L équipe itinérance de Trois-Rivières
|
|
- Juliette Grégoire
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L équipe itinérance de Trois-Rivières Une réponse aux situations complexes de rupture sociale Danny Lacroix Centre Le Havre de Trois-Rivières Jacques Boucher CRD Domrémy MCQ Nadia L Espérance CRD Domrémy MCQ Logement adéquat accessible Itinérance Soutien Revenu suffisant Les personnes sans abri Les personnes dans les refuges d urgence Les personnes logées provisoirement Les personnes à risque d itinérance 2 3 1
2 TROIS-RIVIÈRES Entre Montréal et Québec habitants 19,7% sous le seuil de faible revenu + de chômage et d aide sociale 4 L ÉVOLUTION DE L ITINÉRANCE À TROIS-RIVIÈRES Radio Canada La désinstitutionnalisation au Québec 5 L IDÉE D UNE ÉQUIPE ITINÉRANCE LE CONTEXTE 6 2
3 LES ORIGINES DE CE PROJET AUTOMNE 2008 Difficultés lors des références entre le CRD Domrémy MCQ et le centre Le Havre (hébergement d urgence pour l itinérance). Le mode de référence n est pas clair, la trajectoire mal comprise Comment bonifier le tout??? Pistes de solution et mise à jour de l entente de collaboration, toutefois Rapidement on identifie le type de clientèle pour qui la trajectoire et les services sont mal adaptés. Cette clientèle présente un niveau élevé de désaffiliation et souffre de problèmes de santé mentale et de dépendance. Devant ce constat nous demandons à d autres partenaires desejoindreànousafindeformeruncomitéderéflexion. 7 Le comité LecomitésecomposealorsdereprésentantsduCRD Domrmy MCQ, du centre Le Havre (hébergement d urgence pour l itinérance), du CSSSTR, du CHRTR, etdepoint-de-rue(travailderueetcentredejour) Il y a un sixième joueur qui sans lui rien n aurait été possible Le partenariat bâtit entre ces organismes et ces établissements depuis des années. Joueur discret par moment, avec des genoux fragiles, mais indispensable! 8 La problématique Au cours des vingt dernières années, la clientèle vulnérabilisée par la désaffiliation sociale qui se retrouve en situation de rupture sociale ne cesse de croître et de s élargir à Trois-Rivières. Lorsqu on regarde de près la clientèle qui présente un niveau élevé de désaffiliation (environ 20% de la clientèle qui fait des demandes d hébergement d urgence): ils ont presque tous des troubles concomitants de santé mentale et de dépendance. 9 3
4 Une pression accrue sur l ensemble des services La croissance et la particularité des cas à haut niveau de désaffiliation exercent une pression considérable sur les structures d accueil de première ligne, tant des réseaux publics que communautaires. 10 Les constats du comité La croissance du phénomène interpelle tous les partenaires. Les défis de l accessibilité, de la rétention et de la continuité des services exigent l intégration et la coordination des services sur le territoire. Le cumul des problèmes et leur gravité situent d emblée la clientèle à haut niveau de désaffiliation en interface avec l ensemble des partenaires. 11 Le projet, une équipe Une équipe d intervenants mobiles. Composée de 4 intervenants. Appartenant à quatre organisations différentes; le Centre de santé et des services sociaux de Trois- Rivières, le centre de réadaptation en dépendance Domrémy MCQ l organisme de travail de rue Point de rue, l organisme d hébergement d urgence Le Centre le Havre de Trois-Rivières. 12 4
5 LE MANDAT Nousnevoulionspascréerun«autre»service,sans lienaveccequisefaisaitdéjà. Ce que nous visions c était la création d un dispositif d intervention qui facilite; l accessibilité et la continuité des services; la coordination et l intégration des services C est deux points sont le cœur du mandat de l équipe. 13 LE FONCTIONNEMENT CLINIQUE D U NE ÉQU I PE M OBI LE DE PROXI M I TÉ 14 Urgence hospitalière Travailleur de rue Point de rue Aide jurique Détention Curateur Sécurité publique Services en santé mentale CSSSTR UNE ÉQUIPE MULTIDISCIPLINAIRE Travailleur social Psychoéducateur Éducateur spécialisé Infirmier Probation Services en dépendance Domrémy MCQ Emploi Québec Banque alimentaire Intégration au travail Hébergement d urgence Centre Le Havre Réseau d habitation Logement 15 5
6 SON IDENTITÉ Processus de glissement Accompagnement dans une relation d être Travail de rue Équipe itinérance Accompagnement dans une zone horstraitement ou prétraitement Services publics Accompagnement dans une zone de traitement Processus d inclusion 16 L APPROCHE UN CHANGEMENT DE PARADIGME Traitement Analyse Diagnostic Traitement Évaluation Accompagnement Lien Respect mutuel Présence Soutien Le sens de l accompagnement n est pas lié à la croissance du cheminement. L accompagnement trouve son sens dans l instauration d une alliance thérapeutique. Ce lien d égal à égal et non intriqué doit tendre graduellement vers le développement d un respect mutuel qui sous-entend le respect du rythme, des besoins, des valeurs et de la réalité de chacun. Ce lien respectueux se veut la porte d entrée d une présence aidante et sécurisante soutenant la personne dans son projet«d être quelqu un quelque part». 17 L APPROCHE UNE COURSE DE FOND Dans une optique d intervention auprès d une clientèle démontrant des problématiques complexes et chroniques, une approche: Centréesurlapersonnesetseschoix; Souple; Sans attente; devient un horizon de sens permettant aux intervenants d entrer en relation avec ces personnes vulnérables, en survies. L approche d accompagnement se veut une approche permettant à l intervenant de vivre, dans la relation d aide, un sentiment d impuissance sans toutefois que ce sentiment l amène stratégiquement à rompre la relation. 18 6
