Tuberculose bovine. Situation actuelle

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1 Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1

2 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier cas en 2000 (source humaine) Abandon de la surveillance active par le test intradermique en 1997 Le contrôle des viandes constitue un pilier de la surveillance 2

3 Tuberculose bovine Une vache née le 31 janvier 2002 dans le Gibloux a présenté des lésions typiques de tuberculose bovine lors de son abattage le 4 mars La suspicion de tuberculose bovine a été confirmée par le laboratoire national de référence: Mycobacterium bovis 3

4 La maladie Mycobacterium bovis et Mycobacterium tuberculosis qui sont des bactéries en bâtonnets aérobies. La ténacité relativement élevée, y compris une résistance élevée é aux acides, aux bases et aux alcools, l toutefois les mycobactéries sont rapidement détruites par les rayons UV, le rayonnement solaire et les températures > 65 C. Les mycobactéries contenues dans le lait sont inactivées par la pasteurisation. ti Espèces touchées: mammifères, oiseaux et homme 4

5 Agent infectieux Mycobacterium bovis: l hôte principal p est le bovin. M.bovis est le principal agent infectieux chez les animaux domestiques, les animaux sauvages et de zoo. Les oiseaux, y compris la volaille, sont résistants. Mycobacterium tuberculosis: l hôte principal est l être humain et certaines espèces de singes (primates). Chez les animaux domestiques (bovins, ovins, caprins, porcs, chevaux, chiens, chats). La volaille est résistante. t 5

6 Clinique et pathologie Chez les bovins adultes, la période d incubation peut durer des mois, voire des années. La maladie évolue de manière subclinique ou sous forme d une maladie chronique, débilitante avec une hypertrophie p des ganglions g lymphatiques, une fièvre intermittente, une baisse de la production laitière et une perte de poids. Dans le cas de la tuberculose bovine, les poumons constituent généralement la porte d'entrée, evt. Les intestins chez le veaux Les jeunes animaux peuvent contracter une pneumonie aiguë et fébrile, et mourir en l espace de 1 à 2 semaines Seules 1 à 2 % des vaches infectées présentent au niveau des pis des lésions permettant le passage de l agent dans le lait. Parmi celles qui ont une réaction positive au test à la tuberculine, 4 à 6 % élimineraient des mycobactéries par cette voie 6

7 Epidémiologie Chez les bovins, excrétion de l agent essentiellement dans le mucus bronchique et dans le lait. Cependant, l élimination peut aussi avoir lieu par les écoulements vaginaux, les fèces, l urine ou la semence. La transmission aérogène conduisant à la tuberculose pulmonaire, est la plus fréquente. La transmission alimentaire peut être rarement observée. Les personnes infectées par M. bovis peuvent représenter une source de contamination pour les bovins. La faune sauvage constitue un réservoir d infection. 7

8 Développement Foyer primaire infecté depuis au moins 3 ans Exploitation laitière sans symptôme particulier 16 bovins infectés avec M. bovis spp. Bovis Source pour le moment inconnue (humaine?) Actuellement 9 foyers dans 3 cantons en contact avec le foyer primaire Test cutané sur plus de 5000 bovins. Jusqu à maintenant qque 150 bovin ont réagi au test t cutané 8

9 Art. 162 OFE Mesures en cas de suspicion 1 En cas de suspicion de tuberculose ou lorsque des animaux ont été exposés à la contagion, le vétérinaire cantonal ordonne le séquestre simple de premier degré sur le troupeau jusqu à ce que la suspicion soit infirmée. 2 La suspicion est considérée comme infirmée lorsque: a. l animal suspect a été abattu et qu aucun agent n a été mis en évidence et lorsque l épreuve tuberculinique chez tous les bovins âgés de plus de six semaines a donné exclusivement un résultat négatif; b. deux épreuves tuberculiniques de tous les bovins âgés de plus de six semaines ont exclusivement donné un résultat négatif. Le deuxième examen ne peut être effectué que 40 jours au plus tôt après le premier. 9

10 Art. 163 OFE Mesures en cas de constat 1 En cas de constat de tuberculose, le vétérinaire cantonal ordonne le séquestre simple de premier degré sur le troupeau contaminé. Il ordonne en outre: a. l isolement immédiat des animaux contaminés ou suspects; a bis. l abattage des animaux suspects et la mise à mort des animaux contaminés dans un délai de 10 jours; b. l élimination du lait d animaux contaminés ou suspects comme sous-produits animaux de catégorie 2 au sens de l art. 6 OESPA3, ou sa cuisson et son utilisation dans le troupeau même pour l alimentation des animaux; c. le nettoyage et la désinfection des étables. 2 Le séquestre est levé lorsque deux examens de tous les bovins âgés de plus de six semaines ont donné des résultats entièrement négatifs. Le premier examen peut être effectué au plus tôt 60 jours après l élimination du dernier animal suspect ou contaminé, et le second au plus tôt 40 jours après le premier examen. 10

