SOUS-PARTIE III L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE
|
|
- Viviane Lepage
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE L ESPACE EUROPÉEN LES DÉPENSES DE R&D SOUS-PARTIE III L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE CHAPITRE 1. LES DÉPENSES DE R&D Figure a, b, c Union européenne (UE 27), États-Unis, Japon et Chine : dépenses intérieures de R&D (DIRD) volume, ratio au PIB, part mondiale sur longue période (de 1995 à 2007) DIRD (volume G ) États-Unis UE 27 Japon Chine DIRD/PIB (%) ,92 2,87 2,50 2,57 2,64 2,72 3,32 3,44 3,02 3,12 3,20 2,61 2,66 2,57 1,66 1,66 1,72 1,75 1,75 1,74 1,77 1,34 1,44 0,64 0,76 1,13 0,57 0,95 Japon États-Unis UE 27 Chine Part Monde de la DIRD (%) ,9 28,6 17,0 2,1 34,9 38,5 38,9 34,1 37,9 36,3 États-Unis 27,3 27,0 26,6 26,2 UE 27 24,8 24,1 15,9 14,7 14,2 14,0 13,9 13,5 Japon 5,8 Chine 2,6 3,2 4,3 7,7 9, DIRD Monde (G ) données OCDE (principaux indicateurs S&T), Eurostat et Unesco, traitements et estimations OST 331
2 L ESPACE EUROPÉEN L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE LES DÉPENSES DE R&D G : milliard d euros en parité de pouvoir d achat (ppa). Les données sont présentées en monnaie courante le périmètre Monde ne comprend pas certains pays dont les données ne sont pas accessibles mais où l activité de R&D est très faible En 2007, l Union européenne, les États-Unis, le Japon et la Chine réalisent, ensemble, près de 750 G de dépenses intérieures de R&D (DIRD). Les dépenses des États-Unis atteignent 315 G (soit 34,1 % de la DIRD mondiale), celles de l Union européenne 222 G (24,1 %), celles du Japon 125 G (13,5 %) et celles de la Chine 86 G (9,3 %). Ensemble, ces pays réalisent donc plus de 80 % des dépenses de R&D dans le monde. Entre 1995 et 2007, la part des dépenses de R&D des États-Unis, du Japon et de l Union européenne a baissé de plus de 3 points. A contrario, la part de la Chine a progressé de près de 7 points. Le recul de la part des dépenses de l Union européenne est perceptible dès 1995, alors que celui des États-Unis ne s installe qu en 1999, au moment où la Chine accélère le développement de sa R&D. Le ratio des dépenses intérieures de R&D sur le PIB est particulièrement élevé au Japon, où il atteint 3,44 % en Il est de 2,66 % pour les États-Unis, de 1,77 % pour l Union européenne et de 1,44 % pour la Chine. La moyenne mondiale est de 2,01 %. L observation sur longue période montre que, depuis 1997, le ratio des dépenses intérieures de R&D sur le PIB augmente de manière continue au Japon, alors que depuis le début des années 2000, il stagne aux États-Unis et dans l Union européenne. En Chine, ce ratio augmente rapidement depuis 1995 (il a plus que doublé en dix ans). 332
3 L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE L ESPACE EUROPÉEN LES DÉPENSES DE R&D Tableau Union européenne (UE 27), États-Unis, Japon et Chine : financement des dépenses intérieures de R&D (DIRD) répartition selon l origine du financement (2007) et évolution (de 1997 à 2007) Zone/Pays Financement des dépenses intérieures de R&D (DIRD) Secteur public Secteur privé Étranger Ensemble Part (%) 2007 Union européenne (UE 27) 36,2 54,9 9,0 100,0 États-Unis 33,8 66,2-100,0 Japon 22,0 77,7 0,3 100,0 Chine 28,3 70,4 1,4 100,0 Évolution 2007/2002 (%) Union européenne (UE 27) États-Unis nd - Japon Chine Évolution 2007/1997 (%) Union européenne (UE 27) États-Unis nd - Japon Chine nd nd nd - données OCDE (principaux indicateurs S&T) et Eurostat, traitements et estimations OST En 2007, le secteur privé finance 77,7 % des dépenses intérieures de R&D du Japon, 70,4 % de celles de la Chine, 66,2 % de celles des États-Unis, et 54,9 % seulement de celles de l Union européenne. Aux États-Unis et dans l Union européenne, les pouvoirs publics financent plus du tiers des dépenses intérieures de R&D, en Chine ils en financent un peu moins de 30 %, et au Japon moins du quart. La part des financements venus de l étranger qui sont soit des financements privés liés aux activités de firmes multinationales, soit des financements publics liés à des appels d offres internationaux est très faible au Japon (0,3 %) et en Chine (1,4 %). Cette part est plus élevée dans l Union européenne, où elle représente 9 % des dépenses intérieures de R&D, notamment du fait des appels d offres et des financements européens de la R&D. Sur dix ans, entre 1997 et 2007, la contribution du secteur public au financement de la DIRD a baissé de 9 % dans l Union européenne, de 6 % aux États-Unis et de 15 % au Japon. Par ailleurs, pendant cette période, la contribution du secteur privé au financement de la DIRD a augmenté de 3 % aux États-Unis et dans l Union européenne, et de 5 % au Japon. Entre 1997 et 2007, la part des financements venus de l étranger a augmenté de 28 % dans l Union européenne et de 14 % au Japon. nd : non disponible les données de financement par secteur ne sont pas disponibles pour la Chine en 1997 le financement par l étranger pour les États-Unis n est pas isolé le secteur public regroupe les secteurs de l État, de l enseignement supérieur et des institutions sans but lucratif de la nomenclature OCDE 333
4 L ESPACE EUROPÉEN L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE LES DÉPENSES DE R&D Tableau Union européenne (UE 27), États-Unis, Japon et Chine : exécution des dépenses intérieures de R&D (DIRD) volume, répartition selon le type d opérateur (2007) et évolution (de 2002 à 2007) Exécution des dépenses intérieures de R&D (DIRD) par : Opérateurs du secteur public Opérateurs Ensemble du secteur Zone/Pays Académiques Finalisés Ensemble Volume (G ) 2007 privé Union européenne (UE 27) États-Unis Japon Chine Évolution 2007/2002 (%) Union européenne (UE 27) États-Unis Japon Chine Part (%) 2007 Union européenne (UE 27) 22,6 14,1 36,7 63,3 100,0 États-Unis 13,1 14,7 27,8 72,2 100,0 Japon 12,6 9,5 22,1 77,9 100,0 Chine 8,5 19,2 27,7 72,3 100,0 Évolution 2007/2002 (%) Union européenne (UE 27) États-Unis Japon Chine données OCDE (principaux indicateurs S&T) et Eurostat, traitements et estimations OST G : milliard d euros en parité de pouvoir d achat (ppa). Les données 2007 sont présentées en monnaie courante. Les évolutions de volume entre 2002 et 2007 sont calculées en monnaie constante par rapport à la valeur de 2000 le secteur public regroupe les secteurs de l État, de l enseignement supérieur et des institutions sans but lucratif de la nomenclature OCDE En 2007, le secteur privé exécute 77,9 % des dépenses intérieures de R&D du Japon, 72,2 % de celles des États-Unis, 72,3 % de celles de la Chine et 63,3 % de celles de l Union européenne. Dans le secteur public les dépenses sont exécutées d abord par les opérateurs de recherche académique dans l Union européenne (ils y exécutent 22,6 % du total des dépenses) et au Japon (12,6 %). Par contraste, ce sont les opérateurs de recherche finalisée qui exécutent le plus de travaux de R&D en Chine (19,2 %) et aux États-Unis (14,7 %). Entre 2002 et 2007, la part des dépenses de R&D réalisées par le secteur public (civil et militaire) diminue partout. La plus forte diminution concerne la Chine (- 29 %). L exécution de la R&D par les opérateurs publics de recherche finalisée, diminue nettement en Chine (- 33 %) et au Japon (- 18 %). Seule l Union européenne voit légèrement augmenter sa part de dépenses intérieures de R&D exécutées par les opérateurs de recherche académiques (+ 2 %). 334
5 L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE L ESPACE EUROPÉEN LES DÉPENSES DE R&D 1.1. Le financement et l exécution de la R&D du secteur public Tableau Union européenne (UE 27), États-Unis, Japon et Chine : financement des dépenses intérieures de R&D (DIRD) par le secteur public volume, part monde, ratio au PIB et part dans la DIRD (2007) Zone/Pays Financement des dépenses intérieures de R&D (DIRD) par le secteur public (2007) Volume (G ) Part Monde (%) Ratio au PIB (%) Part dans la DIRD (%) Union européenne (UE 27) 80 25,4 0,64 36,2 États-Unis ,6 0,90 33,8 Japon 27 8,6 0,76 22,0 Chine 24 7,7 0,41 28,3 Monde ,0 0,68 33,8 données OCDE (principaux indicateurs S&T), Eurostat et Unesco, traitements et estimations OST En 2007, le secteur public de l Union européenne finance 25,4 % de la DIRD mondiale, celui des États- Unis 33,6 %, ceux du Japon et de la Chine respectivement 8,6 % et 7,7 %. Aux États-Unis, le ratio du financement public sur le PIB (0,90 %) est plus élevé qu au Japon (0,76 %), que dans l Union européenne (0,64 %) ou qu en Chine (où il ne représente que 0,41 % du PIB). En 2007, dans l Union européenne et aux États-Unis le secteur public civil finance un peu plus du tiers des dépenses intérieures de R&D. Au Japon, il en finance 22 % et en Chine, 28,3 %. G : milliard d euros, en parité de pouvoir d achat (ppa). Les données sont présentées en monnaie courante le périmètre Monde ne comprend pas certains pays dont les données ne sont pas accessibles mais où l activité de R&D est très faible 335