7 PROCESSUS DE DÉSAFFILIATION Zone d intégration Zone de vulnérabilisation Zone de rupture sociale Zone d exclusion sociale 19 CLIENTÈLE EN RUPTURE SOCIALE PROBLÉMATIQUES CONCOMITANTES COMPLEXES: instabilité résidentielle, trouble de santé mentale, trouble de santé physique, dépendance, judiciarisation, faible revenu Un amalgame de facteurs internes et externes brimant plus souvent qu autrement la capacité de la personne à stabiliser sa condition générale. DÉNOMINATEUR COMMUN: une perte de lien et de confiance tant envers nos institutions qu envers la communauté. DANGEROSITÉ VS DÉRANGEROSITÉ: présence de symptômes psychiatriques suffisamment dérangeant pour exclurent la personne d une vie communautaire mais insuffisamment dangereux (loi P38) pour amener cette dernière à être traitée contre son gré. 20 PROCESSUS CLINIQUE 4intervenants; suivis; 2 gestionnaires assurent la coordination des services et la supervision clinique; Les références proviennent, pas exclusivement, mais principalement des partenaires au projet; Application informatique permettant de structurer une tenue de dossier minimale. Cette application permet aux intervenants d avoir l information en tout temps et en temps réel sur l ensemble des accompagnements de l équipe; Cadres de suivi: intensif, régulier et situationnel; Service de fiducie volontaire. 21 7
8 L ÉVALUATION DE L IMPLANTATION EI3R REM YM CQ.CA/FICHIERS/DOCUM ENTS/ E V ALUATI ON - PROJE T- I TI N E R AN C E - D E C L évaluation vise à documenter: le processus d implantation; le fonctionnement de l équipe; la clientèle rejointe durant les deux premières années d existence(octobre 2010 à octobre 2012); la nature des interventions réalisées; la satisfaction des usagers à l égard des services reçus; l opinion et la satisfaction des partenaires quant à l apport de cette équipe auprès des usagers et des partenaires. 23 MÉTHODOLOGIE Collecte de données Analyse du système d information clientèle SCRIBE Questionnaire d opinion sur les services (QOSE-21 adapté) Entrevues semi-structurées individuelles auprès des usagers Focus group auprès : ÉI3R Comité directeur Partenaires Analyses Analyses qualitatives : analyse thématique du matériel (Miles et Huberman, 2003) Analyses quantitatives descriptives: à l aide de SPSS version 19, le matériel colligé à partir du SCRIBE et du QOSE
9 PARTICIPANTS 25 ANALYSE DU SCRIBE Portraitdelaclientèle: 210 demandes de services formelles en provenance de plus de 20 partenaires différents environ 50% provenaient des services d hébergement d urgence du centre Le Havre. 184personnesontétésuiviesparl équipe-adultes 77%sontdeshommes 15%sontdejeunesadultes(18-30ans) 28%ontplusde50ans. 26 ANALYSE DU SCRIBE 70% des personnes évaluées présentent des problèmes marqués dans 3 sphères différentes et plus Plus de 80% des personnes suivies par l équipe avaient déjà utilisé les services d hébergementd urgenceà 5,5 reprises en moyenne. Laduréemoyennedessuivisestde14mois. 27 9
10 ANALYSE DU SCRIBE 3 niveaux de suivi: Intensif:26% Régulier:62% Situationnel: 59% 41% dessuivissefontàpartird unpsi (CH, CSSS, Domrémy, curatelle, etc.) 28 ANALYSE DU SCRIBE Cibles d intervention 29 ANALYSE DU SCRIBE 60% des personnes suivies par l équipe n ont pas eu recours aux services d hébergement d urgence depuis le début de ce suivi 30 10
11 Évaluation d implantation de l ÉI3R Analyse du SCRIBE 31 OPINION DES USAGERS 32 OPINION DES USAGERS Pointdevuedesusagers perceptiondeleurprogression: Ils ont un sentiment d avoir progressé et considèrent que l équipe facilite l accès et la continuité des services; La majorité affirme que l équipe aide à réduire les hébergements d urgence et à trouver un lieu de résidence; Les 3/4 des répondants considèrent que leur suivi avec l équipe a contribué à réduire leurs problèmes: dejustice de consommation de visites en centre hospitalier
12 OPINION DES USAGERS Parmi 25 dimensions évaluées, 4 se sont «beaucoup améliorées»: la participation à la vie sociale(36,8%) l amélioration de la confiance en soi(35%) la stabilité résidentielle(33%) lemoraletl humeur(30%) 89% affirment que leur relation avec les autres services et partenaires s est révélée «mieux» et «beaucoup mieux» qu avant le début du suivi. 34 OPINION DES PARTENAIRES Point de vue des partenaires cliniques à l égard de l ÉI3R: L équipe facilite l accès et la continuité entre les différents services; Au contact de l équipe, les partenaires observent des changements dans leur propre pratique; Ils observent chez la clientèle suivie par l équipe, une amélioration globale de leur qualité de vie et un changemement d attitude par rapport à leur engagement dans leur suivi; Ils soulignent les avantages propres à l approche de proximité et à la composition multidisciplinaire et multiorganisationnelle de l équipe. EN CONCLUSION La complémentarité des données colligées auprès des intervenants, des gestionnaires, des partenaires et des usagers permetdedireque: L ÉI3R rejoint une clientèle qui présente plusieurs sphères de vulnérabilité; La contribution de l ÉI3R a des retombées sur les personnes rejointes et les autres services; Lamiseenlienaveclesautresservices Amélioration de la condition des usagers Adaptation des services tolérance, changement de perception 12
