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1 LA LETTRE N 50 Décembre 2013 SOMMAIRE l Interview : Philippe Meunier, Ambassadeur Sida et maladies transmissibles pages 2 et 3 l Santé en milieu carcéral en Côte d Ivoire : Projet ESTHER - Fonds mondial pages 4 et 5 l Lancement officiel du Projet OPP-ERA en Côte d Ivoire pages 6 et 7 l Journées scientifiques ANRS- ESTHER-NCHADS-VAAC page 8 l La participation d ESTHER à la cohorte TIHLAO-ANRS page 9 Réseau EVA : Enfants et VIH en Afrique page 10 Santé sexuelle et droits humains, ESTHER s engage! page 11 l Collaboration FEI-ESTHER à ICASA page 12 ESTHER A ICASA Suivez-nous : sur et sur Twitter EDITO GILLES RAGUIN L année 2013 s achève bientôt avec de nombreux succès pour le GIP ESTHER et ses partenaires. D abord et avant tout, malgré la crise financière, le GIP garde un volume d activités significatif grâce, d une part, à la confiance de nos ministères de tutelle, qui ont maintenu notre subvention publique à un niveau satisfaisant mais aussi grâce au succès que les équipes du GIP ont remporté dans leur recherche de fonds. En 2013 sont entrés en opération : Le projet OPP ERA, financé par UNITAID, mis en œuvre par un consortium français associant FEI, ANRS, ESTHER, SIDACTION et SOLTHIS, qui vise à améliorer l accès à la charge virale (voir les détails dans cette lettre). Le projet de recherche opérationnelle sur la prise en charge intégrée des usagers de drogue, avec substitution par la méthadone ou la suboxone, à Ho-Chi-Minh-Ville, au Vietnam. Ce projet est un partenariat ESTHER/BIXIA/CHU Bordeaux avec l Université de Pennsylvanie et le NIDA, USA. Il a notamment été discuté lors du colloque ANRS/ ESTHER qui s est tenu en octobre à Hanoï. Le projet santé en milieu carcéral de Côte d ivoire, qui est désormais financé par le Fonds mondial et s étend à 8 prisons de Côte d Ivoire. Il faut se féliciter de ces succès, pour les bénéficiaires surtout, mais aussi pour les partenaires hospitaliers, qui disposent ainsi de moyens nouveaux pour apporter leur expertise, leur solidarité aux collègues des pays partenaires. Enfin, le GIP ESTHER, opérateur bilatéral de la lutte contre le sida, est fidèle à sa mission quand il contribue à améliorer l impact des investissements de la France dans le Fonds mondial et UNITAID, ce que notre ambassadeur évoque et discute dans ce numéro de la lettre. Merci à tous ceux à qui nous devons ces résultats : partenaires hospitaliers et associatifs, équipes ESTHER du siège et du terrain. Un mot pour saluer particulièrement le courage et la détermination de nos équipes locales de Centrafrique qui, dans un contexte d instabilité majeure, ont su adapter et poursuivre les projets ESTHER, quasiment sans interruption. Un mot aussi de reconnaissance aux bailleurs qui nous font confiance : UNITAID, AFD, la Mairie de Paris, Plan Bénin et le PNPEC de Côte d Ivoire, à travers des financements du Fonds Mondial et le NIDA américain. Solidairement vôtre. 62, Boulevard Garibaldi Paris

2 Portrait : Philippe Meunier, Ambassadeur chargé de la lutte contre le VIH/SIDA et les maladies transmissibles Philippe Meunier a été nommé, au mois de juin 2013, Ambassadeur chargé de la lutte contre le VIH/SIDA et les maladies transmissibles. Il remplace Mireille Guigaz, devenue vice-présidente du conseil d administration du Fonds mondial sida, tuberculose, paludisme. Diplomate, Philippe Meunier était précédemment directeur du développement et des biens publics mondiaux au Quai d Orsay. Il a été directeur de cabinet de Charles Josselin, Ministre délégué auprès du ministre des Affaires étrangères, chargé de la Coopération et de la Francophonie, entre 2000 et 2002, années qui correspondent à un tournant dans la lutte contre le Sida. A ce titre, Philipe Meunier a participé à la création d ESTHER. Quel est le rôle d un Ambassadeur chargé de la lutte contre le Sida et les maladies transmissibles? «La santé globale, notamment la lutte contre les maladies infectieuses, est un des enjeux majeurs de politique étrangère aujourd