6 L ESPACE EUROPÉEN L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE LES DÉPENSES DE R&D Tableau Union européenne (UE 27), États-Unis, Japon et Chine : financement public de la R&D de défense volume, part mondiale, ratio au PIB, part dans la DIRD et part dans le financement public de la R&D (2007) Zone/Pays Volume (G ) Financement public de la R&D de défense (2007) Part Monde (%) Ratio au PIB (%) Part dans la DIRD (%) Part (%) dans le financement public de la R&D Union européenne (UE 27) 9 10,9 0,08 4,1 11,2 États-Unis 60 71,9 0,59 19,0 56,2 Japon 1 1,1 0,03 0,8 3,5 Chine nd nd nd nd nd Monde ,0 0,26 11,1 34,6 données OCDE (principaux indicateurs S&T) et Eurostat, traitements et estimations OST nd : non disponible G : milliard d euros en parité de pouvoir d achat (ppa). Les données sont présentées en monnaie courante le périmètre Monde ne comprend pas certains pays dont les données ne sont pas accessibles mais où l activité de R&D est très faible les données sont calculées à partir des crédits budgétaires publics de R&D et non des dépenses constatées En 2007, les crédits publics pour la R&D de défense sont de 60 G aux États-Unis. Dans l Union européenne, ils s élèvent à 9 G, presque six fois moins. Enfin, au Japon, ils sont de 1 G. En 2007, les États-Unis financent plus de 70 % de la R&D de défense mondiale. L Union européenne pèse 10,9 %. La part du Japon est négligeable (1,1 %). Le ratio des crédits publics pour la R&D de défense par rapport au PIB est de 0,59 % aux États-Unis, soit plus de sept fois celui de l Union européenne (0,08 %). Le financement de la R&D de défense représente plus de 55 % des dépenses publiques de R&D aux États-Unis contre 11,2 % pour l Union européenne. 336
7 L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE L ESPACE EUROPÉEN LES DÉPENSES DE R&D Tableau Union européenne (UE 27), États-Unis, Japon et Chine : dépenses intérieures de R&D exécutées par le secteur public (DIRDA) volume, part mondiale, ratio au PIB, part dans la DIRD (2007) et évolution (de 2002 à 2007) Zone/Pays Volume (G ) Part Monde (%) Dépenses intérieures de R&D exécutées par le secteur public (DIRDA) 2007 Évolution 2007/2002 (%) Ratio au PIB (%) Part dans la DIRD (%) Volume Part Monde Ratio au PIB Part dans la DIRD Union européenne (UE 27) 82 28,0 0,65 36, États-Unis 88 30,1 0,74 27, Japon 28 9,5 0,76 22, Chine 24 8,2 0,40 27, Monde ,0 0,62 31, données OCDE (principaux indicateurs S&T), Eurostat et Unesco, traitements et estimations OST G : milliard d euros en parité de pouvoir d achat (ppa). Les données 2007 sont présentées en monnaie courante. Les évolutions de volume entre 2002 et 2007 sont calculées en monnaie constante par rapport à la valeur de 2000 le périmètre Monde ne comprend pas certains pays dont les données ne sont pas accessibles mais où l activité de R&D est très faible le secteur public regroupe les secteurs de l État, de l Enseignement supérieur et des institutions sans but lucratif de la nomenclature OCDE En 2007, le secteur public des États-Unis, de l Union européenne, du Japon et de la Chine a réalisé au total 222 G de dépenses de R&D, soit plus de 75 % des dépenses publiques mondiales. Le secteur public américain a exécuté 88 G de dépenses de R&D (soit 30,1 % des dépenses de R&D publiques mondiales), celui de l Union européenne 82 G (28 %), celui du Japon 28 G (9,5 %) et celui de la Chine 24 G (8,2 %). Les dépenses de R&D exécutées par le secteur public représentent 0,74 % du PIB aux États-Unis, 0,76 % au Japon, 0,65 % dans l Union européenne c està-dire proche de la moyenne mondiale de 0,62 %. Elle est largement inférieure à cette valeur en Chine (0,40 %). Le secteur public exécute 36,7 % de la DIRD de l Union européenne, 27,8 % de celle des États-Unis, 27,7 % de celle de la Chine, et seulement 22,1 % de celle du Japon. Entre 2002 et 2007, les dépenses de R&D exécutées par le secteur public ont augmenté au Japon (+ 4 %), aux États-Unis (+ 8 %), dans l Union européenne (+ 11 %) et en Chine (+ 66 %). Le ratio des dépenses de R&D réalisées par le secteur public par rapport au PIB a diminué pour les États-Unis, la Chine et le Japon alors qu il est resté stable pour l Union européenne. Enfin, la part mondiale des dépenses du secteur public dans la DIRD a fortement augmenté pour la Chine (+ 43 %) alors que pour les États-Unis, l Union européenne et le Japon, elle a diminué de 2 % à 9 %. 337
8 L ESPACE EUROPÉEN L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE LES DÉPENSES DE R&D 1.2. Le financement et l exécution de la R&D du secteur privé Tableau Union européenne (UE 27), États-Unis, Japon et Chine : financement des dépenses intérieures de R&D (DIRD) par le secteur privé volume, part mondiale, ratio au PIB, part dans la DIRD (2007) et évolution (de 2002 à 2007) Zone/Pays Volume (G ) Part Monde (%) Financement des dépenses intérieures de R&D (DIRD) par le secteur privé 2007 Évolution 2007/2002 (%) Ratio au PIB (%) Part dans la DIRD (%) Volume Part Monde Ratio au PIB Union européenne (UE 27) ,5 0,97 54, États-Unis ,0 1,76 66, Japon 97 16,3 2,68 77, Chine 61 10,2 1,01 70, Monde ,0 1,27 63, données OCDE (principaux indicateurs S&T), Eurostat et Unesco, traitements et estimations OST Part dans la DIRD G : milliard d euros en parité de pouvoir d achat (ppa). Les données 2007 sont présentées en monnaie courante. Les évolutions de volume entre 2002 et 2007 sont calculées en monnaie constante par rapport à la valeur de 2000 le périmètre Monde ne comprend pas certains pays dont les données ne sont pas accessibles mais où l activité de R&D est très faible Au niveau mondial, le secteur privé a financé 595 G de dépenses de R&D en % de ce financement provient des entreprises américaines, 20,5 % des entreprises européennes, 16,3 % des entreprises japonaises et 10,2 % des entreprises chinoises. Le financement de la DIRD par le secteur privé représente 2,68 % du PIB au Japon (plus du double de la moyenne mondiale, qui est de 1,27 %). Il représente 1,76 % du PIB aux États-Unis, 1,01 % en Chine, et 0,97 % seulement dans l Union européenne. Les entreprises financent plus des trois quarts de la DIRD au Japon (77,7 %), 70,4 % en Chine, 66,2 % aux États-Unis et un peu plus de la moitié dans l Union européenne (54,9 %). Entre 2002 et 2007, le volume des financements consacrés à la DIRD par le secteur privé a augmenté partout. L augmentation la plus forte concerne la Chine (+ 184 %). En termes de part mondiale, la Chine présente aussi la plus forte augmentation (+ 111 %). Par rapport au PIB, le financement par les entreprises a faiblement progressé entre 2002 et 2007 dans l Union européenne (+ 2 %). Il a augmenté de 3 % aux États-Unis, de 14 % au Japon et de 65 % en Chine. Enfin, en Chine, la part de financement de la DIRD par les entreprises a augmenté de 22 %, alors que pour l Union européenne, les États-Unis et le Japon, la progression se situe entre 1 % et 5 %. 338
