LIMITER LES INTERVENTIONS CHIMIQUES DANS UN GAZON
|
|
- Camille Coutu
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LIMITER LES INTERVENTIONS CHIMIQUES DANS UN GAZON Article réalisé en collaboration avec C. Van Daele - Centre Technique Horticole de Gembloux Sources principales : 1. Cahier Technique des Gazons. Collectif. Société Française des Gazons Green Magazine n 23, août «Les matières organiques fabriquées par les gazons». Hervé Eric Cochard. P28 à Articles techniques Gazon du Centre Technique Horticole de Gembloux, disponible sur 4. Mr CHAUVEL G., «Interactions des pratiques culturales et des maladies des gazons». 5. G. Chauvel, «Lombrics sur gazon à vocation sportive et gazon de placage : moduler la lutte». PHM-revue horticole, N 500, pp Fiches techniques BIOBEST, disponibles sur 7. Sources photos : Biobest et Adalia Le mode d entretien d un gazon varie en fonction de son utilisation et aura aussi une influence sur le développement de certains ravageurs et maladies. 1. HAUTEUR ET FRÉQUENCE DES TONTES La hauteur et la fréquence des tontes peuvent agir sur la résistance des graminées aux maladies. Des tontes courtes affaiblissent les plantes et limitent le développement racinaire et donc l encrage et l absorption des racines. Figure 1 : Effet de la hauteur de tonte sur le système racinaire chez le pâturin des prés. Schéma d après photo. Source : Cahier Technique des Gazons. Le végétal. P17. Collectif. Société Française des Gazons
2 Toutefois, les tontes courtes sont plus facilement acceptées par les graminées en période de végétation, de croissance active. A l inverse, durant les périodes de sécheresse, ou si le piétinement est fréquent, ou encore, en cas de carence, les tontes courtes sont à éviter. Les zones ombragées sont également à tondre plus haut (5 à 7cm): de cette manière, la plus grande surface foliaire compense le manque de lumière. La hauteur de tonte est fonction de l espèce de graminée : Nom latin Lolium perenne rubra commutata. rubra rubra rubra trichophylla arundinacea Poa pratensis Agrostis stolonifera Nom français Ray Grass anglais rouge gazonnante rouge traçante rouge ½ traçante élevée Pâturin des prés Agrostide stolonifère Hauteur de tonte minimale Hauteur de tonte optimale 2,5 cm 5 à 7,5 cm 1,3 cm 5 à 7,5 cm 1,3 cm 5 à 7,5 cm 1,3 cm 5 à 7,5 cm?? 1,5 cm 5 à 7,5 cm 0,3 cm 0,6 à 2,5 cm Particularités Sensibilité moyenne au fil rouge. Installation rapide, supporte le piétinement. Sensibilité moyenne au fil rouge et à la rouille noire. Mauvais comportement à la sécheresse Bon aspect hivernal. Supporte mal le piétinement. Sensible au fil rouge et à l helmintosporiose, Bonne résistance à la rouille noire. Sensible au fil rouge. Résiste à la sécheresse. Supporte le piétinement. Supporte très bien le piétinement. Tolérance moyenne au piétinement. Bonne résistance à l arrachement. Production de feutre élevée, croissance soutenue. Installation rapide, supporte le piétinement. Dès que l on s écarte de la hauteur de tonte optimale, le gazon est soumis à un stress important favorisant l apparition des maladies. Pour un bon fonctionnement physiologique, supprimez plus d 1/3 de la longueur du feuillage. Par exemple, une tonte à 5 cm est à renouveler au plus tard lorsque le gazon atteint 7,5 cm. Les maladies du gazon se développent plus ou moins facilement selon la hauteur de tonte. Le champignon Rhizoctonia solani, apprécie une hauteur de tonte élevée, d autant plus si la température diurne avoisine les 30 C avec une humidité élevée et si la température nocturne tourne autour des 20 C avec des périodes d humectation excédant 10 h. Il faut ajouter à ces conditions, une fertilisation azotée élevée. 2
3 Les déchets de tonte peuvent également être une source de contamination. L absence de ramassage est favorable aux Pythium. Quant au Rhizoctonia solani, il peut survivre plus de 4 mois dans les déchets de tonte. Les maladies tels que les pythium, les fusarioses, les rhizoctonioses, apprécient l humidité. Une période d humectation prolongée (par exemple 9 h de suite dans le cas du Rhizoctonia) et des arrosages répétés favorisent le développement de ces champignons. Alors qu un manque d eau est favorable à la rouille du pâturin des prés. Le tableau ci-dessous, proposé par Mr CHAUVEL G. (DRAF-SRPV Midi-Pyrénées) lors d une intervention intitulée : «Interactions des pratiques culturales et des maladies des gazons», reprend les différentes mesures à mettre en place pour limiter le développement des maladies : Maladie Pythium sp. Fusarioses et Typhula spp. Sclerotinia homeocarpa (Dollar Spot) Helminthosporioses spp. Rhizoctonia sp. Conseils-traitements Évitez l accumulation d eau en surface. Bien positionner l irrigation pour limiter la durée d humectation Maintenir le sol acide en évitant les amendements calcaires Réaliser une fertilisation modérée en azote pendant