BAC3 COURS DE CALCUL DES STRUCTURES
|
|
- Paulette Dubé
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 BAC3 COURS DE CALCUL DES STRUCTURES ACTIONS DU VENT SUR LES STRUCTURES INSTITUT HEMES GRAMME Ir. Jacques Dehard Professeur Actions vent sur les struct. - Deh 007 3
2 1. Généralités L objectif de cette troisième partie de cours est de présenter les principes du calcul des actions «caractéristiques» du vent sur les bâtiments classiques, conformément à la partie 1-4 de l EC1, complétée par l Annexe nationale belge. Les actions du vent sur les constructions ou éléments de celles-ci, sont dues à l écoulement entravé de l air autour et aux abords. Ces actions sont considérées comme actions fixes, variables en fonction du temps. Elles s appliquent directement aux éléments ou sur les parois extérieures des constructions fermées, et, du fait de la porosité de celles-ci, elles agissent indirectement sur la face intérieure de ces parois. Elles peuvent également agir directement sur les parements internes des constructions ouvertes. Des forces de frottement non négligeables peuvent aussi se développer tangentiellement aux parois de grande surface balayées par un vent longitudinal. L effet du vent sur une construction (à savoir la réponse de la structure), dépend de sa taille, de sa forme et de ses propriétés dynamiques. La réponse globale des structures et de leurs éléments, aux actions du vent, peut être considérée comme la superposition d une composante non résonnante et de composantes résonnantes provoquées par une excitation proche des fréquences propres. L EN couvre la réponse dynamique due à la turbulence longitudinale (dans la direction du vent) en résonance avec les vibrations également dans la direction du vent d un mode fondamental de flexion dont la déformée garde le même signe en tous points. Dans ce cas, les actions du vent se calculeront sous forme de forces globales (agissant sur l ensemble de la structure ou d un élément) et sous forme de pressions et dépressions locales (agissant sur les parois de la construction) à partir de la pression dynamique moyenne du vent augmentée de la contribution des fluctuations rapides de pression et en tenant compte du coefficient dynamique du bâtiment. Cette méthode s applique aux bâtiments et ponts de hauteurs et portées maximales de 00m. Pour les structures souples et élancées, tels que les câbles, cheminées, mâts haubanés, pylônes, certains ponts et bâtiments de grande hauteur, les effets dynamiques du vent, sous forme d oscillations de tout ou partie de la construction doivent être pris en compte à l aide d une méthode plus détaillées (réponse aéroélastique). Pour rappel, les oscillations dues au vent peuvent être de natures différentes : - les oscillations longitudinales, parallèles à la direction du vent, dues à la succession cadencées des rafales de vent (risque de résonance) ; - les oscillations transversales, perpendiculaires à la direction du vent, dues aux détachements alternés de tourbillons (dits «de von Karman») aux limites latérales de l ouvrage côté opposé à l action du vent (risque de résonance) ; - des oscillations de formes diverses appelées «flottement», dues à une instabilité aérodynamique de l ouvrage (risque de résonance). Dans les présentes notes, on considère donc les actions statiques équivalentes aux effets extrêmes du vent turbulent dans sa direction, calculées sous forme de forces ou de pressions aérodynamiques (extérieures et intérieures), supposées s exercer perpendiculairement aux parois du bâtiment (sauf les forces de frottement).. Vitesses du vent.1 Vitesse de référence du vent Le vent est un mouvement de l air qui tend à équilibrer les zones de pression différentes créées par le réchauffement inégal de l air suivant la latitude ou la nature du sol. Il est influencé par la rotation de la terre, la gravité et le frottement de l air à la surface de la terre. Le frottement agit surtout à proximité du sol et provoque, en hauteur, des échanges turbulents entre couches d air d autant plus importants que la rugosité de la surface du sol est grande. La valeur de base de la vitesse de référence du vent, v b,0 est la vitesse moyenne du vent observée sur 10 minutes, indépendamment de la direction du vent et de la période de l année, mesurée à 10m de hauteur, en terrain dégagé à végétation basse (site plat et peu rugueux de catégorie II), avec une probabilité annuelle de dépassement de 0,0. Les actions du vent, calculées sur cette base, seront considérées «caractéristiques». Il s agira pratiquement, des circonstances d une tempête de période de retour moyenne de 50 ans. L intervalle de 10 minutes choisi, permet de séparer nettement les variations lentes de la vitesse du vent, à l échelle de la journée, de ses fluctuations turbulentes, à l échelle de la minute, en exprimant la vitesse sous forme de deux composantes : la vitesse moyenne sur une période de 10 minutes et la fluctuation de la vitesse autour de sa valeur moyenne due à la turbulence. Actions vent sur les struct. - Deh
3 La vitesse de référence est donnée par la formule : v b = c dir.c season.v b,0 où : - v b,0 est la valeur de base de la vitesse de référence, données pour chaque pays dans les Annexe s nationales. Des valeurs indicatives figurent sur la carte de l Europe ci-après ; - c dir est un coefficient qui permet de moduler la vitesse de référence en fonction de la direction du vent (les vents dominants ont souvent des directions privilégiées) ; - c season est un coefficient de réduction pour les constructions temporaires ou celles dont les conditions d exposition au vent sont temporaires ; La vitesse de référence correspondant à une période de retour moyenne de 50 ans, sa valeur pour une autre probabilité annuelle p de dépassement que 0,0 peut être estimée par la formule : v (p) b [ ln(1 p) ] 0,5 1 0,ln = v b ( p pouvant varier de 0,5 à 0,005) 1 0,ln( ln0,98) Règlement particulier En Belgique, la vitesse de référence de base v b,0 = 6, m/s et c dir et c season sont pris égaux à 1, donc la vitesse de réfrence v b = 6, m/s.. Vitesse moyenne du vent à la hauteur z La vitesse moyenne du vent v m (z) à une hauteur z au-dessus du sol, dépend de la rugosité du terrain, de l orographie, ainsi que de la vitesse de référence du vent selon la formule : v m (z) = c r (z).c 0 (z).v b où : - c r (z) est le coefficient de rugosité ; - c 0 (z) est le coefficient orographique. Actions vent sur les struct. - Deh