9 L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE L ESPACE EUROPÉEN LES DÉPENSES DE R&D Tableau Union européenne (UE 27), États-Unis, Japon et Chine : dépenses intérieures de R&D exécutées par le secteur privé (DIRDE) volume, part monde, ratio au PIB, part dans la DIRD (2007) et évolution (de 2002 à 2007) Zone/Pays Volume (G ) Part Monde (%) Dépenses intérieures de R&D exécutées par le secteur privé (DIRDE) 2007 Évolution 2007/2002 (%) Ratio au PIB (%) Part dans la DIRD (%) Volume Part Monde Ratio au PIB Part dans la DIRD Union européenne (UE 27) ,7 1,12 63, États-Unis ,0 1,92 72, Japon 97 15,0 2,68 77, Chine 62 9,6 1,04 72, Monde ,0 1,39 69, données OCDE (principaux indicateurs S&T), Eurostat et Unesco, traitements et estimations OST G : milliard d euros en parité de pouvoir d achat (ppa). Les données 2007 sont présentées en monnaie courante. Les évolutions de volume entre 2002 et 2007 sont calculées en monnaie constante par rapport à la valeur de 2000 le périmètre Monde ne comprend pas certains pays dont les données ne sont pas accessibles mais où l activité de R&D est très faible Au niveau mondial, les dépenses de R&D exécutées par les entreprises s élèvent à 649 G en Les entreprises américaines réalisent 35 % de ces dépenses (soit 227 G ), les entreprises européennes 21,7 % (soit 141 G ), les entreprises japonaises 15 % (soit 97 G ) et les entreprises chinoises 9,6 % (soit 62 G ). Les dépenses de R&D exécutées par le secteur privé atteignent 2,68 % du PIB au Japon, 1,92 % aux États- Unis, 1,12 % dans l Union européenne et 1,04 % en Chine soit, dans ces deux derniers cas, une valeur inférieure à la moyenne mondiale (1,39 %). Enfin, les entreprises exécutent près de 78 % des dépenses intérieures de R&D au Japon, plus de 72 % aux États- Unis et en Chine contre près de 63 % seulement dans l Union européenne, soit une valeur inférieure à la moyenne mondiale (69 %). Entre 2002 et 2007, le volume des dépenses de R&D exécutées par les entreprises a augmenté de 12 % dans l Union européenne, de 20 % aux États-Unis, de 26 % au Japon et de 175 % en Chine. La Chine est le pays où le ratio des dépenses de R&D des entreprises, tant par rapport au PIB (+ 59 %) que par rapport à la DIRD (+ 18 %), a le plus fortement augmenté entre 2002 et
10 L ESPACE EUROPÉEN L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE LES DÉPENSES DE R&D Tableau Union européenne (UE 27), États-Unis, Japon et Chine : dépenses intérieures de R&D du secteur privé (DIRDE) volume, répartition par type de financement (2007) et évolution (de 2002 à 2007) Financement de dépenses intérieures de R&D du secteur privé (DIRDE) 2007 Évolution 2007/2002 (%) Répartition (%) Volume Répartition Zone/Pays Volume (G ) Secteur privé Contrats publics nationaux Ensemble Secteur privé Contrats publics nationaux Ensemble Union européenne (UE 27) ,2 7,4 89, États-Unis ,1 9,9 100, Japon 97 98,5 1,2 99, Chine 62 91,9 4,8 96, données OCDE (principaux indicateurs S&T) et Eurostat, traitements et estimations OST G : milliard d euros en parité de pouvoir d achat (ppa). Les données 2007 sont présentées en monnaie courante. Les évolutions de volume entre 2002 et 2007 sont calculées en monnaie constante par rapport à la valeur de 2000 le financement par l étranger n est pas pris en compte dans ce tableau, sauf pour les données de volume En 2007, au Japon, les entreprises financent la quasitotalité (98,5 %) de leurs dépenses de R&D. Cette part atteint 91,9 % en Chine, 90,1 % aux États-Unis, contre 82,2 % dans l Union européenne. Les entreprises américaines sont celles qui bénéficient le plus des financements venus du secteur public pour leurs dépenses de R&D (9,9 %), suivies par les entreprises européennes (7,4 %) et chinoises (4,8 %). Entre 2002 et 2007, la part des financements publics diminue pour la Chine (- 30 %), le Japon (- 26 %) et l Union européenne (- 3 %) alors que sur la même période, elle augmente de 17 % aux États-Unis. 340
11 L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE L ESPACE EUROPÉEN LES COMPÉTENCES SCIENTIFIQUES ET TECHNIQUES CHAPITRE 2. LES COMPÉTENCES SCIENTIFIQUES ET TECHNIQUES 2.1. Les docteurs Tableau Union européenne (UE 27), États-Unis, Japon et Chine : diplômes de doctorat ou de niveau équivalent délivrés nombre, part des femmes (2002, 2007) et évolution (de 2002 à 2007) Zone/Pays Diplômes de doctorat ou de niveau équivalent Nombre Part (%) des femmes Évolution 2007/2002 (%) Évolution 2007/2002 (%) Union européenne (UE 27) ,5 45, États-Unis ,3 50,1 + 8 Japon ,1 26, Chine nd nd nd nd nd nd données OCDE, Eurostat et Unesco, traitements et estimations OST nd : non disponible Avec doctorats ou diplômes équivalents délivrés en 2007, le nombre de docteurs formés par l Union européenne est 1,8 fois plus élevé qu aux États-Unis et 6,5 fois plus élevé qu au Japon. Dans l Union européenne et aux États-Unis, entre 45 et 50 % des nouveaux docteurs sont des femmes alors qu elles ne sont que 26,6 % au Japon. Entre 2002 et 2007, le nombre de doctorats délivrés a augmenté de 37 % aux États-Unis, de 24 % dans l Union européenne et de 23 % au Japon. Pendant cette période, la part des femmes progresse partout, plus fortement au Japon (+ 15 %) que dans l Union européenne et aux États-Unis (respectivement + 10 % et + 8 %). 341
12 L ESPACE EUROPÉEN L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE LES COMPÉTENCES SCIENTIFIQUES ET TECHNIQUES 2.2. Les flux d étudiants Tableau Union européenne (UE 27), États-Unis, Japon et Chine : inscriptions dans l enseignement supérieur nombre d inscriptions, nombre et part d inscriptions des étudiants étrangers (2002, 2007) et évolution (de 2002 à 2007) Zone/Pays Nombre total d inscriptions d étudiants (milliers) Évolution 2007/2002 (%) Inscriptions dans l enseignement supérieur Nombre d inscriptions d étudiants étrangers (milliers) Évolution 2007/2002 (%) Part (%) des inscriptions d étudiants étrangers Évolution 2007/2002 (%) Union européenne (UE 27) ,1 4, États-Unis ,7 3,4-8 Japon ,9 3, Chine nd 42 nd nd 0,2 nd données OCDE, Eurostat et Unesco, traitements et estimations OST nd : non disponible En 2007, le nombre d inscriptions dans l enseignement supérieur en Chine est de 25,3 millions. Ce nombre a doublé (augmentation de 109 %) depuis Le nombre d inscriptions est sensiblement le même dans l Union européenne et aux États-Unis (soit respectivement 18,9 et 17,8 millions). Entre 2002 et 2007, il a augmenté de 10 % pour l Union européenne et de 11 % pour les États-Unis. En 2007, plus de 4 millions d inscriptions sont recensées au Japon. Ce nombre progresse légèrement depuis 2002 (+ 2 %). L ensemble des pays de l Union européenne accueille étudiants étrangers, ce qui équivaut à 4,8 % du total de ses étudiants. Aux États-Unis, la part des étudiants étrangers est de 3,4 %, au Japon de 3,1 % et en Chine de 0,2 %. Entre 2002 et 2007, la part des étudiants étrangers a augmenté dans les pays de l Union européenne (+ 56 %), ainsi qu au Japon (+ 65 %). Aux États-Unis, la part des étudiants étrangers baisse de 8 % sur la période. 342
13 L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE L ESPACE EUROPÉEN LES COMPÉTENCES SCIENTIFIQUES ET TECHNIQUES Tableau Union européenne (UE 27), États-Unis, Japon : inscriptions dans l enseignement supérieur nombre d inscriptions des étudiants étrangers (2002 et 2007), évolution (de 2002 à 2007) et répartition selon le pays d origine, pour les cinq premiers pays d origine (2002, 2007) Inscriptions d étudiants étrangers dans l enseignement supérieur Nombre Part (%) Évolution Zone d accueil/pays d accueil Pays d origine 2007/2002 (%) Union européenne (UE 27) Chine ,1 12,9 Maroc ,0 5,1 Inde ,9 4,3 Turquie ,6 4,1 États-Unis ,4 3,5 Total étudiants étrangers dans l Union européenne (UE 27) ,0 100,0 États-Unis Chine ,8 16,6 Inde ,5 14,4 Corée du Sud ,4 10,7 Japon ,0 6,1 Canada ,5 4,9 Total étudiants étrangers aux États-Unis ,0 100,0 Japon Chine ,0 63,7 Corée du Sud ,2 17,6 Vietnam ,2 1,7 Malaisie ,2 1,6 États-Unis ,5 1,5 Total étudiants étrangers au Japon ,0 100,0 données OCDE, Eurostat et Unesco, traitements et estimations OST les données de la Chine ne sont pas disponibles par pays d origine En 2007, les inscriptions d étudiants venus de Chine représentent 12,9 % des inscriptions d étudiants étrangers accueillis dans l Union européenne (soit inscrits), devant les étudiants venus du Maroc (5,0 %), de l Inde (4,3 %), de la Turquie (4,1 %) et des États-Unis (3,5 %). Aux États-Unis, les étudiants originaires de Chine sont près de Ils représentent 16,6 % de l ensemble des étudiants étrangers. Ils sont suivis par les étudiants venus d Inde (14,4 %), de Corée du Sud (10,7 %), du Japon (6,1 %) et du Canada (4,9 %). Au Japon, les étudiants originaires de Chine représentent 63,7 % de l ensemble des inscriptions d étudiants étrangers. Ils sont suivis par les étudiants originaires de Corée du Sud (17,6 %), puis du Vietnam, de la Malaisie et des États-Unis. Les étudiants originaires de Chine représentent donc la plus grande part des étudiants étrangers dans la triade Union européenne, États-Unis, Japon. Leur poids est en nette croissance entre 2002 et 2007 ; il augmente respectivement de 9 points pour le Japon, 6 points pour les États-Unis et 5 points pour l Union européenne. 343
