Bâtir une santé durable pour tous, une étiquette à la fois
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- Gustave Lecompte
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1 Consultation sur l étiquetage nutritionnel! Présenté à Santé Canada, août 2015!!! Bâtir une santé durable pour tous, une étiquette à la fois 1
2 AUTEURE Christelle Féthière, M. Sc. Chargée de projets, ASPQ SOUS LA DIRECTION DE Lucie Granger, Adm.A, ASC Directrice générale, ASPQ COLLABORATION Yves G. Jalbert, Ph.D. Spécialiste de contenu, ASPQ Jean Alexandre Responsable des communications et collecte de fonds, ASPQ Martine Gagnon Adjointe administrative, ASPQ Ce mémoire est produit par l Association pour la santé publique du Québec (ASPQ) Le genre masculin utilisé dans ce document désigne aussi bien les femmes que les hommes. ISBN : Tous droits réservés. La reproduction, par quelque procédé que ce soit, la traduction ou la diffusion de ce document sont interdites sans l autorisation préalable de l Association pour la santé publique du Québec. Cependant, la reproduction partielle ou complète de ce document à des fins personnelles et non commerciales est permise, à condition d en mentionner la source. Association pour la santé publique du Québec, 2015! 2
3 SOMMAIRE EXÉCUTIF! Par la présente, l Association pour la santé publique du Québec (ASPQ) appuie, commente et effectue de nouvelles propositions en ce qui concerne les recommandations de Santé Canada pour l étiquetage nutritionnel. L ASPQ regroupe citoyens et partenaires pour faire de la santé durable par la prévention une priorité. En sa qualité d association autonome, l ASPQ informe et mobilise en vue d adopter des politiques et des pratiques favorables à la santé durable par la prévention; elle parraine des coalitions qui mènent des actions concertées ayant un impact significatif sur des enjeux de santé publique au Québec; elle fonde toutes ses interventions sur les meilleures pratiques et des connaissances scientifiques. La vision de l ASPQ s inscrit dans une santé durable pour tous. La santé durable est un état favorisant le développement maximal du potentiel des individus qui est atteint et maintenu tout au long de la vie grâce à des conditions de vie saines, enrichissantes et épanouissantes et grâce à l accès à des ressources appropriées, de qualité, utilisées de façon responsable et efficiente et à la création d environnements favorables à la santé i. L ASPQ s intéresse aux enjeux de santé publique tels que l alimentation des tout-petits, les boissons énergisantes, ainsi que l alcool. Les travaux que nous avons effectués durant les deux dernières années nous permettent d appuyer diverses positions en ce qui concerne l étiquetage nutritionnel. Constats généraux : La réduction de la consommation de sucre, de sel et de gras trans est l une des stratégies de santé durable qui présente le meilleur rapport coûts/bénéfices pour prévenir la propagation des maladies chroniques évitables. Le goût et les habitudes alimentaires se développent pendant l enfance. Les Canadiens sont plus conscients des effets néfastes du sucre, du sel et des gras trans sur leur santé. Le Guide alimentaire canadien stipule qu il faut limiter la consommation d aliments et de boissons riches en calories, en lipides, en sucres ou en sel. 3
4 TABLE DES MATIÈRES LES ALIMENTS POUR BÉBÉS... 5 Sucre... 6 Gras trans... 7 Sel... 8 LA LITTÉRATIE EN SANTÉ... 9 Les logos «santé» Le sucre ajouté La valeur quotidienne LES GRANDS OUBLIÉS Les boissons énergisantes L alcool CONCLUSION RÉFÉRENCES
5 LES ALIMENTS POUR BÉBÉS L Organisation mondiale de la Santé (OMS) définit le surpoids et l obésité comme étant «une accumulation anormale ou excessive de graisse qui présente un risque pour la santé» ii. L obésité est une pandémie et est liée au diabète, à l hypertension, aux maladies cardiovasculaires et à certains cancers. En 2008, 37% des Canadiens adultes affichaient un excès de poids et 25 % étaient obèses. On constate une augmentation des taux d obésité avec le temps. L obésité n épargne pas les jeunes. En 2011, les données relatives à l indice de masse corporelle montrent que chez les ans, 24% des garc ons avaient un excès de poids ou étaient obèses, comparativement à 17% des filles iii. D après la plus récente version du