Influence des paramètres de formulation sur le comportement à haute température des bétons

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Influence des paramètres de formulation sur le comportement à haute température des bétons"

Transcription

1 THESE de DOCTORAT Présentée pour l obtention du diplôme de DOCTEUR DE L UNIVERSITE DE CERGY-PONTOISE Spécialité : Génie Civil Par Mulumba KANEMA TSHIMANGA Sujet de la thèse : Influence des paramètres de formulation sur le comportement à haute température des bétons Soutenue le 6 décembre 2007 Devant le jury composé de : Rapporteur M. Karim AIT MOKHTAR Professeur à l Université de La Rochelle Examinateur M. Benoît BARY Ingénieur de recherche au CEA Co-directeur M. Richard CABRILLAC Professeur à l Université de Cergy-Pontoise Rapporteur M. Horacio COLINA (HDR) Directeur délégué au Dével. Technique, ATILH Co-directeur M. Jean-Louis GALLIAS Professeur à l Université de Cergy-Pontoise Examinateur M. Christian LABORDERIE Professeur à l Université de Pau et Pays de l Adour Co-Directeur M. Albert NOUMOWE Professeur à l Université de Cergy-Pontoise Examinateur M. Pierre PIMIENTA CSTB, Centre Scientifique et Technique du Bâtiment

2

3 Table des matières I. Introduction II. Les Bétons soumis à haute température II.1. La constitution de la pâte de ciment II.1.1. Morphologie des C-S-H...23 II.1.2. Structuration des C-S-H II.2. Eau dans la microstructure II.2.1. Eau libre dans les capillaires II.2.2. Eau adsorbée II Eau adsorbée physiquement II Eau adsorbée chimiquement II.2.3. Eau de constitution II.3. La microstructure de l interface pâte-granulats II.4. Évolution des phases du béton en fonction de la température II.4.1. Les transformations dans la pâte de ciment II.4.2. Décomposition des granulats II.5. Phénomène d éclatement et d écaillage II.5.1. Mécanisme du phénomène II.5.2. Perte de masse du béton au cours du cycle de chauffage - refroidissement II.5.3. Pression de vapeur d eau au cours du chauffage II.5.4. Les moyens de prévention...40 II.6. Propriétés mécaniques du béton en fonction de la température II.6.1. Résistance en compression...41 II.6.2. Résistance en traction II.6.3. Module d élasticité II.7. Transfert de fluide dans un milieu poreux II.7.1. Ecoulement du fluide à travers le milieu poreux II Viscosité II Loi de Darcy II.7.2. Ecoulement dans un tube capillaire II.7.3. Mouvement de la phase gazeuse en milieu poreux II Écoulement visqueux II Écoulement moléculaire II Ecoulement par glissement II Ecoulement de diffusion de surface II.7.4. Mesures de la Perméabilité II Fluide incompressible II Fluide compressible...52 II Détermination de la perméabilité apparente des milieux poreux II Détermination de la perméabilité intrinsèque lors de l écoulement laminaire d un gaz II Détermination de la perméabilité intrinsèque lors de l écoulement turbulent II Le nombre de Reynolds II.7.5. Évolution de la perméabilité des bétons en fonction de la température (initiale et résiduelle). 59 II.8. Conclusion de la partie bibliographique III. Méthodologie expérimentale III.1. Les matériaux III.1.1. Caractérisation III.1.2. Courbes granulométriques...64 III.1.3. Les compositions III.2. Confection

4 Table des matières III.2.1. Gâchage du béton III.2.2. Les corps d épreuve III.2.3. Disposition et classification au moment du coulage III.2.4. Cure appliquée aux bétons III.3. Convention d écriture III.4. Essai de chauffage...70 III.4.1. Dispositif de chauffage III.4.2. La méthodologie III.4.3. Disposition dans le four III.5. Propriétés mécaniques III.5.1. Mesure de la résistance en compression III.5.2. Mesure de la résistance en traction III.5.3. Mesure du module d élasticité III.6. Perte de masse III.6.1. Le dispositif de mesure III.6.2. Déroulement des mesures...78 III.6.3. Mode opératoire III Mesure de la perte de masse au cours du chauffage III Mesure de la perte de masse à la fin du chauffage III Perte de masse après étuvage à 80 C III Fiabilité des résultats III.7. La différence de température III.7.1. Principe de l essai III.7.2. Positionnement des thermocouples III.8. Perméabilité III.8.1. Dispositif expérimental III.8.2. Conditionnement et traitement thermiques des éprouvettes III.8.3. Mesure de la perméabilité IV. Caractérisation du comportement du béton IV.1. Etude de la perte de masse IV.1.1. Influence du gradient thermique IV Effet de la taille des éprouvettes IV Influence de la vitesse de chauffage IV.1.2. Influence de la température maximale du cycle thermique IV.1.3. Influence du rapport E/C du béton IV.1.4. Influence de l âge IV.1.5. Influence de la dimension des granulats IV.1.6. Influence des sollicitations thermiques répétées sur la perte de masse IV.1.7. Conclusion IV.2. Etude des gradients thermiques IV.2.1. Evolution de la différence de température IV.2.2. Rôle de l eau libre IV Influence du rapport E/C IV Influence des sollicitations thermiques répétées IV Perte de poids et différence de température IV Influence de l âge IV.2.3. Comportement des mortiers IV.2.4. Comportement des pâtes IV.2.5. Influence de la vitesse de chauffage et du palier de température IV.2.6. Conclusion IV.3. Etude de la perméabilité au gaz IV.3.1. Influence du rapport E/C IV.3.2. Influence des granulats IV.3.3. Evolution du coefficient b*

5 IV.3.4. Influence de l âge IV.3.5. Influence de la vitesse de chauffage et de la durée du palier de température IV.3.6. Conclusion IV.4. Caractérisation mécanique des bétons IV.4.1. Essai de compression IV Influence du rapport E/C IV Influence de la vitesse de chauffage IV Influence du palier IV Influence de l âge IV Perméabilité résistance en compression IV Conclusion IV.4.2. Résistance à la traction IV Influence du rapport E/C IV Influence de la vitesse de chauffage IV Influence du palier IV Influence de l âge IV Conclusion IV.4.3. Essai de module d élasticité IV Influence du rapport E/C IV Influence de vitesse IV Influence du palier IV Influence de l âge sur le module d élasticité IV Module d élasticité résistance en traction IV Conclusion IV.5. Comportement du béton face au phénomène d éclatement IV.5.1. Températures, dimensions et vitesse critiques IV.5.2. Vérification de l homogénéité du traitement thermique IV Température de surface IV Position des éprouvettes éclatées IV.5.3. Les masses volumiques IV.5.4. Rôle des thermocouples IV.5.5. Les gradients de température IV Comparaison du gradient thermique des éprouvettes Ø110x220 mm et Ø160x320 mm IV Comparaison des éprouvettes éclatées et non éclatées IV Influence de la composition du béton IV.5.6. Les conditions d éclatement IV.5.7. Influence de l âge IV.5.8. Évolution de la perte de masse IV.5.9. Localisation du phénomène d instabilité IV Conclusion V. Description et Résultats par le modèle V.1. Introduction V.2. Description des phases et choix du modèle V.2.1. Masses volumiques apparentes V.2.2. Pression partielle et lois de gaz parfaits V.2.3. Lois de conservation de la masse V Conservation de la masse d eau liquide V Conservation de la masse d eau vapeur V Conservation de la masse d eau totale V.2.4. Équation des flux hydriques V.2.5. Loi de Clapeyron V.2.6. Courbes de désorption V.2.7. Synthèse des paramètres V.2.8. Évolution de la capacité calorifique V.2.9. Évolution de la conductivité thermique V Évolution de la perméabilité V Perméabilité intrinsèque du milieu

6 Table des matières V Perméabilités relatives au gaz et au liquide V.3. Application de la thermodynamique V.3.1. Conservation de l énergie V.3.2. Pression de vapeur saturante V.3.3. Équation de la chaleur V.3.4. Cinétique de déshydratation V.3.5. Porosité totale V.3.6. Masse volumique de l eau liquide V.3.7. Viscosités dynamiques de l eau vapeur V.3.8. Chaleur latente de vaporisation V.3.9. Chaleur latente de déshydratation V.4. Comparaison des résultats expérimentaux et numériques V.4.1. Le maillage V.4.2. Evolution de la différence de température V.4.3. Pression de vapeur V.4.4. L humidité relative V.4.5. Les pertes de masse V.4.6. Estimation de la contrainte V.4.7. Conclusion VI. Conclusions générales et perspectives

