MASTER INTERNATIONAL EN ÉTUDES CINÉMATOGRAPHIQUES ET AUDIOVISUELLES

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1 MASTER INTERNATIONAL EN ÉTUDES CINÉMATOGRAPHIQUES ET AUDIOVISUELLES PRESENTATION ET PROGRAMME DES COURS PRATIQUES CONTEMPORAINES DE L IMAGE : ART, PUBLIC, PATRIMOINE. GUIDE DES ETUDES UNIVERSITE CHARLES-DE-GAULLE - LILLE 3

2 2 Le mot de la directrice de l UFR Humanités Le département «Arts» est l un des cinq départements de l UFR (Unité de Formation et de Recherche) «Humanités», avec le département «Langues et cultures antiques» (LCA), le département «Lettres modernes», le département «Philosophie» et le département «Sciences du langage». Quatre laboratoires de recherche sont associés à l UFR : Alithila ; le CEAC ; Halma-Ipel ; Savoirs, Textes, Langage (STL). Les enseignants-chercheurs qui interviennent dans les formations du département «Arts» mènent pour la plupart leurs recherches au CEAC. Conçue pour être un lieu de transversalité, notamment en matière de formations, l UFR Humanités compte près de 4000 étudiants et dispose d un fonds documentaire de titres répartis dans ses quatre bibliothèques. Le département «Arts» est votre interlocuteur privilégié, pour tout ce qui concerne l accueil, la gestion de vos formations (emplois du temps, contrôle des connaissances, ) et des stages. Je suis toutefois à votre disposition pour tout autre point ou question. À toutes et tous, je souhaite une excellente année universitaire , couronnée de succès académique sans oublier une vie étudiante et culturelle riche des multiples possibilités qu offre l UFR et plus largement Lille 3 à ses étudiantes et ses étudiants. Georgette Dal Directrice de l UFR Humanités

3 3 Master international en études cinématographiques et audiovisuelles IMACS L association des enseignements développés par chaque université partenaire constitue un vaste programme de cours diversifiés et enrichis par de nombreuses spécialisations scientifiques. L offre de cours globale proposée par ce regroupement donne une véritable plus-value à cette formation, à l échelle de ce qui se fait de plus pointu en Europe dans le domaine des études cinématographiques et audiovisuelles. Ce master permet à un nombre limité d étudiants sélectionnés sur dossier (huit par université) de suivre les cours de leur choix dans trois universités différentes. Les cours se donnent dans la langue de chaque pays d accueil. Axé sur la recherche, ce programme a pour objectif principal de former les étudiants à un niveau d excellence européen attesté par un diplôme émis par chaque université fréquentée. Ce diplôme doit les encourager ensuite à entreprendre un doctorat. PROGRAMME-CADRE Le programme-cadre du Master International en Études Cinématographiques et Audiovisuelles est conçu de manière à ce que chaque étudiant inscrit atteigne un niveau de formation considéré comme équivalent dans chaque pays, quelles que soient les universités dans lesquelles l étudiant aura suivi des cours. Le programme totalise 120 crédits et s étend sur deux ans (Master 1 et Master 2). L ensemble comprend 16 modules d enseignements spécialisés : dix en Master 1 (cinq par semestre) et six en Master 2 (trois par semestre). Selon ses possibilités, chaque université partenaire propose au moins un cours par module, dont le contenu peut varier chaque année. Les 16 modules comportent donc chacun un ensemble de cours au choix proposés par chaque université à partir des enseignements qu elle délivre dans son programme propre. Au cours du premier semestre de la première année, l étudiant suit dans son université d origine un cursus de 25 crédits (cinq cours de 5 crédits, un par module). Au second semestre, l étudiant part en mobilité dans l université partenaire où il est inscrit et où il doit suivre également cinq cours (un par module, 25 crédits). Selon ses besoins, l étudiant peut aussi suivre une formation complémentaire en langues dans son université d origine et dans l université d accueil. À la fin de la première année, l étudiant doit présenter un «projet de recherche» ou «mini-mémoire préparatoire au mémoire de fin d études. La seconde année est surtout consacrée au projet de recherche devant aboutir au travail de fin d études. L étudiant part en mobilité au premier semestre dans l université d accueil (différente de celle de la première année) où il est inscrit et où il suit trois cours (15 crédits). Au second semestre, il revient dans son université d origine où il suit également trois cours (15 crédits) et termine son mémoire de fin d études dirigé par un professeur de son université (co-direction possible avec un professeur d une autre université). Téléchargez la maquette cadre du Master International En fin de parcours, l étudiant aura suivi un tiers de son cursus total (25 crédits en première année et 15 crédits en seconde, soit 40 crédits sur 120) dans deux universités étrangères et

4 4 un tiers dans son université d origine. Le dernier tiers est consacré au mémoire de fin d études. Les cours proposés par chaque université sont publiés au début de l année académique qui commence. Ces cours sont assurés par des professeurs locaux et donnés dans la langue locale, à l exception de certaines universités comme L Université Pompeu Fabra de Barcelone (cours en espagnol) et l Universiteit van Amsterdam (cours en anglais). Il est possible que, dans le cadre de mobilités enseignantes, certains cours soient assurés par des professeurs venant d autres universités partenaires, éventuellement sous la forme de sessions intensives de plusieurs jours. Le programme ne prévoit ni ateliers pratiques, ni cours de pratique professionnelle, si stages. Néanmoins, l étudiant qui le souhaite peut suivre des ateliers et cours pratiques supplémentaires dans son université d origine et effectuer un stage lors de ses séjours à l étranger. Les Universités partenaires Birkbeck College London Goethe-Universität Frankfurt Ruhr-Universität Bochum Universidad Pompeu Fabra Barcelona Università Cattolica del Sacro Cuore Università degli Studi di Udine Università degli Studi Roma 3 Université Charles-de-Gaulle Lille 3 Université de Liège Université de Montréal Université de Paris Ouest Nanterre La Défense Université Sorbonne Nouvelle Paris 3 Universiteit van Amsterdam

5 5 Sommaire Le mot de la directrice de l UFR Humanités 2 Master international en études cinématographiques et audiovisuelles IMACS 3 Sommaire 5 Cadre administratif 7 Services à l Étudiant 8 Récapitulatif procédures d inscription 9 Inscription administrative (I.A.)² 9 L inscription pédagogique (I.P.) 9 Le transfert de dossier universitaire partant et arrivant 9 Règles de progression de l Université des étudiants de MASTER (hors masters métiers de l enseignement) 11 Les règles de progression spécifiques en Master CEAC 13 Organisation des études du Master International Etudes Cinématographiques et Audiovisuelles à Lille 3 «Pratiques contemporaines de l Image : Art, public, patrimoine» 15 Informations ENT du Pôle mobilités sortantes (pour les étudiants de Lille 3) 18 L Information : Le site de l Université, l ENT personnalisé, l affichage Le parcours en Etudes Cinématographiques à l Université Charles-de-Gaulle Lille Présentation générale Sites associés Présentation des enseignants Enseignants du Parcours Etudes cinématographiques Enseignants d autres parcours intégrés au programme du Master international (Arts plastiques, histoire, musicologie, philosophie) Les bureaux des enseignants de l UFR Humanité, Département Arts Parcours Master 1 et 2 : tableaux récapitulatifs Renseignement utiles : Contacts, liens. 31 Programmes 32 Master 1 Semestre 1 33 Semestre 1 : U.E. 1 Théorie de l art et esthétique du cinéma : 33 Semestre 1 : U.E. 2 Patrimoine, archives et histoire du Cinéma 35

6 Semestre 1 : U.E. 3 Sociologie, droit, économie et technologie du cinéma et de l audiovisuel 36 Semestre 1 : U.E. 4 Culture visuelle, histoire culturelle et anthropologie des images 36 Semestre 1 : U.E. 5 Pratiques contemporaines de l Image 37 Semestre 1 : Méthodologie 41 Master 1 Semestre 2 42 Semestre 2 : U.E. 1 Théorie de l art et esthétique du cinéma 42 Semestre 2 : U.E. 2 Patrimoine, archives et histoire du cinéma 43 Semestre 2 : U.E. 3 Sociologie, droit, économie et technologie du cinéma et de l audiovisuel 44 Semestre 2 : U.E. 4 Culture visuelle, histoire culturelle et anthropologie des images 45 Semestre 2 : U.E. 5 Pratiques contemporaines de l Image 46 Semestre 2 : obligatoire mais non capitalisé Mémoire d étape 47 Master 2 Semestre 3 48 Semestre 3 : U.E.1 Théorie des formes visuelles et sonores 48 Semestre 3 : U.E. 2 Histoire des formes visuelles et sonores 49 Semestre 3 : U.E. 3 Pratiques des nouveaux médias et culture des images 51 Semestre 3 : Méthodologie de la recherche en Master 2 55 Semestre 3 Obligatoire mais non capitalisé «Méthodologie de la recherche en Master 2» 55 Master 2 Semestre 4 57 Semestre 4 : U.E.1 Théorie des formes visuelles et sonores 57 Semestre 4 : U.E. 2 Histoire des formes visuelles et sonores 58 Semestre 4 : U.E. 3 Cinéma et nouvelles images 59 Semestre 4 : U.E. 4 Recherche 60 Calendrier universitaire Modalités d examen du Master International Etudes Cinématographiques et audiovisuelles «Pratiques contemporaines de l Image Art, public, patrimoine». 62 6

7 7 Cadre administratif U.F.R. Humanités, département Arts Le Master International d Etudes Cinématographiques et Audiovisuelles : Pratiques Contemporaines de l Image : Arts, public, patrimoine est rattaché au Master Création et Etude des Arts Contemporains, parcours Etudes Cinématographiques de l U.F.R. Humanités, département Arts, Responsable : Laurent Guido Le Master C.E.A.C. comporte les spécialités suivantes : Arts et existence Arts plastiques (Pôle Arts visuels et Pôle exposition) Etudes Cinématographiques Master International d études cinématographiques et audiovisuelles : Pratiques contemporaines de l Image : Arts, public, patrimoine. Musique Danse Pratique et pédagogie des arts de la scène. Il est adossé au Centre d Etude des Arts Contemporains (C.E.A.C.) - Directeur : Christian Hauer Directeur du département Arts : Philippe Guisgand Responsable administrative : Michèle Lipka Responsable du Master mention Création et Etudes des Arts Contemporains : Véronique Goudinoux Secrétaire pédagogique du Master C.E.A.C.: Pascale Joly - Mail : pascale.joly@univ-lille3.fr Bureau A3.317 Téléphone : Télécopieur : Horaires d ouverture bureau Lundi : 14h30-16h30 Mardi, mercredi, jeudi : 9h30 à 11h30 et 14h30 à 16h30. Fermé le vendredi.

8 8 Services à l Étudiant Ligne générale Lille 3 : Accueil Galerie : /70.58 MAISON DE L ÉTUDIANT SCOLARITÉ DAEVU Accueil général étudiant Service des Inscriptions daevu@univ-lille3.fr Service des diplômes daevu@univ-lille3.fr Bureau de la Vie Étudiante daevu.vie-etudiante@univ-lille3.fr Relais Handicap relais.handicap@univ-lille3.fr Bureau d accueil des étudiants Intern / baei@univ-lille3.fr Santé Centre de santé de l étudiant Bâtiment F ETUDES DOCTORALES école doctorale Régionale SHS sec-edshs@pres-ulnf.fr Bibliothèque Universitaire B.I.U. SCD - Bibliothèque Universitaire centrale scd.accueil@univ-lille3.fr HALL bâtiment A Action Culture action-culture@univlille3.fr SUAPS (sports) suaps@univ-lille3.fr suaio baip Service d Accueil, d Information et d Orientation (SUAIO) sio@univ-lille3.fr Bureau d Aide à l Insertion Professionnelle (BAIP) baip@univ-lille3.fr Relations Internationales : Informations pratiques Pôle mobilités entrantes incoming@univ-lille3.fr Tél. : /63 92 Bureau A3.060 Pôle mobilités sortantes - Erasmus erasmus@univ-lille3.fr Tél. : /63 41 Bureau A3.066 Dépt. d Enseignement du Français pour les étudiants de l International (DEFI) defi@univ-lille3.fr Bâtiment A (Entrée face parking Kino) FORMATION TOUT AU LONG DE LA VIE Service de Validation des Acquis et de l expérience professionnelle (SUVAC) suvac@univ-lille3.fr Service de Formation Continue et d Education Permanente (FCEP) fcep@univ-lille3.fr Service d Enseignement à distance (SEAD) sead@univ-lille3.fr

9 9 Récapitulatif procédures d inscription Dossier de candidature ou fiche plein droit Il s agit du dossier préparatoire (comprenant un dossier à télécharger ou/si vous ), pour l inscription en M2 dans tous les cas, en M1 pour les étudiants n ayant pas la licence d Art, La demande de validation d acquis des filières à entrées sélectives fait partie de cette procédure pour les étudiants n ayant pas la licence Arts obtenue à Lille III. Des renseignements complémentaires peuvent être fournis au secrétariat de l UFR. Inscription administrative (I.A.)² Elle se fait aux services de la Scolarité de juillet à septembre. L existence officielle de l étudiant commence avec l inscription administrative à l université, qu elle se déroule en chaîne d inscriptions, une fois validée, ou par internet (exceptionnellement par correspondance). Cette inscription est annuelle (année universitaire = semestre impair + semestre pair suivant). Dans tous les cas, l étudiant doit s acquitter de droits d inscription déterminés en fonction des études choisies et de son profil particulier (boursier ou non boursier, sécurité sociale étudiante ou ayant droit des parents, etc.). C est seulement à l issue de cette procédure que sa carte d étudiant lui est remise. Une I.A. n est valable que pour une seule année universitaire ; L étudiant désirant poursuivre ses études devra se réinscrire chaque année. ATTENTION : si vous êtes étudiant boursier, l Etat prend partiellement en charge, à votre place, le règlement de vos droits universitaires. En contrepartie, vous vous engagez à suivre assidûment les cours ainsi que les travaux dirigés et à vous présenter aux examens. Si tel n était pas le cas, vous vous exposeriez au retrait de votre bourse et, dans ce cas, vous seriez tenu de rembourser les sommes éventuellement perçues, sans préjudice des droits universitaires qui seraient alors mis totalement à votre charge. L inscription pédagogique (I.P.) L inscription pédagogique est impérative, Vers fin octobre, début novembre sur votre «espace personnel», chacun doit s inscrire aux examens des 2 semestres, pour pouvoir composer aux épreuves et pour enregistrer ses résultats dans le système Apogée. Sinon l accès en salle sera refusé et les notes ne seront pas prises en compte. Cette inscription s effectue via l espace personnalisé. Le transfert de dossier universitaire partant et arrivant Les étudiants qui ont été inscrits dans une autre université et souhaitent poursuivre des études à Lille 3 ou qui, après des études à Lille 3, souhaitent intégrer un nouvel établissement, doivent solliciter le transfert de leur dossier universitaire.

10 10 Pour les étudiants intégrant l université de Lille 3, l inscription administrative ne pourra intervenir qu après réception de la demande ou fiche de transfert «départ» signée par le président de l université d origine, cette fiche est à télécharger directement sur le site de l université, niveau DAEVU, transferts. Le transfert du dossier permet de vérifier, notamment, le parcours de l étudiant et le règlement effectif de ses droits universitaires auprès de son université d origine pour les années antérieures. Dans la pratique, l étudiant souhaitant transférer son dossier universitaire doit remplir une fiche «départ», mentionnant l accord de l université pour le transfert. Après avoir vérifié l exactitude des renseignements les concernant et apposé leur signature, ils transmettront ce document au bureau des inscriptions administratives de la DAEVU pour signature et validation.

