Les compétences professionnelles exigées des journalistes travaillant dans les rédactions en ligne Résumé Vinzenz Wyss, Yves Zischek
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1 Etude IAM : Haute école zurichoise de Winterthur Les compétences professionnelles exigées des journalistes travaillant dans les rédactions en ligne Résumé Vinzenz Wyss, Yves Zischek "Online journalists are a distinct group of media professionals, who are able to provide today s overload information landscape with an added value if given the chance" (Deuze/Dimoudi 2002, p. 97s.). Tirée d'une étude néerlandaise consacrée au journalisme en ligne, cette citation montre que cette nouvelle forme de journalisme a suscité, dès son apparition au milieu des années 1990, des attentes excessives. On lui a attribué un potentiel, qui n'a pu être confirmé ni théoriquement ni empiriquement. L'étude menée par l'institut des sciences appliquées de la communication et des médias de la Haute école zurichoise de Winterthur porte justement sur les compétences professionnelles exigées des journalistes travaillant dans les rédactions en ligne. Elle conclut que ces compétences ne diffèrent guère de celles demandées aux journalistes travaillant dans les médias traditionnels. L'étude a été financée par l'ofcom. Le bilan est peu encourageant : les conditions de travail en matière d'organisation ne permettent guère d'exploiter le potentiel technique du journalisme en ligne. Ce dernier ne satisfait pas aux attentes placées en lui (interactivité, multimédia, mise en réseau, etc.). Par ailleurs, l'étude montre que le journalisme en ligne suit des règles professionnelles identiques à celles en vigueur dans les rédactions "traditionnelles". Cela signifie que le journalisme en ligne n'a pas encore développé un système propre. En d'autres termes, il n'est pas encore parvenu à se démarquer du journalisme traditionnel démarche qui suppose justement l'élaboration de règles propres. Evaluation théorique et méthode L'étude a cherché à savoir dans quelle mesure le journalisme en ligne crée de nouvelles règles pour se démarquer du journalisme traditionnel, à quel point il développe un système propre. La viabilité d'un journalisme en ligne autonome dépend de l'existence de pratiques sociales bien établies, différentes de celles du journalisme traditionnel (Quandt 2002b : 243). L'étude s'est penchée sur les questions suivantes :. Quelles sont les structures de travail et d'organisation particulières (organisation, activités, ressources, etc.) et quelles sont les règles spécifiques (dans le sens de normes et d'objectifs précis) propres au journalisme en ligne?.. Dans quelle mesure le journalisme en ligne se différencie-t-il des formes traditionnelles de journalisme en matière de ressources et de règles? Quelles sont les exigences vis-à-vis des journalistes en ligne? Quelles sont les conséquences pour la formation des journalistes dans le domaine des médias en ligne? Pour répondre à ces questions, nous n'avons pas seulement besoin de données empiriques.
2 Nous devons aussi disposer d'une théorie solide qui tienne compte à la fois des aspects opérationnels et structurels. La théorie de structuration employée ici (Giddens 1997 [1988]) comprend des systèmes sociaux p. ex. une entreprise de médias ou une rédaction déterminant des pratiques sociales observables régulièrement, soit des relations liées au temps et à l'espace, et qui se reproduisent continuellement entre les acteurs. Ces systèmes sont le résultat (toujours provisoire) de structurations, c'est-à-dire qu'ils naissent de la reproduction continue de leur structure à travers l'interaction des acteurs (communication, justification et exercice d'un pouvoir). Les pratiques sociales revêtent des formes systémiques résultant de l'emploi continuel de règles et de ressources. Pour le journalisme en ligne, cela signifie qu'une structure propre ne peut se former que si l'on parvient à dégager des pratiques sociales observables régulièrement, différentes du journalisme traditionnel. Au vu des hypothèses théoriques, un plan méthodologique a été dressé et les objets à étudier opérationnalisés. Les structures peuvent être établies empiriquement uniquement à travers des modalités de médiation. Dans les formes d'interaction, les normes et les schémas d'interprétation (descriptions des rôles, concepts, buts et normes journalistiques dans le sens de "valeurs ajoutées" et normes de qualité), ainsi que les moyens d'action (structures d'aménagement et de déroulement formelles et organisationnelles, compétences dans le sens d'un état des connaissances et des capacités, activités) constituent le lien entre la structure et l'action. Pour vérifier ce postulat, des discussions ont été menées avec 29 rédacteurs et rédacteurs en chef travaillant au sein de onze rédactions en ligne dans le domaine de la presse écrite, de la radio et de la télévision. Les avis sur les compétences et exigences requises ont été comparés avec les offres en matière de formation effectivement disponibles sur le marché. Résultats Au vu des réflexions théoriques de départ et du thème abordé, l'étude montre