7 Les figures Figure II-1 : Répartition des différentes formes d'eau dans la structure de la pâte de ciment [Fedm, 1968] Figure II-2: Evolution de la zone de transition dans un BHP (e/c=0,23 et s/c=0,15) pendant l hydratation [Vive, 1997] Figure II-3 : Courbes d analyse thermo gravimétrique thermique et d analyse thermique différentielle d une pâte de ciment à différentes températures [Alon, 2004] Figure II-4 : Evolution des composantes du ciment sous l échauffement [Cast, 2004] Figure II-5 Thermogrammes de BHP [Died, 1989] Figure II-6 : Répartition des réactions de déshydratation du gel de C-S-H, de deshydroxylation de la Portlandite et de décarbonatation du carbonate de calcium dans la perte de masse issues des analyses thermiques différentielles d une pâte de ciment traitée thermiquement [Alar, 2005] Figure II-7 : Mécanisme d'écaillage du béton [Zeim, 2006] Figure II-8 : Perte de masse des éprouvettes de béton étuvées à 105 C [Gawe, 2004] Figure II-9 : Perte de masse des bétons chauffés à la vitesse de 1 C/min [Gawe, 2004] Figure II-10 : Perte de masse des éprouvettes Ø104x30 mm et Ø104x60 mm étuvées à 105 C [Gawe, 2004] Figure II-11: Evolution de la résistance en compression relative des bétons avec la température [Phan, 2003] Figure II-12: Evolution de la résistance à la traction à chaud d'un béton à hautes performances [Gawe, 2004] Figure II-13: Evolution de la résistance résiduelle à la traction des pâtes de ciment avec la température [Minl, 2004] Figure II-14: Répartition du profil de vitesses d un gaz dans un capillaire sous l effet d un gradient de pression Figure II-15: Schéma représentant la percolation du gaz à travers un échantillon de béton (Ø 150 x 50 mm) Figure II-16: Perméabilité mesurée sur un béton [DalP, 2004a] Figure II-17: Evolution de la perméabilité apparente d'un mortier traitement thermique avec la pression de confinement [Lion, 2005(a)] Figure II-18 : Evolution des perméabilités apparente et intrinsèque d'un mortier avec la température [Lion, 2005(a)] Figure II-19 : Evolution de la perméabilité intrinsèque expérimentale et numérique des bétons Figure III-1: Courbes granulométriques du sable, gravillon, gravier Figure III-2: Conservation des éprouvettes immergées dans des bacs Figure III-3: Schéma récapitulatif de la dénomination des éprouvettes Figure III-4: Dispositif de chauffage Figure III-5 : Cycle de chauffage refroidissement de référence (R600) imposé aux différents types de matériaux Figure III-6: Disposition des éprouvettes dans le four (vue du dessus) Figure III-7 : Schématisation de l'essai de traction Figure III-8 : Schéma présentant l'instrumentation permettant l'acquisition du module d'élasticité Figure III-9: Etuvage des éprouvettes Ø150 x 50mm du béton B450 à 80 C Figure III-10: Positionnement des thermocouples dans le moule Ø 110 x 220 mm Figure III-11: Position des thermocouples dans une éprouvette Figure III-12: Dispositif expérimental de mesure de la perméabilité au gaz

8 Les figures Figure III-13 : Principe de fonctionnement d une cellule du perméamètre Figure IV-1: Perte de masse du béton B325 après un cycle de chauffage dont la vitesse de montée est de 1 C/min et le palier fixé à 450 C (Ø 160 x 320 et Ø 110 x 220 mm) Figure IV-2 : Perte de masse du béton B500 après des cycles de chauffage dont la vitesse de montée est de 1 C/min et le palier fixé à 450 et 600 C (Ø 160 x 320 et Ø 110 x 220 mm) Figure IV-3 : Perte de masse du bétons B325 après deux cycles de chauffage à 450 C dont les vitesses sont fixées à 0,1 C/min et 1 C/min (Ø 110 x 220 mm) Figure IV-4 : Perte de masse des bétons B325 et B500 après un cycle de chauffage dont la vitesse de montée est de 0,1 C/min et le palier fixé à 450 C (Ø 110 x 220 mm) Figure IV-5 : Variation de la perte de masse du béton B450 suivant différents cycles de chauffage (Ø110x220mm) Figure IV-6: Variation de la perte de masse du béton B325 suivant différents cycles de chauffage (Ø160x320mm) Figure IV-7 : Perte de masse des différentes compositions de béton chauffé suivant le cycle de chauffage dont la rampe de montée en température est de 1 C/min et le palier fixé à 600 C Figure IV-8: Perte de masse des mortiers M325 et M500 chauffés à 450 C Figure IV-9: Dérivée de la courbe de perte de masse en fonction de la température (Ø110x220 mm) Figure IV-10 : Dérivée des courbes de perte de masse des éprouvettes Ø110x220 mm et Ø160x320 mm en fonction de la température Figure IV-11: Variation de la perte de masse du béton B325 en fonction de la température (cycle à 300 C) Figure IV-12 : Variation de la perte de masse du béton B325 en fonction de la température (cycle à 450 C) Figure IV-13 : Variation de la perte de masse du béton B500 en fonction de la température (cycle à 300 C) Figure IV-14 : Variation de la perte de masse du béton B500 en fonction de la température (cycle à 450 C) Figure IV-15 : Perte de masse en fonction de la température pour la formulation M325 chauffée à 300 et 450 C Figure IV-16 Perte de masse en fonction de la température pour la formulation M500 chauffée à 300 et 450 C Figure IV-17 : Perte de masse des mortiers M325 et M500 chauffés à 300 C Figure IV-18 : Perte de masse du mortier M325 et du béton B325 chauffés à 300 C en fonction de la température Figure IV-19 : Perte de masse du mortier M500 et du béton B500 chauffés à 450 C en fonction de la température Figure IV-20: Perte de masse d'une éprouvette de béton B325 chauffée suivant un premier cycle à 300 C et un second cycle à 600 C à une vitesse de 1 C/min (Ø 110 x 220 mm) Figure IV-21: Différences de température mesurées entre le centre e, le mi-rayon par rapport à celle de la surface d'une éprouvette B325 (Ø 110x220 mm) âgé de 90 jours au cours d un cycle de chauffage dont la vitesse de montée en température est de 1 C/min et le palier fixé à 450 C Figure IV-22: Différences de température mesurées entre le centre et le mi-rayon par rapport à celle de la surface d'une éprouvette M500 (Ø 160x220 mm) âgé de 28 jours au cours d un cycle de chauffage dont la vitesse de montée en température est de 1 C/min et le palier fixé à 450 C

9 Figure IV-23 : Variation de la différence de température entre le centre et la surface des éprouvettes du béton B400 en fonction de la température en surface pour différents cycles de chauffage (Ø 160 x320 mm) Figure IV-24 : Variation de la différence de température entre le centre et la surface des éprouvettes du béton B450 en fonction de la température en surface pour différents cycles de chauffage (Ø 110 x220 mm) Figure IV-25 Variation de la différence de température entre le centre et la surface des éprouvettes des différentes formulations de béton en fonction de la température en surface pour un cycle de chauffage à 450 C (Ø 110x220mm) Figure IV-26 : Variation de la différence de température entre le centre et la surface des éprouvettes des mortier M325 et M500 en fonction de la température en surface pour un cycle de chauffage à 450 C (Ø160 x 320 mm) Figure IV-27 : Différence de température du béton B500 entre le centre et la surface de l éprouvette chauffée suivant deux cycles de chauffage de 300 C en fonction de la température en surface (Ø160 x 320cm) Figure IV-28 : Différence de température du béton B325 entre le centre et la surface de l éprouvette chauffée suivant un cycle à 300 C et un second cycle à 600 C en fonction de la température en surface(ø110 x 220cm) Figure IV-29 : Différence de température en fonction de la perte de masse du béton B350 (Ø110 x 220 mm) Figure IV-30 : Différence de température en fonction de la perte de masse du béton B450 (Ø110 x 220 mm) Figure IV-31 : Différence de température en fonction de la température en surface du béton B325 âgé de 7, 28, 90 et 365 jours (Ø 160 x 320 mm) Figure IV-32 : Différence de température en fonction de la température en surface du béton B500 âgé de 7, 28, 90 et 365 jours (Ø 160 x 320 mm) Figure IV-33 : Différence de température en fonction de la température en surface des éprouvettes Ø 110 x 220 mm et Ø 110 x 320 mm pour la formulation M Figure IV-34 : Différence de température en fonction de la température en surface des éprouvettes Ø 110 x 220 mm et Ø 160 x 320 mm pour la formulation M Figure IV-35 : Différence de température entre la surface et le centre des éprouvettes en fonction de la température, pour un mortier M325 et un béton B325, sur des éprouvettes de dimensions Ø 160 x 320 mm Figure IV-36 : Différence de température entre la surface et le centre des éprouvettes en fonction de la température, pour un mortier M500 et un béton B500, sur des éprouvettes de dimensions Ø 160 x 320 mm Figure IV-37 : Différence de température entre le centre et la surface des éprouvettes en fonction de la température en surface des pâtes de ciment chauffées suivant un cycle à 600 C (Ø 110 x 220 mm) Figure IV-38: Différence de température du B325 après un cycle à 300 C et 450 C (Ø160 x 320 mm) Figure IV-39: Différence de température du B325 et B500 après un cycle à 300 C (Ø160 x 320 mm) Figure IV-40: Différence de température du béton B325 soumis aux cycles de chauffage de 300 C et 450 C dont la durée du palier dure 12 heures Figure IV-41: Différence de température du béton B325 soumis au cycle de référence à 450 C et cycle de chauffage dont le palier dure 12 heures Figure IV-42 : Perméabilité intrinsèque résiduelle des bétons en fonction de la température Figure IV-43 : Perméabilité d'un béton et d'un mortier dosés à 325 kg de ciment en fonction de la température

