améliorer les compétences professionnelles des femmes Cours d informatique Centre de ressources sur les offres de formations Résultat quantitatif Ces trois actions ont permis de toucher 200 femmes du quartier. Résultat qualitatif Le taux de participation (70 %) aux cours de français et d informatique répond à un fort intérêt de la part des participantes qui ont exprimé à 75% leur satisfaction concernant la qualité pédagogique des cours. Nous avons pu par ailleurs constater de réels progrès au niveau de leurs compétences linguistiques et informatiques. Notre centre de ressources sur les compétences professionnelles est devenu un réel espace d information pour toutes les femmes qui cherchent à améliorer leur chance sur le marché du travail. Sa fréquentation, en augmentation de 40%, reflète le résultat d un travail visant à améliorer la qualité, la pertinence et l accès à l information. Nous avons notamment pu, après deux années de travail, réaliser la mise en ligne de toute l information. Notre site Internet est aujourd hui non seulement visité par le public que nous accueillons mais aussi par un nombre d utilisateurs de plus en plus varié qui consulte à 80% nos pages dédiées à la formation professionnelle. Cette analyse doit in fine permettre d identifier les actions en perte de vitesse ou au contraire porteuses d avenir. Elle servira d outil de décision pour décider des évolutions du projet associatif. ANALYSER LES DYNAMIQUES INTERNES Le rapport moral est aussi l endroit pour se questionner sur la mobilisation des membres de l association, le nombre de départ et de renouvellement parmi les membres et de s interroger sur les raisons de ces dynamiques. ANALYSER LES RAPPORTS EXTERNES La dernière partie du rapport moral portera sur les rapports externes de l association (partenaires, financeurs, soutien institutionnel). C est le moment privilégié pour remercier tout ceux qui ont apporté une contribution financière et/ou morale, un soutien de quelque nature qu il soit. Cela fait partie aussi de la reconnaissance extérieure recherchée. clae services asbl

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte

Plus en détail

Cadre de travail sur les relations avec les gouvernements et la défense des droits. Société canadienne de la sclérose en plaques

Cadre de travail sur les relations avec les gouvernements et la défense des droits. Société canadienne de la sclérose en plaques Cadre de travail sur les relations avec les gouvernements Société canadienne de la sclérose en plaques Juin 2009 Table des matières Contexte... 3 1.0 Mission de la Société canadienne de la sclérose en

Plus en détail

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents : MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation

Plus en détail

repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis

repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES

Plus en détail

DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche

DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche 2015 1 PRESENTATION DE LA STRUCTURE RAViV est un réseau solidaire de compagnies et structures franciliennes de spectacle vivant

Plus en détail

INFORMATIQUE : LOGICIELS TABLEUR ET GESTIONNAIRE DE BASES DE DONNEES

INFORMATIQUE : LOGICIELS TABLEUR ET GESTIONNAIRE DE BASES DE DONNEES MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENRALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION INFORMATIQUE

Plus en détail

Vers l amélioration continue

Vers l amélioration continue Vers l amélioration continue Devis d évaluation et planification des travaux sur l assurance qualité Document recommandé par le comité de suivi du Plan stratégique, le comité de Régie interne et la Commission

Plus en détail

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente

Plus en détail

Master Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage. Organisation de la formation

Master Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage. Organisation de la formation Master Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage Organisation de la formation Ce document a pour objet de présenter le contenu des cours des deux années du Master Audit Contrôle Finance d entreprise

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

Appel à projets Soutien à la dynamique des Centres d affaires de quartiers (CAQ) DOSSIER DE CANDIDATURE

Appel à projets Soutien à la dynamique des Centres d affaires de quartiers (CAQ) DOSSIER DE CANDIDATURE Appel à projets Soutien à la dynamique des Centres d affaires de quartiers (CAQ) DOSSIER DE CANDIDATURE A transmettre par mail à : Date-limite de réception impérative des candidatures : 12 juin 2014 Nom

Plus en détail

Projet de pôle de développement de l Économie Sociale et Solidaire

Projet de pôle de développement de l Économie Sociale et Solidaire Projet de pôle de développement de l Économie Sociale et Solidaire Étude de préfiguration Restitution aux acteurs 15 octobre 2008 Dossier remis aux participants 1 Version n 3 Sommaire Méthodologie Priorités

Plus en détail

La démarche de projet en éducation et promotion de la santé : Comment passer d une idée à sa mise en action?

