Façade sur la rue de l Horloge 3 * Rez-de-chaussée 3 * Niveaux supérieurs 3. Façade sur la rue du Grand Couvent 8. Intérieur 11 HISTORIQUE 15

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1 18 RUE DE L HORLOGE/HOTEL DE POSSAC/PARC.DO 112 C.POTAY/ARCHIVES/document réalisé en 2001 et réactualisé en mai 2008 PROTECTION 3 DESCRIPTION 3 Façade sur la rue de l Horloge 3 * Rez-de-chaussée 3 * Niveaux supérieurs 3 Façade sur la rue du Grand Couvent 8 Intérieur 11 HISTORIQUE 15 Contexte urbain 15 L hôtel de Possac : mutations et campagnes de travaux 17 Les mutations 17 Les travaux 20 Les intervenants 29 Les propriétaires 32 * Les Montcalm de Saint-Véran 32 * La famille de Génas 43 NOTES 45 ANNEXES 46 1

2 La grande parcelle EY0112, correspondant aux numéros rue de l Horloge et 1 rue du Grand Couvent est visible dans la partie centrale de cet extrait du plan cadastral, un peu décentrée vers la gauche 2

3 PROTECTION Rampe en ferronnerie de l escalier inscrite à l Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques le 28 avril 1964 DESCRIPTION Ce vaste immeuble s élève à l angle des rues du Grand-Couvent et de l Horloge, il présente respectivement sur chacune de ses façades une longueur de 30 m environ et de 36 m. La façade principale, la plus soignée, donne sur la rue de l Horloge ; l espacement inégal des travées, sur les deux façades, montre que lorsque l immeuble a été rénové, dans le courant du XVIIe siècle, on a tiré parti de l infrastructure antérieure, et que l on s est contenté probablement de reprendre les baies en sous-œuvre. Façade sur la rue de l Horloge R + 2, 7 travées, murs enduits, modénature pierre de taille, corniche stuquée * Rez-de-chaussée - A chaque extrémité de la façade, apparaît un arc en pierre de taille (anciennes ouvertures de boutiques, trois autres arcs de boutique sont visibles sur la rue du Grand-Couvent) ; dans la partie d angle, à droite de l immeuble, il y a à gauche de l arc une porte rectangulaire, étroite, peut-être percement récent, elle donne accès au magasin. A l exception de la grande porte d entrée et de ces arcs, le reste des ouvertures du rez-de-chaussée est formé de devantures rectangulaires, basses, apparemment récentes. - Entrée principale sous la 3 e travée depuis la gauche : grande ouverture rectangulaire (largeur 1,73m hauteur 3,47 m), avec encadrement torique orné aux angles supérieurs de deux feuilles ou palmettes, placées obliquement. Le linteau est surmonté d une frise à rinceaux, elle-même protégée par une corniche à larmier soulignée par un rang de denticules. * Niveaux supérieurs - Les fenêtres ne présentent aucun décor, elles sont plus hautes au 1 er, comme il se devait pour cet étage noble, qu au second ; il s agissait à l origine de baies à meneau et croisillon de pierre au 1 er et de baies à meneau au 2 nd, elles ont été remaniées à une date que nous n avons pu retrouver. La 1 e travée à gauche présente des fenêtres plus petites et plus étroites, en arc segmentaire, et ce, sur trois niveaux, le dernier entamant la corniche. - La façade sur la rue de l Horloge, comme son retour sur la rue du Grand-Couvent, sont surmontées d une corniche à l italienne, en cavet, recouverte d un décor stuqué : il est constitué d un motif continu d imbrications ou motif en écailles de poisson - sur lesquelles se détachent des rejets d eau en forme de masque de lion dont l encolure est figurée par une feuille d acanthe ; ces masques de lion sont traités de manière très caricaturale, à moins qu il ne s agisse d une certaine naïveté de la part de l artiste d origine, ou d une restauration maladroite de ces éléments du décor par la suite. 3

4 Vue d ensemble des façades, à gauche celle donnant sur la rue de l Horloge, à droite une partie de celle donnant sur la rue du Grand Couvent 4

5 La porte principale sur la rue de l Horloge présente une frise ornée de rinceaux, elle est de très belle facture, ce motif a été utilisé à d autres occasion dans Nîmes sur de grandes portes rectangulaires semblables à celle-ci : on en trouve encore une similaire de nos jours au 3 place du Marché, également rénové, comme le 18 rue de l Horloge, par Gabriel Dardailhon dans le courant du XVIIe siècle. 5