10 Les figures Figure IV-44 : Perméabilité d'un béton et d'un mortier dosés à 500 kg de ciment en fonction de la température Figure IV-45 Perméabilité des mortiers M325 et M500 en fonction de la température Figure IV-46: Evolution de la perméabilité du B325 à différents âges en fonction de la température Figure IV-47: Evolution de la perméabilité du B500 à différents âges en fonction de la température Figure IV-48: Perméabilité intrinsèque résiduelle des bétons B325 et B500 sollicités suivant un cycle dont la vitesse de montée est fixée à 0,1 C/min et un palier qui dure une heure Figure IV-49: Evolution de la perméabilité intrinsèque résiduelle des bétons B325 et B500 soumis à des cycles dont la vitesse de montée est de 1 C/min et le palier de 12 heures119 Figure IV-50 : Perméabilité du béton B325 sollicité suivante trois cycles thermiques différents Figure IV-51 : Perméabilité du béton B500 sollicité suivante trois cycles thermiques différents Figure IV-52 : Résistance résiduelle en compression des cinq formulations de bétons chauffés suivant des cycles dont la vitesse de montée est de 1 C/min et le palier dure 1 heure à différentes températures Figure IV-53 : Résistance résiduelle relatve en compression des cinq formulations de bétons chauffés suivant des cycles dont la vitesse de montée est de 1 C/min et le palier dure 1 heure à différentes températures Figure IV-54 : Résistance résiduelle en compression relative du béton B325 chauffé suivant des cycles dont les vitesses de montée sont de 0,1 et 1 C/min et le palier dure 1 heure à différentes températures Figure IV-55 : Résistance résiduelle en compression relative du béton B500 chauffé suivant des cycles dont les vitesses de montée sont de 0,1 et 1 C/min et le palier dure 1 heure à différentes températures Figure IV-56 : Résistance résiduelle relative en compression des bétons (B325 et B500) chauffés à une vitesse de 0,1 C/min à différentes températures Figure IV-57 : Résistance résiduelle en compression relative du béton B325 chauffé suivant des cycles dont la vitesse de montée en température est de 1 C/min et les palier fixés à 1 et 12 heures à différentes températures Figure IV-58 : Résistance résiduelle en compression relative du béton B500 chauffé suivant des cycles dont la vitesse de montée est de 1 C/min et les palier fixés à 1 et 12 heures à différentes températures Figure IV-59 : Résistance résiduelle en compression relative des bétons (B325 et B500) chauffés suivant des cycles dont le palier dure 12 heures à différentes températures Figure IV-60: Résistances en compression résiduelles du béton B325 âgé de 7, 28, 90 et 365 jours à différentes températures Figure IV-61 : Résistances en compression résiduelles relatives du béton B325 âgé de 7, 28, 90 et 365 jours à différentes températures Figure IV-62: Résistances en compression résiduelles du béton B500 âgé de 7, 28, 90 et 365 jours à différentes températures Figure IV-63: Résistances en compression résiduelles relatives du béton B500 âgé de 7, 28, 90 et 365 jours à différentes températures Figure IV-64: Résistance en compression relative en fonction de la perméabilité intrinsèque pour l ensemble des éprouvettes de bétons testés Figure IV-65: Comparaison des valeurs estimées aux résultats expérimentaux du béton B

11 Figure IV-66 : Résistance résiduelle à la traction des bétons chauffés suivant des cycles dont la vitesse de montée en température est de 1 C/min et le palier dure 1 heure à différentes températures Figure IV-67 : Résistance résiduelle à la traction relative des bétons chauffés suivant des cycles dont la vitesse de montée en température est de 1 C/min et le palier dure 1 heure à différentes températures Figure IV-68 : Résistances résiduelles à la traction relative du béton B325 soumis aux cycles dont les vitesses de chauffage sont de 0,1 et 1 C/min à différentes températures Figure IV-69 : Résistances résiduelles à la traction relative du béton B500 soumis aux cycles dont les vitesses de chauffage sont de 0,1 et 1 C/min à différentes températures Figure IV-70: Résistances résiduelles à la traction relatives des bétons B325 et B500 après des cycles thermiques dont la vitesse de montée en température est fixée à 0,1 C/min à différentes températures Figure IV-71 : Résistances à la traction résiduelles relatives du béton B325 soumis aux cycles dont les paliers durent 1 et 12 heures à différentes températures Figure IV-72 : Résistances à la traction résiduelles relatives du béton B500 soumis aux cycles dont les paliers durent 1 et 12 heures à différentes températures Figure IV-73: Résistances à la traction résiduelles relatives des bétons B325 et B500 après des cycles thermiques dont le palier de stabilisation dure 12 heures à différentes températures Figure IV-74 : Résistances résiduelles à la traction du béton B325 âgé de 7, 28, 90 et 365 jours soumis aux cycles de références à différentes températures Figure IV-75 : Résistances résiduelles à la traction relatives du béton B325 âgé de 7, 28, 90 et 365 jours soumis aux cycles de références à différentes températures Figure IV-76 : Résistance résiduelle à la traction du béton B500 âgé de 7, 28, 90 et 365 jours soumis aux cycles de références à différentes températures Figure IV-77 : Résistance résiduelle à la traction relatives du béton B500 âgé de 7, 28, 90 et 365 jours soumis aux cycles de références à différentes températures Figure IV-78 : Module d élasticité résiduel des cinq bétons chauffés suivant des cycles dont la vitesse de montée est 1 C/min et le palier dure 1 heure à différentes températures Figure IV-79 : Module d élasticité résiduel relatif des cinq bétons chauffés suivant des cycles dont la vitesse de montée est 1 C/min et le palier dure 1 heure à différentes températures Figure IV-80: Module d'élasticité résiduel relatif du béton B325 chauffé à une vitesse de 0,1 et 1 C/min à différentes températures Figure IV-81: Module d'élasticité résiduel relatif du béton B500 chauffé à une vitesse de 0,1 et 1 C/min à différentes températures Figure IV-82: Module d'élasticité résiduel relatif des bétonsb325 et B500 à différentes températures après des cycles thermiques dont la vitesse de montée en température est de 0,1 C/min Figure IV-83: Module d'élasticité résiduel relatif du béton B325 chauffé à une vitesse de 1 C/min et soumis à un palier de température de 1 heure et 12 heures à différentes températures Figure IV-84: Module d'élasticité résiduel relatif du béton B500 chauffé à une vitesse de 1 C/min et soumis à un palier de température de 1 heure et 12 heures à différentes températures Figure IV-85: Module d'élasticité résiduel relatif des bétons B325 et B500 à différentes températures après des cycles thermiques dont le palier de stabilisation en température dure 12 heures

12 Les figures Figure IV-86 : Module d'élasticité résiduel apparent du béton B325 à différentes températures et différents âges (7, 28, 90 et 365j) Figure IV-87 : Module d'élasticité résiduel relatif du béton B325 à différentes températures et différents âges (7, 28, 90 et 365j) Figure IV-88 : Module d'élasticité résiduel apparent du béton B500 à différentes températures et différents âges (7, 28, 90 et 365j) Figure IV-89: Module d'élasticité résiduel relatif du béton B500 à différentes températures et différents âges (7, 28, 90 et 365j) Figure IV-90 : Evolution du module d'élasticité relatif en fonction de la résistance résiduelle relative de traction des bétons Figure IV-91: Béton B450 avant le cycle de chauffage à 600 C Figure IV-92: Béton B450 après le cycle de chauffage à 600 C Figure IV-93: Evolution de la température en surface des compositions B325 et B Figure IV-94: Position des éprouvettes (Ø160 x320 mm) dans le four Figure IV-95: Evolution du gradient de température pour la formulation B325 après un cycle à 450 C Figure IV-96: Evolution du gradient de température pour la formulation B450 après un cycle à 600 C Figure IV-97: Evolution du gradient de température pour la formulation de béton B500 après un cycle à 350 C Figure IV-98: Evolution du gradient de température pour la formulation de béton B500 après un cycle à 600 C Figure IV-99: Evolution du gradient thermique d une éprouvette éclatée et d une éprouvette non éclatée du béton B450 chauffé à 450 C Figure IV-100: Evolution du gradient thermique d une éprouvette éclatée et d une éprouvette non éclatée du béton B500 chauffé à 450 C Figure IV-101 : Evolution du gradient de température des éprouvettes éclatées, pour les compositions B325, B450 et B500 chauffées à 450 C Figure IV-102 : Evolution du gradient de température des éprouvettes éclatées pour les compositions B450 et B500 chauffées à 600 C Figure IV-103: Perte de masse d éprouvettes Ø 160 x 320 mm éclatée et non éclatée de la formulation B Figure IV-104: Evolution de la différence de température des éprouvettes éclatée et non éclatée du béton B500 âgé de 7 jours Figure IV-105 : Photo des éprouvettes du béton B500 âgés de 7 jours éclaté et non éclatée Figure IV-106 : Evolution de la différence de température des éprouvettes éclatée et non éclatée du béton B500 âgé de 28 jours Figure IV-107 : Photo des éprouvettes du béton B500 âgés de 28 jours éclaté et non éclatée Figure V-1: Evolution de la porosité totale en fonction de la quantité d'eau déshydratée Figure V-2: Représentation schématique de l éprouvette modélisée et des conditions aux limites Figure V-3 : Comparaison de la différence de température expérimentale et numérique du béton B Figure V-4: Evolution de la pression de vapeur du béton B400 au cours d'un chauffage à 1 C/min Figure V-5: Evolution de la saturation au cours du chauffa à 1 C/min Figure V-6: Evolution de la perte de masse expérimentale et numérique du béton B

13 Figure V-7 : Evolution de la contrainte thermique au centre de l'éprouvette (chauffage à 1 C/min) Figure V-8: Répartition de la contrainte sur le rayon central de l éprouvette au cours du chauffage à 1 C/min Figure VI-1: Eprouvettes de béton B400 (Ø 160 x 320 mm) après les traitements thermiques à 20, 150, 300, 450 et 600 C Figure VI-2 : Eprouvettes de béton B450 (Ø 160 x 320 mm) après les traitements thermiques à 20, 150, 300, 450 et 600 C Figure VI-3 : Eprouvettes de béton B400 (Ø 110 x 220 mm) après les essais de traction résiduelle par fendage Figure VI-4: Eprouvettes de béton B450 (Ø 110 x 220 mm) après les essais de traction résiduelle par fendage