La démarche de projet en éducation et promotion de la santé : Comment passer d une idée à sa mise en action? La démarche de projet en éducation et promotion de la santé : Comment passer d une idée à sa mise en action? Sources : Méthodologie de projet / fiches pratiques / comment passer d une idée à sa mise en

Plus en détail

Le diagnostic Partagé,

Le diagnostic Partagé, Le diagnostic Partagé, un outil au service du projet Territorial enfance jeunesse Les Guides Pratiques Introduction Parce que nous sommes dans un monde complexe, Définitions, enjeux, méthodologie Phase

Plus en détail

Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015

Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015 Maison de l Enfance et de la Jeunesse 2 route de Keroumen 29480 Le Relecq Kerhuon 02 98.28.38.38 02.98.28.41.11 E-Mail : mej@mairie-relecq-kerhuon.fr Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans)

Plus en détail

Comment se traduisent nos valeurs dans le projet de l association? Intervention de Patrick Stelandre Directeur Idée 53. Les jeudis de l hémicycle

Comment se traduisent nos valeurs dans le projet de l association? Intervention de Patrick Stelandre Directeur Idée 53. Les jeudis de l hémicycle Comment se traduisent nos valeurs dans le projet de l association? Intervention de Patrick Stelandre Directeur Idée 53 Les jeudis de l hémicycle Parlement Francophone Bruxellois Le 29 novembre 2012 1 Deux

Plus en détail

OBJECTIF FORMATION ANIMATION QUALITE

OBJECTIF FORMATION ANIMATION QUALITE OBJECTIF FORMATION ANIMATION QUALITE Des animations de qualité pour les enfants 10 Allée du Cortil La Vacherie 74230 THÔNES Téléphone : 04 50 63 10 64 Messagerie : ofaq@aliceadsl.com Formations continues

Plus en détail

Évaluer la formation dans l entreprise

Évaluer la formation dans l entreprise L objectif de ce guide méthodologique est de dresser un bilan des actions de formation menées. L évaluation constitue la dernière étape du management de la formation. La démarche permet de : mesurer la

Plus en détail

Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE

Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE I- PREAMBULE 2 II- CAHIER DES CHARGES 2 II-1-Objectifs /Finalité 2 II-2-Public visé 3 II-3-Durée des parcours 3 II-4-Missions

Plus en détail

Projet d école 2014-2018. Guide méthodologique

Projet d école 2014-2018. Guide méthodologique Projet d école 2014-2018 Guide méthodologique 1 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 LES TEXTES DE REFERENCES... 4 LES ETAPES D ELABORATION DU PROJET D ECOLE... 4 ETAPE 1 : BILAN DU PROJET, DIAGNOSTIC... 5 1. LE

Plus en détail

SAINT JULIEN EN GENEVOIS

SAINT JULIEN EN GENEVOIS SAINT JULIEN EN GENEVOIS PROJET EDUCATIF ENFANCE-JEUNESSE Préambule Le service enfant jeunesse a une mission éducative et de prévention sociale auprès des enfants et des jeunes. (3-18 et jeunes adultes).

Plus en détail

Bilan du programme 2013 avec les Missions Locales

Bilan du programme 2013 avec les Missions Locales Bilan du programme 2013 avec les Missions Locales Solenn RAVALEC, Association Nationales des Directeurs de Missions Locales Dominique VILLENEUVE, La Banque Postale Paris, 18 & 19 juin 2014 Sommaire Le

Plus en détail

Plan Stratégique 2008-2013

Plan Stratégique 2008-2013 Plan Stratégique 2008-2013 Version finale Adopté le 26 septembre par le Conseil d administration Septembre 2008 Mission La Société Santé en français est un chef de file national qui assure, en étroite

Plus en détail

Les employés. de HP font des choses. exceptionnelles. HP Carrière exceptionnelle. Résultats exceptionnels.