11 Art. 165 OFE Examen de contrôle Une année après la levée du séquestre, tous les bovins du troupeau âgés de plus de six semaines doivent être réexaminés quant à la tuberculose. La caisse d assurance du bétail couvre les pertes qui sont abattus ou éliminés sur ordre du Vétérinaire cantonal ou succombent à la tuberculose 11

12 Diagnostic Le diagnostic de la tuberculose bovine est compliqué par le fait qu il n existe pas de méthode de diagnostic de référence. L examen par culture (très spécifique) a une sensibilité d environ 30%. La PCR ne permet de détecter qu environ 70% des échantillons positifs. Le test intradermique à deux tuberculines a une sensibilité d environ 80%. Tests sanguins (non validés): Gamma-Interferon : détecte les antigènes par stimulation de lymphocytes en phase expérimentale Inconvénient : le sang prélevé dans des tubes spécifiques soit être analysé dans les 4 heures ; logistique impossible selon taille et emplacement des troupeaux. Elisa : détection des anticorps qui peut être assez tardive (jusqu à deux ans après infection), peut réagir à la tuberculination si injection sous-cutanée. 12

13 Test intradermique de sensibilité à la tuberculine Le site d injection de la tuberculine se situe dans la région médiane du cou. En cas d administration simultanée de deux tuberculines (test simultané), la tuberculine e aviaire a sera injectée à environ 10 cm sous la ligne de la nuque et la tuberculine bovine à environ 12 cm sous le site d injection de la tuberculine aviaire. Les sites d injection doivent être tondus. L épreuve à la tuberculine intradermique comparative est utilisée pour différencier les animaux infectés par M. bovis de ceux sensibilisés à la tuberculine bovine par suite de l exposition à d autres mycobactéries. Cette sensibilisation peut être attribuée à une importante réaction croisée antigénique parmi les espèces de mycobactéries et les genres apparentés. Avant d injecter la tuberculine, il faut mesurer l épaisseur du pli de peau au moyen d un cutimètre. La tuberculine doit être injectée par voie intradermique. 13

14 Interprétation des résultats Dans l interprétation de l épreuve intradermique comparative, une réaction est positive si l augmentation de l épaississement de la peau au site de l injection bovine est de 4 mm supérieure àaréactionmontréeausitedel injection au injection avaire. La réaction est douteuse si l augmentation de l épaississement au site d injection bovine est de 1 à 4 mm supérieure à la réaction aviaire. La réaction est négative si l augmentation de l épaississement de la peau au site de l injection bovine est inférieure ou égale à l augmentation de la réaction de la peau au site de l injection aviaire. 14

15 15

16 Lait D après des études réalisées en France, la concentration des germes excrétés dans le lait se situerait aux alentours de 1000 bactéries/ml. Dans une étude suisse, les quantités trouvées dans le lait cru naturellement contaminé étaient nettement plus faibles, de l ordre de 1 à 10 bactéries/ml. Il ne peut pas y avoir de très grandes quantités de germes excrétées sans tuberculose des pis manifeste. Or, M. bovis ne provoque que très rarement des mastites cliniques. M. bovis ne se multiplie pas dans le lait. L infection ne touche que quelques vaches et non pas le troupeau tout entier. Le mélange, dans les centres de collecte, du lait provenant des animaux touchés avec du lait non contaminé a pour effet de diminuer encore la concentration des germes. Le traitement thermique du lait permet d éliminer M. bovis Ainsi, M. bovis est totalement éliminé par la pasteurisation (c est- à-dire, pour le lait, en le faisant chauffer au minimum à 72 C pendant 15 secondes). 16

17 Estivage 2013 Pas de mesures généralisées sur les alpages. En effet le risque n a pas augmenté, il a evt diminué par rapport aux années précédentes, dès lors que les animaux dépistés positivement t en 2013 ont été éliminés. i é Les exploitations dans lesquels des cas ont ét détectés sont sous séquestre. Si nécessaire, il faudra envisager des solutions pour certaines exploitations sous séquestre, notamment l estivage sur des pâturage sans mélange. Les tests de contrôles seront poursuivis sauf cas particuliers, après la désalpe. 17

18 Conclusions Objectif principal, conserver le statut indemne. Historiquement, la lutte contre la tuberculose a été instaurée en raison de son caractère zoonotique Aujourd hui, en raison de la faible prévalence, les enjeux sont essentiellement économiques Piliers de la surveillance: les enquêtes épidémiologiques et le contrôle des viandes 18

19 Informations OVF /01088/index.html?lang=fr OFSP /01108/index.html?lang=fr SCAV p contre-les-epizooties/ 19

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