Les compétences professionnelles exigées des journalistes travaillant dans les rédactions en ligne Résumé Vinzenz Wyss, Yves Zischek

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les compétences professionnelles exigées des journalistes travaillant dans les rédactions en ligne Résumé Vinzenz Wyss, Yves Zischek"

Transcription

1 Etude IAM : Haute école zurichoise de Winterthur Les compétences professionnelles exigées des journalistes travaillant dans les rédactions en ligne Résumé Vinzenz Wyss, Yves Zischek "Online journalists are a distinct group of media professionals, who are able to provide today s overload information landscape with an added value if given the chance" (Deuze/Dimoudi 2002, p. 97s.). Tirée d'une étude néerlandaise consacrée au journalisme en ligne, cette citation montre que cette nouvelle forme de journalisme a suscité, dès son apparition au milieu des années 1990, des attentes excessives. On lui a attribué un potentiel, qui n'a pu être confirmé ni théoriquement ni empiriquement. L'étude menée par l'institut des sciences appliquées de la communication et des médias de la Haute école zurichoise de Winterthur porte justement sur les compétences professionnelles exigées des journalistes travaillant dans les rédactions en ligne. Elle conclut que ces compétences ne diffèrent guère de celles demandées aux journalistes travaillant dans les médias traditionnels. L'étude a été financée par l'ofcom. Le bilan est peu encourageant : les conditions de travail en matière d'organisation ne permettent guère d'exploiter le potentiel technique du journalisme en ligne. Ce dernier ne satisfait pas aux attentes placées en lui (interactivité, multimédia, mise en réseau, etc.). Par ailleurs, l'étude montre que le journalisme en ligne suit des règles professionnelles identiques à celles en vigueur dans les rédactions "traditionnelles". Cela signifie que le journalisme en ligne n'a pas encore développé un système propre. En d'autres termes, il n'est pas encore parvenu à se démarquer du journalisme traditionnel démarche qui suppose justement l'élaboration de règles propres. Evaluation théorique et méthode L'étude a cherché à savoir dans quelle mesure le journalisme en ligne crée de nouvelles règles pour se démarquer du journalisme traditionnel, à quel point il développe un système propre. La viabilité d'un journalisme en ligne autonome dépend de l'existence de pratiques sociales bien établies, différentes de celles du journalisme traditionnel (Quandt 2002b : 243). L'étude s'est penchée sur les questions suivantes :. Quelles sont les structures de travail et d'organisation particulières (organisation, activités, ressources, etc.) et quelles sont les règles spécifiques (dans le sens de normes et d'objectifs précis) propres au journalisme en ligne?.. Dans quelle mesure le journalisme en ligne se différencie-t-il des formes traditionnelles de journalisme en matière de ressources et de règles? Quelles sont les exigences vis-à-vis des journalistes en ligne? Quelles sont les conséquences pour la formation des journalistes dans le domaine des médias en ligne? Pour répondre à ces questions, nous n'avons pas seulement besoin de données empiriques.

2 Nous devons aussi disposer d'une théorie solide qui tienne compte à la fois des aspects opérationnels et structurels. La théorie de structuration employée ici (Giddens 1997 [1988]) comprend des systèmes sociaux p. ex. une entreprise de médias ou une rédaction déterminant des pratiques sociales observables régulièrement, soit des relations liées au temps et à l'espace, et qui se reproduisent continuellement entre les acteurs. Ces systèmes sont le résultat (toujours provisoire) de structurations, c'est-à-dire qu'ils naissent de la reproduction continue de leur structure à travers l'interaction des acteurs (communication, justification et exercice d'un pouvoir). Les pratiques sociales revêtent des formes systémiques résultant de l'emploi continuel de règles et de ressources. Pour le journalisme en ligne, cela signifie qu'une structure propre ne peut se former que si l'on parvient à dégager des pratiques sociales observables régulièrement, différentes du journalisme traditionnel. Au vu des hypothèses théoriques, un plan méthodologique a été dressé et les objets à étudier opérationnalisés. Les structures peuvent être établies empiriquement uniquement à travers des modalités de médiation. Dans les formes d'interaction, les normes et les schémas d'interprétation (descriptions des rôles, concepts, buts et normes journalistiques dans le sens de "valeurs ajoutées" et normes de qualité), ainsi que les moyens d'action (structures d'aménagement et de déroulement formelles et organisationnelles, compétences dans le sens d'un état des connaissances et des capacités, activités) constituent le lien entre la structure et l'action. Pour vérifier ce postulat, des discussions ont été menées avec 29 rédacteurs et rédacteurs en chef travaillant au sein de onze rédactions en ligne dans le domaine de la presse écrite, de la radio et de la télévision. Les avis sur les compétences et exigences requises ont été comparés avec les offres en matière de formation effectivement disponibles sur le marché. Résultats Au vu des réflexions théoriques de départ et du thème abordé, l'étude montre principalement que le journalisme en ligne, en Suisse alémanique, n'a donné lieu jusqu'ici à aucun nouveau système spécifique. Les règles et les ressources employées dans le journalisme en ligne correspondent, bien que sous une forme réduite, à celles du journalisme traditionnel. Les "valeurs ajoutées" attribuées au journalisme en ligne peinent à s'imposer en raison des structures traditionnelles existantes. Qui plus est, l'action observable dans les rédactions en ligne reproduit ces structures limitatives. Le journalisme en ligne s'inscrit dans un contexte structurel plus général (p. ex. règles propres au devoir de diligence et à l'indépendance, temps à disposition limité, équipement insuffisant) auquel les journalistes en ligne se réfèrent et qu'ils reproduisent. En matière de changements, on observe tout au plus une tendance à la "déqualification" ou à la "déprofessionnalisation". Il apparaît en outre que les facteurs qui exercent une influence négative sur le journalisme traditionnel (voir Marr et al., 2001) affectent plus encore le journalisme en ligne (formation et perfectionnement lacunaires, gestion déficiente de la qualité, temps à disposition limité, équipement insuffisant, tendance au dysfonctionnement de la commercialisation, prédominance des modèles d'analyse économique, etc.). En règle générale, le journalisme ne parvient guère à contrer ces facteurs d'influence. Les principaux constats sont les suivants : Structures formelles de l'organisation. Les rédactions en ligne disposent d'au moins cinq à six postes de travail en moyenne. La dotation en personnel s'avère meilleure chez les prestataires indépendants qui