Fardeau économique de la maladie au Canada, le coût total de la maladie avait atteint 202 milliards de dollars en 2000 (en fonction de la valeur du dollar en 2005) iv. Dans une analyse récente, le coût total de l obésité a été estimé à 4,3 milliards de dollars (en fonction de la valeur du dollar en 2005), soit 1,8 milliard de dollars en coûts directs de soins de santé et 2,5 milliards de dollars en coûts indirects. Il s agirait d une sous-estimation du coût économique global associé à l excès de poids au Canada, car ce montant n inclut pas les coûts reliés aux personnes qui ont un excédent de poids, mais qui ne sont pas obèses. De plus, il n inclut que les coûts de l obésité chez les adultes et les coûts associés à huit maladies chroniques i. Plusieurs études ont montré que l obésité à l adolescence ou même à l âge adulte peut être reliée à un gain de poids rapide à l enfance ou à des mauvaises habitudes alimentaires durant la petite enfance. La prévalence croissante du surpoids et de l obésité chez les enfants représente un enjeu majeur de santé publique. Les enfants qui présentent un excès pondéral sont plus à risque de demeurer obèses à l âge adulte et plus susceptibles de développer des maladies chroniques telles que le diabète ou les maladies cardiovasculaires. Le parcours de vie joue donc un rôle primordial dans la prévention de l obésité et des maladies chroniques évitables. Dans une optique de prévention des maladies chroniques évitables dès la petite enfance, l ASPQ a développé un projet nommé «Toute petite enfance, alimentation, obésité et diabète de type II chez les tout-petits de 6 à 24 mois», ayant pour but de documenter l offre alimentaire québécoise destinée aux tout-petits, et les habitudes d achat des parents d enfants âgés de 6 à 24 mois. Effectué en , ce projet a permis de générer de nouvelles connaissances sur l alimentation des tout-petits au Québec v. 5
6 Sucre Nous appuyons entièrement l initiative de regrouper les sucres dans la liste des ingrédients L ASPQ a effectué une analyse nutritionnelle des produits destinés aux tout-petits sur le marché québécois. Les résultats de cette analyse montrent que 93% des collations destinées aux tout-petits contiennent des sucres ajoutés, et que plus du quart des produits contiennent des sucres ajoutés parmi les trois premiers ingrédients sur la liste. Nous le savons, le terme «sucre» porte différents noms (mélasse, sirop de maïs, miel, sirop d érable, canne à sucre, concentré de jus de fruits, etc.). Les citoyens ne connaissent pas nécessairement les différentes appellations que peut porter le sucre. Les regrouper sous le chapeau «sucre» contribue ainsi non seulement à augmenter la connaissance, mais aussi à démystifier la tactique des noms du sucre à l allure santé, fréquente dans les produits biologiques et les produits pour bébés. Ainsi, Nos recommandations: Regrouper les sucres dans la liste d ingrédients Séparer les sucres naturels des sucres ajoutés dans le tableau de valeur nutritive l ASPQ supporte entièrement le regroupement des sucres dans la liste d ingrédients. L OMS (2015) recommande de ramener l apport en sucres libres à moins de 10% de la ration énergétique totale chez l adulte et l enfant. Selon l OMS, il serait encore meilleur pour la santé de réduire l apport en sucre à moins de 5% de la ration énergétique totale (25 grammes ou 6 cuillères à café environ par jour). 6
7 Gras trans Nous recommandons d afficher les gras trans dans le tableau de valeur nutritionnelle des aliments destinés aux tout-petits Nos recommandations: Obliger l affichage des gras trans sur les aliments destinés aux enfants âgés de moins de deux ans, afin de permettre aux citoyens parents de faire des choix éclairés Notre analyse nutritionnelle a permis de voir que l étiquetage des produits destinés exclusivement aux enfants de moins de deux ans ne permet actuellement pas de recenser les gras saturés et les gras trans, puisque cette information nutritionnelle est facultative vi. Parmi les 95 produits recensés, seuls sept d entre eux font mention du contenu en gras saturés et en gras trans. Il est donc impossible de faire une analyse de la qualité nutritionnelle des produits en fonction de leur contenu en lipides. La mention obligatoire des gras saturés et des gras trans pour les produits destinés aux enfants de moins de deux ans doit être obligatoire afin de permettre aux parents de faire des choix éclairés. L OMS interdit les gras trans dans la préparation de denrées alimentaires.!!!!! 7
