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1 Guide d aménagement du Bloc opératoire Version de juin 2011

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3 Table des matières 1. CONTEXTE Définition Description des activités Description des usagers Clientèle Personnel Proches Logistique Risques Tendances ÉLÉMENTS DE PROGRAMMATION Critères de conception Organisation... Erreur! Signet non défini Prévention des infections... Erreur! Signet non défini Ambiance... Erreur! Signet non défini. 2.2 Organisation spatiale Dimensions génériques Locaux génériques EXIGENCES TECHNIQUES Exigences techniques de base du bâtiment Exigences techniques d aménagement Généralités Exigences techniques RÉFÉRENCES Sources documentaires Projets Lexique...41 Page

4 Domaine d application Le présent document expose les performances fonctionnelles et techniques pour la programmation, la conception et la construction du bloc opératoire, incluant la salle de réveil pour une clientèle adulte et pédiatrique. Il complète les informations émises pour la mission «Centre hospitalier de soins généraux et spécialisés» (CHSGS) incluant les centres hospitaliers et instituts avec affiliation universitaire (CHU, CHAU et IU). L application des performances fonctionnelles et techniques contenues dans le présent document n est pas obligatoire, au même sens que les lois et règlements. Cependant, il y a obligation de résultats en fonction des objectifs énoncés. 1.1 Définition Le bloc opératoire est un secteur névralgique du centre hospitalier. Il regroupe l ensemble des espaces, locaux et équipements nécessaires à la réalisation d interventions chirurgicales qualifiées de générales ou spécialisées à des fins diagnostiques et thérapeutiques, celles-ci étant tributaires de la mission de l établissement dans lequel elles sont exécutées et ceci pour une clientèle adulte et pédiatrique. Compte tenu des enjeux et risques importants qui résultent des activités qui s y déroulent quant à la santé et à la sécurité de la clientèle ainsi que du développement rapide des technologies, les études relatives à l organisation et au traitement de l environnement physique de ce secteur doivent être particulièrement rigoureuses. 1.2 Description des activités La mission (CHU, CH, Institut etc.) de l établissement ainsi que les volumes d activité influent directement sur les besoins en espaces et locaux du bloc opératoire. Le bloc doit être programmé en fonction du type d établissement et des spécialités qui sont incluses dans sa mission, un établissement de soins généraux n ayant pas nécessairement les mêmes besoins qu un CHU, d autre part la chirurgie pédiatrique nécessite d intégrer la participation des parents. Dans les grands centres les activités de type «mèreenfant» sont généralement organisées dans une structure distincte. Organisation du travail Les interventions chirurgicales sont programmées (incluent celles en mode ambulatoire) cependant les urgences doivent être prises en considération. Des activités opératoires urgentes peuvent être réaliser en tout temps (24/7). Les interventions et procédures, quelles soient diagnostiques ou thérapeutiques, diffèrent en difficulté, en gravité et en durée. Certaines ne nécessitent qu'une sédation ou un gel anesthésiant alors que d'autres, doivent être faites sous anesthésie locale ou générale, la durée allant de moins d une heure jusqu à plusieurs heures. Les activités suivantes sont généralement effectuées au bloc opératoire : - actes invasifs à but thérapeutique et diagnostique; - actes accomplis par voie endoscopique et/ou par ponction; - actes assistés par l informatique et la robotique - téléchirurgie. Bien que la notion de polyvalence s applique aux salles qui composent le bloc, ce qualificatif sous-entend la possibilité d adapter les salles à des activités opératoires diverses, cependant il exclut une attribution aléatoire des salles à des spécialités différentes. D autre part, aux fins de la prévention des infections, la détermination du nombre de salles d interventions doit considérer la maintenance des salles. VERSION 1.0 Juin de 38

5 Séquences des activités 1. Accueil On retrouve trois types de clients, en ambulatoire, hospitalisé, en urgence. Le premier (ambulatoire) se présente le jour de l intervention, préférablement accompagné, au comptoir d accueil de l unité de chirurgie d un jour, il a déjà reçu les directives relatives au type d intervention qu il doit subir. Par la suite, il sera dirigé en salle d attente ou passe directement en salle de déshabillage pour revêtir la jaquette d hôpital et ranger ses effets personnels dans un casier ou un chariot sécurisé. Une civière ou un fauteuil, selon le cas, lui est assigné dans une aire où seront effectuées les activités préparatoires requises par son état (Ex : sédation) et le type d intervention prévue. Si requis, il rencontre le personnel médical. Le second (hospitalisé) peut se présenter le jour de l intervention, et suivre le processus décrit précédemment ou encore être préalablement hospitalisé. Le troisième (en urgence) peut provenir directement de l unité d urgence, ou être déjà hospitalisé, voire provenir d,un autre établissement. 2. Activités diagnostiques et/ou thérapeutiques En temps opportun, le patient se rend dans la salle d induction (si existante) ou directement en la salle d opération, en fauteuil roulant ou sur civière. Il est alors accompagné du personnel du bloc opératoire qui le prend en charge pour la durée de l intervention. Le patient est alors couché sur une table d opération. Certaines procédures impliquent l utilisation d équipement d IM dans lequel cas une protection adéquate (radioprotection) est requise selon l avis du physicien. 3. Récupération Suite à l intervention, le client est amené en salle de réveil, pour une phase d observation alors qu en parallèle d autres patients retournent directement au vestiaire et prennent leur congé ou. Suite à la phase d observation les patients hospitalisés retournent sur l unité de soins appropriés à leur état (critique ou de courte durée) ou vers l établissement d origine (inter-hospitalier). La conception du bloc opératoire est directement reliée à la logistique qui prévaut pour l ensemble des activités, en regard du patient, du personnel ainsi que des fournitures et matériels. 1.3 Description des usagers Trois groupes d utilisateurs se distinguent dans ce secteur d activités diagnostiques et thérapeutiques. Le plus important est constitué de la clientèle qui reçoit des soins et services de santé, auquel s ajoutent ceux du personnel et des proches. Certaines caractéristiques et besoins doivent être considérés Clientèle La clientèle est composée principalement de patients, dont l intervention est prévue au programme opératoire (chirurgie élective) ou de patients nécessitant une intervention urgente (chirurgie non élective). La clientèle peut être hospitalisée, ou s effectuer en mode ambulatoire (chirurgie d un jour). Clientèle à risques infectieux - Personne atteinte d une infection qui peut être contagieuse et qui nécessite l isolement de la personne. - Personne atteinte d une pathologie la rendant plus fragile et qui nécessite des mesures de protection (ex : ayant reçu une transplantation d organe). VERSION 1.0 Juin de 38