les conditions favorables au champignon. Apportez une fertilisation équilibrée N-P-K-Fe à libération lente Évitez de tondre en conditions humides. Tondre les parties contaminées en dernier lieu et nettoyer (désinfecter) les tondeuses après chaque emploi. Pour limiter les Fusarioses estivales, évitez le stress hydrique (en période chaude et sèche). Apportez une fumure en azote équilibrée au printemps et enlever les déchets de tonte. Pour limiter les fusarioses hivernales, évitez les excès d azote à l automne et apportez une fumure équilibrée. Drainez le terrain pour éviter une humidité trop importante, tout en évitant les stress hydriques. Aérer le sol, augmenter la hauteur de tonte et enlever les déchets de tonte. Maintenir le ph<6,5. Typhula se développe sous la neige et sur sol non gelée. Il faut donc enlever la neige en hiver et de bien drainer le sol. Évitez une durée d humectation trop longue (irrigation en 2 ème partie de nuit et essorage mécanique de la rosée le matin). Réalisez des irrigations plus importantes mais moins fréquentes. Aérer le sol et augmenter la hauteur de tonte. Évitez la fumure azotée au printemps, allongez la hauteur de tonte à 50 mm, enlevez les déchets de tonte et réalisez un défeutrage si nécessaire. Évitez également les stress hydriques. Défeutrez et évitez les excès en eau (le rhizoctonia est favorisée si la période d humectation est supérieure à 12 h et si la t est d au moins 18 C la nuit et de 30 C en journée). Diminuer le temps d humectation et les tontes trop hautes. Maintenir une fumure azotée non excessive en été pour freiner un peu la croissance des plantes. 3
4 Maladie Anthracnose Rouilles Oïdium Conseils-traitements Apportez une nutrition équilibrée avec P-K. Défeutrez si nécessaire et irriguer en évidant des trop longues périodes d humectation durant les périodes chaudes. Aérer le sol. Fertilisation azotée modérée fin août-début septembre.? Évitez les tontes trop hautes, augmentez la fréquence de tonte, enlevez les déchets de tonte, défeutrez et limiter le temps d humectation. Évitez les apports en azote et une irrigation trop importante. Évitez l ombrage et facilitez l aération. 2. RÉDUIRE L IMPACT DES RAVAGEURS Le gazon a également ses ravageurs. Ainsi le hanneton et la tipule sont particulièrement dommageables. Toutefois, des moyens de lutte biologique existent Lutte contre le hanneton C est la larve de hanneton, appelée plus couramment le ver blanc, qui pose problème en se nourrissant des racines des graminées. Dégâts sur pelouse Larves de hanneton commun Le hanneton commun, Melolontha melolontha, est un coléoptère de grosse taille (25 à 30 mm). Sa tête et son thorax sont noir et recouverts de poils courts. Les élytres sont rougeâtres. La larve est un gros asticot et est de couleur blanc, sauf l extrémité de l abdomen qui est noir. Au fur et à mesure des années passées dans le sol, la larve grandi : elle mesure entre 10 et 20 mm en 1 ère année et entre 40 et 45 mm en 3 ème année. Cycle dure 3 ans, réparti sur 4 années civiles, dont environ 3 ans sous forme larvaire dans le sol. Le vol des adultes a lieu généralement à la mi-avril, début mai. L adulte n occasionne pas vraiment de dégâts importants. Par contre, la larve se nourrit des organes souterrains de nombreuses plantes provoquant leur flétrissement. Au niveau d une pelouse, on remarque la présence des larves d hanneton par le jaunissement de l herbe par plaques. Celles-ci se détachent alors facilement. 4
5 Lutte : La lutte contre les hannetons est axée sur les larves en réalisant des traitements à base du nématode Heterorhabditis bacteriophora. Ce nématode parasite et tue les larves de hanneton. Conditions d utilisation : - Le sol doit être humide durant les 5 semaines qui suivent le traitement - La température du sol > à 12 C La dose est de 1 million de nématodes pour 2 m² par arrosage ou pulvérisation (basse pression). Ce produit est vendu dans une formulation d argile, contenant 50 ou 500 millions de nématodes, à diluer dans l eau Lutte contre la tipule Il faut distinguer la tipule des prairies (Tipula paludosa) et la tipule des jardins ou du potager (Tipula oleracea). Cette dernière étant moins fréquente chez nous. La tipule appartient à la même famille que les moustiques, mais il n a pas de trompe pour se nourrir. Le mâle mesure entre mm et la femelle, mm. Il possède un corps étroit, une paire d aile et 3 longues paires de pattes qui se cassent facilement. La larve possède un corps cylindrique, elle est apode, de couleur grise et mesure entre 3 et 4 cm. Larve de tipule Elle s attaque à de très nombreuses plantes (pois, céréales, ) et au gazon. En se nourrissant de graines en germination et de racines de graminées, la larve provoque des dégâts dans les prairies : plantes qui jaunissent et meurent par plaque. Lutte : Il n y a pas (en Belgique) de produit homologué pour lutter contre les tipules. Cependant, il est possible de limiter préventivement l infestation d un futur gazon. Les femelles déposent leurs œufs en septembre-octobre toujours dans les terrains couverts de végétation. La préparation du terrain doit impérativement être réalisée en juillet-août, afin d émietter les mottes qui peuvent abriter les larves présentes et d autre part, ne pas attirer les femelles pondeuses Lutte contre les vers de terre L excès nuit en tout. Cela s applique bien au ver de terre qui, s il est utile et nécessaire pour une bonne aération du sol et à la décomposition de la matière organique, peut aussi se révéler très dommageable dans un gazon de prestige s il devient trop abondant. 5
