la séparation et la distinction dans l espace et le temps» (p.20). De là, il
|
|
- Yves Joseph
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 AU SUJET DU NARCISSISME DES PETITES DIFFÉRENCES Wilfrid Reid Le 17 mars dernier, notre collègue Jacques Vigneault présentait à la S.P.M. un texte en deux parties : la première intitulée «Pour introduire la notion freudienne de narcissisme des petites différences dans l individuel et le collectif», la seconde «Guerres fratricides et identités meurtrières». Soulignons, d entrée de jeu, que la notion freudienne réfère à une certaine modalité de narcissisme où la présence de petites différences entre soi et autrui génère des effets délétères, une modalité qui implique une perturbation narcissique. En ce sens, Jacques Vigneault (p.14) cite Gilbert Diatkine 1 qui propose une hypothèse fondamentale : le sur-moi serait très sensible aux vicissitudes du narcissisme et se laisserait facilement dérouter par les différentes formes de perturbation narcissique. Un postulat théorique Comment peut-on concevoir cette perturbation narcissique? Pour ce faire, notre collègue apporte une précision intéressante : «La différence, c est l écart, le nonidentique, la séparation et la distinction dans l espace et le temps» (p.20). De là, il nous est loisible de postuler que cette perturbation narcissique aurait partie liée avec une difficulté à instaurer un écart dans l image de soi entre une partie aimable et une partie non-aimable voire une partie haïssable de soi. D où la présence d un certain
2 2 paradoxe : si, selon l expression populaire, le moi est haïssable, il le serait d autant plus que le sujet tolère mal la présence en lui d une partie haïssable. Et Freud de s interroger : «Pourquoi une si grande sensibilité devrait-elle s être jetée justement sur ces différences de détail, nous ne le savons pas; mais on ne saurait méconnaître que dans ce comportement des hommes se révèle une propension à la haine, une agressivité dont la provenance est méconnue et à laquelle on aimerait attribuer un caractère élémentaire» (Freud, 1921) 2, cité par Jacques Vigneault (p.4). Le moi-plaisir purifié Doit-on retenir l idée d un caractère élémentaire de la haine? Notons d abord que si Freud fait état ici d une certaine ignorance, ailleurs il nous suggère cependant une piste de réflexion utile. Dans Pulsions et destin des Pulsions, au temps théorique du moi-plaisir purifié : «L externe, l objet, le haï seraient, au tout début, identiques». Et Freud de poursuivre : «L objet se révèle-t-il plus tard source de plaisir, il est aimé mais également incorporé au moi, si bien que, pour le moi-plaisir purifié, l objet coïncide malgré tout de nouveau avec l extérieur, le haï» (Freud, 1913) 3. La dualité amour-haine «L externe, l objet, le haï seraient au tout début, identiques». Tel serait l avers dont le revers, paraphrasant Freud, pourrait se formuler ainsi : l interne, le sujet, l aimable, seraient, au tout début, identiques. De là doit-on nécessairement postuler le caractère élémentaire de la haine? D une part, le temps théorique du moi-plaisir purifié
3 3 renvoie à une forme inchoative du narcissisme du sujet. D autre part, la notion de moiplaisir purifié s inscrit dans un état de la théorie qui est antérieur au tournant de Freud, somme toute, est demeuré assez silencieux sur les rapports entre les aléas de la pulsion de mort et le destin du narcissisme; néanmoins, Jacques Vigneault relève chez lui une proposition très pertinente en regard du narcissisme des petites différences. «Pour toute réponse, le lecteur est renvoyé à une note en bas de page l informant d un écrit récemment publié, «Au-delà du principe de plaisir» (1920), où la polarité aimer-haïr est arrimée avec l hypothèse d une opposition entre pulsions de vie et de mort» (Jacques Vigneault, p.5) 4. Néanmoins, l arrimage entre ces deux dualités peut se concevoir sans apparaître simplement comme des couples d opposés. La notion d ambivalence Ces considérations nous conduisent à revisiter la notion d ambivalence en lui reconnaissant un double statut descriptif et métapsychologique. Le plan descriptif réfère à l utilisation du terme dans le discours clinique courant. Le plan métapsychologique renvoie à un destin heureux de l intrication pulsionnelle. Dans le discours clinique, la notion d ambivalence comporte toujours une connotation négative. Elle signe souvent une primauté de la haine sur l amour. Au plan métapsychologique, la notion d ambivalence possède plutôt une connotation positive : l accès à l ambivalence affective constitue le marqueur d un processus de maturation dans la mesure où l intrication pulsionnelle implique une intrication des sentiments d amour et de haine :