14 Listes des tableaux Les tableaux Tableau III-1: Composition des bétons pour 1 m Tableau III-2: Compositions des mortiers et des pâtes pour 1 m Tableau III-3: Récapitulatif des essais effectués sur les bétons, les mortiers et les pâtes Tableau III-4 : Les différents cycles de chauffage - refroidissement appliqués aux différents types de matériaux Tableau III-5 : Perte de masse moyenne du béton B325 calculée avec les masses d'éprouvettes pesées lors du gâchage et avant chauffage Tableau IV-1 : Volume poreux accessible des différents bétons après un étuvage à 80 C Tableau IV-2: Perte de masse des éprouvettes de béton après différents cycles de chauffage dont la vitesse de montée est fixée à 1 C/min et le palier dure 1 heure Tableau IV-3: Perte de masse des éprouvettes de béton après deux cycles de chauffage dont la vitesse de montée est fixée à 1 C/min et le palier prolongé à 12 heures Tableau IV-4 : Perte de masse relative des bétons B325 et B500 après des cycles thermiques ayant des vitesses de montée en température de 0,1 et 1 C/min Tableau IV-5 : Quantité d eau perdue en fonction de la température par rapport à l eau de gâchage des éprouvettes Ø 150 x 50 mm Tableau IV-6 : Variation de la perte de masse moyenne des bétons B325 et B500 avec l'âge pour les cycles de chauffage à 300 C et 450 C (éprouvettes Ø 110 x 220 mm et Ø 160 x 320 mm) Tableau IV-7: Perte de masse des éprouvettes de béton B325 et B500 chauffés suivant deux cycles de chauffage dont la vitesse de montée en température est de 1 C/min (Ø160 x 320 mm) Tableau IV-8 : Perméabilité intrinsèque résiduelle des bétons (B325, B350, B400, B450, B500) chauffés suivantes les cycles dont la vitesse est de 1 C/min et le palier fixé à une heure Tableau IV-9: Perte de masse des éprouvettes de béton Ø150 x 50 mm étuvées à 80 C et chauffées à 150 C Tableau IV-10: Perméabilité intrinsèque résiduelle des mortiers (M325 et M500) Tableau IV-11 : Variation du coefficient b*proposé par Klinkenberg Tableau IV-12 : Perméabilité des bétons B325 et B500 à 7, 28, 90, 365 jours Tableau IV-13 : Perméabilité des bétons (B325 et B500) soumis à un cycle de chauffage dont vitesse de montée est de 0,1 C/min ou le palier fixé à 12 heures Tableau IV-14 : Résistances résiduelles de compression des bétons Tableau IV-15: Résistances résiduelles en compression des bétons chauffés suivant une vitesse de montée en température de 0,1 C/min Tableau IV-16: Résistances résiduelles en compression des bétons chauffés suivant des cycles comportant un palier de 12 heures Tableau IV-17: Résistances résiduelles en compression des bétons B325 et B500 à 7, 28, 90 et 365 jours Tableau IV-18 : Résistances résiduelles de traction par fendage des bétons Tableau IV-19: Résistances résiduelles à la traction des bétons après les cycles thermiques dont la vitesse de montée en température est de 0,1 C/min Tableau IV-20: Résistances en traction résiduelles des bétons (B325 et B500) sollicités suivants des cycles de chauffage dont la vitesse de montée en température est de 1 C/min et le palier dure 12 heures Tableau IV-21: Résistances à la traction résiduelles des bétons B325 et B500 à 7, 28, 90 et 365 jours Tableau IV-22 : Module d élasticité résiduel des bétons

15 Influence des paramètres de formulations sur le comportement à haute température des bétons Tableau IV-23: Module d élasticité résiduel des bétons après des cycles thermiques dont la vitesse de montée en température est de 0,1 C/min Tableau IV-24: Module d élasticité résiduel des bétons après des cycles thermiques dont la vitesse de montée en température est de 1 C/min et un palier qui dure 12 heures Tableau IV-25: Module d'élasticité résiduel des bétons B325 et B500 âges de 7, 28, 90 et 365 jours Tableau IV-26: Nombre d'éprouvettes éclatées Ø110x220 mm des cinq formulations de béton soumises aux différents cycles de chauffage Tableau IV-27 : Nombre d'éprouvettes éclatées Ø160x320 mm des cinq formulations de béton soumises aux différents cycles de chauffage Tableau IV-28 : Nombre des éprouvettes Ø160x320mm éclatées reparties suivant le cycle de chauffage subi Tableau IV-29: Nombre d'éprouvettes éclatées par position dans le four Tableau IV-30: Nombre d'éprouvettes éclatées ayant des masses volumiques supérieures ou inférieures à la valeur moyenne de chaque type de béton mesurée avant chauffage Tableau IV-31: Nombre d éprouvettes éclatées après un cycle de chauffage de référence à 450 C Tableau IV-32: Nombre d éprouvettes éclatées après un cycle de chauffage de référence à 600 C Tableau IV-33: Différence de température, gradient de température, temps et température en surface du béton B325 chauffé à 450 C Tableau IV-34: Différence de température, gradient de température, temps et température en surface du béton B450 chauffé à 450 C Tableau IV-35: Différence de température, gradient de température, temps et température en surface du béton B450 chauffé à 600 C Tableau IV-36: Différence de température, gradient de température, temps et température en surface du béton B500 chauffé à 350 C Tableau IV-37: Différence de température, gradient thermique, temps de chauffage avant éclatement et température en surface du béton B500 chauffé à 600 C Tableau IV-38 : Nombres d'éprouvettes éclatées pour la composition B Tableau VI-1: Résultats d'analyses granulométriques

16 Influence des paramètres de formulations sur le comportement à haute température des bétons Notation Lettres latines a : la 1 er constante déterminée par régression linéaire pour estimer l évolution de la perméabilité b : la 2 nd constante déterminée par régression linéaire pour estimer l évolution de la perméabilité b(t) : la fonction d estimation de la saturation b* : le coefficient de Klinkenberg C i : la capacité thermique de la phase considérée C c : la capacité thermique du ciment C g : la capacité thermique des granulats C ds : la capacité thermique du béton sec C ds : la capacité thermique de la phase solide C bw : la capacité thermique de l eau liée d : le diamètre moyen des pores ou des particules / le paramètre de déshydratation d 0 : la quantité d eau liée à la matrice cimentaire à l état de référence D max : le diamètre maximum des granulats D m : le diamètre des molécules f 1 (T) : la première fonction dépendant de T f 2 (T) : la deuxième fonction dépendant de T f c20 : la résistance à la compression à température ambiante f c (T) : la résistance à la compression résiduelle F : la charge maximale appliquée à l éprouvette cylindrique F i : le flux massique du fluide i par unité de masse, de surface et de temps g l : l enthalpie libre de l eau liquide g v : l enthalpie libre de la vapeur d eau h : l humidité relative H : l enthalpie de vaporisation / niveau piézométrique k : la constante de Boltzmann k a : la perméabilité apparente k d : la pente de la relation conductivité déshydratation k ri la perméabilité relative de la phase considérée. k v : la perméabilité intrinsèque k v60 : la perméabilité intrinsèque de référence obtenue après étuvage jusqu à stabilisation de masse à 60 C k v80 : la perméabilité intrinsèque mesurée sur le matériau après étuvage à 80 C k s : la perméabilité du à l écoulements par glissement du gaz K l : le coefficient de perméabilité du milieu L : la longueur du cylindre / l épaisseur de l échantillon L l v : la chaleur latente de vaporisation L s l : la chaleur latente de déshydratation m ds : la masse de ciment et de granulats par unité de volume m c : la masse de ciment contenue dans le béton m g la masse de granulats contenue dans le béton m l : la masse de l eau liquide m v : la masse de la vapeur d eau m e : la masse d eau totale M : la masse molaire 14

17 Influence des paramètres de formulations sur le comportement à haute température des bétons n : le paramètre correcteur de la formule de Van genucthen P : la charge maximale appliquée à l éprouvette / la pression P m : la pression moyenne P atm : la pression atmosphérique à température ambiante, P vs : la pression de vapeur saturante P c : la pression capillaire P g : la pression des gaz P 1 : la pression du fluide appliquée à l entrée P 2 : la pression mesurée à la sortie de l échantillon P* : la pression motrice q : le flux de chaleur Q : le débit volumique r : la production volumique de chaleur / coordonnée radiale R : la constante des gaz parfaits Re : le nombre de Reynolds r p : le rayon du capillaire S : la surface de la section transversale de l éprouvette / l entropie interne totale s lm : l entropie de l eau liée s ds : l entropie du ciment et des granulats par unité de volume s ds0 : l entropie de la phase solide à la température de référence s s : l entropie du squelette solide s l : l entropie de l eau liquide s v : l entropie de la vapeur d eau S 0 : l entropie définie à l état de référence du système S l : le taux de saturation en eau liquide du réseau poreux S l0 : la saturation liquide initiale du milieu T : la température T 0 : la température de référence u hyd : l énergie interne des hydrates u an : l énergie interne des anhydres u l : l énergie interne de l eau liquide V : le volume total v l : le volume du liquide v g : le volume du gaz v : la vitesse du fluide à travers l échantillon V 1 : le volume du gaz à l entrée de l échantillon V 2 : le volume du gaz à la sortie de l échantillon Vgx : la vitesse du gaz suivant la composante axiale V vx : vitesse locale d écoulement due à la viscosité v s : la vitesse locale d écoulement due au glissement V x : vitesse du fluide suivant la composante axiale z : l attitude par rapport au niveau de référence Lettres grecques : la pente de la droite représentant le logarithme de la perméabilité intrinsèque en fonction de la quantité d eau déshydratée t : la constante équivalente à 1/k v t : le coefficient lié au réseau poreux : différence 15