11 11 Règles de progression de l Université des étudiants de MASTER (hors masters métiers de l enseignement) (Arrêté du 25 avril 2002 modifié relatif au diplôme national de master - Arrêté du 22 janvier 2014 fixant le cadre national des formations conduisant à la délivrance des diplômes nationaux de licence, de licence professionnelle et de master) La progression des étudiant-e-s d une année sur l autre obéit aux règles suivantes : - JURYS SEMESTRIELS Pour les cursus master (jurys de première et de seconde session ou session unique ou longue) la note est la moyenne coefficientée des notes obtenues aux différentes UE, sans compensation semestrielle entre les UE : si la note de chaque UE est égale ou supérieure à 10, l étudiant-e est admis-e au semestre et emporte les crédits ECTS du semestre (30). si, pour au moins une UE, la note est inférieure à 10, l étudiant-e est ajourné-e au semestre, mais capitalise les UE acquises. L étudiant-e n est déclaré-e admis-e que s il, elle a capitalisé toutes les UE. Il s ensuit que, dans certains cas, l étudiant-e sera déclaré-e ajourné-e au semestre, alors que la moyenne coefficientée de ses notes est supérieure à 10/20. - JURYS D ANNEE Cursus master, validation de l année universitaire, admission à l année supérieure (première et deuxième session, session «unique» ou longue) : l année universitaire (M1, M2) est réputée validée dès lors que l étudiant-e a été déclaré admis-e à chacun des deux semestres qui la composent, ce qui implique la capitalisation de toutes les UE des dits semestres. la note est la moyenne coefficientée des notes obtenues aux différentes UE, sans compensation semestrielle entre les UE. Il s ensuit que, dans certains cas, l étudiante sera déclaré-e ajourné-e à l année, alors que la moyenne coefficientée de ses notes est supérieure à 10/20. en principe, seul-e-s les étudiant-e-s ayant capitalisé la totalité des UE du M1, et donc validé cette année, sont autorisés à déposer un dossier en vue de l accès en M2. - JURYS DE DIPLOME Maîtrise A l issue de la deuxième session (lorsqu elle existe cf. cas des sessions uniques ou longues) du second semestre de l année universitaire et après les jurys d année, le jury délivre le diplôme de la maîtrise sur la base d une compensation entre les UE du M1 : au titre de la première session, aux étudiant-e-s dont la moyenne coefficientée des notes de première session (ou de session longue) est égale ou supérieure à 10. au titre de la deuxième session aux étudiant-e-s dont la moyenne coefficientée des notes obtenues aux UE capitalisées en première session et des notes obtenues à la deuxième session est égale ou supérieure à 10. Aucune mention ne sera portée sur le diplôme de Maîtrise.

12 Master Le diplôme sera attribué sur la base des notes de l année diplômante et des résultats obtenus par l étudiant-e. à l issue de la deuxième session du second semestre de l année universitaire (lorsqu elle existe cf. cas des sessions uniques ou longues) et après les jurys d année, le jury délivre le diplôme : au titre de la première session, aux seul-e-s étudiant-e-s admis à chacun des deux semestres au titre de la première session (ou de la session unique ou longue). au titre de la deuxième session : aux étudiant-e-s ayant été admis-es aux deux semestres, dont l un au moins au titre de la deuxième session ; La mention du diplôme de master est déterminée par la moyenne des notes obtenues aux deux semestres de l année diplômante. 12

13 Les règles de progression spécifiques en Master CEAC 13 Master 1 : il vous faut être titulaire d une licence ou d un diplome reconnu équivalent et être accepté par la commission de la spécialité envisagée. Le master est évalué en session unique (contrôles continus) Il n y a pas de chevauchement possible en Licence/Master 1/Master 2 A l issue de votre année de Master 1 : Toute note inférieure à 10/20 à une U.E. est éliminatoire. Les notes à l interne (EC) d une U.E. non obtenue qui seraient au dessus de la moyenne ne sont plus valables à l issue de l année non obtenue, vous devez donc repasser l intégralité de l UE sous échec. Toute note au dessus de 10/20 à une U.E. reste validée définitivement, il en est de même pour la note de mémoire qui, une fois acquise, l est aussi définitivement comme toute note d U.E, Pour entrer en Master 2 : La note de 14/20 au mémoire d étape de Master 1 est nécessaire pour aborder un master 2, toutefois, à titre exceptionnel, le jury de délibération (souverain) peut conseiller à un étudiant dont la moyenne à ce mémoire de recherche est inférieure à 14/20 de refuser le bénéfice de cette note pour refaire son mémoire d étape l année suivante. Le projet de recherche est déterminant, même si vous avez des notes suffisantes pour aborder un Master 2, vous pouvez vous voir refuser cet accès si votre projet de recherche est insuffisant ou ne correspond pas à la formation que vous envisagez, le projet de recherche doit obligatoirement comporter une bibliographie succincte. La première année de master correspond à l ancien diplôme «Maîtrise», vous pouvez à l issue de votre première année obtenir le diplôme de maitrise par compensation c'est-à-dire sans obtenir toutes les UE mais en ayant au moins 10 à l année et 10 à l UE de mémoire (note plancher), vous pouvez ainsi être à la fois refusé à votre Master 1 (si vous avez une ou des notes éliminatoires) mais accepté à votre maîtrise. A l issue de votre année de Master 2 : Les règles sont les mêmes qu en Master 1, ainsi Toute note inférieure à 10/20 à une U.E. est éliminatoire. Les notes à l interne (EC) d une U.E. non obtenue qui seraient au dessus de la moyenne ne sont plus valables à l issue de l année non obtenue, vous devez donc repasser l intégralité de l UE sous échec. Toute note au dessus de 10/20 à une U.E. reste validée définitivement, il en est de même pour la note de mémoire, Pour entrer en Doctorat, vous devez vous référer au site de l Ecole Doctorale, veuillez toutefois noter que seul le master à orientation recherche obtenu avec mention B ou TB autorise à poser candidature. Un accès dérogatoire au doctorat est toutefois possible pour les titulaires d autres diplômes de niveau équivalent.

14 Comme à l issue du Master 1, le jury de délibération peut conseiller à un étudiant dont la moyenne à son mémoire de recherche est insuffisante, de refuser le bénéfice de la note obtenue à sa soutenance pour améliorer son travail de recherche l année suivante, cette mesure n a toutefois d intérêt que pour un étudiant qui souhaite ultérieurement s inscrire en doctorat. 14

15 15 Organisation des études du Master International Etudes Cinématographiques et Audiovisuelles à Lille 3 «Pratiques contemporaines de l Image : Art, public, patrimoine» Master 1 Les étudiants suivront les cours dans leur université d origine au premier semestre. Les étudiants suivront les cours dans l Université partenaire de leur choix au second semestre. Master 2 Les étudiants suivront les cours dans l Université partenaire au semestre 3. Les étudiants suivront les cours dans leur Université d origine au semestre 4. Les Relations Internationales Les étudiants issus de l Université de Lille 3 prendront, dès la rentrée, contact avec le Pôle mobilités sortantes afin d organiser leur voyage d étude dans l université partenaire de leur choix. Pôle mobilités sortantes - Erasmus erasmus@univ-lille3.fr Tél. : /63 41 Bureau A3.066 Les étudiants des Universités partenaires qui suivront, dans le cadre du Master International, un semestre à Lille 3, prendront contact, dès leur arrivée, avec le Pôle mobilités entrantes afin d organiser leur séjour à Lille 3. Pôle mobilités entrantes - Incoming incoming@univ-lille3.fr Tél. : /63 92 Bureau A3.060 Le Pôle mobilités entrantes (Incoming) peut vous aider dans la recherche d un logement en résidence universitaire ou dans le secteur privé, le loyer est pris en charge par l étudiant.

16 16 Langue d enseignement Pour l ensemble du consortium des Universités partenaires, les cours se déroulent dans la langue d origine du pays de l Université concernée. Des tests de niveau de langue vous seront demandés, à savoir à L Université de Lille 3 : niveau B2 minimum, C1 ou C2 recommandé. Avant de choisir de venir à Lille 3 (pour les étudiants des Universités partenaires), ou de partir dans une Université partenaire (si vous êtes de l Université de Lille 3), vous devez obligatoirement vous informer du niveau de langue demandé et des tests de langue en vigueur afin de procéder aux démarches nécessaires. La validation du cursus d études des étudiants en mobilité Les étudiants partants ou arrivants devront obligatoirement retirer dans leur université d origine, Pôle mobilités partantes, leur contrat d études (learning agreement), qu ils auront retiré au préalable dans leur université d origine, dès leur arrivée dans l Université d accueil. Ce learning doit être ensuite renvoyé dans les meilleurs délais au Pôle mobilités partantes de leur université d origine. Le suivi des examens des étudiants en mobilité A la fin de chaque semestre, les résultats des étudiants arrivant dans le cadre du programme d échange (Universités partenaires) à l Université de Lille 3 seront transmis par le département Arts au Pôle mobilités entrantes (Incoming). Ce dernier enverra le relevé de notes (transcript of records) à l Université d origine. A l issue de chaque semestre, les résultats des étudiants originaires de l Université de Lille 3 accueillis dans les Universités partenaires seront transmis par l Université d accueil au Pôle Mobilités partantes (Erasmus). Ce dernier les fera parvenir au Département Arts. Travail de recherche Le travail de recherche à l issue de chaque année du Master est, sauf dérogation, sous la responsabilité du Directeur de Recherche de l Université d origine des étudiants.

17 17 Résultats L ensemble des résultats de l année d étude concernée sera validée par l Université d origine des étudiants inscrits au Master International.

18 Informations ENT du Pôle mobilités sortantes (pour les étudiants de Lille 3) 18 Vous trouverez sur le site des Relations Internationales, les informations suivantes : Erasmus - erasmus@univ-lille3.fr - Tél. : / Bureau A3.066 Vous devez : Avant votre départ : télécharger, imprimer et renseigner le dossier administratif, la fiche Particulier et le kitetudiant Période d'études comprenant : -le contrat Etudiant Erasmus (document à retirer au service des Relations Internationales) - le contrat d études à faire valider par votre professeur coordinateur, puis par le service des Relations Internationales avant votre départ. - l'attestation de début de séjour (document à faire valider par votre université d'accueil et à nous retourner dès votre arrivée) - le rapport détaillé présenté par l'étudiant à l'établissement (à remplir en ligne et à nous retourner par mail en fin de séjour à l'adresse suivante : eramus@univ-lille3.fr) - l attestation de présence Erasmus (à faire valider par votre université d'accueil et à retourner au service des Relations Internationales à la fin de votre mobilité) - la charte des étudiants (à conserver) où sont stipulés les droits et les devoirs de l étudiant en mobilité Erasmus En complément au dossier administratif, vous avez à : vous inscrire dans l'université d'accueil par le biais de leur formulaire d inscription ou «Application Form». Chaque université d accueil a sa propre date limite d inscription et sa propre procédure d inscription. Elles peuvent demander une application form en ligne ou une application form en document papier, éventuellement un " learning agreement", un relevé de notes, un test de positionnement linguistique etc. établir votre contrat d études en listant les enseignements que vous allez suivre dans l université d accueil pendant votre période de mobilité. Vous trouverez ces enseignements en consultant le site internet de l université d accueil ou en la contactant. Le contrat d études est à la base de la validation de vos études. Bien que provisoire car vous aurez la possibilité de le modifier pendant votre mobilité, vous devez impérativement le faire valider par le coordinateur Erasmus de votre UFR avant votre départ. Vous devez en apporter une copie au SRI et envoyer l original à votre université d'accueil dans les délais impartis. Le contrat d'études a valeur d engagement. Liste des coordinateurs avertir votre sécurité sociale étudiante de votre mobilité Erasmus et nous fournir la photocopie de votre carte européenne d assurance maladie. Elle doit être valable pendant toute la période de votre mobilité.

19 vous inscrire impérativement administrativement à l université de Lille3 selon les modalités de la Scolarité et vous inscrire aux examens de Lille3 suivant les modalités du Service des Examens et Diplômes. En contrepartie vous bénéficiez de : - l exonération des droits d inscription dans votre université d accueil - la reconnaissance académique de votre période de mobilité (en cas de validation par le coordinateur Erasmus de votre UFR) - du maintien pendant votre séjour à l étranger de la bourse CROUS. Les aides financières. Elles sont gérées par le SRI et vous n avez pas besoin de contacter les différents organismes. D'autres informations seront rajoutées ultérieurement sur le site. Avant votre départ, le SRI peut vous établir une attestation de mobilité en français et anglais. Votre université d accueil, le CROUS, votre opérateur téléphonique, etc., peuvent vous la demander. Ne transmettez que des photocopies et conservez l original. En cas de désistement pour raisons graves, vous devez avertir immédiatement le SRI et le coordinateur Erasmus de votre UFR. Pendant votre séjour : Un mois maximum après votre arrivée dans l université d accueil, vous devez nous faire parvenir : le contrat d'études validé initial et/ou modifié par les coordinateurs institutionnel et pédagogique de l université d accueil. Vous devez procéder à la validation du contrat d études par l université d accueil pour 60 ECTS (mobilité à l'année), pour 30 ECTS (mobilité au semestre). Le SRI se charge de les transmettre au coordinateur Erasmus de votre UFR pour validation. Dûment renseignés ces documents sont indispensables au bon fonctionnement de votre mobilité et leurs délais sont à respecter. Avant votre départ : Vous devez nous faire parvenir : l attestation de présence Erasmus avec les dates correspondantes à votre période de mobilité. le relevé de notes. En général l université d accueil envoie au SRI des relevés de notes soit par semestre, soit par année (Tableau E). Néanmoins, il vous est demandé de veiller à ce qu'il en soit ainsi. Ils seront transmis à votre coordinateur Erasmus pour validation. Les relevés de notes vous permettent l inscription à l université de Lille 3 en 2014/2015 dans l année d études supérieure. le rapport détaillé présenté par l étudiant à l établissement (à renseigner en ligne et à retourner par mail à l'adresse "erasmus@univ-lille3.fr". Ce bilan permet d évaluer qualitativement et quantitativement votre période de mobilité. Le retour de ces documents permet le versement complémentaire en cas de redistribution d allocation Erasmus en fin de séjour. Le non-retour de ces documents pourrait entraîner le remboursement des sommes versées. 19

20 20 L Information : Le site de l Université, l ENT personnalisé, l affichage. Vous entrez en Master C.E.A.C, vous êtes ou serez inscrits à l Université de Lille 3, vous aurez à vous familiariser avec le site de l Université où vous trouvez l ensemble des informations de l Université. Lors de votre inscription, vous pourrez bénéficier d un ENT personnalisé, c est sur cet espace personnalisé que la majorité des informations vous sont communiquées, Il est nécessaire de vous y réferer régulièrement. Vous y trouverez : Vos emplois du temps, Le guide des études, Les informations relatives aux cours au fil de l année universitaire Les absences ou rattrapages de cours Des renseignements indispensables : pour le bon déroulement de votre année universitaire, pour le bon déroulement des examens que vous aurez à passer bon nombre de conseils ou informations qui vous seront utiles. Inscription aux examens C est sur votre ENT que vous aurez aussi à procéder à votre inscription aux examens, indispensable, les dates sont généralement fin octobre pour les semestres pairs, fin février pour les semestres impairs. La BIU et son fonctionnement Un détail, restez en règle avec la BIU, si vous ne rendez pas un livre dans les délais impartis, votre inscription aux examens sera bloquée, mettant en péril le bon déroulement de la parution de vos notes. Soyez vigilants sur ce point. ENT : 1 Affichage : 2 L affichage est parfois aussi en doublon sur les panneaux du département Arts (galerie entre le bâtiment A et le bâtiment extension) mais il n est pas systématique, l ENT est privilégié car plus pratique pour vous, consultable à distance ou chez vous. Enfin, dernier point, vous pouvez me joindre à mon adresse mail professionnelle : pascale.joly@univ-lille3.fr si besoin est.