3 offrent uniquement des services en ligne que chez ceux qui sont rattachés à une "rédactionmère". De même, on peut faire une distinction entre les rédactions en ligne qui complètent un programme et celles qui accompagnent un programme. Ces dernières dépendant souvent d'une rédaction-mère; elles s'occupent essentiellement de mettre en réseau des contenus journalistiques déjà rédigés et d'attirer l'attention des internautes sur ces offres. Alors que, dans les rédactions traditionnelles, les rôles sont distribués selon les tâches ou les domaines de compétences, les collaborateurs d'une rédaction en ligne sont en général appelés à tout faire, particulièrement dans les très petites entités. Les rédactions mieux dotées en personnel peuvent travailler de manière plus structurée, en fonction des besoins. Plus encore que dans le journalisme traditionnel, il importe de travailler en équipe ou dans des groupes de projet. En règle générale, on constate toutefois que les rédactions en ligne se contentent de reprendre les structures éprouvées, sans les adapter aux nouvelles exigences. Activités. Les activités journalistiques restent prépondérantes les journalistes en ligne leur consacrent près de la moitié de leur temps de travail, avant les tâches de nature technique, organisationnelle ou autre. Selon les personnes interrogées, ce travail journalistique comprend moins de recherche personnelle que de réaménagement de textes venus de l'extérieur. En d'autres termes, il s'agit d'un "journalisme du copier-coller".. Les journalistes en ligne exercent plus souvent des tâches de nature technique et organisationnelle que leurs collègues des rédactions traditionnelles. Toutefois, contrairement à ce que l'on aurait pu penser, les tâches "techniques" ne sont pas dominantes. En effet, les journalistes peuvent recourir à un logiciel rédactionnel techniquement opérationnel; de plus, ils ne s'occupent pas de la gestion, souvent complexe, des forums de discussion et d'échanges, celle-ci étant confiées à des sociétés informatiques.. Les tâches liées aux services, p. ex. répondre aux courriels, modérer ou contrôler les forums de discussion et d'échanges, sont relativement marginales par rapport aux autres activités quotidiennes. Compétences journalistiques. Les compétences et le savoir-faire journalistiques jouent un rôle de premier plan. Par contre, les aptitudes formelles ou techniques sont plutôt secondaires.. Au niveau des compétences, les connaissances générales sont plus importantes que les savoir-faire spécifiques. Les journalistes actifs dans les médias en ligne sont avant tout des généralistes.. Les compétences techniques ne sont pas primordiales. Elles peuvent généralement être acquises sur le tas. Une certaine "affinité" préalable pour la technique est toutefois préférable.. Par contre, il est indispensable de savoir traiter les contenus rédactionnels dans l'optique d'une publication sur un média électronique.. Les compétences sociales sont aussi très importantes. Cette exigence découle du fait que les journalistes en ligne sont amenés à côtoyer des personnes évoluant dans des secteurs qui n'ont parfois rien à voir avec le journalisme. Formation. A l'instar de ses collègues travaillant dans le journalisme traditionnel, le journaliste en ligne n'a d'ordinaire pas reçu de formation particulière. Il a appris le métier sur le tas et acquis les connaissances nécessaires en suivant des cours de perfectionnement internes, dans le cadre de la rédaction..

4 . Les offres de formation disponibles se concentrent la plupart du temps sur les logiciels et sur les compétences commerciales. Les programmes des centres de formation offrent peu de cours spécifiques en matière de compétences journalistiques ou dans le domaine de la réflexion (réflexion sur la fonction, le rôle, l'autonomie).. En ce qui concerne les compétences professionnelles, les personnes interrogées estiment qu'il n'est pas possible de définir de modèles précis auxquels les journalistes en ligne devraient correspondre. Ces derniers n'expriment généralement pas le souhait de disposer d'une formation professionnelle spécifique. Apparemment, ils estiment aussi que la pratique sur le tas représente un critère primordial. Rôles. Alors que le journalisme traditionnel véhicule souvent une image de pluralisme stéréotypée, les journalistes en ligne privilégient le rôle du "transporteur" d'informations, rapide mais passif. S'y ajoute le stéréotype du "prestataire de services qui essaie de répondre aux besoins du public". Or ce stéréotype-là est beaucoup moins important dans le journalisme traditionnel.. Il n'a pas été possible de dégager des stéréotypes spécifiques. L'image dominante du journaliste "transporteur d'information d'actualité" correspond la plupart du temps aux exigences de viabilité des différents règlements d'une rédaction en ligne. "Valeurs ajoutées" : interactivité, multimédia, actualisation, mise en réseau. L'actualisation constante des contenus journalistiques est une tâche clé; elle est à la fois incontestable et prioritaire. Elle constitue le critère de qualité par excellence du journalisme en ligne. Les personnes interrogées reconnaissent que d'éventuels conflits normatifs peuvent surgir quant au devoir de diligence et aux règles de transparence, mais elles estiment que ces contraintes ne sont pas problématiques.. La mise en lien thématique et commerciale avec des contenus extérieurs est une activité très importante du journalisme en ligne. Des conflits normatifs peuvent surgir quant au devoir de diligence et à la séparation entre les parties rédactionnelle et commerciale.. L'interactivité et l'aspect multimédia ne revêtent que peu d'importance pour les personnes interrogées. Il apparaît clairement que, vu les ressources disponibles et les conflits normatifs potentiels, il n'est pour ainsi dire pas possible d'atteindre les objectifs liés à ces deux fonctions essentielles. Résumé L'étude aboutit à un bilan peu encourageant. Vu leurs conditions de travail, les journalistes en ligne ne sont guère en mesure de fournir les prestations requises du point de vue normatif. De plus, leur champ d'action est limité par le peu de ressources disponibles (il n'est d'ailleurs pas possible de résoudre ce problème uniquement avec des ressources supplémentaires). Jusqu'ici, aucune règle spécifique au sens d'une norme ou d'un modèle interprétatif orienté vers la qualité n'a véritablement pu émerger. Les buts assignés au journalisme en ligne en matière de qualité interactivité, multimédia, actualisation ou mise en réseau ne peuvent être atteints que s'ils correspondent en même temps aux exigences de viabilité des règles interprétatives, morales, politiques et économique des entreprises de médias en ligne. A ce propos, on peut constater que le journalisme en ligne est confronté avant tout à des conflits normatifs. Cette situation est due au fait qu'aucun système doté de règles propres au journalisme en ligne ne s'est imposé jusqu'ici. Concernant le besoin de qualification dans le journalisme en ligne, on peut déduire que les stratégies définissant les compétences requises doivent en premier lieu s'appliquer

5 au niveau de la création de règles. Il serait également judicieux que les formateurs mettent l'accent non pas sur les compétences techniques et commerciales, mais principalement sur la compréhension des règles propres aux activités en ligne.