14 L ESPACE EUROPÉEN L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE LES COMPÉTENCES SCIENTIFIQUES ET TECHNIQUES 2.3. Les chercheurs Tableau Union européenne (UE 27), États-Unis, Japon et Chine : chercheurs en équivalent temps plein (etp) répartition entre le secteur public et le secteur privé (2007) et évolution (de 2002 à 2007) Secteur Union européenne (UE 27) Chercheurs (etp) : part (%) 2007 Évolution 2007/2002 (%) États-Unis Japon Chine Union européenne (UE 27) États-Unis Japon Chine Secteur public 54,1 20,7 31,9 33, Secteur privé 45,9 79,3 68,1 66, Total 100,0 100,0 100,0 100, Nombre données OCDE (principaux indicateurs S&T) et Eurostat, traitements et estimations OST le secteur public regroupe les secteurs de l État, de l enseignement supérieur et des institutions sans but lucratif de la nomenclature OCDE En 2007, les États-Unis, l Union européenne, la Chine et le Japon comptent respectivement 1,45 million, 1,43 million, 1,42 million et chercheurs. Dans l Union européenne, les chercheurs sont plus nombreux dans le secteur public (54,1 %) que dans le secteur privé (45,9 %). Dans les trois autres pays, les chercheurs sont principalement employés par le secteur privé, qui compte 79,3 % des chercheurs aux États-Unis, 68,1 % au Japon et 66,4 % en Chine. Entre 2002 et 2007, le nombre de chercheurs a augmenté de 21 % dans l Union européenne, soit deux fois plus qu au Japon (+ 10 %) et plus de trois fois plus qu aux États-Unis (+ 6 %). En Chine, il a augmenté de 76 %. Entre 2002 et 2007, la part des chercheurs du secteur privé a augmenté en Chine (+ 21 %) ainsi qu au Japon (+ 2 %), alors qu il baisse aux États-Unis (- 1 %) et dans l Union européenne (- 3 %). Figure Répartition des chercheurs (etp) selon les secteurs, public et privé, dans l UE 27, aux États-Unis, au Japon et en Chine en 2007 Part des chercheurs (%) ,1 20,7 45,9 79,3 31,9 68,1 UE 27 États-Unis Japon Chine Nombre de chercheurs (etp) données Secteur OCDE (principaux public indicateurs Secteur S&T) privé et EUROSTAT, traitements et estimations OST données OCDE (principaux indicateurs S&T) et Eurostat, traitements et estimations OST 33,6 66,4 données 2007 Les chercheurs se trouvent principalement dans le secteur privé aux États- Unis (79,3 %), au Japon (68,1 %) et en Chine (66,4 %). Dans l Union européenne, la part des chercheurs dans ce secteur est proche de 50 %. 344
15 L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE L ESPACE EUROPÉEN LA PRODUCTION SCIENTIFIQUE MESURÉE PAR LES PUBLICATIONS CHAPITRE 3. LA PRODUCTION SCIENTIFIQUE MESURÉE PAR LES PUBLICATIONS Figure a, b, c Union européenne (UE 27), États-Unis, Japon et Chine : publications scientifiques hors sciences humaines et sociales part mondiale de publications, de citations à 2 ans (immédiates) et indice d impact à 2 ans (immédiat) sur longue période (de 1993 à 2008) Part mondiale de publications (%) ,9 34,9 33,9 32,7 1,4 1,7 2,2 35,7 36,0 35,9 31,0 29,4 28,2 2, ,6 35,1 27,4 8,1 8,4 8,6 8,8 8,9 8,7 4,6 33,8 26,7 8,0 6,1 32,9 25,3 8,1 7,2 32,5 24,4 8,8 6,8 UE 27 États-Unis Chine Japon Part mondiale de citations à 2 ans (%) ,2 31,4 46,7 32,5 44,9 42,8 41,8 33,7 34,4 34,4 7,0 6,9 7,0 7,4 7,6 7,4 0,5 0,6 0,8 1,1 1,6 2,3 34,0 33,7 33,8 33,8 6,1 5,9 4,9 5, ,7 39,1 6,9 3,5 36,8 36,0 États-Unis UE 27 Japon Chine 1,5 1,42 1,43 1,45 1,46 1,48 1,49 1,46 1,45 1,47 États-Unis Indice d'impact à 2 ans 1,0 0,5 0,93 0,93 0,95 0,96 0,96 0,97 0,87 0,82 0,81 0,84 0,85 0,85 0,51 0,44 0,34 0,34 0,35 0,39 1,00 0,86 0,58 1,03 1,04 0,85 0,87 0,60 0,61 UE 27 Japon Chine 0, données Thomson Reuters, traitements OST données 2008 l Union européenne a contribué à la production de publications en 1993 et de publications en 2008 ; les États-Unis ont contribué à la production de publications en 1993, et de publications en 2008 ; le Japon a contribué à la production de publications en 1993, et de publications en 2008 et la Chine a contribué à la production de publications en 1993 et de publications en
16 L ESPACE EUROPÉEN L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE LA PRODUCTION SCIENTIFIQUE MESURÉE PAR LES PUBLICATIONS En 2008, l Union européenne, les États-Unis, le Japon et la Chine contribuent ensemble à 72,5 % des publications mondiales. La part mondiale de publications de l Union européenne est de huit points supérieure à celle des États-Unis (32,5 %, contre 24,4 %), la part de la Chine (8,8 %) devance celle du Japon (6,8 %) de 2 points. En 2008, la part mondiale de citations à deux ans des États-Unis (36 %), qui mesure son influence internationale, est de deux points supérieure à celle de l Union européenne (33,8 %). La part mondiale de citations du Japon, sensiblement plus faible (5,9 %), est approchée par celle de la Chine (5,3 %). L indice d impact immédiat des États-Unis est sensiblement plus élevé (1,47) que la moyenne mondiale, qui est de 1 par construction. Celui de l Union européenne est proche de 1. L indice d impact du Japon est plus faible que la moyenne mondiale (0,87) et celui de la Chine en est encore très loin (0,61). La part mondiale de publications des États-Unis diminue régulièrement depuis 1993, alors que l Union européenne et le Japon ont vu les leurs progresser jusque vers La contribution de la Chine à la production mondiale progresse constamment sur la période et s accélère depuis L indice d impact immédiat des publications impliquant un laboratoire américain, déjà très élevé, a progressé de 0,05 point entre 1993 et 2008, celui de l Union européenne de 0,11 point tandis que celui du Japon est resté stable. L indice d impact des publications chinoises, très faible en 1993, progresse rapidement jusqu en 2007, puis semble se stabiliser. 346
17 L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE L ESPACE EUROPÉEN LA PRODUCTION SCIENTIFIQUE MESURÉE PAR LES PUBLICATIONS Tableau Union européenne (UE 27), États-Unis, Japon et Chine : publications scientifiques part mondiale de publications, indice de spécialisation, indice d impact à 2 ans (immédiat) (2008) et évolution (de 2003 à 2008) par discipline Zone/Pays Biologie fondamentale Recherche médicale Biologie appliquéeécologie Publications scientifiques Chimie Physique Sciences de l univers Sciences pour l ingénieur Mathématiques Toutes disciplines Part Monde (%) 2008 Union européenne (UE 27) 33,0 35,9 30,2 27,9 30,8 34,8 31,1 34,9 32,5 États-Unis 31,9 30,3 22,8 14,4 18,9 25,4 20,7 20,6 24,4 Japon 7,1 6,4 5,3 8,9 9,0 4,5 6,4 3,8 6,8 Chine 5,0 2,9 5,2 18,5 13,5 7,0 11,9 14,2 8,8 Évolution Union européenne (UE 27) États-Unis Japon Chine Indice de spécialisation 2008 Union européenne (UE 27) 1,02 1,11 0,93 0,86 0,95 1,07 0,96 1,07 1,00 États-Unis 1,31 1,24 0,93 0,59 0,77 1,04 0,85 0,84 1,00 Japon 1,04 0,94 0,78 1,30 1,33 0,66 0,94 0,57 1,00 Chine 0,57 0,33 0,59 2,10 1,54 0,80 1,36 1,62 1,00 Évolution Union européenne (UE 27) États-Unis Japon Chine Indice d impact à 2 ans 2008 Union européenne (UE 27) 0,97 0,97 1,17 1,17 1,14 1,02 1,04 1,03 1,04 États-Unis 1,37 1,37 1,28 1,66 1,38 1,43 1,18 1,25 1,47 Japon 0,81 0,77 0,90 0,98 0,90 0,91 0,83 0,75 0,87 Chine 0,52 0,66 0,74 0,71 0,71 0,62 0,81 0,87 0,61 Évolution Union européenne (UE 27) États-Unis Japon Chine données Thomson Reuters, traitements OST le total Toutes disciplines inclut la catégorie des journaux multidisciplinaires. Dans cette catégorie, les publications des journaux Science, Nature et PNAS ont été reclassées dans leur discipline de rattachement l Union européenne a contribué à la production de publications en 2003 et de publications en 2008 ; les États-Unis ont contribué à la production de publications en 2003, et de publications en 2008 ; le Japon a contribué à la production de publications en 2003, et de publications en 2008 et la Chine a contribué à la production de publications en 2003 et de publications en
