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1 J ai une question concernant la vaccination Lisez la suite... Le mémo-guide pour tout savoir sur la vaccination

2 4-5 SOMMAIRE : Historique L âge du carnet de santé est passé? Se faire vacciner reste une priorité! 6-7 Glossaire 8-9 Recommandations générales Vaccins : les ans Vaccins : les ans Vaccins : les 65 ans et plus Jusqu à 18 mois : rendez-vous vaccins fixés sur le carnet de santé. Dommage, plus tard, d oublier leurs rappels! La question vaccination ne se pose pas pour les bébés. Les rendez-vous sont recommandés, fixés, voire obligatoirement programmés. Le temps du carnet de santé est passé? La durée de protection de certains vaccins (DTP ou coqueluche par exemple), elle, n est pas assurée et nécessite d être réactivée. En outre, au fil de la vie, d autres vaccins particuliers s avèrent primordiaux (comme le HPV pour les adolescentes ou la grippe pour les séniors). Il s agit alors d avoir le réflexe de continuer à se protéger soi même et ses proches. Notamment en Aquitaine, région dont le taux de vaccination est inférieur à la moyenne nationale! Votre médecin traitant et votre pharmacien sont là pour faire le point avec vous et mettre à jour votre planning vaccins d adulte.

3 HISTORIQUE Prévenir le mal par le mal, quelle histoire! XVII e siècle, l intention est là mais fait des dégats : on protège de la variole en la transmettant, d homme à homme, sous forme «bénigne». Alors que les épidémies de variole (ou «petite vérole») déciment l Europe, les chercheurs de l époque font un constat étonnant : les personnes qui ont été contaminées, mais ont survécu, peuvent s occuper des individus atteints sans retomber malades. Elles sont devenues définitivement résistantes à la variole! Cette seule observation, bien avant la découverte des mécanismes de l immunité, conduit à pratiquer la «variolisation», à savoir inoculer une variole sous forme bénigne afin d en éviter une forme plus sévère. Le problème : on pratique par scarification, d humain à humain, en frottant des croûtes de vérolés sur les personnes à protéger... Avec le risque que ce contact avec le germe provoque gravement la maladie! XVIII e siècle, l idée est lancée : Edward Jenner démontre que les germes peuvent être atténués par le passage d une espèce animale à l autre et enraye la «vaccine». Médecin de campagne anglais, Edward Jenner remarque que les fermières chargées de la traite des vaches atteintes de «vaccine» (variole bovine) ne contractent pas la maladie. Il poursuit ses expérimentations dans cette voie et, en 1796, met au point la première méthode efficace de vaccination contre la variole : l introduction de pus de vaccine dans l organisme humain. Mais, malgré un succès certain, le germe, «nature», reste inoculé de «bras à bras» et 1796 première méthode efficace de vaccination contre la variole le procédé difficilement compatible avec une manipulation et un traitement massifs. XIX e siècle, le principe du vaccin actuel est inventé : Louis Pasteur découvre comment affaiblir «artificiellement» les microbes. Le formidable progrès apporté par Pasteur est le passage de la bonne théorie aux bonnes pratiques, celles qui permettront aux générations futures de mettre au point et de généraliser toujours plus de vaccins. Sa découverte : pouvoir réduire «artificiellement» la virulence des bactéries responsables des maladies, par la chaleur entre autres moyens scientifiques. Après de longs travaux rôle des microbes dans les maladies infectieuses, isolement du staphylocoque et du streptocoque, études sur la bactérie du choléra de la poule... il parvient en effet à isoler, purifier et inactiver la souche de l agent contagieux de la rage. C est ainsi qu en 1885, il invente le premier vaccin humain à virulence atténuée contre la rage. Des recherches du maître, naîtront les vaccins contre la tuberculose, la diphtérie et le tétanos, la fièvre jaune, la poliomyélite Retenons enfin que c est Pasteur lui-même qui inventa le terme «vaccin». En hommage à Edward Jenner, qui fut son propre inspirateur 1885 premier vaccin humain contre la rage 4 5