Open Source Community Governance OpenJustitia

Open Source Community Governance OpenJustitia B u n d e s g e r i c h t T r i b u n a l f é d é r a l T r i b u n a l e f e d e r a l e T r i b u n a l f e d e r a l Service informatique CH - 1000 Lausanne 14 Tél. 021 318 91 11 Fax 021 323 37 00 Dossier

Plus en détail

Ouvrir dossier D appel

Ouvrir dossier D appel Ouvrir dossier D appel Table des matières 1. TRAITER UN APPEL... 3 1.1. ORGANISATION GENERALE D'UN SERVICE DESK... 3 1.2. PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT... 4 2. PRISE EN CHARGE DE L'UTILISATEUR ET DE SON APPEL...

Plus en détail

INFORMATIONS VOUS CONCERNANT

INFORMATIONS VOUS CONCERNANT OBJET : SITE INTERNET INFORMATIONS VOUS CONCERNANT Nom Prénom :... Nom de l Entreprise :... Statut :... Activité :... Adresse :... Code postal - Ville :... Tél :... E-mail :... Fax :... INFORMATIONS CONCERNANT

Plus en détail

DECLARATION ISO/CEI SUR LA PARTICIPATION DES CONSOMMATEURS AUX TRAVAUX DE NORMALISATION

DECLARATION ISO/CEI SUR LA PARTICIPATION DES CONSOMMATEURS AUX TRAVAUX DE NORMALISATION ISO/CEI/GEN 01:2001 DECLARATION ISO/CEI SUR LA PARTICIPATION DES CONSOMMATEURS AUX TRAVAUX DE NORMALISATION Avant-propos Parallèlement à l'essor rapide du commerce international des biens et services,

Plus en détail

PRÉSENTATION DES RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE SUR LES SERVICES NUMÉRIQUES

PRÉSENTATION DES RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE SUR LES SERVICES NUMÉRIQUES PRÉSENTATION DES RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE SUR LES SERVICES NUMÉRIQUES UNR - RÉGION DES PAYS DE LA LOIRE ÉQUIPEMENT ET USAGES CHEZ LES ÉTUDIANTS MARS 2009 Présentation de l'enquête Les universités d'angers,

Plus en détail

Dès qu'une action atteint un certain degré de complexité ou qu'il s'agit d'actions collectives il est nécessaire d'organiser, c'est-à-dire de diviser et coordonner. L'organisation suppose donc division

Plus en détail

Normes pour la pratique professionnelle de l'audit interne

Normes pour la pratique professionnelle de l'audit interne Normes pour la pratique professionnelle de l'audit interne Copyright 2001 de The Institute of Internal Auditors, 247 Maitland Avenue, Altamonte Springs, Florida 32701-4201. Tous droits réservés. Conformément

Plus en détail

UNION INTERNATIONALE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS BUREAU DE DÉVELOPPEMENT DES TÉLÉCOMMUNICATIONS

UNION INTERNATIONALE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS BUREAU DE DÉVELOPPEMENT DES TÉLÉCOMMUNICATIONS UNION INTERNATIONALE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS BUREAU DE DÉVELOPPEMENT DES TÉLÉCOMMUNICATIONS CONFÉRENCE MONDIALE DE DÉVELOPPEMENT DES TÉLÉCOMMUNICATIONS (CMDT-98) La Valette, Malte, 23 mars - 1 avril 1998

Plus en détail

Critères de qualité des projets

Critères de qualité des projets s de qualité des projets Pour pouvoir mener une réfleion systématique sur la qualité des projets, on a besoin de critères. Les critères présentés ici s'appliquent à des projets d'intervention en promotion

Plus en détail

Management partie 2 : Marketing

Management partie 2 : Marketing Management partie 2 : Marketing Marketing 1. L'approche marketing S'est le contexte économique qui a induit la fonction marketing. Elle est née des contraintes que rencontre l'entreprise sur son marché,

Plus en détail

Exemple 360. Questionnaire Leadership Thomas. Personnel & Confidentiel

Exemple 360. Questionnaire Leadership Thomas. Personnel & Confidentiel Feed-back 360 Exemple 360 Questionnaire Leadership Thomas Personnel & Confidentiel Introduction Comment lire votre rapport Feed-back 360? Moyenne par compétence Représentation graphique des 5 meilleures

Plus en détail

Luxembourg-Luxembourg: Services de traduction AMI14/AR-RU 2014/S 059-098331. Appel de manifestations d'intérêt

Luxembourg-Luxembourg: Services de traduction AMI14/AR-RU 2014/S 059-098331. Appel de manifestations d'intérêt 1/5 Cet avis sur le site TED: http://ted.europa.eu/udl?uri=ted:notice:98331-2014:text:fr:html Luxembourg-Luxembourg: Services de traduction AMI14/AR-RU 2014/S 059-098331 Appel de manifestations d'intérêt

Plus en détail

ORACLE TUNING PACK 11G

ORACLE TUNING PACK 11G ORACLE TUNING PACK 11G PRINCIPALES CARACTÉRISTIQUES : Conseiller d'optimisation SQL (SQL Tuning Advisor) Mode automatique du conseiller d'optimisation SQL Profils SQL Conseiller d'accès SQL (SQL Access

Plus en détail

CONTRAT DE PARTENARIAT

CONTRAT DE PARTENARIAT CONTRAT DE PARTENARIAT Entre: ODIMAT, SARL au capital de 8700 dont le siège social est situé rue de l'abregain, 62800 Liévin, immatriculée au registre du commerce de Béthune sous le numéro 493 754 824

Plus en détail

FRANCHISE, COOPÉRATION ET ORGANISATION EN RÉSEAU

FRANCHISE, COOPÉRATION ET ORGANISATION EN RÉSEAU FRANCHISE, COOPÉRATION ET ORGANISATION EN RÉSEAU 1. LE RÉSEAU COMME FORME D ORGANISATION L objet de cet articles est de comprendre, à l aide de concepts théoriques simples, pourquoi la forme organisationnelle

Plus en détail

La création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude:

La création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude: RÉSUMÉ Contexte de l étude Le 4 septembre 2003, le Parlement européen a adopté une résolution contenant des recommandations à la Commission sur les langues européennes régionales et moins répandues les

Plus en détail

PC 60/10 24 mars 2010 Original : anglais

PC 60/10 24 mars 2010 Original : anglais PC 60/10 24 mars 2010 Original : anglais F Décisions et Résolutions adoptées par le Comité de promotion à sa 17 e réunion 1. Le Comité de promotion, présidé par M. Mick Wheeler (Papouasie-Nouvelle-Guinée),

Plus en détail

Association ou Fondation, Quelles différences?