6 Clientèle diminuée physiquement - Personnes à mobilité réduite pour lesquelles l utilisation d un lève-personne est nécessaire au transfert, par exemple, du fauteuil roulant vers la civière. On retrouve, entre autres, la clientèle agées et souffrant de pathologies multiples; Clientèle avec problèmes de santé mentale - Personne pouvant souffrir de détresse psychologique ou de problèmes de santé mentale. Elle peut présenter des épisodes d agitation et avoir des comportements violents envers les autres clients et envers elle-même. Clientèle obèse personne souffrant d un excès de poids, peut nécessiter l utilisation de mobilier et d équipements spécialisées et/ou surdimensionnées afin de faciliter la réalisation d activités de déplacement en toute sécurité et confort tant pour celle-ci que pour le personnel. Clientèle pédiatrique Les besoins anatomiques, physiologiques et psychologiques de cette clientèle peuvent différer de ceux de la clientèle adulte. De plus, le profil des enfants varie grandement de la petite enfance à l adolescence. Au delà des différences physiques et physiologiques, leur résistance au stress, leur développement cognitif, leur perception de l environnement sonore, visuel et olfactif, leur mode d expression et de communication, diffèrent. La présence et l implication des parents y sont soutenues. Ils accompagnent leur enfant, tout au long de l épisode de soins. La prise en charge des clientèles pédiatriques varie d un établissement à l autre Personnel Le personnel de plusieurs disciplines travaillant en équipe est mis à contribution. La liste qui suit n est pas exhaustive..1 clinique : - Chirurgien, chirurgien dentiste, médecin généraliste et spécialiste (radiologiste, anesthésiste, oto-rhinolaryngologiste, etc.), résident et externe. - Infirmière, infirmière auxiliaire et stagiaire. - Inhalothérapeute, perfusionniste, ingénieur biomédical..2 administratif : répartiteur, commis, secrétaire médicale..3 soutien : brancardier, préposé à l hygiène salubrité, préposé à l entretien Autres La famille et les proches apportent un soutien significatif au patient. 1.4 Logistique La cohabitation de multiples flux hétérogènes, souvent «interreliés» et leur régulation influencent la programmation de l unité : 1) flux de personnes 2) flux de matières 3) flux d informations et des communications..1 Flux de personnes Les multiples flux de personnes concernent la clientèle et les accompagnants ainsi que le personnel. Clientèle et accompagnants - La clientèle est composée principalement de patients inscrits et les interventions inscrites au programme opératoire. Certains patients peuvent provenir de l unité d urgence et nécessiter une intervention non prévue au programme précité. VERSION 1.0 Juin de 38

7 Personnel - Trajectoires et distances parcourues ont un impact sur l efficience et sur la sécurité dans l exécution des différentes tâches. - Selon les politiques de l établissement, la trajectoire du personnel débute par le vestiaire lequel est généralement centralisé dans le CH et le celui-ci doit y laisser vêtements et couvre chaussures. Cependant le personnel oeuvrant au bloc opératoire dispose d un vestiaire adjacent à celui-ci pour revêtir les équipements de protection personnelle (EPP)..2 Flux de matières Ces flux se caractérisent par la complexité des nombreux processus d approvisionnement et de distribution, par l hétérogénéité des matières et par de multiples contraintes telle la gestion sécuritaire des déchets. Il faut considérer les flux de : 1) fournitures, produits, et équipements médicaux 2) produits d hôtellerie 3) fournitures, produits et équipements non médicaux. Le bloc opératoire utilise une grande quantité de fournitures médicales, équipements et instruments chirurgicaux. On catégorise 3 groupes de produits : - fournitures jetables, provenant principalement du magasin central, par exemple les seringues, la lingerie, etc.; - fournitures et instruments réutilisables, retraités à la centrale de stérilisation; - instruments de haute technologie qui doivent être désinfectés directement au bloc. Fournitures, produits, et équipements médicaux: - les chariots de cas peuvent être préparés par l unité de retraitement des dispositifs médicaux (RDM). Ils sont soit entreposés dans le secteur stérile de cette unité ou dirigés vers le bloc opératoire pour être subséquemment reconduits dans les salles. - Certains produits sont à usage unique d autres réutilisables : - Jetables dont l usage est en forte augmentation et qui nécessitent beaucoup d espace de rangement et qui produisent un volume considérable de détritus. - Réutilisables dont l usage est en décroissance, malgré les préoccupations croissantes en matière de développement durable. Quant à la lingerie, celle-ci est retraitée à la buanderie à l interne ou à l externe. - Équipements médicaux : dont l usage est en forte augmentation; plusieurs sont mobiles et peuvent être utilisés lors de procédures diagnostiques et thérapeutiques (ex : pompes volumétriques, appareils de radiographie). Nécessitent beaucoup d espace de rangement et besoin de désinfection. - Matériel roulant très présent dans cette unité où circulent civières, lits, fauteuils roulants et chariots. - Un système de tubes pneumatiques doit permettre le transport de prélèvements vers le laboratoire, la réception de médicaments en provenance de la pharmacie ou d autres fournitures requises des divers secteurs d approvisionnement. Les produits pharmaceutiques peuvent aussi être livré au bloc par chariot et des machines distributrices peuvent être prévues pour certains médicaments et narcotiques. Produits d hôtellerie : Considérer les grands volumes de lingerie propre et souillée (ex draps, serviettes, jaquettes) Fournitures, produits et équipements non médicaux : Considérer les produits permettant le fonctionnement des équipements, si requis. Finalement, lorsque les matières sont en fin de vie, plusieurs catégories de déchets (recyclables ou non recyclables) sont produites en grande quantité dans l unité tels les déchets biomédicaux provenant d activités diagnostiques et thérapeutiques, anatomiques et non anatomiques, piquants/tranchants et autres. VERSION 1.0 Juin de 38