4 ..1 Rugosité du terrain Au-dessus de la surface de la mer, il n y a aucun obstacle qui puisse s opposer au vent tandis qu à l intérieur des terres, les immeubles, les arbres, etc lui font obstacle. Celui-ci va donc être freiné, l empêchant de souffler de toute son ampleur. La vitesse du vent va donc dépendre, notamment, de l environnement qui entoure la structure étudiée, donc de la rugosité du terrain. Pour faciliter les calculs, l EC1 a déterminé cinq catégories de terrains qui sont reprises plus loin. A chacune d elles correspondront des caractéristiques de rugosité, sous forme d un coefficient de rugosité. Le coefficient de rugosité c r (z) tient compte de la variabilité de la vitesse moyenne du vent due à la hauteur z au-dessus du sol et dépend de la rugosité du terrain en amont du site, dans la direction du vent considérée. Le coefficient de rugosité à la hauteur z est donné par la formule empirique suivante, basée sur un profil d augmentation logarithmique de la vitesse avec la hauteur : z c r (z) = k r.ln pour z min z z max et cr (z) = cr(z min) pour z < z min Ł z 0 ł où : - z 0 est la longueur de rugosité, elle dépend de la catégorie de terrain et figure au tableau ci-dessous ; - z min est la hauteur minimale définie dans le même tableau. Elle s explique par la hauteur de pose des appareils de mesures expérimentales. En effet, pour que celles-ci correctes, les appareils doivent se trouver à une hauteur minimum supérieure aux obstacles qui se trouvent autour de ceux-ci. En effet, les obstacles freinent le vent ce qui fausse les mesures. La hauteur des obstacles augmentant avec la catégorie de terrain, la hauteur «z min» dépend de ces catégories et est plus faible pour la catégorie I que pour la catégorie IV; - z max doit être considérée comme étant égale à 00m (au-delà, la vitesse ne dépend plus de la rugosité) ; - k r est le facteur de terrain dépendant de la longueur de rugosité z 0 (donc de la catégorie de terrain), calculé à l aide de la formule suivante : k r 0, 07 z 0 = 0, 19 où z 0,II = 0,05m ; Ł z0,ii ł Les valeurs de k r pour les cinq catégories de terrains sont données ci-dessous. Les expressions précédentes sont valables lorsque la rugosité uniforme de terrain s étend sur une distance au vent en amont de la construction suffisamment grande pour stabiliser le profil de vitesse de manière suffisante. La rugosité du terrain à utiliser pour une direction du vent donnée dépend de la rugosité du sol et de la distance sur laquelle s étend cette rugosité, supposée uniforme, dans un secteur angulaire de 30 ± 15 par rapport à la direction du vent. L Annexe A de l EC1-1-4 fournit des indications sur ces distances et donne une procédure s il y a des variations de rugosités de terrain en amont de l ouvrage à étudier. Dans le cas particulier où il y a un changement de rugosité sur une partie de la surface du terrain considéré inférieure à 10 % de la surface totale du terrain, on peut négliger ce changement de rugosité. Il peut également y avoir un changement de terrain à l endroit où se trouve la structure à étudier (par exemple, une forêt d un côté et un terrain dégagé, comme des prairies de l autre). Il est clair que d un côté, le vent va être, en partie, freiné par les arbres et que de l autre côté, rien ne s opposera à son action. L utilisation de deux catégories différentes de terrains correspondant à chacune des directions du vent permettra de tenir compte de cette différence (les catégories III et I par exemple). Lorsqu il subsiste un doute quant au choix entre deux catégories de terrain, il convient de choisir la plus défavorable. Actions vent sur les struct. - Deh
5 Catégories et paramètres de terrain k r 0,156 0,170 0,190 0,15 0,34.. Orographie du terrain Les effets de l orographie peuvent être négligés lorsque la pente moyenne du terrain au vent est inférieure à 3. On considère alors que l on est en présence d un terrain plat et le coefficient orographique c 0 (z) est pris égal à 1 Lorsque l orographie (par exemple colline isolée, falaise, escarpement, etc...) augmente les vitesses du vent de plus de 5%, il est recommandé d en prendre en compte les effets, en utilisant un coefficient c 0 (z) supérieur à 1. Dans ces cas, le coefficient orographique représente le rapport entre la vitesse moyenne augmentée du vent franchissant l obstacle (v m ) et la vitesse moyenne à la base de la colline ou de l escarpement en terrain plat (v mf ). L augmentation la plus importante des vitesses se produit à proximité du sommet du versant comme le suggère de croquis suivant. La procédure détaillée à utiliser dans ces cas se trouve dans l Annexe A3 de l EC1...3 Situations particulières Constructions avoisinantes de grandes dimensions et de hauteur bien plus élevée : Lorsque la construction doit se situer à proximité d une autre construction dont la hauteur est au moins égale à deux fois la hauteur moyenne des constructions avoisinantes, elle pourrait alors être exposée à des vitesses augmentées pour certaines directions de vent. Il convient de tenir compte de ce type de cas (cf. A4). Bâtiments et obstacles rapprochés : L effet de bâtiments et autres obstacles rapprochés peut devoir être pris en compte. Sur un terrain rugueux de catégorie IV, les bâtiments rapprochés modifient l écoulement moyen du vent à proximité du sol, comme si le niveau du sol était élevé à une hauteur appelée hauteur de déplacement (cf. A5). Vallée : Le vent soufflant dans la direction longitudinale d une vallée peut être accéléré par un effet «entonnoir» (c 0 = 1,3). Actions vent sur les struct. - Deh
6 .3 Turbulence du vent L analyse statistique des enregistrements anémométriques montre que l écart-type s v de la fluctuation de vitesse est proportionnel à la vitesse moyenne v b. Le coefficient de proportionnalité est l intensité de turbulence I v, fonction de la rugosité du terrain et de la hauteur z au-dessus du sol mais indépendante des variations lentes de la vitesse du vent. La variation en hauteur de l intensité de turbulence ainsi définie est donnée par la loi logarithmique suivante : k I I v(z) = pour z min z z max et I v (z) = I v(z min) pour z < z min z c0(z).ln Ł z 0 ł où : - c 0 est le coefficient orographique et z 0 la longueur de rugosité ; - k I est le coefficient de turbulence, pris en général égal à 1. La composante turbulente de la vitesse du vent a une valeur moyenne nulle et un écart type σ v. L écart type de la turbulence σ v peut être déterminé à l aide de l expression σ v = k r.v b.k I. Afin d illustrer ce qui précède, on rapporte qu en 199, à Haren, près de Bruxelles, une rafale de vent a atteint la vitesse de 16 km/h. Plus récemment, en 1990, entre le 5 janvier et la nuit du 8 février au 1 er mars, la Belgique était touchée, en à peine plus d un mois, par une série impressionnante de tempêtes. En une ou plusieurs stations de mesure, les pointes maximales de vent ont dépassé les 100 km/h, entraînant des dégâts importants sur l ensemble du territoire. Quant au 5 janvier 1990, lors de la première tempête à Beauvechain, une pointe maximale de vent de 168 km/h a été mesurée. Ce fut la valeur la plus élevée observée dans le pays au cours du 0 e siècle. 