«Le propre du sale :Mises en scène de l hygiène corporelle.» de Stéphane Malysse
|
|
- Geneviève Laviolette
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 «Le propre du sale :Mises en scène de l hygiène corporelle.» de Stéphane Malysse? Malysse S., Sales d eau, ou la mise en scène de l hygiène corporelle, Mémoire de D.E.S.S 1996, université Paris VII. Chacun sait que l hygiène est une règle de soi-même et de son corps, une pratique privée et une source d informations personnelles préservée, mais qui n a quand même jamais eu envie d observer par un trou de serrure ce qui se passait dans la salle de bains, une fois que quelqu un d autre s y était enfermé dans cette loge du grand théâtre social? Ce lieu du corps est, dans la conception occidentale de l habitat, un espace privé, intime, dans lequel on pénètre seul, en refermant la porte derrière soi et en s assurant ainsi d être à l abri des regards d autrui 1. Cette curiosité s intensifie dès lors que l on réalise que les hommes n ont jamais, en quoi que se soit, des expériences identiques : si les autres ne se lavent pas comme nous, comment se lavent-ils et qu est-ce que se laver? Une première lecture des représentations sociales du propre et du sale est réalisable en observant l intérieur des salle de bains et en y analysant les détails ordinaires qui constituent à la fois le décor et la fonctionnalité des lieux. Les installations sanitaires codifient en les instrumentalisant les représentations culturelles du propre et du sale et obligent également les acteurs à plier leurs rituels à l organisation des lieux. Dans les salles de bain, le corps humain est réduit à une somme de besoins pris en compte par l architecte ; 1
2 le corps est assimilé à une forme pure, déraciné de tout existentialisme, sans histoire, sans qualités, simple volume à nettoyer. D ailleurs, les recherches anthropométriques portant sur la salle de bains et son équipement montrent que cet espace n est pas en relation avec les dimensions du corps. Il est aussi important de noter le relativisme culturel de la sensation d être sale : dans toutes les conduites d hygiène, l art d utiliser son corps est essentiellement un fait d éducation et d imitation, et il semble que de toutes les techniques du corps apprises au cours de l enfance, celles qui entrent en jeu dans les rituels d hygiène corporelle restent intimement liées aux processus d auto-représentation du corps. Toutes ces pratiques sont socialement très chargées et il semble que chaque acteur actualise quotidiennement les savoirs et croyances du milieu social dans lequel il a baigné 2. La notion d hygiène corporelle, tout comme les pratiques qui s y rapportent, est culturellement relative 3. Dans une société, plus les exigences en ce qui concerne le corps et sa propreté sont nombreuses et précises, plus les auto-contraintes envahissent la salle de bains, par l intermédiaire des nouvelles techniques corporelles à mettre en action pour se sentir «propre» : l essor des auto-contraintes, qui a détruit la distinction entre l hygiène des zones visibles et celle des zones cachées, est un des faits majeur de l hygiène contemporaine. Toute hygiène corporelle est ancrée dans une histoire sociale 4 et c est bien dans l évolution socio-historique du rapport au corps que l on retrouve les bases du mythe de la saleté française au Brésil 5. Quoi de plus «naturel» que se laver? L histoire du corps et de ses représentations participe à la construction individuelle des sensations physiques 6, en l ancrant dans un environnement à la fois idéologique et géographique. Dans son article sur les techniques du corps 7, Mauss (1950) insistait déjà sur le fait que tous les aspects du phénomène humain sont susceptibles d une pénétration par le social; et même ceux qui apparaissent au sens commun comme les plus naturels, instinctifs, automatiques. Ainsi, l idée communément répandue, en France comme au Brésil, que tout le monde se lave plus ou 2
3 moins de la même façon m est finalement apparue plus proche de la réalité au Brésil qu en France. 1 La douche est aussi une mise en spectacle du corps «pour soi»: le fait de prendre trois fois par jour ou plus, une douche implique un fréquent rapport visuel avec son propre corps, ce qui n est pas le cas en France où la fréquence moyenne est de l ordre d une fois par jour. L affinement de l auto-contact au cours de l hygiène corporelle n est pas sans mettre en jeu un auto-érotisme, que la publicité a semble-t-il beaucoup manipulé 2 De nos jours, on impose à l enfant dès son plus jeune âge l habitude de se laver et de se nettoyer, on en fait, par le conditionnement, une sorte d automatisme ; ce conditionnement disparaît pour ainsi dire de l horizon de la conscience, l homme ne se rend plus compte qu il se nettoie par égard pour les autres, qu il obéit - du moins à l origine - à une contrainte extérieure ; il se lave par suite d une autocontrainte, même quand il n y a pas de témoins, même quand personne ne pourrait le punir pour avoir négligé les soins de propreté. (Elias,1973:21) 3 Comme l explique Elias, le besoin de nettoyer son corps et de le tenir en état de propreté ne découle pas d abord de motivations hygiéniques ou, comme nous disons aujourd hui, rationnelles : il ne se fonde pas sur l idée que la saleté puisse présenter un danger pour la santé ; en réalité, le besoin de se laver naît avec la transformation des relations humaines : la motivation est donc d essence sociale, elle obéit surtout à des contraintes extérieures. (Elias, 1973:234) 4 Alors que les Indiens du