6 La corniche présente une série de masques de lion, tous différents les uns des autres, évoquant des rejets d eau, bien que cette corniche stuquée, présentant donc une certaine fragilité, ait en fait dissimulé un chéneau métallique et nécessité d être protégée par l avancée d un avant-toit en 6

7 Voici un autre des masques de lion qui rythment cette corniche du 18 rue de l Horloge 7

8 Façade sur la rue du Grand Couvent - R+2, 3 travées aux niveaux supérieurs, inégalement disposées, les fenêtres sont semblables à celles visibles sur la rue de l Horloge - Cette façade présente un angle obtus fort prononcé. Le premier tronçon avant cet angle, soit la partie gauche de cette façade, présente au rez-de-chaussée un arc de boutique, mais aucune ouverture aux niveaux supérieurs. Le second tronçon après cet angle, partie droite de cette façade, est percé au rez-de-chaussée de deux arcs de boutique et d une petite porte rectangulaire, basse et étroite à l extrémité de droite de la façade et aux niveaux supérieurs de trois travées de fenêtres rectangulaires (entre la travée de gauche et la 2 e travée depuis la gauche apparaissent 3 petites ouvertures rectangulaires disposées elles aussi irrégulièrement au niveau du 1 er étage ; à droite de la fenêtre du 1 er étage, à l extrémité droite de la façade, il y a une autre petite ouverture rectangulaire, aujourd hui maçonnée) 8

9 Extrémité sud de la façade donnant sur la rue du Grand Couvent, vue depuis cette rue, en direction de la place de la Calade 9

10 Partie nord de la façade sur la rue de l Horloge vue en direction de la place de la Calade 10

11 Intérieur On accède à la cour par un passage d entrée large et voûté. L aile est sur cour abrite la cage du grand escalier, largement ouverte sur cour par trois arcs (partiellement fermés de nos jours, car ayant été fenestrés à une date récente XVIIIe? XIXe?). On trouve au 2 nd étage le même système de fenêtres sous arcs, mais pour éclairer des pièces d habitation. Les autres façades sur cour présentaient à l origine de grandes fenêtres à croisée de pierre au 1 er et des fenêtres moins hautes à meneau de pierre au 2nd. Ces fenêtres ont pratiquement toutes (sauf un au 2 nd étage) perdu leur meneau ou croisillon de pierre, mais elles ont conservé leurs larges appuis moulurés. L ensemble des façades sur cour est surmonté d une corniche à l italienne, en cavet, dont le décor stuqué ne comporte ici que le motif en écailles de poisson ou imbrications. L escalier comporte trois volées de marches par étage (comportant chacune respectivement 6, 12 et 7 marches) ; l emmarchement est de 1,82 m, le pas de 0,17 m et le giron de O, 34 m ; les marches n ont pas de bec, mais le giron a été amélioré en creusant de quelques centimètres la contre-marche sur presque toute la longueur, soit sur 1,55 m (renseignements provenant de l Inventaire Hyvert). La rampe en fer forgé est contemporaine de la réalisation de l escalier (cf historique) ; d ailleurs, le limon de l escalier étant très étroit, on n aurait pu y installer une balustrade de pierre. Cette rampe est haute de 0,95 m, elle est raccordée à angles vifs, avec décrochements, et composée de petits panneaux tous semblables (Hyvert) : ils présentent des volutes très enroulées, s achevant par des motifs floraux, avec de petits feuillages insérés aux assemblages ; l encadrement supérieur est relié à la main-courante par des volutes du même type, mais disposées horizontalement. Côté cour, les arcs éclairant la cage d escalier sont munis de garde-corps à balustres de pierre carrés. 11

12 Cour du 18 rue de l Horloge, aile sud : on voir au rezde-chaussée l arc du large passage d entrée voûté en plein cintre 12

13 Cour : façades ouest (à gauche) et nord (à droite) ; on observe de ce côté, au dernier niveau, une baie qui a conservé son meneau de pierre, héritage du XVIIe siècle. La corniche est ornée d imbrications, ou motifs en forme d écailles, semblables à ceux de la corniche donnant sur rue. 13