Les employés. de HP font des choses. exceptionnelles. HP Carrière exceptionnelle. Résultats exceptionnels. Les employés de HP font des choses exceptionnelles HP Carrière exceptionnelle. Résultats exceptionnels. Chaque jour, des employés de HP des quatre coins du globe font des choses exceptionnelles pour nos

Plus en détail

Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché

Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché XXIII ème Assemblée régionale Europe Erevan, Arménie 3 au 7 mai 2010 Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché Section Belgique/Communauté

Plus en détail

le Service d Accompagnement à la Vie Sociale Fondation Maison des Champs

le Service d Accompagnement à la Vie Sociale Fondation Maison des Champs LIVRET D ACCUEIL le Service d Accompagnement à la Vie Sociale Fondation Maison des Champs 23, rue du docteur potain 75019 Paris 01 53 38 62 50 Portraits des membres du groupe d expression du SAVS par Catel

Plus en détail

Questionnaire. sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes adultes

Questionnaire. sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes adultes Questionnaire Université du Luxembourg, Version novembre 2013 Ulla Peters, Julia A. Jäger, Danielle Lellinger sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes

Plus en détail

Enseignement au cycle primaire (première partie)

Enseignement au cycle primaire (première partie) Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Enseignement au cycle primaire (première partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Normes d exercice de

Plus en détail

PROGRAMME DE MENTORAT

PROGRAMME DE MENTORAT CONSEIL SCOLAIRE ACADIEN PROVINCIAL PROGRAMME DE MENTORAT ÉNONCÉ PRATIQUE Le Conseil scolaire acadien provincial désire promouvoir un programme de mentorat qui servira de soutien et d entraide auprès des

Plus en détail

STAGE : TECHNICIEN EN BUREAUTIQUE

STAGE : TECHNICIEN EN BUREAUTIQUE MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION STAGE

Plus en détail

PROMISAM - II. Formation en Suivi /Evaluation des Plans de Sécurité Alimentaire 2009

PROMISAM - II. Formation en Suivi /Evaluation des Plans de Sécurité Alimentaire 2009 Présidence de la République Commissariat à la Sécurité Alimentaire APCAM/MSU/USAID Projet de Mobilisation des Initiatives en matière de Sécurité Alimentaire au Mali Phase II (PROMISAM - II) PROMISAM -

Plus en détail

Annexe III : Le stage professionnel, réalisés au titre de l ISAP ou de l ISIC, doit permettre l identification de ces différents mécanismes.

Annexe III : Le stage professionnel, réalisés au titre de l ISAP ou de l ISIC, doit permettre l identification de ces différents mécanismes. Annexe III : Intervention professionnelle en service sociale : Intervention sociale d'aide à la personne (ISAP) et intervention sociale d'intérêt collectif (ISIC) - définitions et exemples - Dans le cadre

Plus en détail

Showroom 2006 Journées Portes Ouvertes des Ateliers des Artistes Lyonnais DOSSIER DE

Showroom 2006 Journées Portes Ouvertes des Ateliers des Artistes Lyonnais DOSSIER DE 2006 PRESENTATION DU PROJET DOSSIER DE PRESSE Showroom (association loi 1901) Siège social 109, allée 8 E, rue Francis de Pressensé 69100 Villeurbanne mail : association.showroom@free.fr site : http://association.showroom.free.fr

Plus en détail

RAPPORT SUR15-13. Réunion ordinaire du Conseil 2015-03-24

RAPPORT SUR15-13. Réunion ordinaire du Conseil 2015-03-24 RAPPORT SUR15-13 Réunion ordinaire du Conseil 2015-03-24 TITRE : Programme de relève et de développement du leadership pour les directions et les directions adjointes des écoles. BUT : Présenter pour information

Plus en détail

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR

Plus en détail

Partenariat Faire reculer le paludisme (RBM)

Partenariat Faire reculer le paludisme (RBM) Partenariat Faire reculer le paludisme (RBM) Cahier des charges du Groupe de Travail sur le Plaidoyer pour la lutte contre le paludisme (MAWG) Révision basée sur l examen du cadre de responsabilisation

Plus en détail

ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL

ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL EXPERIENCES PROFESSIONNELLES Détail des expériences Responsable qualité association secteur SMS : - Conception, mise en œuvre, animation et

Plus en détail

STAGE : ELECTRICIEN INSTALLATEUR-MONTEUR

STAGE : ELECTRICIEN INSTALLATEUR-MONTEUR MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION STAGE

Plus en détail

Exemples de différenciations pédagogiques en classe. Elémentaires Collèges. Ordinaires & ASH

