Tube à rayons X Films cassettes La chambre noire et le développement. Contrôle de qualité

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2 Tube à rayons X Films cassettes La chambre noire et le développement Négatoscope Contrôle de qualité 2

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4 1-définition: Les rayonnements X sont des rayonnements électromagnétique de très courte longueur d onde, en radiodiagnostic, l émission de rayons X est obtenu par bombardement d une cible par un faisceau d électrons accélérés dans le vide. Dans un tube à rayon X, l émission des électrons est obtenue à l aide d un filament chauffé à une température suffisante pour entrainer un effet thermo-ionique. les électrons ainsi émis quittent le filament sous l effet d un champ intense qui les accélère. 4

5 Un filament de tungstène (pour supporter de haute température) est chauffé par une batterie auxiliaire munie d un rhéostat,il est placé dans une ampoule de verre ou règne le vide( pour que les électrons n interférent pas avec les molécules de l air). Cette ampoule contient également une plaque cylindrique porté à un potentiel positif (anode) par rapport au filament (cathode). 5

6 le tube de radiodiagnostic est un tube Coolidge, tube à cathode chaude dont quelque élément sont un peu particuliers; il comprend une enceinte constituée d une ampoule de verre où règne un vide poussé, une cathode et une anode. a-l ampoule de verre: doit être parfaitement étanche, les joints entre le verre et l arrivée des conducteurs doivent être parfaits. b-la cathode: est un bloc cylindrique ou est creusée une gouttière qui contient un filament de tungstène dont le point de fusion est de 3650 C 6

7 La cathode d un tube à RX est destiné à délivrer un faisceau d électrons. La cathode se compose principalement d un ou plusieurs filament, chaque filament est constitué de fil de tungstène bobiné, en effet le foyer optique et la puissance du tube dépend de la section du fil. 7

8 Du diamètre de la bobine et de sa longueur le filament doit être chauffée par un courant basse tension réglable. les tubes à double foyer ont une cathode équipée de 2 filaments superposés ou juxtaposé. 8

9 C-l anode: elle peut être fixe ou rotative la plupart de tubes actuels sont équipés d anodes rotatives. 9

10 C est le rapport entre la puissance transformée utilisable et la puissance absorbée K est voisin de,z=74 numéro atomique du tungstène PourU=100 KV 10

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15 1. Tension maximale: Les exames en radiodiagnostic nécessitent l émission des rayons X entre les tensions suivants: Mammographie: de 20 à 40 KV Radioscopie: de 50 à 110 KV Radiographie: de 50 à 150 KV 15

16 PRESTILIX 1600 «done» Manifactured :septembre 2007 Voltage:150 KV Filtration :1mm Al Focal spot:0,6-1,2mm Made chinesse 16

17 Stenoscope :5 ans Manifactured:april 94 volts: 24 kv-dc 17

18 PRIMAX Appareil mobile pour la salle d opération 18

19 Siemens Mode in germany Wave length: nm 19

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21 Un film photographique est constitué d un support polyester d une épaisseur de 180 µm environ, sur lequel est déposé l émulsion photographique, soit sur les deux faces du support, pour les films bicouches, soit sur une seule face, pour les films monocouches. Dans les deux cas, une couche protectrice recouvre l émulsion. La couche sensible est constituée de cristaux de bromure d argent dont la taille varie de 0.3 à 3 µm. La taille des grains a une conséquence directe sur la définition de l image; plus les grains sont fins plus la définition de l image est bonne mais moins sensible. 21

22 STRUCTURE 22

23 Principes : Les rayons X impressionnent les émulsions photographiques. Les atomes de bromure d argent Ag+ Br- se présente sous forme cristalline. Les ions bromures excités par le rayonnement libèrent des e - par effet photo électrique : Br- Br + é et Ag+ +é Ag ainsi la quantité de Ag métal formé lors de ce processus est proportionnel à l intensité du rayonnement capté par l émulsion photographique, l image n est pas visible on l appelle image latente. L image visible est obtenu à partir du développement photographique. 23

24 L exposition E, en un point donné du film, représente l intensité I absorbée pendant un temps t donné : E = I x t Ainsi une exposition croissante conduit à une augmentation du nombre de cristaux de bromure d argent excités, donc un accroissement du nombre d atomes Argent métal. Ce qui nous permet d étudier la densité optique en fonction de l exposition. 24