8 .3 Information et des communications - l entreposage, le partage et l exploitation de l histoire clinique du patient sont vitaux pour assurer un traitement plus rapide en toute sécurité (ex : intolérance à certains médicaments). Actuellement, ce flux repose encore majoritairement sur le support papier. Cependant, le virage vers un système totalement informatisé est amorcé. Il permet notamment l interconnexion des différentes plateformes internes et externes de l établissement (ex : Pacs et analyses de laboratoire). 1.5 Risques Plusieurs facteurs contribuent aux risques - chimiques, biologiques et physiques - tels les facteurs environnementaux (ex : qualité de l eau, qualité de l air, et qualité du cadre physique) et les facteurs organisationnels (ex : processus de désinfection, protocoles vestimentaires, protocoles de transport). Les risques de transmission se divisent en deux grandes familles : 1) les risques infectieux 2) autres menaces à la santé et à la sécurité. 1. Risques infectieux Concernant les actes endoscopiques, dans un rapport publié en 2005, le comité Aucoin a noté que certaines techniques, dont les endoscopies, accroissent les risques d infections nosocomiales. Compte tenu du nombre élevé d'endoscopies réalisées, du caractère invasif de certaines procédures, de la vulnérabilité de certains patients, ou des conséquences potentiellement nocives pour les intervenants, des exigences spécifiques sont requises pour l environnement physique en matière de risques infectieux. Les risques d infections sont également liés à la difficulté de nettoyer et de désinfecter les endoscopes de manière appropriée, ces derniers étant des dispositifs médicaux complexes et fragiles qui résultent de l assemblage de multiples pièces conçues à partir de différents matériaux de fabrication. Toutes ces caractéristiques ajoutent de la complexité au retraitement de l endoscope considéré comme un dispositif semi-critique (selon la classification de Spaulding) qui requiert une désinfection, dite de haut niveau. Ce retraitement se réalise selon les huit étapes décrites par le CPRS dans «Les lignes directrices dans le retraitement des endoscopes digestifs» (2008). 2. Autres menaces à la santé et la sécurité. Patients Atteintes physiques - chutes liées, entre autres, aux déficiences quant à la surveillance du patient et quant à l aide à la mobilisation, à l encombrement des lieux et aux déversements accidentels. Personnel : Atteintes physiques - troubles musculo-squelettiques lors, par exemple, des manœuvre de transfert, des mouvements répétitifs et des stations debout prolongées; - utilisation d équipements médicaux mobiles (ex radiation d équipements d imagerie médicale) et lors de la manipulation de produits toxiques (ex médicaments cytotoxiques et liquides biologiques de patients en chimiothérapie). 1.6 Tendances Scopie : Les salles d endoscopie seront pourvues de colonnes d endoscopie montée sur bras articulé suspendu au plafond. L espace pour le rangement des bouteilles de CO2 actuellement nécessaire à la laparoscopie ne sera plus requis puisque des branchements seront intégrés directement sur une colonne de service ou montés sur bras articulés suspendus au plafond. VERSION 1.0 Juin de 38

9 Les CMI nécessiteront l installation de systèmes vidéo reportant l image endoscopique sur écrans idéalement suspendus au plafond ou installés sur une cloison. Domotique, et informatique : Des systèmes informatisés permettant le contrôle à distance certains équipements tels l éclairage, table d opérations, robot et autres se développent. L informatisation permet le transfert de données vers une salle d archives, de documentation, une autre salle d opérations ou encore vers un autre établissement de santé. Cette communication vers l extérieur se développe pour permettre la transmission sur écran vidéo en temps réel des opérations chirurgicales ou encore des images à un public situé à l extérieur de l unité. Le théâtre d observation sera de moins en moins utilisé pouvant être substitué par exemple par un salle pouvant contrôler à distance les robots chirurgicaux. L informatisation de la salle diminuerait les circulations tout en favorisant le maintien de l asepsie. Hall opératoire : Le «hall opératoire» est un concept qui a été réalisé à l Hôpital de Balgrist à Zurich, Suisse. Constitué d une salle de plus de 200 m² non cloisonnée, il regroupe 4 tables d opération. Fonctionnellement indépendantes, elles sont pourvut chacune d un flux laminaire séparé. Selon certaines études, le gain de productivité est accru, car des intervenants tels que les anesthésistes et les instrumentistes peuvent alterner d une table à l autre. Systèmes modulaires : Très répandue en Europe, ce concept présente plusieurs avantages notamment : échéancier de réalisation plus court, un meilleur contrôle de la qualité (réalisé en usine), décontamination rapide. VERSION 1.0 Juin de 38

10 2.1 Critères de conception Fonctionnalité.1 Favoriser la prise en charge du retraitement des dispositifs médicaux souillés le plus près possible du lieu d utilisation..2 Concevoir les parcours du souillé et du propre en fonction du mode de traitement des sources infectieuses qui est privilégié..3 Prodiguer un milieu respectueux de la confidentialité, de l intimité et de la dignité des usagers. Éviter, par exemple, le croisement de la clientèle en jaquette d hôpital avec le public en général..4 Favoriser l efficience opérationnelle et l ergonomie des postes de travail..5 Concevoir des espaces polyvalents, flexibles et adaptables, en adoptant, entre autres, des dimensions uniformes ou des multiples..6 Éviter de localiser le bloc opératoire au niveau du sol..7 Localiser le bloc opératoire à l écart des circulations publiques..8 Considérer 3 types de circulation : 1) pour les clients sur civières et pour le personnel 2) pour les clients ambulants et leurs accompagnants; 3) pour les services (propre, souillé)..9 Éviter l encombrement des corridors en planifiant suffisamment de locaux et d alcôves de rangements..10 Minimiser les barrières architecturales non pertinentes en vue de faciliter la fluidité et la lisibilité des parcours notamment en regard des déplacements répétitifs ou urgents entre certains locaux hautement sollicités (ex : éliminer certaines portes, et clarifier les circulations)..11 Tenir compte de la circulation des clients à mobilité réduite tels la clientèle âgée en fauteuils gériatriques ou se déplaçant avec des marchettes/cannes et la clientèle obèse en triporteurs/fauteuils pour obèse Sécurité et prévention des infections.1 Considérer des normes d asepsie adaptées aux procédures les plus risquées..2 Prévoir minimalement une salle d isolement infectieux dans l aire de préparation/récupération..3 Créer un environnement adapté aux spécificités de la clientèle spéciale telle la clientèle pesant plus de 400 livres ou la clientèle pédiatrique lorsque requis Ambiance.1 Privilégier des couleurs, finis et mobiliers qui donneront un environnement calme et reposant sans compromettre la facilité d entretien pour la prévention et le contrôle des infections..2 Optimiser l apport d éclairage naturel dans tous les secteurs d attente, les aires de travail et les circulations..3 Minimiser les sources négatives d agents stressants visuels et auditifs..4 Compenser l effet des procédures stressantes par des stratégies adaptées particulièrement pour les clientèles vulnérables à profil gériatrique ou pédiatrique par exemple. VERSION 1.0 Juin de 38