21 21 U.F.R. Humanités, Département Arts 1. Le parcours en Etudes Cinématographiques à l Université Charles-de-Gaulle Lille 3 1. Présentation générale L Université Charles de Gaulle Lille-3 est l héritière de l'ancienne faculté des Lettres de l Université de Lille fondée à la fin du 19 e siècle. En 1895, la Faculté de Lettres compte un peu plus de 300 étudiants. La loi du 10 juillet 1896 constitue l'université de Lille, complétée par des institutions spécialisées. L université de Lille aurait donc l âge du Cinématographe. L Université Charles de Gaulle Lille-3 regroupe aujourd hui les unités d enseignement et de recherche dans les domaines des sciences humaines et sociales. Composante de l UFR «Arts et culture» jusqu en juin 2012, les Études cinématographiques constituent désormais un des parcours du Département Arts (comprenant par ailleurs : art et existence, danse et musique, arts de la scène, arts plastiques) de l UFR Humanités (regroupant les départements Arts, Langues et les cultures antiques, Lettres modernes, Philosophie et Sciences du langage). Les Études cinématographiques comprennent 3 années de Licence et un Master Recherche (Mention Création et étude des arts contemporains). Le nombre d étudiants inscrits en études cinématographiques avoisine les étudiants (dont une centaine en Master). Sept doctorants en Etudes cinématographiques sont actuellement inscrits à l Ecole doctorale SHS Lille Nord de France. Le service d études cinématographiques comprend 1 Professeur des Universités (Edouard Arnoldy), 3 Maîtres de Conférences (Jessie Martin, Géraldine Sfez, Dork Zabunyan), tous membres du Centre d Etude des Arts Contemporains (CEAC, EA 3587), ainsi que 2 PAST (Manu Gomez, Frédéric Pelle), 3 ATER et 1 contractuel (1/2 poste). La plupart des chercheurs associés à ce Master international sont également membres du Centre d Etude des Arts Contemporains (CEAC, EA 3587). 2. Sites associés Lille-3 (page d accueil) : Ecole doctorale SHS Lille Nord de France : CEAC: UFR Arts et culture (jusque septembre 2012) : UFR Humanités (en construction, à partir de septembre 2012) 3. Les Études cinématographiques et le Master international en Études cinématographiques et audiovisuelles à Lille-3 La spécificité du programme proposé à Lille-3 dans le cadre du Master international en Études cinématographiques et audiovisuelles tient en trois points principaux : - la singularité d objets de recherche, dont l animation, le jeu vidéo, les pratiques sonores du cinéma et l étude du cinéma parmi d autres images ou d autres pratiques artistiques aujourd hui (en lien avec les axes du CEAC) ;

22 - l interdisciplinarité «constitutive» du parcours en études cinématographiques, qui réunit des enseignants-chercheurs de formations différentes (histoire et esthétique du cinéma, philosophie et philosophie de l art) ; - l inscription conjointe au programme d enseignements relevant de disciplines le plus souvent séparées dans les cursus universitaires : le cinéma, les arts plastiques (et l histoire de l art), la musicologie (et la médiologie), l histoire et la philosophie qui, avec des outils méthodologiques propres, ont ici en commun d interroger l image (et le regard) et de placer au centre de leurs réflexions respectives quelques-unes de ses formes particulières (photo, peinture, cinéma, vidéo). Le Master en Études cinématographiques à Lille-3 s inscrit dans le prolongement d une formation en Licence où des bases solides sont posées en vue de deux années de master essentiellement dédiées à la recherche. Les fondements méthodologiques y sont rigoureusement établis, avec pour perspective de préparer les étudiants à une activité de recherche. Les cours d histoire et d esthétique du cinéma y côtoient des enseignements consacrés à l actualité de la théorie du cinéma. Les enseignements en Licence constituent le socle des domaines de spécialité spécifiquement abordés dans le cadre du Master en Études cinématographiques à Lille-3, essentiellement dévolu aux relations que le cinéma entretient avec d autres types d images : la télévision, la vidéo, internet, la photographie, le jeu vidéo, le cinéma d animation, l exposition du cinéma, etc. Les séminaires sont tous, à un moment ou un autre, consacrés à l étude des rapprochements et des écarts entre des images fixes et des images en mouvement (photo, vidéo, cinéma, jeu vidéo, etc.), entre des images animées et des images vidéo-ludiques, entre des expériences à la jonction du documentaire et de la fiction, etc. Quelques expériences artistiques et quelques façons d affronter le cinéma, toutes particulières, sont régulièrement au cœur des séminaires proposés dans le cadre du Master à Lille-3. Sans dresser une quelconque liste d objets privilégiés, on peut relever l étude approfondie d expériences aux frontières du cinéma et des arts plastiques (de Bruce Nauman à Harun Farocki, Gerhardt Richter ou Ken Jacobs) et les essais de cinéastes qui, hier ou aujourd hui, pensent le cinéma (de Jean Epstein à Jean Renoir, Roberto Rossellini ou Jean-Luc Godard), sans oublier les travaux de philosophes qui nous aident à penser le cinéma (de Walter Benjamin à Michel Foucault, Gilles Deleuze ou Jacques Rancière). L une des spécificités de ce programme est sans doute l étude de quelques domaines singuliers, une fois encore s entrecroisant tous, comme le film d animation, le jeu vidéo, les pratiques documentaires contemporaines et les pratiques sonores du cinéma. Le Master en Études cinématographiques à Lille-3 réunit des chercheurs dont les sensibilités pourtant différentes s accordent parfaitement pour dire les enjeux posés par l étude du cinéma parmi d autres images et d autres pratiques artistiques aujourd hui. Le parcours en études cinématographiques réunit des enseignants-chercheurs de formations différentes (histoire et esthétique du cinéma, philosophie et philosophie de l art) qui partagent ce souhait d éviter le double écueil d une interdisciplinarité trop flottante empêchant de saisir avec précision les interférences entre les médiums, et celui d un repli du cinéma sur luimême qui lui ferait manquer la richesse des rencontres avec les autres images. Les activités de recherche des enseignants-chercheurs en Études cinématographiques ont toujours été en ce sens, aussi bien lors des séminaires doctoraux que des journées d études. Outre un séminaire doctoral annuel intitulé Jusqu où va le cinéma (depuis 2010), les chercheurs en Études cinématographiques organisent régulièrement des Journées d Études, qui donnent un aperçu des programmes conduits à Lille-3 dans le cadre des activités du CEAC : , «La 3D : prises et déprises», Journée d'etudes organisée par Nathalie Delbard et Dork Zabunyan (CEAC, Université de Lille-3), en partenariat avec le Pôle Images Nord-Pas de Calais et Le Fresnoy - Studio national des arts contemporains ; , «Traces et rémanences dans les œuvres d'animation», Journée d'etudes organisée par Jessie Martin (CEAC, Université de Lille-3) en partenariat avec le Pôle Images Nord-Pas de Calais et Le Fresnoy - Studio national des arts contemporains ; 22

23 - 2011, «Cinéma et jeu vidéo : pratiques sous influence», Journée d'etudes organisée par Dork Zabunyan (CEAC, Université de Lille-3), Gare Saint-Sauveur, Lille, en collaboration avec le Pôle Images - Nord-Pas de Calais ; : «Rendre sensible (pratiques savantes/pratiques artistiques)», Journée d'etudes organisée par Edouard Arnoldy (CEAC, Université de Lille-3) et Carl Havelange (ULg), en partenariat avec l Université de Liège et le FNRS ; : «L'image réinventée : Cinéma, film d'animation, photographie, vidéo, télévision, "nouvelles images"», Journée d'etudes organisée par Edouard Arnoldy (CEAC, Université de Lille-3) et Dick Tomasovic (ULg), en partenariat avec l Université de Liège et le FNRS ; 2009, «Image mouvante et fixe : l'exposition entre cinéma et photographie», Journée d'etudes organisée par Nathalie Delbard et Dork Zabunyan (CEAC, Université de Lille-3), ERSEP, Tourcoing ; : «Qu est-ce qu'une mauvaise exposition? L'exposition et ses mutations», Journée d'etudes organisée par Dork Zabunyan (CEAC, Université de Lille-3) ; : «La télévision qui vient», Journée d'etudes organisée par Dork Zabunyan (CEAC, Université de Lille-3) : «Art et mémoire», Journée d'etudes organisée par Edouard Arnoldy (CEAC, Université de Lille-3) (Consulter le lien : 23 Le programme du Master international en Études cinématographiques et audiovisuelles déborde les frontières de la discipline. Il met en relief les liens déjà existants entre les chercheurs en cinéma et des chercheurs du Centre d Etude des Arts Contemporains (en Arts plastiques et en Musicologie) ou dans des domaines d enseignement et de recherche d autres départements et d autres centres de recherche (en Histoire et en Philosophie). Dans le cadre de journées d études ou de séminaires doctoraux notamment, la proximité de l ensemble de ces chercheurs a été éprouvée. Il s agit donc bien d offrir aux étudiants inscrits dans ce Master international la possibilité de bénéficier de ces échanges et de suivre des cours inscrits au programme des études cinématographiques et/ou des séminaires relevant d autres domaines. La conjonction de ces disciplines distinctes est l occasion de réaffirmer, quel que soit le mode d approche ou la perspective privilégiée, que l image est bien le centre des préoccupations de l ensemble de ces chercheurs. Ces parcours aux frontières du cinéma constituent sans doute une des principales richesses du programme proposé à Lille, complété des activités de recherche conduites le plus souvent en collaboration avec des partenaires locaux (le Pôle Images NPDC et Le Fresnoy).

24 24 2. Présentation des enseignants 1. Enseignants du Parcours Etudes cinématographiques A l exception de Gil Bartholeyns, membre des laboratoires IRHIS (Institut de Recherches Historiques du Septentrion, UMR 8529 : à l Université Lille-3, tous les autres enseignants-chercheurs participant à ce programme sont membres du CEAC (Centre d Etude des Arts Contemporains : Edouard ARNOLDY Professeur à l Université Lille-3, où il est responsable du Master en Études cinématographiques et coordinateur du Master international en Etudes cinématographiques et audiovisuelles. Il a été directeur adjoint du Centre d Étude des Arts Contemporains de 2008 à Il s intéresse aux pratiques sonores du cinéma depuis quelques années maintenant. Il a notamment publié en 2004 Pour une histoire culturelle du cinéma. Au-devant de «scènes filmées», de «films chantants et parlant» et de comédies musicales (Préface de François Albera, Liège, Céfal). Il est par ailleurs l auteur de plusieurs livres prioritairement concernés par les liens du cinéma à d autres formes d images, dont Histoires croisées des images. Objets et méthodes (direction, Montréal, CINéMAS, vol. 14, n 2-3, 2004), À perte de vues. Images et «nouvelles technologies», d hier et d aujourd hui (Bruxelles, Labor, coll. «Images», 2005) et Gus Van Sant. Le cinéma entre les nuages (Crisnée, Yellow Now, 2009). Il vient de terminer un ouvrage dédié à The River (Le Fleuve) de Jean Renoir. Page personnelle : Jessie MARTIN est maître de conférences. Elle travaille en Esthétique et Théorie du cinéma. Elle explore les problématiques descriptives de l analyse de film et se penche sur des problèmes de représentation autour des notions d image et d espaces singuliers, notamment dans le cinéma d animation. Elle s intéresse également aux problématiques esthétiques liées à la couleur. Elle a publié en 2011 un essai, Vertige de la description. L analyse de films en question chez Forum/ Aléas, et un manuel à l attention des étudiants Décrire le film de cinéma. Au départ de l analyse aux PSN. Elle prépare un ouvrage sur la couleur au cinéma à paraître chez Armand Colin en Page personnelle : Géraldine SFEZ est Maître de Conférences en études cinématographiques. Ses recherches portent sur l esthétique, la théorie et l histoire des arts visuels modernes et contemporains, et s articulent autour de deux axes : le rapport entre les pratiques artistiques contemporaines et les pratiques mémorielles d une part ; les relations entre cinéma, peinture, vidéo et photographie d autre part. Elle a notamment publié «Natures mortes au cinéma : l intranquillité des choses» dans la revue Ligéia (n 77, 2007), «L image cinématographique comme support de citation» dans la revue CinémAction (n 122, 2007), «Bruce Nauman, Samuel Beckett : le corps mis à l épreuve de la répétition», Limit(e) Beckett (n 0, 2010). Page personnelle : Dork ZABUNYAN est maître de conférences en études cinématographiques à l université de Lille- 3. Ses recherches portent sur une tentative de redéfinition du cinéma comme «art impur», suivant deux axes. D une part, il s agit d étudier les relations contrariées relations de composition, non d opposition qui ont pu exister dans l histoire, et jusqu à nos jours, entre l art du cinéma et les différentes formes de la culture populaire (bande dessinée, séries télévisées, clips, jeux vidéo, etc.). De l autre, il s agit d analyser les nouvelles modalités de présentation des images en mouvement, hors

25 du dispositif traditionnel de la salle obscure, et les effets que ces «migrations» de l image sont susceptibles de provoquer en retour sur quelques gestes fondamentaux du cinématographe (notamment le cadrage, le montage et, en conséquence, la narration). Il poursuit par ailleurs, dans le sillage de travaux consacrés à la pensée des images chez Jacques Rancière et Michel Foucault, l étude des manières dont se construit à l écran une mémoire (individuelle, collective), et les façons dont les genres cinématographiques la fiction, le documentaire s en trouvent modifiés et définis autrement. Il est l auteur d articles parus notamment dans Critique, Trafic, les Cahiers du cinéma et Art Press. Il est l auteur de Gilles Deleuze Voir, parler, penser au risque du cinéma (Paris, PSN, 2007), Foucault va au cinéma (avec Patrice Maniglier, Paris, Bayard, 2011) et Les Cinémas de Gilles Deleuze (Paris, Bayard, 2011). Page personnelle : 25 Jacques BESSON est chargé de cours à Lille depuis une dizaine d années. Ses domaines de spécialité sont principalement le droit de la communication audiovisuelle (approche historique, communication audiovisuelle, droit communautaire, et règles relatives aux programmes) et le soutien aux industries de programmes (COSIP). 2. Enseignants d autres parcours intégrés au programme du Master international (Arts plastiques, histoire, musicologie, philosophie) Gil BARTHOLEYNS est historien, titulaire de la chaire visual studies du CNRS et maître de conférences à l Université Lille 3 où il coordonne la spécialité Etudes visuelles de l école doctorale. Il a publié notamment Image et transgression au Moyen Âge (PUF, 2008), La Performance des images (Bruxelles, 2010), Cultures matérielles. Anthologie raisonnée (Editions de la Maison des sciences de l homme, 2011) et Les apparences de l homme (Civilisations, 2011). Domaine de recherche : Histoire et anthropologie des images occidentales ; Culture matérielle de l Europe préindustrielle. Page personnelle : Anne BOISSIERE est Professeur à l Université Lille-3, où elle a été directrice du CEAC entre 2007 et Elle enseigne l esthétique et la philosophie de l art à l Université Lille-3. Elle a récemment publié La Pensée musicale de Theodor W. Adorno, l épique et le temps (Paris, Beauchesne, 2011) et codirigé avec Catherine Kintzler Approche philosophique du geste dansé, de l improvisation à la performance (Presses Universitaires du Septentrion, 2006). Page personnelle : Nathalie DELBARD est critique d'art et maître de conférences en arts plastiques à l'université Lille 3 ; elle enseigne également à l'école supérieure d'art de Tourcoing. Ses recherches portent principalement sur les dispositifs de production, d'exposition et de diffusion de la photographie contemporaine, considérés notamment dans leurs dimensions historique, juridique et politique. Membre du CEAC, elle développe actuellement une réflexion sur les modalités de perception, de mise en espace et/ou de mise à disposition de l'image fixe. Elle a publié en 2009 un ouvrage sur l'œuvre de Jean-Luc Moulène (éditions Pétra), et prépare un livre sur les rapports entre images et vision binoculaire. Page personnelle : Véronique GOUDINOUX est historienne et théoricienne de l art contemporain. Elle a soutenu en 1996 un doctorat sur les enjeux et les débats de l art italien après Ses recherches se sont depuis orientées : 1.vers l étude des pratiques artistiques (arts plastiques et visuels) de groupe (que signifie «œuvrer» à plusieurs?) au XXe siècle ; 2.vers les questions relatives au problème de la sexuation de la pratique artistique contemporaine (qu est-ce qu implique ou que complique l ambition de créer, d être, au sens fort du terme, auteur, ou auteure, au masculin, au féminin?).