hui. Le rôle de l ambassadeur est de contribuer à créer des synergies, faire la synthèse de ce domaine extraordinairement vaste et pluridisciplinaire. La dimension médicale, la recherche scientifique sont essentielles, mais des facteurs politiques, économiques et sociétaux sont également à prendre en compte : protection des droits de l Homme, égalité hommes femmes, accès des populations vulnérables aux traitements, prise en compte des spécificités de chaque pays. Lors de mes récentes missions en Côte d ivoire, au Laos et au Vietnam, j ai constaté la richesse de la présence française en matière de santé dans ces pays, une présence sans équivalent : les projets menés par les opérateurs tels que le GIP ESTHER, FEI (France Expertise Internationale), l ANRS, les Instituts Pasteur, l IRD et les ONG françaises sont impressionnants. La dimension de recherche opérationnelle est un de nos atouts. Elle est déterminante pour accroître la connaissance épidémiologique et sociologique et ouvrir la voie à une maximisation de l impact et de l efficacité de nos actions.» «La nomination d un ambassadeur chargé de la lutte contre le Sida et les maladies transmissibles montre l engagement de la France dans ce domaine, un engagement de longue date, un engagement massif.» La lettre ESTHER n 50 - Décembre

3 Visite de Philippe Meunier, Ambassadeur chargé de la lutte contre le VIH/Sida et les maladies transmissibles à la MACA ( maison d arrêt et de correction d Abidjan) le 11 septembre 2013, en compagnie de Jeanne d Arc Assemien-Ouattara, point focal prison ESTHER en Côte d ivoire Pouvez vous nous décrire le dispositif français d intervention dans le domaine de la lutte contre le Sida et les maladies transmissibles? Philippe Meunier : «La France est engagée de très longue date dans la lutte contre ces pandémies. L action qu elle développe s inscrit dans un continuum : elle est le 2ème contributeur au Fonds mondial, et le Président de la république a décidé de maintenir, à son plus haut niveau, la contribution française sur les 3 prochaines années au Fonds mondial. La France finance également plus de la moitié des moyens d UNITAID, contribuant ainsi à faire baisser le coût des traitements et à ouvrir l accès aux traitements pédiatriques. Tout ceci est conforté par nos actions de renforcement des capacités (grâce à ESTHER et à l Initiative 5% portée par FEI) et plus largement par nos programmes en santé : en matière de recherche avec l ANRS, les Instituts Pasteur, l IRD..., en matière de formation des personnels de santé et d appui aux renforcement des systèmes de santé (ESTHER). Nous nous situons dans une démarche pérenne fondée sur des partenariats différenciés et des approches innovantes. L innovation peut tenir au mode de financement (taxe sur les billets d avion, sur les transactions financières), mais aussi plus largement à la recherche de nouveaux mécanismes d intervention et d objectifs tournés vers l avenir, comme la couverture sanitaire universelle qui pourrait répondre aux besoins spécifiques des différents pays». Quels sont vos dossiers prioritaires? Philippe Meunier : «L Ambassadeur chargé de la lutte contre le VIH/Sida et les maladies transmissibles, désormais basé à Paris, contribue à coordonner les acteurs français, améliorer les synergies et la visibilité de «l équipe France». Je suis également le représentant de la France aux conseils d administration du Fonds Mondial, d UNITAID de Roll Back Malaria et d autres institutions internationales qui interviennent sur ces pandémies. J ai vocation, avec l ensemble du réseau diplomatique, à faire le lien avec les autres pays donateurs et avec les pays récipiendaires des interventions françaises (interventions directes ou à travers ces institutions). Notre engagement vise à répondre à un défi global mais celui-ci se décline dans chacun des pays et il faut être particulièrement attentif à l adaptation et à l efficacité de nos actions dans chacun des pays. Cela suppose un dialogue permanent et un travail au plus près possible