11 2.2 Organisation spatiale Certains centres hospitaliers intègrent dans le bloc opératoire des salles d interventions pour l endoscopie et le bloc obstétrical qui, dans un autre centre sont situés dans une unité spécialisée. L organisation physique du bloc opératoire nécessite le contrôle des circulations (personnes et matériel). L unité est généralement subdivisée en 2 zones : une zone propre et une zone stérile. Zone propre Espace de transition entre la zone stérile et le reste de l hôpital, doté d un système mécanique permettant de maintenir un différentiel de pression. Cette zone est composée des secteurs d activité suivant..1 Aire d accueil - Aire d arrivée de la clientèle et des accompagnants localisée à proximité de l entrée du bloc opératoire. L accueil sert aussi de poste de contrôle des circulations des personnes et du matériel..2 Salle de préparation et de réveil Espace de transition servant avant et après l intervention. A partir de son poste, le personnel doit pouvoir contrôler les allées et venues de la salle de réveil et répondre rapidement aux urgences. Considérer l un ou l autre des modèles suivants : - Poste centralisé : pour une salle accueillant au maximum 8 civières, prévoir un poste unique. - Aménagement en grappe : pour une salle accueillant plus de 8 lits, le poste peut être divisé par groupe de civières..3 Rangements et dépôts - Positionner de façon à réduire le déplacement du personnel. Certains équipements ou matériels peuvent être localisés dans les corridors en alcôve..4 Soutien au personnel Espaces réservés au personnel pour les pauses, pour se vêtir avant d accéder à la zone stérile et pour le rangement sécuritaire des objets personnels. Localiser à l écart des circulations publiques..5 Soutien - Planifier généralement à proximité des axes de circulation et facilement accessible..6 Aires clinico-administratives - Localiser en retrait..7 Enseignement et formation- Certains établissements reçoivent des étudiants et stagiaires de différentes disciplines. Zone stérile secteur composé des salles d opération et de procédures et de leurs espaces de soutien (voir tableau 2.2). Considérer les modes organisationnels suivants : 1. Circulation unique - Salles d opération accessibles par un corridor central qui incluent les zones de brossage. Ce mode d aménagement nécessite une décentralisation des rangements du matériel et des équipements biomédicaux, 2. Double circulation En général, 2 types d organisation à double corridor sont privilégiés : - Un corridor ceinture l ensemble des salles ou un groupe de salles d opération, les éviers de brossage sont distribués à proximité de chaque salle. L espace central, commun aux salles, permet l entreposage..3 Rangements et dépôts Considérer 2 types d aménagement : - Rangements décentralisés L emphase doit être mise sur la décentralisation des espaces de rangement afin qu ils soient localisés à proximité des salles d opération. Par exemples, la lingerie peut être localisée dans des alcôves à proximité des salles d opération, le rangement orthopédique doit être attenant à la salle d opération orthopédique et avoir un accès direct sur cette salle ou autres. - Rangement centralisé. VERSION 1.0 Juin de 38

12 2.2.2 Liaisons fonctionnelles Localiser cette unité comme suit. LIENS EXTERNES 1. Prévoir un lien direct entre la zone stérile du bloc et l unité de retraitement des dispositifs médicaux (stérilisation). 2. Prévoir un lien facile et rapide avec les unités fonctionnelles suivantes: - l urgence; - le laboratoire médical (banque de sang, pathologie et biochimie); - les unités de soins intensifs (USI et UNSI) ; - l endoscopie (si externe au bloc); - le service de retraitement des dispositifs médicaux; - l imagerie médicale et - l héliport (pour les centres ayant ce type d installation). 3. Les liens externes sont illustrés dans le schéma suivant : HOSPITALISATION USI ET UNSI UNITÉ D'OBSTÉTRIQUE SERVICES DIAGNOSTIQUES THÉRAPEUTIQUES IMAGERIE MÉDICALE ENDOSCOPIE SOUTIEN CLINIQUE STÉRILISATION LABORATOIRE PHARMACIE BLOC OPÉRATOIRE SERVICES AMBULATOIRES URGENCE CHIRURGIE D'UN JOUR LÉGENDE DES LIENS PRIORITÉ FORTE PRIORITÉ MOYENNE LIENS LOGISTIQUES VERSION 1.0 Juin de 38

13 LIENS INTERNES 4. Le bloc opératoire est subdivisé en 2 zones dont l une est stérile. Les circulations internes sont illustrées dans le schéma organisationnel suivant : HOSPITALISATION SERVICES AMBULATOIRES ZONE PÉRIPHÉRIQUE SALLE DE RÉVEIL ESPACE POUR LA FAMILLE ACCUEL RANGEMENTS ET DÉPÔTS SOUTIEN ENSEIGNEMENT ET RECHERCHE AIRES CLINICO- ADMINISTRATIVES SOUTIEN AU PERSONNEL ZONE STÉRILE SALLES D'OPÉRATION RANGEMENTS ET DÉPÔTS SOUTIEN LÉGENDE PROXIMITÉ FORTE PROXIMITÉ MOYENNE PARCOURS DU PATIENT PARCOURS DU PERSONNEL PARCOURS DU MATÉRIEL Circulations.1 Considérer trois types de circulation pour : 1) la matériel (propre, souillé); 2) le personnel; 3) la clientèle et les proches..2 Évaluer l aménagement de la zone stérile selon 2 modèles de circulation :.2.1 Circulation unique - Salles d opération accessibles par un corridor central nécessitant une décentralisation des rangements stériles, du matériel propre et des équipement biomédicaux, ainsi qu une distribution des zones de brossage à même ce corridor. Avantages - Possibilité de fenêtrer les salles d opération. - Possibilité d une seule porte limitant les flux de particules et les baisses de pression de la salle d interventions. Désavantages - Ce mode d aménagement implique une gestion de risques tels : - Circulation croisée du matériel propre et du matériel souillé - La clientèle, le personnel et le matériel empruntent le même corridor. - Congestion du corridor - Le nombre d opération dans une journée impacte la densité de circulation de la clientèle, du matériel et du personnel. - Tous matériel, patient et personnel pénètre dans la salle d opération par un même accès. VERSION 1.0 Juin de 38

