Comportement des vérins équilibreurs automobiles en cas de feu de véhicule. au Fort de la Briche, Saint-Denis (93)
|
|
- Norbert Sénéchal
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PÔLE DES MESURES PHYSIQUES ET SCIENCES DE L INCENDIE SECTION INGÉNIERIE DU FEU Comportement des vérins équilibreurs automobiles en cas de feu de véhicule Essais réalisés les jeudi 25 et vendredi 26 juin 2015 au Fort de la Briche, Saint-Denis (93) Rédigé le 23/07/2015 par : Validé le 23/07/2015 par : Approuvé le 27/07/15 par : Le Responsable Technique Mathieu SUZANNE Le Chef de Section IDF Aurélien THIRY Le Chef du Pôle MPI Hervé BAZIN Ce document est la propriété intellectuelle du Laboratoire central de la Préfecture de Police. Il peut être utilisé, reproduit, à la condition que les informations ne soient pas altérées, que leur sens ne soit pas dénaturé et que leurs sources et la date de leur dernière mise à jour soient mentionnées.
2 2/26 Sommaire 1 Introduction 3 2 Objectifs 3 3 Site et dispositif expérimental 3 4 Conditions d essai, aménagement et foyer Banc d essai Conditions de ventilation Foyers Les essais Mesures Surveillance et enregistrement vidéo de l essai Poste de mesure Critère de réalisation des essais 7 5 Résultats 7 6 Synthèse 14 7 Annexes 15
3 1 3/26 Introduction Les véhicules comportent des équipements sous pression tels que les amortisseurs de suspension ou les vérins équilibreurs de capot ou de hayon de coffre. Lors d incendie de véhicule, ces équipements voient leur température et leur pression interne augmenter jusqu à provoquer leur endommagement voire leur projection. Les sapeurs pompiers ont recensé plusieurs accidents imputables à la projection d éléments métalliques constitutifs des vérins équilibreurs. Le constructeur RENAULT, alerté de ces incidents, a proposé dans le cadre de son projet de sécurité tertiaire de mener une étude en partenariat avec le LCPP pour évaluer le comportement de ces équipements. Le matériel testé a été fabriqué par un constructeur de vérin, STABILUS. 2 Objectifs Le but de cette campagne d essai était d obtenir des données sur le comportement de vérins équilibreurs équipant des véhicules Renault soumis à une flamme afin de mesurer : l augmentation de pression exercée par le vérin sur les supports du véhicule ; la température et la pression supportées par les systèmes de fixation des vérins. Ces essais ont permis d évaluer le risque lié à la destruction de ces équipements et de proposer des solutions éventuelles pour parer ce risque. Le risque de projection par effet missile a imposé de réaliser les essais dans un environnement protégé, en l occurrence un caisson de transport maritime. La surveillance du déroulement de l essai a été assurée par la mise en place de caméras visualisant le foyer, le vérin et le dispositif expérimental placé à l intérieur du caisson. 3 Site et dispositif expérimental Les essais ont été réalisés sur le site du Laboratoire central situé au Fort de la Briche à SaintDenis (93). Le dispositif expérimental était implanté dans un caisson de transport maritime de 20 pieds. 4 Conditions d essai, aménagement et foyer 4.1 Banc d essai Un banc d essai a été conçu par le LCPP et RENAULT et fabriqué par un sous-traitant. Ce banc a permis des tests sur différentes longueurs de vérin ; il comporte des platines de fixation différentes suivant la nature du test à effectuer.
4 4/26 Photo 1: vue du banc d'essai coté jauge de force. Photo 2: vue du banc d'essai coté fixation du vérin Le vérin à tester était placé entre les deux supports des platines ajustables en espacement par des tiges filetées. Deux boulons munis de poignées permettaient, manuellement, d ajuster la longueur entre platines. La symétrie du vissage, garantissant le bon positionnement du vérin dans l axe des fixations, était vérifiée. La hauteur du banc était réglable par les tiges verticales de chaque platine, permettant de s'assurer du positionnement du vérin dans la flamme. Cette hauteur a également dû intégrer la nécessité de maintenir le vérin en position oblique, joint d étanchéité vers le bas pour garantir la présence d huile de friction en partie basse du corps du vérin. Photo 3: détails de fixation de vérin. Photo 4: détails de fixation de jauge de force
5 5/26 Les deux modes de fixation du vérin étaient les suivants : de manière rigide en dévissant préalablement les rotules femelles vissées en bout de vérin (mode dit «rigide») ; sur la rotule de fixation normale installée dans les véhicules (mode dit «rotule»). Le point de fixation était en avant de la platine, dans l espace touché par les flammes du bac à combustible, afin d'exposer la rotule à une sollicitation thermique. Photo 5: deux types de platines de fixation : rigide ou à rotule. 4.2 Photo 6: vérin monté avec rotule et jauge de force dans le caisson d'essai. Conditions de ventilation Les deux portes du caisson ont été maintenues ouvertes et rabattues latéralement sur l ensemble de l essai afin de permettre une ventilation libre du foyer. 4.3 Foyers Le combustible utilisé était de l heptane. Les quantités utilisées ont été prévues pour obtenir des feux de vingt minutes. Les bacs ont été choisis en fonction de la longueur des vérins à tester (longs, moyens et courts). Ils ont été directement posés sur le sol du caisson. L allumage a été assuré à l aide d une torche enflammée.
6 4.4 6/26 Les essais Les deux types de platine de fixation ainsi que la jauge de force ont permis de tester les vérins dans différentes configurations ; elles sont récapitulées dans le tableau ci-dessous : Nom d essai Mode de fixation Longueur du vérin Tarage du vérin (haut/bas) État du vérin Taille de bac S1E1 jauge/rigide moyen 533 N comprimé moyen S1E2 jauge/rigide moyen 700 N comprimé moyen S1E3 jauge/rigide moyen 690 N comprimé moyen S2E1 rotule/jauge moyen 700 N comprimé moyen S2E2 rotule/jauge moyen 700 N comprimé moyen S2EX rotule/rotule moyen 700 N comprimé petit SA rigide/rigide moyen 690 N détendu petit SB rotule/rotule long 610 N comprimé long SC rotule/rotule court 360 N comprimé petit SD rotule/jauge long 610 N comprimé long SE rigide/rigide long 610 N comprimé petit Le banc d essai était implanté en fond de caisson (voir illustration 1) afin d éviter que le foyer ne soit trop perturbé par des mouvements aérauliques et que le vérin ne soit pas propulsé hors du local d essai en cas de phénomène violent. Banc d essai Illustration 1: implantation du banc d essai dans le caisson (zone bleue). 4.5 Mesures Les mesures portaient sur la pression exercée sur les fixations du vérin et la température de flamme appliquée.