Brésil se lavaient quotidiennement dans des rivières : Hommes et femmes, depuis ces vieux jours de la colonisation, adoptèrent des indigènes l habitude de prendre des bains quotidiens (Freyre, 1992:41), en France, jusqu au XVIIIe siècle, on pensait que le corps était perméable à l eau, comme une madeleine, et que tout «trempage» représentait donc un risque de contamination : Il est parfaitement concevable que l utilisation de l eau pour se baigner inspirait aux hommes de ce temps une vague terreur, fondée sur le sentiment d un danger réel mais mal défini et mal déterminé. (Elias, 1973:23). On se méfiait donc de l eau comme de la peste et l on évitait soigneusement de se laver, de prendre ainsi des risques pour sa santé (Vigarello, 195). Il faut en réalité attendre le début du XXe siècle pour que les rapports symboliques entre l homme et l eau s inversent en France, et que l usage des salle de bains se généralise et s intensifie. Cette méfiance médicale vis-à-vis de l eau explique certainement le lenteur dans l équipement des logements français en salles de bains. 5 3
4 le bain journalier, avec beaucoup d eau et de savon, caractéristique des Américains, est remplacé dans certaines sociétés européennes par l utilisation du parfum... (Rodrigues, 193:113). Ce qui m intéresse dans ce mythe du français sale, si répandu au Brésil, c est qu il montre non seulement à quel point les conceptions et les pratiques d hygiène sont différentes d une zone culturelle à l autre, mais surtout qu il met en évidence l extrême souci de propreté des Brésiliens. En effet, les mises en scène de l hygiène corporelle sont étroitement liées aux proxémies sociales: au Brésil, la distance intime à l autre invite à une hygiène corporelle irréprochable, car celui que l on va prendre dans ses bras, toucher à plusieurs reprises, sentir... ne peut pas se permettre d être sale et cet allo-contrôle de proximité fonctionne donc ici comme un puissant leitmotiv de propreté. 6 Dans sa recherche d ethno-corpologie sur les enfants sauvages, Le Breton (199) montre, par exemple, à quel point les sensations physiques liées à la température de l eau, les notions de chaud et de froid sont individuellement incorporées mais également culturellement construites. 7 «Les techniques du corps sont les façons dont les hommes, société par société, d une façon traditionnelle, savent se servir de leur corps : chaque société a ses habitudes corporelles bien à elle. Ces «habitudes» varient non pas simplement avec les individus et leurs imitations, elles varient surtout avec les sociétés, les éducations, les convenances, les modes et les prestiges». Mauss, 1950 J ai, en effet, l impression que la positivité associée au corps, et les traditions hygiéniques indigène et africaine ont rendu l hygiène plus «corporelle» au Brésil qu en France : les représentations sociales du propre, tout comme les descriptions et les performances de «techniques de lavage» du corps dénotent au Brésil d une relation beaucoup moins «intellectualisée» et «rationalisée" au corps qu en France. En outre, la fréquence et les techniques du corps mises en œuvre au cours de l hygiène corporelle sont apparues beaucoup plus homogènes au Brésil qu en France, où les acteurs faisaient preuve d une imagination débordante pour mettre au point leurs rituels d hygiène. L hygiène corporelle brésilienne me semble donc plus automatisée que l hygiène française, certainement parce qu elle est étroitement contrôlée par les regards d autrui et n est donc pas uniquement un phénomène d ordre privé, comme en France, mais une dimension corporelle de l apparence qui entre en jeu dans toutes les interactions sociales. Dès lors, pour un Français, habitué à des eaux de bain chaudes et des salle de bains chauffées, le douche froide qui rafraîchit sous les tropiques est difficilement supportable. La résistance au froid ne va pas de soi, alors que pour les Brésiliens une douche chaude est comme l épreuve du feu, comme s ils se brûlaient plus facilement, c est cette chaleur que les Français recherchent quand ils pensent à se laver. «Les techniques du corps sont les façons dont les hommes, société par société, d une façon traditionnelle, savent se servir de leur corps».«chaque société a ses habitudes corporelles 4
5 bien à elle. Ces «habitudes» varient non pas simplement avec les individus et leurs imitations, elles varient surtout avec les sociétés, les éducations, les convenances, les modes et les prestiges». Mauss, 1950 J ai, en effet, l impression que la positivité associée au corps, et les traditions hygiéniques indigène et africaine ont rendu l hygiène plus «corporelle» au Brésil qu en France : les représentations sociales du propre, tout comme les descriptions et les performances de «techniques de lavage» du corps dénotent au Brésil d une relation beaucoup moins «intellectualisée» et «rationalisée" au corps qu en France. En outre, la fréquence et les techniques du corps mises en œuvre au cours de l hygiène corporelle sont apparues beaucoup plus homogènes au Brésil qu en France, où les acteurs faisaient preuve d une imagination débordante pour mettre au point leurs rituels d hygiène. L hygiène corporelle brésilienne me semble donc plus automatisée que l hygiène française, certainement parce qu elle est étroitement contrôlée par les regards d autrui et n est donc pas uniquement un phénomène d ordre privé, comme en France, mais une dimension corporelle de l apparence qui entre en jeu dans toutes les interactions sociales 5
40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère.