14 .2.2 Double circulation Les salles d opération comportent 2 accès distincts; un provenant du secteur stérile et strictement utilisé par le personnel médical et l autre provenant d un corridor employé par la clientèle et les proches lorsque requis. Avantages - Diminution du risque relié au croisement du matériel propre avec le matériel souillé. - Séparation nette de la circulation du personnel de celle des clients. - Possibilité pour le personnel d aller d une salle à l autre sans passer par une aire non stérile. Désavantages - Aucune fenêtre directement dans les salles d opération. - Risques d utilisation les corridors comme rangement. - Perte d espace. 2 - Risques de perturbations aérauliques de la salle d opération par l ouverture du corridor «souillé». 2.3 Bien contrôler la circulation du matériel des zones non stériles et stériles..4 Prévoir l arrivée des liens verticaux, tels les escaliers et les ascenseurs, à l extérieur de la zone stérile. Sauf exception : un lien vertical reliant le service de retraitement des dispositifs médicaux et le bloc peut être prévu à l interne à partir de leur zone stérile respective..5 Éviter l encombrement des corridors en programmant des locaux et alcôves de rangements..6 Prévoir que les liens verticaux du bloc opératoire soient réservés au transport de la clientèle. Le transport du public doit être effectué par un autre système transporteur. Tableau Sous-composantes de l unité bloc opératoire, espaces et locaux Le tableau 2.1 indique les superficies minimales nettes et/ou ratio recommandés pour la programmation des locaux du bloc opératoire. Des informations générales y sont présentées. Pour les locaux dits «locaux génériques», identifiés par la présence d une icône dans la colonne «local», des informations complémentaires sont présentées à la section 2.4 du présent document. ZONE PÉRIPHÉRIQUE - SOUS-COMPOSANTES ET LOCAUX.1 Aire d accueil.1 Poste d accueil Espace fermé. Prévoir un système de communication avec les salles d opérations incluant un système de monitorage cardiaque centralisé et d assistance du personnel, un système de pneumatique, téléphone, poste informatique. Poste de lecture PAC Prévoir un poste par 4 salles d opération. Superficie nette min. (m²)ou ratio m²/item VERSION 1.0 Juin de 38 Local É 085 3,7 m²/poste.2 Attente 2 zones d attente peuvent être nécessaires : l attente des accompagnants et celle de la clientèle - Salon pour la famille. 2,0 m²/pers Civière ouverte. 9,0 106 Salle d examen Peut aussi servir à des entrevues et rencontre avec la famille..3 11,0 12,0.4 Salon de rencontre Pour rencontrer et discuter avec la famille. 2,0 m²/pers Salle de toilettes Facilement accessible et visible à partir des circulations publiques. Privilégier un des 2 types de local suivant : - universelle avec ou sans assistance. 3,5 4, Salle de réveil.1 Poste infirmier Selon la capacité, peut être divisé en postes satellites centrés sur les îlots. É Aire des civières Espace dans lequel le client est acheminé temporairement suite à une É intervention. Le nombre de civières est fonction du volume d activité. - Poste de lavage de main - 1,0 111

15 Superficie nette min. ZONE PÉRIPHÉRIQUE - SOUS-COMPOSANTES ET LOCAUX (m²)ou ratio m²/item Local - Civière ouverte. 9, Civière en espace semi-ouvert (avec murets séparateurs). 9, Civière fermée ou isolée - Pour la clientèle infectieuse 10,0 106 et Sas pour la civière d isolement. 4, Antichambre pour la civière d isolement. 2, Salle des médicaments É.4 Utilité propre Local distinct de l utilité souillée et non contigu à ce dernier. 9, Utilité souillée Entreposer le matériel souillé. Peut inclure les espaces pour nettoyer, 9,0 058 désinfecter le matériel/équipement..6 Salle de toilettes Privilégier un des 2 types de local suivant : - Universelle sans assistance et avec accès direct sur la salle de réveil. 4, Pour le personnel. 2,5.3 Rangements et dépôts.1 Lingerie Local fermé ou en aire ouverte entreposant les chariots de lingerie propre. É - Lingerie en alcôve (chariot). 2,0.2 Matériel roulant Rangement pour civières, fauteuils roulant et autres. É - Civière en alcôve. - Fauteuil roulant en alcôve. 2,3 0,9.3 Fournitures médicales Prévoir un espace pour chariots de fourniture, pour faire la recharge É d appareil à piles et autres..4 Dépôt bonbonnes de gaz Pièce réservée à l entreposage sécuritaire de bonbonnes de gaz CO 2. 2, Matériel non stérile Rangement de matériel (ex;table de réanimation néonatale, couveuse), ou de chirurgie. Le matériel doit être maintenu en état de propreté permanent..4 Soutien au personnel.1 Salle de repos Pièce aménagée pour les pauses. 2,0 m²/pers. 044 Espace pour cafetière, micro-onde et autres. 2,5.2 Vestiaires Casiers sécurisés, un espace pour s asseoir et miroir, rangements distincts É pour les équipements de protection propres et souillés. L accès à la zone stérile pour le personnel pout être aménagé selon 2 modèles: - Local unique : croissement des entrées et sorties du personnel. - Salles séparées :circulations à sens unique au moyen de 2 salles séparées par des casiers s ouvrant sur 2 côtés permettant au personnel de se changer dans chaque zone sans croisement. - Casier mi-hauteur. - Casier pleine hauteur. 0,2 0,4.3 Salle de toilettes - Universelle sans aidant 3, Avec douche. 5,5.4 Chambre de garde Incluant un espace pour le travail informatique, un lit et un petit rangement. 7,0.5 Soutien.1 Retraitement des Voir information supplémentaire dans la fiche «Unité d endoscopie». É endoscopes.2 Hygiène et salubrité Évaluer la pertinence d installer un dépôt dans la zone stérile. (prévoit un 5,0 local dans la zone périphérique et un dans la zone stérile)..3 Déchet et recyclage 6,0.4 Matières souillées Rangement pour déchets biomédicaux et matériel souillé. É.6 Local technique Pour les équipements biomédicaux. É.7 Serveur informatique É.6 Aires clinico-administratives.1 Bureau Local fermé. 7,5 11,0.2 Autre type de bureau Espaces en aire ouverte. É - Poste pour stagiaire : Poste de travail utilisé de façon ponctuelle. 3,0 m²/pers. - Bureau partagé - Poste de travail avec une filière. 5,5 m²/pers. - Bureau Poste de travail avec un fauteuil «visiteur» et une filière. 7,5 m²/pers..3 Salle de réunion Ou espace de travail en groupe. 2,0 m²/pers Salle multimédia Pour la télémédecine. É VERSION 1.0 Juin de 38