14 Cour, façade ouest : à l origine la cage d escalier occupant cette aile ouvrait sur la cour par des arcs en plein cintre, formant loggia, qui ont été en partie fermés ou fenestrés par la suite. A l époque où ils étaient largement ouverts, ils laissaient apercevoir l escalier et son élégante ferronnerie, selon une formule fréquemment utilisée à Nîmes pour mettre en scène l escalier d honneur. 14

15 HISTORIQUE Contexte urbain Cet immeuble se trouvait sous l Ancien Régime dans le quartier dit de la Boucarié, quartier occupant tout le nord-ouest de la ville telle qu elle se présentait alors, ceinturée par un rempart passant de ce côté au niveau des actuels boulevards Gambetta et Alphonse-Daudet-Victor-Hugo. Ce terme boucarié faisait allusion à un regroupement corporatif de vendeurs de viande de chèvre, peut-être au niveau de l actuelle rue du Grand-Couvent, durant le Moyen-Age. La présence de la ruelle de la Triperie qui débouche de nos jours encore sur dette rue pourrait corroborer cette hypothèse : les abats étant commercialisés par des commerçants spécialisés, installés en toute logique à proximité de leurs pourvoyeurs, les marchands de viande de chèvre. Cette thèse tient au fait que s il s était simplement s agi de bouchers, on aurait employé de préférence l appellation de rue ou de quartier des mazeliers, selon le terme qui les désigne en occitan. Par ailleurs, on sait que la viande de chèvre était souvent la seule que la population la plus modeste était en mesure de s offrir régulièrement sous l Ancien Régime, et notamment au Moyen-Age, l animal étant peu coûteux à élever et sa viande étant par conséquent relativement bon marché. Or, on sait que le quartier de la Boucarié, traversé dans sa partie nord par le ruisseau de l Agau, abritait bon nombre d artisans et d ouvriers du textile, constituant une clientèle privilégiée pour les marchands de viande de chèvre (1). Mais l ensemble du quartier n était pas voué à ces activités artisanales : dans sa partie sud, il prenait un caractère plus résidentiel. Dans la rue de la Colonne aujourd hui rue de l Horloge-, s élevaient plusieurs maisons patriciennes, celle des Scatisse, au niveau des actuels n 10 à n 16, et celle des Montcalm de Saint-Véran, au niveau de l actuel n 18 qui nous intéresse ici plus particulièrement. C est aussi dans cette partie de la ville que l administration municipale siégea jusqu aux premières années du XVIIIe siècle : la Maison Carrée, sous l appellation de Capitole, tint lieu d hôtel de ville jusqu au XVe siècle, époque à laquelle les consuls l échangèrent contre la demeure de Pierre Boys (démolie depuis la fin des années 1880), qui s élevait entre la tour de l horloge toujours visible quant à elle place de l Horloge- et le n 5 de la rue de l Horloge. Le dégagement des abords de la Maison Carrée, amorcé timidement sous l Ancien Régime et parachevé dans les années 1820, puis le percement de la rue Général Perrier, entamé à la fin des années 1850, et enfin la création de la place de l Horloge, à la fin des années 1880, ne nous permettent plus de mesurer à quel point cette partie de la ville était densément bâtie autrefois. Comme dans la plupart des villes médiévales, il n y avait pas à proprement parler de ségrégation entre les habitations d artisans et de petits commerçants, et celle des notables, tout au plus une dominante de l une ou l autre forme dans certaines artères, telles celles voisines de l Agau, en raison des nombreuses activités artisanales que sa présence générait. Mais partout, on constatait globalement une mixité de l occupation, les riches propriétaires ne dédaignant pas, loin de là, de louer au rez-de-chaussée de leurs hôtels particuliers une ou plusieurs boutiques et arrière-boutiques où des familles d artisans vivaient et travaillaient. Enfin, pour en revenir plus particulièrement à l immeuble qui nous intéresse ici, il faut rappeler que ses plus anciens propriétaires connus, les Montcalm de Saint- Véran, avaient valu au carrefour en bordure duquel leur maison se dressait l appellation des Quatre coins de Saint-Véran. Quant à l appellation de rue de la Colonne, qui fut plusieurs siècles (on la trouve du XVIe au XIXe siècles) durant celle de notre actuelle rue de l Horloge, elle faisait référence à une colonne antique 15