4 4 «C est à partir des rencontres intermittentes entre mère et enfant que les fonctions de l objet vont aider à l intrication des sentiments d amour et haine, aussi bien qu à celles en rapport avec la construction et la destruction, sur le mode d oscillations des expériences plaisantes et déplaisantes» (André Green, 2002, p.240) 5. Dans cette perspective, il nous semble utile de remettre au travail la proposition présentant la dualité pulsion de vie pulsion de mort et la dualité amour haine comme figurant UNIQUEMENT des couples d opposés. Il est permis de penser que ces deux dualités forment SIMULTANÉMENT des couples d opposés et des couples complémentaires. Car, si dans l une et l autre, les polarités respectives s opposent, en même temps, elles se nourrissent l une l autre; la liaison nécessite la déliaison pour rendre possible la reliaison. Pour chacune des deux dualités, les deux polarités s articuleront sur le mode de l Aufhebung, un processus qui permet, à la fois, de conserver et de dépasser une contradiction. Nous quittons ici une logique binaire du tiers exclu pour rejoindre une logique ternaire du tiers inclus (Reid, 2015) 6. Là comme ailleurs, la théorie métapsychologique prend racine dans les postulats fondamentaux de la théorie clinique. Aussi, il n est pas inintéressant de mettre en parallèle les conceptions respectives de l amour maternel chez Freud et Winnicott. Comment l un et l autre conceptualisent-ils les «rencontres intermittentes mère et enfant»? (André Green, 2002). Winnicott 7 nous le rappelle : Freud postule l existence possible d un amour maternel qui serait dépourvu de toute ambivalence. Il est vrai cependant que cette situation présumée favorable pour l enfant ne serait que l apanage de l enfant mâle.
5 5 Pour Winnicott, la mère suffisamment bonne se doit de faire une place à la haine tant dans sa relation avec l enfant que dans la relation de l enfant avec elle. Les destins de l idéalité En introduisant le concept de narcissisme dans la théorie, Freud dessine une voie heureuse de l idéalité narcissique : «Il [le moi infantile] ne veut pas se passer de la perfection narcissique de son enfance il cherche à la regagner sous la nouvelle forme de l idéal du moi. Ce qu il projette devant lui comme son idéal est le substitut du narcissisme perdu de son enfance, en ce temps-là, il était lui-même son propre idéal» (Freud, 1914) 8. Si, au plan terminologique, Freud ne sera pas toujours fidèle à la distinction entre ces deux instances, il n en pose pas moins ici les linéaments d un passage du Moi idéal à l Idéal du moi. Si le moi-plaisir purifié représente un temps théorique important dans la construction du narcissisme, il se doit d être dépassé, tout en étant conservé pour permettre au sujet l accès à l altérité de l autre et partant à l autre comme sujet. Roussillon 9 dira comment la relation au double, soit la relation à un semblable à soi, tout en étant autre, sera une condition nécessaire pour le dépassement-conservation du moi-plaisir purifié. Jacques Vigneault (p.5) nous le rappelle : «L amour de soi ne trouverait donc sa limite que dans l amour pour l étranger, l amour pour les objets». Concurremment, dans le narcissisme des petites différences, l amour de l étranger, l amour pour les
6 6 objets, seraient réduits à l extrême limite, voire seraient réduits à disparaître de par l absence de limite à l amour de soi. Notes et références 1. Diatkine, G. «La cravate croate : narcissisme des petites différences et processus de civilisation», Revue française de psychanalyse, 4/1993, pp Freud, S. (1921), «Psychologie des masses et analyse du moi», Œuvres complètes, XVI, P.U.F. 3. Freud, S. (1913), «Pulsions et destins de pulsions», Œuvres complètes, XIII, P.U.F. 4. Note : il est classique, en psychiatrie, de présenter la symptomatologie de la schizophrénie selon E. Bleuler sous la formule des «quatre A» soit l autisme, l apathie, les associations défectueuses et l ambivalence. 5. Green, A. (2002), «Idées directrices pour une psychanalyse contemporaine», P.U.F. 6. Reid, W. (2015), «The use of an object : Winnicott and ternary thought», in Playing and reality revisited, a new look at Winnicott s classic work, Edited by Gennaro Saragnano and Christian Seulin, Karnac, London, Great Britain. 7. Winnicott, D.W. (1947), «La haine dans le contre-transfert», De la pédiatrie à la psychanalyse, Petite bibliothèque Payot, Paris, 1969.