18 Notations : le taux de décroissance de la résistance à la compression des bétons avec la température Φ : la porosité Φ l : la fraction poreuse occupée par du liquide Φ g : la fraction poreuse occupée par du gaz Ø : le diamètre : la conductivité thermique du matériau / libre parcours moyen 20 et 60 : les conductivités résiduelles du matériau mesurées à 20 et 60 C. ρ i : la masse volumique du fluide l : la masse volumique du liquide g : la masse volume du gaz v : la masse volumique de la vapeur hyd : la masse volumique des hydrates µ i : la viscosité dynamique ou absolue du fluide µ l : la viscosité dynamique de l eau liquide µ v : la viscosité dynamique de la vapeur d eau µ g : la viscosité dynamique du gaz µ l v : la transformation de l eau liquide en vapeur d eau par unité de temps et de volume : la viscosité cinématique yx : l effort tangentiel entre deux couches de fluide 0 : initial a : apparent c : compression l : liquide g : gaz t : traction v : vapeur, visqueux x : projection suivant l axe de x Indices 16

19 Influence des paramètres de formulations sur le comportement à haute température des bétons Résumé Aujourd hui le béton est le matériau le plus utilisé dans le domaine de la construction pour les avantages économiques et la facilité de mise en œuvre qu il présente. La maîtrise de son comportement aux hautes températures reste malgré tout non complète notamment à cause de l évolution de ses propriétés avec l élévation de la température. Ce travail se propose de mener une série d essais permettant de compléter ou d asseoir les connaissances déjà acquises sur le comportement à haute température des bétons, notamment d observer le rôle que joue la matrice cimentaire sur l évolution des propriétés thermiques, hydriques et mécaniques des bétons avec l élévation de la température. Les matériaux testés sont cinq bétons qui couvrent la gamme des bétons ordinaires aux bétons à hautes performances, et offrent la particularité d avoir un squelette granulaire et un volume de pâte constants. Les essais de perméabilité, de compression résiduelle, de traction résiduelle par fendage et de module d élasticité résiduelle ont été réalisés. L évolution des températures au centre et à mi-rayon de certaines éprouvettes au cours du chauffage, ainsi que la perte de masse de l ensemble des éprouvettes ont été également suivis. Les résultats expérimentaux montrent une corrélation entre l évolution de la perte de masse et de la différence de température au sein de l élément chauffée. Ils révèlent l existence de deux grandes zones de comportement des bétons situées avant et après 300 C. Dans la première zone, on note une évolution légère des résistances mécaniques et de la perméabilité, tandis que dans la seconde on observe une baisse considérable des propriétés mécaniques et l augmentation de la perméabilité des bétons. L évolution de la résistance en compression présente, indépendamment du rapport E/C initial des bétons, une forte similitude avec celle de la perméabilité. Cette constatation aboutit à une relation liant ces deux propriétés. Cette étude s intéresse aussi au phénomène d éclatement des bétons. Elle montre que les bétons à faible rapport E/C sont plus sujets à l éclatement que les bétons à fort rapport E/C, et que la taille et la vitesse de chauffage sont des facteurs prépondérants dans le phénomène d instabilité. Elle révèle que l éclatement peut survenir pour des gradients thermiques différents, et que par conséquent les contraintes d origine thermiques ne suffissent pas à elle seules à expliquer le phénomène d éclatement des bétons. Une modélisation du comportement des bétons à haute température est menée dans une seconde partie. Elle repose sur un modèle thermo- hydrique à une seule phase fluide développé au CEA-Saclay. Ce modèle, par les hypothèses simplificatrices qu il adopte et sa correspondance aux résultats expérimentaux, permet de déterminer l eau et la perméabilité comme étant les paramètres clés gouvernant le comportement des bétons à hautes températures. 17

20 Notations Abstract Concrete is the material more used in the field of construction because of the economic advantages and the simplicity of implementation that it presents. The control of its behavior at the high temperatures remains not complete. This can be because of the evolution of its properties with the rise in the temperature. This work concerns a series of tests making it possible to supplement or sit the knowledge already acquired on the behavior of concretes at high temperature and to observe the role of the cementing matrix, the evolution of the thermal properties, hydrous and mechanics of the concretes with the rise in the temperature. The materials tested are five concretes, which cover the range of the ordinary concretes to that of high performance concretes. The tested concretes have a granular skeleton and a constant volume of paste. They were tested to determine to permeability, residual compressive strength, residual splitting tensile strength and the residual modulus of elasticity. Changes of the temperatures at the center and at semiray of the specimens during the heating, as well as the mass loss of the whole of specimens were studied. The experimental results show a correlation between the evolution of the loss of mass and the temperature difference. Its reveals existence of two zones of behavior of the concretes located before and after 300 C. In the first zone one notes a light evolution of the mechanical strength and permeability, while in the second one observes a considerable fall of the mechanical properties and the increase in the permeability of the concretes. The evolution of compressive strength presents, independently of the initial E/C ratio of the concretes, a strong similarity with that of the permeability. This observation leads to a relation binding these two properties. This study also concerns in the phenomenon of bursting of the concretes. It shows that the concretes with weak E/C ratio are more prone to the bursting than the concretes with high E/C. Size and heating rate are dominating factors in the phenomenon of instability. It reveals that the bursting occurs for different temperature differences, and that consequently the mechanical stresses do not alone explain the phenomenon of bursting of the concretes. A modeling of the behavior of the concretes at high temperature is carried out in the second part. A hydrous thermo model with only one liquid phase was developed by the CEA-Saclay. This model by the simplifying assumptions that it adopts and its correspondence with the experimental results makes it possible to determine the water and the permeability as being the key parameters controlling the behavior of the concretes at high temperatures. 18

21 Influence des paramètres de formulations sur le comportement à haute température des bétons I. Introduction Bien que l utilisation du béton dans le domaine de la construction ne cesse de croître, la détermination de ses propriétés reste essentiellement appuyée sur des méthodes empiriques. Ceci est particulièrement vrai en ce qui concerne le comportement du béton à haute température. En effet, la vaste étendue d utilisation du béton pour la construction des infrastructures et des bâtiments l expose à des situations accidentelles d incendies sans qu il soit toujours possible de prévoir le comportement du matériau et d assurer ainsi une meilleure sécurité des usagers et des ouvrages. Les exemples récents d incendies de tunnels sous la Manche et du Mont-Blanc ont mis en évidence des lacunes sur la compréhension des phénomènes d écaillage et d éclatement du béton et motivé la communauté scientifique à étudier plus en profondeur le comportement à haute température du béton. La première difficulté de l étude du comportement du béton à haute température réside dans la complexité de sa structure et son caractère fortement hétérogène. Toutefois, la matrice cimentaire constitue la composante essentielle de par son rôle de liant entre les granulats, de par sa porosité et aussi de par sa transformation permanente avec l élévation de la température. Des progrès considérables ont été réalisés ces dernières années sur l analyse, la compréhension et la modélisation des phénomènes. Cependant, des points de désaccords existent notamment en ce qui concerne les principaux facteurs de dégradation qui sont d une part la pression de vapeur et d autre part les contraintes thermiques reliées à la modification des propriétés physico-chimio-mécaniques du matériau. L objectif de ce travail est de contribuer à la compréhension du rôle de la matrice cimentaire sur l évolution des propriétés du béton avec l élévation de la température, en premier lieu par une approche expérimentale permettant de suivre le comportement thermo-hydrique du matériau pendant l échauffement ainsi que les performances physico-mécaniques résiduelles et en second lieu par une approche modélisatrice du comportement thermo-hydrique. La première partie de cette étude est de nature bibliographique. Elle présente une synthèse des travaux réalisés sur les propriétés physiques et chimiques de la matrice cimentaire et sur l évolution de propriétés mécaniques et hydriques du béton avec l élévation de la température. Elle débute par une description de la microstructure de la pâte de ciment et les différentes transformations physico-chimiques qui ont lieu au sein de cette dernière au cours de l élévation de la température. Cette description est suivie par une synthèse des principaux mécanismes expliquant le phénomène d éclatement et des différents moyens de prévention. Une synthèse sur l évolution des performances mécaniques de compression, de traction et du module d élasticité est faite en fonction des différents paramètres influençant le comportement du béton. Nous avons également fait dans ce chapitre une présentation de l évolution de la perméabilité, de la perte de masse et des pressions de 19

Fiche de lecture du projet de fin d étude

Fiche de lecture du projet de fin d étude GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE Fiche de lecture du projet de fin d étude Analyse du phénomène de condensation sur l aluminium Par Marine SIRE Tuteurs : J.C. SICK Manager du Kawneer Innovation Center &

Plus en détail

2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid

2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid Chapitre Les bétons courants.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid.7.1 - Le bétonnage par temps chaud 3 Granulats Les conditions climatiques lors de la mise en œuvre ont une grande influence sur

Plus en détail

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie

Plus en détail

SARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine

SARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine Revue des Energies Renouvelables Vol. 11 N 4 (2008) 587 594 SARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine S. Kherris 1*, M. Makhlouf 1 et A. Asnoun 2 1 Laboratoire des Matériaux et des Systèmes

Plus en détail

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca

Plus en détail

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents

Plus en détail

Revision of hen1317-5: Technical improvements

Revision of hen1317-5: Technical improvements Revision of hen1317-5: Technical improvements Luca Felappi Franz M. Müller Project Leader Road Safety Consultant AC&CS-CRM Group GDTech S.A., Liège Science Park, rue des Chasseurs-Ardennais, 7, B-4031

Plus en détail

Le No.1 de l économie d énergie pour patinoires.