3. Pressions du vent 3.1 Pression dynamique de référence du vent La pression dynamique de référence du vent, q b, se calcule à l aide de la formule : 1 q b =?.v b où : - r est la masse volumique de l air, prise égale à 1,5 kg/m 3 ; - v b est la vitesse de référence du vent. En Belgique, v b = 6, m/s donc q b = 0,49 kn/m! 3. Pression dynamique moyenne à la hauteur z du vent La pression dynamique mo yenne à la hauteur z du vent, q m (z), se calcule à l aide de la formule : q (z) = où : - v m (z) est la vitesse moyenne à la hauteur z du vent. 3.3 Pression dynamique de pointe du vent m 1?.v La pression dynamique de pointe à la hauteur z du vent, q p (z), induite par la vitesse moyenne v m (z) et les fluctuations rapides de vitesse, est donnée par la formule suivante : qp (z) = [1 + g.i v (z)].qm (z) ou plus simplement par : q p (z) = ce (z).qb où : - I v (z) est l intensité de la turbulence = - c e (z) est le coefficient d exposition ; - g est le facteur de pointe : s v (z) v m ; m (z) Actions vent sur les struct. - Deh
7 - ce facteur de pointe, ou de pic, est lié à la vitesse du vent lors de rafales. Pour que la valeur de g soit prise en compte par les instruments de mesure, il faut que la rafale dure au moins une seconde. Le facteur de pointe a été trouvé expérimentalement à l aide de capteurs sur une construction. Les résultats donnent des valeurs avoisinant 3,3. Par sécurité on adopte la valeur g = 3,5 pour tenir compte des imprécisions éventuelles des mesures. On admet, en général, que qp (z) peut s exercer, avec la même probabilité, dans toutes les directions horizontales. 3.4 Coefficient d exposition c e(z) Le coefficient d exposition ce(z) permet de passer de la pression dynamique moyenne du vent à la pression dynamique de pointe tenant compte de la turbulence. Il est fonction de la hauteur au-dessus du sol et de la rugosité (classes de terrains). Il est aisé de démontrer que, en partant des formules précédentes, le coefficient d exposition est donné par : c e (z ) = q p (z ) qb = [1 + 7I v ( z )].q m ( z ) [1 + 7I v ( z )]. v m ( z ) = = [1 + 7I v ( z )]c r (z).c 0 (z) qb vb 7k I.k r 7k I, ce qui donne finalement : c e (z) = c r (z).c 0 (z). 1 + = c r (z).c 0 (z). 1 +, z c r (z).c 0 (z) c 0 (z).ln( z ) 0 et qui devient, pour un terrain plat (c0 = 1) et la valeur habituelle k I =1 : z c e (z) = k r.l n z0 z ln + 7 z 0 Graphe du coefficient d exposition ce(z) pour terrain plat des 5 catégories Actions vent sur les struct. - Deh
8 4. Pressions du vent sur les ouvrages 4.1 Pressions aérodynamiques sur une paroi La pression aérodynamique agissant sur la face extérieure est déterminée par l expression : w e = q p (z e ).c pe, tandis que la pression aérodynamique agissant sur la face intérieure est déterminée par l expression : w i = q p (z i ).c pi, où : - q p (z e ) et q p (z i ) sont les pressions dynamiques de pointe à la hauteur z e et à la hauteur z i ; - z e est la hauteur de référence pour la pression extérieure ; - c pe est le coefficient de pression extérieure fourni dans des tableaux ; - z i est la hauteur de référence pour la pression intérieure ; - c pi est le coefficient de pression intérieure fourni dans des tableaux. La pression nette exercée sur un mur, un toit ou un élément est égale à la différence entre les pressions s exerçant sur les faces opposées, en tenant bien compte de leurs signes. Une pression, exercée vers la surface est considérée comme positive, tandis qu une dépression ou succion, qui s éloigne de la surface, est considérée comme négative, comme l indiquent les exemples ci-dessous : Hauteurs de référence z e pour pression extérieure Les hauteurs de référence z e pour les faces au vent des bâtiments à plan rectangulaire dépendent du facteur de forme h/b (h : hauteur totale du bâtiment et b : largeur perpendiculaire à la direction du vent). Ces hauteurs z e sont toujours celles des niveaux supérieurs des différentes parties des façades et sont données ci-dessous : - pour un bâtiment dont la hauteur h est inférieure à b, z e = h ; - pour un bâtiment dont la hauteur h est supérieure à b, mais inférieure à b, on considère comme deux zones : une partie inférieure, qui s étend à la verticale à partir du sol sur une hauteur égale à b, pour laquelle z e = b et une partie supérieure constituée du reste, pour laquelle z e = h ; - pour un bâtiment, dont la hauteur h est supérieure à b, on considère plusieurs zones : une partie inférieure qui s étend à la verticale à partir du sol sur une hauteur égale à b, pour laquelle z e = b ; une partie supérieure qui s étend à la verticale à partir du bord supérieur, sur une hauteur égale à b, pour laquelle z e = h et une région médiane, comprise entre les parties supérieure et inférieure, qui peut être répartie en bandes horizontales de hauteur h strip. Actions vent sur les struct. - Deh
9 Pour les faces latérales et sous le vent, sauf indications contraires données dans l Annexe nationale, la procédure recommandée consiste à prendre la hauteur du bâtiment comme hauteur de référence z e. La hauteur de référence z e pour les toitures (plates, inclinées à 1,, 4 versants, avec acrotères, cylindriques, dômes ) est la hauteur maximale du bâtiment (au faîte, au sommet de l acrotère, de la voûte ou du dôme, ) 4.1. Hauteurs de référence z i pour pression intérieure La hauteur de référence z i qu il convient d utiliser pour les pressions intérieures est égale à la hauteur de référence z e pour les pressions extérieures exercées sur les faces qui contribuent, par leurs ouvertures, à la création de la pression intérieure. Lorsqu il existe plusieurs ouvertures sur des faces différentes, il est recommandé d utiliser la plus grande valeur de z e pour déterminer z i. 4. Pression résultante sur une paroi Les pressions intérieure et extérieure doivent être considérées comme agissant simultanément. La combinaison la plus défavorable des pressions extérieure et intérieure doit être envisagée pour chaque combinaison d ouvertures potentielles et autres sources de fuites d air. La pression résultante sur une paroi est donnée par : w w =[w e (z e ) - w i (z i )] Dans le cas particulier souvent adopté en pratique où z e = z i, on a alors q p (z e ) = q p (z i ) et la formule précédente peut s écrire : w w = q p (z)[c pe - c pi ] où w w a le signe de w e : pression «positive» et dépression «négative». Actions vent sur les struct. - Deh