principalement que le journalisme en ligne, en Suisse alémanique, n'a donné lieu jusqu'ici à aucun nouveau système spécifique. Les règles et les ressources employées dans le journalisme en ligne correspondent, bien que sous une forme réduite, à celles du journalisme traditionnel. Les "valeurs ajoutées" attribuées au journalisme en ligne peinent à s'imposer en raison des structures traditionnelles existantes. Qui plus est, l'action observable dans les rédactions en ligne reproduit ces structures limitatives. Le journalisme en ligne s'inscrit dans un contexte structurel plus général (p. ex. règles propres au devoir de diligence et à l'indépendance, temps à disposition limité, équipement insuffisant) auquel les journalistes en ligne se réfèrent et qu'ils reproduisent. En matière de changements, on observe tout au plus une tendance à la "déqualification" ou à la "déprofessionnalisation". Il apparaît en outre que les facteurs qui exercent une influence négative sur le journalisme traditionnel (voir Marr et al., 2001) affectent plus encore le journalisme en ligne (formation et perfectionnement lacunaires, gestion déficiente de la qualité, temps à disposition limité, équipement insuffisant, tendance au dysfonctionnement de la commercialisation, prédominance des modèles d'analyse économique, etc.). En règle générale, le journalisme ne parvient guère à contrer ces facteurs d'influence. Les principaux constats sont les suivants : Structures formelles de l'organisation. Les rédactions en ligne disposent d'au moins cinq à six postes de travail en moyenne. La dotation en personnel s'avère meilleure chez les prestataires indépendants qui
3 offrent uniquement des services en ligne que chez ceux qui sont rattachés à une "rédactionmère". De même, on peut faire une distinction entre les rédactions en ligne qui complètent un programme et celles qui accompagnent un programme. Ces dernières dépendant souvent d'une rédaction-mère; elles s'occupent essentiellement de mettre en réseau des contenus journalistiques déjà rédigés et d'attirer l'attention des internautes sur ces offres. Alors que, dans les rédactions traditionnelles, les rôles sont distribués selon les tâches ou les domaines de compétences, les collaborateurs d'une rédaction en ligne sont en général appelés à tout faire, particulièrement dans les très petites entités. Les rédactions mieux dotées en personnel peuvent travailler de manière plus structurée, en fonction des besoins. Plus encore que dans le journalisme traditionnel, il importe de travailler en équipe ou dans des groupes de projet. En règle générale, on constate toutefois que les rédactions en ligne se contentent de reprendre les structures éprouvées, sans les adapter aux nouvelles exigences. Activités. Les activités journalistiques restent prépondérantes les journalistes en ligne leur consacrent près de la moitié de leur temps de travail, avant les tâches de nature technique, organisationnelle ou autre. Selon les personnes interrogées, ce travail journalistique comprend moins de recherche personnelle que de réaménagement de textes venus de l'extérieur. En d'autres termes, il s'agit d'un "journalisme du copier-coller".. Les journalistes en ligne exercent plus souvent des tâches de nature technique et organisationnelle que leurs collègues des rédactions traditionnelles. Toutefois, contrairement à ce que l'on aurait pu penser, les tâches "techniques" ne sont pas dominantes. En effet, les journalistes peuvent recourir à un logiciel rédactionnel techniquement opérationnel; de plus, ils ne s'occupent pas de la gestion, souvent complexe, des forums de discussion et d'échanges, celle-ci étant confiées à des sociétés informatiques.. Les tâches liées aux services, p. ex. répondre aux courriels, modérer ou contrôler les forums de discussion et d'échanges, sont relativement marginales par rapport aux autres activités quotidiennes. Compétences journalistiques. Les compétences et le savoir-faire journalistiques jouent un rôle de premier plan. Par contre, les aptitudes formelles ou techniques sont plutôt secondaires.. Au niveau des compétences, les connaissances générales sont plus importantes que les savoir-faire spécifiques. Les journalistes actifs dans les médias en ligne sont avant tout des généralistes.. Les compétences techniques ne sont pas primordiales. Elles peuvent généralement être acquises sur le tas. Une certaine "affinité" préalable pour la technique est toutefois préférable.. Par contre, il est indispensable de savoir traiter les contenus rédactionnels dans l'optique d'une publication sur un média électronique.. Les compétences sociales sont aussi très importantes. Cette exigence découle du fait que les journalistes en ligne sont amenés à côtoyer des personnes évoluant dans des secteurs qui n'ont parfois rien à voir avec le journalisme. Formation. A l'instar de ses collègues travaillant dans le journalisme traditionnel, le journaliste en ligne n'a d'ordinaire pas reçu de formation particulière. Il a appris le métier sur le tas et acquis les connaissances nécessaires en suivant des cours de perfectionnement internes, dans le cadre de la rédaction..