Le No.1 de l économie d énergie pour patinoires. Le No.1 de l économie d énergie pour patinoires. Partner of REALice system Economie d énergie et une meilleure qualité de glace La 2ème génération améliorée du système REALice bien connu, est livré en

Plus en détail

FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles

FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles FLUIDES EN ÉCOULEMENT Méthodes et modèles Jacques PADET Professeur Émérite à l Université de Reims Seconde édition revue et augmentée TABLE DES MATIÈRES PRÉSENTATION Préface de la 1 ère édition Prologue

Plus en détail

ÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009

ÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS 1 ÉJECTEURS INTRODUCTION Les éjecteurs sont activés par la chaleur perdue ou la chaleur provenant de sources renouvelables. Ils sont actionnés directement

Plus en détail

Quatre axes au service de la performance et des mutations Four lines serve the performance and changes

Quatre axes au service de la performance et des mutations Four lines serve the performance and changes Le Centre d Innovation des Technologies sans Contact-EuraRFID (CITC EuraRFID) est un acteur clé en matière de l Internet des Objets et de l Intelligence Ambiante. C est un centre de ressources, d expérimentations

Plus en détail

Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs.

Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs. Modélisation 3D par le modèle de turbulence k-ε standard de la position de la tête sur la force de résistance rencontrée par les nageurs. H. ZAÏDI a, S. FOHANNO a, R. TAÏAR b, G. POLIDORI a a Laboratoire

Plus en détail

Exemple PLS avec SAS

Exemple PLS avec SAS Exemple PLS avec SAS This example, from Umetrics (1995), demonstrates different ways to examine a PLS model. The data come from the field of drug discovery. New drugs are developed from chemicals that

Plus en détail

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine

Plus en détail

Figure 3.1- Lancement du Gambit

Figure 3.1- Lancement du Gambit 3.1. Introduction Le logiciel Gambit est un mailleur 2D/3D; pré-processeur qui permet de mailler des domaines de géométrie d un problème de CFD (Computational Fluid Dynamics).Il génère des fichiers*.msh

Plus en détail

THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ

THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ B. AMANA et J.-L. LEMAIRE 2 LIQUEFACTION D'UN GAZ Cette expérience permet d'étudier la compressibilité et la liquéfaction d'un fluide en fonction des variables P,

Plus en détail

Colle époxydique multi usages, à 2 composants

Colle époxydique multi usages, à 2 composants Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,

Plus en détail

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie

Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse

Plus en détail

Monitoring des classes de neige des calottes polaires par Envisat

Monitoring des classes de neige des calottes polaires par Envisat Monitoring des classes de neige des calottes polaires par Envisat (Résultats de WOOPI) N. Tran, A. Vernier (CLS) F. Rémy R (LEGOS) P. Féménias F (ESA) Calottes glaciaires & classification de la neige/glace

Plus en détail

Mesure de l'impact de la marque de provenance Aliments du Québec sur la valeur des produits

Mesure de l'impact de la marque de provenance Aliments du Québec sur la valeur des produits UNIVERSITE DE SHERBROOKE Faculté d'administration Mesure de l'impact de la marque de provenance Aliments du Québec sur la valeur des produits Francine Rodier Cette thèse a été évaluée par un jury composé

Plus en détail

Compte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation

Compte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation 4 6 8 2 4 8 22 26 3 34 38 42 46 5 54 58 62 66 7 74 78 83 89 96 8 44 Bertin Morgan Compte rendu de LA37 B, TP numéro. Les essais effectués par le laboratoire des ponts et chaussés nous ont fournis la température

Plus en détail

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides

Plus en détail

Photoactivatable Probes for Protein Labeling

Photoactivatable Probes for Protein Labeling Photoactivatable Probes for Protein Labeling THÈSE N O 4660 (2010) PRÉSENTÉE LE 26 MARS 2010 À LA FACULTÉ SCIENCES DE BASE LABORATOIRE D'INGÉNIERIE DES PROTÉINES PROGRAMME DOCTORAL EN CHIMIE ET GÉNIE CHIMIQUE

Plus en détail

CHROMATOGRAPHE BTEX GC 5000 BTX

CHROMATOGRAPHE BTEX GC 5000 BTX FICHE PRODUIT - Le a été spécialement développé pour la surveillance en continu des polluants organiques dans l air ambiant dans la gamme C4-C12. L instrument se caractérise par son design compact et sa

Plus en détail

Guide d installation Deco Drain inc. DD200

Guide d installation Deco Drain inc. DD200 Guide d installation Deco Drain inc. DD200 Pour plus informations et pour télécharger les guides d installation en couleur, visitez notre site web. www.decodrain.com Soutien technique : Composez le : 514-946-8901

Plus en détail

Premier principe : bilans d énergie

Premier principe : bilans d énergie MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie

Plus en détail

APPENDIX 6 BONUS RING FORMAT

APPENDIX 6 BONUS RING FORMAT #4 EN FRANÇAIS CI-DESSOUS Preamble and Justification This motion is being presented to the membership as an alternative format for clubs to use to encourage increased entries, both in areas where the exhibitor

Plus en détail

1.The pronouns me, te, nous, and vous are object pronouns.

1.The pronouns me, te, nous, and vous are object pronouns. 1.The pronouns me, te, nous, and vous are object pronouns.! Marie t invite au théâtre?!! Oui, elle m invite au théâtre.! Elle te parle au téléphone?!! Oui, elle me parle au téléphone.! Le prof vous regarde?!!!

Plus en détail

Module HVAC - fonctionnalités

Module HVAC - fonctionnalités Module HVAC - fonctionnalités Modèle de radiation : DO = Discrete Ordinates On peut considérer l échauffement de solides semi transparents causé par le rayonnement absorbé par le solide. On peut également

Plus en détail

Etude de l influence d une agression thermique sur les propriétés mécaniques résiduelles de matériaux composites

Etude de l influence d une agression thermique sur les propriétés mécaniques résiduelles de matériaux composites Etude de l influence d une agression thermique sur les propriétés mécaniques résiduelles de matériaux composites M. Ropital, T. Rogaume, D. Halm Institut Pprime, UPR 3346 CNRS, ISAE-ENSMA, Université de

Plus en détail

T.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY

T.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY T.P. FLUENT Cours Mécanique des Fluides 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY 2 Table des matières 1 Choc stationnaire dans un tube à choc 7 1.1 Introduction....................................... 7 1.2 Description.......................................

Plus en détail

Validation d un modèle CFD Thermique pour un système de Double Embrayage à Sec.

Validation d un modèle CFD Thermique pour un système de Double Embrayage à Sec. Validation d un modèle CFD Thermique pour un système de Double Embrayage à Sec. Anthony LEVILLAIN 1,3,*, Pascale BRASSART 1, David DEMARE 2, Béatrice PATTE- ROULAND 3 1 VALEO Transmissions, Centre d'etudes

Plus en détail

Forthcoming Database

Forthcoming Database DISS.ETH NO. 15802 Forthcoming Database A Framework Approach for Data Visualization Applications A dissertation submitted to the SWISS FEDERAL INSTITUTE OF TECHNOLOGY ZURICH for the degree of Doctor of

Plus en détail

Le turbo met les gaz. Les turbines en équation

Le turbo met les gaz. Les turbines en équation Le turbo met les gaz Les turbines en équation KWOK-KAI SO, BENT PHILLIPSEN, MAGNUS FISCHER La mécanique des fluides numérique CFD (Computational Fluid Dynamics) est aujourd hui un outil abouti de conception

Plus en détail

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation

Plus en détail

SYSTÈME DE GAINES À SPIRALE ET RACCORDS TOURNANTS

SYSTÈME DE GAINES À SPIRALE ET RACCORDS TOURNANTS SYSTÈME DE GAINES À SPIRALE ET RACCORDS TOURNANTS SPIRAL PVC CONDUIT SYSTEMS AND REVOLVING FITTINGS Gaines a Spirale Matufless...page 190 Matufless spiral PVC conduit Raccords Tournants Matufless...page

Plus en détail

Natixis Asset Management Response to the European Commission Green Paper on shadow banking

Natixis Asset Management Response to the European Commission Green Paper on shadow banking European Commission DG MARKT Unit 02 Rue de Spa, 2 1049 Brussels Belgium markt-consultation-shadow-banking@ec.europa.eu 14 th June 2012 Natixis Asset Management Response to the European Commission Green

Plus en détail

RÉSUMÉ DE THÈSE. L implantation des systèmes d'information (SI) organisationnels demeure une tâche difficile

RÉSUMÉ DE THÈSE. L implantation des systèmes d'information (SI) organisationnels demeure une tâche difficile RÉSUMÉ DE THÈSE L implantation des systèmes d'information (SI) organisationnels demeure une tâche difficile avec des estimations de deux projets sur trois peinent à donner un résultat satisfaisant (Nelson,

Plus en détail

Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation

Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation par Jean-Pierre MAGNAN Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées Directeur technique au Laboratoire Central des Ponts et Chaussées, Paris Professeur de

Plus en détail

ALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX

ALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX ALFÉA HYBRID BAS NOX POMPE À CHALEUR HYBRIDE AVEC APPOINT FIOUL INTÉGRÉ HAUTE TEMPÉRATURE 80 C DÉPART D EAU JUSQU À 60 C EN THERMODYNAMIQUE SOLUTION RÉNOVATION EN REMPLACEMENT DE CHAUDIÈRE FAITES CONNAISSANCE

Plus en détail

Etude Expérimentale d un Echangeur Thermique en Polypropylène Application au Conditionnement des Aquariums

Etude Expérimentale d un Echangeur Thermique en Polypropylène Application au Conditionnement des Aquariums Rev. Energ. Ren. : Journées de Thermique (2001) 103-108 Etude Expérimentale d un Echangeur Thermique en Polypropylène Application au Conditionnement des Aquariums M. Hazami, C. Kerkeni, A. Farhat, S. Kooli,

Plus en détail

Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar

Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar Revue des Energies Renouvelables Vol. 15 N 2 (2012) 357-364 Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar S. Sami-Mécheri 1*, D. Semmar 2 et

Plus en détail

CONTRÔLE PAR THERMOGRAPHIE INFRA-ROUGE DES DOUBLES SOUDURES AVEC CANAL CENTRAL DES GÉOMEMBRANES PLASTOMÈRES

CONTRÔLE PAR THERMOGRAPHIE INFRA-ROUGE DES DOUBLES SOUDURES AVEC CANAL CENTRAL DES GÉOMEMBRANES PLASTOMÈRES CONTRÔLE PAR THERMOGRAPHIE INFRA-ROUGE DES DOUBLES SOUDURES AVEC CANAL CENTRAL DES GÉOMEMBRANES PLASTOMÈRES CONTROL OF DOUBLE JOIN WITH CENTRAL DUCT OF PLASTOMERIC GEOMEMBRANE BY INFRARED THERMOGRAPHY

Plus en détail

P M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte

P M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Matière : Couleur : Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Gris Recommandations d usage : Pression (dépend du facteur de forme) Déflexion Pression statique maximum :. N/mm ~ % Pression dyn. maximum :. N/mm

Plus en détail

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université

Plus en détail

Once the installation is complete, you can delete the temporary Zip files..

