LA RESPONSABILISATION DES CONSOMMATEURS : TOUT UN TRAVAIL D É ÉDUCATION
|
|
- Lucienne Prudhomme
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LA RESPONSABILISATION DES CONSOMMATEURS : TOUT UN TRAVAIL D É ÉDUCATION PLAN DE PRÉSENTATION 1. Contexte régional en Afrique de l ouest 2. Contexte national togolais 3. Pourquoi une telle situation? 4. La consommation locale entre doutes et espoirs 5. Conclusion
2 1. CONTEXTE RÉGIONAL EN AFRIQUE DE L OUEST Ce contexte est marqué par : Une situation alimentaire encore précaire Entre 19 et 35% de la population selon les pays sont sous alimentés Une autosuffisance et une sécurité alimentaires mises à mal par les crises récurrentes Sécheresse, invasion des criquets, inondation UNE SOUVERAINETÉ ALIMENTAIRE À CONSTRUIRE: De 1995 à 2006, les importations alimentaires de l Afrique de l Ouest ont augmenté de 230 % (dix fois plus vite que la population). De 2000 à 2006, le déficit alimentaire de l Afrique de l Ouest est passé de 393 millions de $ à millions de $ (le déficit à donc été multiplié par 5,4 en 6 ans). Toujours de 2000 à 2006, les importations de riz ont doublé, et celles de poudre de lait grasse ont été multipliées par 2,3.
3 L AFRIQUE DE L OUEST DOIT AUSSI RÉPONDRE À UN DÉFI Comment satisfaire les besoins alimentaires d une population en forte croissance et de plus en plus urbaine? REGARDONS LES CHIFFRES: De 1960 à 2005, la population en Afrique de l Ouest est passée de 78 à 260 millions, soit un Triplement, et vers les années 2020, cette partie du globe comptera 400 millions d âme! La population est très jeune : Plus de 55% ont un âge inférieur à 20 ans!
4 EN PLUS, LA RÉGION EST EN FORTE URBANISATION: 13% en % en % en 2020 Comment alors nourrir toute cette population des villes lorsqu il y aura moins de paysans? 2. CONTEXTE NATIONAL TOGOLAIS Superficie: km2 Population: hbts en 2007 Population urbaine: 41% Croissance urbaine: 3,8% par an (Lomé: 4,8%) Population pauvre: 61,7% La pauvreté est rurale: 79,7%
5 AU TOGO, SELON LE DOCUMENT DE STRATÉGIE DE RÉDUCTION DE LA PAUVRETÉ le secteur agricole occupe 70% de la population active. L agriculture seule représente 40% du PIB Malheureusement, les dépenses publiques affectées à l agriculture ont connu un véritable effondrement. Elles sont passées de 13% du budget national dans les années 80 à 1, 85% en 2007! En 2009, l agriculture a représenté 6,4% du budget national. TABLEAU DE COMPARAISON DU REVENU ET DES DÉPENSES ANNUELLES PAR HABITANT (EN EURO) D après une étude réalisée par le FIDA en 1993 Avé Golfe Lacs Vo Yoto Zio Moyenne Revenu 23,82 23,37 19,20 15,77 22,29 27,05 20,98 Dépenses 60,08 66,74 56,64 64,46 95,29 97,40 76,89 Solde -36,26-43,37-37,44-48,69-73,00-70,35-60,48
6 D APRÈS LA THÈSE DE DOCTORAT EN 2005 DE M. VINYI AMOUZOU Les conditions de vie des populations rurales sont devenues très médiocres. L'alimentation journalière est le problème fondamental. La préparation des repas n'est pas régulière, faute d'approvisionnement. Même si les membres du ménage arrivent à s'offrir un repas, il est souvent déséquilibré. Le régime alimentaire est essentiellement lié aux habitudes alimentaires et est constitué d'ingrédients les moins chers. Ainsi, certaines familles ne préparent qu'un seul repas par jour avec des denrées à la portée de leur pouvoir d'achat et plus faciles à trouver sur les marchés.