des gouvernements et des acteurs de la société civile de chacun de ces pays.» Faut-il encore opposer coopération bilatérale et coopération multilatérale? Philippe Meunier : «on a tort de les opposer: ils doivent se renforcer mutuellement ; j ajouterai qu il faut nuancer l appellation multilatérale s agissant d institutions très spécifiques comme le Fonds Mondial ou UNITAID. Il s agit plutôt de partenariats. Leur configuration est très différente de celle des organisations et agences multilatérales créées précédemment. La visibilité française dans le cadre de ces partenariats et l articulation avec notre coopération bilatérale en santé ne doivent donc pas poser difficulté.» 3

4 Santé en milieu carcéral en Côte d Ivoire : Projet ESTHER - Fonds mondial L equipe qui intervient à la MACA : médecins infirmiers, pharmaciens, gestionnaires, conseillers psychosociaux... La prévention contre le Sida et l accès aux soins ne doivent pas s arrêter aux portes des prisons. La privation de liberté pour les détenus ne doit pas conduire au déni de leurs droits fondamentaux, dont le droit à la santé. Toutefois, la mise en oeuvre d actions sanitaires concrètes en direction des détenus est restée limitée sur l ensemble du continent africain. La prévalence du VIH chez les prisonniers est plus élevée que la moyenne nationale. Nombre d entre eux sont séropositifs pour le VIH à l entrée, mais le VIH se transmet aussi dans les prisons par des relations sexuelles, consentantes ou obtenues par la violence, par l usage de drogues ou l utilisation d objets tranchants. Fin 2008, ESTHER a initié un programme de lutte contre le VIH/Sida dans la plus grande prison de Côte d Ivoire, la Maison d Arrêt et de Correction d Abidjan (MACA), qui peut atteindre plus de détenus (actuellement 4235). Ce programme, mené en partenariat avec le CHU de Bordeaux, a pour objectif de soutenir la mise en oeuvre d activités de réduction de la transmission du VIH, le diagnostic et la prise en charge globale des personnes vivant avec le VIH au sein de la prison. En 2009, les activités d ESTHER en milieu carcéral se sont étendues aux Maisons d Arrêt et de Correction de Dabou et de Sassandra. Dans la continuité de son engagement dans la lutte contre le VIH auprès de publics vulnérables et en particulier en direction des prisonniers, ESTHER est devenu en novembre 2012 sous-récipiendaire du Fonds Mondial pour la mise en oeuvre d activités La lettre ESTHER n 45 - Décembre 2013 prévues dans le cadre du 9ème round. Il s agit d un programme qui vise à mettre en place des actions de prévention et de prise en charge dans 9 prisons de Côte d Ivoire (Agboville, Dimbokro, Bouaké, Man, Soubré et Tiassalé et les prisons initiales : Abidjan et Sassandra qui bénéficient également d un financement ESTHER ; le projet de la prison de Dabou étant entièrement financé sur fonds ESTHER). A travers ce projet en prison, ESTHER a le souhait de motiver une réforme de la santé en milieu carcéral. La prévalence du VIH chez les prisonniers est plus élevée que la moyenne nationale ivoirienne : hommes : 3.8% chez les prisonniers contre 2.7% au niveau national femmes : 14,5% chez les prisonnières contre 4.6 % au niveau national. 4

5 LE PROJET PRISONS - FONDS MONDIAL Il s agit d un projet de mise en place et de renforcement de la prévention et du dépistage, des soins et de l accompagnement des personnes vivant avec le VIH/Sida dans 8 prisons de Côte d Ivoire, ( il entre dans la Phase 1 du round 9 du Fonds Mondial). Les objectifs de ce projets sont : 1 - assurer une meilleure prévention de l infection à VIH (par la formation de pairs éducateurs dans les 8 prisons et par une proposition de dépistage à l entrée en prison), 2 - assurer l accès aux soins et au traitement dans le cadre d une prise en charge globale des PVVIH grâce à une permanence de médecins et d infirmiers, ainsi que de conseillers communautaires pour l accompagnement psychologique et social des PVVIH.,3 - Améliorer l environnement accompagnateur de la prise en charge du VIH et