6 Si son éradication n est donc pas souhaitable, on peut mettre en œuvre différentes pratiques culturales pour limiter son développement et ainsi limiter l apparition de turricules (matière fécale résultant du passage du mélange de matière organique et de terre dans le tractus digestif des vers et rejetée à la surface du sol). Ces turricules, s ils sont trop nombreux nuisent à l esthétique du gazon et limite la pratique de certains sports (golf, ). Ils peuvent aussi provoquer des nécroses des limbes de graminées et une réduction des possibilités de drainages de surface en cas de fortes pluies. Lutte : Les méthodes présentées ci-dessous ont une efficacité limitée (source : G. Chauvel, «Lombrics sur gazon à vocation sportive et gazon de placage : moduler la lutte». PHM-revue horticole, N 500, pp.28-33). Il est donc conseillé de les mettre en place ensemble, tout en prenant garde aux autres problèmes (surtout fongiques) pouvant survenir suite à des modifications de pratiques culturales. - La modification du ph : un ph de 6,5 7 est idéal pou le développement du ver de terre. Il faut donc baisser légèrement le ph en-dessous de cette valeur. L idéal étant d obtenir cette acidité sur une profondeur de plusieurs centimètres. Mais attention au sol trop acide! - Réduire la disponibilité en nourriture : cette méthode ne porte pas toujours ses fruits, mais certains essais ont montré que le ramassage régulier des déchets de tonte est défavorable aux vers de terre. - Modification de la structure du sol par un sablage adéquat peut réduire les populations de vers de terre. Une étude de Backman et al. (2002) a montré que 6 applications de 6 mm ou de 3 mm de sable sur un fairway au cours de l été ont réduit de respectivement 66 et 44% le nombre de turricules par m² sur une année. La taille et la forme des grains ont beaucoup moins d impacts que la quantité. 3. RÉDUIRE L APPORT DE FERTILISANTS TOUT EN LIMITANT L APPARITION ET LE DÉVELOPPEMENT DU FEUTRE, DES ADVENTICES ET DES MOUSSES Il est possible de combiner économie et écologie selon le mode d entretien de son gazon. Différentes techniques permettent en effet de joindre ces deux intérêts apparemment incompatibles Tonte mulching Les déchets de tonte se compostent mal car trop riche en eau (90%) et pourrissent au lieu de fermenter. De plus la teneur en différents éléments n est pas équilibrée. La tonte mulching allie de nombreux avantages : pas d évacuation, donc gain de temps pendant et après la tonte. Pas de gestion des déchets donc un intérêt écologique. Cependant pour qu une tonte mulching puisse se faire dans de bonnes conditions, plusieurs principes doivent être respectés : La fréquence des tontes doit être importante : deux fois par semaine à certaines périodes. Les tontes se feront sur base de la règle du ¼ (c'est-à-dire, ne pas couper plus de ¼ de la longueur totale des feuilles). Les déchets doivent être finement hachés et répartis de manière homogène sur la largeur de tonte. 6
7 Tondre sur du feuillage sec, de sorte à limiter la formation des paquets d herbes qui s agglomèrent. La dégradation n en sera que plus rapide. Dans certains cas cependant, on veillera à évacuer les déchets de tonte dans les zones humides notamment, au début et en fin de saison, lors des très fortes pousses. Les déchets de tonte laissés sur place sont bénéfiques à plus d un titre. Dans des conditions normales, la totalité des déchets laissés sur places sont entièrement minéralisés en 6 mois. Ils entretiennent une activité biologique favorable à la dégradation des matières organiques. La biomasse microbienne est fortement stimulée par la nourriture (azote et sucres solubles) régulièrement apportée et limite donc l apparition du feutre Des études menées par le professeur Beard à l université du Michigan ont démontré que la restitution du gazon représentait, selon les cas, pas moins de 75 à 100 unités azote (P & K en proportion) par hectare! Habituellement, et suivant les usages, un gazon reçoit de 150 à 200 unités azote. La tonte mulching représente donc une économie de l ordre de 50 % au niveau des engrais. La restitution des gazons est bénéfique pour l