7 SELON L ENQUÊTE QUIBB ,1% de la population togolaise est sous alimentée En milieu rural, ce taux est de 47,1% POURQUOI UNE TELLE SITUATION? La baisse constante du prix des produits agricoles sur les marchés internationaux La libéralisation des échanges internationaux et l ouverture des marchés à la concurrence Le difficile accès aux moyens de production par les paysans dans les pays du Sud
8 A CELA IL FAUT AJOUTER L absence au niveau des États des pays du Sud, d une véritable politique agricole Et au sein de la population desdits pays, l extériorisation de leur mode de consommation Pour sortir de cette situation : La souveraineté alimentaire Définie comme :
9 «Le droit des peuples et des États à définir leurs propres politiques en matière d agriculture, de pêche et d alimentation qui leur sont appropriés aux niveaux environnemental, social, économique et culturel. La souveraineté alimentaire promeut le droit à l alimentation pour toute la population sur la base de la production locale des petits et moyens producteurs, en respectant ainsi la culture et la diversité des communautés paysannes, de pêcheurs et des Peuples Autochtones, leurs modes et moyens de production, de distribution et de commercialisation ainsi que leur gestion des zones rurales, dans lesquelles les femmes jouent un rôle fondamental.»
10 LA CONSOMMATION LOCALE COMME REMÈDE Si c est la production locale qui doit satisfaire la demande locale, il faut que les consommateurs soient prêts à consommer ce qui est localement produit. Or dans nombre de pays en Afrique, en tout cas en Afrique de l ouest, tel n est pas encore le cas. LA CONSOMMATION LOCALE, LES DOUTES.
11 La mentalité des consommateurs: consommer ce qui vient de l extérieur est valorisant pour eux (esprit snob) Ce qui vient de l extérieur est mieux que ce qui vient de chez soi Les séquelles du colonialisme: ce que fabrique le blanc est mieux (le complexe d infériorité) Le réflexe d acheter toujours moins cher LE RÔLE DES MÉDIAS La publicité à outrance des produits importés (pour faire des recettes) La quasi absence de publicité sur les produits locaux La dominance des productions audiovisuelles extérieures sur les télévisions nationales et privées promouvant ainsi un mode de vie calqué plus sur celui de l occident
12 DU CÔTÉ DES PRODUCTEURS/TRICES Leur faible capacité à innover, à s organiser et à satisfaire la demande Le cas du riz Délice au Togo Leur difficile accès aux ressources de production QUANT AUX TRANSFORMATEURS/TRICES Leurs plus gros problèmes sont: Où trouver l argent pour investir (recherche, équipements, emballages, publicité )? Le cas de SOCMEL au Togo Comment mettre en place et développer un circuit de distribution? Le cas de GAFIES au Togo
13 LE RÔLE DE L ÉTAT C est là où le doute est le plus gros: Absence de politique agricole dans une vision de souveraineté alimentaire ou si elle existe (Mali, Sénégal), elle n est pas effectivement appliquée Cas de consommer produits togolais! Contradiction entre politiques nationales et communautaires Cas de la CEDAO (1975) et de l UEMOA (1994) Absence de volonté politique de faire de l agriculture une priorité tant des bailleurs de fonds. Regardons le graphique suivant produit par la FAO :
14 ÉVOLUTION À LONG TERME DE L AIDE EXTÉRIEURE À L AGRICULTURE, (EN PRIX CONSTANTS DE 2000) que des États Exemple de la décision des chefs d État à Maputo en 2003 Poursuite de plusieurs lièvres à la fois: OMD, NEPAD, DSRP, APE
15 EN CONCLUSION POUR LES DOUTES Il y a un grand travail à faire: Au niveau des consommateurs Au niveau des transformateurs Au niveau des producteurs Au niveau des bailleurs de fonds Au niveau des États et des organisations internationales LES ESPOIRS
16 Une prise de conscience naissante Mon exemple personnel Gandhi: Soyons nous-mêmes le changement que nous voulons dans le monde Une éducation populaire des consommateurs en marche sur le continent et dans de nombreux pays avec plusieurs acteurs différents: La campagne Afrique nourricière du ROPPA Le forum de la SA du ROPPA à Niamey en novembre 2006 La sensibilisation des consommateurs Cas de la Ligue pour la Défense des Consommateurs au Bénin (LDCB) Le séminaire sous régional en octobre 2007 de l UPA DI avec le ROPPA et les leaders des organisations paysannes de l Afrique de l Ouest sur comment rendre concret le concept de la SA