13 EN CONCLUSION Les défis; Pour l équipe, est capable d avoir le bon intervenant à la bonne place et de pouvoir le maintenir en place Pour les membres de l équipe, conserver l expertise et le lien avec leur organisme de provenance Concilier des visions, des façons de faire, des moyens et budgets différents Mettre de côté l inconciliable pour le bien de ces grands démunis Amener cette clientèle vers les services existants a demandé et demande encore aux intervenants du réseau d adapter leurs façons de faire, de limiter et simplifier les étapes et les outils Pour certains individus, pouvoir les amener vers les services existants est impensable à court ou moyen terme Adapter les services et les rapprocher de ces usagers EN CONCLUSION Élémentsàconsidérerpourlamiseenplaced unetelleéquipe Prévoir du temps pour le développement de l identité de l équipe Élargir les plages horaires Intégrer d autres professionnels Demeurer proactif auprès des partenaires 13
14 Merci! 40 14
Plan communautaire en itinérance de Trois Rivières
Plan communautaire en itinérance Présenté par L Agence de la santé et des services sociaux de la Mauricie et du Centre du Québec La Table santé mentale et dépendances du Centre de santé et de services
Plus en détaild infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en
DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de
Plus en détailPROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES. Sommaire de la démarche de réorganisation
PROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES Sommaire de la démarche de réorganisation SOMMAIRE Le programme régional Traité santé offre des services de réadaptation
Plus en détailL approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé
Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle
Plus en détailPlanification stratégique 2012-2015
DE CHAUDIÈRE-APPALACHES Planification stratégique 2012-2015 Reprendre du pouvoir sur sa vie. 23681_CRDCA_Planification 2012.indd 1 Description de la démarche La démarche de planification stratégique du
Plus en détailFiche d information à l intention des parents. Volet 2 Les options résidentielles
Centre de réadaptation en déficience intellectuelle de Québec (CRDI de Québec) 7843, rue des Santolines Québec (Québec) G1G 0G3 Téléphone : 418 683-2511 Télécopieur : 418 683-9735 www.crdiq.qc.ca Fiche
Plus en détailLes défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements
Résumé Les défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements Ce texte fait partie d une banque de 50 récits de pratiques d intervention en itinérance qui ont été réalisés avec quatre Équipes
Plus en détailL infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue
L infirmière praticienne spécialisée en soins de première ligne (IPSPL) : Portrait des pratiques en UMF sur le territoire Abitibi-Témiscamingue Marie-Christine Lemieux, M.Sc. Inf., IPSPL 2 e Symposium
Plus en détailCollaboration à cette conférence
L ACTION EN SANTÉ PUBLIQUE POUR AGIR SUR L ACCESSIBILITÉ AU JEU Bilan des initiatives des directions régionales de santé publique relatives au Casino de Montréal, aux Salons de jeux et au jeu en ligne
Plus en détailLe contrôle de la qualité des services
Le contrôle de la qualité est essentiel à l amélioration continue des services aux usagers. En fonction des obligations du ministère de la Santé et des Services sociaux, le Protecteur du citoyen a analysé,
Plus en détailL accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1
L accès au suivi et au traitement pour les personnes atteintes de l hépatite C au Québec 1 DOCUMENT SYNTHÈSE Lina Noël, Julie Laforest, Pier-Raymond Allard, Marc Dionne, INTRODUCTION Au Québec, près de
Plus en détailSondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire -
Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire - Juin 2009 1 Objectifs Réalisée par CROP pour le compte de l Association québécoise d établissements
Plus en détail2011-01-18. Quels sont, pour le soignant, les enjeux soulevés lorsqu il donne un soin à un allophone? Enjeu de communication
Distance linguistique et soins de qualité dans une perspective d équité: Concilier une diversité d enjeux Bilkis Vissandjee *, Université de Montréal Alex Battaglini, CSSS Bordeaux-CartiervilleSaint-Laurent
Plus en détailStandards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience
Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Ligne provinciale d intervention téléphonique en prévention du suicide 1 866 APPELLE Octobre 2014 Table des matières Contexte...