10 4.3 Force d ensemble sur une structure ou un élément de structure La force totale exercée par le vent sur l ensemble d une construction ou sur un élément isolé de structure peut se calculer à l aide du coefficient de force c f. La formule suivante doit alors être utilisée : F = c c w s d.c f.q p (z ). A La force totale exercée par le vent sur l ensemble d une structure peut aussi se calculer à partir des forces exercées sur les éléments constitutifs (structure en treillis par exemple), en faisant leur sommation vectorielle selon la formule : F w = c c. s c d f éléments La force totale exercée par le vent sur l ensemble d une construction peut, enfin, se calculer à partir des pressions sur les parois, en faisant la sommation vectorielle des forces résultantes sur les parois selon la formule : F = c c. w.a + w.a + F ou, plus simplement : F = c c. q (z).(c - c w s d parois e ref parois i ref fr.q p e (z e ref ). A ref w s d p parois où : - c s c d est le coefficient structural qui prend en compte le défaut de corrélation des pointes de pressions (c s ) et l amplification dynamique due à la turbulence (c d ) ; - c f est le coefficient de force qui dépend de la forme d ensemble de la construction, structure ou de l élément ; - q p (z e ) est la pression dynamique de pointe à la hauteur de référence z e ; - A ref est l aire de référence, soit la surface projetée de la construction, de la structure ou de l élément perpendiculairement à la direction du vent (maître-couple) ; - w e est la pression aérodynamique agissant sur la face extérieure; - w i est la pression aérodynamique agissant sur la face intérieure; F = c.q (z ). A, - F fr est l éventuelle force de frottement parallèle à l action du vent : fr fr p e fr où : - c fr est le coefficient de frottement longitudinal ; - A fr est l aire de référence pour la surface extérieure parallèle au vent ; Les effets de frottement parallèle au vent peuvent être négligés lorsque l aire totale de toutes les surfaces parallèles au vent (ou faiblement inclinées par rapport à la direction du vent) est inférieure ou égale à 4 fois l aire totale de toutes les surfaces extérieures perpendiculaires au vent (faces au vent et sous le vent). Le manque de corrélation des pressions aérodynamiques sera pris en considération uniquement pour les murs. pe pi ). A ref 4.4 Coefficient structural c s c d Le coefficient structural c s c d est destiné à tenir compte de l effet, sur les actions du vent, de l absence de simultanéité des pointes de pression (à un instant donné) à la surface de la construction (coefficient de dimension c s <1) d une part, et, des vibrations de la structure engendrées par la turbulence (coefficient dynamique c d >1), d autre part. Le coefficient structural c s c d peut être calculé, pour tous les types d ouvrages, selon une procédure détaillée figurant dans l Eurocode 1 partie 1-4 et dans ses annexes B et C. Il peut être considéré comme égal à 1 dans les cas suivants : - pour les bâtiments dont la hauteur est inférieure à 15m ; - pour les éléments de façade et de toiture dont la fréquence propre est supérieure à 5Hz (vitrage<3m par exemple) ; - pour les bâtiments en charpente comportant des cloisons, d une hauteur inférieure à 100m, et dont ladite hauteur est inférieure à 4 fois la largeur mesurée dans la direction du vent. Des valeurs enveloppes, en termes de sécurité, des coefficients structuraux c s c d, calculées à partir de modèles conformes aux exigences définies dans la procédure détaillée, peuvent être obtenues à l aide de graphiques pour différents types de constructions (cf Annexe D de l EC1-1-4). Celles pour des bâtiments rectangulaires à étages en acier et en béton figurent ci-dessous : Actions vent sur les struct. - Deh
11 Coefficients cscd pour bâtiments rectangulaires et réguliers à étages en acier La valeur minimale de cscd est de 0,85 ; pour des valeurs supérieures à 1,1 la procédure détaillée doit être appliquée. Coefficients cscd pour bâtiments rectangulaires et réguliers à étages en béton La valeur minimale de cscd est de 0,85 ; pour des valeurs supérieures à 0,95 la procédure détaillée doit être appliquée. Actions vent sur les struct. - Deh 007 4
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailGuide Technique Pour la Charpente de Mur. LSL et LVL SolidStart LP
Conception aux états limites LSL et LVL SolidStart LP Guide Technique Pour la Charpente de Mur 1730F b -1.35E, 2360F b -1.55E and 2500F b -1.75E LSL 2250F b -1.5E and 2900F b -2.0E LVL Veuillez vérifier
Plus en détailCalcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation
Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Applications résidentielles Christophe Delmotte, ir Laboratoire Qualité de l Air et Ventilation CSTC - Centre Scientifique et
Plus en détailCe guide se divise en six chapitres, dont quatre sont dédiés à une catégorie de bâtiment :
INTRODUCTION Constructions de pointe et d usage courant, les escaliers métalliques doivent répondre à d autres exigences, que celle de pouvoir passer d un niveau à un autre. L un des principaux points
Plus en détailGuide de calcul de la superficie habitable
Guide de calcul de la superficie habitable Centris publie le présent guide à l intention des membres des chambres immobilières. Ce guide vous est recommandé pour calculer de façon adéquate la superficie
Plus en détailProblèmes sur le chapitre 5
Problèmes sur le chapitre 5 (Version du 13 janvier 2015 (10h38)) 501 Le calcul des réactions d appui dans les problèmes schématisés ci-dessous est-il possible par les équations de la statique Si oui, écrire
Plus en détail3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit
P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations
Plus en détailLES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE
LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE 2. L EFFET GYROSCOPIQUE Les lois physiques qui régissent le mouvement des véhicules terrestres sont des lois universelles qui s appliquent
Plus en détailBanc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques
Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Descriptif du support pédagogique Le banc d essais des structures permet de réaliser des essais et des études
Plus en détailGuide de conception. Sécurité incendie des halls industriels
Projet mené grâce au financement du programme de recherche Research Fund for Coal & Steel RFS2 CR 2007 00032 Sécurité incendie des halls industriels Guide de conception Sommaire 1. Introduction... 2 2.