17 Nyéléni 2007 Réaffirmer la souveraineté alimentaire Renforcer la construction d'un rapport de forces pour conquérir la souveraineté alimentaire Obtenir la reconnaissance du droit à la souveraineté alimentaire La mobilisation citoyenne contre les APE La transformation de plus en plus de produits variés, mieux hygiéniques et mieux présentés Cas de GAFIES, de RIMOUSKY, de SOCMEL, de BOMACO Les exemples des étudiants en Technologie Alimentaire de l Université de Lomé (Jus de maïs, la bière locale à base de mil, la boisson de Gingembre en bouteille gazéifiée) La recherche locale par des instituts Exemples du pain à base de manioc ou de sorgho au Togo
18 Le service traiteur des femmes de la plate forme paysanne du Niger Les restaurants avec des plats traditionnels, exemples de Ibrahim Tounkara à Bamako et de Blandine Sankara à Ouaga Les récentes crises financières et alimentaire qui confirment les échecs des politiques néo libérales et rappellent la nécessité d accorder une attention particulière à la question agricole La campagne ALIMENTERRE de l OADEL depuis 2005 au Togo Le 1 er Festival de Films ALIMENTERRE en Afrique qui a lieu à Lomé en cette année 2009
19 Nous sommes notre remède Merci de votre aimable attention!
Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude
Note d information / Politiques agricoles n 13 Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude 27 mai 2013 / Sélection par l équipe technique RECA RECA Réseau
Plus en détailREPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION
REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET
Plus en détailQui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité.
Pedro Tamacha 9 Normalement, Pedro devrait consommer 3 100 kcal/jour pour être en bonne santé et avoir une activité normale, il lui manque 800 calories. 9 Son régime alimentaire est composé de riz, pommes
Plus en détailPROGRAMME D APPUI AUX ORGANISATIONS PAYSANNES AFRICAINES (PAOPA) PHASE PRINCIPALE DOCUMENT DE PROGRAMME REGIONAL
PROGRAMME D APPUI AUX ORGANISATIONS PAYSANNES AFRICAINES (PAOPA) PHASE PRINCIPALE DOCUMENT DE PROGRAMME REGIONAL 2 SFOAP Main Phase Regional Programme Documents - PAFO Table des matières I. Et si nous
Plus en détailPrésenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq
Plus en détailFORUM INTERNATIONAL DU DAKAR-AGRICOLE
FORUM INTERNATIONAL DU DAKAR-AGRICOLE La fracture agricole mondiale : «Ouvrir des perspectives pour les espaces en développement» 4 et 5 février 2005 Rapport - ATELIER 2A Thème : Les modèles économiques
Plus en détail23 ème Edition de la Commission des Statistiques Agricoles pour l Afrique (AFCAS)
23 ème Edition de la Commission des Statistiques Agricoles pour l Afrique (AFCAS) Rabat (Maroc) du 04 au 07 décembre 2013 PLAN DE PRÉSENTATION (1/2) La description du 4 ème RNA; La méthodologie utilisée;
Plus en détailPLAN R E V A RETOUR VERS L AGRICULTURE
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------ MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L HYDRAULIQUE RURALE ET DE LA SECURITE ALIMENTAIRE ------------ NOUVELLE ORIENTATION DE LA POLITIQUE AGRICOLE
Plus en détailTITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)
TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en
Plus en détailDocteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV
Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV 1 CONTEXTE EN ALGERIE Recrudescence des TIA HACCP obligatoire depuis 2010 Mise à niveau
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailTHEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE
RESEAU DES CAISSES POPULAIRES DU BURKINA ********************************* Fédération des Caisses Populaires du Burkina (F.C.P.B.) Tél.: 50.30.48.41, Fax : 50.30.49.10 ; E-mail : fcpb@fasonet.bf ; Adresse