azote, mais aussi pour K et Mg. Les apports d engrais qui complètent les besoins seront appliqués en 3 fractions : Au début du printemps, pour lancer la croissance à un moment où l activité microbienne ne permet pas d avoir suffisamment de minéralisation. En été, pour faciliter la récupération en période de stress (chaleur, sécheresse). A l automne, pour prolonger la croissance racinaire notamment. Contrairement aux idées reçues, la tonte mulching n augmente pas le feutre, au contraire! La différence vient des espèces, de leur entretien et bien sûr du milieu biologiquement très différent (climat très froid et vie microbienne ralentie, teneur en lignine des espèces ). Une faible épaisseur de feutre est bénéfique, elle protège les pieds des poacées et apporte de la souplesse au terrain. Mais l équilibre est difficilement contrôlable lorsque le feutre dépasse 8 à 10 mm Scarification La scarification est une opération préventive et curative qui tranche le sol et permet d extirper les matières organiques mortes et la mousse. De cette manière, le gazon est aéré et débarrassé de la matière organique excédentaire, les échanges gazeux et aqueux à la surface du sol sont rétablis. De plus, la scarification répétée au moment de pleine croissance, à raison de 2 à 3 passages en début de saison (d avril à juin) et en fin de saison (de mi-août à début octobre), élimine la majorité des adventices. En effet, seuls les poacées pour gazon supportent ce stress régulier et ont la capacité de recoloniser rapidement les espaces. Si nécessaire, un regarnissage ou un sursemis sera effectué en début ou fin de saison, après avoir passé la zone à regarnir au scarificateur 2 fois. Après le semis, il faut passer au rouleau. 7
Ray-grass anglais auto-regarnissant
Robuste COMME L ACIER Ray-grass anglais auto-regarnissant Une technologie révolutionnaire : auto-regarnissage et tolérance au jeu la plus élevée, même avec une tonte courte! RPR technology inside! RPR
Plus en détailL entretien d une pelouse P. Charbonneau
L entretien d une pelouse P. Charbonneau COMMANDE N O 08-018 AGDEX 273 MAI 2007 (En remplacement de la fiche technique intitulée Entretien des pelouses, commande n o 03-060 du MAAARO) Imprimé en janvier
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailInformations techniques sur la culture de l ananas
Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant
Plus en détailLe compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détailValérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015
Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;
Plus en détailSERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière
Plus en détailQuelques éléments de bibliographie :
Quelques éléments de bibliographie : La plupart des données et schémas sont issus des travaux de recherche du Laboratoire d Ecologie du Sol et de Biologie des Populations, Université de Rennes 1 (Cluzeau
Plus en détailGuide pour une PELOUSE IMPECCABLE OBTENEZ L AVANTAGE
Guide pour une PELOUSE IMPECCABLE 2012 OBTENEZ L AVANTAGE 1 UNE PELOUSE EN SANTÉ PROFITE À LA FAMILLE Les familles canadiennes adorent leur pelouse. Elle leur procure un terrain sûr pour le jeu et les
Plus en détailTable des matières. Guide d identification et de lutte des ravageurs. Les Produits Professionnels. page 2. page 3
Les Produits Professionnels Guide d identification et de lutte des ravageurs MD MD MD MD FONGICIDE FONGICIDE MD Table des matières Introduction.................................. page 4 Section sur les
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailTCS, strip-till et semis direct
Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernaudie 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté définitivement
Plus en détailLe printemps et l été du compost
Le printemps et l été du compost Le printemps du compost 1 A la sortie de l hiver, le compost est souvent trop tassé et/ou trop humide. Il faut, avant les nouveaux apports, penser à bien l aérer en faisant
Plus en détailBULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté
BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté Bulletin N 11-24 juillet 2015 INSCRIPTIONS Si vous ne recevez pas le BSV Légumes chaque semaine, vous pouvez vous inscrire aux listes diffusion de votre choix
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailLa lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie
La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures Geneviève Labrie La lutte intégrée Portrait des dommages au Québec Financière agricole du Québec 880 avis de dommages depuis 2008 224 avis
Plus en détailPetit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis
Petit conservatoire dans un jardin des Collines du Paradis L espace d un an suffit pour constater la richesse et la diversité des populations d insectes qui prospectent dans le moindre carré de jardin.