Exemples de différenciations pédagogiques en classe. Elémentaires Collèges. Ordinaires & ASH Exemples de différenciations pédagogiques en classe. Elémentaires Collèges Ordinaires & ASH PRESENTATION ESPRIT DES OUTILS PRESENTES L objectif de cette plaquette est de proposer des tours de mains aux

Plus en détail

Gestion Participative Territoriale :

Gestion Participative Territoriale : !!" #!#$ # % #% Touiza Solidarité Evaluation ex post et externe Gestion Participative Territoriale : François Durand Consultant ITG Paris Foued Chehat Expert associé 1 Le cadre de l évaluation Le projet

Plus en détail

Bienvenue - Welcome. Parc de Nature et de Loisirs en Berry

Bienvenue - Welcome. Parc de Nature et de Loisirs en Berry Bienvenue - Welcome Parc de Nature et de Loisirs en Berry BROCHURE SÉMINAIRE - Saison 2012 - Madame, Monsieur, Tout d abord, je tiens à vous remercier de l intérêt que vous portez à notre site. Vous avez

Plus en détail

Modèle de plan d action pour le sondage en ligne

Modèle de plan d action pour le sondage en ligne Projet : Sondage en ligne (Préciser le nom de votre projet) Date / période : Territoire visé : Description : Opération consistant à interroger un certain nombre d'individus au sein d'une population déterminée

Plus en détail

Bilan de la concertation sur le PEDT

Bilan de la concertation sur le PEDT les périscolaires Bilan de la concertation sur le PEDT J www.ville-cergy.fr Sommaire 1. Préambule 4 2. Le cadre de la démarche 5 2.1. Les objectifs 6 2.2. Les sujets du débat 6 2.3. Le déroulé de la démarche

Plus en détail

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

Dossier de presse «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ»,

Dossier de presse «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ», Partenaires fondateurs DOSSIER DE PRESSE Dossier de presse «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ» «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ», Construisons ensemble des voies nouvelles pour un sport utile à tous

Plus en détail

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail

Plus en détail

La fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales.

La fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales. Chapitre 11 LA FONCTION CONTRÔLE DE GESTION REPORTING AUDIT INTERNE Un système de reporting homogène dans toutes les filiales permet un contrôle de gestion efficace et la production d un tableau de bord

Plus en détail

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,

Plus en détail

VIVRE OU SURVIVRE, TELLE EST LA QUESTION

VIVRE OU SURVIVRE, TELLE EST LA QUESTION VIVRE OU SURVIVRE, TELLE EST LA QUESTION Quelque part, dans un quartier de Minarive, lorine est assise dans l un des fauteuils en simili cuir bleu du salon de cet appartement qu elle habite depuis plus

Plus en détail

ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012

ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012 Document créé le 22/02/2011 Direction de l Education RHONE ORIENTATIONS DES ACTIONS SOCIO-EDUCATIVES DU CEL 2011-2012 En proposant aux collectivités territoriales de négocier et de signer les Contrats

Plus en détail

N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique

N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse CONSTRUCTION IDENTITAIRE DES ENSEIGNANTS EN FORMATION INTIALE : ENTRE REPRESENTATIONS PARTAGEES ET ELEMENTS DE DIFFERENCIATION DANS LE RAPPORT AU METIER 1. Problématique L étude

Plus en détail

Association loi 1901 - BP 82056-25402 AUDINCOURT CEDEX // 06.13.81.96.71 - www.crmfc.fr

Association loi 1901 - BP 82056-25402 AUDINCOURT CEDEX // 06.13.81.96.71 - www.crmfc.fr 1 TITRE I CONSTITUTION, OBJET, SIEGE SOCIAL, DUREE Article 1 : Constitution et dénomination Il est fondé entre les personnes physiques ou morales qui adhérent ou adhéreront aux présents statuts, une association

Plus en détail

PROJET PEDAGOGIQUE DE L'ACCUEIL JEUNES 11/17 ANS

PROJET PEDAGOGIQUE DE L'ACCUEIL JEUNES 11/17 ANS PROJET PEDAGOGIQUE DE L'ACCUEIL JEUNES 11/17 ANS Le projet pédagogique met en œuvre le projet éducatif de l'organisateur, il en précise les conditions de réalisation dans un document élaboré en concertation