26 26 Page personnelle : Vincent TIFFON est Professeur à l Université de Lille-Nord de France, chercheur en musicologie au CEAC (centre d Etude des Arts Contemporains). Il est fondateur et responsable de l'équipe EDESAC ( Entre septembre 2011 et septembre 2012, il est accueilli en délégation CNRS au sein de l équipe APM (IRCAM) à Paris. Spécialiste de l histoire, l analyse et l esthétique des musiques électroacoustiques et mixtes, il développe parallèlement des travaux sur la génétique musicale et la médiologie musicale (étude des interactions entre les innovations techniques et les inventions musicales). Il est publié dans Les Cahiers du Cirem, Les Cahiers de Médiologie, Contemporary Music Review, Musurgia, Analyse musicale, DEMéter, NUNC, Filigrane, LIEN, MEI (Médiation et communication), AAA/TAC (Acoustic Arts & Artifacts/Technology, Aesthetics, Communication), SMC (Sound and Music Computing Conference). Page personnelle : 3. Les bureaux des enseignants de l UFR Humanité, Département Arts n bureaux Enseignants Téléphones ** ** A3 145 Edouard ARNOLDY Laurent GUIDO 6247 A3 307 Christian HAUER A3 510 Vincent TIFFON A3 585 Géraldine SFEZ Dork ZABUNYAN A3 589 Jessie MARTIN Frédéric PELLE Manu GOMEZ A4 581 Anne BOISSIERE 70 86

27 27 3. Parcours Master 1 et 2 : tableaux récapitulatifs. MASTER 1 semestre 1 L étudiant choisit un cours dans chacun des cinq modules du programme proposé par l Université Lille 3 1. L U.E. 5 vous propose également des ateliers : si votre choix s y porte, vous devez obligatoirement prendre 2 ateliers et non 1, vous privilégierez les 2 niveaux d un même atelier. La liste des cours d enseignants extérieurs au parcours cinéma n est évidemment pas arrêtée. + Obligatoire mais non capitalisé : «Méthodologie de la recherche» Cours de 8 heures pour l initiation au travail de recherche. 1 Les étudiants souhaitant suivre un autre séminaire de master que ceux mentionnés dans le programme proposé peuvent en faire la demande au directeur du Master international.

28 MASTER 1 semestre 2 L étudiant choisit un cours dans chacun des cinq modules du programme proposé par l Université Lille Obligatoire mais non capitalisé : Recherche : Mémoire de 40 pages à l issue de la fin d année du master 1 pour les étudiants originaires de Lille 3. 2 Les étudiants souhaitant suivre un autre séminaire de master que ceux mentionnés dans le programme proposé peuvent en faire la demande au directeur du Master international.

29 29 MASTER 2 semestre 3 L étudiant choisit un cours dans chacun des trois modules du programme proposé par l Université Lille 3 3. L U.E. 3 vous propose également des ateliers : si votre choix s y porte, vous devez obligatoirement prendre 2 ateliers et non 1, vous privilégierez les 2 niveaux d un même atelier. + Obligatoire mais non capitalisé : Méthodologie de la recherche en Master 2 Introduction à la recherche, séances du séminaire de recherche en Etudes Cinématographiques du C.E.A.C. Collectif sous la responsabilité de Laurent Guido, Edouard Arnoldy, Jessie Martin 3 Les étudiants souhaitant suivre un autre séminaire de master que ceux mentionnés dans le programme proposé peuvent en faire la demande au directeur du Master international.

30 30 MASTER 2 semestre 4 L étudiant choisit un cours dans chacun des trois modules du programme proposés par l Université Lille 3 4. Mémoire final du Master L étudiant réalisera au cours de l année de M2 son mémoire final de Master (30 ects). 4 Les étudiants souhaitant suivre un autre séminaire de master que ceux mentionnés dans le programme proposé peuvent en faire la demande au directeur du Master international.

31 31 4. Renseignement utiles : Contacts, liens. 1. Contacts Adresse : Université Lille 3 UFR Humanités - Département Arts Domaine Universitaire du Pont de Bois BP Villeneuve d'ascq Cedex France Coordinateur du Master International : Laurent Guido (PR): laurent.guido@univ-lille3.fr Secrétariat du Master : Pascale Joly : pascale.joly@univ-lille3.fr Services d accueil central (dont le bureau d accueil des étudiants internationaux BAEI) Procédures d'inscription : Campagne de recrutement en Master pour l année : Consultez la page dédiée aux modalités de candidature en master CEAC en suivant ce lien 2. Quelques liens utiles : Le département Arts : Plan de Lille : France?strLocid=32NDJwaW01NTkwMDAxMGNOVEF1TmpNM01UZz1jTXk0d05qTXdNZz09 Transports : métro (Transpole) : arrêt Pont-de-Bois (Ligne 1, direction «4 Cantons») :

32 Programmes 32

33 33 Master 1 Semestre 1 Semestre 1 : U.E. 1 Théorie de l art et esthétique du cinéma : Philosophie 1 : «La création» (24 heures CM) Enseignante : Anne Boissière. Ce cours vise à interroger et problématiser l idée de création, en relation avec la tradition philosophique et avec la spécificité que représente le vingtième siècle, tant du point de vue théorique que de la réflexion des artistes. Bibliographie succincte : Premiers éléments bibliographiques Theodor W. Adorno, Philosophie de la nouvelle musique, traduit de l allemand par Hans Hildenbrand et Alex Lindenberg, Paris, Gallimard, 1962 ; Mahler, une physionomie musicale, traduit de l allemand et présenté par Jean-Louis Leleu et Theo Leydenbach, Paris, Minuit, 1976 Alain, Système des Beaux-Arts, livre premier «De l imagination créatrice», Paris, Gallimard, p Hannah Arendt, La condition de l homme moderne, «L œuvre», traduit de l anglais par Georges Fradier, préface de Paul Ricoeur, Paris, Calmann-Lévy, 1961 et 1983, p Henri Bergson, «Le possible et le réel», La pensée et le mouvant, Œuvres, Paris, PUF, édition du centenaire, 1959, p Kant, Critique de la faculté de juger, édition publiée sous la direction de Ferdinand Alquié, Paris, Gallimard folio, 1985, paragraphes 43 à 50, p Maurice Merleau-Ponty, «Le langage indirect et les voix du silence», Signes, Gallimard, 1960, folio essais, p Platon, Ion, République (livre X, du début-608c) ; Le Banquet, Hatier poche, 2007 (texte intégral et dossier par Marianne Massin) Gilbert Simondon, Du mode d existence des objets techniques, Paris, Aubier, 1989, notamment 1ère partie et «Pensée esthétique et pensée technique» dans le chapitre 2 de la 3ème partie Modalités d évaluation : contrôle continu. Il sera demandé à l étudiant de rédiger un essai en deux heures à partir d une question générale en relation avec la thématique du cours Philosophie 2 : «L esthétique du choc» (24 heures CM) Enseignante : Géraldine Sfez. A partir d une Lecture du texte de Walter Benjamin, «L œuvre d art à l époque de sa reproductibilité technique», ce cours propose d interroger l idée d une «esthétique du choc». Pour Walter Benjamin, le film, comme la toile cubiste ou futuriste avant lui, est un «projectile». En assaillant le spectateur à coups de changements de lieux et de plan, le cinéma opère ainsi le passage d une esthétique de la contemplation à une esthétique du choc. Ce cours s attachera à cerner les contours d une telle esthétique en s appuyant sur des études de cas précis et en portant une attention particulière aux effets de montage, de

34 34 répétition et de mise en boucle, ainsi qu aux effets de choc et d intensité qui s y trouvent à l œuvre. Eléments de Bibliographie : Agamben, Giorgio, «Notes sur le geste», dans Moyens sans fins, Paris, Payot et Rivages, coll. «Rivages poche. Petite bibliothèque», Benjamin, Walter, «L œuvre d art à l époque de sa reproductibilité technique» et «Quelques thèmes baudelairiens», in Œuvres III, Paris, Gallimard, coll. «Folio Essais», Foster, Hal, Le Retour du réel. Situation actuelle de l avant-garde, Bruxelles, La Lettre Volée, coll. «Essais», Freud, Sigmund, «Au-delà du principe de plaisir» in Essais de psychanalyse, Paris, Petite Bibliothèque Payot, Kracauer, Siegfried, Théorie du film. La Rédemption de la réalité matérielle, Paris, Flammarion, Cinéma et Art contemporain (24 heures CM) Enseignant : Dork Zabunyan Objectifs Penser l évolution actuelle du cinéma qui, parallèlement à sa projection en salle, se retrouve toujours plus exposé dans les musées ou les galeries d art. Maîtriser, dans ce contexte, les approches esthétiques et institutionnelles. Programme Le cours se propose de faire un état des lieux de ce que l on nomme habituellement la «migration des images» de la salle au musée. Partant du constat que, depuis une vingtaine d années, de plus en plus de cinéastes investissent un lieu qui n est traditionnellement pas destiné à la diffusion de leur art, il s agira d étudier les transformations que ce passage vers l institution muséale induit en termes de montage, de cadrage, de mixage ou encore de narration. Plusieurs études de cas viendront accompagner un examen qui entend parallèlement construire les outils théoriques permettant de décrire et de penser un travail sur les images à la croisée du cinéma et de l art contemporain : à la migration des images animées se joindra en ce sens une étude de la mutation des concepts de cinéma qui correspondent à ces images. Un préambule historique explorera la notion de «musée du cinéma», ainsi que les premières expériences d exposition du cinéma, ce qui favorisera en retour la compréhension des transformations en cours qui affectent le monde des images en mouvement. Bibliographie Raymond Bellour, Le Corps du cinéma Hypnoses, émotions, animalités, Paris, POL, 2009., La Querelle des dispositifs, Paris, POL, Philippe-Alain Michaud (dir.), Le Mouvement des images, Paris, éd. du Centre Pompidou, Dominique Païni, Le Temps exposé Le cinéma de la salle au musée, Paris, éd. Des Cahiers du cinéma, Dork Zabunyan, «Dispersion du cinéma et extension du domaine filmique», Art Press 2, «Cinémas contemporains», n 21, mai-juillet Cahiers du cinéma, dossier «Art et Cinéma», novembre 2012, n 683.

35 35 Semestre 1 : U.E. 2 Patrimoine, archives et histoire du Cinéma Histoire croisée des images : «la Musique au cinéma» (24 heures CM) Enseignant : Laurent Guido Objectifs : Offrir les outils de compréhension historique et d analyse critique des procédés les plus couramment employés dans la musique de film, et dans le recours à des musiques préexistantes. Programme : A partir du tournant vers l institutionnalisation du film, au cours des années 1910, la musique a progressivement servi les impératifs narratifs comme spectaculaires du cinéma. Ce cours propose d interroger plus spécifiquement l existence d un modèle «classique» de musique de film, fondé sur certaines procédés (thèmes récurrents et variés, soulignement rythmique des actions) destinés non seulement à accompagner, mais également à renforcer, mettre en évidence, ou encore expliciter les actions montrées à l écran. Si ce modèle a marqué plus particulièrement le cinéma hollywoodien des années (qu on abordera donc de manière privilégiée), il a conditionné en profondeur les pratiques et les réflexions des compositeurs et des cinéastes, jusqu à aujourd hui. On étudiera par ailleurs les possibles «contre-modèles» à cette conception dominante de la musique au cinéma, ainsi que les multiples relations intermédiales nouées par le film avec diverses formes de musique préexistante (chansons populaires, morceaux du répertoire symphonique ) Apparue dès l époque muette, cette dernière tendance a pris une place considérable dans les pratiques sonores du cinéma contemporain. Aucune connaissance musicale spécifique n est exigée pour pouvoir suivre cet enseignement. Une journée d étude sur la problématique du «moment musical» au cinéma, liée aux enjeux fondamentaux du cours, aura lieu le mercredi 19 novembre. Bibliographie : Un dossier de textes essentiels (articles, chapitres d ouvrage) sera distribué sous une forme électronique aux participants. Évaluation : Exposé oral et dossier. Territoires de l art contemporain : «Droit d auteur et art contemporain» (24 heures CM) Enseignante : Nathalie Delbard Les cours se déroulent à l antenne Arts plastiques de Tourcoing. Si depuis les années 60 en particulier, la notion d auteur a été fortement remise en cause par les artistes et les théoriciens (en premier lieu R. Barthes et M. Foucault), ce séminaire vise à redéployer cette question à partir de la diversité des places accordées à l artiste au sein des pratiques contemporaines, en mobilisant les cas les plus symptomatiques d une possible redéfinition de l auteur (art par délégation, œuvres collectives ou participatives, art brut ). Cette réflexion sera notamment menée à partir du droit d auteur, le cadre juridique ainsi posé permettant de mettre en exergue les enjeux esthétiques et sociopolitiques de ces différentes configurations auctoriales.

36 Semestre 1 : U.E. 3 Sociologie, droit, économie et technologie du cinéma et de l audiovisuel Propos sur le Cinéma : «Théories du cinéma, écrits d artistes et critiques de films» (24 heures CM) Enseignant : Edouard Arnoldy 36 Objectifs : Dans la foulée du cours de Licence 3 dédié à «Image, histoire, mémoire», il va essentiellement s agir d envisager une forme particulière d expérience cinématographique pouvant s inscrire dans le cadre d une réflexion sur les liens entre histoire, mémoire, cinéma : le «found footage». Une attention particulière sera accordée à des expériences contemporaines de «remploi» ou de «found footage» dans l art et dans le cinéma contemporains, qui prennent appui sur «l image-document» ou l image d archive. Programme : Rappels et ouvertures (histoire, théorie) approfondissant les liens entre histoire et cinéma (ou photographie) Étude de textes et d œuvres interrogeant la pratique du «remploi» dans l art et dans le cinéma contemporains. Exposés oraux des étudiants. Semestre 1 : U.E. 4 Culture visuelle, histoire culturelle et anthropologie des images Pratiques, théories contemporaines des images documentaires (24 heures CM) Enseignant : Edouard Arnoldy Objectifs : Dans le prolongement direct du cours de Licence 3 dédié à «Image, histoire, mémoire», il va essentiellement s agir d envisager une forme particulière d expérience cinématographique pouvant s inscrire dans le cadre d une réflexion sur les liens entre histoire, mémoire, cinéma : le «film documentaire». Ce cours n appréhendera certainement pas «le documentaire» sous une forme encyclopédique. Plusieurs ouvrages et de nombreux articles s y consacrent notamment les travaux de François Niney (parmi les pré-requis de ce séminaire). Il va plutôt s agir d envisager le documentaire comme une question, c est-à-dire un domaine au fond mal défini (on parle indistinctement de cinéma documentaire, de documents audiovisuels, de films d auteur ou de création), pas toujours distinct de la fiction, posant des choix (esthétiques, politiques), à la croisée de plusieurs «régimes d images» (photo, cinéma, télévision, vidéo, téléphone mobile, que sais-je encore?). Dans un premier temps, il va s agir de s interroger sur l idée de documentaire née avec la photographie et qui trouve son prolongement dans les développements du cinéma. De cette «fonction documentaire» de la photographie et du cinéma, il en sera question notamment pour dire combien cette vision «positive» des images est historiquement liée à l idée d un art des images. Walker Evans évoque très bien ce lien paradoxal entre l art et le document, quand il écrit en 1971 : «L'art n'est jamais un document mais il peut en adopter le style». L imagedocument n est donc peut-être rien d autre que le point d intersection des interrogations autour de la «question documentaire». Programme : L idée de documentaire, l image-document. Le documentaire et le cinéma en question(s), l autoportrait en cinéma. Exposés oraux des étudiants. Journée rencontre avec Vincent Dieutre, journée d étude et master class en novembre