7 7/ Pression Sur certains essais, une jauge de force (500 dan maximum) fournie par RENAULT était implantée en extrémité de montage du vérin. En cas d installation de la jauge, un écran thermique était nécessaire pour la protéger du rayonnement thermique produit par la flamme du foyer. La jauge était raccordée au système d acquisition de données du LCPP pour une fréquence de mesure d 1 Hz Températures Deux thermocouples étaient implantés sur le vérin pour mesurer la température de la flamme. Le premier thermocouple (nommé TC-P1 avant par la suite) était fixé sur la partie basse du corps du vérin (coté joint) alors que le second (TC-P2 arrière) était positionné sur la partie haute du corps. 4.6 Surveillance et enregistrement vidéo de l essai Deux caméras étaient disposées afin de filmer le comportement du vérin. Elles permettaient d observer le montage complet, la zone du foyer et la fixation du vérin en fonction du support utilisé (rigide ou rotule). Ce dispositif d enregistrement a été ponctuellement complété par une webcam et/ou une camera de type GoPro. 4.7 Appareil Position CCD 1 Placée à l intérieur du local. Filme le montage complet CCD 2 Fixée sur un trépied. Filme le foyer et le support du vérin Poste de mesure Le poste de mesure a été aménagé dans le local prévu à cet effet au rez-de-chaussée du bâtiment R+1. Le Boîtier Acquisition Énergie (BAE) était installé dans l «aire matériels» en entrée de caisson, permettant l acquisition du signal provenant des thermocouples et de la jauge de force. 4.8 Critère de réalisation des essais Aucune condition externe n était susceptible de différer la tenue des essais. Si, à l issue de la période de chauffe de vingt minutes, la pression mesurée en bout de vérin restait supérieure à la valeur initiale de début d essai, une période de vingt minutes de refroidissement était préconisée avant un démontage du dispositif expérimental et un changement de vérin. 5 Résultats Lors de l analyse des résultats, il est supposé que le comportement des vérins lors des essais n est que peu dépendant de leur taille (court, moyen, long), de leur tarage (de 533 N à 700 N) et de la présence d une rainure permettant de freiner le mouvement de la tige du vérin en fin de course.
8 8/26 Un récapitulatif des observations et mesures réalisées est donné dans le tableau1 ci-dessous : Nom d essai Temps rupture (s) S1E1 Température de rupture (ºC) TC-P1 TC-P2 ΔF à la rupture (dan) Éclatement du corps du vérin Vérin propulsé hors des fixations rigides S1E Joint d étanchéité cède Vérin reste en position sur le banc S1E Éclatement du corps du vérin Vérin propulsé hors des fixations rigides S2E Rotule du vérin cède Vérin propulsé hors des fixations rigides 80 Éclatement du corps du vérin Projection de l ensemble du vérin Pas de rupture apparente du joint d étanchéité S2E Observations S2EX Rotule basse cède et le vérin se détend Rotule haute cède et le vérin se pose sur le bac d heptane Joint d étanchéité cède Pas de projection SA Sollicitation du joint d étanchéité uniquement Joint d étanchéité cède Vérin reste en position sur le banc 265 Projection du corps du vérin Fort impact dans paroi Tige reste en position sur le banc Projection du corps du vérin Rotule reste en position sur le banc Pas de rupture du joint SB SC SD SE Rotule du vérin cède Projection de l ensemble du vérin Pas de rupture apparente du joint d étanchéité Sollicitation du joint d étanchéité uniquement Joint cède et libère le gaz qu il contient Vérin reste en position sur le banc Afin de faciliter l analyse des résultats, les essais sont classés en différentes familles. La première rassemble l ensemble des essais pour lesquels aucune des deux fixations du vérin n est réalisée à l aide d une rotule mais avec des supports rigides. Cette première famille rassemble ainsi les essais S1E1, S1E2 et S1E3 lors desquels les vérins étaient comprimés en début d essai. Elle permet de ne s intéresser qu au comportement du vérin lorsque l ensemble de l élément (corps plus tige mobile) est soumis à la flamme. Au sein de cette première famille, deux comportements ressortent : 1 Les cases grisées indiquent que la configuration d essai utilisée ne permettait pas l implantation de la jauge de force.
9 9/26 les essais S1E1 et S1E3 pour lesquels le corps du vérin éclate, ce qui a pour conséquence de projeter le vérin (corps + tige) hors des platines de fixation (voir les photos 8 et 9) ; l essai S1E2 lors duquel le joint d étanchéité cède, n entraînant pas de projection du vérin hors du banc d essai (voir la photo 7). La conclusion obtenue grâce à cette première famille d essais est que, lorsque le joint d étanchéité cède avant l éclatement du corps du vérin sous pression, aucune projection d élément constitutif du vérin n est observée. L éclatement du corps lors de l essai S1E1 a eu lieu 66 secondes après l allumage. Les températures mesurées lors de l éclatement sont par conséquent très inférieures (maximum de 275 ºC) à celles obtenues lors des deux autres essais (maximum de l ordre de 500 ºC). La rupture du corps des vérins est obtenue pour deux augmentations de force très différentes : 78 dan pour S1E1 et 165 dan pour S1E3. Il est possible que la différence de comportement provienne de la différence de tarage entre les deux vérins (respectivement 533 N et 690 N). Pour l'essai S1E2, le joint cède lorsque l augmentation de force est de l ordre de 190 dan. Aucune généralisation des mesures à un comportement du vérin (rupture du joint, éclatement du corps ) ne semble possible avec les mesures effectuées sur les essais S1E1, S1E2 et S1E3. Photo 7: vérin resté en position lors de l'essai après la rupture du joint d étanchéité (S1E2). Photo 8: éclatement du corps du vérin (S1E3). Photo 9: comparaison de vérins moyens avant et après essai (S1E1).