Plus en détailPar Akoété Ega AGBODJI FASEG/Université de Lomé
CSI- Afrique Renforcement des interventions dans le domaine de la politique économique et sociale Atelier de développement des compétences des chercheurs des syndicaux Session 6 Les méthodes et procédures
Plus en détailPLAN D'ACTION POUR UNE GESTION APAISEE DE LA TRANSHUMANCE TRANSFRONTALIERE ENTRE LE SAHEL ET LA COTE
1 PLAN D'ACTION POUR UNE GESTION APAISEE DE LA TRANSHUMANCE TRANSFRONTALIERE ENTRE LE SAHEL ET LA COTE 1. LE RENFORCEMENT DE LA COMPLEMENTARITE DES ACTIVITES AGRICOLES ET D'ELEVAGE, UN LEVIER VITAL POUR
Plus en détailLes économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique
Les économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique Ce bref portrait statistique porte sur l Afrique de l Ouest, région qui regroupe ici les quinze pays membres de la CEDEAO (Communauté Economique
Plus en détailméthodologiquem Quelques précautions
Atelier régional r méthodologiquem «Les prix de parité à l importation du riz et du maïs s en Afrique de l Ouestl» Quelques précautions Calculer des prix de parité en se basant sur les prix et les coûts
Plus en détailLa plateforme de micro-dons du CCFD-Terre solidaire
La plateforme de micro-dons du CCFD-Terre solidaire DOSSIER DE PRÉSENTATION S o m m ai r e SolidaireVille, plateforme innovante de micro-dons. Une première!...3 Des projets au service du développement
Plus en détailComité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.
Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente
Plus en détailPROGRAMME BOURSES D'ETUDES ET DE STAGES «HORS PROJET»
PROGRAMME BOURSES D'ETUDES ET DE STAGES «HORS PROJET» Cette brochure présente les différentes possibilités de financement octroyées par l Agence belge de développement aux ressortissants maliens qui désirent
Plus en détailPARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE
PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan
Plus en détailBOAD en Bref. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
BOAD en Bref Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT LA BANQUE OUEST AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT EN BREF 1. CRÉATION ET OBJET La Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) est l institution
Plus en détailAccès des populations rurales au capital en Agroland
PROGRAMME DE FORMATION AUX POLITIQUES DE LA FAO Programme de renforcement des capacités sur les politiques et les stratégies relatives à l'agriculture et au développement rural Ressources en ligne pour
Plus en détaildemain Aujourd hui ACDIC A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS
ACDIC Aujourd hui & demain A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS D. QUATRE THEMES D ACTIONS PRIORITAIRES E. NOS AMBITIONS
Plus en détailLe FMI et son rôle en Afrique
Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détaildiffusion externe les services d'orange pour l agriculture en Afrique
les services d'orange pour l agriculture en Afrique ce catalogue a pour objectif d éclairer sur les méthodes développées par Orange pour améliorer la productivité dans le monde rural 2 sommaire 1 2 3 l'apport
Plus en détailPRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC
PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC 1. INTRODUCTION 2. ETAT DES LIEUX PLAN 3. PROBLEMATIQUE DE LA DEGRADATION DES TERRES ET DE LA
Plus en détailValencia (Spain) info@tigernuts.com - www.tigernuts.com. Valencia (Spain)
La «noix tigrées» et la pêche á la Carpe Valencia (Spain) 1 Tigernuts Trader S.L., est le leader mondial dans l exportation de noix tigrée et de ses dérivées La noix tigrée, est un tubercule d une exquise
Plus en détailLe fonds de dotation. Titre. www.artisandumonde.org
Le fonds de dotation d Artisans du Monde Faire un don Pour construire un monde plus juste au Nord comme au Sud Titre Crédit photo : Ellas Cuentan www.artisandumonde.org 1 Fonds de dotation d Artisans du
Plus en détailSpécialisation ou diversification?