7 7 8. Freud, S. (1914), «Pour introduire le narcissisme», La vie sexuelle, Bibliothèque de psychanalyse, P.U.F., Paris, Roussillon, R. (2001), «Le transitionnel, le sexuel et la réflexivité», Dunod, Paris.
LES BASES DE LA MÉTAPSYCHOLOGIE
Chapitre 1 LES BASES DE LA MÉTAPSYCHOLOGIE I. RAPPEL THÉORIQUE Le terme Métapsychologie désigne le cadre théorique que Freud a élaboré et enrichi tout au long de sa vie. La métapsychologie constitue la
Plus en détailQUELQUES RÉFLEXIONS SUR UNE PSYCHANALYSE POSSIBLE DES BÉBÉS
QUELQUES RÉFLEXIONS SUR UNE PSYCHANALYSE POSSIBLE DES BÉBÉS Annie Anzieu P.U.F. La psychiatrie de l'enfant 2007/2 - Vol. 50 pages 417 à 422 ISSN 0079-726X Article disponible en ligne à l'adresse: http://www.cairn.info/revue-la-psychiatrie-de-l-enfant-2007-2-page-417.htm
Plus en détailPRIX DE VENTE À L EXPORTATION GESTION ET STRATÉGIES
PRIX DE VENTE À L EXPORTATION GESTION ET STRATÉGIES Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Jacques Villeneuve, c.a. Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications
Plus en détailETRE SEUL AVEC UN MORT Solitude et identification narcissique
Dialogue n 129 : 3 ème trimestre 1995. Le sentiment de solitude ET AUSSI ETRE SEUL AVEC UN MORT Solitude et identification narcissique L.-E. PRADO DE OLIVEIRA La solitude et l irreprésentable C est un
Plus en détailJustice et guerre sont-elles compatibles?
Justice et guerre sont-elles compatibles? Il est un élément commun à chacune des époques de l histoire et à l ensemble des sociétés humaines connues jusqu à aujourd hui : la guerre. Selon Sigmund Freud,
Plus en détailLe VIGOR L inventaire des victimes de leurs objectifs, options et risques
Le VIGOR L inventaire des victimes de leurs objectifs, options et risques Un outil de planification de la sécurité pour aider les personnes victimes de violence à évaluer les risques et décider comment
Plus en détail«La capacité à être seul», WINNICOTT
«La capacité à être seul», WINNICOTT La capacité d être seul est un signe des plus importants de la maturité du développement affectif. On repère chez le sujet ce qu il éprouve dans des situations de solitude,
Plus en détailLE VIDE EN PSYCHANALYSE
LE VIDE EN PSYCHANALYSE A) Le concept de «vide» Permettons-nous, tout d abord, une légère digression préliminaire au concept de vide, afin de cerner autour de quel vide nous allons nous tourner. Selon
Plus en détailUn seul droit de la famille pour toutes les femmes.