de la Tuberculose en prison. L équipe ESTHER en Côte d Ivoire a été renforcée pour mener à bien ce projet. Portrait : Docteur Jeanne d Arc Assemien-Ouattara, point focal Prisons ESTHER Le Docteur Jeanne d Arc Assemien-Ouattara est coordinateur adjoint ESTHER en Côte d ivoire et point focalprisons depuis A ce titre, elle suit le projet prisons financé par le Fonds Mondial. Médecin de formation, Jeanne d Arc Assemien Ouattara a complété son parcours de médecin par des spécialisations en santé publique et en nutrition. Elle a débuté sa carrière à Port Bouët, a travaillé ensuite dans des cliniques mobiles et a mis en place des centres de santé dans le sud-ouest et l ouest de la Côte d Ivoire, travaillant notamment avec les femmes enceintes et les enfants malnutris. Elle deviendra, en 2007, chef de service au programme national de nutrition chargée de la lutte contre les carences en micro-nutriments et la prise en charge de la malnutrition pour la Côte d Ivoire. A Médecins sans frontières, de 2003 à 2005, elle suivra des projets de nutrition et un projet sur la santé carcérale, puis deviendra Responsable terrain à la maison d arrêt et de correction d Abidjan avec pour tâches la gestion du dispensaire, le suivi et la référence des malades tuberculeux multi résistants et la supplémentation nutritionnelle en QBMIX de la population carcérale. Autant d expériences dont elle a su tirer profit pour mener à bien les premiers projets menés à la MACA, qui aujourd hui sont répliqués dans 8 prisons de Côte d ivoire grâce à un financement du Fonds Mondial. Renseignements : arnaud.laurent@esther.fr jassemien.ouattara@esther.fr 5

6 Lancement officiel du Projet OPP-ERA en Côte d Ivoire Pr Christine Rouzioux, ANRS - Cyrille Pierre, FEI - Georges Serre, Ambassadeur de France - Dr Raymonde Goudou Coffie, Ministre de la santé et de la lutte contre le Sida - Philippe Duneton, Unitaid - Dr Gilles Raguin, ESTHER. Le projet OPP-ERA est destiné à améliorer la prise en charge des personnes vivant avec le VIH en élargissant l accès aux tests de mesure de la charge virale. Son lancement s est déroulé à Abidjan en Côte d Ivoire, le 13 septembre 2013, en présence de la Ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida, Dr Raymonde Goudou Coffie et de l Ambassadeur de France, Monsieur Georges Serre. OPP-ERA est mis en œuvre dans quatre pays : le Burundi, le Cameroun, la Côte d Ivoire et la Guinée, par un consortium d acteurs français : FEI (France Expertise Internationale), le chef de file, ainsi que le GIP ESTHER (Ensemble pour une solidarité thérapeutique hospitalière en réseau), l ANRS (Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales), SOLTHIS (Solidarité thérapeutique et initiatives contre le sida) et Sidaction. Ce projet est subventionné par UNITAID et co-financé par les partenaires, pour un budget total de 2,8 millions de dollars. OPP-ERA vise à faciliter l accès aux tests de mesure de la charge virale pour le suivi des patients VIH et la détection précoce de cette infection chez les nouveaux nés. La mesure de la charge virale est en effet un examen biologique indispensable et les recommandations de l Organisation mondiale de la Santé, publiées en juillet 2013, confirment son caractère essentiel dans le suivi des patients sous traitement ARV. Le projet vise également à ouvrir le marché de la charge virale à de nouveaux fournisseurs pour stimuler la concurrence et l innovation. La lettre ESTHER n 50 - Décembre