8 Sel! La majorité du sel consommé au Canada provient principalement des produits alimentaires transformés. La consommation des Canadiens s établit, en moyenne, de 3,5 grammes à 4 grammes de sel par jour. La consommation quotidienne d une quantité excessive de sel est nocive pour la santé, car elle peut favoriser le développement d une hypertension artérielle et de complications cardiovasculaires et rénales. Chez les enfants, l absorption excessive de sel provoque les mêmes complications que chez les adultes (surcharge pondérale et.tension artérielle élevée). L OMS recommande une consommation quotidienne de sel chez les adultes inférieure à mg (2 grammes de sel). L ASPQ adhère à cette recommandation. Établir une législation et une réglementation nationales en faveur de la baisse du sodium à des niveaux acceptables dans les aliments industriels Faire une mise en garde pour les aliments à forte teneur en sodium 8
9 LA LITTÉRATIE EN SANTÉ Selon l Association canadienne de santé publique (ACSP), la littératie en santé se définit comme : «l ensemble des compétences qui permettent l accès, la compréhension et l utilisation d information favorisant une meilleure santé, comme faire des choix de vie sains, trouver et comprendre des renseignements sur la santé et la sécurité et obtenir des services de santé adéquats» vii. En somme, la littératie c est la capacité d analyser des problèmes, de comprendre des idées ou des termes généraux, d utiliser des symboles dans des contextes complexes et d appliquer des théories. Également, celle-ci est associée au fait de maîtriser d autres compétences essentielles à la vie quotidienne, comme la capacité d une personne à s engager dans la vie sociale et économique de sa communauté. Plusieurs études montrent que la culture, la classe sociale, le sexe, l appartenance ethnique et la région ont une influence importante sur le niveau de littératie viii. Ainsi, afin de faire des choix éclairés, la population québécoise doit avoir accès à de l information adaptée à tous les niveaux de compréhension, d où l importance de tenir en compte la littératie en santé dans l élaboration des étiquettes nutritionnelles. 9
10 Les logos «santé» Nous demandons un meilleur contrôle des mentions «santé» dans le marketing alimentaire!! Nous considérons que les emballages ayant une mention «santé» portent à confusion et devraient être assujettis à une réglementation concernant leur mise en place ou les critères nutritionnels des produits. Nous avons analysé le marketing des 95 produits recensés dans notre projet Alimentation tout-petits ix. Parmi les stratégies de marketing étudiées, nous remarquons la présence importante d allégations sur les emballages de produits alimentaires. L allégation joue un rôle important dans la prise de décisions d achat des consommateurs. Les parents affirment s y référer exclusivement lorsqu ils sont pressés. Dans notre étude, 96% des produits présentent des emballages affichant au moins un élément d information qui vante les qualités nutritives du produit. Parmi les produits recensés, on retrouve de 2 à 9 allégations par emballage. Notons que notre analyse nutritionnelle a montré que deux produits présentant l allégation «excellente source de fer» contenaient un apport insuffisant en fer, selon les recommandations du Gouvernement du Canada x. Ainsi, il y a lieu de soulever l intérêt d un encadrement plus serré des allégations nutritionnelles, de santé et générales telles que définies par Santé Canada. Ces mentions Nos recommandations: Limiter à 2 le nombre d allégations nutritionnelles pouvant figurer sur un même produit Réglementer la taille des allégations sur l emballage du produit détournent l attention des informations nutritionnelles pertinentes. La présence de logos «privés» sur les emballages alimentaires devrait être encadrée par un tiers indépendant.!!!!! 10