«Consommer moins en consommant mieux» 40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère. Maîtriser notre consommation en électricité, c est nous engager à adopter des gestes
Plus en détailBacs de lavage et équipements de buanderie
Fonctionnels et robustes dans toutes les situations Bacs de lavage et équipements de buanderie Bacs de lavage 2 3 Fonctionnels, robustes et extensibles Vous cherchez des équipements appropriés pour votre
Plus en détailGROUPE DE PAROLE SUR L HYGIENE ET LA PRESENTATION
GROUPE DE PAROLE SUR L HYGIENE ET LA PRESENTATION Programme d éducation et de motivation à l hygiène pour les patients en psychiatrie Cécile GABRIEL-BORDENAVE C.H. St Egrève (38) Problèmes d hygiène corporelle
Plus en détailListe de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs
Bureau du confinement des biorisques et de la sécurité Office of Biohazard, Containment and Safety Direction générale des sciences Science Branch 59, promenade Camelot 59 Camelot Drive Ottawa ON K1A 0Y9
Plus en détailMANUEL D UTILISATION
MANUEL D UTILISATION Table des matières Sécurité du produit 3 Mesures de précautions 4 Exigences électriques 5 Dépannage 5 Caractéristiques de My Rotisserie 6 Caractéristiques de My Rotisserie 7 Diagramme
Plus en détailCOMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE
COMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE Client : JEAN CUISTOT TRAITEUR 31 RUE DE L 'OCEAN 17510 CHIVES jeancuistot.traiteur@club-internet.fr Tél. 05 46 33 64 21 Date de l'examen : 28-oct-2013 Technicien :
Plus en détailComment atteindre ses objectifs de façon certaine
Ressources & Actualisation Le partenaire de votre bien-être et de votre accomplissement Comment atteindre ses objectifs de façon certaine À l attention du lecteur, Ce présent document est protégé par la
Plus en détailAttention vague. de très grand froid
Attention vague VAGUE DE TRÈS GRAND FROID COMPRENDRE & AGIR de très grand froid Les conseils du Ministère de la Santé et de l Inpes Comprendre ce qui se passe dans mon corps en cas de vague de très grand
Plus en détailSommaire ... PRESENTATION ... AGENCEMENT ... CLOISONS - PORTES ... ECLAIRAGE - DÉCORATION ... REVÊTEMENT ... RÉSINE DE SYNTHÈSE ...
d e n t a i r e e t m é d i c a l d e n t a i r e e t m é d i c a l Sommaire 4 5 6 7 8 9... PRESENTATION... AGENCEMENT... CLOISONS - PORTES 10 11... ECLAIRAGE - DÉCORATION 12 13... REVÊTEMENT 14 15...
Plus en détailSÉCHAGE L ÉLECTROMÉNAGER CE QU IL FAUT SAVOIR
Suivez le guide! CE QU IL FAUT SAVOIR Votre facture d éléctricité n est pas votre facture de chauffage! Voici comment se répartit votre facture d éléctricité Attention plus vous consommez plus votre facture
Plus en détailLE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION
LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure
Plus en détailUn écrivain dans la classe : pour quoi faire?
Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Entretien avec Philippe Meirieu réalisé pour l ARALD - Quel est votre sentiment sur la présence des écrivains dans les classes? Il me semble que ce n est pas
Plus en détailNormes CE Equipements de Protection Individuelle
E. P. I D O C U M E N T D I N F O R M A T I O N Normes CE Equipements de Protection Individuelle Normes CE EQUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELLE Définitions : E.P.I : Tout dispositif ou moyen destiné
Plus en détailParties communes et services
Parties communes et services Ergonomie pratique en 128 points CHECKPOINT 95 Mettre des vestiaires et des sanitaires à la disposition des employés pour garantir un bon niveau d'hygiène et de propreté. POURQUOI
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE D INSTALLATION & D UTILISATION
NOTICE TECHNIQUE D INSTALLATION & D UTILISATION Plafond filtrant Lumispace Il est important de lire attentivement cette notice avant la maintenance du plafond Lumispace Ce document doit être remis au client
Plus en détailTravailleur social : acteur de changement ou panseur de plaies?