Association ou Fondation, Quelles différences? Association ou Fondation, Quelles différences? Préambule Il peut arriver que pour mener à bien des projets nécessitant des moyens importants, il soit conseillé de créer une structure ayant une personnalité

Plus en détail

TABLE DES MATIERES INTRODUCTION. DILIGENCES REQUISES Diligences requises relatives à la présentation du rapport

TABLE DES MATIERES INTRODUCTION. DILIGENCES REQUISES Diligences requises relatives à la présentation du rapport Norme complémentaire aux normes internationales d'audit (ISA) applicables en Belgique -Le rapport du commissaire dans le cadre d'un contrôle d'étatsfinanciers conformément aux articles 144 et 148 du Code

Plus en détail

D. 12-01-2007 M.B. 20-03-2007. Le Parlement de la Communauté française a adopté et Nous, Gouvernement, sanctionnons ce qui suit :

D. 12-01-2007 M.B. 20-03-2007. Le Parlement de la Communauté française a adopté et Nous, Gouvernement, sanctionnons ce qui suit : Lois 31723 p.1 Décret relatif au renforcement de l'éducation à la citoyenneté responsable et active au sein des établissements organisés ou subventionnés par la Communauté française D. 12-01-2007 M.B.

Plus en détail

1 er réseau social dédié à la photographie

1 er réseau social dédié à la photographie 1 er réseau social dédié à la photographie http://www.pixelistes.com Présentation Créé en mai 2005 par un photographes passionné, Pixelistes avait pour premier objectif de répondre aux questions que les

Plus en détail

VEILLE STRATEGIQUE EN ENTREPRISE. ( communication, Gouvernance et Intelligence Economique) Colloque International UFC Alger 14-16 Juin 2008

VEILLE STRATEGIQUE EN ENTREPRISE. ( communication, Gouvernance et Intelligence Economique) Colloque International UFC Alger 14-16 Juin 2008 VEILLE STRATEGIQUE EN ENTREPRISE ( communication, Gouvernance et Intelligence Economique) Colloque International UFC Alger 14-16 Juin 2008 1 I- Introduction I- I Historique de la veille S informer est

Plus en détail

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES 4 mars 1996 FRANCAIS Original : RUSSE COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE CONFERENCE DES STATISTICIENS EUROPEENS OFFICE STATISTIQUE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (EUROSTAT) ORGANISATION

Plus en détail

Le CONTRAT TRIANGULAIRE en coaching Le contrat tripartite Fanita English, et la Négociation des Contrats Prescrits'

Le CONTRAT TRIANGULAIRE en coaching Le contrat tripartite Fanita English, et la Négociation des Contrats Prescrits' Le CONTRAT TRIANGULAIRE en coaching Le contrat tripartite Fanita English, et la Négociation des Contrats Prescrits' Le Contrat Triangulaire ou tripartite est inventé par Fanita English. Il illustre la

Plus en détail

Dématérialisation et document numérique (source APROGED)

Dématérialisation et document numérique (source APROGED) Dématérialisation et document numérique (source APROGED) La dématérialisation se répand très rapidement dans tous les domaines d'activités. Depuis l'origine, le concept de dématérialisation repose sur

Plus en détail

Déclaration d'assurance (budget général) relative à l'exercice 1994 (25-26 octobre 1995)

Déclaration d'assurance (budget général) relative à l'exercice 1994 (25-26 octobre 1995) Déclaration d'assurance (budget général) relative à l'exercice 1994 (25-26 octobre 1995) Légende: Première déclaration d'assurance relative aux activités relevant du budget général. Depuis l'entrée en

Plus en détail

Création - Impression - Internet

Création - Impression - Internet Création - Impression - Internet ADI Communication / 14 rue Chanzy 71200 Le Creusot / Tel. : 03 85 57 30 55 / contact@adicommunication.fr Informations vous concernant : NOM de l'entreprise : Raison sociale

Plus en détail

SUPERCARDplus et Swisscard Marcel Bührer, CEO Swisscard. Zurich, 16 juin 2006

SUPERCARDplus et Swisscard Marcel Bührer, CEO Swisscard. Zurich, 16 juin 2006 SUPERCARDplus et Swisscard Marcel Bührer, CEO Swisscard Zurich, 16 juin 2006 Swisscard AECS AG est leader sur le marché des cartes en co-branding La société Swisscard AECS AG... est une joint venture créée

Plus en détail

Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise

Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise Source : "Comptable 2000 : Les textes de base du droit comptable", Les Éditions Raouf Yaïch. Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise Le nouveau système comptable consacre d'importants

Plus en détail

En temps que prestataire informatique, nous enjoignons tous nos clients à faire de la politique backup une priorité.

En temps que prestataire informatique, nous enjoignons tous nos clients à faire de la politique backup une priorité. Admin/9036/2BXL-20/11/2011 1 Pourquoi une charte backup? Annexe Charte backup Aborder la question des backups et de la protection des données est souvent un sujet sensible. Tout comme certains dangers

Plus en détail

La CCM vous remercie de lui offrir la possibilité de donner son avis sur la révision partielle de la LA Mal.