4 . Les offres de formation disponibles se concentrent la plupart du temps sur les logiciels et sur les compétences commerciales. Les programmes des centres de formation offrent peu de cours spécifiques en matière de compétences journalistiques ou dans le domaine de la réflexion (réflexion sur la fonction, le rôle, l'autonomie).. En ce qui concerne les compétences professionnelles, les personnes interrogées estiment qu'il n'est pas possible de définir de modèles précis auxquels les journalistes en ligne devraient correspondre. Ces derniers n'expriment généralement pas le souhait de disposer d'une formation professionnelle spécifique. Apparemment, ils estiment aussi que la pratique sur le tas représente un critère primordial. Rôles. Alors que le journalisme traditionnel véhicule souvent une image de pluralisme stéréotypée, les journalistes en ligne privilégient le rôle du "transporteur" d'informations, rapide mais passif. S'y ajoute le stéréotype du "prestataire de services qui essaie de répondre aux besoins du public". Or ce stéréotype-là est beaucoup moins important dans le journalisme traditionnel.. Il n'a pas été possible de dégager des stéréotypes spécifiques. L'image dominante du journaliste "transporteur d'information d'actualité" correspond la plupart du temps aux exigences de viabilité des différents règlements d'une rédaction en ligne. "Valeurs ajoutées" : interactivité, multimédia, actualisation, mise en réseau. L'actualisation constante des contenus journalistiques est une tâche clé; elle est à la fois incontestable et prioritaire. Elle constitue le critère de qualité par excellence du journalisme en ligne. Les personnes interrogées reconnaissent que d'éventuels conflits normatifs peuvent surgir quant au devoir de diligence et aux règles de transparence, mais elles estiment que ces contraintes ne sont pas problématiques.. La mise en lien thématique et commerciale avec des contenus extérieurs est une activité très importante du journalisme en ligne. Des conflits normatifs peuvent surgir quant au devoir de diligence et à la séparation entre les parties rédactionnelle et commerciale.. L'interactivité et l'aspect multimédia ne revêtent que peu d'importance pour les personnes interrogées. Il apparaît clairement que, vu les ressources disponibles et les conflits normatifs potentiels, il n'est pour ainsi dire pas possible d'atteindre les objectifs liés à ces deux fonctions essentielles. Résumé L'étude aboutit à un bilan peu encourageant. Vu leurs conditions de travail, les journalistes en ligne ne sont guère en mesure de fournir les prestations requises du point de vue normatif. De plus, leur champ d'action est limité par le peu de ressources disponibles (il n'est d'ailleurs pas possible de résoudre ce problème uniquement avec des ressources supplémentaires). Jusqu'ici, aucune règle spécifique au sens d'une norme ou d'un modèle interprétatif orienté vers la qualité n'a véritablement pu émerger. Les buts assignés au journalisme en ligne en matière de qualité interactivité, multimédia, actualisation ou mise en réseau ne peuvent être atteints que s'ils correspondent en même temps aux exigences de viabilité des règles interprétatives, morales, politiques et économique des entreprises de médias en ligne. A ce propos, on peut constater que le journalisme en ligne est confronté avant tout à des conflits normatifs. Cette situation est due au fait qu'aucun système doté de règles propres au journalisme en ligne ne s'est imposé jusqu'ici. Concernant le besoin de qualification dans le journalisme en ligne, on peut déduire que les stratégies définissant les compétences requises doivent en premier lieu s'appliquer
5 au niveau de la création de règles. Il serait également judicieux que les formateurs mettent l'accent non pas sur les compétences techniques et commerciales, mais principalement sur la compréhension des règles propres aux activités en ligne.
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