18 L ESPACE EUROPÉEN L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE LA PRODUCTION SCIENTIFIQUE MESURÉE PAR LES PUBLICATIONS En 2008, la part mondiale de publications de l Union européenne est supérieure à celle des États-Unis dans toutes les disciplines. La prééminence de l Union européenne est surtout marquée en chimie, en physique et en mathématiques où sa part devance de plus de douze points celle des États-Unis. Dans les disciplines des sciences de la vie, l écart est inférieur à huit points. Les parts de publications du Japon ne dépassent celles de la Chine que dans trois disciplines : biologie fondamentale, recherche médicale et biologie appliquée-écologie. Partout ailleurs, la part de production de la Chine devance nettement celle du Japon. En chimie, la Chine (18,5 % des publications mondiales en 2008) dépasse nettement les États-Unis (14,4 %). Entre 2003 et 2008, la part de publications scientifiques de la Chine a progressé spectaculairement (de + 77 % à % d augmentation selon les disciplines). Dans le même temps, l Union européenne, les États-Unis et le Japon voient leurs parts mondiales de publications s effriter. En 2008, l Union européenne a un profil disciplinaire relativement équilibré avec une légère spécialisation en recherche médicale, en sciences de l univers et en mathématiques. Celui des États-Unis est marqué par une spécialisation en biologie fondamentale et en recherche médicale. Le Japon, et plus encore la Chine, sont fortement spécialisés en physique et en chimie, disciplines dans lesquelles les États-Unis sont sousspécialisés. La Chine est aussi très spécialisée en sciences pour l ingénieur et en mathématiques mais elle demeure sous-spécialisée dans les disciplines des sciences de la vie. Le Japon est sous-spécialisé en sciences de l univers et en mathématiques. L indice d impact immédiat des États-Unis est élevé dans toutes les disciplines. L indice d impact de l Union européenne est supérieur à la moyenne mondiale dans toutes les disciplines à l exception de la biologie fondamentale et de la recherche médicale. En 2008, le Japon n a aucun indice d impact supérieur à la moyenne mondiale de 1. En chimie, l une de ses spécialités, il s en approche, avec un indice de 0,98. La visibilité de ses publications est modeste en mathématiques (0,75), en recherche médicale (0,77) et en biologie fondamentale (0,81). La visibilité de la Chine est encore très faible dans toutes les disciplines, malgré une progression sensible depuis
19 L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE L ESPACE EUROPÉEN LA PRODUCTION SCIENTIFIQUE MESURÉE PAR LES PUBLICATIONS Figure Part mondiale de publications, indice de spécialisation et indice d impact à 2 ans (immédiat) par discipline de l UE 27, des États-Unis, du Japon et de la Chine en 2008 Biologie fondamentale 40 Biologie fondamentale 2,0 % Mathématiques 30 Recherche médicale Mathématiques 1,5 Recherche médicale 20 1,0 Sciences pour l ingénieur 10 0 Biologie appliquéeécologie Sciences pour l ingénieur 0,5 0,0 Biologie appliquéeécologie Sciences de l univers Chimie Sciences de l univers Chimie Physique Physique Part mondiale (%) de publications : UE 27 États-Unis Japon Chine données Thomson Reuters, traitements OST données 2008 Indice de spécialisation scientifique : UE 27 États-Unis Japon Chine données Thomson Reuters, traitements OST données 2008 Biologie fondamentale 2,0 Mathématiques 1,5 1,0 Recherche médicale Sciences pour l ingénieur 0,5 0 Biologie appliquéeécologie Sciences de l univers Indice d impact à 2 ans : UE 27 États-Unis Japon Chine données Thomson Reuters, traitements OST Physique Chimie données 2008 L Union européenne a un profil de spécialisation disciplinaire équilibré. Le profil des États-Unis montre une spécialisation en biologie fondamentale et en recherche médicale tandis que le Japon et surtout la Chine sont très spécialisés en chimie et en physique. En termes d impact, la Chine est en retrait, alors que la suprématie des États-Unis reste très forte, notamment en chimie. 349
20 L ESPACE EUROPÉEN L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE LA PRODUCTION SCIENTIFIQUE MESURÉE PAR LES PUBLICATIONS Tableau a, b, c, d Union européenne (UE 27), États-Unis, Japon et Chine : publications scientifiques part mondiale, indice de spécialisation, indice d impact à 2 ans (immédiat) (2008) et évolution (de 2003 à 2008) dans les 10 premières sous-disciplines de spécialisation a) Union européenne (UE 27) Sous-discipline Publications scientifiques Part Monde (%) Indice de spécialisation Indice d impact à 2 ans Cardiologie, pneumologie 39,7-2 1, , Endocrinologie 39,2-2 1, , Astronomie, astrophysique 38,8 0 1, ,95 0 Cancérologie 36,7-3 1, , Chirurgie, gastroentérologie, urologie 36,5-6 1, , Divers médical 36,4-8 1,12-1 0, Reproduction, biologie du développement 36,2-2 1, , Neurosciences, sciences comportementales 35,5-2 1, , Microbiologie et virologie, immunologie 35,4-8 1,09-1 0, STIC : informatique, télécommunications 35,1-6 1, , données Thomson Reuters, traitements OST pour les sous-disciplines santé publique et divers et divers médical, voir la fiche de nomenclature A4 L Union européenne est avant tout spécialisée dans des sous-disciplines associées aux sciences de la vie : parmi ses dix premières sous-disciplines de plus forte spécialisation, huit relèvent des disciplines de la recherche médicale ou de la biologie fondamentale. L Union européenne a aussi, parmi ses premières spécialisations, astronomie, astrophysique et STIC : informatique, télécommunications. En 2008, l Union européenne produit entre 35 % et 40 % de la production scientifique mondiale dans les dix sous-disciplines dans lesquelles elle est le plus spécialisée, mais cette production s effrite. Son indice d impact immédiat est légèrement inférieur ou égal à la moyenne mondiale, sauf en STIC : informatique, télécommunications (1,07). b) États-Unis Sous-discipline Publications scientifiques Part Monde (%) Indice de spécialisation Indice d impact à 2 ans Santé publique et divers 34,9-10 1, ,24-1 Neurosciences, sciences comportementales 34,7-5 1, ,33-1 Cancérologie 34,7-1 1, ,39-1 Biochimie 33,4-8 1, ,37-1 Astronomie, astrophysique 31,6-4 1, ,32-5 Microbiologie et virologie, immunologie 31,5-8 1, , Reproduction, biologie du développement 31,3-6 1, ,29-5 Cardiologie, pneumologie 31,2-7 1, ,25-2 Bioingénierie 31,0-10 1, , Endocrinologie 29,1-9 1, ,30-1 données Thomson Reuters, traitements OST pour les sous-disciplines santé publique et divers et divers médical, voir la fiche de nomenclature A4 350
21 L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE L ESPACE EUROPÉEN LA PRODUCTION SCIENTIFIQUE MESURÉE PAR LES PUBLICATIONS Dans ses dix sous-disciplines de plus forte spécialisation, la production des États-Unis est comprise entre 29 % et 35 %. Neuf sous-disciplines appartiennent aux sciences de la vie, la dixième est astronomie, astrophysique. Dans toutes ces sous-disciplines, la part de publications des États-Unis est en recul par rapport à Les indices d impact immédiat des États-Unis dans ces sous-disciplines sont de 20 % à 40 % supérieurs à la moyenne mondiale. Cependant, ils se sont érodés entre 2003 et 2008, sauf en microbiologie et virologie, immunologie et en bioingénierie. c) Japon Sous-discipline Publications scientifiques Part Monde (%) Indice de spécialisation Indice d impact à 2 ans Physique du solide 11,1-27 1,63-7 0,88-2 Matériaux, polymères 10,3-24 1,52-3 0,89-14 Pharmacie, toxicologie 9,0-20 1, , Chimie générale 8,9-19 1, , Chirurgie, gastroentérologie, urologie 8,9-20 1, , Cancérologie 8,8-27 1,30-7 0,67-12 Chimie organique, minérale, nucléaire 8,7-15 1, ,09-3 STIC : génie électrique et électronique 8,4-34 1, ,77-10 Biochimie 8,3-14 1, , Physique des particules et nucléaire 7,2-20 1, , données Thomson Reuters, traitements OST Dans ses dix sous-disciplines de plus forte spécialisation, le Japon publie, en 2008, de 7,2 % à 11,1 % des publications mondiales, mais enregistre des baisses significatives (de - 14 % à - 34 %) depuis Ces sous-disciplines relèvent de plusieurs disciplines scientifiques (physique, chimie, sciences pour l ingénieur, recherche médicale ) mais ni les sciences de l univers ni les mathématiques n y figurent. Sauf en chimie générale et en chimie organique, minérale et nucléaire, la visibilité des publications japonaises dans ses sous-disciplines de plus forte spécialisation est inférieure à la moyenne mondiale. Elle augmente néanmoins de 9 % entre 2003 et 2008 en physique des particules et nucléaire. 351