La CCM vous remercie de lui offrir la possibilité de donner son avis sur la révision partielle de la LA Mal. Par courriel Abteilung Leistungen@bag.admin.ch Office fédéral de la santé publique OFSP Division Prestations Schwarzenburgstrasse 165 3003 Berne Zurich, 3 octobre 2014 Consultation sur la révision partielle

Plus en détail

Consultation publique PARL OMPI EXPERTS PRESENTATION ET ETAT D AVANCEMENT DU PROJET PARL OMPI EXPERTS

Consultation publique PARL OMPI EXPERTS PRESENTATION ET ETAT D AVANCEMENT DU PROJET PARL OMPI EXPERTS Consultation publique PARL OMPI EXPERTS PRESENTATION ET ETAT D AVANCEMENT DU PROJET PARL OMPI EXPERTS PRESENTATION ET ETAT D AVANCEMENT DU PROJET PARL OMPI EXPERTS 2 Présentation et état d avancement du

Plus en détail

Les formats de la publicité en ligne

Les formats de la publicité en ligne INTRODUCTION Internet, une valeur sûre dans le mix-média L'intégration d'internet dans une stratégie média est quelque chose d'irréversible. Le site web de l'entv est là pour vous permettre d'accroître

Plus en détail

Comité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé Section «Sécurité sociale»

Comité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé Section «Sécurité sociale» Comité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé Section «Sécurité sociale» CSSS/09/102 DÉLIBÉRATION N 09/055 DU 1 ER SEPTEMBRE 2009 RELATIVE À LA COMMUNICATION DE DONNÉES À CARACTÈRE PERSONNEL PAR

Plus en détail

Importer un fichier CSV

Importer un fichier CSV Importer un fichier CSV Importer un fichier CSV - page 1 1 Qu'est ce que l'import d'un fichier CSV L'import d'un fichier CSV vous permet d'ajouter dans OBM les contacts et sociétés présents dans un fichier

Plus en détail

3 Les premiers résultats des plans d'actions

3 Les premiers résultats des plans d'actions 3 Les premiers résultats des plans d'actions Les résultats que nous avons obtenus en ce qui concerne les plans d'action, résultent de l'analyse de 48 entreprises seulement. Revenons sur notre échantillon.

Plus en détail

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Avis CNC 138/5 Logiciels

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Avis CNC 138/5 Logiciels COMMISSION DES NORMES COMPTABLES Avis CNC 138/5 Logiciels Introduction La Commission a consacré une étude approfondie au traitement comptable de la création ou de l acquisition d un logiciel par une entreprise,

Plus en détail

Règlement d'organisation

Règlement d'organisation Règlement d'organisation de l'organisme d'autorégulation de l'association Suisse d'assurances pour la lutte contre le blanchiment d'argent (en vigueur depuis le 7 novembre 2013) Impressum Editeur: Secrétariat

Plus en détail

BUSINESS CONTINUITY MANAGEMENT. Notre plan C pour situations d'urgence et de crise

BUSINESS CONTINUITY MANAGEMENT. Notre plan C pour situations d'urgence et de crise BUSINESS CONTINUITY MANAGEMENT I PLANZER I 2010 BUSINESS CONTINUITY MANAGEMENT Notre plan C pour situations d'urgence et de crise La sécurité n'est pas une valeur absolue. Une gestion de risque peut éventuellement

Plus en détail

POLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ

POLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ Date d entrée en vigueur: Mai 2006 Remplace/amende: VRS-52/s/o Origine: Vice-rectorat aux services Numéro de référence: VPS-52 DÉFINITION Une substance biologique dangereuse se définit comme un organisme

Plus en détail

STATUTS. European Law Students Association (ELSA) Suisse

STATUTS. European Law Students Association (ELSA) Suisse SWITZERLAND STATUTS European Law Students Association (ELSA) Suisse I. DISPOSITIONS GENERALES Article Premier - Nom, Appartenance, Siège 1. L' «European Law Students' Association Suisse» (ELSA Suisse)

Plus en détail

Programme stratégique 2014-2015 Plan d'actions

Programme stratégique 2014-2015 Plan d'actions Programme stratégique 2014-2015 Plan d'actions Un plan d'actions stratégique, pour quoi faire? L'association des Anciens de Sciences Po Rennes, forte d'un réseau de 3300 anciens, compte environ 250 membres

Plus en détail

PRÉPARATION OPÉRATIONNELLE A L'EMPLOI. Action collective au profit des demandeurs d'emploi

PRÉPARATION OPÉRATIONNELLE A L'EMPLOI. Action collective au profit des demandeurs d'emploi Cahier des charges à l'attention des Organismes de Formation PRÉPARATION OPÉRATIONNELLE A L'EMPLOI Action collective au profit des demandeurs d'emploi Formations organisées avec le concours financier du

Plus en détail

INTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE

INTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE INTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE Avril 2013 EVALUATION D ENTREPRISE 1 Introduction en bourse Une introduction en bourse est avant tout une opération financière. Les avantages financiers de

Plus en détail

A V I S N 1.680 ---------------------- Séance du mercredi 1er avril 2009 -------------------------------------------

A V I S N 1.680 ---------------------- Séance du mercredi 1er avril 2009 ------------------------------------------- A V I S N 1.680 ---------------------- Séance du mercredi 1er avril 2009 ------------------------------------------- Utilisation de titres-repas électroniques : projet d'arrêté royal adapté modifiant l'article

Plus en détail

CCSP EN UN COUP D OEIL. Chapitre SP 4250 Présentation des entités contrôlées et apparentées dans les états financiers des organismes sans but lucratif

CCSP EN UN COUP D OEIL. Chapitre SP 4250 Présentation des entités contrôlées et apparentées dans les états financiers des organismes sans but lucratif CCSP EN UN COUP D OEIL Chapitre SP 4250 Présentation des entités contrôlées et apparentées dans les états financiers des organismes sans but lucratif Mars 2014 Chapitre SP 4250 Présentation des entités

Plus en détail

Rayonnages. Guide de bonnes pratiques en matière de sécurité au travail. Inspection & Entretien

Rayonnages. Guide de bonnes pratiques en matière de sécurité au travail. Inspection & Entretien Guide de bonnes pratiques en matière de sécurité au travail Rayonnages Inspection & Entretien De l'inspection par les experts au remplacement des pièces de rayonnages défectueuses selon la norme DIN EN

Plus en détail

LES OBJECTIFS. Branche réforme. Buts à atteindre selon le modèle d apprentissage

LES OBJECTIFS. Branche réforme. Buts à atteindre selon le modèle d apprentissage VOYAGES LES OBJECTIFS Nr. 1.8.4.1 1.8.4.5 1.8.4.6 2.5.1.1 Buts à atteindre selon le modèle d apprentissage Je définis, sans utiliser de documents, les termes suivants en expliquant leurs différences dans

Plus en détail

CONTRÔLES D'ACCÈS PHYSIQUE AUTOMATISÉS

CONTRÔLES D'ACCÈS PHYSIQUE AUTOMATISÉS Cour Pénale Internationale International Criminal Court Instruction administrative ICC/AI/2007/004 Date : 19/06/2007 CONTRÔLES D'ACCÈS PHYSIQUE AUTOMATISÉS Le Greffier, aux fins d'établir des groupes d'accès

Plus en détail

Fiche Juridique CRÉATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ASSOCIATION LOI DU 1ER JUILLET 1901!