A Partnership Funded by the Howard G. Buffett Foundation Spécialisation ou diversification? Perspectives divergentes sur la riziculture irriguée par trois grands barrages dans le Sahel Bara Guèye Global
Plus en détailImpact économique du secteur des coopératives. George Karaphillis CED Institute, Cape Breton University
Impact économique du secteur des coopératives George Karaphillis CED Institute, Cape Breton University Tendances Les coopératives au Canada 350 300 250 200 150 100 50 0 Les coopératives en Nouvelle- Écosse
Plus en détailSanté Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad
Santé Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad Notre projet en 2009 Prendre soin des orphelins, des nouveaux-nés, des femmes ayant des problèmes d allaitement, des prématurés et des enfants malnutris
Plus en détailN 200. 31 août 2012. Chers lecteurs des Bulletins de veille d Inter-réseaux,
N 200. 31 août 2012 Chers lecteurs des Bulletins de veille d Inter-réseaux, Avant la publication de ce 200 ème numéro, nous vous avions proposé de vous exprimer sur ce produit phare d Inter-réseaux : est-ce
Plus en détailINTEGREE DES RESSOURCES EN EAU
Forum de l eau de Kyoto Contribution à la session du RIOB «Les progrès réalisés dans le monde dans la gestion intégrée des ressources en eau par bassin» GESTION INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Par M. Jean-Michel
Plus en détailElaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008
AFRITAC de l Ouest (AFW) Abidjan Côte d Ivoire SÉMINAIRE Elaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008 Institut national de la
Plus en détailAtelier sur le Financement de la Filière Coton en Côte d'ivoire: Création d'un Fonds de Garantie
Atelier sur le Financement de la Filière Coton en Côte d'ivoire: Création d'un Fonds de Garantie René AZOKLY/ Président du Fonds International de Garantie Les Fonds de Garantie en Afrique de l'ouest: Particularités,
Plus en détailEn Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures
En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures 1 Introduction I Cette étude considère l urbanisation comme
Plus en détailINTERPRETER UN RAPPORT ACTUARIEL Sélection des hypothèses actuarielles dans le contexte africain Par Papa Babou NDIAYE, Directeur des Etudes
INTERPRETER UN RAPPORT ACTUARIEL Sélection des hypothèses actuarielles dans le contexte africain Par Papa Babou NDIAYE, Directeur des Etudes IPRES_SENEGAL Responsabilité d un administrateur Les évaluations
Plus en détailCORRECTION BREVET BLANC 2015 PREMIER PARTIE/HISTOIRE
CORRECTION BREVET BLANC 2015 PREMIER PARTIE/HISTOIRE 1/ en 1804 2/ le second empire 3/JULES FERRY 4/régime de Vichy : 1940/1944 La collaboration caractérise ce régime. Par exemple, la milice française
Plus en détailCONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole
CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie
Plus en détailPlan d Investissement Agricole 2010 2015
REPUBLIQUE DU BENIN Fraternité- Justice- Travail ********** MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE ********** MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Plan d Investissement Agricole 2010
Plus en détailComment utilisons-nous notre argent?
Comment utilisons-nous notre argent? L'alimentation et le logement constituent les deux dépenses les plus importantes des ménages antillo-guyanais. C'est pour leur logement que les ménages dépensent le
Plus en détailNote Simplifiée. UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------ PROJET D APPUI A L EXTENSION DE LA COUVERTURE DU RISQUE MALADIE DANS LES PAYS MEMBRES DE L UEMOA Note Simplifiée
Plus en détailINTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général --------
INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général -------- Colloque UEMOA-CRDI, du 08-10 Décembre 2009, Ouagadougou Samuel T. KABORE; Dieudonné OUEDRAOGO,
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailRestauration collective
Dossier de presse Février 2014 Restauration collective La portion de fromage emballée individuellement un atout dans la lutte contre le gaspillage alimentaire Contacts presse : agence becom! T. 01 42 09
Plus en détailC est quoi le District Health Information Software 2?