16 É : selon les besoins ou le fonctionnement de l établissement Dans certains centres hospitaliers, l unité peut être pourvue de locaux strictement consacrés à l évaluation et à l enseignement. Superficie min. (m²) ZONE PÉRIPHÉRIQUE - SOUS-COMPOSANTES ET LOCAUX ou ratio m²/item.7 Enseignement et formation.1 Bureaux 7,5-11,0.2 Autre type de bureau Espaces en aire ouverte. É - Poste pour stagiaire : Poste de travail utilisé de façon ponctuelle. 3,0 m²/pers. - Bureau partagé - Poste de travail avec une filière. 5,5 m²/pers. - Poste de travail avec un fauteuil «visiteur» et une filière. 7,5 m²/pers..3 Salle de réunion Salle de réunion ou de formation 1,9 m²/pers. É : selon les besoins ou le fonctionnement de l établissement Tableau 2.2 Superficie nette min. ZONE STÉRILE - SOUS-COMPOSANTES ET LOCAUX (m²)ou ratio m²/item Local.8 Zone stérile.1 Salle d induction Ou salle d anesthésie. 9, Brossage Localiser à l entrée des salles d opération et répartir selon un ratio de 1 brossage 2,0 m²/évier pour 2 salles d opération. Configurer en alcôve pour libérer les circulations..3 Salles d opération Évaluer les dimensions de la salle selon les besoins. 40,0 70, Salle de contrôle Chirurgie robotique, attenante à la salle d opération. É.5 Utilité propre Local distinct de l utilité souillée et non contigu à ce dernier. 9, Utilité souillée Pièce pour entreposer le matériel souillé. Peut inclure les espaces pour 9,0 058 nettoyer et désinfecter les équipements mobiles ainsi que les équipements biomédicaux fréquemment utilisés (ex :microscope, ventilateur).7 Stérilisation «flash» Espace fermé ou alcôve, à proximité des salles d opération. É.8 Équipement biomédical Rangement fermé ou en alcôve, doit être facile d accès aux salles É d opération. - Imagerie sur arceau. 3,7 - Monitorage. É - Autres appareils mobiles de radiologie. 2,8 - Armoires chauffantes - Pour couvertures et solutions intraveineuses. É.9 Matériel stérile Rangement. É.10 Fourniture stérile Prévoir un espace pour aménager au moins 2 chariots de cas par salle É d opération et autre fourniture, un espace de travail informatique avec téléphone. Une largeur minimale de mm est recommandée)..11 Dépôt civière Espace en alcôve de x mm. Allouer un espace par salle 3,6 d opération..12 Chariots propres Stationnement pour recevoir et vérifier les chariots de cas. - Chariot de cas 2,0 m²/chariot.13 Chariots souillés Stationnement distinct. É : selon les besoins ou le fonctionnement de l établissement local Superficie brute de l unité fonctionnelle La superficie brute de l unité est déterminée par le facteur de conversion F1. La valeur de ce facteur détermine les espaces de circulation ainsi que les superficies occupées par les cloisons de l unité, excluant les murs extérieurs. Le facteur F1 tient compte de l aménagement d un corridor simple. FACTEUR DE CONVERSION F1 1,55 VERSION 1.0 Juin de 38

17 2.2.7 Équipements médicaux fixes Les équipements médicaux fixes peuvent influencer la programmation des espaces et des locaux quant à leur dimension, mais aussi aux dégagements nécessaires à leur utilisation. Une liste non exhaustive est énoncée dans le tableau 2.3. Tableau 2.3 ÉQUIPEMENTS MÉDICAUX FIXES Armoire à médicaments Bras de robot chirurgical de type plafonnier Cabinet chauffant Cabinet à instrument Débitmètre et régulateur Tiges à solutés Évier de brossage Lampe chirurgicale Stérilisateur «flash» Vidangeur-laveur-décontaminateur Négatoscope 2.3 Dimensions génériques Le tableau 2.4 spécifie les diamètres de giration recommandés pour les équipements nécessaires aux transports et aux transferts de la clientèle. Il complète les informations incluses dans les locaux génériques, présentées à la section 2.4. Pour les autres locaux à programmer, il est nécessaire de s assurer de la pertinence de ces différentes données. Tableau 2.4 Diamètre de giration DIMENSIONS MINIMALES (mm).1 Diamètre de giration.1 Fauteuil roulant - régulier gériatrique ou bariatrique Civière VERSION 1.0 Juin de 38