Fiche Juridique CRÉATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ASSOCIATION LOI DU 1ER JUILLET 1901! Fiche Juridique CRÉATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ASSOCIATION LOI DU 1ER JUILLET 1901 Cette fiche à vocation pédagogique a été conçue pour vous initier au droit des associations, tout en vous présentant

Plus en détail

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Note technique accompagnant l

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Note technique accompagnant l COMMISSION DES NORMES COMPTABLES Note technique accompagnant l Avis CNC 2013/14 - Traitement comptable des impôts différés sur des plus-values réalisées bénéficiant du régime de la taxation différée et

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Les Bases de Données occupent aujourd'hui une place de plus en plus importante dans les systèmes informatiques. Les Systèmes de Gestion de Bases de Données

Plus en détail

Conduite et Gestion de Projet - Cahier des charges

Conduite et Gestion de Projet - Cahier des charges Conduite et Gestion de Projet - Cahier des charges 1 Introduction Sophie Toulouse LIPN - Université Paris 13 +33.1.49.40.40.73 99 av. Jean-Baptiste Clément toulouse@lipn.univ-paris13.fr 93430 Villetaneuse

Plus en détail

B u n d e s v e r w a l t u n g s g e r i c h t. T r i b u n a l a d m i n i s t r a t i v f e d e r a l

B u n d e s v e r w a l t u n g s g e r i c h t. T r i b u n a l a d m i n i s t r a t i v f e d e r a l B u n d e s g e r i c h t B u n d e s s t r a f g e r i c h t B u n d e s v e r w a l t u n g s g e r i c h t B u n d e s p a t e n t g e r i c h t T r i b u n a l f é d é r a l T r i b u n a l p é n a

Plus en détail

Directives relatives à la tenue des comptes de tutelle et curatelle

Directives relatives à la tenue des comptes de tutelle et curatelle Directives relatives à la tenue des comptes de tutelle et curatelle A. Entrée en fonctions d'un tuteur ou curateur de gestion et information générale à ce dernier 1. La première tâche de la personne en

Plus en détail

Chapitre Ier : Qualifications.

Chapitre Ier : Qualifications. G / Vte fds comm forma Décret n 98-246 du 2 avril 1998 relatif à la qualification professionnelle exigée pour l'exercice des activités prévues à l'article 16 de la loi n 96-603 du 5 juillet 1996 relative

Plus en détail

Charte informatique. Ce document n est qu un exemple. Il doit être adapté à chaque entreprise selon ses moyens et ses nécessités.

Charte informatique. Ce document n est qu un exemple. Il doit être adapté à chaque entreprise selon ses moyens et ses nécessités. Charte informatique Ce document n est qu un exemple. Il doit être adapté à chaque entreprise selon ses moyens et ses nécessités. Préambule L'entreprise < NOM > met en œuvre un système d'information et

Plus en détail

RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES ASSISTANT DE GESTION DE PME / PMI

RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES ASSISTANT DE GESTION DE PME / PMI RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES ASSISTANT DE GESTION DE PME / PMI CONTEXTE PROFESSIONNEL L'évolution actuelle des emplois montre que le rôle des petites et moyennes entreprises s'est considérablement

Plus en détail

ISO/CEI 27005 NORME INTERNATIONALE. Technologies de l'information Techniques de sécurité Gestion des risques liés à la sécurité de l'information

ISO/CEI 27005 NORME INTERNATIONALE. Technologies de l'information Techniques de sécurité Gestion des risques liés à la sécurité de l'information NORME INTERNATIONALE ISO/CEI 27005 Deuxième édition 2011-06-01 Technologies de l'information Techniques de sécurité Gestion des risques liés à la sécurité de l'information Information technology Security

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,

Plus en détail

Circulaire 2009/1 Règles-cadres pour la gestion de fortune

Circulaire 2009/1 Règles-cadres pour la gestion de fortune Banques Groupes et congl. financiers Autres intermédiaires Assureurs Groupes. et congl. d assur. Intermédiaires d assur. Bourses et participants Négociants en valeurs mob. Directions de fonds SICAV Sociétés

Plus en détail

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION CHARTE DE L'AUDIT INTERNE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION

MINISTÈRE DE LA DÉFENSE SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION CHARTE DE L'AUDIT INTERNE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION MINISTÈRE DE LA DÉFENSE SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION CHARTE DE L'AUDIT INTERNE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION 02 CHARTE DE L'AUDIT INTERNE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL POUR L'ADMINISTRATION

Plus en détail

Les membres sont invités à prendre note des modifications proposées et à faire part de leurs observations éventuelles.

Les membres sont invités à prendre note des modifications proposées et à faire part de leurs observations éventuelles. COMMISSION EUROPÉENNE DG Marché intérieur INSTITUTIONS FINANCIÈRES Assurance MARKT/2519/02 FR Orig. EN Bruxelles, le 27 septembre 2002 MARKT/C2/MAAT D(2002) NOTE AUX MEMBRES DU SOUS-COMITE SOLVABILITE

Plus en détail

1. La présente circulaire concerne les primes d'ancienneté qui sont octroyées aux travailleurs durant leur carrière auprès d'un employeur.