Plus en détail

Une association qui entreprend au service de l intérêt général

Une association qui entreprend au service de l intérêt général Une association qui entreprend au service de l intérêt général Des métiers au service du lien social L UFCV, UNE ASSOCIATION QUI ENTREPREND AU SERVICE DE L INTÉRÊT GÉNÉRAL 1907 Naissance de l Union Parisienne

Plus en détail

Appel à projets. Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne

Appel à projets. Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne Appel à projets Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne Date limite : mercredi 25 février 2015 à 12h 1. Contexte La loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine

Plus en détail

Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie)

Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie) Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Musique instrumentale (deuxième partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Mai 2005 This document is available

Plus en détail

RÈGLEMENTS, POLITIQUES ET PROCÉDURES

RÈGLEMENTS, POLITIQUES ET PROCÉDURES CÉGEP DE SEPT-ÎLES POLITIQUE INSTITUTIONNELLE DE VALORISATION DE LA LANGUE FRANÇAISE Service émetteur : Direction des études Instance décisionnelle : Conseil d administration Date d approbation : Le 20

Plus en détail

ROELAND vzw RECRUTE! LANGUES & CRéATIVITé

ROELAND vzw RECRUTE! LANGUES & CRéATIVITé ROELAND vzw RECRUTE! LANGUES & CRéATIVITé Roeland vzw Service de jeunesse pour la promotion de la connaissance des langues Krijgslaan 18 9000 Gent T +32 9 221 60 44 www.roeland.be info@roeland.be 1 QUI

Plus en détail

Appel à propositions

Appel à propositions Appel à propositions Dispositif de professionnalisation des acteurs de l accueil, l information, l orientation, l emploi, la formation professionnelle initiale (par la voie de l apprentissage) et la formation

Plus en détail

Consultation publique

Consultation publique Consultation publique PROJET DE REDÉVELOPPEMENT DU SITE DES ANCIENS ATELIERS DU CN Mémoire déposé par le Club populaire des consommateurs de Pointe-Saint-Charles dans le cadre des consultations publique

Plus en détail

BILAN DE CARRIERE. La convergence de 2 mondes : Les Ressources Humaines Le développement personnel & l engagement relationnel www.elansol.

BILAN DE CARRIERE. La convergence de 2 mondes : Les Ressources Humaines Le développement personnel & l engagement relationnel www.elansol. - 1 - Conseil RH et Formation BILAN DE CARRIERE La convergence de 2 mondes : Les Ressources Humaines Le développement personnel & l engagement relationnel www.elansol.fr L heure est au changement et, pour

Plus en détail

Création d une coopérative scolaire

Création d une coopérative scolaire Pour créer une coopérative scolaire : Fiche modalités d adhésion Fiche d adhésion Création d une coopérative scolaire Règlement-type d une Coopérative scolaire (à conserver obligatoirement dans les archives

Plus en détail

LIVRET D ACCUEIL. Solidarité Doubs Handicap

LIVRET D ACCUEIL. Solidarité Doubs Handicap LIVRET D ACCUEIL POLE MEDICO-SOCIAL Services Accueil de Vie Services Habitat et Social Animation Socio-Culturelle POLE TRAVAIL PROTEGE Edition du 30 juin 2014 Solidarité Doubs Handicap SOLIDARITE DOUBS

Plus en détail

Diplôme d Université

Diplôme d Université Formation Continue Diplôme d Université Gérer et Développer votre Association I.A.E de Lyon - Université Jean Moulin - Lyon 3 6, cours Albert Thomas - BP 8242-69355 Lyon cedex 08 Tél. : 04 78 78 71 88

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale. Résumé MAEE

Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale. Résumé MAEE MAEE RAPPORT FINAL Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale Résumé Agnès Lambert, Raphaël Beaujeu, Helena Stucky de Quay, Didier Beaufort, Moctar Ahmed, Riad Bensouiah, Ralison

Plus en détail

Les grandes fonctions du tuteur

Les grandes fonctions du tuteur Agence Erasmus+ Jeunesse & Sport Les grandes fonctions du tuteur Ce document rend compte de travaux effectués en ateliers par les participants lors des sessions de formation de tuteurs SVE organisées depuis