37 37 Bibliographie : François Brunet, La naissance de l idée de photographie, Paris, PUF, Teresa Castro, La pensée cartographique des images. Cinéma et culture visuelle, Lyon, Aléas Cinéma, Georges Didi-Huberman, L Album de l art à l époque du Musée imaginaire, Paris, Éditions Hazan / Musée du Louvre, 2013, pp Tom Gunning, «Des films qui expriment le temps», Paris, Trafic, n 59, septembre Siegfried Kracauer, Théorie du film [1960], Paris, Flammarion, 2010, pp , pp et pp Olivier Lugon, Le style documentaire. D August Sander à Walker Evans, Paris, Macula, François Niney, L épreuve du réel à l écran, Paris-Bruxelles, De Boeck, 2e édition, François Niney, Le documentaire et ses faux-semblants, Paris, Klincksieck, Évaluation : Exposé oral et dossier. Semestre 1 : U.E. 5 Pratiques contemporaines de l Image Théories et pratiques contemporaines des formes fictionnelles (24 heures CM) Enseignante : Jessie Martin Objectifs : Réfléchir à la complexité de la question du fictionnel dans différentes œuvres. Contenu de la formation : On rappellera les écueils d une opposition fiction / documentaire en examinant les aspects documentaires de la fiction et les aspects fictionnels du documentaire. Puis on étudiera des films qui travaillent des états limites de la fiction. Enfin nous interrogerons des œuvres qui produisent des images fictives ou des «fictions d images». On abordera entre autres le travail d Avi Mograbi, Rithy Panh, Nick Park, Martin Arnold, Robert Flaherty, Artavadz Pelechian, Yervant Gianikian et Angela Ricci Lucchi Bibliographie succincte : (à titre indicatif, une bibliographie plus complète sera communiquée à la rentrée) Roger Odin, De la Fiction, Bruxelles, De Boeck Université, Thomas Pavel, Univers de la fiction, Paris, Le Seuil, Jean-Marie Schaeffer, Pourquoi la fiction?, Paris, Le Seuil, Emmanuel Siety, Fictions d images, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, 2009 François Niney, L Épreuve du réel à l écran, Bruxelles, De Boeck Université, Charles Lyant, Roger Odin (dir.), Cinémas et Réalités, Saint-Etienne, CIEREC, Jean-Jacques Wunenburger, L Imaginaire, Que sais-je?, Paris, PUF, Modalités d évaluation : Travail écrit (dossier et travail sur table). Si votre choix se porte sur les ateliers, il vous faut impérativement en prendre deux (1 cours = 2 ateliers), autant que possible, un atelier de chaque niveau. Atelier d'écriture et de réalisation 1 : formes fictionnelles (niveau 1) «Initiation à la pratique du cinéma d animation» Enseignant : Manu Gomez PRE-REQUIS : Concernant les M1 et M2, le pré-requis est souhaité pour la manipulation du logiciel PHOTOSHOP. Si ce n est pas le cas, il est possible à l étudiant de s initier à ce logiciel en suivant les cours de Licence3 en élève libre.

38 38 Objectifs 1 : Lors de cette année, les étudiants devront : soit continuer leur petit film commencé l'année dernière en L3, soit en réaliser un nouveau avec l'utilisation de nouveaux outils spécifiques à l'animation. Techniquement le squelette devra se mouvoir de façon plus correcte, dans les mouvements que l'étudiant aura conçus au préalable, en fonction de son scénario. Les décors devront être plus sophistiqués (soit d'après photos tirées de Google ou autres, soit de photos personnelles téléchargées, soit de dessins personnels ou pas). Plusieurs cadres devront être présents dans la ou les différentes séquences (cf. codes cinématographiques) avec choix de différents plans : de larges à gros et très gros, justifiés. Sans oublier qu'un squelette vu de face et de 3/4 profil sera fourni. Ce qui implique bien évidemment de nouveaux points de vue et une nouvelle mise en scène. NB : Pour les nouveaux étudiants M1 qui n'auraient pas suivis les cours de Licence, un dossier constitué d une note d'intention, d'un synopsis, d'un scénario et d'un story-board ou d'un découpage technique de leur projet sera demandé. Ce TD s'inscrit dans le prolongement du TD atelier OPTION : ECRITURE CRITIQUE Objectifs 2 : Dès que leur dossier sera totalement constitué, les étudiants continueront ou commenceront (pour les nouveaux) la réalisation de leur film afin de préparer un maximum d éléments (graphiques, photographiques) qui s intégreront dans leur projet et qui sera mené à bien cette année et complètement terminé l'année suivante en M2. BIBLIOGRAPHIE Des références de livres, d'ouvrages et de films seront données pendant l'année. Un cours polycopié d'une cinquantaine de pages APPROCHE DU CINEMA D ANIMATION, DU FILM «IMAGE PAR IMAGE» sera remis aux étudiant L3 et aux nouveaux M1. Atelier d'écriture et de réalisation 3 : formes fictionnelles (niveau 2) : Initiation à la pratique du cinéma d animation Enseignant : Manu Gomez Pré-requis : Concernant les M1 et M2, le pré-requis est souhaité pour la manipulation du logiciel PHOTOSHOP. Si ce n est pas le cas, il est possible à l étudiant de s initier à ce logiciel en suivant les cours de Licence3 en élève libre. Objectifs : Ce cours sera le prolongement du TD en M 1. Il consistera à continuer le tournage de leur projet en cours afin de le finaliser complètement. Le squelette devra marcher en traversant l écran et se métamorphoser au gré de l imagination de l étudiant et au fur et à mesure qu il avance dans le temps, dans une mise en scène personnelle et aboutie (faisant suite au travail de l'année précédente). Il faudra aussi que la bande son soit conçue et réalisée. Idéalement, la musique pourrait être réalisée avec la collaboration des étudiants en musique. Bibliographie Des références de livres, d'ouvrages et de films seront données pendant l'année. Un cours polycopié d'une cinquantaine de pages APPROCHE DU CINEMA D ANIMATION, DU FILM «IMAGE PAR IMAGE» sera remis aux étudiant L3 et aux nouveaux M1. Atelier d'écriture et de réalisation 2 : images documentaires (niveau 1) "Documentaire et fiction en prises de vues réelles" Enseignant : Frédéric Pelle

39 Cet atelier propose d encadrer l écriture individuelle d un scénario de court-métrage de fiction ou de documentaire, au cours de 5 séances de 4 heures. Il se veut avant tout un encouragement à la pratique du cinéma, depuis l écriture jusqu à la projection d un courtmétrage. L objectif est double : Constituer un dossier type de production (scénario, synopsis, note d intention) Réaliser le film, qui sera projeté lors de la journée de projection des films d étudiants qui a lieu au mois de mai au Kino. Des contraintes et des directions : La durée du film est limitée à 15 minutes. S il s agit d un documentaire, le thème imposé est celui du portrait, qu il faut entendre au sens large : d un individu, d un lieu, d une communauté archives, interviews, faux portrait, journal intime, la forme est totalement libre. S il s agit d une fiction, il peut s agir de réaliser le scénario écrit en L3 pour ceux qui ont suivi mon atelier l an dernier, ou bien de partir sur un nouveau scénario. Une seule contrainte : travailler sur un scénario objectivement réalisable. Le calendrier : Les 5 séances sont prévues entre le lundi 10 novembre et le lundi 8 décembre. Cela vous laisse suffisamment de temps pour réaliser votre film avant la projection du mois de mai au Kino. Un soutien logistique et technique : Les étudiants suivant cet atelier sont prioritaires quand à la possibilité d utiliser le matériel du CAVUL (matériel de prise de vue/de son, matériel électrique, salle de montage et de mixage). Ils bénéficient en outre de l accompagnement de Patrice Théry (en fonction de ses disponibilités bien entendu, ne vous y prenez pas au dernier moment) sur la prise en main de ce matériel. Evaluation : La note attribuée au terme de l atelier concerne le dossier. 39 Atelier d'écriture et de réalisation 4 : images documentaires (niveau 2) (20 heures TD) "Documentaire et fiction en prises de vues réelles" Enseignant : Frédéric Pelle Cet atelier propose d encadrer l écriture individuelle d un scénario de court-métrage de fiction ou de documentaire, au cours de 5 séances de 4 heures. Il se veut avant tout un encouragement à la pratique du cinéma, depuis l écriture jusqu à la projection d un courtmétrage. L objectif est double : - constituer un dossier type de production (scénario, synopsis, note d intention) et réaliser le film, qui sera projeté lors de la journée de projection des films d étudiants qui a lieu au mois de mai au Kino. - Des contraintes et des directions : La durée du film est limitée à 20 minutes. Le sujet est libre. Une seule contrainte : travailler sur un scénario objectivement réalisable étant donné que le film doit obligatoirement être tourné et projeté en mai au Kino. Le calendrier : Les 5 séances seront regroupées entre le lundi 22 septembre et le lundi 3 novembre, de manière à laisser suffisamment de temps à la fabrication du film (préparation/production/réalisation/montage et mixage). Je serai disponible tout au long de l année pour accompagner votre travail sous forme d échanges de mail ou de rendez-vous à Lille 3 les lundis et les mercredis où je viendrai animer l atelier des L3 (premier et second semestre).

40 40 Atelier de scénario 1 : scénarisation du réel "Exercices de problématisation et d'analyses de films 1" (20 heures TD) Enseignante : Géraldine Sfez Il s'agira pour les étudiants de s'exercer à concevoir et développer des problématiques et à analyser des films dans le cadre de leur mémoire. Ces travaux donneront notamment lieu à des présentations orales durant lesquelles les étudiants mettront à l'épreuve leurs avancées. Cet atelier favorisera les échanges entre les étudiants-chercheurs. Atelier de scénario 2 : scénarisation du réel «Exercices de problématisation et d'analyses de films 2» (20 heures TD) Enseignante : Jessie Martin Il s'agira pour les étudiants de s'exercer à concevoir et développer des problématiques et à analyser des films dans le cadre de leur mémoire. Ces travaux donneront notamment lieu à des présentations orales durant lesquelles les étudiants mettront à l'épreuve leurs avancées. Cet atelier favorisera les échanges entre les étudiants-chercheurs. Atelier d'écriture 1 : analyse et critique de films «Point de vue critique». (20 heures TD) Enseignante : Géraldine Sfez Ce cours propose de s exercer très pratiquement à l écriture de critique de film tout en partant d une interrogation sur la notion de «point de vue critique» à partir de l analyse de textes critiques ou théoriques. Quelle est la place du critique? Quelle distance doit-on établir avec son objet? A partir de quel lieu parle-t-on? On insistera sur la notion de point de vue dans la mesure où il n est pas seulement question d une position, mais aussi d une vision, d un regard. On s interrogera à cet égard sur les conditions dans lesquelles on voit les films et sur la façon dont celles-ci déterminent notre perception (expérience de la vision unique en salle versus usage du dvd). On s interrogera enfin sur le geste critique qui consiste à articuler un regard et un discours, en analysant la façon dont l écriture vient modifier, retravailler, se mêler à l expérience du film. Ce séminaire requiert une participation active et assidue. Eléments de Bibliographie : de Baecque, Antoine (dir.), Critique et cinéphilie, Petite anthologie des Cahiers du cinéma, Tome VI, Paris, Cahiers du cinéma, Cavell, Stanley, Philosophie des salles obscures, Paris, Flammarion, Daney, Serge, La Maison cinéma et le monde (3 vol.), Paris, P.0.L, Truffaut, François, Les Films de ma vie, Paris, Champs Flammarion, Atelier d'écriture 2 : analyse et critique de films «Qu est-ce qu un mauvais film?» (20 heures TD) Enseignant : Dork Zabunyan Objectifs : Étudier l exercice de la critique de film. Expérimenter les outils descriptifs et théoriques qui permettent de proposer une analyse filmique pertinente. Préparer les étudiants au métier de critique de cinéma.

41 41 Programme : «Qu est-ce qu un mauvais film?», l atelier critique d écriture aimerait investir cette question en veillant à éviter deux écueils : d une part, la croyance en un jugement normatif qui établirait une fois pour toutes les critères du bon et du mauvais au cinéma ; d autre part, le subjectivisme ou l opinion personnelle qui peuvent conduire à un jugement arbitraire sur les films. À l opposé de ces deux approches qui se caractérisent par leur imprécision au regard de l objet filmique, il s agira de privilégier une démarche opératoire qui construise les critères du «mauvais» à partir des images elles-mêmes et des gestes du cinéma qui s y rapportent (montage, choix et jeu des acteurs, usage de la musique, etc.). C est pourquoi, loin de toute posture condescendante à l égard des productions supposées médiocres qu elle prend pour objet, l analyse souhaiterait esquisser par ricochet ce que serait le «bon» dans le domaine cinématographique. L atelier mobilisera dans cette perspective les textes de quelques grands critiques ou théoriciens de l image qui ont su, tous différemment, élaborer à un niveau rigoureux d analyse formelle les critères de l échec ou de la réussite au cinéma. Bibliographie : La bibliographie se constituera en fonction des films choisis durant l atelier, et sera essentiellement constituée de textes rédigés par des critiques de cinéma. Semestre 1 : Méthodologie Méthodologie de la recherche (8 heures TD) Enseignante : Jessie Martin Ce cours de 8 heures n est pas évalué mais il est obligatoire, indispensable par son contenu quant à l évolution du travail de recherche que vous abordez en Master. Langue d enseignement : Français Objectifs : Ce TD a pour objectif de présenter les différentes modalités de constitution d un travail de recherche en cinéma qui trouve sa finalité dans la rédaction d un mémoire. Contenu de la formation : On présentera les différentes étapes du travail de recherche : les différentes façons de constituer un corpus, d élaborer une problématique de recherche autour d un sujet ou d un objet, de développer une réflexion dans un cadre théorique. On insistera particulièrement sur l usage des Lectures théoriques dans le cadre d une réflexion analytique. On montrera donc comment s élabore la bibliographie et la manière de s y référer (chercher une information, critiquer une réflexion, approfondir un savoir ). De la même manière, on soulignera l importance de travailler avec et non pas en surplomb des images. Enfin, on se penchera sur la mise en forme des mémoires. Bibliographie succincte : La Lecture d ouvrages théorique et critique sur le cinéma et de thèses publiées est recommandée. Modalités d évaluation : Travail écrit (projet de recherche)

42 42 Master 1 Semestre 2 Semestre 2 : U.E. 1 Théorie de l art et esthétique du cinéma Esthétique «Arts, narrativité, narratologie(s)» (24 heures CM) Enseignant : Christian Hauer L objectif de ce séminaire est de présenter un domaine de recherche qui connaît actuellement un grand essor, aussi bien en France qu à l étranger : la narratologie. Issue des études littéraires, dans les années 1960, cette discipline scientifique s étend progressivement, depuis quelques années, à l étude de tous les domaines artistiques. «Narratologie» est un terme qui peut «s employer pour désigner toute approche raisonnée de l étude du discours narrativement organisé, qu il soit littéraire, historiographique, conversationnel, filmique ou autre» (D. Herman). La narratologie étudie donc la manière dont la narrativité s inscrit dans les œuvres (quel que soit le domaine artistique considéré), et surtout comment elle est actualisée par un lecteur (au sens large du terme). Ce processus d actualisation, déterminant pour tout phénomène de compréhension artistique (et autre), fait intervenir de multiples facteurs, comme la tension narrative (R. Baroni), l intentionnalité (A. Pignocchi), les formes de vitalité (D. Stern) ou encore l embodied simulation, étudiée du point de vue des neurosciences cognitives. Éléments de bibliographie : BARONI, Raphaël, La Tension narrative. Suspense, curiosité et surprise, Paris : Éditions du Seuil, Cahiers de narratologie (Revue de théorie et d'analyse des productions culturelles, littéraires, et artistiques), URL : HÜHN, Peter & PIER, John & SCHMID, Wolf & SCHÖNERT, Jörg, eds., the living handbook of narratology, URL : PIER, John & BERTHELOT, Francis, dir., Narratologies contemporaines. Approches nouvelles pour la théorie et l analyse du récit, Paris : Éditions des archives contemporaines, PIGNOCCHI, Alessandro, L œuvre d art et ses intentions, préface de Jean-Marie Schaeffer, Paris : Odile Jacob, REVAZ, Françoise, Introduction à la narratologie. Action et narration, Bruxelles : De Boeck, Duculot, RIZZOLATTI, Giacomo & SINIGAGLIA, Corrado, Les neurones miroirs, [2006], traduction de l italien par Marilène Raiola, Paris : Odile Jacob Poches, STERN, Daniel N., Les formes de vitalité. Psychologie, arts, psychothérapie et développement de l enfant, [2010], traduction française, Paris : Odile Jacob. TAYLOR, J. Eric T. & WITT, Jessica K. & GRIMALDI, Phillip J., «Uncovering the connection between artist and audience : Viewing painted brushstrokes evokes corresponding action representations in the observer», Cognition, No 125, 2012, p