Travailleur social : acteur de changement ou panseur de plaies? Au CPAS, à la Mutuelle, dans les associations, dans les écoles, dans la rue ou derrière un guichet ou encore à domicile, les assistants sociaux
Plus en détailHansgrohe Entretien technique. Planification et installation. Design et plaisir : le nouveau Hansgrohe Ecostat Select
Hansgrohe Entretien technique Planification et installation Design et plaisir : le nouveau Hansgrohe Pur plaisir de la douche forme achevée. Raindance Select Showerpipe 360 La plus belle façon de prendre
Plus en détailHygiène alimentaire. Réglementation. Restaurants et commerces alimentaires
Hygiène alimentaire Réglementation Restaurants et commerces alimentaires Hygiène alimentaire Sommaire Avant de s installer, les démarches à suivre p.3/4 Concevoir la cuisine p.5 Hygiène - Les bonnes pratiques
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailFICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL
LE GOUVERNEMENT DU GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG Direction de la Santé FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL Un plan d hygiène permet de garantir la propreté du personnel et éviter toutes contaminations
Plus en détailLAVAGE À LA MAIN Recommandé pour les pièces imprimées multicolores et les pièces délicates.
SOINS GENERAUX Lisez attentivement les étiquettes des vêtements Respectez toujours les recommandations des fabricants des machines à laver. Dissolvez bien les détergents pour que ceux-ci ne forment pas
Plus en détailAtelier d initiation au maquillage et développement de la créativité
Atelier d initiation au maquillage et développement de la créativité Professionnelle depuis 10 ans, je souhaite partager mon savoir-faire de maquilleuse et aider au développement créatif des enfants. Après
Plus en détailNotice d emploi. Module hydraulique hybride GENIA MODULE CRM BB MI
Notice d emploi Module hydraulique hybride GENIA MODULE CRM BB MI Table des matières LIRE ATTENTIVEMENT AVANT UTILISATION 1 Lisez-moi... 2 1.1 Bienvenue... 2 1.2 Enregistrement de votre garantie... 2
Plus en détailSECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS
PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe
Plus en détailVendre. PANdOre INTRODUCTION. But du vendeur : faire en sorte que tout se passe au mieux entre l entreprise et les clients/les partenaires.
Vendre PANdOre INTRODUCTION But du vendeur : faire en sorte que tout se passe au mieux entre l entreprise et les clients/les partenaires. Historique de la relation client-fournisseur : 1955-1965 : le fournisseur
Plus en détailSECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL
SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire
Plus en détailLe confort toute l année
Le confort toute l année Altherma de Daikin, c est une solution performante pour le chauffage de votre maison, mais pas seulement! C est aussi votre source d eau chaude sanitaire, ainsi que votre système
Plus en détailLES HABILETÉS DE SAVOIR ÊTRE
LES HABILETÉS DE SAVOIR ÊTRE Clémence Gauvin et Émilienne Laforge, professeures Module travail social Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue 2004-2005, modification mai 2006 Introduction La formation
Plus en détaildémarche qualité Hygiène
démarche qualité Hygiène SALLES DE CLASSE, BUREAUX Chaise, table, bureau, sols, armoire, tableau, portes, interrupteurs, poubelle 1 z LAVETTE z SEAU z BALAI z SYSTEME DE LAVAGE DE SOL 1 z Eliminer tous
Plus en détailJean-Pierre SOUTRIC Vice-Président Corporate and Travel Industry Sales, Europe Four Seasons Hotels and Resorts
L E S C O N F E R E N C E S D E L I R E S T CYCLE 2014-2015 L Institut de Recherche et d Etudes Supérieures du Tourisme (IREST) Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne a le plaisir de vous inviter à la conférence
Plus en détailL'identité de l'entreprise
L'identité de l'entreprise ACT Formation 181 à 203 avenue Jean Jaurès 69007 Lyon Tél. 33 00/4 72 73 48 79 Fax 33 00/4 72 73 11 20 email : info@actformation.fr www.actformation.fr ACT Formation SA 1 route
Plus en détailPNL & RECRUTEMENT IMPACT SUR LES ENTRETIENS Présentation du 10/06/03
PNL & RECRUTEMENT IMPACT SUR LES ENTRETIENS Présentation du 10/06/03 Introduction : Questions/réponses : Qu est-ce que pour vous un bon recrutement? Cela dépend de quoi? Qu est-ce qui est sous votre contrôle?
