Qu est-ce qu être fou? Aujourd hui encore il est très difficile, voire impossible,
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- Céline Petit
- il y a 8 ans
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1 Introduction Qu est-ce qu être fou? Aujourd hui encore il est très difficile, voire impossible, d apporter une réponse exhaustive. Il s agit d un concept vague, imprécis, et le terme de folie est facilement utilisé par tout un chacun dans la vie quotidienne. On l emploie pour désigner un grand nombre d actes ayant peu ou pas de rapports entre eux. Ainsi est fou tout ce qui échappe à la raison, c est-à-dire qui ne correspond pas au bon sens un des synonymes de fou est d ailleurs insensé. On dira par exemple d une personne amoureuse qu elle l est à la folie, sans retenue. Ou de quelqu un passionné de philatélie qu il est fou de vieux timbres, etc. Bref, on voit qu Il n est sans doute pas de mot français plus ambigu que celui de folie. 1 Pour trouver une définition intéressante de la folie, la science qui s occupe des problèmes mentaux devrait logiquement être capable de nous y aider. Or il semble que, pour la psychiatrie, le mot n existe pas. Il est en fait beaucoup trop général, et la nosographie psychiatrique l a exclu au profit d autres termes plus précis. C est ainsi qu on ne parlera pas d un fou, mais d un psychotique ou d un névrosé, ces termes étant eux-mêmes respectivement subdivisés en schizophrénie, psychose maniacodépressive, et en hystérie, obsession, phobie, etc. Cependant, aussi intéressante soit-elle, on s aperçoit rapidement des limites de cette classification. D abord parce que la conception médicale que l on vient de voir n est même pas valable pour toutes les sociétés occidentales en l année Les variations entre pays, spécialistes, champs d action, etc. sont très variables. 1 Pierre Deniker, Jean-Pierre Olié, Fou, moi?, p13. Introduction -p 1 -
2 Quelles que soient l approche et la précision avec laquelle elle est définie, la conception et la définition de la folie resteront toujours subjectives : [...] la conscience de la folie, au moins dans la culture européenne, n a jamais été un fait massif, formant un bloc et se métamorphosant comme un ensemble homogène. Pour la conscience occidentale, la folie surgit simultanément en des points multiples, formant une constellation qui peu à peu se déplace, transforme son dessin et dont la figure réserve peut-être l énigme d une vérité. 2 Pour réussir à prendre en compte les autres aspects de la folie, partons d un constat simple : Là où le psychiatre n existe pas, la folie n est pas une maladie, mais une déviance par rapport à une norme sociale 3. On s aperçoit alors qu un autre aspect essentiel que la médecine ne semble pas prendre en compte est le fait que l On [soit] toujours fou par rapport à une société donnée 4. Car un être humain, un individu, ne vit et ne se définit que parce qu il est un au milieu d autres individus, pris ensemble ou séparément. La folie n existe que par rapport à la règle établie par la société dans laquelle on vit. C est elle qui définit nos normes de pensée et de comportement. Ainsi, chaque collectivité sécrète ses propres modèles de déviance. 5 On est donc fou, marginal, quand on passe de l autre coté : délirer, c est s écarter du sillon 6. Une fois cette frontière franchie, on devient autre, différent. Mais l exclu n est pas sans utilité. Toute collectivité a besoin de déviants, d individus à mettre à part. En effet, leur présence permet ainsi de tracer plus précisément la 2 Michel Foucault, Histoire de la folie à l âge classique, p181. 3, Roland Jaccard, La folie, p32. 4 Idem, p22. 5 Ibid 6 Pierre Morel, Claude Quétel, Histoire des maladies mentales, p58. Introduction -p 2 -
3 limite entre un comportement dit normal, donc admis, et une attitude considérée comme asociale. C est alors par contraste que le fou fait apparaître la normalité sociale et individuelle. En montrant du doigt celui qui est différent, la cohésion du groupe est ainsi renforcée. Grâce au bouc émissaire qui peut être un fou, mais également une sorcière, ou un vagabond -, la société va pouvoir se purifier. Fixer sur lui toute sa négativité, le rejeter ou même l exécuter sera une manière de se débarrasser de ce qu elle porte en elle mais refuse de voir. C est une façon éprouvée de se cacher ce qu elle refuse de voir, tout en se donnant bonne conscience. Bien sûr, le honteux, l inacceptable incarnés par l anormal varient suivant la société à laquelle on s intéresse. Une définition de la folie devra donc toujours être donnée en tenant compte de la société et de l époque pour lesquelles on les donne. Il ne paraît pas possible d en trouver une qui soit universelle, valable en tout point du globe : ainsi, en Inde, un homme en pagne psalmodiant dans une rue toute la journée peut être considéré comme un saint ; en France à la même époque, il serait mis à l asile Par delà l individu, on peut donc parler d une situation psychiatrique 7 propre à chaque société. Toute culture possède un modèle de folie, d anormalité, qui lui est propre. Il faudra donc, si l on veut obtenir une définition de la folie la plus proche possible de la réalité, tenir compte de tous ces aspects. Ce questionnement est indispensable si l on s intéresse à la folie en peinture. Il s agira ici de tenter de percevoir, à travers le support assez original qu est la peinture, ce que la société européenne occidentale a considéré comme étant folie au fil des siècles. Ceci, en 7 Roland Jaccard, op. cit., p22. Introduction -p 3 -