Once the installation is complete, you can delete the temporary Zip files.. Sommaire Installation... 2 After the download... 2 From a CD... 2 Access codes... 2 DirectX Compatibility... 2 Using the program... 2 Structure... 4 Lier une structure à une autre... 4 Personnaliser une

Plus en détail

Phénomènes dangereux et modélisation des effets

Phénomènes dangereux et modélisation des effets Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE

SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE Denis DEFAUCHY Gilles REGNIER Patrice PEYRE Amine AMMAR Pièces FALCON - Dassault Aviation 1 Présentation

Plus en détail

Z-Axis Compliance Device Compliance en z

Z-Axis Compliance Device Compliance en z Compensation for different vertical positions Collision recognition in Z-direction Protection of parts and work pieces Monitoring of the insertion forces during assembly operations Monitoring of the picking

Plus en détail

À propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire

À propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet

Plus en détail

Chapitre 11 Bilans thermiques

Chapitre 11 Bilans thermiques DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................

Plus en détail

Analyse de la dynamique d un lit fluidisé gaz-solide en interaction acoustique avec son système de ventilation : comparaison théorie/expérience.

Analyse de la dynamique d un lit fluidisé gaz-solide en interaction acoustique avec son système de ventilation : comparaison théorie/expérience. Analyse de la dynamique d un lit fluidisé gaz-solide en interaction acoustique avec son système de ventilation : comparaison théorie/expérience. F.BONNIOL, C. SIERRA, R. OCCELLI AND L. TADRIST Laboratoire

Plus en détail

Projet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com

Projet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com Projet SETHER Appel à projets 2008 Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com SETHER STOCKAGE D ELECTRICITÉ SOUS FORME THERMIQUE À HAUTE TEMPÉRATURE Partenaires : POWEO, SAIPEM, CEA, CNAM, GEMH,

Plus en détail

COUNCIL OF THE EUROPEAN UNION. Brussels, 18 September 2008 (19.09) (OR. fr) 13156/08 LIMITE PI 53

COUNCIL OF THE EUROPEAN UNION. Brussels, 18 September 2008 (19.09) (OR. fr) 13156/08 LIMITE PI 53 COUNCIL OF THE EUROPEAN UNION Brussels, 18 September 2008 (19.09) (OR. fr) 13156/08 LIMITE PI 53 WORKING DOCUMENT from : Presidency to : delegations No prev. doc.: 12621/08 PI 44 Subject : Revised draft

Plus en détail

sur le réseau de distribution

sur le réseau de distribution EDF-R&D Département MIRE et Département EFESE 1, avenue du Général de Gaulle 92141 Clamart Impact qualité du site photovoltaïque "Association Soleil Marguerite" sur le réseau de distribution Responsable

Plus en détail

Application Form/ Formulaire de demande

Application Form/ Formulaire de demande Application Form/ Formulaire de demande Ecosystem Approaches to Health: Summer Workshop and Field school Approches écosystémiques de la santé: Atelier intensif et stage d été Please submit your application

Plus en détail

Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau

Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics Formation à la CFD, Ph Parnaudeau 1 Qu est-ce que la CFD? La simulation numérique d un écoulement fluide Considérer à présent comme une alternative «raisonnable»

Plus en détail

Influence de la répartition de la charge sur les performances d une turbomachine axiale contrarotative

Influence de la répartition de la charge sur les performances d une turbomachine axiale contrarotative Influence de la répartition de la charge sur les performances d une turbomachine axiale contrarotative J. Wang a, F. Ravelet a, F. Bakir a, C. Sarraf a a. DynFluid Lab., Arts et Metiers ParisTech, 151

Plus en détail

RAPID 3.34 - Prenez le contrôle sur vos données

RAPID 3.34 - Prenez le contrôle sur vos données RAPID 3.34 - Prenez le contrôle sur vos données Parmi les fonctions les plus demandées par nos utilisateurs, la navigation au clavier et la possibilité de disposer de champs supplémentaires arrivent aux

Plus en détail

Improving the breakdown of the Central Credit Register data by category of enterprises

Improving the breakdown of the Central Credit Register data by category of enterprises Improving the breakdown of the Central Credit Register data by category of enterprises Workshop on Integrated management of micro-databases Deepening business intelligence within central banks statistical

Plus en détail

The new consumables catalogue from Medisoft is now updated. Please discover this full overview of all our consumables available to you.

The new consumables catalogue from Medisoft is now updated. Please discover this full overview of all our consumables available to you. General information 120426_CCD_EN_FR Dear Partner, The new consumables catalogue from Medisoft is now updated. Please discover this full overview of all our consumables available to you. To assist navigation

Plus en détail

Abstract : Mots clefs : Résistance thermique de contact ; Modèles prédictifs. 1 Introduction

Abstract : Mots clefs : Résistance thermique de contact ; Modèles prédictifs. 1 Introduction Étude comparative et validation de modèles prédictifs de résistance thermique de contact dans le cas solide-liquide avec prise en compte de la tension superficielle Saannibe Ciryle SOME a, Didier DELAUNAY

Plus en détail

Consolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER

Consolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Consolidation des argiles CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Plan Introduction Argiles Phénomène de consolidation Essais de consolidation Equation de la consolidation Degré de consolidation et facteur

Plus en détail

Instructions Mozilla Thunderbird Page 1

Instructions Mozilla Thunderbird Page 1 Instructions Mozilla Thunderbird Page 1 Instructions Mozilla Thunderbird Ce manuel est écrit pour les utilisateurs qui font déjà configurer un compte de courrier électronique dans Mozilla Thunderbird et

Plus en détail

Mesures calorimétriques

Mesures calorimétriques TP N 11 Mesures calorimétriques - page 51 - - T.P. N 11 - Ce document rassemble plusieurs mesures qui vont faire l'objet de quatre séances de travaux pratiques. La quasi totalité de ces manipulations utilisent

Plus en détail

J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E

J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E De l estimation des besoins / critères et exemple Février 2012 Présentation : Jérôme DIOT Directeur Technique EGIS Centre Ouest 1 Sommaire Conception

Plus en détail

Document Technique d Application. Agilia sols A

Document Technique d Application. Agilia sols A Document Technique d Application Référence Avis Technique 12/09-1553*V2 Annule et remplace le Document Technique d Application 12/09-1553*V1 Intègre le modificatif 12/09-1553*02 Mod Chape fluide à base

Plus en détail

Adhésif structural pour le collage de renforts

Adhésif structural pour le collage de renforts Notice Produit Edition 18/07/2014 Numéro 3022 Version N 2014-253 N identification : 020206040010000001 Adhésif structural pour le collage de renforts Description est une colle structurale thixotrope à

Plus en détail

I. Programmation I. 1 Ecrire un programme en Scilab traduisant l organigramme montré ci-après (on pourra utiliser les annexes):

I. Programmation I. 1 Ecrire un programme en Scilab traduisant l organigramme montré ci-après (on pourra utiliser les annexes): Master Chimie Fondamentale et Appliquée : spécialité «Ingénierie Chimique» Examen «Programmation, Simulation des procédés» avril 2008a Nom : Prénom : groupe TD : I. Programmation I. 1 Ecrire un programme

Plus en détail

03/2013. Mod: WOKI-60IP/TR. Production code: DTWIC 6000

03/2013. Mod: WOKI-60IP/TR. Production code: DTWIC 6000 03/2013 Mod: WOKI-60IP/TR Production code: DTWIC 6000 ENCASTRABLE INDUCTION DROP IN INDUCTION 11/2011 TECHNICAL FEATURES DOCUMENTATION S.A.V. Notice d utilisation : FX00326-A Guide d intervention : ---

Plus en détail

Modifications par Drumco énergie pour le climat québécois - Ajout d un chauffe panne à l huile - Ajout d un chauffe-régulateur - Ajout d un chauffe-carburateur - Ajout d un Thermo-Cube (multiprises avec

Plus en détail

THÈSE. présentée à TÉLÉCOM PARISTECH. pour obtenir le grade de. DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH. Mention Informatique et Réseaux. par.

THÈSE. présentée à TÉLÉCOM PARISTECH. pour obtenir le grade de. DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH. Mention Informatique et Réseaux. par. École Doctorale d Informatique, Télécommunications et Électronique de Paris THÈSE présentée à TÉLÉCOM PARISTECH pour obtenir le grade de DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH Mention Informatique et Réseaux par

Plus en détail

INDIVIDUALS AND LEGAL ENTITIES: If the dividends have not been paid yet, you may be eligible for the simplified procedure.