10 10/26 La seconde famille rassemble les essais S2E1, S2E2 et SD. Ce sont les configurations pour lesquelles le vérin était fixé en son extrémité haute par une rotule alors que la jauge de pression mesurait l augmentation de poussée générée par le vérin sur le banc en partie basse. Au sein de cette seconde famille, deux comportements ont été identifiés : pour l essai S2E2, le corps du vérin a éclaté avant que la rotule ne cède. Par conséquent, ce comportement est assimilé à ceux observés avec la première famille, lorsque aucun support rotule n était utilisé (voir paragraphes précédents). Photo 10: vérin projeté dans le mur suite à l échappement de son corps lors de l'essai S2E2. Photo 11: éclatement du corps du vérin lors de l'essai S2E2. pour les essais S2E1 et SD, la rotule située en partie haute du vérin a cédé ; le vérin n étant alors plus retenu (support jauge de force implanté en partie basse), il s est détendu et a été projeté hors du banc d essai par «effet détente». Un examen visuel des deux vérins en fin d essai laisse penser que leurs joints d étanchéité étaient toujours fonctionnels. Le temps auquel les projections de vérin se sont produits (par «effet détente» ou lors de la rupture du corps) est de 104 ± 7 s pour une poussée de 77 ± 2,5 dan sur la jauge de force. Les températures maximales mesurées lors de la rupture de la rotule étaient de 255 et 295 C côté opposé à la jauge de force et de 375 C lors de l éclatement du corps.
11 Photo 12: rotule endommagée par la sollicitation thermique et l'impact dans la cloison (essai SD) 11/26 Photo 13: joint d étanchéité semblant intègre suite à l'essai SD. Photo 14: l ensemble du vérin a été projeté dans la Photo 15: l ensemble du vérin a été projeté dans la paroi (essai SD). paroi (essai SD) Il apparaît en conclusion que, si la liaison rotule cède alors que le vérin est toujours comprimé, le système peut être projeté assez violemment hors du banc d essai s il n est pas retenu par une autre rotule ; la projection sera d autant plus violente que la chauffe préalable de l équipement sera importante. La troisième famille rassemble les essais S2EX, SB et SC pour lesquels deux platines de type rotule étaient utilisées pour implanter le vérin sur le banc d essai. Pour ces trois essais, la faiblesse de l une des rotules (voire les deux) a été observée avant qu une rupture du joint d étanchéité ou du corps du vérin ne soit obtenue. Dans cette configuration d essai, la faiblesse de la rotule a entraîné trois comportements distincts : dans le premier cas, l essai S2EX, la rotule côté tige a cédé ce qui a entraîné la détente de cette tige qui s est posé sur un bord du bac d heptane. Le vérin ainsi que la seconde rotule étaient toujours exposés à la flamme. Lorsque cette seconde rotule a cédé à son tour, le vérin, qui n était plus comprimé, s est posé sur le banc disposé quelques centimètres en dessous. La nouvelle configuration d essai correspondait alors à un vérin détendu, directement sollicité par des
12 12/26 flammes. Sous l effet de la chaleur, le joint d étanchéité a cédé ; le gaz et l huile s échappant en direction du bac d heptane ont créé une boule de feu, mais ce phénomène n a pas eu pour conséquence de projeter le vérin. Les conclusions tirées de cet essai se rapprochent de celles obtenues sur l essai S1E2. Photo 16: les deux rotules du vérin, toujours en position sur les supports après l'essai S2EX. Dans les deux autres cas de cette troisième famille, SB et SC, c est la rotule haute, côté corps du vérin, qui a cédé en premier. Le déroulement de ces essais est identique aux configurations S2E1 et SD présentés précédemment, à l exception près que le côté tige du vérin était maintenu par une rotule et non pas seulement inséré dans un support rigide. Dans le cas de l essai SC, la rotule côté tige a cédé lors de la détente du vérin, ayant pour conséquence de projeter hors du banc d essai l ensemble «corps du vérin et tige». Des conclusions identiques aux essais S2E1 et SD sont par conséquent obtenues pour cette configuration avec une projection par «effet détente» du système étudié. Photo 18: vérin après l'essai SC - la rotule côté corps du vérin est endommagé, le joint d'étanchéité semble toujours fonctionnel et la rotule côté tige est restée fixée sur le banc. Photo 17: projection du vérin par «effet détente» prise de vue au moment de l'impact avec la paroi (essai SC). Pour le test SB, la rotule côté tige est restée en position au moment de la détente et la tige s est désolidarisée du corps du vérin. La projection par «effet détente» s est alors conjuguée à un «effet missile» avec l échappement du gaz sous pression contenu dans le corps ainsi que l inflammation de
13 13/26 l huile qu il contenait (voir photo 19). L énergie cinétique du vérin au moment de la projection lors de cet essai SB était supérieure à celle de l ensemble des autres essais ; cela peut être constaté par l impact laissé par le vérin sur la tôle du caisson dans lequel les essais ont été réalisés (voir photo 20). Photo 19: projection par «effet missile» du vérin contre la paroi du caisson (essai SB). Photo 20: trace d'impact du vérin sur la paroi du caisson vue depuis l'extérieur (essai SB). Une dernière famille rassemble les essais SA et SE pour lesquels la fixation du vérin sur le banc a été réalisée sans rotule et pour lesquels le vérin n était soumis aux flammes que dans une zone proche du joint d étanchéité. Cette configuration a permis de vérifier l hypothèse selon laquelle une détérioration rapide du joint d étanchéité sans endommagement (ou minime) des rotules ni rupture mécanique du corps n entraîne pas la projection du vérin. Cette hypothèse a été vérifiée dans deux configurations : tige du vérin en position sortie (SA) ou comprimée (SE). Pour ces deux configurations, le joint d étanchéité a cédé (après 321 et 115 secondes pour les essais SA et SB respectivement) expulsant le gaz et l huile contenus dans le corps mais n entraînant pas de projection du vérin hors du banc d essai. Photo 21: rupture du joint d'étanchéité lors de l'essai SE. Photo 22: vérin après rupture du joint d'étanchéité à la fin de l'essai SE.