4 tenant compte des évolutions et des changements qui se sont produits, plus ou moins progressivement. L autre axe de réflexion de notre sujet sera relatif au peintre. En effet, l artiste est un acteur de la société dans laquelle il vit. Mais il a l avantage de pouvoir exprimer, de transmettre, sa perception. Comment l a-t-il fait et même, l a t-il fait? C est ce que nous allons essayer de voir. La peinture est une source souvent méconnue, voire négligée. On peut supposer qu elle ait beaucoup à nous apprendre. Mais en même temps, nous devrons faire attention. Car les peintres auxquels nous allons nous intéresser ont les défauts de leurs qualités : témoins de leur siècle, ils en sont en même temps trop proches et ne peuvent avoir de recul. De plus, imprégnés de toute une culture dont ils ne sauraient se défaire, influencés par la société dans laquelle ils vivent, ils tiennent pour acquises certaines vérités, complètement dépassées aujourd hui, dont ils essayent de persuader le spectateur. Mais cela fait également l intérêt d une telle étude : que peut-on percevoir au-delà du signifié? Enfin, il faudra avoir conscience de certaines limites : le message d un artiste, le sens de son œuvre, ne nous est accessible que jusqu à un certain point. Il sera donc indispensable de rester humble en reconnaissant les limites de nos interprétations, et en ne faisant que des suppositions là où il n est pas possible d avoir de certitudes. Ces réserves et mises en garde amènent à une nouvelle interrogation : l iconographie est-elle une source réellement intéressante pour l historien? Comme il arrive parfois que la peinture soit le seul témoignage d un événement ou d une Introduction -p 4 -
5 pratique sociale, c est une des questions que nous ne pourrons éviter de nous poser tout au long de ce mémoire. Le concept de folie, comme on vient de le voir, évolue au fil des siècles. Nous l aborderons au travers des différentes œuvres de plusieurs peintres, et non de la folie de tel ou tel artiste. Ainsi, par exemple, Van Gogh peut être considéré à la fois comme ayant été fou, et en même temps l un des artistes majeurs du XIX. Mais nous ne nous intéresserons pas à lui. En effet, le thème de ses toiles ne reflétait pas la vision de la folie qu avait la société dans laquelle il vivait, mais plutôt sa folie propre, ses tourments personnels. Ce qui, bien qu étant très intéressant, n est que peu utilité pour notre étude. Nous commencerons au début du XVIe siècle, pour finir vers le quart du XIXe. Le sujet étudié subissant des évolutions progressives, le plan chronologique nous a semblé être le plus pertinent pour les appréhender au mieux. Bien sûr, la période à laquelle nous allons nous intéresser est vaste. Il sera nécessaire de procéder à des subdivisions. On procédera donc en trois grandes parties, en suivant une logique historique qui, comme on le verra, découle d elle-même. La première partie de l étude débutera avec la fin du Moyen Age, c est-à-dire avec la fin du XVe siècle. Cette période charnière est marquée par l importance du sentiment religieux, et la crainte de l enfer. Est alors fou l homme insouciant de son Salut. Jérôme Bosch, puis Pieter Bruegel, nous permettrons d aborder ce thème. Puis nous verrons, avec Jérôme Bosch une nouvelle fois, et Jan Van Introduction -p 5 -
6 Hemessen, que la peinture peut parfois être l unique témoin de pratiques médicales liées à la folie aujourd hui complètement oubliées. En deuxième partie, nous assisterons à la disparition de la folie. Nous l envisagerons sous son aspect social, ainsi que dans ses rapports avec le pouvoir, avant de voir comment sa mise à l écart fut, avec d autres formes de déviances, officiellement à l ordre du jour. Les sources iconographiques de cette évolution majeure des mentalités sont quasi - inexistantes. Seuls, deux peintres pourront nous donner, plus ou moins explicitement, une image visuelle de la folie telle qu elle était considérée du milieu du XVIIe jusqu à la fin du XVIIIe siècle : Diégo Vélazquez, et Frans Hals. Enfin, notre troisième partie suivra les débuts de la psychiatrie, de la fin du XVIIIe siècle jusqu au premier quart du XIXe environ. On verra comment la folie va être enfin considérée comme une maladie qu il est possible de soigner, et surtout comment le fou accède dès lors au statut d individu à part entière. Trois peintres nous permettront de suivre chronologiquement cette évolution : Francisco de Goya ; Robert Tony-Fleury ; et Théodore Géricault. Introduction -p 6 -
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