25 FILMS Numérisés: Le principe de base commun à toutes les techniques de radiologie conventionnelle numérique est qu il n y a plus de film exposé aux rayons. A la place du film se trouve un détecteur sensible aux rayons. Ce détecteur, selon la technologie utilisée, fournit directement ou indirectement l information à l ordinateur qui calculera l image finale. Cette image, stockée sur l ordinateur, peut à volonté, être imprimée sur un film ou uniquement consultée sur un écran. 25

26 c) Divers films peuvent être utilisés : 36 x x x x x x 24 26

27 2-Les cassettes : Un film photographique n absorbe qu une faible partie de l énergie émise par un tube à rayon X. Il est par conséquent nécessaire de recourir à un procédé permettant d obtenir un meilleur rendement. Ainsi, les écrans renforçateurs constitués de cristaux luminescents permettent d absorber une grande partie de l énergie du rayonnement X. Elle est utilisée pour provoquer la fluorescence du cristal qui émet une lumière très active sur les émulsions photographiques. 27

28 Les écrans au tungstate de calcium émettent une lumière bleue-violacée compatible avec la sensibilité des films suivant le type d application on distingue différents types d écrans : Les écrans lents à grains fins. Les écrans normaux. Les écrans rapides. La taille des grains et l épaisseur de la couche des cristaux conditionnent la finesse de l image et la durés de temps de pose. Les écrans à grains fins sont utilisés pour fournir des images très nettes des structures explorées, mais ils nécessitent des temps de pose longs. Ils sont bien adaptés à l examen des parties osseuses. Cependant la dose reçue par le malade est plus élevée que dans le cas l utilisation d un écran rapide qui, à l inverse, fournit une image de moins bonne. 28

29 Divers cassettes peuvent être utilisés. 36 x 43 jaune 36 x 43 bleu 24 x 30 bleu 35 x 35 bleu 30 x 40 jaune 18 x 24 bleu 29

30 30

31 Le développement du film radiographique se déroule dans une chambre noire dans la quelle le manipulateur extrait le film de la cassette, développe le film et recharge la cassette 31

32 La chambre noire est séparée en 2 parties : La partie sèche est là où les films sont stockés et où les films et les cassettes sont manipulés. La partie humide correspond au développement du film, même si le développement est automatisé. 32

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34 Contrôle de la lumière : Aucune lumière extérieure même infime ne doit pénétrer. Un éclairage inactinique est utilisé Lumière inactinique: La lumière inactinique ne devrait pas agir sur le film ; elle dépend du type de ce dernier, elle est de couleur jaune le plus souvent, rouge avec certains films orthochromatiques. 34

35 Il peut être manuel ou automatique Il se déroule en 4 ou 5 phases par une développeuse 35

36 Révélation Fixation Développeuse Lavage Séchage 36

37 Dans une chambre noire le film est sorti de la cassette, fixé aux quatre coins sur un cadre. Ce cadre est plongé successivement, pendant des durées déterminées dans des bains : révélateur (5 minutes), fixateur (10 minutes), lavage final (20 minutes), séchage à l'air libre ou dans un courant d'air chaud 37

38 Le traitement complet dure 90 ou 120 secondes à une température voisine de 35 C Plan de coupe d'une machine à développer. 38

39 Révélation : Ce processus chimique transforme les atomes d'argent inclus dans le cristal de Bromure d'argent (sous forme de Br- et Ag+) en atomes d'argent libre (Ag), par réduction. Le phénomène de réduction est catalysé par la présence d'atomes d'argent libérés dans l'image latente ; seuls les cristaux frappés par un photon et donc porteurs d'un tel atome libre d'ag (germe de développement) seront totalement réduits en Ag et Br. Par contre, un cristal de Br Ag qui n'a pas été exposé et qui ne contient pas de germe de développement ne subit aucune modification. On admet que 5 à 6 atomes d'argent réduits sont nécessaires pour constituer un germe de développement. 39

40 Le Fixateur a pour rôle d'arrêter le développement, de fixer l'image en éliminant les ions argent qui n'ont pas réagi et de rendre le film transparent. 40

41 La gélatine contient encore après fixage des molécules de fixateur, de bromure qui sont éliminées par un lavage prolongé final. Seul l'argent noirci non soluble persiste dans la gélatine. Le Rinçage du film est donc une étape très importante, car elle permet d'éliminer les traces de fixateur. Un film mal rincé devient progressivement jaune par la cristallisation de sulfure d'argent. 41