43 Semestre 2 : U.E. 2 Patrimoine, archives et histoire du cinéma Pratiques et théories d écriture du scénario «Attraction et narration dans les genres spectaculaires» (24 heures CM) Enseignant : Laurent Guido Objectifs : Offrir une compréhension théorique comme historique des formes narratives qui, au cinéma, se fondent sur l insertion systématique de moments spectaculaires (performance, exploitation d effets spéciaux, numéro, etc.) Le genre de la comédie musicale y joue un rôle de modèle incontournable, mais pas exclusif. Programme : Les séances seront dédiées à la considération des principaux genres qui organisent leurs récits autour de l alternance entre des séquences narratives et d autres ancrées dans le régime de l attraction : avant tout le musical, mais aussi le comique, l horreur, le «film de sport» ou encore le cinéma d arts martiaux. Cette notion d attraction fera l objet d une attention particulière : elle sera envisagée sous l angle de sa généalogie historique comme dans ses aspects théoriques (d un concept utilisé au music-hall à sa redéfinition par Eisenstein, puis son réemploi par Gunning pour qualifier une certaine logique fondamentale du cinéma). L une des problématiques centrales consiste à évaluer le degré d intégration des numéros spectaculaires dans l enchaînement causal des séquences. Cette étude permettra d ailleurs de prendre conscience que les structures des films peuvent aussi obéir à des logiques faiblement narratives (distribution des scènes en fonction de leur intensité et de leurs tensions dynamiques ; juxtaposition de temps forts dénués de rapports réciproques ) On abordera ainsi différentes notions théoriques (biplex d Altman pour le musical, schémas narratifs de Noel Carroll pour l horreur, théories du gag ) en mettant notamment en évidence la part incournable, dans les formes scénaristiques propres à ces genres, d enjeux sociétaux et idéologiques (ainsi les mythologies caractéristiques du spectacle de masse américains chez Jane Feuer, ou les traditions du renversement grotesque et carnavalesque mises en avant par Bakhtine ). Bibliographie : Un dossier de textes essentiels (articles, chapitres d ouvrage) sera distribué sous une forme électronique aux participants. Évaluation : Exposé oral et dossier. 43 Nouvelles approches en art contemporain «Histoire et enjeux de l exposition (2)» (24 heures CM) Enseignante : Véronique Goudinoux Ce séminaire propose de contribuer au programme de recherche du laboratoire Centre d Etude des Arts Contemporains (CEAC) portant sur les «Collaborations entre artistes» en étudiant des entreprises artistiques collaboratives ainsi que les expositions résultant éventuellement de ces pratiques à plusieurs. Quelles sont les nouvelles formes prises par ces collaborations (duos d artistes, collectifs d artistes, etc.)? Quels types d œuvres ou de productions ont-elles engendrés? Quelles disciplines font-elles se rencontrer (arts visuels et pratiques chorégraphiques, arts visuels et cinéma, par exemple)? Quels en sont les enjeux et les paradigmes? Produisent-elles à leur tour de nouvelles formes d expositions? Les étudiants participeront activement à ce séminaire en étudiant une pratique collaborative de leur choix et, pour ceux qui le souhaitent, en effectuant un entretien avec des artistes travaillant en collaboration.

44 44 Semestre 2 : U.E. 3 Sociologie, droit, économie et technologie du cinéma et de l audiovisuel Pratiques et théories du son au cinéma (24 heures CM) Enseignant : Edouard Arnoldy Objectifs : Dans le prolongement d enseignements dispensés en Licence, ce cours souhaite d abord «faire le point» sur quelques-unes des questions posées par des films «travaillant» la matière sonore du cinéma (avec un intérêt plus prononcé pour la voix et les bruits). En priorité, il s agira là de mettre en relief l importance de la dynamique qui peut opérer entre l image et le son au cinéma. De la même façon, il s agira de revenir sur les passages au parlant qui émaillent l histoire du cinéma depuis ses débuts. Des films des années 1910 aux années 1930 seront présentés et commentés à cet effet. L accent sera mis sur des questions de théorie du cinéma en vue d un travail d analyse de film dans sa dimension sonore. De très nombreux films seront commentés afin de reconsidérer les pratiques et les théories du son au cinéma, ensemble. Le corpus des films étudiés sera très large, allant des premières expériences de films sonores aux films expérimentaux des années 60 à nos jours, sans oublier quelques détours par le cinéma d animation. Programme : Parcours historique, questions d historiographie, mise au point théoriques et analyses de films. Retour sur quelques textes étudiant «la matière sonore du cinéma». Exposés et discussions sur des analyses de films. Bibliographie : François Albera et André Gaudreault, «Apparition, disparition et escamotage du bonimenteur dans l historiographie française du cinéma», dans Le Muet a la parole, Paris, AFRHC, Rick Altman, La comédie musicale hollywoodienne, Paris, Armand Colin, Rick Altman, Sound Theory, Sound Practice, New York, London, Routledge, Édouard Arnoldy, Pour une histoire culturelle du cinéma. Au-devant de «scènes filmées», de «films chantants et parlants» et de comédies musicales, Liège, Éd. du Céfal, Alain Boillat, Du bonimenteur à la voix-over, Lausanne, Éditions Antipodes, Noël Burch, «Du muet, le parlant. Notes cursives sur un interrègne», dans Christian Belaygue (dir.), Le Passage au parlant, Toulouse, Cinémathèque de Toulouse, Michel Chion, La Voix au cinéma, Paris, Éditions des Cahiers du cinéma, Michel Chion, Le Son au cinéma, Paris, Éditions des Cahiers du cinéma, Évaluation : Exposé oral et dossier. Droit de l audiovisuel et du cinéma (24 heures CM) Enseignant : Jacques Besson Droit de la communication audiovisuelle (approche historique, communication audiovisuelle, droit communautaire, et règles relatives aux programmes). Le compte de soutien aux industries de programmes (COSIP) Droits d auteur et droits voisins Contrats Droits de la personnalité (atteintes) Droits du travail et charges sociales CDD et intermittents du spectacle

45 45 Problématiques contemporaines en Arts Plastiques «Oculométrie et perception des images : nouveaux enjeux esthétiques» (24 heures CM) Enseignante : Nathalie Delbard Ce séminaire s inscrit dans un programme de recherche pluridisciplinaire associant les arts et les sciences cognitives, qui consiste à penser l œuvre d art à partir de l étude de notre système visuel, en mobilisant, notamment dans les domaines des arts plastiques et du cinéma, les technologies oculométriques permettant d enregistrer et de mesurer les déplacements oculaires. À partir d expériences menées avec les étudiants, il s agira de confronter et d articuler théories de la perception et modèles oculométriques, et d envisager de nouvelles méthodologies d analyse, questionnant par exemple les incidences des différents supports et formats de l image sur sa réception, ou encore les effets de la polyvision (expérience de la coexistence des images : exposition, écrans partagés, etc.). Séminaire co-animé par Nathalie Delbard (arts plastiques) et Dork Zabunyan (études cinématographiques). Semestre 2 : U.E. 4 Culture visuelle, histoire culturelle et anthropologie des images «Visual studies» séminaire culture matérielle et visuelle (24 heures CM) Enseignant : Gil Bartholeyns Ce séminaire met à l honneur les images et les univers visuels et sensibles dans une perspective anthropologique, historique et politique. Chaque séance est l occasion d écouter plusieurs chercheurs de niveau international sur un sujet de leur choix, auquel ils donnent une dimension méthodologique. Visualité, imaginaire, consommation, corps, cinéma, fiction, mode, patrimoine ou design Cette diversité permet de faire un tour d horizon permanent des débats et enjeux actuels, sans a priori de discipline, d aire culturelle ni de période. Cinéma et mise en scène «Filmer le corps en mouvement, entre scène et écran» (24 heures CM) Enseignant : Laurent Guido Objectifs : Fournir une connaissance approfondie des dispositifs cinématographiques dédiés à la mise en scène du corps en mouvement. Programme : Dès l émergence du cinéma, au tournant du 20e siècle, le film a servi à enregistrer et reproduire différents types de spectacles scéniques, en particulier centrés sur les prouesses corporelles : numéros de music-hall ou de danse, pièces de théâtre, performances sportives Au fil du siècle, cette problématique traverse les formes les plus variées des industries cinématographiques (fictions, actualités, captations ), avant de jouer un rôle essentiel dans les programmes télévisés, par l entremise des émissions de variétés et d innombrables retransmissions d événements musicaux, théâtraux, chorégraphiques ou sportifs. Afin de mieux cerner les divers dispositifs secondaires engagés par les médias audiovisuels à partir des dispositifs premiers propres aux espaces de la scène (ou du stade), ce cours/séminaire vise à associer les approches historique et esthétique en s attachant à dégager certains modes importants de «mise en scène» à l œuvre dans les objets filmiques et télévisuels étudiés. On discutera notamment des termes particuliers de la «théâtralité» cinématographique, ainsi que des principes soulevés et expérimentés par certains cinéastes et théoriciens (Lev Koulechov, Slavko Vorkapich, Leni Riefensthal, S. M. Eisenstein, André Bazin, Maya Deren, Jean-Luc Godard, H. J. Syberberg, Pina Bausch )

46 46 Bibliographie : Un dossier de textes essentiels (articles, chapitres d ouvrage) sera distribué sous une forme électronique aux participants. Évaluation : Exposé oral et dossier. Semestre 2 : U.E. 5 Pratiques contemporaines de l Image Cinéma et nouvelles images (24 heures CM) Enseignante : Jessie Martin Objectifs : Réfléchir à la manière dont le cinéma d animation réinvente l image. Contenu de la formation : Ce cours se propose de réfléchir à la notion de «nouvelles images» dans le cinéma d animation, dans son aspect technique bien entendu, mais aussi dans ses enjeux esthétiques. Il s agira de se demander quels changements les nouveaux procédés d animation ont opérés dans la représentation du monde en général et dans notre appréhension de l image cinématographique en particulier. Après une présentation rapide des différentes formes de l animation, on verra comment l espace de l image et de la fiction est travaillé par l animation, au travers du rapport à l idée de territoire et à la notion de ligne fondatrice. On interrogera également la figure humaine dans l animation à travers les questions liées au corps. Bibliographie succincte : AUMONT Jacques, De l esthétique au présent, Bruxelles, De Boeck Supérieur, BARRES Patrick, Le Cinéma d animation. Un cinéma d expériences plastiques, L Harmattan, COTTE Olivier, Il était une fois le dessin animé... et le cinéma d animation, Dreamland, COUCHOT Edmond, HILLAIRE Norbert, L Art numérique. Comment la technologie vient au monde de l art, Champ Arts, Flammarion, DENIS Sébastien, Le Cinéma d animation, Armand Colin, BEAU Franck, DUBOIS Philippe, LEBLANC Gérard (dir.), Cinéma et dernières technologies, Bruxelles, De Boeck Université, GAUTHIER Guy, Vingt leçons sur l image et le sens, Edilig, JEAN Marcel, Le Langage des lignes et autres essais sur le cinéma d animation, Laval (QuébEC), Les 400 Coups, 1995, rééd JOUBERT-LAURENCIN Hervé, La Lettre volante : quatre essais sur le cinéma d animation, Presse de la Sorbonne Nouvelle, MANOVICH Lev, Le Langage des nouveaux médias, Les Presses du réel, MARIN Louis, «L utopie de la carte» et «Dégénérescence utopique : Disneyland», Utopiques. Jeux d espaces, Minuit, MARTIN Jessie, «Le cinéma d animation et le privilège de l imaginaire, de Fantasmagorie à Paprika», Entrelacs, n 8, février 2011, Téraèdre, pp MARTIN Jessie, «Le choc des images artefactuelles dans le récit cinématographique», Textimage, n 4, Juin 2011, [en ligne]. ROSSET Clément, Fantasmagories, suivi de Le Réel, l imaginaire et l illusoire, Minuit, TOMASOVIC Dick, Le Corps en abime : sur la figurine et le cinéma d'animation, Rouge profond, VIGNAUX Valérie (dir.), «Emile Cohl», 1895, n 53, 2007 (consultable en ligne) WUNENBURGER Jean-Jacques, L Imaginaire, coll. Que sais-je?, P.U.F, 2003, rééd Modalités d évaluation : Travail écrit (dossier et sur table

47 47 Semestre 2 : obligatoire mais non capitalisé Mémoire d étape Mémoire de 40 pages minimum sous la responsabilité du Directeur de Recherche.

48 48 Master 2 Semestre 3 Semestre 3 : U.E.1 Théorie des formes visuelles et sonores Médiologie de l Art (24 heures CM) Enseignant : Vincent Tiffon Pré-requis) : compétence disciplinaire avérée et ouverture vers les autres domaines artistiques Objectifs : Croiser les références aux domaines artistiques pour mieux comprendre l influence des outils sur la création Contenu de la formation : La méthode médiologique a pour objectif de comprendre comment les idées prennent corps, circulent, mobilisent les hommes, comme elles affectent le réel et constituent un héritage (Louise Merzeau). A cette fin, la médiologie cherche à établir des corrélations entre nos fonctions sociales supérieures science, religion, art et nos procédés de mémorisation, de représentation [de symbolisation] et de déplacement (Régis Debray). Dans leurs domaines de spécialité, les étudiants seront ainsi invités à élaborer des techniques d analyse basées sur l observation, la comparaison et le principe de causalité. Transversalement aux disciplines artistiques, on observera plus particulièrement le grand vingtième siècle (de l'invention de la photographie à l'internet) pour comprendre l interaction entre l invention artistique et l innovation technique. Par son caractère général, la médiologie donne des outils d étude transversaux, exploitables quelque soit le domaine de recherche, et quelque soit le champ artistique (musique, danse, arts plastiques, théâtre, cinéma...). Les critères scientifiques de cette méthodologie seront également interrogés. Bibliographie succincte : Monographies : Debray Régis, Introduction à la médiologie, Paris, PUF, Debray Régis, Transmettre, Paris, Odile Jacob (coll. «Le champ médiologique»), Merzeau Louise, «La photographie, une technologie de la mémoire», Séminaire de l Ecole Nationale du Patrimoine, Paris, 1996, texte disponible via Simondon Gilbert, L Individuation psychique et collective, Paris, Aubier, 2007, 1 éd, 1989 [écrit en 1964] Stiegler Bernard, De la misère symbolique, 2. La catastrophè du sensible, Paris, Galilée, Revues : Les Cahiers de médiologie (accessibles via ) Medium Modalités d évaluation : Un exposé oral et un travail écrit à rendre sur la plateforme Moodle

49 49 Propos sur le Cinéma «Théories du cinéma, écrits d artistes et critiques de films» (24 heures CM) Enseignant : Édouard Arnoldy Objectifs : Dans la foulée du cours de Licence 3 dédié à «Image, histoire, mémoire», il va essentiellement s agir d envisager une forme particulière d expérience cinématographique pouvant s inscrire dans le cadre d une réflexion sur les liens entre histoire, mémoire, cinéma : le «found footage». Une attention particulière sera accordée à des expériences contemporaines de «remploi» ou de «found footage» dans l art et dans le cinéma contemporains, qui prennent appui sur «l image-document» ou l image d archive. Programme : Rappels et ouvertures (histoire, théorie) approfondissant les liens entre histoire et cinéma (ou photographie) Étude de textes et d œuvres interrogeant la pratique du «remploi» dans l art et dans le cinéma contemporains. Exposés oraux des étudiants. Journée rencontre avec Vincent Dieutre, journée d étude et master class en novembre Bibliographie : Édouard Arnoldy, «Le cinéma, outsider de l histoire. Propositions en vue d une histoire en cinéma», 1895, n 55, juin Christa Blümlinger, Cinéma de seconde main, Paris, Klincksieck, Nicole Brenez, «Montage intertextuel et formes contemporaines du remploi dans le cinéma expérimental», dans Elena Dagrada (dir.) Limite(s) du montage, Montréal, CINéMAS, Automne 2002, pp Évaluation : Exposé oral et dossier. Semestre 3 : U.E. 2 Histoire des formes visuelles et sonores Histoire croisée des images «La Musique au cinéma» (24 heures CM) Enseignant : Laurent Guido Objectifs : Offrir les outils de compréhension historique et d analyse critique des procédés les plus couramment employés dans la musique de film, et dans le recours à des musiques préexistantes. Programme : A partir du tournant vers l institutionnalisation du film, au cours des années 1910, la musique a progressivement servi les impératifs narratifs comme spectaculaires du cinéma. Ce cours propose d interroger plus spécifiquement l existence d un modèle «classique» de musique de film, fondé sur certaines procédés (thèmes récurrents et variés, soulignement rythmique des actions) destinés non seulement à accompagner, mais également à renforcer, mettre en évidence, ou encore expliciter les actions montrées à l écran. Si ce modèle a marqué plus particulièrement le cinéma hollywoodien des années (qu on abordera donc de manière privilégiée), il a conditionné en profondeur les pratiques et les réflexions des compositeurs et des cinéastes, jusqu à aujourd hui. On étudiera par ailleurs les possibles «contre-modèles» à cette conception dominante de la musique au cinéma, ainsi que les multiples relations intermédiales nouées par le film avec diverses formes de musique préexistante (chansons populaires, morceaux du répertoire symphonique ) Apparue dès l époque muette, cette dernière tendance a pris une place considérable dans les pratiques sonores du cinéma contemporain. Aucune connaissance musicale spécifique n est exigée pour pouvoir suivre cet enseignement.