16 exhumée dans cette artère ou dans une maison la bordant, vraisemblablement à l occasion de travaux. Par la suite, l installation de la mairie dans une des maisons riveraines valut en plus à cette artère l appellation de rue de la Maison de Ville (2). Cette ancienne mairie s élevait entre les actuels n 5 et n 7 de la rue de l Horloge, il n en subsiste que la tour d horloge, le reste de l édifice, ainsi que quelques maisons attenantes, a été abattu dans les années 1880 pour permettre la création de la place de l Horloge qui prolongeait la rue Guizot et permettait d améliorer la voirie et d aérer le parcellaire de ce quartier densément bâti. 16

17 L hôtel de Possac : mutations et campagnes de travaux Les mutations Avant de devenir la propriété des Possac, l actuel n 18 de la rue de l Horloge aux Scatisse, notables nîmois d origine italienne, propriétaires de plusieurs vastes maisons dans ce quartier.. La présence des Montcalm au niveau du 18 rue de l Horloge ne fait aucun doute en tous cas dès le début du XVIe siècle : une reconnaissance féodale du 4 novembre 1514 concernant une maison mitoyenne cite en effet le juge mage Louis de Montcalm comme confront ; cette reconnaissance féodale fut faite par le marchand Olivier Richard à noble Pierre Berbier, docteur ès lois, seigneur de Saint-Côme, et conseiller à la Cour des généraux de Montpellier, pour une maison sise carriera de la columpna, qua itur ad Sanctum Stephanum de Capitolio, c est-à-dire dans la rue de la Colonne qui mène à (l église) Saint Etienne du Capitole, sise auprès de la Maison Carrée. Le dénombrement de 1547 décrit quant à lui la maison de noble Frances de Montcamp de la manière suivante : elle présente deux étages au-dessus du rez-de-chaussée («Trois estages» selon la manière dévaluer autrefois), elle est bâtie partie en pierre le rez-de-chaussée voûté vraisemblablement- partie en pan de bois (les niveaux supérieurs), elle dispose d une cour, d une basse-cour dite «paty clos», d un puits. Le texte évoque aussi la présence d une «galerie», nous dirions plutôt aujourd hui une coursive : il s agissait d un dispositif qui tenait à la fois lieu de palier et de couloir, permettant de relier les différentes ailes de la maison à partie d un unique escalier sur cour ; le fait que cette galerie soit décrite comme un élément important de l immeuble suggère qu elle dessert l escalier principal sur la cour d honneur, l ensemble escalier-galerie semble distinctif des maisons patriciennes. Le compoix de 1596 indique qu à cette époque, la maison de M. de Montcalm comprenait une cour, couvrait une surface au sol cour comprise- de 157 canes et 2 pans carrés, soit un peu plus de 628 m2, et confrontait à l est et au sud deux rues (actuelles rues du Grand-Couvent et de l Horloge), au nord, Monsieur Duranty, conseiller du roi, et à l ouest, Bertrand Poujol (3). Les Montcalm de Saint-Véran ont conservé leur immeuble de la rue de l Horloge jusqu au début des années Isaac de Possac en est devenu propriétaire par une convention passée de main privée, le 13 janvier 1673, et officialisée par la quittance de Monsieur de Montcalm, enregistrée quant à elle devant Me Privat, notaire nîmois, et datée du 19 décembre Cet acte nous apprend que Isaac de Possac avait versé 5000 livres en louis d or et d argent Et ce en deduction et a bon compte de la Legitime de feu Messire Daniel de Montcalm seigneur de Labaulme, père du vendeur, ce dernier étant Messire Pierre de Montcalm de Gozon. Un des prix-fait baillé pour à l architecte Gabriel Dardailhon pour remettre l immeuble en état, celui du 17 avril 1676, fait allusion à un autre contrat de prix-fait, daté du 7 novembre 1675 quant à lui et concernant le même immeuble ; ce premier acte avait été passé chez Me Donzel, vraisemblablement à Nîmes, mais les archives de ce notaire du XVIIe siècle n ont apparemment pas été conservées, ou en tous cas n ont pas été versées aux archives départementales du Gard. Le décès de ce Me Donzel, évoqué dans le prix-fait d avril 1676, explique que Isaac de Possac, dont il était vraisemblablement le notaire attiré?, passe tous les contrats suivants chez Me Arnoux, également établi à Nîmes. On doit souligner qu à l époque de son acquisition par Isaac de Possac, l immeuble avait déjà été nettement agrandi par rapport à sa surface de la fin du XVIe siècle : il ne couvrait plus 157 canes et 2 pans carrés, comme précédemment mais 244 canes carrées (dont 28 canes déclarées nobles et donc exemptées d imposition, et 216 canes dites de rural et imposables), soit environ 976 m2. Les confronts cités dans le compoix de la fin du XVIIe siècle étaient les suivants : à l est, la rue de la Boucarié (rue du Grand-Couvent), à l ouest, Salomon Baux et le praticien (ou clerc de notaire) Pierre Martin, au nord, les hoirs de Sieur Guillaume Duranty, au sud la rue de la Coulomne (rue de l Horloge) (4). 17