Plus en détailRésultats du sondage sur la collaboration entre les CSSS et la première ligne médicale hors établissement
Résultats du sondage sur la collaboration entre les CSSS et la première ligne médicale hors établissement Janvier 2015 Contributions Équipe de travail Réal Cloutier, Hôpital Rivière-des-Prairies Louise
Plus en détailFICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS. Volet 2 - Les options résidentielles
FICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS Volet 2 - Les options résidentielles LES OPTIONS RÉSIDENTIELLE La Fiche d information à l intention des parents porte sur différents sujets susceptibles d
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailL expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke. Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté
L expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté 27e Entretiens Jacques Cartier Sherbroke, le 6 octobre 2014 Le suivi intensif dans
Plus en détailLa réinsertion sociale. Pour que la rue ait une issue...
La réinsertion sociale Pour que la rue ait une issue... La philosophie d intervention du service de réinsertion sociale de la Maison du Père repose sur une approche de réduction des méfaits. Elle prône,
Plus en détailProjet de loi n o 21 (2009, chapitre 28)
PREMIÈRE SESSION TRENTE-NEUVIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 21 (2009, chapitre 28) Loi modifiant le Code des professions et d autres dispositions législatives dans le domaine de la santé mentale et
Plus en détailLES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT?
LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? Élisabeth Mazalon et Sylvain Bourdon Université de Sherbrooke
Plus en détailGUIDE SUR LES INDICATEURS DE PERFORMANCE DANS LES UNITÉS DE VÉRIFICATION INTERNE
GUIDE SUR LES INDICATEURS DE PERFORMANCE DANS LES UNITÉS DE VÉRIFICATION INTERNE FRVI Mars 2009 Guide sur les indicateurs de performance dans les unités de vérification interne 2 Table des matières Introduction..04
Plus en détailRepérage de la perte d autonomie
Repérage de la perte d autonomie France Morissette, MSc. Inf Directrice, Opérations soins 24 novembre 2014 LE GROUPE MAURICE PROFIL CORPORATIF, EN BREF Fondé en 1998 Un seul créneau : l habitation pour
Plus en détailPERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES. Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones
PERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones Édition de février 2011 Réalisé par le Comité patronal de négociation
Plus en détailProjet de loi n o 25 (2003, chapitre 21) Loi sur les agences de développement de réseaux locaux de services de santé et de services sociaux
PREMIÈRE SESSION TRENTE-SEPTIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 25 (2003, chapitre 21) Loi sur les agences de développement de et de services sociaux Présenté le 11 novembre 2003 Principe adopté le 10 décembre
Plus en détailÉtude sur les efforts requis pour gérer les offices d habitation de moins de 100 logements Société d habitation du Québec
CONDENSÉ DÉCISIONNEL Étude sur les efforts requis pour gérer les offices d habitation de moins de 100 logements Société d habitation du Québec Le 11 avril 2014 d habitation de moins de 100 logements Condensé
Plus en détailLES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8. Code de vie du «137»
LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8 Code de vie du «137» Bienvenue parmi nous! Ce code de vie est conçu pour expliquer le fonctionnement du «137». Étant donné que cet
Plus en détailL INTÉGRATION DE PAIRS AIDANTS DANS DES ÉQUIPES DE SUIVI ET DE SOUTIEN DANS LA COMMUNAUTÉ: POINTS DE VUE DE DIVERS ACTEURS
L INTÉGRATION DE PAIRS AIDANTS DANS DES ÉQUIPES DE SUIVI ET DE SOUTIEN DANS LA COMMUNAUTÉ: POINTS DE VUE DE DIVERS ACTEURS Synthèse des résultats de l étude Hélène Provencher, PhD, Université Laval, Québec
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailPartenariat patient-pair aidant-équipe soignante, un trio gagnant favorisant l espoir du rétablissement.