2 Protection de l enfance et droit de la famille FR 002 LE DROIT DE LA FAMILLE ET LES FEMMES EN ONTARIO Un seul droit de la famille pour toutes les femmes. Renseignez-vous sur vos droits. Protection de
Plus en détailLE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE
LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE Un problème de recherche est l écart qui existe entre ce que nous savons et ce que nous voudrions savoir à propos d un phénomène donné. Tout problème de recherche
Plus en détailLES MECANISMES DE DEFENSE
LES MECANISMES DE DEFENSE Table des matières Table des matières 3 I - GENERALITES, DEFINITION 7 A. GENERALITES, DEFINITION...7 II - LES PRINCIPAUX MECANISMES DE DEFENSE 9 A. le refoulement :...9 B. la
Plus en détailFins d analyse T R A N S. Note: À partir du présent numéro, la revue paraît en hiver et en été. H I V E R 1 9 9 5
T R A N S R E V U E D E P S Y C H A N A L Y S E Fins d analyse Note: À partir du présent numéro, la revue paraît en hiver et en été. H I V E R 1 9 9 5 T R A N S C.P. 842, succ. Outremont, Montréal, (Québec)
Plus en détailDEBAT PHILO : L HOMOSEXUALITE
Ecole d Application STURM Janvier-Février 2012 CM2 Salle 2 Mme DOUILLY DEBAT PHILO : L HOMOSEXUALITE Sujet proposé par les élèves et choisi par la majorité. 1 ère séance : définitions et explications Réflexion
Plus en détailPASS sports vacances. Sommaire
PASS sports vacances Sommaire PREAMBULE Article 1 : Modalités d inscription Article 2 : Modalités de fonctionnement Article 3 : Les infrastructures Article 4 : Tarification Article 5 : Sécurité et secours
Plus en détailI. Une nouvelle loi anti-discrimination
Extrait du Bulletin de Liaison Le Défi n 17, LHFB, Juillet 2004 Discriminations et assurances ; les apports de la Loi du 25 février 2003 et le rôle du Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre
Plus en détailQue peut nous apporter une réflexion sur nos désirs?
Que peut nous apporter une réflexion sur nos désirs? Problématique : La difficulté lorsque vous vous trouvez face à un tel sujet est de confondre le thème avec le problème du sujet. Ici le thème était
Plus en détailLes défauts et «fautes impardonnables» des candidats à l élection présidentielle
COMMUNIQUE DE PRESSE Les défauts et «fautes impardonnables» des candidats à l élection présidentielle Sondage Harris Interactive pour M6-MSN-RTL Enquête réalisée en ligne par l'institut Harris Interactive
Plus en détailIntervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché
XXIII ème Assemblée régionale Europe Erevan, Arménie 3 au 7 mai 2010 Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché Section Belgique/Communauté
Plus en détailDIVISION DE CAEN Hérouville-Saint-Clair, le 15 octobre 2013
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE CAEN Hérouville-Saint-Clair, le 15 octobre 2013 N/Réf. : CODEP-CAE-2013-056982 Monsieur le directeur de l établissement AREVA NC de La Hague 50 444 BEAUMONT-HAGUE CEDEX
Plus en détailEsthétique du symptôme : quand la trace se fait désir
Esthétique du symptôme : quand la trace se fait désir Préambule Chaque pulsion de mon corps est trace enregistrée, comptée. La fièvre l amour, la douleur, le délire multiplie la trace. La trace est liée
Plus en détailY A-T-IL COUPLE? Introduction. Pour qu il y ait couple, il faut du temps
Introduction Y A-T-IL COUPLE? Au fil des siècles et au fil des années, la société se transforme et avec elle, la valeur accordée à la réussite sociale, à la famille mais surtout à l amour. Dans le monde
Plus en détailProbabilités. Rappel : trois exemples. Exemple 2 : On dispose d un dé truqué. On sait que : p(1) = p(2) =1/6 ; p(3) = 1/3 p(4) = p(5) =1/12
Probabilités. I - Rappel : trois exemples. Exemple 1 : Dans une classe de 25 élèves, il y a 16 filles. Tous les élèves sont blonds ou bruns. Parmi les filles, 6 sont blondes. Parmi les garçons, 3 sont
Plus en détailPEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?
PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.
Plus en détailPOLITIQUE DE COMMUNICATION
POLITIQUE DE COMMUNICATION DU COMITÉ DE GESTION DE LA TAXE SCOLAIRE DE L ÎLE DE MONTRÉAL (Adoptée le 16 décembre 2004 par la résolution 19 par le Comité de gestion de la taxe scolaire de l île de Montréal)
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détailTROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)
TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) Comprendre, prévenir et prendre en charge la clinique du mouvement et de l agir de l enfant Pierre Delion 1. Actualité Les enfants sont préoccupants sur ce point
Plus en détailGé nié Logiciél Livré Blanc
Gé nié Logiciél Livré Blanc Version 0.2 26 Octobre 2011 Xavier Blanc Xavier.Blanc@labri.fr Partie I : Les Bases Sans donner des définitions trop rigoureuses, il faut bien commencer ce livre par énoncer
Plus en détailAGUR12: historique et perspectives
Assemblée générale SMS Cully, 6 avril 2014 AGUR12: historique et perspectives Vincent Salvadé, Directeur général adjoint de SUISA 1. La situation de départ - En Suisse, la mise à disposition des fichiers
Plus en détailBilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE
Bilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE Le Sommaire constitue un abrégé du document intitulé Bilan de l an I de Solidarité jeunesse : Rapport du Comité aviseur de Solidarité
Plus en détail2010/2011 MASTER 2 SPECIALITE 8 MEF (IUFM/UPV/INSHEA)
2010/2011 MASTER 2 SPECIALITE 8 MEF (IUFM/UPV/INSHEA) ACCOMPAGNEMENT DE PUBLICS A BESOINS EDUCATIFS PARTICULIERS PAR UNE PEDAGOGIE INSTITUTIONNELLE ADAPTEE Responsable : CANAT Sylvie MASTER 2 SPECIALITE
Plus en détailLes ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique
Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Préparé par: Rose-Anne Buteau, Inf. Ph D. (c) Sylvie Garand-Rochette, M.Sc.. Monique Thibault,
Plus en détailCODE DE CONDUITE DES FABRICANTS POUR LA COMMERCIALISATION DES PRÉPARATIONS POUR NOURRISSONS
CODE DE CONDUITE DES FABRICANTS POUR LA COMMERCIALISATION DES PRÉPARATIONS POUR NOURRISSONS (édition révisée 2010, rev. 1) Les sociétés qui fabriquent des préparations pour nourrissons et les commercialisent
Plus en détailREGLEMENT-CADRE. Jeux-concours Nouvelle Vie Magazine et site Internet www.nouvelle-vie-magazine.fr.
REGLEMENT-CADRE Jeux-concours Nouvelle Vie Magazine et site Internet www.nouvelle-vie-magazine.fr. ARTICLE 1 : PRESENTATION DES SOCIETE ORGANISATRICES Blopresse au capital de 30.000, immatriculée au RCS
Plus en détailVotre Réseau est-il prêt?
Adapter les Infrastructures à la Convergence Voix Données Votre Réseau est-il prêt? Conférence IDG Communications Joseph SAOUMA Responsable Offre ToIP Rappel - Définition Voix sur IP (VoIP) Technologie
Plus en détailProblèmes de crédit et coûts de financement
Chapitre 9 Problèmes de crédit et coûts de financement Ce chapitre aborde un ensemble de préoccupations devenues essentielles sur les marchés dedérivésdecréditdepuislacriseducréditde2007.lapremièredecespréoccupations
Plus en détailService Municipal d Accueil Postscolaire
Service Municipal d Accueil Postscolaire Règlement intérieur 2013-2014 Direction de la Vie Scolaire et de la Petite Enfance 15 mail d Allagnat 63000 Clermont-Ferrand mail : dvspe-secretariat@ville-clermont-ferrand.fr
Plus en détailLes aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.
Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale
Plus en détailCOURTINAT Elisabeth. La préoccupation maternelle primaire 1956 Donald Wood WINNICOTT
COURTINAT Elisabeth La préoccupation maternelle primaire 1956 Donald Wood WINNICOTT PLAN PLAN...2 INTRODUCTION...3 1. L auteur...3 2. L élaboration des théories de Winnicott et leur contexte...4 L originalité
Plus en détailRèglement du Jeu Mobile Trend WEB MobileTrend
Règlement du Jeu Mobile Trend WEB MobileTrend ARTICLE 1 OBJET La société MobileTrend sise 19 rue Martel, 75010 Paris organise un jeu «Web MobileTrend» accessible à partir du 1 er novembre 2006 via le numéro
Plus en détailI-1 : Principes clés de la consolidation des comptes I-2 : Périmètre et méthodes de consolidation
I-1 : Principes clés de la consolidation des comptes I-2 : Périmètre et méthodes de consolidation I-3 : pourcentage de contrôle et pourcentage d intérêt II-1 : les missions de l auditeur des comptes consolidés
Plus en détailNotice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013
Notice de sélection pour Consultant Individuel IC-UPS/021/2013 Date: 15 Février 2013 Pays Intitulé de la mission : République Démocratique du Congo RDC Sélection d un consultant Chef d équipe pour l élaboration
Plus en détailDECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO
DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE CULTURELLE Adoptée par la 31 e session de la Conférence Générale de l UNESCO PARIS, 2 NOVEMBRE
Plus en détailLa culture L épreuve du Bac
L épreuve du Bac Synthèse des concepts rencontrés dans les textes... 80 Sujets de dissertation... 81 Méthode d analyse d un sujet de dissertation... 82 Sujet 1 Méthode d analyse d un texte : texte de Freud...
Plus en détailUne école adaptée à tous ses élèves
PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS
Plus en détaille QuEbec POUR Enrichir Affirmer les valeurs communes de la société québécoise
POUR Enrichir le QuEbec Mesures pour renforcer l action du Québec en matière d intégration des immigrants Affirmer les valeurs communes de la société québécoise Affirmer les valeurs communes de la société
Plus en détailExercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?
Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version
Plus en détailExercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?
Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version
Plus en détailLes bonnes pratiques du recrutement en ligne
POUR VOUS ÉCLAIRER DANS LE COMMERCE DE DÉTAIL Les bonnes pratiques du recrutement en ligne Avant-propos Au Québec, le commerce de détail compte près de 24 000 établissements et 300 000 employés. Les jeunes
Plus en détailChapitre 3. Les distributions à deux variables
Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles
Plus en détailPascal Engel. Si l une des marques de l époque moderne a été le désenchantement. vis à vis des valeurs, et en particulier vis à vis des valeurs de la
1 EST-IL RATIONNEL D ÊTRE RATIONNEL? Pascal Engel In Grand dictionnaire de philosophie Larousse, 2003 Si l une des marques de l époque moderne a été le désenchantement vis à vis des valeurs, et en particulier
Plus en détailAPPLICABLES À PARTIR DE JANVIER 2012
Documents comptables Nouvelles formalités de dépôt APPLICABLES À PARTIR DE JANVIER 2012 Adresse postale: L-2961 Luxembourg Tél (+352) 26 428-1 Fax (+352) 26 42 85 55 www.rcsl.lu RCSL G.I.E. R.C.S. Luxembourg
Plus en détailL ARCHIVAGE LEGAL : CE QU IL FAUT SAVOIR
L ARCHIVAGE LEGAL : CE QU IL FAUT SAVOIR INTRODUCTION A la suite de grands scandales financiers qui ont ébranlés le monde des affaires, les instances législatives et réglementaires des Etats Unis ont remis
Plus en détailQU EST-CE QUE L EAU BIEN COMMUN?