4 GLOSSAIRE Quel vaccin pour quelle maladie? Ce que nous risquons et pourquoi il est vital de penser protection. Vaccin Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite (dit DTP) contre la Diphtérie : Maladie infectieuse pouvant être mortelle et touchant principalement les enfants. La bactérie «Corynebacterium Diphtheriae» se transmet par les gouttes de salive des toux et éternuements. S en suit la formation sur les amygdales d une «fausse membrane» qui s étend progressivement à la luette et au pharynx. D où des paralysies de la déglutition, du nerf oculaire, du diaphragme puis des membres. contre le Tétanos : Maladie infectieuse, pouvant être mortelle. La bactérie «Clostridium Tetani» se contracte à travers une plaie, surtout souillée (attention au jardinage!) et atteint les terminaisons nerveuses jusqu à la moelle épinière. D où des contractions musculaires incessantes et des rigidités : impossibilité d ouvrir la bouche, difficultés à avaler, troubles du rythme cardiaque, rétention aiguë d urine, convulsions, complications de types fractures, embolies pulmonaires, infections, déshydratation contre la Poliomyélite : Maladie infectieuse, pouvant être mortelle, et touchant surtout les jeunes enfants. Les virus Poliovirus, paralysants, se transmettent d une personne à l autre, de façon directe (mains sales) et oro-fécale. D où paralysie progressive, fonte et perte de tonus musculaires importantes, secousses involontaires, douleurs parfois sévères, décès par atteinte des muscles de la respiration ou de la déglutition. DTP GRIPPE COQUELUCHE HPV Vaccin Coqueluche contre la Coqueluche : Maladie infectieuse et très contagieuse, atteignant plus fréquemment les nouveau-nés et les jeunes enfants. La bactérie «Bortella Pertussis» touche l appareil respiratoire. D où le développement d une toux caractéristique, venant par accès croissants, pouvant encore être suivie de vomissements. Avec des risques de complications sévères (notamment chez le nourrisson de moins de six mois) : épisodes de suffocation et d apnée, malnutrition liée aux vomissements, hémorragie ou insuffisance d oxygénation cérébrale, surinfection pulmonaire, méningite... Vaccin Human Papilloma Virus (dit HPV) contre le Cancer du col de l utérus : Véritables ennemis invisibles, sexuellement transmissibles, certains virus Papillomavirus humains provoquent des infections bénignes (verrues génitales), alors que d autres sont à l origine de lésions précancéreuses pouvant évoluer vers le cancer du col de l utérus. Vaccin Anti-Grippe contre la Grippe et ses mutations : Maladie infectieuse respiratoire aiguë, extrêmement contagieuse, due au virus «Influenzae» qui a la particularité d être extrêmement variable et donc responsable de surmortalité en cas d épidémies ou pandémies. Au-delà des signes que nous connaissons (fièvre élevée, céphalées, douleurs musculaires, toux, écoulement nasal, mal de gorge ) le risque majeur est le développement de complications pulmonaires, notamment chez les individus fragiles (femmes enceintes, personnes âgées ou ayant une maladie sous-jacente) : pneumopathies, surinfection bactérienne, aggravation asthmatique, bronchite chronique 6 7

5 RECOMMANDATIONS GÉNÉRALES Penser à se faire vacciner, le réflexe adulte pour rester protégé. en cas de vaccination de la population inférieure à 70% des maladies peuvent ressurgir Êtes-vous à jour? Le réflexe de protection le plus facile et le plus efficace La vaccination permet de lutter contre des maladies qui peuvent être graves et qui, pour certaines, ne peuvent pas être traitées de manière efficace. Elle déclenche la formation d anticorps qui protègent contre ces infections. Son efficacité est telle qu elle a même permis de faire disparaître certaines maladies dans le monde (variole) ou en France (poliomyélite). Mais attention : en cas de vaccination de la population inférieure à 70%, ces maladies peuvent ressurgir! Alors, n oublions pas : on se vaccine pour soi-même, mais aussi pour protéger sa famille et son entourage. Notamment les plus fragiles, tout-petits, femmes enceintes, personnes âgées Pas seulement pour les bébés et les voyages à l étranger! La durée de la protection acquise varie selon les vaccins. Il est donc nécessaire de pratiquer certains rappels pour réactiver cette protection. Savez-vous par exemple qu une coqueluche à l âge adulte peut s avérer redoutable et, de surcroît lorsqu on est jeunes parents être transmise aux nourrissons de moins de trois mois (trop petits pour être vaccinés)? En outre, à certaines étapes de la vie, des vaccins particuliers s avèrent très importants, comme le HPV pour les adolescents ou la grippe pour les séniors. Alors, ne croyez pas que la vaccination ne concerne que le temps du «Carnet de Santé» et les séjours dans des pays étrangers. La vaccination est un rendez-vous prioritaire pour tous, à tout âge, toute la vie. Il est toujours temps de se «mettre à jour» La fameuse formule «être à jour» dans sa vaccination signifie tout simplement que l on a reçu les vaccins recommandés à l âge prescrit et avec le nombre d injections suffisant à la protection. Vous «n êtes pas à jour»? Ne vous inquiétez pas : il n est pas nécessaire de tout recommencer. Il suffit de «rattraper» et de reprendre la vaccination au stade où elle a été interrompue. C est toujours le bon moment d avoir le bon réflexe! Une question? Un conseil? N attendez pas pour en parler à votre pharmacien ou à votre médecin. 8 9