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détailRecettes maison contre les ravageurs et les maladies par M. Jean-Claude Vigor
Recettes maison contre les ravageurs et les maladies par M. Jean-Claude Vigor MISE EN GARDE : Les recettes de pesticides «maison» présentées ci-dessous (destinées à un usage domestique) sont données à
Plus en détailRESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008
C.R.E.A.B. MIDI-PYRENEES CENTRE REGIONAL DE RECHERCHE ET D EXPERIMENTATION EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE MIDI-PYRENEES RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008
Plus en détailFICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE
FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE 2 I- JUSTIFICATION La consommation de la pastèque est en nette expansion en réponse à une forte demande nationale et régionale ; Cependant la production
Plus en détailBILAN DE LA CAMPAGNE 2014
BSV n 13 bilan saison 214 Epidémiosurveillance BRETAGNE-NORMANDIE-PAYS DE LA LOIRE : Bilan de la Saison 214 SOMMAIRE BILAN DE LA CAMPAGNE 214 Les observateurs Les observations Les Bulletins de Santé du
Plus en détailCOMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES
COMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Objet du Marché : Procédure adaptée pour «entretien des espaces verts de la commune de Pont à Marcq» Année 2013 Maître d ouvrage : Commune
Plus en détailLes objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de :
GUIDE EXPLICATIF POUR LES CITOYENS RÈGLEMENT SUR L UTILISATION DES ENGRAIS ET DES PESTICIDES Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de : Réduire l apport par ruissellement
Plus en détailMettre la puce à l oreille mais pas de poux! français. Guide anti-poux
Mettre la puce à l oreille mais pas de poux! Zone libérée des poux français Guide anti-poux Double efficacité: Elimine les poux Endommage la membrane chitineuse des lentes empêchant ainsi l éclosion de
Plus en détailPlan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes?
11 décembre Arles Plan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes? Claire LAFON Benoit DUPUY Introduction
Plus en détailFertiliser le maïs autrement
Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein
Plus en détailbiophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées
biophyt sa Institut de recherches et de consultations en agronomie et écologie appliquées Le compost, c est quoi? Définition, composition, valorisation, qualité Dr. Jacques G. Fuchs, biophyt sa 1. Généralités
Plus en détail«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte»
«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» Silva Cell Module d enracinement pour arbres Application : - Le module Silva Cell crée un espace souterrain permettant l enracinement des arbres en ville.
Plus en détailPlacettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr
Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité
Plus en détailL évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se
PHYTOREM S.A. L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se Le BAMBOU-ASSAINISSEMENT Le Procédé Sol EFFLUENTS EXPORTATION VERS LA TIGE Chaume ou tige Pollution organique et minérale
Plus en détailÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS
ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS CAROLINE PROVOST, MANON LAROCHE, MAUD LEMAY LES OBJECTIFS Objectif principal:
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détailPartie V Convention d assurance des cultures légumières
Partie V Convention d assurance des cultures légumières Légumes de transformation Moyenne du rendement agricole A. Dispositions générales La présente partie s applique à la betterave à sucre, à la betterave
Plus en détailRESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV
RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE, Suivant la proposition de la Commission I
Plus en détailJournées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013
Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Principe: Favoriser la biodiversité fonctionnelle sur l exploitation -Impact très souvent sous estimé de la faune auxiliaire naturellement présente -Importance
Plus en détailSTRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE
STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient
Plus en détailConseils pratiques l entretien
Guide d information Conseils pratiques l entretien pour pelouse de votre PESTICIDES SOLUTIONS DE RECHANGE ENGRAIS AMÉNAGEMENTS ÉCOLOGIQUES ENVIRONNEMENT La protection de l environnement et le maintien
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailRèglement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011
Règlement numéro 346 LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT Avril 2011 VOS RESPONSABILITÉS LIÉES AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT DE VOTRE IMMEUBLE Protection
Plus en détailMuret Laurentien MC. Classique et Versatile
Muret Laurentien MC Classique et Versatile Le muret Laurentien par son look classique s agence à toutes nos gammes de pavé. Qualités et caractéristiques Intégration particulièrement harmonieuse du muret