QU EST-CE QUE L EAU BIEN COMMUN? Si je vous posais la question suivante: Etes-vous partisans de l Eau Bien Commun? J obtiendrais une réponse positive unanime. Mais si je vous posais ensuite la question
Plus en détail«La famille, c est la première des sociétés humaines.»
«La famille, c est la première des sociétés humaines.» La famille sera toujours la base des sociétés. Honoré de Balzac La famille est-elle la première des sociétés humaines? C est l hypothèse la plus souvent
Plus en détailLe moi dans la névrose obsessionnelle Relations d'objet et mécanismes de défense 1 Maurice BOUVET Payot, Paris, 1967, pp. 77-159
Le moi dans la névrose obsessionnelle Relations d'objet et mécanismes de défense 1 Maurice BOUVET Payot, Paris, 1967, pp. 77-159 I. Introduction... 2 II. État actuel de la question... 3 1. Régression libidinale
Plus en détailL ACQUISITION DU LANGAGE CHEZ LE TOUT PETIT EN VIE COLLECTIVE INSTITUTIONNELLE
N 220 - ROUFIDOU Irini L ACQUISITION DU LANGAGE CHEZ LE TOUT PETIT EN VIE COLLECTIVE INSTITUTIONNELLE Pendant notre recherche du D.E.A., nous avons étudié l acquisition du langage chez le tout petit en
Plus en détailRevista Latinoamericana de Psicopatologia Fundamental ISSN: 1415-4714 psicopatologiafundamental@uol.com.br
Revista Latinoamericana de Psicopatologia Fundamental ISSN: 1415-4714 psicopatologiafundamental@uol.com.br Associação Universitária de Pesquisa em Psicopatologia Fundamental Brasil Abreu e Silva, Rosane
Plus en détailQuestions et réponses sur la cote de rendement au collégial
Questions et réponses sur la cote de rendement au collégial Mars 2013 QUESTIONS ET RÉPONSES SUR LA COTE DE RENDEMENT AU COLLÉGIAL CREPUQ AVANT-PROPOS Ce document apporte des réponses aux principales questions
Plus en détailTable. des Matières GÉNÉRALITÉS BASE DE DOCUMENTS
Table des Matières GÉNÉRALITÉS 1.1 L environnement Notes...2 A- Description de l écran...2 B- Gérer les barres d outils...4 C- Modifier la barre d état (version Basic uniquement)...6 D- Les signets...7
Plus en détailREGLEMENT DE LA LOTERIE ENERGIE
REGLEMENT DE LA LOTERIE ENERGIE ARTICLE 1 : ORGANISATEUR Espace Info Energie Marseille Provence GERES 40 rue St Jacques, 13006 MARSEILLE Eie.marseille@geres.eu http://eie.marseilleprovence.geres.eu Association
Plus en détailPlan et résumé de l intervention de Jean-Philippe Dunand
Faculté de droit Prof. Jean-Philippe Dunand Prof. Pascal Mahon Avenue du 1 er -Mars 26 CH-2000 Neuchâtel Tél. ++41 32 718.12.00 Fax ++41 32 718.12.01 Centre d étude des relations de travail (CERT) Neuchâtel,
Plus en détailCONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris
CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris UNE PHOTOGRAPHIE DE L APPRENTISSAGE EN FRANCE EN 2013 À l occasion de la rentrée des jeunes en apprentissage Résultats et analyse du BAROMÈTRE DE LA VIE DE
Plus en détailFORMATION Coach & Team. Promotion CT26 - Lyon
FORMATION Coach & Team Promotion CT26 - Lyon JBS est une école de coaching animée par des enseignants et des superviseurs de coachs, tous intervenants en entreprise et didacticiens, ayant eu un parcours
Plus en détailQUESTIONNAIRE A DESTINATION DES FAMILLES
QUESTIONNAIRE A DESTINATION DES FAMILLES La réforme des rythmes scolaires pour les écoles maternelles et élémentaires doit être mise en place en septembre 2014. Elle prévoit le retour de la semaine de
Plus en détailLa Critique et La Critique Psychanalytique
La Critique et La Critique Psychanalytique Recherche Présenté par Sahira Yassin Hamadn Introduction Essentiellement, la critique est l âme de tous les domaines: artistique, scientifique, historique, et