Introduction Actions entreprises C est quoi le Health Information Software 2? Avantages Inconvénients Conclusion Le système d information sanitaire est l un des piliers du Système de Santé Il contribue
Plus en détailPrésenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
PERSPECTIVES DES MARCHES D ASSURANCES AFRICAINS Présenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème qui nous a été confié porte sur les
Plus en détailCouverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)
Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour
Plus en détailRéunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire
Réunions publiques janvier 2013 Présentation du Débat d Orientation Budgétaire 7 février 2011 LE CONTEXTE Une économie mondiale très ralentie En zone Euro : des incertitudes autour de la crise de la dette
Plus en détail,,ÉTUDES ET RECHERCHES SUR LA DISTRIBUTION, LA PROMOTION ET LA VALORISATION DES PRODUITS DE BOULANGERIE DANS LE MUNICIPE DE CONSTANŢA
RESUMÉ Mots clés : marketing, produits alimentaires, stratégies La thèse de doctorat intitulée,,études ET RECHERCHES SUR LA DISTRIBUTION, LA PROMOTION ET LA VALORISATION DES PRODUITS DE BOULANGERIE DANS
Plus en détailUniversita Degli Studi di Milano. Facoltà di Agraria. Dipartimento di Economia e Politica Agraria Agro-alimentare e Ambientale
Universita Degli Studi di Milano Facoltà di Agraria Dipartimento di Economia e Politica Agraria Agro-alimentare e Ambientale Seminari del CICSAA Centro Interuniversitario per la Cooperazione allo Sviluppo
Plus en détailHORAIRES D'ACCUEIL DU PUBLIC. Sommaire
HORAIRES D'ACCUEIL DU PUBLIC Sommaire Préfecture Sous-préfectures Direction départementale des territoires (énergie, déchets, prévention des risques, aménagement du territoire, urbanisme, logement, agriculture,
Plus en détailPlateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité
Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité 23 Novembre 2012 Pour diffusion publique Résumé Exécutif Une opportunité Pour un opérateur privé, la plateforme d'informations
Plus en détailGroupe SOEXIMEX. Secteur d activité. SOEXIMEX Un acteur majeur du commerce international. Histoire Chiffres clés Activités
SOEXIMEX Un acteur majeur du commerce international La SOEXIMEX a été fondée en 1963. Son siège social se situe à Saint-Denis, au nord de Paris. Aujourd hui considérée comme un acteur majeur du commerce
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détailLa culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT
La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT SOMMAIRE Introduction... 2 I. Aperçu sur le fondement de la gestion axée sur les résultats... 3 1.1. De nouveaux
Plus en détailPlan d orientations stratégiques 2012-2016
Plan d orientations stratégiques 2012-2016 Agence Française de Développement Établissement public, l Agence Française de Développement (AFD) agit depuis soixante-dix ans pour combattre la pauvreté et favoriser
Plus en détail"LE PARCOURS" L EXPERIENCE DE LA FONGS EN MATIERE DE FORMATION :
République du Sénégal Fédération des Organisations Non Gouvernementales du Sénégal FONGS - ACTION PAYSANNE B.P. 269 THIES, Tél. 939 58 58 Fax : 951.20.59/@ : fongs@orange.sn Web : www.fongs.sn L EXPERIENCE
Plus en détailRÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013
RÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013 [Include National Partner logo] www.afrobarometer.org www.crop-africa.org 1 [Include National Partner logo] Afrobaromètre:
Plus en détailEvaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo
Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537
Plus en détailFormation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence
Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds Termes de référence 1 1. Contexte et justification La formation en recherche de financement s inscrit dans le cadre du programme «Promouvoir l
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailet à Hammamet (en Tunisie) 4, en mars 2013. Ces consultations ont été complétées par une enquête en ligne 5 amorcée en 2011.
Document final des consultations régionales sur le programme de développement après-2015 Contexte Partout dans le monde, les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) ont généré des actions de
Plus en détailAGENCE FRANCAISE DE DEVELOPPEMENT. Commission de l UEMOA
NCO NOTE DE COMMUNICATION PUBLIQUE D OPERATION AGENCE FRANCAISE DE DEVELOPPEMENT Commission de l UEMOA Projet d appui à l extension de la couverture du risque maladie dans les États membres de l UEMOA
Plus en détailFRAMEWORK CONVENTION ON CLIMATE CHANGE - Secretariat CONVENTION - CADRE SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES - Secrétariat
UNITED NATIONS NATIONS UNIES FRAMEWORK CONVENTION ON CLIMATE CHANGE - Secretariat CONVENTION - CADRE SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES - Secrétariat Atelier de formation à la mise en oeuvre des programmes
Plus en détailRéduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?
Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants
Plus en détailPRESENTATION DES PROGRAMMES
REPUBLIQUE DE CÔTE D IVOIRE UNION DISCIPLINE - TRAVAIL PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE (PNIA 2010 2015) PRESENTATION DES PROGRAMMES ((Documentt proviissoiire)) Mai 2010 Table des matières
Plus en détailRAPPORT D ETUDE FINAL RAPPORT FINAL
Groupe de recherche et d échanges technologiques RAPPORT D ETUDE FINAL Etude prospective sur les mesures de protection nécessaires pour le développement du secteur agricole en Afrique de l Ouest (illustration
Plus en détailOffre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD
Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD Plan 1. Offre et demande potentielle dans la zone ECOWAS 2. Offre potentielle au Mali 3. Marché au nord du Mali (Gao Algérie) 4. Estimation
Plus en détailUnion Economique et monétaire Ouest Africaine!"#$ $% &
Union Economique et monétaire Ouest Africaine!"#$ $% & '( L enquête 1-2-3 dans les Etats membres de l UEMOA Le Programme régional d'appui statistique à la surveillance multilatérale des pays de l'uemoa
Plus en détailPOLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement
Plus en détailla solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire
la solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire HISTORIQUE Le Centre pour le Développement des Exportations Africaines CEDEXA S.A. CEDEXA
Plus en détailRapport de revue technique indépendante. Programme national d investissement prioritaire dans le secteur agricole (PNIP-SA) MALI
Rapport de revue technique indépendante Programme national d investissement prioritaire dans le secteur agricole (PNIP-SA) MALI Mali Version date: 27 Septembre 2010 1 Résumé Analytique : Principales conclusions
Plus en détail50e anniversaire des indépendances africaines et malgache
50e anniversaire des indépendances africaines et malgache 1960-2010 29 Hommage aux anciens combattants africains et malgaches Dans le cadre des célébrations officielles du cinquantième anniversaire des
Plus en détailLEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER
LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire
Plus en détailCARACTERISTIQUES DU SYSTEME FISCAL NIGERIEN :
Niamey, le Affaire suivie par : Kamayé Amadou CARACTERISTIQUES DU SYSTEME FISCAL NIGERIEN : Le système fiscal nigérien est fondamentalement déclaratif. Il est constitué d impôts de diverses natures que
Plus en détailL'amélioration des performances économiques des territoires : méthodologie des cartes de performance. Application à la liaison Grenoble Sisteron
L'amélioration des performances économiques des territoires : méthodologie des cartes de performance Application à la liaison Grenoble Sisteron **** 1 Sommaire Introduction : les facteurs de développement
Plus en détailETUDE SUR LA RECHERCHE & DEVELOPPEMENT
MINISTERE DE L'INDUSTRIE REPUBLIQUE TOGOLAISE DU COMMERCE ET DU Travail-Liberté-Patrie DEVELOPPEMENT DE LA ----------------- ZONE FRANCHE --------------- PROJET DE DEVELOPPEMENT DU SECTEUR PRIVE -----------------
Plus en détailDébat participatif. La vie chère. «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse»
Débat participatif La vie chère «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse» Ségolène ROYAL Les enjeux de notre débat : Réconcilier les Français
Plus en détailPLAN DE SECURITE ALIMENTAIRE COMMUNE RURALE DE TOMINIAN
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE REPUBLIQUE DU MALI ---------------------- Un Peuple Un But Une Foi Commissariat à la Sécurité Alimentaire (CSA) ----------------------- Projet de Mobilisation des Initiatives
Plus en détailLA FRANCE RETARDE LE DEVELOPPEMENT DE L AFRIQUE
LA FRANCE RETARDE LE DEVELOPPEMENT DE L AFRIQUE Le réel problème et le plus crucial sur lequel il faudra que l Afrique, l Afrique francophone se lève est celui de son extrême dépendance au système français.