42 Le film doit alors être séché, car l'émulsion humide est fragile. Assuré par simple exposition à l'air pendant plusieurs heures à l'origine, il a été accéléré par l'air chaud ou même par un rayonnement infrarouge. 42

43 Le développement automatique réalisé par une développeuse permet d'obtenir un développement constant et standardisé des films et contribue à la constance de la qualité des images produites. Il est cependant nécessaire de bien suivre le mode d'emploi de chaque appareil et de respecter en particulier les périodes de chauffe avant utilisation et le passage de "films balai" qui renouvelle les bains. 43

44 1-Définitions: Le négatoscope est une plage lumineuse, permet de faire la lecture de clichés radiographique en diffusant de la lumière à travers ceux-ci. 2-Principe de fonctionnement : Le négatoscope se présente comme une table ou un écran murale émettant une lumière uniforme adapté à la lecture des clichés. C est généralement une lumière de type «lumière du jour» 44

45 3-Options disponibles. La taille d un négatoscope varie de 40 à 140 cm de large, de 40 à 50 cm de hauteur et il a 12 cm de profondeur. Les négatoscopes horizontaux se placent généralement sur des tables inclinées. Selon le type clichés à réaliser, on va faire varier la luminance du négatoscope. Luminance faible: cliché de radiographie. Luminance forte : cliché de mammographie. Selon les modèles. 45

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48 4-Contrainte d installation: Réseau électrique avec mise à la terre indispensable. Fixation éventuelle du local en fonction de la chaleur dégagé par les négatoscopes. Attention de ne pas rayer les vitres et ne pas s appuyer dessus. 48

49 La chaîne radiographique est constituée d une série d instruments et de matériels qui ont tous leur rôle à jouer dans la qualité de l image. Si une partie de cette chaîne tombe en panne ou présente des anomalies, c est l image résultante qui va être de mauvaise qualité. Pour maintenir la qualité de l image, un contrôle qualité systématique et périodique de l installation doit être mis en place. Cette mise en œuvre de contrôle qualité s inscrit dans la démarche globale de l assurance qualité (l ensemble des dispositifs nécessaires pour garantir que cette installation fonctionne conformément aux normes). 49

50 Deux Directives européennes traitent de la protection de la santé des personnes contre le danger des rayonnements ionisants dans le cadre de l'exposition médicale : la Directive 84/466/Euratom de 1984 et la Directive 97/43/Euratom (1997), qui remplace la première avec effet au 13 mai Vu ces deux directives, le décret n du 5 décembre 2001 oblige la maintenance et le contrôle qualité des dispositifs médicaux. En effet «l'exploitant veille à la mise en oeuvre de la maintenance et des contrôles de qualité prévus pour les dispositifs médicaux qu'il exploite 50

51 Différents tests de contrôle qualité 1) Test d hortogonalité du champ lumineux Le rôle de ce test et de voir si : le faisceau lumineux coïncide avec le faisceau de rayons X le faisceau primaire est perpendiculaire à la table le rayonnement est centré correctement et relativement à l aire ( surface ) de champs de radiations c.à.dvérifier l horizontalité de la table à l aide du test de table (X,Y) et de collimation sur la cassette à une distance égale à mettre. 51

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54 Différents tests de contrôle qualité 2) L objet teste trou. L homogénéité du film. Alignement de la grille : La première sur la table. La deuxième sous bot aire. Placer objet test sous la table et fixer à l aide sparadras. Le faisceau collimaté sur le premier trou doit êtres coïncide avec le rayonnement, ensuite en ferme les autres trous (orifices) à l aide du plomb; A prés on déplace perpendiculairement sur les autres orifice et chaque fois on irradié que l orifice ouverte et on ferme les autres trous 54

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57 Différents tests de contrôle qualité 3) Tests contraste et écran-films. On place sur la table toujours à la distance de 1 m et on choisit que de nouvelles cassettes. 4) Tests d émissions de l écran et la sensibilité du film en fonction de longueur d onde ( ici est le visible) pour savoir le type de films et avec quel type d écran et bien sur la vitesse du film etc, 57

58 MERCI POUR VOTRE ATTENTION 58

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