INDIVIDUALS AND LEGAL ENTITIES: If the dividends have not been paid yet, you may be eligible for the simplified procedure. Recipient s name 5001-EN For use by the foreign tax authority CALCULATION OF WITHHOLDING TAX ON DIVIDENDS Attachment to Form 5000 12816*01 INDIVIDUALS AND LEGAL ENTITIES: If the dividends have not been

Plus en détail

Utiliser une WebCam. Micro-ordinateurs, informations, idées, trucs et astuces

Utiliser une WebCam. Micro-ordinateurs, informations, idées, trucs et astuces Micro-ordinateurs, informations, idées, trucs et astuces Utiliser une WebCam Auteur : François CHAUSSON Date : 8 février 2008 Référence : utiliser une WebCam.doc Préambule Voici quelques informations utiles

Plus en détail

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations

Plus en détail

INVESTMENT REGULATIONS R-090-2001 In force October 1, 2001. RÈGLEMENT SUR LES INVESTISSEMENTS R-090-2001 En vigueur le 1 er octobre 2001

INVESTMENT REGULATIONS R-090-2001 In force October 1, 2001. RÈGLEMENT SUR LES INVESTISSEMENTS R-090-2001 En vigueur le 1 er octobre 2001 FINANCIAL ADMINISTRATION ACT INVESTMENT REGULATIONS R-090-2001 In force October 1, 2001 LOI SUR LA GESTION DES FINANCES PUBLIQUES RÈGLEMENT SUR LES INVESTISSEMENTS R-090-2001 En vigueur le 1 er octobre

Plus en détail

IDENTITÉ DE L ÉTUDIANT / APPLICANT INFORMATION

IDENTITÉ DE L ÉTUDIANT / APPLICANT INFORMATION vice Direction des Partenariats Internationaux Pôle Mobilités Prrogrramme de bourrses Intterrnattiionalles en Mastterr (MIEM) Intterrnattiionall Mastterr Schollarrshiip Prrogrramme Sorrbonne Parriis Ciitté

Plus en détail

Notions physiques Niveau 2

Notions physiques Niveau 2 14 novembre 2011 Contenu 1. Les pressions Les différentes pressions 2. La loi de Mariotte (Autonomie en air) 2.1. Principes 2.2. Applications à la plongée 3. Le théorème d Archimède (Flottabilité) 3.1.

Plus en détail

Fiche explicative pour la saisie des équipements du génie climatique dans la RT2012

Fiche explicative pour la saisie des équipements du génie climatique dans la RT2012 Fiche explicative pour la saisie des équipements du génie climatique dans la RT2012 LES CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUES I/ PRINCIPE GENERAL Un chauffe-eau thermodynamique (CET) est un générateur thermodynamique

Plus en détail

B1 Cahiers des charges

B1 Cahiers des charges B1 Cahiers des charges B1 cahiers des charges 35 B.1 Cahiers des charges Ce chapitre contient les cahiers des charges. Pour plus d informations, nous réfèrons au paragraphe B.3. Mise en oeuvre et B.4 Détails

Plus en détail

physicien diplômé EPFZ originaire de France présentée acceptée sur proposition Thèse no. 7178

physicien diplômé EPFZ originaire de France présentée acceptée sur proposition Thèse no. 7178 Thèse no. 7178 PROBLEMES D'OPTIMISATION DANS LES SYSTEMES DE CHAUFFAGE A DISTANCE présentée à l'ecole POLYTECHNIQUE FEDERALE DE ZURICH pour l'obtention du titre de Docteur es sciences naturelles par Alain

Plus en détail

Influence de la géométrie du conducteur sur la température dans un poste sous enveloppe métallique

Influence de la géométrie du conducteur sur la température dans un poste sous enveloppe métallique SYMPOSIUM DE GENIE ELECTRIQUE (SGE 14) : EF-EPF-MGE 2014, 8-10 JUILLET 2014, ENS CACHAN, FRANCE Influence de la géométrie du conducteur sur la dans un poste sous enveloppe métallique Nesrine REBZANI 1,2,3,

Plus en détail

Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.

Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée

Plus en détail

Interest Rate for Customs Purposes Regulations. Règlement sur le taux d intérêt aux fins des douanes CONSOLIDATION CODIFICATION

Interest Rate for Customs Purposes Regulations. Règlement sur le taux d intérêt aux fins des douanes CONSOLIDATION CODIFICATION CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Interest Rate for Customs Purposes Regulations Règlement sur le taux d intérêt aux fins des douanes SOR/86-1121 DORS/86-1121 Current to August 4, 2015 À jour au 4 août

Plus en détail

L. Obert, T. Lascar, A. Adam

L. Obert, T. Lascar, A. Adam Améliorer la consolidation des tubérosités grâce au système OMS (Offset Modular System) et l autogreffe Improving tuberosity consolidation using the OMS system (Offset Modular System) L. Obert, T. Lascar,

Plus en détail

Macro-to-Microchannel Transition in Two-Phase Flow and Evaporation

Macro-to-Microchannel Transition in Two-Phase Flow and Evaporation Macro-to-Microchannel Transition in Two-Phase Flow and Evaporation THÈSE N O 4674 (2010) PRÉSENTÉE LE 30 AVRIL 2010 À LA FACULTÉ SCIENCES ET TECHNIQUES DE L'INGÉNIEUR LABORATOIRE DE TRANSFERT DE CHALEUR

Plus en détail

Chapitre 7: Dynamique des fluides

Chapitre 7: Dynamique des fluides Chapitre 7: Dynamique des fluides But du chapitre: comprendre les principes qui permettent de décrire la circulation sanguine. Ceci revient à étudier la manière dont les fluides circulent dans les tuyaux.

Plus en détail

AGREX. épandeurs d engrais / fertiliser spreaders NOUVEAU! NEW!

AGREX. épandeurs d engrais / fertiliser spreaders NOUVEAU! NEW! AGREX épandeurs d engrais / fertiliser spreaders NOUVEAU! NEW! MTI Canada Inc. 1720, boul. de la Rive-Sud Saint-Romuald (Québec) G6W 5M6 Service en français : 1 866 667-6328 English services : 1 866 718-4746

Plus en détail

Formulaire de candidature pour les bourses de mobilité internationale niveau Master/ Application Form for International Master Scholarship Programme

Formulaire de candidature pour les bourses de mobilité internationale niveau Master/ Application Form for International Master Scholarship Programme Formulaire de candidature pour les bourses de mobilité internationale niveau Master/ Application Form for International Master Scholarship Programme Année universitaire / Academic Year: 2013 2014 A REMPLIR

Plus en détail

Laboratory accredited by the French Home Office (official gazette date February 5 th, 1959, modified) Valid five years from August 27 th, 2013

Laboratory accredited by the French Home Office (official gazette date February 5 th, 1959, modified) Valid five years from August 27 th, 2013 CLASSIFICATION REPORT OF REACTION TO FIRE PERFORMANCE IN ACCORDANCE WITH THE EUROPEAN STANDARD EN 350-+A: 203 and in compliance with the French Home Office Regulation dated November 2 st, 2002 concerning

Plus en détail

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES

DYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,

Plus en détail

BREVET 2 * Principes physiques régissant la plongée. Première partie

BREVET 2 * Principes physiques régissant la plongée. Première partie BREVET 2 * Principes physiques régissant la plongée Première partie Objectifs de ce cours: 1. Introduction à la formation du 2* 2. Comprendre les lois fondamentales régissant : la flottabilité (Archimède)

Plus en détail

Le passé composé. C'est le passé! Tout ça c'est du passé! That's the past! All that's in the past!

Le passé composé. C'est le passé! Tout ça c'est du passé! That's the past! All that's in the past! > Le passé composé le passé composé C'est le passé! Tout ça c'est du passé! That's the past! All that's in the past! «Je suis vieux maintenant, et ma femme est vieille aussi. Nous n'avons pas eu d'enfants.

Plus en détail

Ultrasons diffus pour la caractérisation d une fissure dans le béton

Ultrasons diffus pour la caractérisation d une fissure dans le béton Thèse de Doctorat UNIVERSITÉ AIX-MARSEILLE École Doctorale : Sciences pour l Ingénieur : Mécanique, Physique, Micro et Nanoélectronique Spécialité : Mécanique des solides Audrey QUIVIGER Ultrasons diffus

Plus en détail

Le chantier compte 4 étapes :

Le chantier compte 4 étapes : 02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton

Plus en détail

NORME INTERNATIONALE INTERNATIONAL STANDARD. Dispositifs à semiconducteurs Dispositifs discrets. Semiconductor devices Discrete devices

NORME INTERNATIONALE INTERNATIONAL STANDARD. Dispositifs à semiconducteurs Dispositifs discrets. Semiconductor devices Discrete devices NORME INTERNATIONALE INTERNATIONAL STANDARD CEI IEC 747-6-3 QC 750113 Première édition First edition 1993-11 Dispositifs à semiconducteurs Dispositifs discrets Partie 6: Thyristors Section trois Spécification

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

Auscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers

Auscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers Journée «Thermographie infrarouge pour le bâtiment et les travaux publics» Auscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers Jean Dumoulin (LCPC) Mario Marchetti (LRPC Nancy) Frédéric Taillade

Plus en détail

affichage en français Nom de l'employeur *: Lions Village of Greater Edmonton Society

affichage en français Nom de l'employeur *: Lions Village of Greater Edmonton Society LIONS VILLAGE of Greater Edmonton Society affichage en français Informations sur l'employeur Nom de l'employeur *: Lions Village of Greater Edmonton Society Secteur d'activité de l'employeur *: Développement

Plus en détail