14 14/26 Il a été décidé de ne pas procéder à la réalisation d essais supplémentaires, la majorité des configurations d essais et leurs conséquences semblant avoir été observées. Note : le Laboratoire central n a réalisé aucun examen sur les vérins après essais afin de confirmer leur mode de rupture (état du joint, pression interne, détérioration de la rotule ). L ensemble des vérins a été numéroté et transmis à Renault en fin de campagne d essai. 6 Synthèse Le déroulement des essais est résumé dans le logigramme ci-dessous (voir illustration 2). Les conséquences des essais sont classées par ordre décroissant de «gravité» : Projection du vérin par «effet missile» > projection du vérin par «effet détente» > projection du vérin suite à l éclatement du corps > vérin reste en place Dans l absolu, seuls les cas où le vérin reste en place ne présentent aucun risque pour les premiers intervenants des services de secours. Il n est pas possible d évaluer si le vérin a assez d énergie pour être projeté hors du véhicule suite à une explosion du corps. Illustration 2: logigramme de synthèse des essais. Les chiffres correspondent au nombre d'essai réalisé pour chaque configuration. Afin d éviter un phénomène violent, il apparaît que la méthode la plus efficace est de permettre une détérioration rapide du joint d étanchéité avant que les rotules ne perdent leurs propriétés mécaniques ou que le corps du vérin n éclate. Renforcer les rotules afin qu elles ne cèdent pas peut mener, dans certains cas, à l éclatement du corps du vérin avant que le joint d étanchéité ne perde son intégrité et permette l évacuation des gaz. Les mesures effectuées lors des essais ne permettent pas de relier les valeurs de température ou de force générée par le vérin sur le banc à un comportement du système (détérioration du joint d étanchéité, projection par effet détente ). Afin de vérifier le comportement des vérins à un incendie, certains constructeurs de vérin appliquent localement une flamme seule générée par un bec bunsen sur l extrémité du corps du vérin, dans la zone contenant le joint Il apparaît clairement, à la suite des présents essais, que les conclusions obtenues
15 15/26 lorsque la totalité du vérin et de son système d attaches est exposé à un foyer 2 sont très différentes de celles qui peuvent-être obtenues avec l'application d'une flamme de bec bunsen dans la zone du joint. En effet, cette dernière configuration d essai ne prend pas en compte les problématiques liées à une dégradation prématurée des rotules de fixation ni celles concernant une montée en pression du corps du vérin menant à un éclatement de ce dernier avant que le joint ne perde son intégrité. 7 Annexes Les mesures obtenues sur les onze essais sont tracées dans les graphiques 1 à Configuration d essai LCPP/RENAULT
16 Graphique 1: essai S1E1. 16/26
17 Graphique 2: essai S1E2. 17/26
18 Graphique 3: essai S1E3. 18/26
19 Graphique 4: essai S2E1. 19/26
20 Graphique 5: essai S2E2. 20/26
21 Graphique 6: essai S2EX. 21/26
22 Graphique 7: essai SA. 22/26
23 Graphique 8: essai SB. 23/26
24 Graphique 9: essai SC. 24/26
25 Graphique 10: essai SD. 25/26
26 Graphique 11: essai SE. 26/26
CHALLENGE FORMULA CLASSIC
REGLEMENT TECHNIQUE 2013 CHALLENGE FORMULA CLASSIC ARTICLE 1 : définition Les monoplaces acceptées dans les épreuves de Formula Classic doivent être dans leur configuration d origine. La cylindrée sera
Plus en détailPhysique. interaction pneu-chaussée facteurs liés à l adhérence calcul de la distance de freinage
Physique 45 L adhérence des pneus objectif disciplinaire : interaction pneu-chaussée facteurs liés à l adhérence calcul de la distance de freinage objectif sécurité routière : oinformer l élève sur l importance
Plus en détailprotection incendie Ouvrant de façade : Orcades
protection incendie Ouvrant de façade : Orcades FTE 502 130 D Mai 2011 Orcades ouvrant de façade d amenée d air Avantages Esthétique soignée (grille Cyclades en façade intérieure en option). Bonne isolation
Plus en détailRELAIS STATIQUE. Tension commutée
RELAIS STATIQUE Nouveau Relais Statique Monophasé de forme compacte et économique Coût réduit pour une construction modulaire Modèles disponibles de 15 à 45 A Modèles de faible encombrement, avec une épaisseur
Plus en détailBanc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques
Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Descriptif du support pédagogique Le banc d essais des structures permet de réaliser des essais et des études
Plus en détailPhénomènes dangereux et modélisation des effets
Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE
Plus en détailCOMMENT RESOUDRE LES PROBLEMES DE VIBRATION DE L ESSIEU AVANT SUR LES TOYOTA MODELE HZJ
COMMENT RESOUDRE LES PROBLEMES DE VIBRATION DE L ESSIEU AVANT SUR LES TOYOTA MODELE HZJ 75? (valable également pour le modèle Hi-Lux équipé de lames de ressort à l avant) Christophe Humbert * Octobre 2002
Plus en détailMANUEL D INSTALLATION POUR EU-RAMPS
Avertissement : Dans ce manuel d installation, le mot rampe est utilisé pour les modules inclinés et le mot plateforme pour les modules horizontaux. Généralités Commencer l installation par le point culminant
Plus en détailL École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détailEtablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil
Notice de sécurité Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Cette notice a été établie à l'attention des exploitants d Etablissements Recevant du Public (ERP), afin
Plus en détailTableaux d alarme incendie de type 4-230V~ - 1 boucle / 2 boucles 405 61/62
Tableaux d alarme incendie de type 4-230V~ - 1 boucle / 2 boucles 405 61/62 R Présentation Tableau de type 4 secteur 1 boucle Réf. : 405 61 Tableau de type 4 secteur 2 boucles Réf. : 405 62 Contenu de
Plus en détailFR Interphone vidéo couleur 7. réf. 512162. www.thomsonsecurity.eu
FR Interphone vidéo couleur réf. 512162 v1 www.thomsonsecurity.eu Interphone vidéo couleur SOMMAIRE A - consignes de sécurité 03 1 - précautions d utilisation 03 2 - entretien et nettoyage 03 3 - recyclage
Plus en détailCELTIC-BAAS-Sa BAAT3003
Notice technique 01_BASSA_NT001 rév A3 Bloc autonome d alarme sonore type Satellite avec ou sans flash BAAT3003 -F BAAT3017. 52, rue Paul Lescop 92000 NANTERRE t. +33 (0)1 41 37 91 91 f. +33 (0)1 41 37
Plus en détailPartie non ressaisie intentionnellement (voir ci-dessous)
- 39 - Partie non ressaisie intentionnellement (voir ci-dessous) Les modules sont en outre équipés de 4 patins de caoutchouc (125 x 125 x 20) afin d améliorer l adhérence au sol du dispositif. 2. Dimension
Plus en détailTop. La vis adéquate pour chaque montage
Top La vis adéquate pour chaque montage Vue d ensemble: De cette manière vous trouvez la vis qu il vous faut. Applications Vis Toproc vis à distance Toproc-Baby vis à distance Toproc-S autoperceuse vis
Plus en détailL oxygénothérapie à long terme
L oxygénothérapie à long terme Ce que vous devez savoir sur l oxygène à domicile Les bienfaits L oxygène est un traitement médical qui doit être utilisé de façon sécuritaire et selon les recommandations
Plus en détailTableaux d alarme sonores
Tableaux d alarme sonores Type T4 CT 1 boucle NiMh Réf. : 320 020 Type T4 CT 2 boucles Réf. : 320 019 FEU BOUCLE 1 FEU TEST BOUCLE 2 DEFAUT BATTERIE SOUS TENSION SECTEUR ABSENT Contenu de l emballage -
Plus en détailTABLE à LANGER MURALE PRO
S I G U L D A TABLE à LANGER MURALE PRO INFORMATIONS IMPORTANTES - LIRE ATTENTIVEMENT ATTENTION : conserver les différents éléments d emballage hors de portée des enfants pour éviter tout risque d étouffement.