18 Extrait du plan cadastral de 1830 : l actuelle parcelle EY0312 avait déjà sa forme actuelle, elle s étendait jusqu à l impasse : le percement du premier tronçon de la rue Général Perrier, dans les années 1850 a modifié la partie nord de cet îlot. 18

19 Les de Possac restèrent propriétaires de ce bien jusqu en : le dernier des membres de cette famille à l avoir détenu était Antoine François Génas de Possac. Le registre du Recensement effectué pour les années nous montre que les de Possac n utilisaient déjà plus à cette époque leur maison comme hôtel particulier au sens plein du terme : ils y figuraient certes comme propriétaires résidents, mais avaient mis le reste de l immeuble en location et il était densément occupé : - l appartement des de Possac abritait : F[rançois? Ferdinand?]Antoine de Possac, propriétaire terme à prendre aussi dans le sens de rentier-, né en 1766 ; son épouse, née Vassal, à Paris, en 1777 ; Louise de Possac leur fille?- née à St-Jean-du-Gard en 1826 ; Suzanne Pommier, la cuisinière se la famille, née à Fontanes en 1810 et Marie Peyre, vraisemblablement une autre domestique, née en 1811 ; - une chambre ou un petit logement abritait François Attenoux, marchand de rouennerie, né en le logement de la famille Gaussen abritait le père, Pierre, journalier, né en 1770, son épouse, née Julien, née en 177, et leur trois enfants (nés en 1810, 1816 et 1817) - un autre journalier et les siens occupaient un autre appartement : Pierre Salles (né en 1804), son épouse née Vedel (née en 1805), leurs quatre enfants nés en 1824, 1829, 1833 et la famille Mazel était également celle d un journalier : Noël Mazel était originaire de Lodève où il était né en 1796, son épouse née Sartel en 1796 également était nîmoise comme leurs deux enfants, Irma et Gaston (1833 et 1834) ; ils partageainet leur logement avec deux parents : Mathieu Dumas lui aussi journalier, né en 1810 (à Soulas?), et son épouse née Mazel (en 1811 à Nîmes) et leur fils, Casimir (né en 1834) - madame veuve Belle, née Dupuis, en 1770, occupait un autre logement avec ses deux fils, Jean, savetier, né en 1810 et André, militaire, né en 1800 ; tous trois étaient originaire d Uzès. - Une autre veuve, Madame Fraisse, née Rolland, habitait un appartement avec ses trois enfants, Elizabeth (née en 1809), Marie (1812) et Jean (1814) - Une troisième veuve vivait ici seule : Madame Gibert, originaire de Montpellier (1777) - Une couturière, mademoiselle Hajène, née en 1807, occupait une chambre ou un petit logement - Le cordonnier Gilles Lauran, né à Pont-Saint-Esprit, son épouse, née Lautrec, originaire de Nîmes et leurs deux filles Rosalie et Marie (nées en 1824 et 1827) résidaient aussi dans l immeuble - Un autre logement abritait l ouvrier maçon Etienne Imbert, né en 1799, et son épouse née Roches - Les huit membres de la famille Flacheron se partageaient un appartement probablement vaste (le loyer se montait à 250 francs de l époque, c était l un des plus coûteux de l immeuble) - Enfin, le «propriétaire» ou rentier Edouard Rolland occupait également l un des trois beaux appartements de l immeuble (les deux autres étant ceux des de Possac et des Flacheron), son loyer se montait en effet à 600 francs de l époque, il était né en 1801 et vivait ici avec son épouse, née Deshours en 1804, leurs cinq enfants (nées en 1827, 1829, 1830, 1831, 1834), leur cuisinière, Mademoiselle Coste (1807), et deux autres domestiques célibataires, Jeanne Guioux et Emilie Pépin (1810 et 1811). - En 1921, le cadastre enregistre une mutation au profit de Ferdinand Lauret, domicilié 4 rue Monjardin, à Nîmes. Puis, en 1936, l immeuble passe à Madame veuve Pierre Lauret, elle-même née Lauret, ce qui laisserait supposer sauf erreur de la part du rédacteur de la matrice- que Pierre Lauret avait épousé une de ses cousines. Cette dernière, tout autant que Marguerite Lauret, citée comme propriétaire dans les années 1960, conserva comme adresse principale le 4 rue Monjardin, on peut donc penser que pour les Lauret le 18 rue de l Horloge était seulement un immeuble de rapport (5). 19