22 L ESPACE EUROPÉEN L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE LA PRODUCTION SCIENTIFIQUE MESURÉE PAR LES PUBLICATIONS d) Chine Sous-discipline Publications scientifiques Part Monde (%) Indice de spécialisation Indice d impact immédiat Matériaux, polymères 21, , , Physique générale 17, , , Chimie générale 17, , , Physique du solide 15, , , Chimie analytique 14, , , Chimie organique, minérale, nucléaire 14, ,62-4 0, Mathématiques 14, ,62-2 0, STIC : intelligence artificielle 12, , ,81-11 Physique des particules et nucléaire 12, ,40-5 0, Énergie, Génie chimique et industriel 11, ,30-9 0, données Thomson Reuters, traitements OST Les trois sous-disciplines de plus forte spécialisation de la Chine sont physique générale, matériaux-polymères et chimie générale, sous-disciplines où elle produit en 2008 plus du sixième des publications mondiales, mais où sa visibilité reste encore faible (indice d impact respectivement égal à 0,74, 0,51 et 0,61). Les autres sous-disciplines de plus forte spécialisation de la Chine relèvent des disciplines de la physique, de la chimie, des sciences pour l ingénieur ou des mathématiques. La Chine y obtient des parts mondiales de publications de 11 % à 16 %, toujours en forte progression depuis Les indices d impact immédiat associés à ces sous-disciplines progressent aussi mais restent inférieurs à la moyenne mondiale. Aucune sous-discipline des sciences de la vie n est présente parmi ces sous-disciplines. Tableau Union européenne (UE 27), États-Unis, Japon et Chine : publications scientifiques part des copublications internationales des quatre pays/zone avec chacun des autres (2008) et évolution (de 2003 à 2008) Publications scientifiques (2008) Part (%) des copublications internationales de Union États-Unis Japon Chine européenne avec (UE 27) Union européenne (UE 27) - 49,7 33,9 29,3 États-Unis 43,1-36,9 39,2 Japon 6,4 8,1-13,2 Chine 6,3 9,8 15,0 - Évolution Union européenne (UE 27) États-Unis Japon Chine données Thomson Reuters, traitements OST les copublications sont décomptées en compte de présence L Union européenne et les États-Unis ont construit beaucoup de partenariats scientifiques : 43,1 % des copublications internationales de l Union européenne associent au moins un laboratoire situé aux États- Unis et près de la moitié des copublications internationales des États-Unis implique un laboratoire de l Union européenne. Les États-Unis et l Union européenne sont également des partenaires importants pour le Japon et la Chine, qui cosignent chacun près d un tiers de leurs publications internationales avec l Union européenne, et près de 40 % avec les États-Unis. Les partenariats entre le Japon et la Chine sont équilibrés ; chacun des deux pays est présent dans environ un septième des copublications internationales de l autre. Ils sont présents à des niveaux comparables dans les copublications internationales de l Union européenne et des États-Unis. Entre 2003 et 2008, la place prise par la Chine dans les collaborations des États-Unis, de l Union européenne et du Japon a très fortement augmenté. 352
23 L UNION EUROPÉENNE COMPARÉE AUX ÉTATS-UNIS, AU JAPON ET À LA CHINE L ESPACE EUROPÉEN LA PRODUCTION TECHNOLOGIQUE MESURÉE PAR LES BREVETS CHAPITRE 4. LA PRODUCTION TECHNOLOGIQUE MESURÉE PAR LES BREVETS Figure Union européenne (UE 27), États-Unis, Japon et Chine : production technologique part mondiale de demandes de brevet européen sur longue période (de 1990 à 2008) tous domaines confondus Part mondiale de demandes de brevet européen (%) ,1 24,6 données OEB (Patstat), OCDE (Regpart), traitements OCDE et OST 46,2 46,2 47,0 45,9 45,9 26,3 20,1 21,4 28,0 29,1 28,6 28,1 28,1 27,6 19,7 18,2 18,5 17,5 17,6 17,4 0,1 0,1 0,1 0,1 0,1 0, ,9 0,2 45, , ,9 17, UE 27 27,4 26,9 26,6 États-Unis 17,7 17,1 0,4 0,6 0,8 1,0 Japon Chine les brevets sont attribués géographiquement en fonction de l adresse personnelle du (ou des) inventeur(s) mentionnée dans le brevet l Union européenne a déposé demandes de brevet européen auprès de l Office européen de brevet en 1990, et en Les États-Unis ont déposé demandes de brevet européen auprès de l Office européen de brevet en 1990, et en Le Japon a déposé demandes de brevet européen auprès de l Office européen de brevet en 1990, et en La Chine a déposé 38 demandes de brevet européen auprès de l Office européen de brevet en 1990, et en ,5 En 2008, l Union européenne a déposé 42,5 % des demandes de brevet européen, les États-Unis 26,6 %, le Japon 17,1 % et la Chine 1 %. Ensemble, ils représentent 87,2 % du total des demandes de brevet européen déposées. La part mondiale de demandes de brevet européen de l Union européenne, qui représentait 46,2 % en 1998, a diminué de plus de 3,5 points jusqu en Dans le même temps, la part des États-Unis a diminué de deux points. La part du Japon a reculé de trois points entre 1990 (20,1 %) et 2008 (17,1 %), mais elle est à peu près stable depuis La part de la Chine, qui était de 0,1 % jusqu en 1998, augmente depuis 2000, et représente, en 2008, 1 % des demandes de brevet européen. 353
Investissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détail52 53 L état de l Enseignement supérieur et de la Recherche n 4 [édition 2010]
21 Le financement de la recherche nationale par des crédits budgétaires absorbe en 0,75 % des moyens budgétaires de l État à travers les établissements publics de R&D et les mesures d aide et d incitation
Plus en détailPrésentation Macro-économique. Mai 2013
Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailNOTE D INFORMATION n 01 Janvier 2014
DIRECTION DE L ÉVALUATION, DE LA PROSPECTIVE, ET DE LA PERFORMANCE DEPP NOTE D INFORMATION n 1 Janvier 214 La dépense par élève ou étudiant pour un parcours dans l enseignement scolaire ou supérieur en
Plus en détailÉtat de la situation: dépenses en médicaments au Québec, comparaison canadienne et internationale
Journée d étude - Contrôle du coût des médicaments : cible prioritaire pour les finances publiques Union des consommateurs, 21 octobre 2010. État de la situation: dépenses en médicaments au Québec, comparaison
Plus en détailFaculté des Sciences d ORSAY
Université Paris-Sud 11 Faculté des Sciences d ORSAY Personnes ressources des disciplines représentées : Département de Biologie Vice-Président : Hervé DANIEL Secrétaire : Malika DERRAS Université Paris-Sud
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailFORMATIONS STAGES INSERTION PROFESSIONNELLE. UFR Sciences Orsay. Isabelle DEMACHY
FORMATIONS STAGES INSERTION PROFESSIONNELLE UFR Sciences Orsay Isabelle DEMACHY Les étudiants à la faculté des Sciences 9000 étudiants (1/3 de l ensemble de l université) 800 enseignants-chercheurs, 800
Plus en détailScience et la Technologie au Japon et relations franco-japonaises. Premières Rencontres de la Recherche et de l Innovation 18 20 mai 2015
Science et la Technologie au Japon et relations franco-japonaises Premières Rencontres de la Recherche et de l Innovation 18 20 mai 2015 Le Japon, acteur leader de la R&D Japon France Source Population
Plus en détailComité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)
F CDIP/12/INF/4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 3 OCTOBRE 2013 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Douzième session Genève, 18 21 novembre 2013 RÉSUMÉ DE L ÉTUDE SUR LA PROPRIÉTÉ
Plus en détailPhysiopathologie : de la Molécule à l'homme
Mention Sciences du Vivant Spécialité de Master : Physiopathologie : de la Molécule à l'homme Pourquoi, comment, combien, contourner, greffer, restaurer, inhiber, suppléer Responsables : Dr Gilles Prévost
Plus en détailGHANA. Les relations commerciales de la Belgique avec le
Les relations commerciales de la Belgique avec le GHANA Cette note est également disponible sur le site internet de l Agence pour le Commerce extérieur : www.abh-ace.be P a g e 1 TABLE DES MATIÈRES 1 La
Plus en détailLES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013
LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz
Plus en détailCAMPUS FRANCE. Janvier 2015
n 46 CAMPUS FRANCE Les notes Janvier 2015 Les États-Unis dans la mobilité étudiante internationale Synthèse Open Doors 2014 Avant-propos Offrant un tableau général de la mobilité internationale du point
Plus en détailLes personnels enseignants. de l enseignement supérieur. sous tutelle du MESR 2011-2012. note d 13.07. Enseignement supérieur & Recherche.
note d chercheurs (62 % du total), on trouve les professeurs des universités (35,5 %), les maîtres de conférences (64,4 %) et les assistants titulaires (0,1 %) (tableau 6, p. 6). 94,4 % des enseignants
Plus en détail1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales
Quinzième inventaire Édition 2013 La production d électricité d origine renouvelable dans le monde Collection chiffres et statistiques Cet inventaire a été réalisé par Observ ER et la Fondation Énergies
Plus en détailPOURQUOI INVESTIR EN FRANCE
POURQUOI INVESTIR EN FRANCE UN PAYS SITUÉ AU CŒUR DU MARCHÉ EUROPÉEN AVEC UNE PORTE D ACCÈS À LA ZONE EMEA 10 L ESSENTIEL EN POINTS 1 UNE PUISSANCE ÉCONOMIQUE DE RANG MONDIAL La France est la 2 e puissance
Plus en détailLE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?
LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre
Plus en détailActifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics
Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailS@voir.stat. Points saillants
SCIENCE, TECHNOLOGIE ET INNOVATION INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC Bulletin S@voir.stat Mars 2014 Volume 14, numéro 2 Prochain bulletin S@voir.stat Le prochain numéro du bulletin portera sur les dépenses
Plus en détailBASE DE DONNEES - MONDE
BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailFavoriser la création d emplois et la croissance dans l industrie et l innovation
Un leadership fort Favoriser la création d emplois et la croissance dans l industrie et l innovation Le gouvernement Harper tient sa promesse de rétablir l équilibre budgétaire en 2015. Le Plan d action
Plus en détailINVESTIR EN FRANCE : Réalisation
INVESTIR EN FRANCE LA FRANCE RÉUNIT TOUTES LES CONDITIONS DE SUCCÈS POUR VOTRE INVESTISSEMENT En 2014, 1 014 décisions d investissement en France ont créé ou maintenu 26 535 emplois. 1 er pays en Europe
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Chiffre d affaires du 3 ème trimestre et des 9 premiers mois 2013 16 octobre 2013 Croissance organique des 9 premiers mois : +5,5% Tendances solides dans l ensemble du Groupe Impact
Plus en détailQuel est le temps de travail des enseignants?
Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans
Plus en détailComité de suivi de la licence et de la licence professionnelle Comité de suivi du cursus master
Comité de suivi de la licence et de la licence professionnelle Comité de suivi du cursus master Tableau de compatibilité entre les mentions de master et les mentions de licence Comité de suivi de la licence
Plus en détailBase de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry *
Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry * 1) Base de données 2) Sources et définitions * Alix de Saint Vaulry est économiste au CEPII, responsable de la production de la base de données
Plus en détailAnalyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays
Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Octobre 2012 RESULTATS DE L ANALYSE DES COUPLES PAYS/SECTEURS PORTEURS EN FAVEUR DU COMMERCE EXTERIEUR DE LA FRANCE SOMMAIRE Résumé 2
Plus en détailL AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE
L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE L Aide publique au développement (APD) désigne les dépenses publiques au bénéfice des pays en développement dont le but essentiel est de favoriser le développement économique
Plus en détailCursus de Master en Ingénierie de la Production Alimentaire. Une autre façon d accéder au métier d ingénieur
Cursus de Master en Ingénierie de la Production Alimentaire Une autre façon d accéder au métier d ingénieur Un Réseau National de 28 CMI Le réseau FIGURE Formation en InGenierie par des Universités de
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE La croissance mondiale des investissements publicitaires se poursuit : les achats publicitaires devraient croître de 4,8% en 2012. Un chiffre en légère progression par rapport aux
Plus en détailPourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux
7 avril Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux La crise de 9 a eu des conséquences néfastes pour
Plus en détailA L ORIGINE DE CENTRALE CASABLANCA : L ENGAGEMENT DE CENTRALESUPELEC PARIS AU MAROC ET EN AFRIQUE
A L ORIGINE DE CENTRALE CASABLANCA : L ENGAGEMENT DE CENTRALESUPELEC PARIS AU MAROC ET EN AFRIQUE Centrale Casablanca n est pas une Ecole Centrale comme les autres ; véritable «fille» de CentraleSupélec
Plus en détailEGALITÉ ENTRE LES FEMMES
ÉGALITÉ CHERCHEUSE FEMME ENSEIGNEMENT HOMME ÉTUDIANTE RECHERCHE EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES Chiffres clés de la parité dans l enseignement supérieur et la recherche ÉGALITÉ entre les FEMMES
Plus en détailL UFR des sciences pharmaceutiques
Séance délocalisée de l Académie nationale de Pharmacie Bordeaux 4 & 5 avril 2014 L UFR des sciences pharmaceutiques L UFR des Sciences pharmaceutiques L une des 5 composantes du Collège Sciences de la
Plus en détailLes banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse
Communiqué presse Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 19 juin 2014 Les banques suisses 2013 Résultats s enquêtes la Banque nationale suisse
Plus en détailEn 2011, l investissement corporel brut
4.1 Investissement En 211, l investissement corporel brut hors apport des entreprises des secteurs principalement marchands non financiers et non agricoles s élève à 196 milliards d euros. Il s est redressé
Plus en détailMétiers d études, recherche & développement dans l industrie
Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers d études, recherche & développement dans l industrie R&D Production Ingénieur
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailChiffre d'affaires par ligne de services
Troisième trimestre 2010 des revenus: EUR 1.210 millions Réservez au projet de loi: 90%, même par rapport au troisième trimestre 2009, 2010 Cash Flow Opérationnel s'élève à EUR 83 millions dans les neuf
Plus en détailLe doctorat, passeport pour l international
Le doctorat, passeport pour l international Catherine Gayda, ABG Hippo thèse 28 février 2014 catherine.gayda@abg.intelliagence.fr/ Tel : 01 42 74 27 51 Les missions d ABG Fondée en 1980, l ABG rapproche
Plus en détailPrincipaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)
55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États
Plus en détailLe nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien
Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,
Plus en détailDiplôme de Docteur en chirurgie dentaire ORGANISATION DES ENSEIGNEMENTS 2015-2016
FACULTE D ODONTOLOGIE UNIVERSITE de MONTPELLIER Diplôme de Docteur en chirurgie dentaire ORGANISATION DES ENSEIGNEMENTS 05-06 Pour avoir le diplôme de Docteur en chirurgie dentaire, il faut suivre le cursus
Plus en détailLes sciences de l Homme et de la santé
LISTE DES FORMATIONS ET DES LABORATOIRES ouvrant droit à la taxe d apprentissage 2014 Service Offre de Formation et Insertion Professionnelle (SOFIP) Christiane ORAIN 01 76 53 17 24 christiane.orain@parisdescartes.fr
Plus en détailLe point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 17 décembre 2013 à 14h30 «Etat des lieux sur l épargne en prévision de la retraite» Document N 13 Document de travail, n engage pas le Conseil Le
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailLes Parcours Scientifiques et les Ecoles Doctorales
Aix 11 Septembre 2006 Les Parcours Scientifiques et les Ecoles Doctorales «Sciences de la Vie» Jean-François DHAINAUT Président du Pôle de Recherche et Enseignement Supérieur «Université Paris-Centre»
Plus en détailPartenariat industriel sur le PDO et opportunités de valorisation élargies sur la L-méthionine
METabolic EXplorer au 1 er semestre 2014 Partenariat industriel sur le PDO et opportunités de valorisation élargies sur la L-méthionine Clermont-Ferrand, le 30 septembre 2014 METabolic EXplorer, entreprise
Plus en détailListe des matières enseignées
Liste des matières enseignées Domaine : Sciences de la Nature et de la Vie Filière : Biologie Parcours : Tronc Commun Semestre1 VHG Coefficient Cours TD/TP Crédits/s. unité crédits U.E fondamental : 13
Plus en détailMaster Développement et Immunologie
Master Développement et Immunologie MASTER 2 PROFESSIONNALISANT EN IMMUNOLOGIE Le Master 2 Professionnalisant en Immunologie propose aux étudiants des filières scientifiques et médicales une formation
Plus en détailL assurance française : le bilan de l année 2012
L assurance française : le bilan de l année 2012 1 L assurance française : le bilan de l année 2012 1 2 L environnement économique et financier : accalmie et incertitude Le bilan d activité : résistance
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailDiplômes et insertion professionnelle
Diplômes et insertion professionnelle Béatrice Le Rhun, Pascale Pollet* Les conditions d accès à l emploi des jeunes qui entrent sur le marché du travail varient beaucoup selon le niveau de diplôme. Les
Plus en détailExpatriation des docteurs : un choix de carrière?