Partenariat patient-pair aidant-équipe soignante, un trio gagnant favorisant l espoir du rétablissement. Automne 2014 MOT DE BIENVENUE ET PRÉSENTATION DES FORMATRICES Réjeanne Bouchard Guylaine Cloutier
Plus en détailMise au point à propos du programme PAAS ACTION Suivi de la rencontre avec les ministères Avril 2011
Mise au point à propos du programme PAAS ACTION Suivi de la rencontre avec les ministères Avril 2011 Si vous ne connaissez pas ce dossier, commencez par lire le résumé en annexe, page 5. Les dernières
Plus en détailMinistère de la Santé et des Services sociaux
Ministère de la Santé et des Services sociaux Projet de loi modifiant l organisation et la gouvernance du réseau de la santé et des services sociaux notamment par l abolition des agences régionales Contexte
Plus en détailOrientations régionales concernant les services offerts aux personnes présentant des problématiques multiples et le Complément
Orientations régionales concernant les services offerts aux personnes présentant des problématiques multiples et le Complément Orientations régionales concernant les services offerts aux personnes présentant
Plus en détailProjet de loi n o 20
Loi édictant la Loi favorisant l accès aux services de médecine de famille et de médecine spécialisée et modifiant diverses dispositions législatives en matière de procréation assistée Mémoire présenté
Plus en détailMÉMOIRE CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE
MÉMOIRE DU CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE PRÉSENTÉ À LA COMMISSION DES AFFAIRES SOCIALES AOÛT 2009
Plus en détailLes approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise*
INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* Denis Hamel, statisticien Unité Connaissance-surveillance MISE
Plus en détailUne échelle d évaluation semistructurée. B. Gravier
Une échelle d évaluation semistructurée : la HCR-20 B. Gravier Exemple de jugement clinique structuré: The Historical Clinical Risk Management 20 item scale HCR - 20 Echelle utilisée par les cliniciens
Plus en détailLes ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique
Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Préparé par: Rose-Anne Buteau, Inf. Ph D. (c) Sylvie Garand-Rochette, M.Sc.. Monique Thibault,
Plus en détailVos stratégies d attraction et de rétention vous permettent-elles d attirer et de fidéliser les meilleurs talents?
> pour un meilleur rendement des organisations et des personnes Vos stratégies d attraction et de rétention vous permettent-elles d attirer et de fidéliser les meilleurs talents? L optimisation du capital
Plus en détailÀ retenir... 1. Ce qu en disent les acteurs communautaires
1 Volet 4 : Ainé-e-s Table des matières À retenir... 1 Ce qu en disent les acteurs communautaires... 1 1. Un portrait des aîné e s du quartier... 2 1.1 Répartition des personnes âgées de 65 ans et plus...
Plus en détailCertification des ressources d hébergement en toxicomanie ou en jeu pathologique
Ministère de la Santé et des Services sociaux Direction générale des services sociaux, Direction des dépendances et de l itinérance Certification des ressources d hébergement en toxicomanie ou en jeu pathologique
Plus en détailPréoccupations en matière de retour au travail chez les personnes confrontées à un cancer et les personnes qui leur prodiguent des soins
Préoccupations en matière de retour au travail chez les personnes confrontées à un cancer et les personnes qui leur prodiguent des soins Sommaire de gestion À la demande du Groupe de travail national sur
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détail2 Quels usages peut-on faire du focus group? Encadré 1 L utilisation du focus group en évaluation. Explicitation Restitution. Usages du focus group
LE FOCUS GROUP 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? Un focus group est un type d entretien de groupe composé de personnes concernées par une politique de développement ou une intervention. Il est
Plus en détailDEVENIR TUTEUR DANS LE MEILLEUR INTÉRÊT DE L ENFANT
DEVENIR TUTEUR DANS LE MEILLEUR INTÉRÊT DE L ENFANT Que devez-vous savoir sur la tutelle en vertu de la Loi sur la protection de la jeunesse? LOI SUR LA PROTECTION DE LA JEUNESSE CETTE BROCHURE A ÉTÉ RÉALISÉE
Plus en détailUne école adaptée à tous ses élèves
PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS
Plus en détailPolitique de gestion des risques
Objectif de la politique La gestion efficace des risques vise à assurer la continuité des opérations, le maintien de la qualité des services et la protection des actifs des organisations. Plus formellement,
Plus en détailAffaires autochtones et Développement du Nord Canada. Rapport de vérification interne
Affaires autochtones et Développement du Nord Canada Rapport de vérification interne Vérification du cadre de contrôle de gestion pour les subventions et contributions de 2012-2013 (Modes de financement)
Plus en détailLe genre féminin utilisé dans ce document désigne aussi bien les femmes que les hommes.