20 Les travaux Tel qu il se présente aujourd hui, l ancien hôtel de Possac témoigne toujours globalement de l importante campagne de modernisation que lui fit subir Isaac de Possac, peu après l avoir acheté, dans les années Ces travaux importants sont assez bien documentés, par tout une série de prix-faits, auxquels ne manque apparemment que le premier, celui du 7 novembre 1675, évoqué ci-dessus. Bien que l on puisse déplorer la perte de ce document initial, on doit reconnaître que les contrats suivants sont tout à fait intéressants et décrivent bien les travaux qui ont donné à l immeuble, pour l essentiel, son aspect actuel. Le prix-fait du 17 avril 1676, baillé à Gabriel Dardailhon, qualifié dans cet acte de m[aîtr]e masson et architeche [sic], témoigne de la volonté de perfection et indirectement des ambitions sociales- de Isaac de Possac. Le recours à Gabriel Dardailhon est déjà en lui-même significatif à cet égard : ce maître d œuvre était en effet, avec son jeune collègue, et parfois associé, Jacques Cubizol, le plus renommé des constructeurs de la région nîmoise dans le dernier quart du XVIIe siècle. La lecture du prix-fait montre également à quel point Isaac de Possac était attaché à la volonté de faire de sa maison un modèle d élégance : dans le Corps de Ceste ouvrage qui est assez grand et considerables les parties ont remarqué que pour le dautant mieux rendre regullier et parfaict et en tirer de plus grandes utillités et advantages il estoit d absolue necessité de non seullement refformer [réformer] en certaines chozes le [premier] projet dont ils avaient cy devant convenu Mais aussy de laugmenter en plusieurs endroits. C est pourquoi ledit sieur de Possac a encore baillé a prisfait audit sieur Dardalhon les chozes ci après esnoncees (6). Il est intéressant de détailler les aménagements en question, révélateurs du soin que Isaac de Possac, marchand drapier enrichi au point d être devenu bourgeois, c est-à-dire de vivre du seul revenu de ses biens immobiliers, apporte à l aménagement de sa nouvelle demeure, symbole par excellence de ce que nous appellerions aujourd hui son standing. Tout d abord, il est indiqué que les membres [pièces] de rez de chaussee et entrée du grand degre se trouvoient trop bas et estouffés ; par conséquent, il est convenu de surhausser de 2 pans, soit 0,54 m l ensemble des pièces du rez-de-chaussée ce qui implique aussy que l architecte pour ce faire Eslevera les murailles de toute la maison desdites 2 pans Ensembles. Ce seul fait donnait au chantier une importance et un coût beaucoup plus considérables que ce qui avait été initialement envisagé quelques mois plus tôt.. Plus loin, on évoque les améliorations envisagées pour mettre en scène plus dignement le grand escalier, celui qui doit impressionner les visiteurs et contribuer à exprimer le bon goût autant que la fortune du maître de maison : Faira dans la fassade [au niveau supérieur de la façade sur cour de la cage d escalier ] au lieu de trois [fenêtres] bastardes [fenêtres à meneau de pierre] portées dans le [précédent] contrat trois arcs avec pareilhe architecture Simétrie que celle[s] qui a esté faicte a ceux de la montés dudit degré Et pour ce faire faira monter les pilastres jusques a l imposte d iceux. Et quant aux septantes quatre balustres desnocés [d énoncés ou énoncés] dans le Contrat pour estre employés tant a la montée des degretz aus pour servir de paravent [parabande ou pour nous, garde-corps] et appuy au dessoubz des trois arcs en faut 24 pour faire ladite balustrade, plus 24 autres pour garnirles trois autres arcs du dessus faisant 48 balustres reste 24 qu il faut distraire pour nestre point necessaire attendu que ledit sieur [de Possac] veut fere au niveau dudit degré une balustrade de fer. Cette longue description des aménagements de la cage d escalier permet de rendre compte de la volonté de moderniser son aspect, en adoptant les règles de simetrie [sic], ou symétrie, prônée par l esthétique classique qui a structuré son vocabulaire peu à peu dans le courant du XVIIe siècle, et va connaître son apogée et figer ses règles sous Louis XIV, avec la fondation de l Académie d Architecture. Le désir de symétrie qui sous-entendait aussi une volonté d homogénéiser les lignes, le décor et les espaces d une construction- imposait que tous les niveaux de la façade sur cour de la cage d escalier présente le même aspect, c est-à-dire ici une superposition de trois ouvertures formant des arcades, un peu dans l esprit des loggie de certains palais italiens. Ce faisant, l architecte et son client adoptait aussi une formule permettant d ouvrir plus généreusement sur cour la cage de l escalier, selon une formule élaborée depuis le début du XVIIe siècle, notamment grâce aux interventions de l Orléanais Simon Levesville à Montpellier, où il avait fait école et généré une mode qui ne tarda pas à se diffuser dans toute la région. On note aussi dans cette description de la cage d escalier le remplacement de la lourde balustrade de pierre, prévue à l origine pour servir de rampe à l escalier, par une balustrade de fer, c est-à-dire une rampe en ferronnerie, dispositif plus 20