50 50 Une journée d étude sur la problématique du «moment musical» au cinéma, liée aux enjeux fondamentaux du cours, aura lieu le mercredi 19 novembre. Bibliographie : Un dossier de textes essentiels (articles, chapitres d ouvrage) sera distribué sous une forme électronique aux participants. Évaluation : Exposé oral et dossier. Pratiques, théories contemporaines des images documentaires (24 heures CM) Enseignant : Edouard Arnoldy Objectifs : Dans le prolongement direct du cours de Licence 3 dédié à «Image, histoire, mémoire», il va essentiellement s agir d envisager une forme particulière d expérience cinématographique pouvant s inscrire dans le cadre d une réflexion sur les liens entre histoire, mémoire, cinéma : le «film documentaire». Ce cours n appréhendera certainement pas «le documentaire» sous une forme encyclopédique. Plusieurs ouvrages et de nombreux articles s y consacrent notamment les travaux de François Niney (parmi les prérequis de ce séminaire). Il va plutôt s agir d envisager le documentaire comme une question, c est-à-dire un domaine au fond mal défini (on parle indistinctement de cinéma documentaire, de documents audiovisuels, de films d auteur ou de création), pas toujours distinct de la fiction, posant des choix (esthétiques, politiques), à la croisée de plusieurs «régimes d images» (photo, cinéma, télévision, vidéo, téléphone mobile, que sais-je encore?). Dans un premier temps, il va s agir de s interroger sur l idée de documentaire née avec la photographie et qui trouve son prolongement dans les développements du cinéma. De cette «fonction documentaire» de la photographie et du cinéma, il en sera question notamment pour dire combien cette vision «positive» des images est historiquement liée à l idée d un art des images. Walker Evans évoque très bien ce lien paradoxal entre l art et le document, quand il écrit en 1971 : «L'art n'est jamais un document mais il peut en adopter le style». L image-document n est donc peut-être rien d autre que le point d intersection des interrogations autour de la «question documentaire». Programme : L idée de documentaire, l image-document. Le documentaire et le cinéma en question(s), l autoportrait en cinéma. Exposés oraux des étudiants. Journée rencontre avec Vincent Dieutre, journée d étude et master class en novembre Bibliographie : François Brunet, La naissance de l idée de photographie, Paris, PUF, Teresa Castro, La pensée cartographique des images. Cinéma et culture visuelle, Lyon, Aléas Cinéma, Georges Didi-Huberman, L Album de l art à l époque du Musée imaginaire, Paris, Éditions Hazan / Musée du Louvre, 2013, pp Tom Gunning, «Des films qui expriment le temps», Paris, Trafic, n 59, septembre Siegfried Kracauer, Théorie du film [1960], Paris, Flammarion, 2010, pp , pp et pp Olivier Lugon, Le style documentaire. D August Sander à Walker Evans, Paris, Macula, François Niney, L épreuve du réel à l écran, Paris-Bruxelles, De Boeck, 2e édition, François Niney, Le documentaire et ses faux-semblants, Paris, Klincksieck, 2009.

51 51 Évaluation : Exposé oral et dossier. Pratiques, théories contemporaines des formes fictionnelles (24 heures CM) Enseignante : Jessie Martin Objectifs : Réfléchir à la complexité de la question du fictionnel dans différentes œuvres. Contenu de la formation : On rappellera les écueils d une opposition fiction / documentaire en examinant les aspects documentaires de la fiction et les aspects fictionnels du documentaire. Puis on étudiera des films qui travaillent des états limites de la fiction. Enfin nous interrogerons des œuvres qui produisent des images fictives ou des «fictions d images». On abordera entre autres le travail d Avi Mograbi, Rithy Panh, Nick Park, Martin Arnold, Robert Flaherty, Artavadz Pelechian, Yervant Gianikian et Angela Ricci Lucchi Bibliographie succincte : (à titre indicatif, une bibliographie plus complète sera communiquée à la rentrée) Roger Odin, De la Fiction, Bruxelles, De Boeck Université, Thomas Pavel, Univers de la fiction, Paris, Le Seuil, Jean-Marie Schaeffer, Pourquoi la fiction?, Paris, Le Seuil, Emmanuel Siety, Fictions d images, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, 2009 François Niney, L Épreuve du réel à l écran, Bruxelles, De Boeck Université, Charles Lyant, Roger Odin (dir.), Cinémas et Réalités, Saint-Etienne, CIEREC, Jean-Jacques Wunenburger, L Imaginaire, Que sais-je?, Paris, PUF, Modalités d évaluation : Travail écrit (dossier et travail sur table). Semestre 3 : U.E. 3 Pratiques des nouveaux médias et culture des images Cinéma et Art contemporain (24 heures CM) Enseignant : Dork Zabunyan Objectifs : Penser l évolution actuelle du cinéma qui, parallèlement à sa projection en salle, se retrouve toujours plus exposé dans les musées ou les galeries d art. Maîtriser, dans ce contexte, les approches esthétiques et institutionnelles. Programme : Le cours se propose de faire un état des lieux de ce que l on nomme habituellement la «migration des images» de la salle au musée. Partant du constat que, depuis une vingtaine d années, de plus en plus de cinéastes investissent un lieu qui n est traditionnellement pas destiné à la diffusion de leur art, il s agira d étudier les transformations que ce passage vers l institution muséale induit en termes de montage, de cadrage, de mixage ou encore de narration. Plusieurs études de cas viendront accompagner un examen qui entend parallèlement construire les outils théoriques permettant de décrire et de penser un travail sur les images à la croisée du cinéma et de l art contemporain : à la migration des images animées se joindra en ce sens une étude de la mutation des concepts de cinéma qui correspondent à ces images. Un préambule historique explorera la notion de «musée du cinéma», ainsi que les premières expériences d exposition du cinéma, ce qui favorisera en retour la compréhension des transformations en cours qui affectent le monde des images en mouvement. Bibliographie Raymond Bellour, Le Corps du cinéma Hypnoses, émotions, animalités, Paris, POL, 2009., La Querelle des dispositifs, Paris, POL, Philippe-Alain Michaud (dir.), Le Mouvement des images, Paris, éd. du Centre Pompidou, 2006.

52 52 Dominique Païni, Le Temps exposé Le cinéma de la salle au musée, Paris, éd. Des Cahiers du cinéma, Dork Zabunyan, «Dispersion du cinéma et extension du domaine filmique», Art Press 2, «Cinémas contemporains», n 21, mai-juillet Cahiers du cinéma, dossier «Art et Cinéma», novembre 2012, n 683. Si votre choix se porte sur les ateliers, il vous faut impérativement en prendre deux (1 cours = 2 ateliers), autant que possible, un atelier de chaque niveau. Atelier d'écriture et de réalisation 1 : formes fictionnelles (niveau 1) «Initiation à la pratique du cinéma d animation» Enseignant : Manu Gomez PRE-REQUIS : Concernant les M1 et M2, le pré-requis est souhaité pour la manipulation du logiciel PHOTOSHOP. Si ce n est pas le cas, il est possible à l étudiant de s initier à ce logiciel en suivant les cours de Licence3 en élève libre. Objectifs 1 : Lors de cette année, les étudiants devront : soit continuer leur petit film commencé l'année dernière en L3, soit en réaliser un nouveau avec l'utilisation de nouveaux outils spécifiques à l'animation. Techniquement le squelette devra se mouvoir de façon plus correcte, dans les mouvements que l'étudiant aura conçus au préalable, en fonction de son scénario. Les décors devront être plus sophistiqués (soit d'après photos tirées de Google ou autres, soit de photos personnelles téléchargées, soit de dessins personnels ou pas). Plusieurs cadres devront être présents dans la ou les différentes séquences (cf. codes cinématographiques) avec choix de différents plans : de larges à gros et très gros, justifiés. Sans oublier qu'un squelette vu de face et de 3/4 profil sera fourni. Ce qui implique bien évidemment de nouveaux points de vue et une nouvelle mise en scène. NB : Pour les nouveaux étudiants M1 qui n'auraient pas suivis les cours de Licence, un dossier constitué d une note d'intention, d'un synopsis, d'un scénario et d'un story-board ou d'un découpage technique de leur projet sera demandé. Ce TD s'inscrit dans le prolongement du TD atelier OPTION : ECRITURE CRITIQUE Objectifs 2 : Dès que leur dossier sera totalement constitué, les étudiants continueront ou commenceront (pour les nouveaux) la réalisation de leur film afin de préparer un maximum d éléments (graphiques, photographiques) qui s intégreront dans leur projet et qui sera mené à bien cette année et complètement terminé l'année suivante en M2. BIBLIOGRAPHIE Des références de livres, d'ouvrages et de films seront données pendant l'année. Un cours polycopié d'une cinquantaine de pages APPROCHE DU CINEMA D ANIMATION, DU FILM «IMAGE PAR IMAGE» sera remis aux étudiant L3 et aux nouveaux M1. Atelier d'écriture et de réalisation 3 : formes fictionnelles (niveau 2) : Initiation à la pratique du cinéma d animation Enseignant : Manu Gomez Pré-requis : Concernant les M1 et M2, le pré-requis est souhaité pour la manipulation du logiciel PHOTOSHOP. Si ce n est pas le cas, il est possible à l étudiant de s initier à ce logiciel en suivant les cours de Licence3 en élève libre.

53 53 Objectifs : Ce cours sera le prolongement du TD en M 1. Il consistera à continuer le tournage de leur projet en cours afin de le finaliser complètement. Le squelette devra marcher en traversant l écran et se métamorphoser au gré de l imagination de l étudiant et au fur et à mesure qu il avance dans le temps, dans une mise en scène personnelle et aboutie (faisant suite au travail de l'année précédente). Il faudra aussi que la bande son soit conçue et réalisée. Idéalement, la musique pourrait être réalisée avec la collaboration des étudiants en musique. Bibliographie Des références de livres, d'ouvrages et de films seront données pendant l'année. Un cours polycopié d'une cinquantaine de pages APPROCHE DU CINEMA D ANIMATION, DU FILM «IMAGE PAR IMAGE» sera remis aux étudiant L3 et aux nouveaux M1. Atelier d'écriture et de réalisation 2 : images documentaires (niveau 1) "Documentaire et fiction en prises de vues réelles" Enseignant : Frédéric Pelle Cet atelier propose d encadrer l écriture individuelle d un scénario de court-métrage de fiction ou de documentaire, au cours de 5 séances de 4 heures. Il se veut avant tout un encouragement à la pratique du cinéma, depuis l écriture jusqu à la projection d un courtmétrage. L objectif est double : Constituer un dossier type de production (scénario, synopsis, note d intention) Réaliser le film, qui sera projeté lors de la journée de projection des films d étudiants qui a lieu au mois de mai au Kino. Des contraintes et des directions : La durée du film est limitée à 15 minutes. S il s agit d un documentaire, le thème imposé est celui du portrait, qu il faut entendre au sens large : d un individu, d un lieu, d une communauté archives, interviews, faux portrait, journal intime, la forme est totalement libre. S il s agit d une fiction, il peut s agir de réaliser le scénario écrit en L3 pour ceux qui ont suivi mon atelier l an dernier, ou bien de partir sur un nouveau scénario. Une seule contrainte : travailler sur un scénario objectivement réalisable. Le calendrier : Les 5 séances sont prévues entre le lundi 10 novembre et le lundi 8 décembre. Cela vous laisse suffisamment de temps pour réaliser votre film avant la projection du mois de mai au Kino. Un soutien logistique et technique : Les étudiants suivant cet atelier sont prioritaires quand à la possibilité d utiliser le matériel du CAVUL (matériel de prise de vue/de son, matériel électrique, salle de montage et de mixage). Ils bénéficient en outre de l accompagnement de Patrice Théry (en fonction de ses disponibilités bien entendu, ne vous y prenez pas au dernier moment) sur la prise en main de ce matériel. Evaluation : La note attribuée au terme de l atelier concerne le dossier. Atelier d'écriture et de réalisation 4 : images documentaires (niveau 2) (20 heures TD) "Documentaire et fiction en prises de vues réelles" Enseignant : Frédéric Pelle Cet atelier propose d encadrer l écriture individuelle d un scénario de court-métrage de fiction ou de documentaire, au cours de 5 séances de 4 heures. Il se veut avant tout un

54 54 encouragement à la pratique du cinéma, depuis l écriture jusqu à la projection d un courtmétrage. L objectif est double : - constituer un dossier type de production (scénario, synopsis, note d intention) et réaliser le film, qui sera projeté lors de la journée de projection des films d étudiants qui a lieu au mois de mai au Kino. - Des contraintes et des directions : La durée du film est limitée à 20 minutes. Le sujet est libre. Une seule contrainte : travailler sur un scénario objectivement réalisable étant donné que le film doit obligatoirement être tourné et projeté en mai au Kino. Le calendrier : Les 5 séances seront regroupées entre le lundi 22 septembre et le lundi 3 novembre, de manière à laisser suffisamment de temps à la fabrication du film (préparation/production/réalisation/montage et mixage). Je serai disponible tout au long de l année pour accompagner votre travail sous forme d échanges de mail ou de rendez-vous à Lille 3 les lundis et les mercredis où je viendrai animer l atelier des L3 (premier et second semestre). Atelier de scénario 1 : scénarisation du réel "Exercices de problématisation et d'analyses de films 1" (20 heures TD) Enseignante : Géraldine Sfez Il s'agira pour les étudiants de s'exercer à concevoir et développer des problématiques et à analyser des films dans le cadre de leur mémoire. Ces travaux donneront notamment lieu à des présentations orales durant lesquelles les étudiants mettront à l'épreuve leurs avancées. Cet atelier favorisera les échanges entre les étudiants-chercheurs. Atelier de scénario 2 : scénarisation du réel «Exercices de problématisation et d'analyses de films 2» (20 heures TD) Enseignante : Jessie Martin Il s'agira pour les étudiants de s'exercer à concevoir et développer des problématiques et à analyser des films dans le cadre de leur mémoire. Ces travaux donneront notamment lieu à des présentations orales durant lesquelles les étudiants mettront à l'épreuve leurs avancées. Cet atelier favorisera les échanges entre les étudiants-chercheurs. Atelier d'écriture 1 : analyse et critique de films «Point de vue critique». (20 heures TD) Enseignante : Géraldine Sfez Ce cours propose de s exercer très pratiquement à l écriture de critique de film tout en partant d une interrogation sur la notion de «point de vue critique» à partir de l analyse de textes critiques ou théoriques. Quelle est la place du critique? Quelle distance doit-on établir avec son objet? A partir de quel lieu parle-t-on? On insistera sur la notion de point de vue dans la mesure où il n est pas seulement question d une position, mais aussi d une vision, d un regard. On s interrogera à cet égard sur les conditions dans lesquelles on voit les films et sur la façon dont celles-ci déterminent notre perception (expérience de la vision unique en salle versus usage du dvd). On s interrogera enfin sur le geste critique qui consiste à