11 Le sucre ajouté Nous demandons de mieux définir les critères pour l allégation «sans sucre ajouté» Parmi les aliments recensés dans notre étude, plusieurs portaient la mention «sans sucre ajouté», pourtant nous pouvions détecter la présence de sucres ajoutés dans la liste d ingrédients affichée. Quant à sa composition, voici les critères auxquels un aliment doit répondre pour porter la mention «non additionné de sucres» tels que définis par l Agence canadienne d inspection des aliments xi : 1. l'aliment ne contient aucun sucre ajouté, aucun ingrédient additionné de sucres a, ni aucun ingrédient contenant des sucres ayant un pouvoir édulcorant b. 2. pas d'augmentation délibérée de la teneur en sucres par d'autres moyens; l'augmentation doit toutefois résulter d'un traitement effectué à d'autres fins; et 3. l'aliment de référence similaire contient des sucres ajoutés. a. Le terme «sucres» signifie tous les mono et disaccharides, ce qui inclut le sucrose, le fructose, le glucose, le glucose-fructose, le maltose, etc. b. Ingrédients, comme les agents édulcorants, la mélasse, le jus de fruits, le miel et le sirop d'érable, donnant un goût sucré aux aliments et qui peuvent aussi avoir d'autres propriétés similaires à celles du sucre comme épaissir, texturer ou brunir (réaction de Maillard), etc. Nos recommandations: Mieux définir ce que sont les sucres ajoutés Sanctionner les fausses allégations «sans sucres ajoutés». 11
12 La valeur quotidienne Le pourcentage de valeur quotidienne fournit un aperçu rapide du profil nutritionnel d un aliment. Santé Canada recommande d interpréter ces valeurs tel qu illustrées sur le schéma ci-avant. Pour éviter la confusion chez les consommateurs liée à l interprétation et la compréhension des valeurs quotidiennes associées au sucre, au sel et au gras trans, nous proposons les symboles utilisant un pouce en l air et un pouce en bas. Nos recommandations: Afficher le logo de santé Canada indiquant que 5% = peu et 15% = beaucoup Apposer un symbole de pouces pour le sucre, le sel, et le gras, permettant au citoyen de mieux interpréter et comprendre la valeur quotidienne indiquée Voici un exemple : 12
13 LES GRANDS OUBLIÉS Les boissons énergisantes Nous recommandons une prise en compte plus importante du sucre dans les recommandations pour ces boissons Selon Santé Canada, «la consommation quotidienne par la population adulte en général de deux portions d'une boisson énergisante typique serait sans danger et n'aurait donc pas de conséquences en matière de santé». L ASPQ constate que cette recommandation sert malheureusement de discours positif pour l industrie. Il ne suffit pas d établir une recommandation basée sur le contenu en caféine, mais également sur le contenu en sucre. Consommer deux boissons énergisantes par jour peut équivaloir à plus de 14 cuillères à café de sucre. Or, notons que l OMS recommande de réduire l apport en sucres à environ 6 cuillères à café par jour, pour assurer la prévention de maladies chroniques évitables telles que le diabète de type 2, les maladies cardiovasculaires, etc. Afin que le citoyen fasse un choix éclairé devant l offre des boissons énergisantes, il est important d indiquer les risques associés aux taux de sucre élevés présents dans ces boissons et aux taux de caféine. Nos recommandations: Émettre un avertissement sur les boissons énergisantes en ce qui concerne le taux élevé de sucre, afin de permettre le choix éclairé des citoyens 13
14 L alcool Étiquetage des boissons alcoolisées Dans la lutte contre l obésité et les maladies chroniques évitables, il serait primordial de favoriser l affichage des calories ainsi que du sucre dans les boissons alcoolisées. Les boissons alcoolisées sont obtenues soit par fermentation des sucres naturels de jus de fruits ou de céréales, soit par distillation de ces mêmes boissons fermentées. Les liqueurs, le vin et la bière contiennent donc Nos recommandations: Envisager l affichage des sucres et des calories sur les boissons alcoolisées afin de permettre au citoyen de faire des choix éclairés des taux de sucre et des calories considérables. L alcool fait chuter le sucre sanguin, et certaines boissons alcoolisées font grimper la glycémie. Indépendamment de l apport en hydrates de carbone, les boissons alcoolisées font grossir. Notons qu 1 gramme d alcool renferme 7 calories. Or, 5 grammes de sucre contiennent 4 calories. Un vin à 12 contient 96 g d'alcool pur par litre, soit 972 calories, incluant le sucre, par jour pour les personnes qui boivent deux à trois verres de vin à chaque repas, par exemple. À la lumière de ceci, il serait bénéfique pour le citoyen d être plus conscient des taux de sucre ainsi que les calories présentes dans les boissons alcoolisées. L alcool n est pas seulement lié à des problèmes de dépendance ou à des traumatismes, il est également un facteur de risque pour l obésité. Sa consommation fréquente et excessive augmente les risques de contracter des maladies chroniques évitables. 14