6 LES ANS Tu viens faire du shopping? Le corps est en plein bouleversement. Ce n est pas le moment «d oublier» de raviver la mémoire de ses défenses immunitaires! C est aussi le bon moment, pour les jeunes filles de se prémunir à l égard des infections pouvant perturber leur future vie de femme. Alors, des «piqûres de rappel» de l enfance aux autres vaccins nécessaires pour protéger la santé de votre enfant, il est important de s en préoccuper maintenant! C est ennuyeux? Non, juste sérieux. JE PEUX PAS J AI VACCIN Vos rappels incontournables «Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite» (DTP) : 1 rappel entre 11 et 13 ans. «Coqueluche» : 1 rappel entre 11 et 13 ans. Entre 11 et 13 ans, il est recommandé de réaliser le rappel Diphtérie/Tétanos/Poliomyélite/Coqueluche et le vaccin HPV. Ces vaccins peuvent être réalisés le même jour, en deux sites d injection. Pour les jeunes filles : le vaccin HPV C est quoi, pourquoi moi? Le vaccin HPV (en anglais Human Papilloma Virus) protège contre les virus Papillomavirus Humains qui se transmettent lors des premiers contacts sexuels. «Traîtres», ces virus provoquent des infections génitales féminines très fréquentes mais qui passent souvent inaperçues et disparaissent spontanément. Le danger : si elles persistent, c est leur possible évolution en lésions précancéreuses pouvant se transformer en cancer du col de l utérus (voir détails page 7). Spécialement recommandé aux jeunes filles entre 11 et 14 ans : 2 injections espacées de 6 mois

7 LES ANS Tu viens voir le match? Vous êtes en pleine «force de l âge», sur tous les fronts pour construire votre carrière, votre famille, votre vie. Une étape clé où vous êtes souvent «débordés» entre priorités professionnelles et privées C est justement le moment de prendre le temps de préserver vos forces. Pour vous et vos proches. Vous programmez de faire du sport? Pensez aussi à planifier vos vaccins, et notamment les rappels, qui vont continuer, à l âge adulte, à vous protéger de la contagion de la même façon que quand vous étiez enfant. JE PEUX PAS J AI VACCIN Vos rappels incontournables «Diphtérie-Tétanos-Coqueluche-Poliomyélite» (dtcp) : 1 rappel à 25 ans. «Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite» (dtp) : 1 rappel à 45 ans. Le vaccin qui concerne particulièrement les futurs parents : le vaccin «Coqueluche» Pourquoi est-ce un réflexe responsable? Lorsque les nourrissons de moins de 3 mois (les plus sensibles à la maladie et n ayant pas l âge d en être vaccinés) contractent des formes graves de coqueluche, c est souvent par contamination de leurs parents. Leur appareil respiratoire étant touché, avec violents accès de toux et vomissements, les tout-petits peuvent développer de sévères complications, suffocation, apnée, malnutrition, surinfection pulmonaire (voir détails p.7). La vaccination Diphtérie-Tétanos-Coqueluche- Poliomyélite est recommandée à l âge de 25 ans. Elle pourra être réalisée également tout au long de la vie, pour les personnes non à jour de leur vaccination Coqueluche

8 LES 65 ANS ET + Tu viens garder ton petit-fils? Aujourd hui, la «retraite» est plutôt le départ vers une vraie nouvelle étape. Vous avez l envie et le loisir de vivre au plus proche de vos passions, de vos amis, de vos petits-enfants. Et vous êtes souvent très sollicités! Plus que jamais, on a besoin de vous et de votre vitalité. Plus que jamais, vous êtes en contact avec vos proches et leurs petits. Alors, oui, se faire vacciner «c est de votre âge». N oubliez pas les rappels DTP (notamment contre le tétanos si vous jardinez ou bricolez) et ayez chaque année le réflexe de protection contre la grippe. Faites attention aux autres autant qu à vous-mêmes. JE PEUX PAS J AI VACCIN Vos rappels incontournables «Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite» (dtp) : 1 rappel à 65 ans, puis tous les 10 ans. Le vaccin qui concerne particulièrement les «séniors» : le vaccin «Anti-Grippe» Pourquoi est-ce important et pourquoi tous les ans? Infection respiratoire aiguë mais généralement bénigne quand on est dans la force de l âge, la grippe peut provoquer des complications de plus en plus dangereuses, voire mortelles, avec les années. Et ce, d autant plus qu elle est extrêmement contagieuse. La liste est longue : infection bactérienne, pneumonie, atteinte pulmonaire susceptible de dégénérer en insuffisance respiratoire, défaillance cardio-respiratoire, atteinte neurologique... Par ailleurs, les virus grippaux évoluant très vite, la composition des vaccins s adaptent à leur mutation chaque automne (voir détails p.7). Spécialement recommandé aux 65 ans et plus : chaque année! 14 15

9 À chaque étape de la vie, ses mises à jour HPV COQUELUCHE à 25 ans ans ans 65 ans et + DTP GRIPPE jepeuxpasjaivaccin.fr TN Crédits photos : Thinkstock.fr Aquitains, pensons à nos vaccins Vous protéger, c est protéger les autres DTP GRIPPE COQUELUCHE HPV

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