55 55 articuler un regard et un discours, en analysant la façon dont l écriture vient modifier, retravailler, se mêler à l expérience du film. Ce séminaire requiert une participation active et assidue. Eléments de Bibliographie : de Baecque, Antoine (dir.), Critique et cinéphilie, Petite anthologie des Cahiers du cinéma, Tome VI, Paris, Cahiers du cinéma, Cavell, Stanley, Philosophie des salles obscures, Paris, Flammarion, Daney, Serge, La Maison cinéma et le monde (3 vol.), Paris, P.0.L, Truffaut, François, Les Films de ma vie, Paris, Champs Flammarion, Atelier d'écriture 2 : analyse et critique de films «Qu est-ce qu un mauvais film?» (20 heures TD) Enseignant : Dork Zabunyan Objectifs : Étudier l exercice de la critique de film. Expérimenter les outils descriptifs et théoriques qui permettent de proposer une analyse filmique pertinente. Préparer les étudiants au métier de critique de cinéma. Programme : «Qu est-ce qu un mauvais film?», l atelier critique d écriture aimerait investir cette question en veillant à éviter deux écueils : d une part, la croyance en un jugement normatif qui établirait une fois pour toutes les critères du bon et du mauvais au cinéma ; d autre part, le subjectivisme ou l opinion personnelle qui peuvent conduire à un jugement arbitraire sur les films. À l opposé de ces deux approches qui se caractérisent par leur imprécision au regard de l objet filmique, il s agira de privilégier une démarche opératoire qui construise les critères du «mauvais» à partir des images elles-mêmes et des gestes du cinéma qui s y rapportent (montage, choix et jeu des acteurs, usage de la musique, etc.). C est pourquoi, loin de toute posture condescendante à l égard des productions supposées médiocres qu elle prend pour objet, l analyse souhaiterait esquisser par ricochet ce que serait le «bon» dans le domaine cinématographique. L atelier mobilisera dans cette perspective les textes de quelques grands critiques ou théoriciens de l image qui ont su, tous différemment, élaborer à un niveau rigoureux d analyse formelle les critères de l échec ou de la réussite au cinéma. Bibliographie : La bibliographie se constituera en fonction des films choisis durant l atelier, et sera essentiellement constituée de textes rédigés par des critiques de cinéma. Semestre 3 : Méthodologie de la recherche en Master 2 Introduction à la recherche, séances du séminaire de recherche en Etudes Cinématographiques du C.E.A.C. Collectif sous la responsabilité de Laurent Guido, Edouard Arnoldy, Jessie Martin Le programme vous sera communiqué ultérieurement. Semestre 3 Obligatoire mais non capitalisé «Méthodologie de la recherche en Master 2» Introduction à la recherche, séances du séminaire de recherche en Etudes Cinématographiques du C.E.A.C. Collectif sous la responsabilité de Laurent Guido, Edouard Arnoldy, Jessie Martin

56 56

57 57 Master 2 Semestre 4 Semestre 4 : U.E.1 Théorie des formes visuelles et sonores Cinéma et mise en scène «Filmer le corps en mouvement, entre scène et écran»(24 heures CM) Enseignant : Laurent Guido Objectifs : Fournir une connaissance approfondie des dispositifs cinématographiques dédiés à la mise en scène du corps en mouvement. Programme : Dès l émergence du cinéma, au tournant du 20e siècle, le film a servi à enregistrer et reproduire différents types de spectacles scéniques, en particulier centrés sur les prouesses corporelles : numéros de music-hall ou de danse, pièces de théâtre, performances sportives Au fil du siècle, cette problématique traverse les formes les plus variées des industries cinématographiques (fictions, actualités, captations ), avant de jouer un rôle essentiel dans les programmes télévisés, par l entremise des émissions de variétés et d innombrables retransmissions d événements musicaux, théâtraux, chorégraphiques ou sportifs. Afin de mieux cerner les divers dispositifs secondaires engagés par les médias audiovisuels à partir des dispositifs premiers propres aux espaces de la scène (ou du stade), ce cours/séminaire vise à associer les approches historique et esthétique en s attachant à dégager certains modes importants de «mise en scène» à l œuvre dans les objets filmiques et télévisuels étudiés. On discutera notamment des termes particuliers de la «théâtralité» cinématographique, ainsi que des principes soulevés et expérimentés par certains cinéastes et théoriciens (Lev Koulechov, Slavko Vorkapich, Leni Riefensthal, S. M. Eisenstein, André Bazin, Maya Deren, Jean-Luc Godard, H. J. Syberberg, Pina Bausch ) Bibliographie : Un dossier de textes essentiels (articles, chapitres d ouvrage) sera distribué sous une forme électronique aux participants. Évaluation : Exposé oral et dossier. Esthétique «Arts, narrativité, narratologie(s)» (24 heures CM) Enseignant : Christian Hauer L objectif de ce séminaire est de présenter un domaine de recherche qui connaît actuellement un grand essor, aussi bien en France qu à l étranger : la narratologie. Issue des études littéraires, dans les années 1960, cette discipline scientifique s étend progressivement, depuis quelques années, à l étude de tous les domaines artistiques. «Narratologie» est un terme qui peut «s employer pour désigner toute approche raisonnée de l étude du discours narrativement organisé, qu il soit littéraire, historiographique, conversationnel, filmique ou autre» (D. Herman). La narratologie étudie donc la manière dont la narrativité s inscrit dans les œuvres (quel que soit le domaine artistique considéré), et surtout comment elle est actualisée par un lecteur (au sens large du terme). Ce processus d actualisation, déterminant pour tout phénomène de compréhension artistique (et autre), fait intervenir de multiples facteurs, comme la tension narrative (R. Baroni), l intentionnalité (A. Pignocchi), les formes de vitalité (D. Stern) ou encore l embodied simulation, étudiée du point de vue des neurosciences cognitives.

58 Éléments de bibliographie : BARONI, Raphaël, La Tension narrative. Suspense, curiosité et surprise, Paris : Éditions du Seuil, Cahiers de narratologie (Revue de théorie et d'analyse des productions culturelles, littéraires, et artistiques), URL : HÜHN, Peter & PIER, John & SCHMID, Wolf & SCHÖNERT, Jörg, eds., the living handbook of narratology, URL : PIER, John & BERTHELOT, Francis, dir., Narratologies contemporaines. Approches nouvelles pour la théorie et l analyse du récit, Paris : Éditions des archives contemporaines, PIGNOCCHI, Alessandro, L œuvre d art et ses intentions, préface de Jean-Marie Schaeffer, Paris : Odile Jacob, REVAZ, Françoise, Introduction à la narratologie. Action et narration, Bruxelles : De Boeck, Duculot, RIZZOLATTI, Giacomo & SINIGAGLIA, Corrado, Les neurones miroirs, [2006], traduction de l italien par Marilène Raiola, Paris : Odile Jacob Poches, STERN, Daniel N., Les formes de vitalité. Psychologie, arts, psychothérapie et développement de l enfant, [2010], traduction française, Paris : Odile Jacob. TAYLOR, J. Eric T. & WITT, Jessica K. & GRIMALDI, Phillip J., «Uncovering the connection between artist and audience : Viewing painted brushstrokes evokes corresponding action representations in the observer», Cognition, No 125, 2012, p Semestre 4 : U.E. 2 Histoire des formes visuelles et sonores Pratiques et théories du son au cinéma (24 heures CM) Enseignant : Edouard Arnoldy Objectifs : Dans le prolongement d enseignements dispensés en Licence, ce cours souhaite d abord «faire le point» sur quelques-unes des questions posées par des films «travaillant» la matière sonore du cinéma (avec un intérêt plus prononcé pour la voix et les bruits). En priorité, il s agira là de mettre en relief l importance de la dynamique qui peut opérer entre l image et le son au cinéma. De la même façon, il s agira de revenir sur les passages au parlant qui émaillent l histoire du cinéma depuis ses débuts. Des films des années 1910 aux années 1930 seront présentés et commentés à cet effet. L accent sera mis sur des questions de théorie du cinéma en vue d un travail d analyse de film dans sa dimension sonore. De très nombreux films seront commentés afin de reconsidérer les pratiques et les théories du son au cinéma, ensemble. Le corpus des films étudiés sera très large, allant des premières expériences de films sonores aux films expérimentaux des années 60 à nos jours, sans oublier quelques détours par le cinéma d animation. Programme : Parcours historique, questions d historiographie, mise au point théoriques et analyses de films. Retour sur quelques textes étudiant «la matière sonore du cinéma». Exposés et discussions sur des analyses de films. Bibliographie : François Albera et André Gaudreault, «Apparition, disparition et escamotage du bonimenteur dans l historiographie française du cinéma», dans Le Muet a la parole, Paris, AFRHC, Rick Altman, La comédie musicale hollywoodienne, Paris, Armand Colin, Rick Altman, Sound Theory, Sound Practice, New York, London, Routledge, 1992.

59 Édouard Arnoldy, Pour une histoire culturelle du cinéma. Au-devant de «scènes filmées», de «films chantants et parlants» et de comédies musicales, Liège, Éd. du Céfal, Alain Boillat, Du bonimenteur à la voix-over, Lausanne, Éditions Antipodes, Noël Burch, «Du muet, le parlant. Notes cursives sur un interrègne», dans Christian Belaygue (dir.), Le Passage au parlant, Toulouse, Cinémathèque de Toulouse, Michel Chion, La Voix au cinéma, Paris, Éditions des Cahiers du cinéma, Michel Chion, Le Son au cinéma, Paris, Éditions des Cahiers du cinéma, Évaluation : Exposé oral et dossier. Pratiques et théories d écriture du scénario Attraction et narration dans les genres spectaculaires (24 heures CM) Enseignant : Laurent Guido Objectifs : Offrir une compréhension théorique comme historique des formes narratives qui, au cinéma, se fondent sur l insertion systématique de moments spectaculaires (performance, exploitation d effets spéciaux, numéro, etc.) Le genre de la comédie musicale y joue un rôle de modèle incontournable, mais pas exclusif. Programme : Les séances seront dédiées à la considération des principaux genres qui organisent leurs récits autour de l alternance entre des séquences narratives et d autres ancrées dans le régime de l attraction : avant tout le musical, mais aussi le comique, l horreur, le «film de sport» ou encore le cinéma d arts martiaux. Cette notion d attraction fera l objet d une attention particulière : elle sera envisagée sous l angle de sa généalogie historique comme dans ses aspects théoriques (d un concept utilisé au music-hall à sa redéfinition par Eisenstein, puis son réemploi par Gunning pour qualifier une certaine logique fondamentale du cinéma). L une des problématiques centrales consiste à évaluer le degré d intégration des numéros spectaculaires dans l enchaînement causal des séquences. Cette étude permettra d ailleurs de prendre conscience que les structures des films peuvent aussi obéir à des logiques faiblement narratives (distribution des scènes en fonction de leur intensité et de leurs tensions dynamiques ; juxtaposition de temps forts dénués de rapports réciproques ) On abordera ainsi différentes notions théoriques (biplex d Altman pour le musical, schémas narratifs de Noel Carroll pour l horreur, théories du gag ) en mettant notamment en évidence la part incournable, dans les formes scénaristiques propres à ces genres, d enjeux sociétaux et idéologiques (ainsi les mythologies caractéristiques du spectacle de masse américains chez Jane Feuer, ou les traditions du renversement grotesque et carnavalesque mises en avant par Bakhtine ). Bibliographie : Un dossier de textes essentiels (articles, chapitres d ouvrage) sera distribué sous une forme électronique aux participants. Évaluation : Exposé oral et dossier. 59 Semestre 4 : U.E. 3 Cinéma et nouvelles images Cinéma et nouvelles images Enseignante : Jessie Martin Objectifs : Réfléchir à la manière dont le cinéma d animation réinvente l image. Contenu de la formation : Ce cours se propose de réfléchir à la notion de «nouvelles images» dans le cinéma d animation, dans son aspect technique bien entendu, mais aussi dans ses enjeux esthétiques. Il s agira de se demander quels changements les nouveaux procédés d animation ont opérés dans la représentation du monde en général et dans notre appréhension de l image cinématographique en particulier. Après une présentation rapide

60 60 des différentes formes de l animation, on verra comment l espace de l image et de la fiction est travaillé par l animation, au travers du rapport à l idée de territoire et à la notion de ligne fondatrice. On interrogera également la figure humaine dans l animation à travers les questions liées au corps. Bibliographie succincte : AUMONT Jacques, De l esthétique au présent, Bruxelles, De Boeck Supérieur, BARRES Patrick, Le Cinéma d animation. Un cinéma d expériences plastiques, L Harmattan, COTTE Olivier, Il était une fois le dessin animé... et le cinéma d animation, Dreamland, COUCHOT Edmond, HILLAIRE Norbert, L Art numérique. Comment la technologie vient au monde de l art, Champ Arts, Flammarion, DENIS Sébastien, Le Cinéma d animation, Armand Colin, BEAU Franck, DUBOIS Philippe, LEBLANC Gérard (dir.), Cinéma et dernières technologies, Bruxelles, De Boeck Université, GAUTHIER Guy, Vingt leçons sur l image et le sens, Edilig, JEAN Marcel, Le Langage des lignes et autres essais sur le cinéma d animation, Laval (QuébEC), Les 400 Coups, 1995, rééd JOUBERT-LAURENCIN Hervé, La Lettre volante : quatre essais sur le cinéma d animation, Presse de la Sorbonne Nouvelle, MANOVICH Lev, Le Langage des nouveaux médias, Les Presses du réel, MARIN Louis, «L utopie de la carte» et «Dégénérescence utopique : Disneyland», Utopiques. Jeux d espaces, Minuit, MARTIN Jessie, «Le cinéma d animation et le privilège de l imaginaire, de Fantasmagorie à Paprika», Entrelacs, n 8, février 2011, Téraèdre, pp MARTIN Jessie, «Le choc des images artefactuelles dans le récit cinématographique», Textimage, n 4, Juin 2011, [en ligne]. ROSSET Clément, Fantasmagories, suivi de Le Réel, l imaginaire et l illusoire, Minuit, TOMASOVIC Dick, Le Corps en abime : sur la figurine et le cinéma d'animation, Rouge profond, VIGNAUX Valérie (dir.), «Emile Cohl», 1895, n 53, 2007 (consultable en ligne) WUNENBURGER Jean-Jacques, L Imaginaire, coll. Que sais-je?, P.U.F, 2003, rééd Modalités d évaluation : Travail écrit (dossier et sur table). Semestre 4 : U.E. 4 Recherche Mémoire final du Master L étudiant réalisera au cours de l année de Master 2 son mémoire final de master sous la responsabilité de son Directeur de Recherche,

61 61 Calendrier universitaire Ce calendrier générique sera le même pour les enseignements de licence et Master du Département Arts.

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