21 aérien et plus novateur que les balustres de pierre, prisés jusque-là mais qui commençaient à passer de mode, même en province, chez les propriétaires qui se voulaient en prise avec leur époque. Par ailleurs, la curieuse corniche en cavet, au décor de stuc, qui couronne toujours les façades sur rue et sur cour du 18 rue de l Horloge, est elle aussi évoquée dans ce prix-fait : faira une Corniche avec plastre [stuc] [avec] Les forgets [ terme utilisé ici pour désigner les rejets d eau en forme de masques de lion] le long des deux ailes contigues du Coste de la rue du midy et levant et en faira une autre [corniche] semblable qu il faira reigner dans les quatre faces de la cour principalle. 21

22 Corniche, détail : masque de lion et décor en motifs d écaille, à l angle des rues de l Horloge et du Grand Couvent 22

23 Tout une série de travaux énumérés dans ce contrat concernent le réaménagement de l aile est de l immeuble ; à leur lecture, on se rend compte qu en plus de la cour principale à laquelle on accède par la rue de l Horloge, il existe une arriere cour ou basse-cour, dans laquelle on va désormais pénétrer par une large porte cochère percée du côté de la rue du Grand Couvent un grand portal embrasé d un Costé affin que une charrette y puisse passer pour entrer et sortir de ladite arriere cour. Chose curieuse, dans le cadre de ce chantier où l on se veut visiblement novateur, on décide quand même de rester fidèle parfois à des éléments qui paraissent singulièrement désuets dans le courant du XVIIe siècle : ainsi le sommet du mur qui domine cette porte charretière, abrite une série de pièces qui doivent être protégées par un couvert auquel il s agit de donner une pente suffisante, couvert dont la disposition est telle que si on le couronne d un forget (corniche ou peut-être plutôt ici avant-toit), cela fera, selon les termes du prix-fait, un mauvais effet ; on décide donc de renoncer au forget et de coiffer la partie supérieure de ce mur qu on va surhausser de créneaux, c est-à-dire de rester fidèle à ce qui existait déjà auparavant à cet endroit. On notera au passage que les murs coiffés de créneaux, héritage de l époque médiévale, continuent d être réparés ou bâtis encore durant une partie du XVIIe siècle, en Languedoc, on en a un bel exemple à Montpellier, rue la Salle l Evêque, sur un hôtel particulier datable de la 1 e moitié du XVIIe siècle. L emploi des créneaux, au 18 rue de l Horloge, visait à masquer la pente du toit ainsi dissimulée depuis la rue. Cette partie de la façade sur la rue du Grand Couvent a malheureusement disparu lors d un surhaussement ultérieur de l immeuble. Cependant, la description précise qui nous en est donné dans ce prix-fait permet de reconstituer son aspect d origine, ainsi que la disposition des pièces installées de ce côté. La grande porte charretière, en plein cintre, était suivie d un large passage couvert d une voûte en plein cintre destinée à porter le sol du pave des sudits membres [ou pièces]. Celles-ci forment un étage unique au-dessus du portail et constituent un petit appartement conforme au modèle qui s était répandu dans les hôtels particuliers parisiens au début du XVIIe siècle, à savoir une petite enfilade de pièces formée d une chambre faisant suite à un salon crée dans l aile est-, d une arriere chambre et d un cabinet ; les fonctions exactes de l arrière-chambre et du cabinet n étaient