Plus en détail

1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE

1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE ADDITIF EXPLICATIF 1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE Organisation de deux «secteurs» clairement identifiés dans leurs objectifs et missions. Sous la responsabilité d un pilotage unique, ces deux «secteurs»

Plus en détail

Passeport pour ma réussite : Mentorat Vivez comme si vous mourrez demain. Apprenez comme si vous vivrez éternellement Gandhi

Passeport pour ma réussite : Mentorat Vivez comme si vous mourrez demain. Apprenez comme si vous vivrez éternellement Gandhi Passeport pour ma réussite : Mentorat Vivez comme si vous mourrez demain. Apprenez comme si vous vivrez éternellement Gandhi Éléments principaux de Passeport pour ma réussite Passeport pour ma réussite

Plus en détail

Circulaire n 5051 du 04/11/2014

Circulaire n 5051 du 04/11/2014 Circulaire n 5051 du 04/11/2014 Collaboration entre les Centres psycho-médico-sociaux, le Service de médiation scolaire et le Service des équipes mobiles missions et rôles Réseaux et niveaux concernés

Plus en détail

PASOC. Formulaire d identification des besoins en renforcement des capacités

PASOC. Formulaire d identification des besoins en renforcement des capacités PASOC Formulaire d identification des besoins en renforcement des capacités L offre de renforcement des capacités du PASOC consiste d une part à mettre à la disposition des organisations qui en expriment

Plus en détail

INTRODUCTION. Cadre d évaluation de la qualité des données (CEQD) (juillet 2003)

INTRODUCTION. Cadre d évaluation de la qualité des données (CEQD) (juillet 2003) INTRODUCTION Cadre d évaluation de la qualité des données (CEQD) (juillet 2003) Le cadre d évaluation des données (CEQD) propose une structure qui permet d évaluer la qualité des données en comparant les

Plus en détail

Comment SE PRÉPARER. à la validation des acquis de son expérience

Comment SE PRÉPARER. à la validation des acquis de son expérience GUIDE POUR AGIR Comment SE PRÉPARER à la validation des acquis de son expérience JE BÂTIS MON PROJET PROFESSIONNEL Avec le soutien du Fonds social européen Pourquoi se préparer à la validation des acquis

Plus en détail

En outre 2 PDD sont impliqués dans le développement de politiques locales destinées à favoriser l'insertion des personnes handicapées.

En outre 2 PDD sont impliqués dans le développement de politiques locales destinées à favoriser l'insertion des personnes handicapées. PHOES Version : 2.0 - ACT id : 3813 - Round: 2 Raisons et Objectifs Programme de travail et méthodologie Dispositions financières Dispositions organisationnelles et mécanismes décisionnels Procédures de

Plus en détail

Mobilisation contre le décrochage scolaire. Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014

Mobilisation contre le décrochage scolaire. Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014 Mobilisation contre le décrochage scolaire Bilan de l action entreprise sur l année 2013 et perspectives pour l année 2014 Mercredi 8 janvier 2014 SOMMAIRE Introduction : la Nation mobilisée contre le

Plus en détail

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie Système d accreditation des organismes de formation Origine, objectifs et méthodologie du système d accréditation Carlos Capela Coordinateur du projet INOFOR - Institut pour l innovation dans la formation

Plus en détail

Guide du Tuteur Banque et Assurance

Guide du Tuteur Banque et Assurance Guide du Tuteur Banque et Assurance QU EST-CE QUE LE BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES? Il s agit d une formation en 2 ans proposée aux titulaires d un baccalauréat technologique ou général. Elle

Plus en détail

Lundi. Mardi Mercredi. Jeudi. Vendredi. LeS nouveaux rythmes à l école primaire. Exemples d emplois du temps

Lundi. Mardi Mercredi. Jeudi. Vendredi. LeS nouveaux rythmes à l école primaire. Exemples d emplois du temps Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi LeS nouveaux rythmes à l école primaire Exemples d emplois du temps Mars 2014 n exemple d organisation des temps scolaire et périscolaire Commune de 21 000 habitants

Plus en détail

Une mutuelle de formation est un regroupement

Une mutuelle de formation est un regroupement MISSION DU COMITÉ SECTORIEL DE MAIN- D OEUVRE DE L ÉCO NOMIE SOCIALE ET DE L ACTION COMMUNAU- TAIRE Créé en 1997, le comité sectoriel de maind oeuvre de l sociale et de l action communautaire (CSMO-ÉSAC)