Plus en détailDISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert
DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions
Plus en détailVoyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof
Une échelle est appuyée sur un mur. S il n y a que la friction statique avec le sol, quel est l angle minimum possible entre le sol et l échelle pour que l échelle ne glisse pas et tombe au sol? www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof
Plus en détailInstitut technologique FCBA : Forêt, Cellulose, Bois - construction, Ameublement
Renforcer la compétitivité des entreprises françaises des secteurs forêt, bois, pâte à papier, bois construction, ameublement face à la mondialisation et à la concurrence inter-matériaux Institut technologique
Plus en détailExemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée
Exemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée P. Schaumann, T. Trautmann University of Hannover Institute for Steel Construction, Hannover, Germany 1 OBJECTIF
Plus en détail1. Notions d aérodynamique
Nous constatâmes facilement que le vent s infléchissait autour de l île de manière à converger vers la zone de calme ; la partie supérieure de la colonne ascendante était, en quelque sorte, dessinée dans
Plus en détailHUMAIN SIMPLE LYON. ACCeSSIBLE FACILE. aménager A TOUS ACCUEILLANT. www.lyon.fr. Janvier 2009. Les clés de la réglementation
Janvier 2009 SIMPLE HUMAIN aménager ACCUEILLANT LYON FACILE A TOUS ACCeSSIBLE DIRECTION DU DÉVELOPPEMENT TERRITORIAL ACCESSIBILITE LOGEMENT COLLECTIF Les clés de la réglementation www.lyon.fr Nos enjeux
Plus en détailExercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique
Exercice 1 1. a) Un mobile peut-il avoir une accélération non nulle à un instant où sa vitesse est nulle? donner un exemple illustrant la réponse. b) Un mobile peut-il avoir une accélération de direction
Plus en détailLes correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.
Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques
Plus en détailLecture graphique. Table des matières
Lecture graphique Table des matières 1 Lecture d une courbe 2 1.1 Définition d une fonction.......................... 2 1.2 Exemple d une courbe........................... 2 1.3 Coût, recette et bénéfice...........................
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES TRANSPORTS, DE L ÉQUIPEMENT, DU TOURISME ET DE LA MER Arrêté du 15 janvier 2007 portant application du décret n o 2006-1658 du 21 décembre 2006
Plus en détailInteraction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n 2. Résonance magnétique : approche classique
PGA & SDUEE Année 008 09 Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n. Résonance magnétique : approche classique Première interprétation classique d une expérience de résonance magnétique On
Plus en détailMOTO ELECTRIQUE. CPGE / Sciences Industrielles pour l Ingénieur TD06_08 Moto électrique DIAGRAMME DES INTER-ACTEURS UTILISATEUR ENVIRONNEMENT HUMAIN
MOTO ELECTRIQUE MISE EN SITUATION La moto électrique STRADA EVO 1 est fabriquée par une société SUISSE, située à LUGANO. Moyen de transport alternatif, peut-être la solution pour concilier contraintes
Plus en détailOscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté
Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à
Plus en détailChapitre 2 Les ondes progressives périodiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................