Plus en détailSALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement. L Epoxy facile
SALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement L Epoxy facile DOMAINES D EMPLOI Recommandé pour salle de bain, douche, plan de travail cuisine, piscine, bassins thermaux,
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailRotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul
Colloque sur la pomme de terre Une production à protéger 13 novembre 2009, Québec Rotations dans la culture de pomme de terre : bilans humiques et logiciel de calcul Marc F. CLÉMENT., agronome, conseiller
Plus en détailMaïs Inoculants LE CATALOGUE PIONEER 2015
Maïs Inoculants LE CATALOGUE PIONEER 2015 LA GAMME MAIS ET LE GUIDE DES SOLS PIONEER 2015 Choisissez la variété adaptée à vos besoins PRECOCITE VARIETE MAIS ENSILAGE TYPE DE SOL Rendement énergétique Densité
Plus en détailLes ouvriers du sol et les pratiques agricoles de conservation
COLLOQUE EN AGROENVIRONNEMENT «Des outils d intervention à notre échelle» Le 23 février 2005, Drummondville Les ouvriers du sol et les pratiques agricoles de conservation Odette MÉNARD, M.Sc. Génie, ing.,
Plus en détailMarquage laser des métaux
62 Colorer Marquage laser des métaux TherMark Produit à base aqueuse pour un nettoyage rapide. Appliquer une fine couche de produit sur le métal, laisser sécher moins de 2 minutes et graver au laser. L
Plus en détailBulletin d information
Bulletin d information CULTURES EN SERRES No 17 1 er mars 2004 RÉGULATEURS DE CROISSANCE EN ORNEMENTAL : GUIDE DES BONNES PRATIQUES La majorité des régulateurs de croissance employés en floriculture sont
Plus en détailGESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS
GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS Stockage et Epandage Etude réalisée pour le compte de l ADEME par : SOLAGRO : M. Christian COUTURIER AQUASOL : M. Thierry BRASSET Coordination technique
Plus en détailInfestation par Dipylidium caninum,
Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le
Plus en détailvérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises
Avant d utiliser des produits chimiques, vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web www.biobest.be Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises
Plus en détailGrandes cultures Engrais liquides ou granulaires?
Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Louis Robert, agronome, M. Sc. Conseiller régional en grandes cultures Même s ils ne sont pas nouveaux sur le marché, les engrais de démarrage liquides
Plus en détail- Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants - Lecture de textes documentaires
Titre de l atelier : Les vers de terre Domaines d activité Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants Lecture de textes documentaires Motsclés Vers de terre Vie du sol Compétences
Plus en détailAuxiliaires. Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels
Auxiliaires Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels Mouches Blanches L un des ravageurs les plus communs dans de nombreuses cultures. Lors d une forte attaque, la mouche blanche peut s avérer
Plus en détailSemis direct: de l essai à la pratique
Travail du sol - Semis direct 2.4.3 Semis direct: de l essai à la pratique Expériences acquises dans un système de semis direct en continu A. Chervet 1, L. Gubler 1, P. Hofer 1, C. Maurer-Troxler 1, M.
Plus en détailInfo.pl@ine STRATEGIE AGRONOMIQUE
Info.pl@ine N 453 20 février 203 5 pages CEREALES BLE Priorité au désherbage STRATEGIE AGRONOMIQUE Les conditions météo idéales sont une forte hygrométrie, des températures dces et un sol suffisamment
Plus en détailNouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX.
Coup de tonnerre dans les raccourcisseurs Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX. Trimaxx est un nouveau raccourcisseur pour céréales à paille et féveroles doté d une formulation Son absorption
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailCe qu'il faut retenir
N 26 7 Août 2015 Ce qu'il faut retenir Prairie Quelques chenilles présentes. Soja ANIMATEURS FILIERE Céréales à paille DESIRE Sylvie / FDGDON 64 s.desire@pa.chambagri.fr Suppléance : ARVALIS a.carrera@arvalisinstitutduvegetal.fr
Plus en détailBancs publics. Problématiques traitées : FICHE
Bancs publics Pour un piéton dont les ressources de mobilité sont limitées, le banc public n est pas uniquement un lieu de détente, mais il lui sert également à retrouver des forces pour poursuivre son
Plus en détailEntretenez votre bonheur
GUIDE D ENTRETIEN Entretenez votre bonheur Commencez avec vos meubles en bois et terrasse Rectavit PROTECTION TOTALE contre le vieillissement, la décoloration et les saletés Légende Vos meubles en bois
Plus en détail«Cette initiative. s avère un outil novateur qui mettra à la disposition de l industrie et des municipalités des façons éprouvées d implanter et
L e gazon fait partie de notre vie quotidienne. En raison de ses multiples qualités, la pelouse se trouve au centre de nombreux aménagements paysagers, à peu près partout au Québec. Peut-on imaginer un
Plus en détailToitures vertes : bien commun ou bien privé?