Plus en détailSystèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage
Systèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage Les objectifs d'apprentissage: Cet exposé vous informera au sujet des systèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage (SRCED) et: Comment
Plus en détailCafetière. Mode d Emploi. 1Notice cafetière v1.0
Cafetière Mode d Emploi 1Notice cafetière v1.0 SOMMAIRE 1 CONSIGNES DE SÉCURITÉ... 3 2INSTALLATION DE L APPAREIL EN TOUTE SÉCURITÉ...4 3PRECAUTION CONCERNANT L UTILISATION DE L APPAREIL...5 4DESCRIPTION
Plus en détailConstruire un plan de nettoyage et de désinfection
Construire un plan de nettoyage et de désinfection Docteur Régine POTIÉ-RIGO Médecin du Travail Mlle Laetitia DAVEZAT IPRP Ingénieur Hygiène/Sécurité Mme Laetitia MARCHE Technicienne des services généraux
Plus en détailNotre ligne de produits lessive et nettoyants de Suisse
Notre ligne de produits lessive et nettoyants de Suisse Page Lessives poudres 4 Lessives liquides 5 Lessives spéciales 6 7 Aides au lavage 8 Adoucissants 9 Nettoyants ménagers 10 11 Nettoyants vaisselle
Plus en détailAnnexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité
Référence : PT/HYG/003-C Page :Page 1 sur 15 Objet : - Permettre de dispenser des soins de qualité dans un environnement maîtrisé (garantie de propreté visuelle et bactériologique). - Eviter la propagation
Plus en détailThéâtre - Production théâtrale Description de cours
Théâtre - Production théâtrale Description de cours SESSION 1 (TRONC COMMUN) Histoire de l'architecture L objectif du cours est de cerner les principaux styles de l histoire de l architecture. Le contenu
Plus en détailgale - Brochure d information -
gale La - Brochure d information - Qu est-ce que la gale? La gale est une infection de la peau causée par un parasite. Celui-ci creuse un petit tunnel (sillon) dans la partie superficielle de la peau et
Plus en détailMai Thanh LE - Pôle Hygiène
Sodexo Le Better Tomorrow Plan Nos actions de progrès en bio nettoyage Mai Thanh LE - Pôle Hygiène Présentation de l entreprise Sodexo Depuis la création de l entreprise en 1966, Sodexo est le partenaire
Plus en détailL énergie de l air extérieur pour une eau chaude sanitaire naturellement moins chère
LE CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE L énergie de l air extérieur pour une eau chaude sanitaire naturellement moins chère LES PERFORMANCES DE TANÉO C EST L ASSURANCE : > DE 75 % D ÉNERGIE GRATUITE > D UN FONCTIONNEMENT
Plus en détailBonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire
1 2 3 4 Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire Partie 1 Chapitre 3: Locaux et matériel 5 6 7 8 9 10 11 12 13 PRINCIPE Les locaux et le matériel doivent être situés,
Plus en détailManagement Interculturel
Management Interculturel La mondialisation et l ouverture des marchés ont permis l interconnexion des mondes. Ces phénomènes ont en même temps accéléré la mutation des modes de pensée et de consommation.
Plus en détailSi j étais né ailleurs, seraisje différent?
Si j étais né ailleurs, seraisje différent? Compétence ou problématique abordée : Identifier ce qui m a conditionné, ce qui m a construit : - au plan éducatif - au plan social - au plan culturel Concepts
Plus en détailCuisine. Spray de dégraissant à froid 750 ml. Produit multi-usages pour cuisine 750 ml
Cuisine Spray de dégraissant à froid 750 ml Un dégraissant à froid ultra efficace ayant un effet rapide lors du nettoyage des plaques de cuisson, des moules à pâtisserie et des ustensils de cuisson en
Plus en détailVERRE DECORATIF AGC POUR APPLICATIONS INTERIEURES GUIDE DE NETTOYAGE ET D ENTRETIEN
VERRE DECORATIF AGC POUR APPLICATIONS INTERIEURES GUIDE DE NETTOYAGE ET D ENTRETIEN VERSION 2.0 MAI 2015 Cette version du guide annule et remplace toutes les versions précédentes. Consultez régulièrement
Plus en détailFiche technique n 1 : le logement construction des boxes.
Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation
Plus en détailLes caramels mous, les pâtes de fruits, la guimauve, les bonbons de chocolat LES CARAMELS MOUS
LA CONFISERIE Les caramels mous, les pâtes de fruits, la guimauve, les bonbons de chocolat Préambule LES CARAMELS MOUS Du latin «cannamella» qui signifie «canne à sucre» Proprement dit, le caramel est
Plus en détailL hygiène alimentaire en EPHAD
L hygiène alimentaire en EPHAD Isabelle Parmentier 24 mai 2012 L hygiène alimentaire en EPHAD Isabelle Parmentier 24 mai 2012 Introduction (1/2) Le repas est un moment «fort»de la journée des personnes
Plus en détailCONTRAT D ACCUEIL. Parents Assistant(e)s Maternel(le)s. Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin
CONTRAT D ACCUEIL Parents Assistant(e)s Maternel(le)s Proposé par les Relais Assistantes Maternelles du Haut-Rhin Parents, assistant(e) maternel(le), L enfant est au cœur de vos préoccupations, la qualité
Plus en détailPour la création d une maison d assistants maternels
CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Mars 2011 CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Le Code de l Action Sociale et des Familles
Plus en détailVotre Prestataire. Nom : CRM. Activité : Elaboration de menus, fabrication, vente et livraison de repas pour. collectivités.