15 CONCLUSION Pour faire suite aux travaux menés à l ASPQ, nous constatons que la prévention de la consommation de sucre, de sel et de gras est une stratégie cruciale dans la lutte contre les maladies chroniques évitables. Cette prévention doit se faire dès la naissance, car le parcours de vie joue un rôle considérable dans l atteinte et la préservation d une santé durable. En plus des stratégies de sensibilisation, les acteurs en santé publique se doivent d agir sur l environnement de l offre alimentaire. Les étiquettes nutritionnelles constituent un élément clé parmi les facteurs environnementaux sur lesquels il faut agir. À la lumière de ces constats, l ASPQ émet des recommandations qui permettront à Santé Canada de poursuivre la réflexion et d initier des actions pour l amélioration de l étiquetage nutritionnel.! Regrouper les sucres dans la liste d ingrédients! Séparer les sucres naturels des sucres ajoutés dans le tableau de valeur nutritive! Obliger l affichage des gras trans sur les aliments destinés aux enfants âgées de moins de deux ans, afin de permettre aux citoyens (parents) de faire des choix éclairés.! Établir une législation et une réglementation nationales en faveur de la baisse du sodium à des niveaux acceptables dans les aliments industriels.! Limiter le nombre d allégations nutritionnelles pouvant figurer sur un même produit! Réglementer la taille des allégations sur l emballage du produit! Mieux définir ce que sont les sucres ajoutés! Sanctionner les fausses allégations «sans sucres ajoutés»! Afficher le logo de santé Canada indiquant que 5% = peu et 15% = beaucoup! Apposer un symbole de pouces pour le sucre, le sel, et le gras, permettant au citoyen de mieux interpréter la valeur quotidienne indiquée! Émettre un avertissement sur les boissons énergisantes en ce qui concerne le taux élevé de sucre, afin de permettre un choix éclairé des citoyens! Envisager l affichage des sucres et des calories sur les boissons alcoolisées afin de permettre au citoyen de faire des choix éclairés. 15
16 RÉFÉRENCES i Inspirée de la définition de la santé durable produite par l Alliance santé Québec Le réseau de recherche innovant ( ii Organisation mondiale de la Sante. (2014). «Obésité et surpoids.» from iii Emploi et Développement social Canada. (2014). «Indicateurs de mieux-e tre au Canada Santé et obésité.» disponible au iv Agence de la santé publique du Canada, Obésité au Canada Aperc u, 2012, disponible au index-fra.php v Painchaud-Guérard G. (2014). «L offre alimentaire destinée aux tout-petits : une analyse nutritionnelle des produits sur le marché québécois». Association pour la santé publique du Québec, 28p. vi GOUVERNEMENT DU CANADA. (2014a). Aliments destineś exclusivement aux enfants aĝeś de moins de deux ans. Internet : aliments-pour-l-industrie/etiquetagenutritionnel/aliments-specifiques/ fra/ / ?chap=1, Accès le 5 novembre vii Conseil canadien sur l apprentissage. (2008). La littératie en santé au Canada : Une question de bien-être. Ottawa. viii Conseil Canadien sur l'apprentissage (CCA). (2012). Qu'est-ce que la littéracie et comment se mesure-t-elle?, from ix Gagnon S. Le marketing derrière les aliments pour bébés: une analyse des produits sur le marché québécois Association pour la santé publique du Québec. 15p. x SANTE CANADA. (2014c). Modifications proposeés de Sante Canada aux principaux nutriments dećlareś dans le tableau canadien de la valeur nutritive. Bureau des sciences de la nutrition, Direction des aliments, Direction geńeŕale des produits de sante et des aliments. xi Agence canadienne d inspection des aliments, Critères de l'allégation relative à la teneur nutritive non additionnée de sucres, disponible sur : consulté le 20 août
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