Programme d intéressement pour l implantation du rôle de l infirmière praticienne spécialisée Modalités d application 15-919-04W RÉDACTION Direction des soins infirmiers Direction générale des services
Plus en détailLes étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant
Page1 Volume 4, numéro 1 Les étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant Extraits de «Endettement étudiant : État des lieux, déterminants et impacts», Fédération étudiante universitaire
Plus en détailLa mission et les résultats en chiffres pour 2006-2007 1
La mission et les résultats en chiffres 1 La mission du Protecteur du citoyen Le Protecteur du citoyen a pour mandat, en vertu de la Loi sur le Protecteur du citoyen et, depuis le 1 er avril 2006, en vertu
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailDoit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée?
Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Hélène Le Brun, conseillère septembre 2007 D-11815 Centrale des syndicats du Québec
Plus en détailÉtude de référence sur la satisfaction de la clientèle : consommateurs à domicile
Résumé du rapport Étude de référence sur la satisfaction de la clientèle : consommateurs à domicile Numéro de contrat : 90030-121581/001/CY Contrat attribué le : 2013-01-18 Préparé pour : Office national
Plus en détailPLAN D ACTION DE L AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LANAUDIÈRE À L ÉGARD DE L INTÉGRATION DES PERSONNES HANDICAPÉES
PLAN D ACTION DE L AGENCE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX DE LANAUDIÈRE À L ÉGARD DE L INTÉGRATION DES PERSONNES HANDICAPÉES Mise à jour au 28 février 2013 Véronique Bibeau, Conseillère en gestion
Plus en détailLE MARKETING SOCIAL ET
LE MARKETING SOCIAL ET LA PRÉVENTION DE LA MALTRAITANCE MARIE-HÉLÈNE GAGNÉ 6ème Colloque québécois sur la maltraitance envers les enfants et les adolescents Montréal, 29 octobre 2013 LE FARDEAU DE LA MALTRAITANCE
Plus en détailÉvolution et révolution en gestion des identités et des accès (GIA)
Évolution et révolution en gestion des identités et des accès (GIA) Présentée à ISACA Québec Septembre 2013 2 Revenu Québec LES GRANDS ENJEUX 3 Favoriser le respect volontaire des obligations fiscales
Plus en détailFiche entreprise : E10
Fiche entreprise : E10 FONCTION ET CARACTÉRISTIQUES / PERSONNE INTERVIEWÉE La personne interviewée est le directeur de la mutuelle de formation 1 dans le secteur des entreprises adaptées dont 95 % gèrent
Plus en détailLa réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien
Hôpital Cochin Samedi 1 er avril 2006 Forum Saint Jacques La réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien Dr Jean-Baptiste Fassier 1,2 Centre d Etude et
Plus en détailL évaluation et l amélioration de l expérience patient en milieu hospitalier : impact du Comité des usagers
L évaluation et l amélioration de l expérience patient en milieu hospitalier : impact du Comité des usagers Dieudonné Soubeiga, expert en sondages Marie-Suzanne Lavallée, directrice de la qualité Annie
Plus en détailRégime à cotisation déterminée. On sait ce qu on met dedans; ce qu on retirera à la retraite dépend du rendement.
Le Régime volontaire d épargne retraite (RVER) face au défi de la sécurité du revenu à la retraite des personnes salariées des groupes communautaires et de femmes et des entreprises d économie sociale
Plus en détailPLAN DE FORMATION Formation : Le rôle du superviseur au quotidien 2014-2015
1. Contexte PLAN DE FORMATION Formation : Le rôle du superviseur au quotidien 2014-2015 Dans le passé, on recherchait des superviseurs compétents au plan technique. Ce genre d expertise demeurera toujours
Plus en détailGuide sur les mutuelles de formation. Règlement sur les mutuelles de formation
Guide sur les mutuelles de formation Règlement sur les mutuelles de formation ÉDITION AVRIL 2008 Dans le cadre d une entente de délégation prévue par la Loi sur le ministère de l Emploi et de la Solidarité
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailassurance collective Assurance médicaments Des solutions intégrées pour une gestion efficace
assurance collective Assurance médicaments Des solutions intégrées pour une gestion efficace Notre vision Desjardins Assurances est un acteur canadien important en assurance collective, reconnu pour son
Plus en détailSéminaire du Pôle Santé
1 Séminaire du Pôle Santé Les télésoins à domicile au Québec représentent-ils une solution économiquement viable? Guy Paré, Ph.D., MSRC Titulaire de la Chaire de recherche du Canada en technologies de
Plus en détailLignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6
Lignes directrices Pour l expertise en matière de garde d enfants et des droits d accès février 2oo6 INTRODUCTION................. 3 PRÉAMBULE.................. 3 I. AMORCE DU PROCESSUS........... 4 A.