Plus en détailCaisson bas. Notice de montage. Pour caissons de taille : Structure du caisson. 1 personne 4. Retrouvez toutes les informations sur www.oskab.
Caisson bas Notice de montage Retrouvez toutes les informations sur www.oskab.com Pour caissons de taille : Hauteur x Largeur x Profondeur N N H4 x L60 x P56 cm H57 x L60 x P56 cm Structure du caisson
Plus en détailINSTRUCTIONS DE MONTAGE YALE. ERP 15/16/18/20 VT-VF SWB (545Ah) - MWB (640Ah)- LWB(750Ah) CABINE RIGIDE
INSTRUCTIONS DE MONTAGE MARQUE DU CHARIOT YALE TYPE DU CHARIOT ERP 15/16/18/20 VT-VF SWB (545Ah) - MWB (640Ah)- LWB(750Ah) DESIGNATION PRODUIT CABINE RIGIDE K.B.O - 35 rue du petit bois, 69440 Mornant,
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailCes formations peuvent être réalisées en formation traditionnelle ou en UMLF (Unité Mobile Légère de Formation).
Romuald BONON au 06 35 44 83 70 Mail : r.bonon@seimafor.fr Incendie (de l extincteur à Equipier de 2 nde intervention) Sauveteur Secouriste du Travail Evacuation Utilisation du Défibrillateur Automatique
Plus en détailE/ECE/324/Rev.1/Add.12/Rev.7/Amend.4 E/ECE/TRANS/505/Rev.1/Add.12/Rev.7/Amend.4
6 décembre 2012 Accord Concernant l adoption de prescriptions techniques uniformes applicables aux véhicules à roues, aux équipements et aux pièces susceptibles d être montés ou utilisés sur un véhicule
Plus en détailPlateformes de travail élévatrices et portatives
B354.1-04 Plateformes de travail élévatrices et portatives Plate-forme élévatrice de type 1 à déplacement manuel Plate-forme élévatrice de type 2 remorquable Édition française publiée en août 2004 par
Plus en détailMODE D EMPLOI DÉTECTEURS DE FUMÉE. Bien équipé, bien préparé, je suis en sécurité. MARS 2015. Obligatoire à compter du
DÉTECTEURS DE FUMÉE MODE D EMPLOI FNSPF 2014. Firethinktank.org / Photo : Sébastien Mousnier. Bien équipé, bien préparé, je suis en sécurité. Obligatoire à compter du 8 MARS 2015 LES DÉTECTEURS AUTONOMES
Plus en détailCloisons de distribution Caroplatre
04 Cloisons de distribution en carreaux de plâtre Cloisons de distribution Caroplatre Description Les carreaux de plâtre Caroplatre sont des éléments en plâtre 100% naturel fabriqués en usine. Leur coloration
Plus en détailMEMENTO SECURITE INCENDIE
ETABLISSEMENT MEMENTO SECURITE INCENDIE La commission de sécurité vous a prescrit la réalisation d un mémento sécurité Ce document est un modèle pour tout type d établissements en dehors des U et J Il
Plus en détailNUGELEC. NOTICE D'UTILISATION DU B.A.A.S. du type Ma - STI / MaME - STI. pages. 1 introduction 2. 2 encombrement 3 fixation
NOTICE D'UTILISATION DU du type Ma - / MaME - pages 1 introduction 2 2 encombrement 3 fixation 3 installation 3 à 5 raccordement 4 fonctionnement 5 à 6 contrôle, essai 5 caractéristiques 7 techniques 6
Plus en détailTravaux en cours. Diaporama réalisé par Thierry MARBEHAN Avec la collaboration de la société SIEMENS CERBERUS
Travaux en cours Diaporama réalisé par Thierry MARBEHAN Avec la collaboration de la société SIEMENS CERBERUS Triangle du feu Que ce soit un feu controlé ou un incendie, la combustion est une réaction chimique
Plus en détailPose avec volet roulant
Pose avec volet roulant Coffre volet roulant Coulisse MONTAGE 2 PERSONNES MINIMUM La quincaillerie 4,2 x 25 Les outils (x 10) 3,5 x 9,5 (x 10) (x 1) (x 4) 3 2 1 (x 1) (x 4) 7 1 Positionnez les coulisses
Plus en détailLA 4L PANTONE. Vagal âme a adapté un système écologique de type PANTONE sur une 4L.