Plus en détailaccessibilité des maisons individuelles neuves
accessibilité des maisons individuelles neuves Conseil d Architecture, d urbanisme et de l environnement du Gard 2012 Depuis la loi de Février 2005, toutes les constructions neuves de type logement individuel
Plus en détailTP 7 : oscillateur de torsion
TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)
Plus en détailINSTRUCTIONS COMPLÉTES
INSTRUCTIONS COMPLÉTES Le Service de plans du Canada, un organisme fédéral-provincial, favorise le transfert de technologie au moyen de feuillets, de croquis et de plans de construction qui montrent comment
Plus en détailRAPPORT DE CLASSEMENT. RAPPORT DE CLASSEMENT n EFR-14-002348
Voie Romaine F-57280 Maizières-lès-Metz Tél : +33 (0)3 87 51 11 11 Fax : +33 (0 3 87 51 10 58 n EFR-14-002348 Selon les normes EN 15650 : 2010 et EN 13501-3 : 2007 Concernant Une gamme de clapets type
Plus en détailCHAPITRE. Le mouvement en deux dimensions CORRIGÉ DES EXERCICES
CHAPITRE Le mouvement en deux dimensions CORRIGÉ DES EXERCICES Exercices. Les vecteurs du mouvement SECTION. 5. Une montgolfière, initialement au repos, se déplace à vitesse constante. En 5 min, elle
Plus en détailDOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE
DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-F et P4-F 185 (Modèle standard) P2-F et P4-F 170 MODELE P2/4-F 170 P2/4-F 185 (Standard) P2/4-F 195 P2-F et P4-F 195 H 325 340 350 DH 156 171 181
Plus en détailThème 17: Optimisation
OPTIMISATION 45 Thème 17: Optimisation Introduction : Dans la plupart des applications, les grandeurs physiques ou géométriques sont exprimées à l aide d une formule contenant une fonction. Il peut s agir
Plus en détailLE GÉNIE PARASISMIQUE
LE GÉNIE PARASISMIQUE Concevoir et construire un bâtiment pour qu il résiste aux séismes 1 Présentation de l intervenant Activité : Implantation : B.E.T. structures : Ingénierie générale du bâtiment. Siège
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détailSérie T modèle TES et TER
6-8 rue des Casernes Tél. : 03.84.29.55.55 F 90200 GIROMAGNY Fax : 03.84.29.09.91 E-mail : ultralu@ultralu.com http://www.ultralu.com NOTICE DE MONTAGE ET D UTILISATION ECHAFAUDAGE ROULANT ALUMINIUM Série
Plus en détailTEPZZ 65 Z4A_T EP 2 653 204 A1 (19) (11) EP 2 653 204 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (51) Int Cl.: B01D 3/00 (2006.01)
(19) TEPZZ 65 Z4A_T (11) EP 2 653 204 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 23.10.2013 Bulletin 2013/43 (51) Int Cl.: B01D 3/00 (2006.01) (21) Numéro de dépôt: 13305457.7 (22) Date
Plus en détailPremier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détailRAPPORT D ENQUETE DE TECHNIQUE NOUVELLE
Bureau Alpes Contrôles bac.bourg@alpes-controles.fr - RAPPORT D ENQUETE DE TECHNIQUE NOUVELLE REFERENCE: BT120018 indice 0 NOM DU PROCEDE: MODULES PHOTOVOLTAIQUES ASSOCIES EN POSE PORTRAIT OU PAYSAGE:
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailAccessibilité / voirie et espaces publics DDE 27 1 1
Accessibilité > voirie et espaces publics Réglementation et mise en oeuvre Accessibilité / voirie et espaces publics DDE 27 1 1 Les références réglementaires Le cadre législatif Loi n 2005-102 du 11 février
Plus en détail«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE
«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-f & P4-f - 185/180 - Standard P2-f & P4-f - 170/165 - Compact P2-f & P4-f - 200/195 - Confort MODELE H DH P2f-4f - 185/180 - Standard 340 171 P2f-4f - 170/165 - Compact
Plus en détailLES ESCALIERS. Les mots de l escalier
Les mots de l escalier L escalier :ouvrage constitué d une suite régulière de plans horizontaux (marches et paliers) permettant, dans une construction, de passer à pied d un étage à un autre. L emmarchement
Plus en détailChap 8 - TEMPS & RELATIVITE RESTREINTE
Chap 8 - TEMPS & RELATIVITE RESTREINTE Exercice 0 page 9 On considère deux évènements E et E Référentiel propre, R : la Terre. Dans ce référentiel, les deux évènements ont lieu au même endroit. La durée
Plus en détail1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h)
Problèmes IPhO 2012 1 NOM : PRENOM : LYCEE : 1 Problème 1 : L avion solaire autonome (durée 1h) Nous souhaitons dans ce problème aborder quelques aspects de la conception d un avion solaire autonome. Les
Plus en détailCOMMENT FAIRE DES ESCALIERS?
COMMENT FAIRE DES ESCALIERS? Conception et mise en œuvre GUIDE TECHNIQUE 2012 Union des Métalliers C O L L E CT I O N R E C H E R C H E D É V E LO P P E M E N T M É T I E R 4 INTRODUCTION 13 PARTIE I GÉNÉR
Plus en détailRAPPORT MISE A L ACCESSIBILITE DE 6 ECOLES PRIMAIRES. Ecole de MIRANGO I
RAPPORT MISE A L ACCESSIBILITE DE 6 ECOLES PRIMAIRES Ecole de MIRANGO I Vincent DAVID Le 21 décembre 2010 Table des matières 1- Les outils d accessibilité principalement utilisés 1-1 Les rampes d accès
Plus en détailProjet de Fin d Etudes ANNEXE 1 : Présentation du Collège Doctoral Européen
Génie Civil Septembre 2006 Projet de Fin d Etudes ANNEXE 1 : Présentation du Collège Doctoral Européen Tournier Guillaume, élève ingénieur 5 ème année Partie résidentielle Atrium & jardins intérieurs Espace
Plus en détailGLOSSAIRE DU BÉTON ARMÉ
GLOSSAIRE DU BÉTON ARMÉ Accessoires Articles, à l'exception des barres d'armature; par exemple, les supports de barre. Adhérence Force de liaison entre l'acier d'armature et le béton. Armature en cisaillement
Plus en détailTUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE
TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE L'objectif de ce tutorial est de décrire les différentes étapes dans CASTOR Concept / FEM permettant d'effectuer l'analyse statique d'une
Plus en détailP M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte
Matière : Couleur : Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Gris Recommandations d usage : Pression (dépend du facteur de forme) Déflexion Pression statique maximum :. N/mm ~ % Pression dyn. maximum :. N/mm
Plus en détailLes mesures à l'inclinomètre
NOTES TECHNIQUES Les mesures à l'inclinomètre Gérard BIGOT Secrétaire de la commission de Normalisation sols : reconnaissance et essais (CNSRE) Laboratoire régional des Ponts et Chaussées de l'est parisien