Plus en détailLES SOINS DE SANTÉ POUR LES MIGRANTS SANS PAPIERS EN SUISSE SERVICES
LES SOINS DE SANTÉ POUR LES MIGRANTS SANS PAPIERS EN SUISSE SERVICES UN CONTEXTE PLEIN DE CONTRASTES Dans la plupart des pays analysés, un écart peut être observé entre les normes définies par les droits
Plus en détailN.-B. 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4. 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4
Profil démographique 1 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4 Groupe d âge 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4 Sexe Niveau de scolarité Homme 48,0 40,5 47,8 52,3
Plus en détailSondage d opinion sur les livres, les longs métrages, les périodiques canadiens et les œuvres musicales
Sondage d opinion sur les livres, les longs métrages, les périodiques canadiens et les œuvres musicales Sommaire exécutif Préparé pour le ministère du Patrimoine canadien 4 septembre 2012 Date d attribution
Plus en détailBienvenue à la conférence en ligne Violence au travail : présentation des résultats du sondage mené auprès de trois secteurs professionnels
Bienvenue à la conférence en ligne Violence au travail : présentation des résultats du sondage mené auprès de trois secteurs professionnels Conférencier : Richard Boyer, Ph. D., chercheur au Centre de
Plus en détailInclusion sociale et services à domicile. Synthèse du mémoire d Ex aequo sur l assurance autonomie
Inclusion sociale et services à domicile Synthèse du mémoire d Ex aequo sur l assurance autonomie Présentation d Ex aequo Ex aequo est un organisme montréalais se consacrant à la promotion et à la défense
Plus en détailINFIRMIÈRE PRATICIENNE EN LE 6 MAI 2015 PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? INFIRMIÈRES DE L UQAC
INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES INFIRMIÈRES DE L UQAC LE 6 MAI 2015 PLAN DE LA PRÉSENTATION Quel type de formation une IPSPL doit-elle suivre?
Plus en détailUnis contre la violence conjugale et intrafamiliale. Plan d action stratégique en matière de violence conjugale et intrafamiliale 2013-2017
Unis contre la violence conjugale et intrafamiliale Plan d action stratégique en matière de violence conjugale et intrafamiliale 2013-2017 Mise en contexte Au SPVM Environ 18 000 appels de service au 911
Plus en détailRevalorisation de la pratique et rehaussement de la compétence en soins de longue durée
Revalorisation de la pratique et rehaussement de la compétence en soins de longue durée Marie-Josée Béliveau, inf. Gaétane Boucher, inf. B. Sc. Monique Bourque, inf. M.A. Carole Brousseau, inf. B. Sc.
Plus en détailBureau du surintendant des institutions financières. Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration
Bureau du surintendant des institutions financières Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration Avril 2014 Table des matières 1. Contexte... 3 2. Objectif, délimitation
Plus en détailCERTIFICAT EN TOXICOMANIE. 8 avril 2015
Dîner d information Programmes d études en toxicomanie CERTIFICAT EN TOXICOMANIE 8 avril 2015 Programmes de formation créditée en toxicomanie Offert dans différentes villes du Québec Certificat en toxicomanie
Plus en détailLes conséquences du sous-financement des organismes communautaires montréalais
Les conséquences du sous-financement des organismes communautaires montréalais Des conclusions qui appellent à la mobilisation Rapport du RIOCM sur le sous-financement des organismes communautaires de
Plus en détailL utilisation du genre masculin dans ce document sert uniquement à alléger le texte et désigne autant les hommes que les femmes
L utilisation du genre masculin dans ce document sert uniquement à alléger le texte et désigne autant les hommes que les femmes Table des matières 1. Objet de la politique... 4 2. Cadre légal et règlementaire...