Expatriation des docteurs : un choix de carrière? Matinée du samedi 10 novembre 2007 Institut de l ENS, Paris Cette matinée a été initiée par l'antenne expats de l ANDèS, créée il y a un an pour favoriser
Plus en détailLe Fonds de solidarité FTQ : Partie prenante à la solution pour l industrie du capital de risque au Canada
Le Fonds de solidarité FTQ : Partie prenante à la solution pour l industrie du capital de risque au Canada Rôle clé dans la structuration de l industrie du CR Modèle de création d emplois de qualité et
Plus en détailLes chiffres essentiels des retraites Mis en ligne en mars 2011
Les chiffres essentiels des retraites Mis en ligne en mars 2011 Les bénéficiaires de retraites Nombre de retraités, selon les différents régimes (COR janvier 2010) : 16 millions dont : 11,3 millions :
Plus en détailLES INGRÉDIENTS SELON LEUR FONCTION
LES INGRÉDIENTS SELON LEUR FONCTION Tide Nature en poudre Free Dispersant Liquide ajouté au détergent pour aider à améliorer la séparation des particules et pour prévenir les dépôts et les amas. Sel tétrasodique
Plus en détailPrésentation Générale
Mars 2009 Présentation Générale 1- Le Master Recherche en Sciences de la Vie et de la Santé à Nice Objectifs, environnement scientifique, organisation Enseignements, les spécialités, les cours et les stages
Plus en détailLes inégalités de conditions de vie dans le monde
Notes de l Observatoire N 2, février 2014 Les inégalités de conditions de vie dans le monde 89 % de la population mondiale a accès à l eau potable. L espérance de vie a progressé de 21 ans depuis les années
Plus en détailMASTER 2 CONTAMINANTS EAU SANTE
MASTER 2 CONTAMINANTS EAU SANTE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Présentation PLUS D'INFOS Crédits ECTS : 60 Cette spécialité couvre
Plus en détailLes investissements internationaux
Conclusion : Doit-on réguler les IDE? Les investissements internationaux Introduction : Qu est ce qu un investissement direct à l étranger (IDE)? I) L évolution des IDE 1 Les IDE : une affaire entre riches
Plus en détailFormation L.M.D. en instrumentation biomédicale. Mise en œuvre dans une université scientifique et médicale : Claude Bernard Lyon I
J3eA, Journal sur l enseignement des sciences et technologies de l information et des systèmes, Volume 3, Hors-Série 1, 11 (2004) DOI : http://dx.doi.org/10.1051/bib-j3ea:2004611 EDP Sciences, 2004 Formation
Plus en détailTableau: Offres de formations professionnelles et doctorales de l'uac
Tableau: Offres de formations professionnelles et doctorales de l'uac ETABLISSEMENTS, TYPES DE FORMATION ET FILIERES CEFORP Populations et Dynamique Urbaines CEFRI Technologie de l'information pour la
Plus en détailP opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP
P opulation Photo : Philippe Desmazes/AFP Près de 40 % des immigrés résidant en métropole vivent en Ile-de-France en 1999. Environ 15 % de la population francilienne est immigrée, c est une proportion
Plus en détailINVESTISSEMENTS DIRECTS À L ÉTRANGER ET STRATÉGIES DES ENTREPRISES MULTINATIONALES
INVESTISSEMENTS DIRECTS À L ÉTRANGER ET STRATÉGIES DES ENTREPRISES MULTINATIONALES Sandrine Levasseur Département des études de l OFCE Les investissements directs à l étranger constituent certainement
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détailBienvenue. Procure.ch. Jeudi 26 avril 2012. Haute école de gestion Fribourg www.heg-fr.ch. Haute école de gestion Fribourg
Bienvenue Procure.ch Jeudi 26 avril 2012 Haute école de gestion Fribourg www.heg-fr.ch 1 ère question (thème) C est grave docteur? Les principaux indicateurs économiques En préambule.. Qu est-ce qu un
Plus en détailUniversité Saint-Joseph
Université Saint-Joseph Faculté de pharmacie Actuellement, le métier de pharmacien est un métier polyvalent, ouvert à plusieurs activités dans le domaine de la santé individuelle et publique. Mis à part
Plus en détailRecherche et relations internationales (RRI) Elisa Pylkkanen Directrice adjointe, partenariats internationaux
Recherche et relations internationales (RRI) Elisa Pylkkanen Directrice adjointe, partenariats internationaux ADARUQ - Novembre 2013 RRI : Un aperçu «Habiliter, faciliter, créer des liens» Habiliter les
Plus en détailL Épargne des chinois
L Épargne des chinois (Patrick ARTUS Johanna MELKA) Colloque Cirem-Cepii-Groupama AM 29 septembre 25 Indicateurs de «qualité de vie» en Chine 199 1995 2 22 23 Nombre d'écoles par 1 habitants 9,1 7,82 6,48
Plus en détailLes relations commerciales UE-Japon: la question des marchés publics
Les relations commerciales UE-Japon: la question des marchés publics Patrick A. Messerlin et Sébastien Miroudot Groupe d Economie Mondiale de Sciences Po A la recherche de la croissance: Quel avenir pour
Plus en détailINSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE. Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec
INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec Édition 2013 Pour tout renseignement concernant l ISQ et les données statistiques dont il dispose, s
Plus en détailPourquoi le Canada a besoin de services bancaires postaux
Pourquoi le Canada a besoin de services bancaires postaux Symposium international sur les services bancaires postaux John Anderson 613-290-0016 andersjs1@gmail.com «Ils sont des millions à ne pas avoir
Plus en détailCours 3. Japon-Chine : concurrences régionales, ambitions mondiales. I. Les deux pôles principaux de l Asie orientale
Thème 3 Dynamiques des grandes aires continentales Question 3 - L Asie du Sud et de l Est : les enjeux de la croissance Cours 3. Japon-Chine : concurrences régionales, ambitions mondiales Quel pays assurera,
Plus en détailDES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET
Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des
Plus en détailLicence Chimie et procédés
Formations et diplômes Rapport d'évaluation Licence Chimie et procédés Université Joseph Fourier Grenoble - UJF Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations et diplômes Pour le HCERES, 1 Didier
Plus en détailQuel est le "bon" système de Bretton-Woods?
aoűt 9 - N 359 Quel est le "bon" système de Bretton-Woods? Le Système Monétaire International de Bretton-Woods "normal" est un système où le pays dont la monnaie s'affaiblit doit passer à une politique
Plus en détailLes difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient
PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues
Plus en détail2013 : une activité stable dans un environnement contrasté. Une rentabilité opérationnelle préservée.
COMMUNIQUE DE PRESSE 6 décembre 2013 Résultats annuels 2013 2013 : une activité stable dans un environnement contrasté. Une rentabilité opérationnelle préservée. Volume d activité Villages stable à taux
Plus en détailMétriques, classements et politique scientifique des Etablissements
Métriques, classements et politique scientifique des Etablissements Michel Blanc Bayesté Leclaire Ecole polytechnique, Palaiseau Quelques références clés Rapport au Sénat sur le défi des classements dans
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailBILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014
BILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014 INTERVENANTS Daniel Wertel, Président de la Fédération Française du Prêt à Porter Féminin François-Marie Grau, Secrétaire Général de la Fédération
Plus en détailProgramme international de formation
Programme international de formation La science n a pas de patrie, car la connaissance appartient à l humanité, c est un flambeau qui illumine le monde. Louis Pasteur Le Réseau International des Instituts
Plus en détailRégion Haute-Normandie. Plan régional pour l internationalisation des entreprises en Haute-Normandie
Région Haute-Normandie Plan régional pour l internationalisation des entreprises en Haute-Normandie Novembre 2013 ! "# $"% &%'' $ (')#!*+,*'-#&+,./ 0 $1&/2+,(.'1&/2+,(.'' 3,/,// 4 (553 5#+' 2 '+ 0 6 #
Plus en détailRaisons convaincantes d investir dans le Fonds de revenu élevé Excel
3 Raisons convaincantes d investir dans le Fonds de revenu élevé Excel Rendements revenus au risque, de stables et de gains en capital Mai 2015 1 6 5 2 2 de 0 1 2 3 4 5 6 7 8 Rendement Marchés émergents
Plus en détailLa révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations
La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations par Robert Fluri et Robert Müller, Direction de la statistique, Banque nationale suisse, Zurich BNS 42
Plus en détailL investissement direct et les entreprises françaises
INVESTISSEMENT L investissement direct et les entreprises françaises Michel Houdebine et Agnès Topiol-Bensaïd* * Au moment de la rédaction de cet article, Michel Houdebine et Agnès Topiol-Bensaïd appartenaient
Plus en détailG. II. 1 La mondialisation en fonctionnement (10h)
Thème GII : Les dynamiques de la mondialisation (20 h) G. II. 1 La mondialisation en fonctionnement (10h) Ce thème est divisé en 3 sous-parties : - un produit mondialisé (étude de cas). GII.1.1 - Processus,
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Infectiologie : microbiologie, virologie, immunologie de l Université Paris 7 Denis Diderot Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation
Plus en détailL innovation dans l entreprise numérique
L innovation dans l entreprise numérique Toutes les entreprises ne sont pas à l aise avec les nouvelles configurations en matière d innovation, notamment avec le concept d innovation ouverte. L idée de
Plus en détailLe Baromètre MLS du marché résidentiel. Faits saillants. Province de Québec. 2 e trimestre 2010
Province de Québec Le Baromètre MLS du marché résidentiel Faits saillants Premier ralentissement des ventes en cinq trimestres Seuls quelques centres urbains sont parvenus à être dynamiques Remontée dans
Plus en détailRecherche et veille documentaire scientifique
Recherche et veille documentaire scientifique Élodie Chattot BU Médecine Pharmacie juin 2006 Introduction Le but de cet atelier est de vous initier à la méthodologie de recherche documentaire scientifique,
Plus en détailThème 1: l environnement pédagogique et scolaire dans le primaire et le secondaire
FRANCE Cette note sur la France se focalise sur trois grands thèmes que l on retrouve dans cette édition de Regards sur l éducation et qui concernent plus particulièrement la France. Il s agit de l environnement
Plus en détail