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailCONCLUSION ET RECOMMANDATIONS
CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS Dans ce travail, nous avons évalué les possibilités d une intensification de l agriculture dans le Plateau Central à partir des nouvelles technologies (techniques traditionnelles
Plus en détailNOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailTrading our health away. Prêts à échanger votre santé?
Trading our health away Prêts à échanger votre santé? Plan I. Est-ce grave docteur? 1. Tensiomètre : définir les concepts 2. Documentaire : une pêche d'enfer 3. Quiz : les raisons du libre-échange 4. Photo-langage
Plus en détailPour en savoir plus : www.commercequitable.org
Des centaines de millions de personnes sur la planète travaillent dans des conditions extrêmement précaires et pour des salaires dérisoires pour cultiver ou fabriquer des matières premières et des biens,
Plus en détailLISTE DES PARTICIPANTS PAYS ORGANISATION NOMS ET PRENOMS ADRESSE. Monsieur Bio Goura SOULE, Agro Economiste, Consultant
Conférence Régionale sur la transmission de la hausse des prix alimentaires mondiaux en Afrique de l Ouest Ouagadougou, Burkina Faso (Hôtel Palm Beach, 4-6 Avril 2011) BENIN LISTE DES PARTICIPANTS PAYS
Plus en détailOù sont les Hommes sur la Terre
Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains
Plus en détailIntervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève ***
Atelier de présentation du Programme Améliorer les capacités institutionnelles pour la gouvernance des migrations de main-d oeuvre en Afrique du Nord et de l Ouest (Bamako, Mali, 3 au 5 mars 2009) Intervention
Plus en détailInter-réseaux - Bulletin de veille n 166 10 septe mbre 2010
Inter-réseaux - Bulletin de veille n 166 10 septe mbre 2010 Veuillez trouver ci-dessous un nouveau bulletin de veille sur le développement rural. Ce mois-ci, des références autour du foncier, des politiques
Plus en détailConception et mise en œuvre de l Alerte Précoce par FEWS NET
Le Réseau de Systèmes d Alerte Précoce contre la Famine Conception et mise en œuvre de l Alerte Précoce par FEWS NET Ouagadougou, Burkina Faso 18-20 Novembre 2013 Plan A. Qu est-ce que FEWS NET? B. Les
Plus en détailL OAN aussi diversifié que le canton de Berne
L OAN aussi diversifié que le canton de Berne Direction de l économie publique du canton de Berne OAN Office de l agriculture et de la nature Vision Mission La conception et la mise en réseau de l agriculture,
Plus en détailAnalyse des Performances Sociales de CREDI - Togo Centre de Recherche-action pour l Environnement et le Développement Intégré
Analyse des Performances Sociales de CREDI - Togo Centre de Recherche-action pour l Environnement et le Développement Intégré Considérations générales Ce rapport synthétique est issu de l étude d une organisation
Plus en détailLe jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact
Le jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact Niveau / âge des participants Enfants (à partir de 12 ans), adolescents et adultes. Temps/durée d animation Environ ¼ d heure. Nombre d animateurs
Plus en détailGUILLAUME GILKES PRINCIPALES QUALIFICATIONS
GUILLAUME GILKES ESSEC MBA, Actuaire 10 ans d expérience dans le conseil, la formation et la gestion de projet à l international : Actuariat : protection sociale, assurance, finance Stratégie : étude de
Plus en détailLa société de coopérative de fabrication de. chicouangue. A besoin de vous. présentation de la coopérative
La société de coopérative de fabrication de chicouangue A besoin de vous présentation de la coopérative 1 2 La société de coopérative de fabrication de chicouangue A besoin de vous présentation de la coopérative
Plus en détailCURRICULUM VITAE. 26 mai 1963 à Diourbel (Sénégal) Directeur Général de GMC www.gmcconseils.com
CURRICULUM VITAE NOM GAYE PRENOM Magaye NE LE 26 mai 1963 à Diourbel (Sénégal) NATIONALITE Sénégalaise SITUATION DE FAMILLE Marié ADRESSE Cices foire n 232 Dakar Sénégal TELEPHONE Bureau 221 77 245 07
Plus en détailRÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE
9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,
Plus en détail