Plus en détailLA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN
LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN JEAN-PIERRE BRUN PROFESSEUR CHAIRE EN GESTION DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ DU TRAVAIL UNIVERSITÉ LAVAL http://cgsst.fsa.ulaval.ca Dans quatre
Plus en détailCoût des opérations bancaires
Bureau de la consommation Coût des opérations bancaires Coût des opérations bancaires On peut obtenir cette publication sur demande en médias substituts. Communiquer avec le Centre de diffusion de l information
Plus en détailCadre de référence. Implantation de l Accueil Clinique au CIUSSS du Centre Est-de-l Île-de-Montréal
Cadre de référence Implantation de l Accueil Clinique au CIUSSS du Centre Est-de-l Île-de-Montréal Révisé en février 2015 1 TABLE DES MATIÈRES Abréviations utilisées. 3 Mise en contexte. 4 Buts et objectifs.
Plus en détailRapport de recherche Présenter au Comité des usagers du CSSS Lucille-Teasdale
Le comité des usagers des gens à votre écoute Rapport de recherche Présenter au Comité des usagers du CSSS Lucille-Teasdale Étude exploratoire visant l identification de pistes de réflexion stratégique
Plus en détailUn de vos proches devient inapte
Un de vos proches devient inapte Comment le protéger? Le Curateur public du Québec À la rencontre de la personne Table des matières Qu est-ce que l inaptitude?... 4 Qu est-ce que le besoin de protection?....
Plus en détailOUTIL DIAGNOSTIQUE DE L ACTION EN PARTENARIAT
OUTIL DIAGNOSTIQUE DE L ACTION EN PARTENARIAT Angèle Bilodeau, Ph.D. 1, 2 Marilène Galarneau, M.Sc. 2 Michel Fournier, M.Sc. 1 Louise Potvin, Ph.D. 2 Gilles Sénécal, Ph.D. 2, 3 Jocelyne Bernier, M.Sc.
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailProgramme Transit. Visant à soutenir les apprentissages à la vie autonome des personnes adultes présentant une déficience intellectuelle
Programme Transit Visant à soutenir les apprentissages à la vie autonome des personnes adultes présentant une déficience intellectuelle Développé par l Association des personnes handicapées de la rive-sud
Plus en détailPROPOSITIONS EN VUE DE LA TENUE DU CONGRÈS DE LA FSSS 2009 «POUR LE MEILLEUR ET POUR L AVENIR»
PROPOSITIONS EN VUE DE LA TENUE DU CONGRÈS DE LA FSSS 2009 «POUR LE MEILLEUR ET POUR L AVENIR» I - Pour la défense et la promotion des services sociaux et de santé publics pour les personnes aînées en
Plus en détailContribution de Médecins du Monde
Contribution de Médecins du Monde Conférence nationale de lutte contre la pauvreté et les exclusions des 10 et 11/12/12 Thématique Hébergement / logement Cette contribution fait suite à la participation
Plus en détailLes offres de services spécialisés
Les offres de services spécialisés Le contexte et les enjeux, incluant les offres de services spécialisés aux familles et aux proches, aux partenaires ainsi que notre engagement dans la collectivité. PAVILLON
Plus en détailPLAN D ACTION À L ÉGARD DES PERSONNES HANDICAPÉES 1 er avril 2014 au 31 mars 2015
DES PERSONNES HANDICAPÉES 1 er avril 2014 au 31 mars 2015 Vice-présidence principale aux ressources humaines et à l administration TABLE DES MATIÈRES MISE EN CONTEXTE... 4 DÉFINITION... 4 PORTRAIT DE
Plus en détailComparaison des différentes versions des cadres du PAAS ACTION
Comparaison des différentes versions des cadres du PAAS ACTION Au cours de l année 2014-2015, Emploi Québec a modifié deux fois le chapitre du Programme d aide et d accompagnement social (PAAS) ACTION
Plus en détailVision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire
Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire PROJET D ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE OCTOBRE 2014 TABLE DES MATIÈRES POURQUOI UN ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE?...
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détail4.12 Normes et modalités des services de garde
4.12 Normes et modalités des services de garde (Résolution : C.C.2014-030) Page 1 sur 22 TABLE DES MATIÈRES 1. NATURE ET OBJECTIFS DES SERVICES DE GARDE 3 2. INSCRIPTION ET PRÉINSCRIPTION 3 2.1 Journée
Plus en détailMÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC
MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC Québec, le 21 février 2000 2. PRÉAMBULE La Fédération des médecins
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailLe programme de maîtrise avec stage
Le programme de maîtrise avec stage Le programme de maîtrise avec stage comporte 45 crédits, répartis comme suit : - 15 crédits de cours - 12 crédits de stage - 18 crédits pour la rédaction d'un rapport
Plus en détailPour joindre Jeu : aide et référence par téléphone: Aide en ligne : www.jeu-aidereference.qc.ca
Dans le présent document, le genre masculin est utilisé au sens neutre et désigne les femmes autant que les hommes. Centre de Référence du Grand Montréal Organisme de charité enregistré (10689 5840 RR0001)
Plus en détail