1. La présente circulaire concerne les primes d'ancienneté qui sont octroyées aux travailleurs durant leur carrière auprès d'un employeur. Administration générale de la FISCALITE Services centraux Direction I/5B Circulaire n Ci.RH.241/608.543 (AGFisc N 27/2011) dd. 23.05.2011 Impôt des personnes physiques Revenu professionnel Prime d'ancienneté

Plus en détail

Guide d'intégration à ConnectWise

Guide d'intégration à ConnectWise Guide d'intégration à ConnectWise INTÉGRATION DE CONNECTWISE À BITDEFENDER CONTROL CENTER Guide d'intégration à ConnectWise Intégration de ConnectWise à Bitdefender Control Center Date de publication 2015.05.14

Plus en détail

Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE

Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE Le Groupe consultatif du SYGADE soumet à l'attention du Secrétaire général de la CNUCED les conclusions suivantes formulées lors de sa 9ième

Plus en détail

LE MANDAT DE MELBOURNE Un appel à l'action pour accroître la valorisation de la gestion des relations publiques et des communications

LE MANDAT DE MELBOURNE Un appel à l'action pour accroître la valorisation de la gestion des relations publiques et des communications LE MANDAT DE MELBOURNE Un appel à l'action pour accroître la valorisation de la gestion des relations publiques et des communications FORUM MONDIAL SUR LES RELATIONS PUBLIQUES NOVEMBRE 2012 Le mandat des

Plus en détail

CODE PROFESSIONNEL. déontologie

CODE PROFESSIONNEL. déontologie déontologie Code de déontologie des professionnels du marketing direct vis-à-vis de la protection des données à caractère personnel 1 Code de déontologie des professionnels du marketing direct vis-à-vis

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES ET RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX

LIGNES DIRECTRICES ET RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX MÉMORANDUM D11-6-5 Ottawa, le 4 janvier 1993 OBJET DISPOSITIONS RELATIVES AUX INTÉRÊTS ET AUX PÉNALITÉS : DÉTERMINATIONS, CLASSEMENTS OU APPRÉCIATIONS ET RÉVISIONS OU RÉEXAMENS ET EXONÉRATIONS DE DROITS

Plus en détail

Livre Blanc Novembre 2002

Livre Blanc Novembre 2002 D ynamique de la relation entre Direction Générale et Direction des Systèmes d Information dans les grandes entreprises françaises Livre Blanc Novembre 2002 Préambule Les systèmes d'information sont un

Plus en détail

Paris, le - 6 ~IMS 2015

Paris, le - 6 ~IMS 2015 KCC A1501475 KZZ 06/03/2015 ~të~5t~é ~ud'df7ae,sli;.a/zf?aûfe Monsieur Didier MI GAUD Premier président Cour des comptes 13 rue Cambon 75001 PARIS Paris, le - 6 ~IMS 2015 Nos réf : TR/654/CMA Monsieur

Plus en détail

Info-assurance Séance d information de l IASB du 19 mars 2015

Info-assurance Séance d information de l IASB du 19 mars 2015 www.pwc.com/ca/insurance Info-assurance Séance d information de l IASB du 19 mars 2015 Puisque divers points de vue sont analysés lors des réunions de l IASB, et qu il est souvent difficile de décrire

Plus en détail

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants

Plus en détail

MICRO-CRÉDIT ET CROWDFUNDING AUJOURD HUI

MICRO-CRÉDIT ET CROWDFUNDING AUJOURD HUI MICRO-CRÉDIT ET CROWDFUNDING AUJOURD HUI 16 janvier 2015 Prêts distribués en micro-crédit Crédits distribués (en cours) Prêt moyen accordé Le conseil en investissement participatif «Art. L. 547-1.-I. Les

Plus en détail

Concept d assurance de la qualité pour la formation à la pratique professionnelle au sein des écoles de commerce

Concept d assurance de la qualité pour la formation à la pratique professionnelle au sein des écoles de commerce Concept d assurance de la qualité pour la formation à la pratique professionnelle au sein des écoles de commerce La partie informative du présent concept comprend une vue d ensemble des exigences de qualité

Plus en détail

Aider à la décision. - La matrice d Eisenhower - Le diagramme de Pareto - Les arbres d objectifs - Le diagramme d affinités - La méthode Philips 6.

Aider à la décision. - La matrice d Eisenhower - Le diagramme de Pareto - Les arbres d objectifs - Le diagramme d affinités - La méthode Philips 6. Guide méthodologique du travail en commun Aider à la décision > Hiérarchiser les priorités > Choisir les bonnes solutions > Hiérarchiser les priorités - La matrice d Eisenhower - Le diagramme de Pareto

Plus en détail

POLITIQUE RELATIVE À LA PROCÉDURE DE TRAITEMENT DES PLAINTES

POLITIQUE RELATIVE À LA PROCÉDURE DE TRAITEMENT DES PLAINTES 1. Traitement des plaintes Efficacité, efficience et responsabilité Cette politique met en place la procédure s appliquant à la Compagnie d assurances FCT Ltée., à la First American Title Insurance Company,

Plus en détail

REDIGER UN COMPTE RENDU DE TYPE JOURNALISTIQUE

REDIGER UN COMPTE RENDU DE TYPE JOURNALISTIQUE FICHE MEDIAS N 1 REDIGER UN COMPTE RENDU DE TYPE JOURNALISTIQUE A l'attention des enseignants des cycles II et III Initiative de sensibilisation au handicap mental l'écolensemble Objectifs pédagogiques

Plus en détail

Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement

Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement NATIONS UNIES TD Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement Distr. GÉNÉRALE TD/B/COM.3/EM.10/2 1er novembre 2000 FRANÇAIS Original : ANGLAIS CONSEIL DU COMMERCE ET DU DÉVELOPPEMENT

Plus en détail

Responsabilités juridiques et sécurité dans les accueils collectifs de mineurs

Responsabilités juridiques et sécurité dans les accueils collectifs de mineurs Responsabilités juridiques et sécurité dans les accueils collectifs de mineurs La responsabilité d une personne est toujours définie par le juge sur la base de faits précis et circonstanciés. Direction

Plus en détail

MS PROJECT 2000. Prise en main. Date: Mars 2003. Anère MSI. 12, rue Chabanais 75 002 PARIS E mail : jcrussier@anere.com Site : www.anere.