7 Dans le cadre de la première phase du projet, un à deux laboratoires de référence de chaque pays vont être équipés de matériels innovants (Open Polyvalent Platforms - OPP) pour effectuer ces tests. En Côte d Ivoire, le projet est conduit par le GIP ES- THER, qui travaille en étroite collaboration avec le Ministère de la Santé et de la Lutte contre le Sida et les équipes ivoiriennes pour préparer la mise en route des équipements dans les laboratoires du CeDReS et le CePFReF afin de réaliser environ tests de charge virale avant la fin de la première phase du projet en juin Dr Raymonde Goudou Coffie, Ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida, Focus sur la mise en oeuvre du projet Les détails du projet ainsi que les sites d installation des plateformes ont été validés par les autorités de santé des 4 pays. Au total 7 plateformes (1 au Burundi et 2 par pays au Cameroun, en Côte d Ivoire et en Guinée) seront installées sur la phase 1 du projet (mars 2013-juin 2014). La liste des sites de traitements associés au projet sera finalisée d ici la fin du mois d octobre. Une analyse des besoins en termes d équipements et de formations a été menée sur les premiers mois dans l ensemble des pays. 4 plans d action spécifiques ont été élaborés sur cette base et un appel d offre conjoint a été lancé le 13 Septembre pour les machines et réactifs des plateformes. Les travaux de réhabilitation et d aménagement des laboratoires cibles seront lancés dans les prochaines semaines. Les compétences des personnels-clefs du projet seront renforcées à partir du 25 novembre prochain selon un plan de formation qui privilégie une pédagogie pratique et des approches inter-pays. La préparation des locaux, des personnels et la mise en place des circuits et processus du projet devrait se poursuivre jusqu à l arrivée des matériels et réactifs et la mise en route des plateformes en février-mars La première phase du projet devrait permettre de réaliser environ tests sur l ensemble des pays. Renseignements : catherine.dauphin@esther.fr 7

8 Journées scientifiques ANRS-ESTHER-NCHADS-VAAC à Hanoi Organisées par l ANRS, ESTHER et les autorités de santé vietnamiennes et cambodgiennes, dans le cadre des activités de l année France-Vietnam, les journées scientifiques ont été ouvertes le 30 septembre par la ministre de la santé vietnamien, l ambassadeur de France, les représentants d ESTHER et de l ANRS, et la prix Nobel de médecine Françoise Barré-Sinoussi. 200 participants venant d Asie (Vietnam, Cambodge, Laos, Thailande, Birmanie), de France, des USA étaient au rendez vous. Les représentants d ESTHER ont présidé 2 sessions : une session thématique sur le suivi des cohortes de patients VIH, présidée par Gilles Raguin, et une table ronde sur la place de la recherche dans les programmes de substitution au Vietnam, animée par le Dr Jean Pierre Daulouede,directeur du CSAPA de Bayonne. Les projets d ESTHER au Vietnam, Cambodge et Laos ont été présentés par Gerald Viretto, responsable des projets pour ces pays. Les partenaires ESTHER ont réalisé des présentations sur les thèmes suivants : les résultats du suivi des patients sous traitement antirétroviral à long terme à l hôpital Calmette de Phnom Penh (Olivier Ségéral ; Kremlin Bicêtre), les facteurs de risques des hépatites (Sophie Goyet, ANRS Calmette), les traitements de substitution chez les usagers de drogue (David Metzger, Université de Pennsylvanie). Les journées ont été clôturées en présence du Vice ministre et directeur du VAAC. La présidente d ESTHER a pu aborder dans sa conclusion les nouveaux projets developpés au Vietnam tels que l accès au traitement des hépatites et la prise en compte des besoins des HSH (homosexuels) en matière d accès au soin. Focus sur les usagers de drogues Au Vietnam, en 1994, on comptait plus de usagers de drogue injectable (UDI) dans le pays. En 2012, il y en avait trois ou quatre fois plus. La prévalence du VIH est estimée dans cette population à environ 11% avec une épidémie galopante dans le Nord-Ouest du pays. L utilisation de drogues injectables chez les femmes travailleuses du sexe est répandue. Projet substitution à Ho-Chi-Minh-Ville Ce projet a démarré en août 2012 au centre de prise en charge du VIH du district de Go Vap d Ho- Chi-Minh-Ville. Ses principaux objectifs sont : l amélioration de l accès aux traitements des addictions aux opiacés et les compétences des personnels de santé en addictologie et la réduction des risques, l amélioration de l offre de soins en introduisant la combinaison de buprenorphine naloxone (Suboxone ) qui permet de : -Diminuer les risques d overdose -Diminuer les risques liés aux interactions avec les ARV (diminution de l efficacité de la méthadone, diminution de l efficacité des ARV) -Diminuer potentiellement les besoins en La lettre ESTHER n 50 - Décembre 2013 staff et infrastructures ainsi que les coûts, par le biais, si les autorités sanitaires l acceptent, d une dispensation mensuelle, l évaluation de la faisabilité de ces traitements chez les patients en mesurant la rétention en traitement, la consommation de substances, les comportements à risques et la réinsertion sociale. Principales activités réalisées : Rédaction des documents et outils de recherche, Equipement du centre de substitution, Recrutement et formation de base du personnel, Approvisionnement en methadone et mise sous traitement de substitution pour 90 patients. Ce projet est mis en œuvre en partenariat avec les autorités sanitaires du Vietnam, et pour les partenaires internationaux avec le Centre de Bizia (Bayonne), l Université de Bordeaux, l Université de Pennsylvanie. Ce projet est cofinancé par l Institut National de l Addiction aux Drogues (NIDA), organisme gouvernemental des États Unis. Renseignements : gerald.viretto@esther.fr 8

9 La participation d ESTHER à la cohorte THILAO ANRS La cohorte Thilao («Third Line Antiretroviral Optimization») est une cohorte prospective thérapeutique multicentrique qui évalue le renforcement de l observance et le traitement à base de darunavir/r et raltegravir chez des adultes infectés par le VIH-1 en échec virologique de deuxième ligne de traitement antirétroviral dans 4 pays : Côte d Ivoire, Sénégal, Burkina Faso, Mali. Les objectifs principaux de l étude sont d estimer, chez des personnes adultes infectés par le VIH-1 en échec de deux lignes de traitement antirétroviral, dans des pays d Afrique sub-saharienne : 1. L efficacité d une phase de renforcement d observance de 3 mois sur le contrôle virologique, et les facteurs associés au succès de ce renforcement ; 2. Chez les patients chez qui le renforcement aura été efficace : le maintien de cette efficacité à 16 mois, et les facteurs associés à ce maintien ; 3. Chez les patients chez qui le renforcement n aura pas été efficace : l efficacité à 12 mois d un traitement antirétroviral de troisième ligne à base de raltégravir et de darunavir/r, et les facteurs associés à cette efficacité. Les adultes infectés par le VIH-1 en suspicion d échec virologique de traitement antirétroviral de seconde ligne (sous ce régime depuis au moins 6 mois, avec une charge virale > 1000 copies/ml datant de moins d un mois), sont recrutés, puis suivis avec, dans une première phase, un renforcement de l observance, dont l efficacité est évaluée par un contrôle virologique à 3 mois. Durant la seconde phase de 12 mois, les participants continuent à être suivis sous leur traitement de seconde ligne initial si le renforcement initial de l observance a permis de rendre la charge virale (CV) indétectable ou bien, en cas d échec virologique confirmé à l issue de la première phase, ils reçoivent un traitement de 3ème ligne à base de darunavir/r et raltégravir. Il s agit ainsi, dans un contexte où le diagnostic d échec virologique est possible grâce à un accès à la CV mais où l accès en temps réel au génotype de résistance n est pas possible, de valider: - un algorithme de confirmation de l échec par un contrôle de la CV après renforcement optimisé et individualisé de l observance, - l efficacité d une troisième ligne d ARV standardisée avec les molécules disponibles, après deux lignes standards (INNRT puis IP/r). ESTHER est engagé aux côtés des équipes de chercheurs pour renforcer les capacités des équipes participantes dans le champ de l optimisation de l observance : - ESTHER a financé et organisé deux sessions de formation des acteurs de l éducation thérapeutique des sites de l étude (25 personnes formées pendant une semaine par Format Santé à Abidjan en septembre 2012 et octobre 2013), - ESTHER participe au «groupe observance» du