Toitures vertes : bien commun ou bien privé? Owen A. Rose LEED, M.Arch, B.Comm www.ecologieurbaine.net www.montroyal-avenueverte.org www.ecosensuel.net Toitures vertes à la montréalaise Un vieux concept
Plus en détailLes méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)
Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»
Plus en détailSAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE...
SAVAIS-TU QUE DANS MA COUR D ÉCOLE... Éditions Mariko Francoeur Miguel Hortega IL Y A DES ANIMAUX? 1 Mon école est à Montréal, rue Berri. C est une belle école primaire toute faite de briques. En temps
Plus en détailFAVORISER LA BIODIVERSITÉ DANS LE CIMETIÈRE. Guillaume Larregle (Maison de l Environnement de Seine-et-Marne)
FAVORISER LA BIODIVERSITÉ DANS LE CIMETIÈRE Guillaume Larregle (Maison de l Environnement de Seine-et-Marne) LA TRAME VERTE ET BLEUE RECONSTITUER UN RÉSEAU DE CONTINUITÉS ÉCOLOGIQUES Permettre à la faune
Plus en détailLUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME. Période d application. Pré-levée ou sur adventice jeune (FA < 3 f)
LUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME Folle avoine La lutte chimique est la méthode qui donne le plus de résultat. Les faux semis ont peu d intérêt avant culture d automne. Le labour
Plus en détailSoudal Panel System SPS. La force extrême derrière vos panneaux de façade. www.soudal.com SOUDAL PANEL SYSTEM. Soudal Panel System 1 SPS SOUDAL PANEL
www.soudal.com Soudal Panel System La force extrême derrière vos panneaux de façade WINDOW Soudal Panel System 1 Soudal Panel System () Qu est-ce que le? Les panneaux de façade existent dans tous les modèles
Plus en détailINTRO. Comment appliquer une peinture en façade? Caisse à outils. Matériaux nécessaires
Comment appliquer une peinture en façade? NIVEAU DE DIFFICULTÉ DÉBUTANT Confirmé EXPERT Caisse à outils Une combinaison ou tenue de travail adaptée Une bâche Des gants et lunettes de protection Une bande
Plus en détailFICHE TECHNIQUE. Vers de terre Architectes des sols fertiles. Présence et mode de vie. N de commande 1619, Édition Suisse, 2013.
FICHE TECHNIQUE Vers de terre Architectes des sols fertiles Introduction Entre un et trois millions de vers de terre vivent dans la terre en bonne santé d un hectare de prairie. Plus il y en a plus le
Plus en détailPetits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE. Description. Identification
Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE Identification Nom français : Punaise terne Nom latin : Lygus lineolaris Nom anglais : Tarnished plant bug Ordre : Hemiptera Famille
Plus en détailThème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique
Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification
Plus en détailQuel sirop choisir pour le nourrissement d hiver.
Syndicat des apiculteurs de Thann et environs Quel sirop choisir pour le nourrissement d hiver. Auteurs : R.Hummel & M.Feltin Octobre 2014 Les sirops de nourrissement : La qualité des sirops utilisés pour
Plus en détailCe qu'il faut retenir
N 10 5 juin 2015 Ce qu'il faut retenir Balanin : des balanins sont présents en verger et d'après les dissections de femelles et de mâles, les accouplements devraient commencer dans les prochains jours.
Plus en détailÉvaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme
Évaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme Projet du Syndicat des producteurs de grains biologiques
Plus en détailAFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014
AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014 ETUDE DES METHODES DE LUTTES CONTRE LE VER BLANC DES CEREALES (GEOTROGUS DESERTICOLA BLANCH.) DANS
Plus en détailNote nationale BSV. Hannetons et vers blancs
Note nationale BSV Note rédigée par la DGAl-SDQPV. Version 2013 Hannetons et vers blancs Situation des hannetons sur le territoire Depuis le début des années 2000, des dégâts de plus en plus fréquents
Plus en détailRésumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011
Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Brigitte Duval, agronome (MAPAQ Nicolet) et Geneviève Labrie, Ph.D. (CÉROM) en collaboration avec Joëlle Cantin, stagiaire, Mathieu
Plus en détailProblématiques et solutions de la saison 2010: insectes et acariens
Problématiques et solutions de la saison 2010: insectes et acariens Par : JONATHAN ROY, agronome Conseiller en agriculture biologique MAPAQ - Chaudière re-appalaches Journée e d information d «Serres modiques
Plus en détailTraits fonctionnels : concepts et caractérisation exemples des prairies Marie-Laure Navas, Eric Garnier, Cyrille Violle, Equipe ECOPAR
Traits fonctionnels : concepts et caractérisation exemples des prairies Marie-Laure Navas, Eric Garnier, Cyrille Violle, Equipe ECOPAR Ecole Chercheurs AgroEcologie 5-8 Juin 2012 1 Diversité spécifique
Plus en détailFiche technique. Comment lutter contre les nématodes parasites des cultures maraichères par la solarisation?