LA 4L PANTONE Ce projet est l œuvre d une association de loi 1901 : Vagal âme -2 étudiants de l ICN école de management : gestion et réalisation -1 étudiant de l Ecole des Mines de Nancy : technique -1
Plus en détailEau chaude Eau glacée
Chauffage de Grands Volumes Aérothermes Eau chaude Eau glacée AZN AZN-X Carrosserie Inox AZN Aérotherme EAU CHAUDE AZN AZN-X inox Avantages Caractéristiques Carrosserie laquée ou inox Installation en hauteur
Plus en détailManuel d'installation, d'utilisation et de maintenance
Simplicity & Comfort* Manuel d'installation, d'utilisation et de maintenance Ce manuel fait partie intégrante du kit et ne doit jamais être séparé de celui-ci F interphone vidéo à encastrer 2 fils platine
Plus en détailRAPPORT DE CLASSEMENT. RAPPORT DE CLASSEMENT n EFR-14-002348
Voie Romaine F-57280 Maizières-lès-Metz Tél : +33 (0)3 87 51 11 11 Fax : +33 (0 3 87 51 10 58 n EFR-14-002348 Selon les normes EN 15650 : 2010 et EN 13501-3 : 2007 Concernant Une gamme de clapets type
Plus en détailArrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative
Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un
Plus en détailGUIDE D INSTRUCTION. Montage Entretien
GUIDE D INSTRUCTION Montage Entretien INSTRUCTIONS PARTICULIÈRES Dès réception des marchandises, veuillez vérifier le bon état de l'emballage. Veuillez mentionner tout dégât éventuel de transport sur le
Plus en détailSerrure Motorisée Asservie - Mise en Applique
ZD313357 Ve B MAJ le 21.03.13 Serrure Motorisée Asservie - Mise en Applique Notice d installation Verrouillage motorisé 1 / 2 point (s). Système à sécurité positive (rupture de courant) Conforme à la norme
Plus en détailTableau d Alarme Incendie Type 3 type marche/arrêt avec ou sans flash
Tableau d Alarme Incendie Type 3 type marche/arrêt avec ou sans flash Références commerciales: TA31300 / TA31301 TA31300 (sans flash) TA31301 (avec flash) Table des matières Présentation... 2 Caractéristiques
Plus en détailAPPLICATIONS. Pour cela, Bricard propose de nombreuses solutions spécifiquement adaptées à tous les types d environnement
APPLICATIONS Cinémas, théâtres, bureaux, salles de sport Des lieux publics à fort passage où la sécurité doit être assurée par des systèmes de protection. Pour cela, Bricard propose de nombreuses solutions
Plus en détailPrésentation des points importants RZR XP 1000
Présentation des points importants RZR XP 1000 RZR XP 1000 Nouvelle génération : Plus de 500 améliorations, 100 000 heures d ingénierie moteur, des milliers de kilomètres de test équivalent à 2,5 fois
Plus en détailDOSSIER TECHNIQUE VESTIAIRES MONOBLOCS MULTI-CASES
DOSSIER TECHNIQUE 1 DOSSIER TECHNIQUE DOSSIER TECHNIQUE VESTIAIRE MONOBLOCS MULTICASES SOMMAIRE Le vestiaire monobloc multicases Caractéristiques Caractéristiques générales page 04 Potentiel calorifique
Plus en détailGrille d'évaluation Compétences reliées aux activités Evaluation du stage en entreprise
Page 1 sur 6 Grille d'évaluation Compétences reliées aux activités Evaluation du stage en entreprise Nom élève:.. Entreprise: Nom et fonction du professeur:. Dates de stage:.. Zone de compétence: Zone
Plus en détailNOTICE D'UTILISATION DU TABLEAU D ALARMES TECHNIQUES SAT
NOTICE D'UTILISATION DU TABLEAU D ALARMES TECHNIQUES SAT pages 1 introduction 1 encombrement fixation 3 installation 3 à 5 raccordement 4 descriptif des 6 touches et des voyants 5 fonctionnement 7 contrôle,
Plus en détailVoyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof
Une échelle est appuyée sur un mur. S il n y a que la friction statique avec le sol, quel est l angle minimum possible entre le sol et l échelle pour que l échelle ne glisse pas et tombe au sol? www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof
Plus en détailGUIDE D'INSTALLATION. Lave-Vaisselle
GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle SOMMAIRE 1/ CONSIGNES DE SECURITE Avertissements importants 03 2/ INSTALLATION DE VOTRE LAVE-VAISSELLE Appareil non encastré 04 Appareil encastré 04 Appareil encastré
Plus en détailPionnier de l isolation phonique depuis 1980
Pionnier de l isolation phonique depuis 1980 Description de produit Isolation phonique dans la cuisine La norme suisse et la norme européenne SELON SIA 181:2006 Situation de départ Les activités pratiquées
Plus en détail30 MAI 1 er JUIN 2011 PARIS
4 th EUROPEAN CONFERENCE ON HEALTHCARE ENGINEERING 51 è JOURNEES D ETUDES ET DE FORMATION IFH 30 MAI 1 er JUIN 2011 PARIS Peut-on externaliser la maintenance des bâtiments et infrastructures techniques
Plus en détailUn poste central de sécurité, pour quoi faire? XVII e rencontres nationales du GP Sup Clermont-Ferrand - 24 et 25 juin 2004
Un poste central de sécurité, pour quoi faire? XVII e rencontres nationales du GP Sup Clermont-Ferrand - 24 et 25 juin 2004 Présentation du site Rénovation d un site industriel de la Manufacture des Tabacs
Plus en détailPrescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs
Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Référence: SIB10 CCLB 110 Date : 22/10/2010 Page 1/9 Table des matières 1 PRELIMINAIRES... 3 2 ABREVIATIONS... 3 3 ACCESSIBILITE
Plus en détailENCASTREZ UN EVIER ET POSEZ UN MITIGEUR A DOUCHETTE
ENCASTREZ UN EVIER ET POSEZ UN MITIGEUR A DOUCHETTE ETAPE 1 LE PLAN DE TRAVAIL 1.a Repères Repères Mettez en place provisoirement le plan de travail et tracez au crayon effaçable deux repères qui correspondent
Plus en détail- Tente de réception louée complète (structure, bâches de toit et cotés, piquets)
Location tente de réception 5x10 état neuf gris clair et blanc La tente de réception est conçue pour une utilisation lors des fêtes et autres événements est, en tant que tels, uniquement destiné à un montage
Plus en détailSUIVEUR SOLAIRE : Informations complémentaires
SUIVEUR SOLAIRE : Informations complémentaires IMPORTANT : L objectif de la présente note technique n est pas de se substituer à l ouvrage «Alimentation électrique de sites isolés» mais de fournir des
Plus en détailService Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09
CAISSE RÉGIONALE D ASSURANCE MALADIE RHÔNE -ALPES Service Prévention des Risques Professionnels 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 FT 1022 OCTOBRE
Plus en détailREGLEMENT TECHNIQUE 2015 208 RACING CUP. Annexé au règlement sportif 2015
REGLEMENT TECHNIQUE 2015 208 RACING CUP Annexé au règlement sportif 2015 1 Règlement Technique 208 Racing Cup 2015 SOMMAIRE GENERALITES Diffusion des documents. Page 3 ARTICLE 1 Définition et identification
Plus en détailLes textes et règlements
Réglementation applicable aux chapiteaux, tentes et Note : cette fiche est extraite pour l essentiel de l ouvrage «Organiser un événement artistique dans l espace public : Guide des bons usages», édité
Plus en détailLe pétitionnaire pourra remplir une notice par établissement isolé les uns des autres au sens de l article GN 3.