L esprit qualité De la gestion sur site aux repas livrés avec ou sans personnel, des repas quotidiens aux repas d affaires. CRM propose une large gamme de services. Concepteur, partenaire dans les projets
Plus en détailPériodiquement, nettoyer les surfaces de l unité pour les maintenir dans une condition sanitaire et ce, aussi souvent que nécessaire.
Périodiquement, nettoyer les surfaces de l unité pour les maintenir dans une condition sanitaire et ce, aussi souvent que nécessaire. Laver les surfaces à l aide d une solution d eau tiède et de savon,
Plus en détailQuestionnaire pour les enseignant(e)s
info@educatout123.fr www.educatout123.fr +31 614303399 L enfant qui bouge beaucoup! C est un fait, un enfant bouge beaucoup, il a besoin de se dépenser. Il arrive même parfois qu on n arrive plus à tenir
Plus en détailContrôlez vos PNEUS 1
Contrôlez vos PNEUS 1 1 SECURITE DES PNEUS La majorité d entre nous utilisons des voitures quotidiennement la plupart du temps sans prêter attention à une des choses les plus vitales: les pneus. Malheureusement,
Plus en détailBienvenue. à la salle polyvalente. Gustave Beignon à Thorigny!
Bienvenue à la salle polyvalente Gustave Beignon à Thorigny! Octobre 2014 MAIRIE DE THORIGNY 1, place de l église 85480 THORIGNY : 02.51.07.23.64. : 02.51.07.20.80. e-mail : mairie.thorigny@wanadoo.fr
Plus en détailLE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.
LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que
Plus en détailJour 1. Origines et évolution du marketing
Jour 1 Origines et évolution du marketing Origines et évolution du marketing Jour 1 Cette journée est consacrée à la présentation de la discipline au travers de trois sous-thèmes : l histoire du marketing,
Plus en détailMettre la puce à l oreille mais pas de poux! français. Guide anti-poux
Mettre la puce à l oreille mais pas de poux! Zone libérée des poux français Guide anti-poux Double efficacité: Elimine les poux Endommage la membrane chitineuse des lentes empêchant ainsi l éclosion de
Plus en détailAVIS 1 / 6. Afssa Saisine n 2008-SA-0319 Saisine liée n 2005-SA-0081. Maisons-Alfort, le 18 août 2009. Rappel de la saisine
Maisons-Alfort, le 18 août 2009 AVIS LA DIRECTRICE GÉNÉRALE ADJOINTE de l Agence française de sécurité sanitaire des aliments relatif à une demande d'avis relatif au guide de bonnes pratiques d'hygiène
Plus en détailutilisés en faveur d un relativisme culturel, allant à l encontre de l universalité des droits de l homme,
Documents de synthèse DS 2 20.12.09 IIEDH Observatoire de la diversité et des droits culturels Situation des droits culturels Argumentaire politique www.droitsculturels.org 1. Définition des droits culturels
Plus en détailL électricité intelligente, c est maintenant.
L électricité intelligente, c est maintenant. ONE Smart Control transforme comme par magie votre électricité en un réseau puissant et intelligent. Profitez dès maintenant d une plus grande polyvalence
Plus en détailICELAND ROVERS INCENTIVES À L ÉCOUTE DE VOS ENVIES
ICELAND ROVERS INCENTIVES À L ÉCOUTE DE VOS ENVIES INCENTIVES EN ISLANDE INCENTIVES Quand on pense incentives, la première idée est souvent le plaisir et l amusement. Mais une excursion incentive réussie,
Plus en détailBien régler la température de chauffage
Température de chauffage Baisser la température en cas absence Bien régler la température de chauffage Ne pas gêner la diffusion de chaleur Fermer les volets / rideaux la nuit De même, ne pas mettre de
Plus en détailProfitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter
CONSEILS AUX PARTICULIERS Bâtiment basse consommation Profitez au mieux de votre logement économe en énergie Ce qu il faut savoir et comment vous adapter Que vous apporte un bâtiment économe en énergie?