Plus en détailÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP) INSTALLATIONS OUVERTES AU PUBLIC (IOP) NOTICE D ACCESSIBILITÉ AUX PERSONNES HANDICAPÉES
ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (ERP) INSTALLATIONS OUVERTES AU PUBLIC (IOP) NOTICE D ACCESSIBILITÉ AUX PERSONNES HANDICAPÉES Textes de référence : Champ d application : Code de la Construction et de
Plus en détailFLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles
FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles Jacques PADET Professeur Émérite à l Université de Reims Seconde édition revue et augmentée TABLE DES MATIÈRES PRÉSENTATION Préface de la 1 ère édition Prologue
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. 1- Historique... 1. 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1
LA VENTILATION DES COUVERTURES 01-01-1998 TABLE DES MATIÈRES Page 1- Historique... 1 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1 3- Recommandations et investigations avant réfection... 3 4-
Plus en détailAGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter
AGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter 1 SOMMAIRE Vues générales des toits 3 Type de charpentes, de la plus simple à la plus sophistiquée quelques coupes transversales
Plus en détailExemples de dynamique sur base modale
Dynamique sur base modale 1 Exemples de dynamique sur base modale L. CHAMPANEY et Ph. TROMPETTE Objectifs : Dynamique sur base modale réduite, Comparaison avec solution de référence, Influence des modes
Plus en détailCHAPITRE. Le mouvement en une dimension CORRIGÉ DES EXERCICES
CHAPITRE Le mouvement en une dimension CORRIGÉ DES EXERCICES Exercices. Le mouvement rectiligne uniforme SECTION. 5. Le graphique suivant représente la vitesse d une cycliste en fonction du temps. Quelle
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailBrochure technique. Garde-corps. bpa Bureau de prévention des accidents
Brochure technique Garde-corps bpa Bureau de prévention des accidents Eviter les chutes dans les bâtiments Les garde-corps remplissent une fonction importante dans les bâtiments: ils protègent des chutes
Plus en détailVersion 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)
Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS
Plus en détail2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE
«La solution» 2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE SP2-F et SP4-F 295/310 SP2-F et SP4-F 295/310 MODELE H DH SP2/4-F 295 295 163 SP2/4-F 310* 310 163 *Standard Garage avec porte frontale devant parking mécanique
Plus en détailEstimation de potentiel éolien
cours1 (suite) Estimation de potentiel éolien Mesures de la vitesse et de la direction du vent Différents types d anémomètres-girouettes Anémomètre à coupelles Simple et robuste, il nécessite l adjonction
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT Arrêté du 14 mars 2014 fixant les dispositions relatives à l accessibilité des logements destinés à l
Plus en détailPowerdeck, le panneau performant d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses.
Powerdeck, le panneau performant d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses. Sur bac acier, bois ou dérivés du bois. isolation thermique support d étanchéité sur bac acier ou bois
Plus en détailVade-mecum Règles Pratiques
Vade-mecum Règles Pratiques En matière de sécurité incendie conformément à la réglementation belge Arrêté royal (normes de base 994-997 - 2003-2007 - 2009) Et nouvelles annexes, 2, 3, 4 et 6 approuvées
Plus en détailAnnexe A. Annexe A. Tableaux et données relatifs à la vérification par Eurocode 3 A.3
Annexes Annexe A : Tableaux et données relatifs à la vérification par Eurocode 3... A.2 Annexe B : Format des fichiers générés et utilisés par CADBEL... A.11 Annexe C : Calcul de la résistance au flambement
Plus en détail.4..ESCALIER. Critères d'accessibilité répondant aux besoins des personnes ayant une déficience visuelle. 4.1 Concept de base
énovation.4..escalie. 4.1 Concept de base S assurer que l emplacement des escaliers soit uniforme d un étage à l autre pour que leur localisation soit prévisible. egrouper l'escalier et les principaux
Plus en détailDimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant
Dimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant I Présentation I.1 La roue autonome Ez-Wheel SAS est une entreprise française de technologie innovante fondée en 2009.
Plus en détailPrescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs
Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Référence: SIB10 CCLB 110 Date : 22/10/2010 Page 1/9 Table des matières 1 PRELIMINAIRES... 3 2 ABREVIATIONS... 3 3 ACCESSIBILITE
Plus en détailPowerdeck, le panneau performant d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses. Sur bac acier, bois ou dérivés du bois.
Powerdeck, le panneau performant d isolation thermique support d étanchéité pour toitures terrasses. Sur bac acier, bois ou dérivés du bois. Isolation thermique support d étanchéité sur bac acier ou bois
Plus en détailJournée des utilisateurs de Salome-Meca et code_aster ETUDE SISMIQUE DE LA PINCE VAPEUR
Journée des utilisateurs de Salome-Meca et code_aster 18 Mars 2014 ETUDE SISMIQUE DE LA PINCE VAPEUR 1 CIPN/GC - Groupe Séisme Sommaire Description de la pince vapeur et du contexte Présentation des diagnostics
Plus en détailInstallez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif
Installez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif Lors de l installation de la clôture Zenturo ou Zenturo Super en tant que mur décoratif, vous devez tenir compte de quelques
Plus en détailCours IV Mise en orbite
Introduction au vol spatial Cours IV Mise en orbite If you don t know where you re going, you ll probably end up somewhere else. Yogi Berra, NY Yankees catcher v1.2.8 by-sa Olivier Cleynen Introduction
Plus en détailInitiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI
Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides
Plus en détailNOUVELLES POUR LE STOCKAGE DES
NOUVELLES RÈGLES SOMMAIRES POUR LE STOCKAGE DES PRODUITS PÉTROLIERS Depuis septembre 2006, suivant le décret de Juillet 2004 STOCKAGE AU REZ-DE-CHAUSSEE OU EN SOUS-SOL D'UN BATIMENT Les réservoirs et équipements