NOTICE DESCRIPTIVE DE SECURITE Pour tous les ERP du 1er groupe et les ERP du 2ème groupe (5ème catégorie) Avec locaux à sommeil. (Arrêté du 25/06/1980 modifié Arrêté du 22/06/1990 modifié) La présente
Plus en détailExtinction. Choisissez votre système d extinction. Qu'est-ce qu'un système d extinction? Les principes du feu
Extinction Choisissez votre système d extinction Qu'est-ce qu'un système d extinction? Dans un système de protection incendie, il ne suffit pas de détecter et de mettre en sécurité. Il est souvent nécessaire
Plus en détailNotice de montage DORMA AGILE 150 DORMOTION Montage mural
Notice de montage DORMA AGILE 150 DORMOTION Montage mural Sommaire : P2-3 Informations importantes P3 Outillage P4 Préparation du verre DORMOTION L P4 Contenu de la livraison P5 Préparation du verre DORMOTION
Plus en détailREGLEMENT DU CHAMPIONNAT DE FRANCE DES RALLYES MOTO 2015
REGLEMENT DU CHAMPIONNAT DE FRANCE DES RALLYES MOTO 2015 CATEGORIES MOTOS ANCIENNES ET CLASSIQUES Article 1 CATEGORIES, TITRES ET RECOMPENSES 1.1 Généralités : Les catégories Motos Anciennes et Motos Classiques
Plus en détailColonnes de signalisation
COLONNES LUMINEUSES Ø 7 5 Ø 7 compactes à diodes Avantages : Solution complète prête à être raccordée Faible hauteur de montage Durée de vie des diodes extrêmement longue (au moins 70.000 h) et donc pratiquement
Plus en détailManuel d'utilisation du détecteur de fumée
Manuel d'utilisation du détecteur de fumée Détecteur de fumée photoélectrique alimenté par pile alcaline 9V. Introduction Merci d'avoir choisi notre produit pour vos besoin en détection de fumée. Vous
Plus en détailWi-Fi Remote. Manuel de l utilisateur
Wi-Fi Remote Manuel de l utilisateur Wi-Fi Remote : Fonctionnalités Le Wi-Fi Remote est étanche jusqu à 10 pieds / 3 m. 2 1. Écran LCD 2. Écran DEL d état 3. Bouton d OBTURATEUR/SÉLECTION (SHUTTER/SELECT)
Plus en détailPRÉGYMÉTALTM. Mise en œuvre CONTRE-CLOISONS PRINCIPES DE POSE POINTS SINGULIERS ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES
PRÉGYMÉTALTM Mise en œuvre Caractéristiques techniques pages 90 à 9 PRINCIPES DE POSE A POINTS SINGULIERS 7 A 0 ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES TRAÇAGE ET POSE DES RAILS CONTRE-CLOISONS
Plus en détailFiche Technique pour un bâtiment modulaire à ossature en bois de 54 m²
Fiche Technique pour un bâtiment modulaire à ossature en bois de 54 m² Cahier de charge NON définitif. Adaptations possibles selon l arrivée de nouveaux matériaux bois ou la mise en œuvre de techniques
Plus en détail18 Février 2011 à 12 Heures
MARCHES PUBLICS DE SERVICES Ville d Auterive Place du 11 novembre 1918 31190 AUTERIVE 05 34 28 19 30 Cahier des Clauses Administratives Particulières Création d une médiathèque dans le bâtiment dénommé
Plus en détailLa volonté de la sécurité civile: rapprocher acteurs du secours, industriels et scientifiques : COMETIC
Projet de Plateforme Mutualisée d Innovation Incendie: Institut National des Technologies et de l Ingénierie Incendie 06/01/2012 1 Préambule: qu est ce que plateforme mutualisée d innovation? Une plateforme
Plus en détailBaccalauréat Professionnel SYSTÈMES ÉLECTRONIQUES NUMÉRIQUES. Champ professionnel : Alarme Sécurité Incendie EPREUVE E2
Baccalauréat Professionnel SYSTÈMES ÉLECTRONIQUES NUMÉRIQUES Champ professionnel : Alarme Sécurité Incendie EPREUVE E2 ANALYSE D UN SYSTÈME ÉLECTRONIQUE Durée 4 heures coefficient 5 Page 1/ 30 EXTRAIT
Plus en détailPOUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES
RESUME DES EXIGENCES EN MATIERE DE PREVENTION DES INCENDIES POUR LE MONTAGE ET L'EXPLOITATION DE TENTES ET STRUCTURES PNEUMATIQUES PROVISOIRES 1. Base Les prescriptions de protection incendie AEAI sont
Plus en détailLes coûts en ligne de compte
Bac pro EDPI Les coûts en ligne de compte Stéphane Gaston [1] L étude des coûts de fabrication est souvent délaissée, même en lycée professionnel. Elle demande pourtant méthode et rigueur. Voici donc une
Plus en détailSystèmes d aspiration pour plan de travail
Systèmes d aspiration pour plan de travail Les systèmes d aspiration Nederman pour plan de travail peuvent être utilisés dans tout type d environnement en partant des postes d assemblage où des fumées
Plus en détailSOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE
SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L - 72 FOURNITURE DE SEMELLES ELASTIQUES POUR LA FIXATION DE VOIE "TYPE BOTZELAER" EDITION: 04/2001 Index 1. INTRODUCTION... 3 1.1. DOMAINE
Plus en détailRéglementation incendie en ERP
R. ARTERO, Chef de produits Réglementation incendie en ERP à respecter pour la pose d un bâti-support WC Rappel de vocabulaire et réglementation Résistance au feu La résistance au feu caractérise le comportement
Plus en détailContrôle thermographique Tarifs et prestations :
20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations
Plus en détailManuel de montage et d emploi
Manuel de montage et d emploi Barrière manuelle Index Page 1. Caractèristiques techniques 2 2. Dimensions de montage 3 3. Montage 4 3.1. Montage de la barrière manuelle 4 3.2. Montage de l haubannage 5
Plus en détailalarme incendie (feu non maîtrisable)
INCIDENT N 1 alarme incendie (feu non maîtrisable) Vérification des matériels et systèmes de à disposition au - système de détection incendie (test lampe, signal sonore) - centrale d alarme intrusion(état
Plus en détailFiche de lecture du projet de fin d étude
GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE Fiche de lecture du projet de fin d étude Analyse du phénomène de condensation sur l aluminium Par Marine SIRE Tuteurs : J.C. SICK Manager du Kawneer Innovation Center &
Plus en détailNOUVELLES POUR LE STOCKAGE DES
NOUVELLES RÈGLES SOMMAIRES POUR LE STOCKAGE DES PRODUITS PÉTROLIERS Depuis septembre 2006, suivant le décret de Juillet 2004 STOCKAGE AU REZ-DE-CHAUSSEE OU EN SOUS-SOL D'UN BATIMENT Les réservoirs et équipements