pas fixes à cette époque, ils pouvaient jouer respectivement le rôle de boudoir et de petit bureau, ou encore de garde-robe et de débarras, abritant à la fois la paillasse d un ou d une domestique. Ces pièces n étaient éclairées que du côté de la cour par deux croizieres, ou fenêtres à croisée de pierre, qui devaient être réalisées à l identique de celles existant déjà. Pour soutenir avec plus de sûreté les pièces nouvellement créées, en plus de l arc du passage d entrée, on éleva également un autre arc suivi d une autre voûte- en pierre de taille, étendu sur toute la largeur de la basse-cour, sur sa face est. En plus de sa cour principale et de la basse-cour ouvrant à l est sur la rue du Grand-Couvent, l immeuble possédait encore une petite arrière cour, dans sa partie ouest. Issac de Possac désirait y faire creuser un puits, qui fit lui aussi l objet d aménagements soignés, malgré son installation dans un espace somme toute secondaire. Bien que cela ne soit pas précisé dans ce devis, il est possible que ce nouveau puits en ait remplacé un plus ancien, aménagé quant à lui dans la cour principale : en cette fin du XVIIe siècle, la présence du puits dans cette cour rénovée ne devait plus paraître convenable, en plus il aurait empiété sur la surface déjà relativement réduite de cette cour, nuisant à son unité d ensemble. Ce nouveau puits pouvait aussi venir en complément d un autre, installé dans la basse-cour : les pénuries d eau à Nîmes, en période estivale, étaient courantes la source de la Fontaine n offrant plus alors qu un mince filet d eau, vite accaparé par les teinturiers et jardiniers. Ce problème incitait les plus fortunés des habitants à disposer de plusieurs puits, qu ils entretenaient soigneusement, et faisaient parfois recreuser, dans l espoir d éviter de manquer du précieux liquide. D ailleurs, ce problème est bien mis en avant dans le prix-fait : il est spécifié qu il faudra creuser en sorte que au mois daoust prochain il y aye du moinct 3 pans d eau, soit environ 0,70 m, au fond du puits. Parallèlement, le client s assure de la solidité de l ouvrage et donc de son aptitude à fournir durablement de l eau ; à ce propos, il exige que Gabriel Dardailhon fasse bâtir l enceinte [du puits, son encadrement de pierre] despuis le Cistre [ou roche] ferme jusques au Rez de chaussée avec massonnerie ; en outre, il faudra faire bien quatre bonnes rascasses [arcs servant à contrebuter latéralement le poids de la terre] au dessus du Cistre pour supporter ledit bastimant [le puits] dautant mieux affin que par Subcession du temps ledit puits ne se puisse metre en Ruyne en se soubz Creusant. Par ailleurs, ce puits doit être de environ 4 pans dans œuvre, soit un peu plus de 1 m ; s il est dans œuvre, c est parce que l on veut faire en sorte qu il ne puisse incomoder [empiéter, ici] d autant moins ladite arriere cour, c est pourquoi il doit être installé en partie dans la murailhe de Costé du Midy au desoubz la voulte [d une ancienne porte murée] Et ce faisant faire une margelle de pierre de tailhe avec une niche par dessus [et] le Contre mur avec pierre de tailhe despuis ladite margelle jusques a la niche. On remarque que l on observe de semblables puits, semi hors-œuvre, dans plusieurs demeures nîmoises où ils ont été préservés jusqu à nos jours, ainsi, dans la cour d honneur du 6 rue Fresque. 23

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