Plus en détailSi on parlait de culture
Si on parlait de culture «... les humains ne sont pas seulement eux-mêmes ; ils sont aussi le milieu où ils sont nés, le foyer dans la ville ou la ferme où ils ont appris à faire leurs premiers pas, les
Plus en détailUN PRODUIT MONDIALISÉ : LE CAFÉ
RÉVISIONS DES ÉPREUVES DU BACCALAURÉAT Géographie UN PRODUIT MONDIALISÉ : LE CAFÉ Le café est l un des biens les plus échangés dans le monde. Certains affirment qu il arrive juste après le pétrole, mais
Plus en détailRecommandations pour développer une communauté locale participative Recueil de bonnes pratiques Sens et Autonomie (France) CIGL Esch-Sur-Alzette, Kalendula (Luxembourg) CRIE d Anlier (Belgique) Le contenu
Plus en détailDéfauts dan les sachets souples état date stérilisables en autoclave nouveau 31/05/2002 Caractérisation et classification
chapitre page 7 Index CHAPITRE 7 CATÉGORIES DES DÉFAUTS 7.1 Abrasion 7.2 Cloque 7.3 Canal de fuite 7.4 Joint comprimé (ou séparation des couches dans la zone de scellage) 7.5 Joint contaminé 7.6 Joint
Plus en détailProduits pour hygiène en cuisine nettoyage de bâtiments détergents pour textiles
Produits vaisselle HalaGastro F11 Détergent pour lave-vaisselle avec chlore actif. Concentration d'utilisation: 0.3 0.5%, ph à 1.0%: 11.7 10600410-0002 10600410-0004 10600410-0007 Bidon 12 kg Bidon 25
Plus en détailGUIDE D INSTRUCTION. Montage Entretien
GUIDE D INSTRUCTION Montage Entretien INSTRUCTIONS PARTICULIÈRES Dès réception des marchandises, veuillez vérifier le bon état de l'emballage. Veuillez mentionner tout dégât éventuel de transport sur le
Plus en détailThème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise
Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise On ne peut concevoir l entreprise comme une entité isolée du milieu dans lequel elle agit. L entreprise
Plus en détailLIVRET DE FORMATION C. A. P. SERVICES HÔTELIERS
M i n i s t è r e d e l ' E d u c a t i o n N a t i o n a l e Certificat d'aptitude Professionnelle LIVRET DE FORMATION C. A. P. SERVICES HÔTELIERS Nom et prénom Années Scolaires Apprenant Etablissement
Plus en détail1 Organiser et gérer. son poste de travail
1 Organiser et gérer son poste de travail r é f é r e n t i e l Modes de contamination (contamination initiale) Hygiène du personnel Prévention des risques professionnels Situation Dès son arrivée dans
Plus en détailENTRETIEN DES SOLS VITRIFIÉS
ENTRETIEN DES SOLS VITRIFIÉS Le mortier de finition Ad Lucem est un revêtement poreux à base de ciment. Le vitrificateur professionnel Ad Lucem forme un film très résistant qui le protège des tâches, des
Plus en détailL hygiène en restauration
L hygiène en restauration Remise directe au consommateur Avertissement : les fiches présentées dans cette rubrique ont valeur de première information synthétique et ne tiennent pas compte des spécificités
Plus en détailFood & Allied GROUP. L éthique au sein du groupe Food & Allied
Food & Allied GROUP L éthique au sein du groupe Food & Allied QUI SOMMES-NOUS? Porté par un élan d entrepreneur et une volonté réelle de contribuer au développement du pays à la hauteur de ses moyens,
Plus en détailDemande de prestation de compensation du handicap. Évaluation de mes besoins Par Philaminte
Demande de prestation de compensation du handicap Évaluation de mes besoins Par Philaminte Sommaire Préparation...2 Éléments de réflexion, de description...2 Préquantification...4 Documents donnés lors
Plus en détailLe profil des acheteurs à distance et en ligne
Le profil des acheteurs à distance et en ligne Étude réalisée pour le compte de La FEVAD, La Poste, Reed Exhibitions, CCI Grand Lille 24 octobre 2012 Synthèse de l étude - 1 LES HABITUDES DE CONSOMMATION
Plus en détailProduits nettoyants. Détergents en poudre. Savons à mains DÉTERGENT EN POUDRE POUR LAVE-VAISSELLE
Détergents en poudre POUR LAVE-VAISSELLE POUR LA LESSIVE Code Colabor : 4289 4291 13394 18 kg Ce détergent en poudre à mousse contrôlée pour lave-vaisselle est recommandé pour les lave-vaisselle automatiques
Plus en détailRapport d hygiène pour le département du service d ambulance
Rapport d hygiène pour le département du service d ambulance Dans le cadre des exigences de qualité posées, l on aimerait savoir dans quelle mesure le nettoyage et la désinfection des ambulances suffisent
Plus en détailRÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE
RÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE Directives pour: Economes Cuistots Personnel auxiliaire cuisine Personnel auxiliaire d'entretien par Luk Wullaert Federaal Agentschap voor de Veiligheid van de Voedselketen
Plus en détailLes Francs-maçons et leur religion Publibook
Jacques Duchenne Les Francs-maçons et leur religion Publibook Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook : http://www.publibook.com Ce texte publié par les Éditions Publibook est protégé
Plus en détailDossier de Presse 5 juin 2008 20. L Oeuvre de Vauban à Besançon
Dossier de Presse 5 juin 2008 20 L Oeuvre de Vauban à Besançon Dossier de Presse 5 juin 2008 21 Besançon : des défenses façonnées par un méandre dominé > 21 27 La citadelle Historique La position stratégique
Plus en détailLA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES?
LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES? INTRODUCTION Depuis quelques années, un certain nombre d évolutions à la fois sociétales et professionnelles nous poussent,
Plus en détailFiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique)
1 Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) La programmation neurolinguistique (PNL) fournit des outils de développement personnel et d amélioration de l efficacité relationnelle dans
Plus en détail«Le peu, le très peu que l on peut faire, il faut le faire quand même» Théodore Monod. ECO GESTES AU QUOTIDIEN - Mercredi du Développement Durable
«Le peu, le très peu que l on peut faire, il faut le faire quand même» Théodore Monod «La terre n appartient pas à l homme, c est l homme qui appartient à la terre» Sitting Bull L habitat est le premier
Plus en détailWi-Fi Remote. Manuel de l utilisateur
Wi-Fi Remote Manuel de l utilisateur Wi-Fi Remote : Fonctionnalités Le Wi-Fi Remote est étanche jusqu à 10 pieds / 3 m. 2 1. Écran LCD 2. Écran DEL d état 3. Bouton d OBTURATEUR/SÉLECTION (SHUTTER/SELECT)
Plus en détailI. Définitions et exigences
I. Définitions et exigences Classes d indicateurs chimiques [1] Stérilisation : synthèse des normes ayant trait Exigences générales : Chaque indicateur doit porter un marquage clair mentionnant le type
Plus en détailPEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?
PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.
Plus en détailHÔTEL DE VILLE ALLÉES GASTON RODRIGUES BP 105 33173 GRADIGNAN CEDEX TÉL. : 05 56 75 65 26 FAX : 05 56 75 65 65
Préservez les ressources naturelles par des constructions écologiques n est qu une étape dans la protection de l environnement. Cela passe aussi par des gestes éco-citoyens au quotidien. Pour en savoir
Plus en détailFICHES DE REVISIONS LITTERATURE
Fiche n 1 : Les 4 types de texte Fiche n 2 : La situation d énonciation 1- Le texte narratif qui sert à raconter 2- Le texte descriptif qui sert à faire voir 3- Le texte explicatif qui sert à faire comprendre
Plus en détail@pplication Report. La Bibliothèque nationale - Biblioteka Naradowa, Varsovie, Pologne. La Bibliothèque nationale - Biblioteka Naradowa
La Bibliothèque nationale - Biblioteka Naradowa La tradition de la Bibliothèque nationale de Pologne remonte jusqu au début du 18 ème siècle. L histoire mouvementée et tragique des livres rassemblés dans
Plus en détailConseil général du Lot. Le Conseil général, plus proche de vous, plus solidaire.
Conseil général du Lot é t e r p o La pr chez l enfant s n a 6 à 0 de Le Conseil général, plus proche de vous, plus solidaire. La propreté, cela ne s apprend pas! Maman, je vais certainement te surprendre,
Plus en détailACAT-France. Et si la prison n était pas toujours la solution? SANCTIONNER AUTREMENT. Et si la prison n était pas toujours la solution?
ACAT-France. Et si la prison n était pas toujours la solution? SANCTIONNER AUTREMENT Et si la prison n était pas toujours la solution? ACAT-France. Et si la prison n était pas toujours la solution? ACAT-France.
Plus en détailDescription du système. Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle.
Description du système Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle. La vitesse de la pompe varie de façon à ce que la température de l eau qui reparte vers le poêle soit toujours de 60 C. Le débit
Plus en détailSiège élévateur de bain Minivator Rien de tel qu un bon bain!
Siège élévateur de bain Minivator Rien de tel qu un bon bain! Bliss Bonheur parfait, grand plaisir Dictionnaire Anglais Oxford Beaucoup de personnes rencontrent des difficultés en utilisant leur baignoire
Plus en détailT. BONNARDOT 17/12/2010
CYTHELIA Conseil & Expertise La Maison ZEN 350, route de la traverse 73 000 MONTAGNOLE Tel +33 (0) 4 79 25 31 75 www.cythelia.fr SARL au capital de 140 000 - RCS Chambéry B 393 290 937 - APE 7219 Z RT
Plus en détailSystème de Pulvérisation à Chaud AccuCoat : La Solution pour les Applications d Enrobage
Nozzles Control Analysis Fabrication Système de Pulvérisation à Chaud AccuCoat : La Solution pour les Applications d Enrobage Une Technologie de Pulvérisation Avancée Garantit un Contrôle Précis de la
Plus en détail