MS PROJECT 2000. Prise en main. Date: Mars 2003. Anère MSI. 12, rue Chabanais 75 002 PARIS E mail : jcrussier@anere.com Site : www.anere. DOCUMENTATION MS PROJECT 2000 Prise en main Date: Mars 2003 Anère MSI 12, rue Chabanais 75 002 PARIS E mail : jcrussier@anere.com Site : www.anere.com Le présent document est la propriété exclusive d'anère

Plus en détail

ASSOCIATION DES COMPTABLES GÉNÉRAUX ACCRÉDITÉS DU CANADA. Norme de formation Professionnelle continue Version 1.1

ASSOCIATION DES COMPTABLES GÉNÉRAUX ACCRÉDITÉS DU CANADA. Norme de formation Professionnelle continue Version 1.1 ASSOCIATION DES COMPTABLES GÉNÉRAUX ACCRÉDITÉS DU CANADA Norme de formation Professionnelle continue Version 1.1 Association des comptables généraux accrédités du Canada 100 4200 North Fraser Way Burnaby

Plus en détail

Solicitation No. - N de l'invitation Amd. No. - N de la modif. Buyer ID - Id de l'acheteur 10034679/A C71

Solicitation No. - N de l'invitation Amd. No. - N de la modif. Buyer ID - Id de l'acheteur 10034679/A C71 HOSTED CONTACT CENTRE SERVICES (HCCS) INVITATION TO QUALIFY (ITQ) QUESTIONS AND ANSWERS (Q&A) Q&A 005 ITQ no.: 10034679/A Date: March 10, 2014 Page 1 of 11 HCCS ITQ Questions and Answers Question # Question

Plus en détail

Juillet 2013 Recommandations de l ASB et de la COPMA relatives à la gestion du patrimoine conformément au droit de la protection des mineurs et des

Juillet 2013 Recommandations de l ASB et de la COPMA relatives à la gestion du patrimoine conformément au droit de la protection des mineurs et des Juillet 2013 Recommandations de l ASB et de la COPMA relatives à la gestion du patrimoine conformément au droit de la protection des mineurs et des adultes I. Préambule... 2 II. Gestion du patrimoine dans

Plus en détail

Notre méthode est Pragmatique, Souple, Simple et Accessible

Notre méthode est Pragmatique, Souple, Simple et Accessible Jacques d'anchald relations humaines, organisation, transition de carrière Devenir coach Formations et entraînements au Coaching Vous êtes professionnels des ressources humaines, responsables, cadres et

Plus en détail

B.O.I. N 46 du 7 MARS 2000 [BOI 5J-1-00]

B.O.I. N 46 du 7 MARS 2000 [BOI 5J-1-00] B.O.I. N 46 du 7 MARS 2000 [BOI 5J-1-00] Références du document 5J-1-00 Date du document 07/03/00 SECTION 2 : TABLEAU V - NOMBRE D'ADHERENTS ET DE COMPTABILITES PAR REGIME D'IMPOSITION S'agissant du nombre

Plus en détail

Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale

Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Circulaire CNAMTS MMES et MM les Directeurs Date : - des Caisses Régionales d'assurance Maladie 12/02/91 - des Caisses

Plus en détail

D.E.S.C.F - UV 1 - Module 8 Consolidation dans les groupes de sociétés. Corrigé - Cas IG/IP/MEE

D.E.S.C.F - UV 1 - Module 8 Consolidation dans les groupes de sociétés. Corrigé - Cas IG/IP/MEE D.E.S.C.F UV 1 Module 8 Cas IG/IP/MEE Corrigé D.E.S.C.F UV 1 Module 8 Consolidation dans les groupes de sociétés Corrigé Cas IG/IP/MEE HYPOTHESE N 1 : FILIALE EN INTEGRATION GLOBALE 6 étapes sont à distinguer

Plus en détail

...... (dénomination statutaire)...( 1 ) a désigné au cours de l'assemblée générale de la société du...( 2 )

...... (dénomination statutaire)...( 1 ) a désigné au cours de l'assemblée générale de la société du...( 2 ) 5112/PC/MS ANNEXE 1 À LA COMMUNICATION F.2 DÉSIGNATION D'UN COMMISSAIRE AUPRÈS D'UNE SOCIÉTÉ DE CAUTIONNEMENT MUTUEL La société de cautionnement mutuel...... (dénomination statutaire)......... (adresse

Plus en détail

Belgique-Bruxelles: EEAS-331-DIVB3-SER-FWC KISS Knowledge and Information Systems Support 2014/S 087-151902. Avis de marché.

Belgique-Bruxelles: EEAS-331-DIVB3-SER-FWC KISS Knowledge and Information Systems Support 2014/S 087-151902. Avis de marché. 1/5 Cet avis sur le site TED: http://ted.europa.eu/udl?uri=ted:notice:151902-2014:text:fr:html Belgique-Bruxelles: EEAS-331-DIVB3-SER-FWC KISS Knowledge and Information Systems Support 2014/S 087-151902

Plus en détail

Amélioration des communications internes par Basil Orsini

Amélioration des communications internes par Basil Orsini Amélioration des communications internes par Basil Orsini Les plaintes d'employés au sujet de problèmes de communication interne causent des tracas à bien des organisations. Chargés d'examiner la situation

Plus en détail

La stratégie de la SWX Swiss Exchange pour la place financière suisse

La stratégie de la SWX Swiss Exchange pour la place financière suisse La stratégie de la SWX Swiss Exchange pour la place financière suisse par Robert Wyss, SWX Swiss Exchange Auprès des bourses internationales, l'euphorie de la dernière décennie a disparu et les participants

Plus en détail

Annexe A de la norme 110

Annexe A de la norme 110 Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet

Plus en détail

CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES D'ALSACE OBSERVATIONS DEFINITIVES

CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES D'ALSACE OBSERVATIONS DEFINITIVES CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES D'ALSACE OBSERVATIONS DEFINITIVES concernant le Comité d'action pour le Progrès Economique et Social Haut-Rhinois (C.A.H.R) Exercice 1994 à 1997 1. Les comptes et la situation

Plus en détail

de la commune organisatrice ou bénéficiaire, ci-après dénommée «société de transports en commun bénéficiaire». Par dérogation aux dispositions de

de la commune organisatrice ou bénéficiaire, ci-après dénommée «société de transports en commun bénéficiaire». Par dérogation aux dispositions de 15 MAI 2007. - Loi relative à la création de la fonction de gardien de la paix, à la création du service des gardiens de la paix et à la modification de l'article 119bis de la nouvelle loi communale (1)

Plus en détail

Intervention des experts-comptables

Intervention des experts-comptables Stage de Préparation à l Installation Intervention des experts-comptables PLAN DE L'INTERVENTION Présentation de la profession d'expert-comptable Présentation des missions de l expert-comptable Présentation

Plus en détail