conseil scientifique de l étude qui a défini les outils de renforcement de l observance et de son suivi, - Ce groupe du conseil scientifique a organisé avec ESTHER une journée d animation scientifique pour les investigateurs de Thilao à Dakar le 21 octobre 2013 ; ce groupe s est élargi aux investigateurs de l essai ANRS «Mobidip», entrepris sur les mêmes sites sénégalais et burkinabés que Thilao mais aussi au Cameroun. Cet engagement d ESTHER dans une large étude clinique entreprise par les équipes d excellence de 5 pays est en cohérence avec la vision d ESTHER sur la qualité, la dynamique de réseau et les axes de partenariat nord-sud et sud-sud. Renseignements : christophe.michon@esther.fr 9

10 Réseau EVA Enfants et VIH en Afrique ESTHER a lancé officiellement le 19 novembre 2013, à Dakar au Sénégal, le projet EVA, «Enfants et VIH en Afrique». Le RESEAU EVA est un réseau de pédiatres et d équipes de soin, spécialisés dans la prise en charge du VIH pédiatrique. L objectif de ce réseau est d améliorer la couverture et la qualité de la prise en charge globale du VIH chez les enfants dans 13 pays d Afrique francophone. En développant une offre de formation régionale SUD/SUD, le Réseau EVA vise à renforcer toutes les compétences (bonnes pratiques et formation) des professionnels de santé impliqués dans tous les aspects de la prise en charge globale pédiatrique de l infection à VIH. Le développement d un Réseau Sud-Sud de collaboration et de formation permet : -de valoriser les pôles de compétence au Sud, -de favoriser l émergence de pôles d excellence, -de développer des stratégies d intervention optimales sur la prise en charge pédiatrique du VIH, -de plaider auprès des autorités nationales et au niveau international en faveur de la mobilisation accrue de moyens adaptés à la lutte contre le VIH chez l enfant et l adolescent. Le Réseau EVA repose sur un pool de 36 experts du Nord et du Sud (issus de 17 sites de référence pédiatrique dans 13 pays d Afrique francophone), noyau du Réseau de 135 référents- formateurs nationaux. Ces formateurs, à leur tour pourront renforcer les compétences des professionnels de santé investis dans la prise en charge pédiatrique dans leur pays : Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun*, Côte d Ivoire*, Gabon**, Mali, Maroc*, Niger, RCA, Sénégal, Tchad et Togo. Des représentants de la société civile du Sud participent au Réseau EVA au travers d un Groupe consultatif de plaidoyer. Et 3 hôpitaux pédiatriques français de l APHP Necker-Enfants Malades, Armand Trousseau et Robert Debré apportent leur soutien au Réseau EVA. La gouvernance est assurée par un comité scientifique et pédagogique (Représentativité mixte: un tiers Nord, deux tiers Sud). L un des activités du Réseau EVA consiste à organiser des séminaires régionaux et nationaux médicaux et pluridisciplinaires de renforcement des capacités. Dans ce cadre, ESTHER a organisé du 19 au 21 novembre un séminaire interdisciplinaire intitulé «Du dépistage au passage vers le service adulte : Comment travailler ensemble pour améliorer l observance et la qualité des soins des enfants et adolescents vivant avec le VIH». Animé par une quinzaine d intervenants, ce séminaire a permis d actualiser les connaissances de 60 pédiatres et équipes de soin d Afrique Francophone investis dans la prise en charge pédiatrique, en mettant l accent sur le partage d expérience Sud-Sud entre professionnels de santé. *Ne sont pas financés par l initiative 5% mais sur fonds ESTHER ** Sur auto-financement Le Réseau «Enfants et VIH en Afrique» (E.V.A.) est un projet porté par le GIP ESTHER. Il bénéficie du financement de l Initiative 5% -France Expertise Internationale (FEI) à hauteur de 1.5 M pour une durée de 3 ans et de co- financements ESTHER. La lettre ESTHER n 50 - Décembre 2013 Renseignements : marion.brossard@esther.fr 10