18 2.4 Locaux génériques ATTENTE FICHE 066 Superficie : ratio minimal de 1,5 m² à 1,7 m²/personne. Critères d aménagement.1 Assurer un apport d éclairage naturel et une vue sur l extérieur..2 Aménager à proximité de salles de toilettes, vestiaires, fontaines d eau, machines distributrices et téléphones publics..3 Aménager un espace avec jeux pour les enfants, si requis..4 Prévoir une signalisation directionnelle visible et adaptée au type de clientèle. Prévoir des repères tactiles au besoin..5 Assurer un passage en avant des pieds des personnes assises..6 Aménager l espace de façon à ne pas obstruer la circulation des fauteuils roulants et des civières..7 Prévoir un butoir ou un protecteur de mur à la hauteur des dossiers des fauteuils d attente..8 Éviter les arêtes vives. Dimensions.1 Fauteuil d attente: 1,5 m² à 1,7 m².2 Fauteuil roulant : 2,25 m².3 Fauteuil d attente pour personne obèse : 1,9 m².4 Poste de lavage des mains (fiche 111) : 1,0 m².5 Téléphone public : 3,0 m².6 Fontaine d eau : 2,0 m².7 Machine distributrice : 2,0 m².8 Superficie pour le coin-enfant : minimum 5,0 m² ou 1 m²/enfant.9 Dimension minimale d un fauteuil pour personne obèse (avec appui-bras): 508 mm (prof.) X 715 mm (larg.) ou prévoir des fauteuils sans accoudoir..10 Cuisinette ou coin-café - Espace pour micro-ondes, frigo et machine à café : 2,5 m².9 Prévoir un espace d attente à l abri des regards pour la clientèle en jaquette ou en chemise d hôpital..10 Considérer une place pour les accompagnants et ce, même dans les espaces civières..11 Équiper les espaces d attente «civières» de tous les services de gaz médicaux requis..12 Prévoir un poste de lavage des mains (PLM) visible et facilement accessible aux visiteurs. (voir fiche 111).13 Prévoir un poste d information informatique..14 Prévoir la possibilité de diffuser de la musique ambiante, si requis..11 Exemple de dégagements selon le type de clientèle : CIVIÈRE D ISOLEMENT INFECTIEUX Superficie minimale de 11,0 m² Fiche de référence «Chambre d isolement infectieux» disponible sur notre site web à l adresse suivante : VERSION 1.0 Juin de 38

19 CIVIÈRES OUVERTE ET FERMÉE FICHE 106 Superficie minimale de 9 à 11 m²/civière m²; ajouter l espace requis selon les besoins. Critères d aménagement.1 Privilégier une zone calme, tranquille et sécurisante..9 Prévention des infections - Prévoir un poste de lavage des.2 Dégager au minimum 3 côtés autour de la civière (tête du mains (PLM) dédié au personnel. patient vers le mur), zones potentielles de travail des.10 Assurer un apport d éclairage naturel dans chaque espace de intervenants. civière même si ce n est qu un bandeau de lumière au-dessus.3 Aménager, en tous points identiques, pour favoriser les des modules d équipements à la tête des civières. interventions rapides et les gestes répétitifs..11 Installer des solutions antiseptiques, disponibles sans détour.4 Prévoir un espace pour un accompagnateur dans chaque aire. pour le personnel, et à proximité immédiate de chaque patient..5 Positionner la civière de façon que le plus grand dégagement.12 Installer un lavabo par 2 civières ou un lavabo par civière fermée. permette au médecin de travailler du côté droit du client..13 Prévoir des systèmes de gaz médicaux pour toutes les civières..6 Aménager de façon à permettre un transfert rapide de la.14 Prévoir un système d appel de garde. clientèle d une civière vers une autre civière..15 Prévoir un fauteuil pour les accompagnants n entravant pas les.7 Prévoir un espace de rangement des objets personnels du client. dégagements requis autour de la civière notamment pour la.8 Prévoir des rideaux séparateurs. clientèle pédiatrique et de la chirurgie d un jour. Dimensions CIVIÈRE OUVERTE.1 Superficie - minimale de : 9,0 m² - maximum de : (polyvalence de la pièce) 11,0 m².2 Civière monitorée - Superficie minimale de 10,0 m² - Superficie maximale de 11,0 m² Civière ouverte.3 Poste de lavage des mains (fiche 111) : 1,0 m².4 Superficie minimale pour un espace semi-ouvert : 9,5 m² CIVIÈRE FERMÉE.5 Superficie minimale de : (monitorée ou non) 11,0 m² Civière fermée DÉPÔT DE BONBONNES DE GAZ FICHE 020 Superficie minimale de 2,0 m 2 Critères d aménagement.1 Considérer la charge combustible de cette pièce comme élevée..2 Attacher les bonbonnes d oxygène au mur lorsque cette pièce est ouverte sur un autre espace. VERSION 1.0 Juin de 38

20 HYGIÈNE ET SALUBRITÉ FICHE 018 Superficie minimale de 4,0 m². Critères d aménagement 1. Prévention des infections.1 Prévoir l installation d un évier à vadrouille au sol fait de matériau non poreux..2 Prévoir un système de CVCA adéquat..3 Assurer une ventilation du local en pression négative par rapport au corridor et évacuer 100 % de l air vers l extérieur du bâtiment. 2. Fonctionnalité.1 Programmer les espaces de rangement: - les équipements (ex. : chariot de nettoyage, aspirateur eau-poussière, polisseuse électrique, cuve à vadrouille au sol) ne nuisent pas à l ouverture de la porte; - des rayonnages industriels robustes, résistant à la rouille et à la corrosion, et faciles d accès et d entretien; - un espace pour un support à balai, si requis; - aménager de façon à éviter la contamination croisée des équipements entreposés..2 Prévoir un drain au plancher..3 Prévoir un éclairage adéquat..4 Prévoir un distributeur-mélangeur de produits de nettoyage..5 Prévoir des prises électriques pour la recharge des équipements. 3. Sécurité.1 Spécifier un revêtement de plancher anti-dérapant..2 Prévoir des dispositifs anti-débordement pour les solutions corrosives. POSTE DE LAVAGE DES MAINS (PLM) FICHE 018 Superficie minimale de 1,0 m². Critères d aménagement 1. Prévention des infections.1 Choisir des matériaux et finis non poreux et sans joints résistant aux éclaboussures..2 Concevoir le lavabo et la robinetterie de façon à minimiser la production d aérosols..3 Spécifier un lavabo mural de type «lave-main» ayant les caractéristiques suivantes : - porcelaine vitreuse, acier inoxydable 304 de calibre 18, Corian ou autre matériel non poreux; - supportant les nettoyages fréquents effectués avec des désinfectants et des décapants; - dimensions intérieures minimales du bassin de 350 x 250 x 225 mm de profondeur; - sans trop plein; - avec grille affleurante, sans bouchon ou mécanisme d obturation du drain; - avec des rebords et pentes permettant à l eau de se diriger vers le drain; - prévoir des siphons en métal : o avec garnitures d étanchéité en plastique ou néoprène; o prohiber les garnitures faites de caoutchouc; o diamètre minimum de 38 mm..4 Prévoir une robinetterie à déclenchement automatique (commande électronique ou mécanique au pied). - à température fixe, sans réglage; - débit minimum de 10 litres/minutes pour enlever adéquatement le savon et les résidus; - localiser le robinet de façon à ce que le jet d eau ne tombe pas directement dans le drain et permettre le rinçage de la cuvette; - proscrire toute forme de douchette, aérateur et modulateurs; - avec robinet de type col de cygne fixe. - ne pas installer de tamis ou autres accessoires antiéclaboussures pouvant facilement se contaminer; - alimenter électriquement de façon continue;.5 Prévoir les accessoires intégrés suivants : - protections anti-éclaboussures sur les murs/cloisons : o résistants à la décoloration et faciles à désinfecter ayant une surface s étendant sur : o 600 mm au-dessus du lave-main et sur les côtés si le lavabo est en alcôve; o 250 mm en-dessous du lave-main; o l aire doit s étendre jusqu à l arrière des distributeurs de savon liquide et d essuie-main; o bien sceller le bord du matériel de façon à ce que l eau ne pénètre pas à l arrière de la protection. - distributeur de savon liquide mural ; - distributeur d essuie-mains à usage unique ; - collecteur de déchets sans contact : o fait de matériaux résistants à la rouille; o localisé à côté du lave-main; o si un couvercle referme le contenant, son mécanisme d ouverture doit être actionné avec les pieds..6 Installer les distributeurs de savon et d essuie-main de façon à ce que le savon et l eau ne tombe pas sur le plancher..7 Dégager le dessous du lavabo et y prévoir aucun espace d entreposage..8 Installer le PLM à au moins 900 mm du lit, fauteuil de traitement, espace de fournitures propres ou comptoir. 2. Fonctionnalité.1 Localiser de façon à être facilement accessible..2 Éviter de localiser un distributeur de lotion antiseptique dans le secteur du PLM..3 Prévoir un panneau d information. VERSION 1.0 Juin de 38