Plus en détailULC-S536-04 Inspection et mise à l essai des réseaux avertisseurs d incendie
ULC-S536-04 Inspection et mise à l essai des réseaux avertisseurs d incendie Séminaire technique ACAI 14 novembre 2013 Par : Pierre Noël STRUCTURE DE LA NORME Les réseaux avertisseurs d incendie doivent
Plus en détailChapitre Bâtiment du Code de sécurité (CBCS) Association Canadienne Alarme Incendie (ACAI) 14 novembre 2013
Chapitre Bâtiment du Code de sécurité (CBCS) Association Canadienne Alarme Incendie (ACAI) 14 novembre 2013 Plan de la présentation 1. Mandat de la Régie du bâtiment- secteur bâtiment 2. Législation antérieure
Plus en détailDIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE TERTIAIRE
DATE : 14/02/2011 N AFFAIRE : 003387/2255629/1/1 ANNEE DE CONSTRUCTION : NON COMMUNIQUE SURFACE UTILE : 489.44 TYPE DE BATIMENT : IMMEUBLE D HABITATION + BUREAUX TYPE D ACTIVITES : ADMINISTRATION - BUREAUX
Plus en détailF3. NORMES TECHNIQUES RELATIVES A L ACCESSIBILITE AU CABINET MEDICAL
Le pour les I - Les cheminements extérieurs Article 2 «[ ] Lorsqu une dénivellation ne peut être évitée, un plan incliné de pente inférieure ou égale à 5 % doit être aménagé afin de la franchir. Les valeurs
Plus en détailPROGRAMME PROTECTION- ENTRETIENLINCOLN
FAITES BONNE ROUTE GRÂCE AU PROGRAMME ENTRETIEN LINCOLN (PPEL) POUR PRENDRE LA ROUTE AVEC CONFIANCE Lorsque vous décidez d acheter ou de louer un véhicule, vous voulez profiter de la tranquillité d esprit
Plus en détailCLEANassist Emballage
Emballage Dans la zone d emballage, il est important de vérifier exactement l état et la fonctionnalité des instruments, car ce sont les conditions fondamentales pour la réussite d une opération. Il est
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailLA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE
Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer
Plus en détailLes «must» pour l équipement de vos ateliers
Technologies Toutes les solutions mobiles de filtration et d épuration d air dans les milieux industriels ou les milieux hostiles Les «must» pour l équipement de vos ateliers Du standard au «sur mesure».
Plus en détailSTRUCTURE D UN AVION
STRUCTURE D UN AVION Cette partie concerne plus la technique de l avion. Elle va vous permettre de connaître le vocabulaire propre à l avion. Celui ci vous permettra de situer plus facilement telle ou
Plus en détailESCALIERS ESCAMOTABLES PRIX DE VENTE AU 01.04.2015. www.fakro.be
ESCALIERS ESCAMOTABLES PRIX DE VENTE AU 01.04.2015 www.fakro.be 1 ESCALIERS ESCAMOTABLES AVEC UNE ÉCHELLE EN BOIS EN 3 ET 4 PARTIES NOUVEAU NOUVEAU 160 LWS Smart+ 160 LWK Komfort+ 160 LWZ Suivant la norme
Plus en détailNotice d utilisation de la : Pro-Ject Debut & Debut Phono SB
Notice d utilisation de la : Pro-Ject Debut & Debut Phono SB 11 14 11 22 2 1 3 16 17 6 15 1 4 5 8 7 9 20 21 17 9a 3a 25 33 45/78 SPEED 24 10 11 13 12 2 PRO-JECT DEBUT/DEBUT PHONO SB Descriptif du produit
Plus en détailFiche d application. 7 octobre 2013 1.0
MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Diagnostic de Performance Energétique Fiche d application Date Version 7 octobre
Plus en détailProthésistes dentaires. Aide au cahier des charges d un nouveau laboratoire
Prothésistes dentaires Aide au cahier des charges d un nouveau laboratoire Carsat Centre Ouest Assurance des risques professionnels 37, avenue du Président René Coty 87048 LIMOGES CEDEX LOCAUX DE TRAVAIL
Plus en détailTable basse avec tablette encastrée
Table basse avec tablette encastrée A table! Table basse avec tablette encastrée Cette table-basse à tablette encastrée permet d offrir à vos invités plein de friandises. 1 Introduction Offrez à vos invités
Plus en détailA-MIP 200 Manuel d installation et de fonctionnement
00 A-MIP 00 Manuel d installation et de fonctionnement Informations Générales Important Lisez ce mode d'emploi avant l installation et l utilisation de l Aivia. Lisez attentivement cette section et suivez
Plus en détailGUIDE DE DÉMARRAGE RAPIDE
GUIDE DE DÉMARRAGE RAPIDE Lorsque vous utilisez votre caméra GoPro dans le cadre de vos activités sportives, faites toujours attention à ce qui se passe autour de vous afin d éviter de vous blesser, blesser
Plus en détailQuels travaux confier à un professionnel?
CONSEILS AUX PARTICULIERS Travaux dangereux dans votre logement Quels travaux confier à un professionnel? Vous voulez réaliser des travaux chez vous, attention, certains présentent des risques importants!
Plus en détailLes Supports UC d ordinateur
Les Supports UC d ordinateur Les solutions pour Unité Centrale sont bien plus que de simples supports pour unités centrales. Voilà de bonnes raisons de choisir les solutions pour UC pour protéger votre
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE DE SECURITE
MODELE N 2 Document disponible sur http://www.auvergne.pref.gouv.fr/protection_civile/etablissements _recevant_public/sec_incendie_erp/procedure.php NOTICE TECHNIQUE DE SECURITE Etablissement Recevant
Plus en détail/ kit camping-car - modèle avec 2 panneaux
/ En quelques mots / Exemple de composition de kit (100W) : Merci pour l achat de ce kit solaire pour camping-car. Ce kit est composé de : -2 panneaux solaires -1 régulateur solaire surveillant la charge
Plus en détailESCALIERS ESCAMOTABLES. Catalogue - Tarif TOUT LE SAVOIR FAIRE DE L INVENTEUR DE L ESCALIER ESCAMOTABLE
ESCALIERS ESCAMOTABLES Catalogue - Tarif TOUT LE SAVOIR FAIRE DE L INVENTEUR DE L ESCALIER ESCAMOTABLE 2005 2 LA GAMME D ESCALIERS ESCAMOTABLES se décline en bois et en aluminium. Des matériaux nobles
Plus en détailLe pétitionnaire veillera à remplir une notice par établissement utilisé et isolé l'un de l'autre.
NOTICE DESCRIPTIVE DE SECURITE pour les ERP du 1er groupe ou établissement du 2ème groupe (5ème catégorie) avec locaux à sommeil. Arrêté du 25/06/1980 Rappel: art R123-2 du CCH: constituent des établissements
Plus en détail