Institut National de la Recherche Agronomique du Niger Réseau National des Chambres d'agriculture du Niger Fiche technique RECA Réseau National des Chambres N d Agriculture du Niger iger Comment lutter
Plus en détailL eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.
1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les
Plus en détailQualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle
DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25 Laitues d hiver Moins de pe Les laitues pommées bio se révèlent exemptes de pesticides. Plus «Bonne nouvelle: toutes les salades sont conformes et
Plus en détailTOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE
TOUT SAVOIR SUR LES POUX DE TÊTE Les poux existent depuis toujours et ne sont pas près de disparaître. Heureusement, ils ne sont pas dangereux, mais ils sont dérangeants. Le saviez-vous? Les poux de tête
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détail> Quelle terre, quels outils et quel arrosage?
Chapitre 4 > Quelle terre, quels outils Une règle d or : soignez bien votre sol et il vous le rendra. Apportez-lui, en cas de besoin, sable, engrais et/ou compost pour l aérer ou l enrichir. Vous pouvez
Plus en détailNourrir les oiseaux en hiver
les oiseaux en hiv Nourrir les oiseaux en hiver Sommaire : Pourquoi les nourrir...page 1 Comment les nourrir...page1 Quels ravitaillement pour quel oiseaux?...page2 Recette «pain de graisse»...page 3 Les
Plus en détailLa reconnaissez- vous?
La reconnaissez- vous? Qu est ce qu une puce? C est un insecte piqueur sans ailes de couleur brune mesurant quelques millimètres et ayant la capacité de sauter 30 fois sa longueur. L espèce Cténocephalidès
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine
NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire
Plus en détailLes potagers Neerstalle
Les potagers Neerstalle Une initiative de Marc COOLS, Échevin de l Environnement et des Propriétés communales, avec le soutien du Collège des Bourgmestre et Échevins d Uccle Une action menée par le Service
Plus en détailConstruire un plan de nettoyage et de désinfection
Construire un plan de nettoyage et de désinfection Docteur Régine POTIÉ-RIGO Médecin du Travail Mlle Laetitia DAVEZAT IPRP Ingénieur Hygiène/Sécurité Mme Laetitia MARCHE Technicienne des services généraux
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. 1- Historique... 1. 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1
LA VENTILATION DES COUVERTURES 01-01-1998 TABLE DES MATIÈRES Page 1- Historique... 1 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1 3- Recommandations et investigations avant réfection... 3 4-
Plus en détailCONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013
Club CDA CONFÉRENCE Grande culture biologique et semis direct Les essais Rodale Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Projet 12-INNO2-04 Jeff Moyer1, Denis La France 2, Fin
Plus en détailMode d emploi Geberit AquaClean 8000
Entretien et nettoyage Le Geberit AquaClean 8000 est un produit haut de gamme et très facile à entretenir. La céramique des WC possède un revêtement spécial. Grâce à ce revêtement, les gouttes d'eau prennent
Plus en détailLe chantier compte 4 étapes :
02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton
Plus en détailInsecticide SCIMITAR MC CS
Approved Pamphlet SCIMITAR 28499 06-11-23 Page 1 of 7 USAGE COMMERCIAL Insecticide SCIMITAR MC CS GROUPE 3 INSECTICIDE GARANTIE Lambda-cyhalothrine... 100 g/l Ce produit contient du 1,2-benzisothiazolin-3-one
Plus en détailComprendre l efflorescence
Février 2006 Bulletin technique 4 BULLETIN TECHNIQUE Le Conseil Canadien des Systèmes d Isolation et de Finition Extérieure (SIFE) / (416) 499-4000 Comprendre l efflorescence Nous avons tous déjà observé
Plus en détailAnne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval. Le chapitre 3. Les rédacteurs
La gestion du ph du sol Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval Le chapitre 3 Les rédacteurs Anne Vanasse (responsable) Marc Hébert Lotfi Khiari Sébastien Marchand Abdo Badra Hélène Moore 1 Introduction
Plus en détailPréface. Betterave fourragère, un concentré de fourrage
Préface Les anciens le diront tous, la betterave fourragère a des atouts incontestables pour l alimentation des animaux d élevage. En production bovine de lait ou de viande ou pour la production ovine
Plus en détailUNE MEILLEURE CONNAISSANCE
CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions
Plus en détail