Plus en détailCommune X. Quelles nouvelles exigences pour l accessibilité de la voirie? Les prescriptions techniques de l arrêté du 15 janvier 2007
Commune X Quelles nouvelles exigences pour l accessibilité de la voirie? Les prescriptions techniques de l arrêté du 15 janvier 2007 Centre d'études Techniques de l'équipement Méditerranée Les cheminements
Plus en détailACOUSTIQUE REGLEMENTATION ISOLEMENT AUX BRUITS AÉRIENS ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS
ACOUSTIQUE REGLEMENTATION Dans les exigences réglementaires, on distingue l isolement aux bruits aériens (voix, télévision, chaîne-hifi...) et l isolement aux bruits d impact (chocs). ISOLEMENT AUX BRUITS
Plus en détailProcap Accessibilité et intégration. Adresses web. www.goswim.ch Accès sans obstacles aux piscines
Adresses web Le Guide des piscines pour personnes avec handicap www.goswim.ch Bureau fédéral de l égalité pour les personnes handicapées BFEH www.edi.admin.ch/ebgb Procap Accessibilité et intégration www.procap.ch
Plus en détailINSTRUCTIONS DE POSE
5/2013 FR INSTRUCTIONS DE POSE Etant donné la plus longue durée de vie de la porte en bois composite Duofuse par rapport à une porte en bois classique, il est important de la placer correctement afin de
Plus en détailPROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F)
PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) LIGNES DIRECTRICES POUR LE PARCOURS À OBSTACLES VERSION 4.1 CANADIENNE-FRANÇAISE Les activités d entraînement et d évaluation du WSP-F 4.1 peuvent se dérouler
Plus en détailINBTP-TECHNOBAT-LECON_011
CIRCULATIONS VERTICALES INBTP-TECHNOBAT-LECON_011 1 PROGRAMME LECONS LECON_001 [T] Présentation Notions de Technobat LECON_002 [T] Technobat Tropicale Les classes énergétiques LECON_003 [T] Les matériaux
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailARCHITECTE-FICHES RESSOURCES
ARCHITECTE-FICHES RESSOURCES Vue du terrain à bâtir Plan de masse Surface plancher La «surface de plancher» s entend comme la somme des surfaces de plancher dans la maison dans les pièces où la hauteur
Plus en détailESCALIERS. passer des dénivellations supérieures à 7%
ESCALIERS passer des dénivellations supérieures à 7% 2 définitions essentielles : Contremarche et giron Le rapport H/G donne la pente d une volée de marches ex : 16 cm / 32 cm = 50% Emmarchement, emprise,
Plus en détail10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU)
0 leçon 2 Leçon n 2 : Contact entre deu solides Frottement de glissement Eemples (PC ou er CU) Introduction Contact entre deu solides Liaisons de contact 2 Contact ponctuel 2 Frottement de glissement 2
Plus en détailCalculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide
Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide J.B. Campen Wageningen UR Glastuinbouw, Wageningen xxx 2007 Rapport xxx 2007 Wageningen, Wageningen UR Glastuinbouw Tous
Plus en détailLA PROBLEMATIQUE SISMIQUE EN CONSTRUCTION BOIS
> LA PROBLEMATIQUE SISMIQUE EN CONSTRUCTION BOIS Opération collective MI-SISBOIS Petit déjeuner thématique du 13 février 2013 / REMIREMONT Baptiste MORON - CRITTBOIS En partenariat avec: Financé par: L
Plus en détailEtude aérodynamique du nouveau véhicule Eco-marathon ECAM
Etude aérodynamique du nouveau véhicule Eco-marathon ECAM Ing. S. Vandenbussche Prof. Dr Ir L. Bricteux ECAM Bruxelles Prof. Dr Ir J. van Beeck Von Karman institute Cet article traite de l étude et de
Plus en détailSTRUCTURE D UN AVION
STRUCTURE D UN AVION Cette partie concerne plus la technique de l avion. Elle va vous permettre de connaître le vocabulaire propre à l avion. Celui ci vous permettra de situer plus facilement telle ou
Plus en détailCloisons de distribution Caroplatre
04 Cloisons de distribution en carreaux de plâtre Cloisons de distribution Caroplatre Description Les carreaux de plâtre Caroplatre sont des éléments en plâtre 100% naturel fabriqués en usine. Leur coloration
Plus en détailCahier pratique de calcul et d estimation
Un projet du Conseil canadien du bois Cahier pratique de calcul et d estimation CHARPENTES DE BOIS COMMERCIALES D UN ÉTAGE CAHIER PRATIQUE DE CALCUL ET D ESTIMATION Un guide des charpentes de bois commerciales
Plus en détailSUIVEUR SOLAIRE : Informations complémentaires
SUIVEUR SOLAIRE : Informations complémentaires IMPORTANT : L objectif de la présente note technique n est pas de se substituer à l ouvrage «Alimentation électrique de sites isolés» mais de fournir des
Plus en détailArrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative
Arrêté Royal du 7 juillet 1994 fixant les normes de base en matière de prévention contre l incendie et l explosion : Notice explicative A n n e x e 1 Annexe 1 1.2.1 hauteur d un bâtiment La hauteur h d'un
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailRosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut
Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des
Plus en détailICS Destiné à remplacer EN 926-1:1995. Version Française
NORME EUROPÉENNE EUROPÄISCHE NORM EUROPEAN STANDARD PROJET pren 926-1 Mars 2004 ICS Destiné à remplacer EN 926-1:1995 Version Française Equipement pour le parapente - Parapentes - Partie 1: Prescriptions
Plus en détail26/02/2011. Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire. Charpente traditionnelle. Structure principale. Structure principale.
Pièces constitutives d une charpente Charpente traditionnelle Structure principale Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire 2 1 5 4 3 1 - Panne 2 - Panne faitière 3 - Sablière 4 - Chevron
Plus en détaildocument proposé sur le site «Sciences Physiques en BTS» : http://nicole.cortial.net BTS AVA 2015
BT V 2015 (envoyé par Frédéric COTTI - Professeur d Electrotechnique au Lycée Régional La Floride Marseille) Document 1 - Etiquette énergie Partie 1 : Voiture à faible consommation - Une étiquette pour
Plus en détailA KEE SAFETY PRODUCT A C C È S E N H A U T E U R. Plateforme d'accès. ASSEMBLAGE SANS OUTILS ALTERNATIVE ÉCONOMIQUE à UN ÉCHAFAUDAGE
A KEE SAFETY PRODUCT A C C È S E N H A U T E U R Plateforme d'accès ASSEMBLAGE SANS OUTILS ALTERNATIVE ÉCONOMIQUE à UN ÉCHAFAUDAGE Montage SImple et Rapide Conforme Aux Normes EN 13374 Classe A et EN 12811
Plus en détail