21 Schéma Vue en plan Vue en élévation Vue de côté POSTE INFIRMIER FICHE 085 Superficie minimale à déterminer selon les besoins de l établissement. Critères d aménagement.1 Évaluer le niveau de sécurité fluctuant selon le nombre d effectifs en place et l état de santé de la clientèle. Suivant ce critère, le poste peut être ouvert ou fermé et aussi fenêtré..2 Assurer la confidentialité des échanges entre les intervenants..3 Contrôler visuellement les accès de l unité à partir du poste..4 Faciliter la surveillance des chambres et des civières d isolement..5 Installer tout type de poste à une distance maximale de 30 m, idéalement 20 m, de la chambre la plus éloignée..6 Aménager le poste en considérant l achalandage lors des transferts de services..7 Permettre un accès rapide au chariot d urgence..8 Prévention des infections - Prévoir un poste de lavage des mains (PLM) dédié au personnel. Dimensions 1. Poste de lavage des mains (fiche 111) : 1,0 m² 2. Chariot : - de matériel : 2,0 m² - de cas, médical d urgence : 1,0 m² 3. Station de pneumatique : 1,4 m² 4. Test au point de service : 1,0 m² 5. Laboratoire satellite : 3,7 m² 6. Distributrice automatisée de médicament : 3,7 m² 7. Chauffe-couverture : 2,0 m² 8. Coffret de sécurité : 2,8 m² 9. Postes de travail : - infirmier, poste de lecture PACS : 3,7 m² - dictée : 2,3 m² - debout avec poste informatique : 2,0 m² 10. Photocopieur : 3,7 m² 11. Entreposage fournitures de bureau : 2,0 m² 12. Imprimante : 1,0 m².9 Localiser à proximité des espaces de travail pour les stagiaires..10 Prévoir un mobilier à accessibilité universelle pour au moins un espace de travail..11 Concevoir le poste en tenant compte de l`accueil de la clientèle en fauteuil roulant..11 Évaluer les besoins en rangements pour statuer des espaces requis et des types d ameublement..12 Éclairage - Prévoir un des appareils d éclairage et une des prises de courant sur l urgence..13 Appel de garde - Prévoir un espace pour l emplacement du contrôleur principal du système d appel de garde..15 Prévoir un contrôle sécuritaire des portes évaluées selon le niveau de sécurité de l unité à partir du poste. 13 Dégagements minimums autour du poste de travail: - profondeur : o position assise : 610 mm o position debout : 460 mm - espace requis pour une chaise : entre 410 et 610 mm - espace requis pour circulation : entre 760 et 915 mm VERSION 1.0 Juin de 38

22 RÉUNION FICHE 045 Superficie minimale de 10,0 m² en considérant un ratio de 2 m²/personne. Critères d aménagement.1 Configurer l espace de façon à permettre plusieurs agencements du mobilier..2 Favoriser l apport d éclairage naturel..3 Prévoir un espace de rangement pour les fauteuils, les appareils audio-visuels et autres, si requis..4 Aménager sous forme de salon, si requis..5 Prévoir un comptoir avec un évier et des armoires, si requis..6 Prévoir l équipement informatique et audiovisuel, si requis..7 Prévoir un fauteuil, une table de conférence, des tableaux d affichage, un fauteuil confortable ou un sofa et autres, si requis. Dimensions.1 Exemples de superficies : Salle de 7,9 m² Salle de 8,7 m² avec fauteuil roulant Salle de 20,4 m² SALLE DE REPOS FICHE 044 Superficie : ratio de 2,0 m²/personne Critères d aménagement.1 Assurer l apport d éclairage naturel..2 Si requis, prévoir un espace pour une machine distributrice de café, un micro-ondes, une machine distributrice et autres..3 Aménager des zones diversifiées, telles qu un salon et une salle à manger..4 Prévoir un comptoir avec un évier encastré et des armoires pouvant être fermées à clé..5 Situer à proximité de salles de toilette..6 Prévoir l espace pour un réfrigérateur, un micro-ondes, des machines distributrices et autres..7 Raccorder le micro-ondes, le réfrigérateur et la machine distributrice à un circuit électrique normal..8 Mobilier - Prévoir des fauteuils confortables, des tables et un babillard. VERSION 1.0 Juin de 38

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