Plus en détail

Ingénieur en prévention des risques

Ingénieur en prévention des risques Ingénieur en prévention des risques G1X22 Prévention hygiène et sécurité / Restauration - IR L ingénieur de recherche en prévention des risques assiste et conseille la direction de l établissement pour

Plus en détail

Appel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE)

Appel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE) Appel à projets Soutien à la dynamique des Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE) Date de l ouverture de l appel à projets : Mi-juillet 2013 Date de clôture de l appel à projets : 31 octobre

Plus en détail

ELEMENTS DE BUREAUTIQUE

ELEMENTS DE BUREAUTIQUE MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENTET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION ELEMENTS

Plus en détail

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires

Plus en détail

Projet éducatif vacances enfants et adolescents

Projet éducatif vacances enfants et adolescents Projet éducatif vacances enfants et adolescents SOMMAIRE 1- Présentation du mouvement 2- Valeurs et finalités 3- Nos objectifs 4- Nos orientations éducatives 5- L équipe d encadrement 6- Les activités

Plus en détail

Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences

Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences Réunion 3 11 décembre 2013 Ivry-sur-Seine Fiche synthèse Réunion 3 Emploi, formation, compétences Groupe animé par Patrick Loire, directeur des relations

Plus en détail

Guide pratique. Pour une recherche efficace de sponsors

Guide pratique. Pour une recherche efficace de sponsors Guide pratique Pour une recherche efficace de sponsors Guide Pratique Association Interfédérale du Sport Francophone asbl Quai de Rome 53 4000 LIEGE Tél.: 04/344 46 06 Fax: 04/344 46 01 E-mail: info@aisf.be

Plus en détail

Épreuve d expression orale (tâche 2)

Épreuve d expression orale (tâche 2) Je dirige une association qui aide les personnes en difficulté. Posez-moi des questions pour savoir comment fonctionne cette association (actions, adhérents, financements, etc.). 5/9 Vous cherchez des

Plus en détail

Le logiciel M4R (Monitoring for Results)

Le logiciel M4R (Monitoring for Results) L innovation appliquée au service de la nouvelle gouvernance Le logiciel M4R (Monitoring for Results) de IDEA-Solutions Un réseau international opérant en trois langues une formation combinée à l action

Plus en détail

SCIENCES DE L ÉDUCATION

SCIENCES DE L ÉDUCATION UniDistance 1 Centre d Etudes Suisse Romande Formation universitaire SCIENCES DE L ÉDUCATION En collaboration avec L Université de Bourgogne à Dijon Centre de Formation Ouverte et A Distance CFOAD UniDistance

Plus en détail

Internet et bien d autres choses encore!

Internet et bien d autres choses encore! Informatique Internet et bien d autres choses encore! Programme des Ateliers Septembre 2014 à Mars 2015 ATELIERS D INITIATION Nouvelle formule Initiation à l ordinateur, à Internet et à la messagerie électronique

Plus en détail

COMMENT FAIRE UN PLAN DE COMMUNICATION. Présentation : Chrystel Skowron Responsable communication à Côte-d Or Tourisme

COMMENT FAIRE UN PLAN DE COMMUNICATION. Présentation : Chrystel Skowron Responsable communication à Côte-d Or Tourisme COMMENT FAIRE UN PLAN DE COMMUNICATION Présentation : Chrystel Skowron Responsable communication à Côte-d Or Tourisme Introduction Définition Globalement un plan de communication, c est : «Un outil qui

Plus en détail

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF 10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX

Plus en détail

SECRETARIAT : ORGANISATION, TECHNIQUES ET METHODES DE TRAVAIL

SECRETARIAT : ORGANISATION, TECHNIQUES ET METHODES DE TRAVAIL MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION SECRETARIAT

Plus en détail

La Planification Financière Fiscale Personnelle (PFFP) A nouveaux enjeux nouveaux comportements

La Planification Financière Fiscale Personnelle (PFFP) A nouveaux enjeux nouveaux comportements La Planification Financière Fiscale Personnelle (PFFP) A nouveaux enjeux nouveaux comportements Intervenants Véronique AUDRAIN Consultante Serge ANOUCHIAN Expert-comptable Sommaire Le contexte La mission

Plus en détail