11 Santé sexuelle et droits humains ESTHER s engage! L évolution de la prise en charge et son accessibilité dans de nombreux pays partenaires a pour conséquence l émergence de nouvelles demandes liées notamment à la sexualité et au désir d enfant ; les équipes de soin et les conseillers psychosociaux et psychologues se retrouvent démunis face à ces demandes. En prenant en compte également les violations de certains Droits Humains, surtout celles liées au genre ( mais aussi, droits sexuels de certaines minorités, hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et professionnels du sexe) dans certains pays partenaires, ESTHER a mis en place une formation de formateurs, qui a pour finalité de donner les compétences et techniques requises aux acteurs de soins pour une meilleure qualité de la prise en charge des problèmes liés à la sexualité des personnes infectés et/ou affectés par le VIH. En partenariat avec la Chaire de l UNESCO «Santé sexuelle et droits humains», le GIP ESTHER a donc développé une formation en «Santé Sexuelle et Droits Humains». Ce type d approche renforce l autonomie des femmes, généralement réduite par des barrières sociales, économiques, juridiques et culturelles. La formation s adresse à des professionnels pluridisciplinaires (médecins, infirmiers, psychologues, médiateurs psychosociaux etc.) d Afrique francophone, impliqués dans la prise en charge ou l accompagnement des personnes concernées par la santé sexuelle, reproductive et le genre : les adolescents en général et les adolescents infectés par le VIH en particulier, les homosexuels, les travailleurs du sexe, les femmes et les jeunes filles etc. Une vingtaine de participants venus de 9 pays partenaires du GIP ESTHER bénéficient de cette formation qui se déroule en trois sessions validées par des experts internationaux certifiés. A l issue de ce cursus validant, les bénéficiaires seront en mesure de réaliser des formations de qualité dans leur pays. Ce projet pilote du GIP ESTHER, mené en partenariat avec la Chaire Santé sexuelle et droits humains de l UNESCO, a été présenté lors du 21ème Congrès de l Association mondiale pour la Santé Sexuelle qui s est tenue au Brésil en septembre Les formateurs nouvellement formés seront les fers de lance du programme de renforcement des consultations de santé sexuelle sur les sites partenaires d ESTHER. Cette approche va permettre d accroître considérablement l impact de la formation de formateurs conduite avec l UNESCO, et d aborder à grande échelle les problématiques particulièrement sensibles de la santé sexuelle et reproductive (planification familiale, sexualité des adolescents - y compris séropositifs, couples sérodifférents, homosexualité, etc.), et des droits sexuels dans des contextes qui y sont rarement propices. Renseignements : mamadou.dieng@esther.fr 11

12 ESTHER à ICASA Le GIP ESTHER et FEI s associent afin de mettre en valeur l expertise française lors de la conférence ICASA qui se déroule au Cap en Afrique du Sud du 7 au 11 décembre prochain. ESTHER et FEI tiendront un stand commun sur lequel seront présentés les projets des 2 institutions. Crédit photo ESTHER Vous pourrez suivre la conférence sur facebook et twitter : Twitter Le GIP ESTHER rejoint l Alliance des opérateurs de l expertise publique. Le GIP ESTHER a rejoint le 13 novembre les 8 opérateurs publics français de coopération technique internationale qui forment l Alliance des opérateurs de l expertise publique. Aux côtés de Acojuris, Adecia, Adecri, Adetef, Civipol, France Vétérinaire International, GIP International et Sfere, le GIP ESTHER défendra l expertise publique française à l international dans le domaine de la santé. En savoir plus : Comité Editorial Farid Lamara, Nadine Legret, Florence Maclair, Christophe Michon, Pierre Mendiharat. Conception - rédaction Nadine Legret Contacts-réactions : nadine.legret@esther.fr La lettre ESTHER n 50 - Décembre 2013 L intégration des photos des personnes ne doit en aucun cas être interprétée comme une indication de leur état de santé. L utilisation de tout ou partie du document n est possible qu à condition d en citer la source. 12

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