Plus en détailTroubles psychiques et emploi Bernard Gaillard 1
Troubles psychiques et emploi Bernard Gaillard 1 Introduction L insertion profesionnele et sociale des personnes diférentes, et plus particulièrement de celles porteuses de troubles psychiques, est un
Plus en détailLes indices à surplus constant
Les indices à surplus constant Une tentative de généralisation des indices à utilité constante On cherche ici en s inspirant des indices à utilité constante à définir un indice de prix de référence adapté
Plus en détailNormes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes. En vigueur à compter du 1 er janvier 2014
Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes En vigueur à compter du 1 er janvier 2014 Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes En vigueur à compter du 1 er
Plus en détailDUPUP Les Perversions
M DUPUP Les Perversions Mathieu LACAMBRE, Psychiatre Hospitalier, CRIAVS-LR/UCSA VLM, CHRU Montpellier Introduction Définitions Au sommaire Personnalité Paraphilies Perversion, perversité, pervers Diagnostic
Plus en détailComment s exerce l autorisation parentale de sortie de l enfant du territoire national ou l opposition à cette sortie?
Comment s exerce l autorisation parentale de sortie de l enfant du territoire national ou l opposition à cette sortie? En cas d autorité parentale exclusive, c est la liberté ; le parent la détenant pouvant
Plus en détailGestion d'une billeterie défilé des talents
Jean HENRI Gestion d'une billeterie défilé des talents version 0.3 5 novembre 2013 STS Services Informatiques aux Organisations Lycée St Joseph - Bressuire Sommaire 1 Introduction... 1 2 Présentation
Plus en détailDéclin des groupes visés par l équité en matière d emploi lors du recrutement. Étude de la Commission de la fonction publique du Canada
Déclin des groupes visés par l équité en matière d emploi lors du recrutement Étude de la Commission de la fonction publique du Canada Octobre 2009 Commission de la fonction publique du Canada 300, avenue
Plus en détailPLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015. Bilan régional des activités 2012 2013
PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015 Bilan régional des activités 2012 2013 PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015 Bilan régional des activités 2012 2013 est une production
Plus en détailCOMMENT PARLER DES LIVRES QUE L ON N A PAS LUS?
Né dans un milieu où on lisait peu, ne goûtant guère cette activité et n ayant de toute manière pas le temps de m y consacrer, je me suis fréquemment retrouvé, suite à ces concours de circonstances dont
Plus en détailThéories criminologiques II (CRM 3701 B)
Département de criminologie Department of Criminology João VELLOSO Courrier électronique : jvelloso@uottawa.ca Disponibilités : mardis de 16h à 17h et vendredis de 14h à 16h (FSS, pièce 13002) CRM 3701
Plus en détailLa rémunération des concepteurs. en théâtre au Québec. de 2004 à 2006
La rémunération des concepteurs en théâtre au Québec de 2004 à 2006 Conseil québécois du théâtre - novembre 2007 Dans le cadre des travaux préparatoires des SECONDS ÉTATS GÉNÉRAUX DU THÉÂTRE PROFESSIONNEL
Plus en détailGUIDE PRATIQUE. Du provisionnement des emprunts à risques
Ministère de l Égalité des territoires et du Logement Ministère de l Économie et des Finances GUIDE PRATIQUE Du provisionnement des emprunts à risques Application aux Offices Publics de l Habitat à comptabilité
Plus en détailREGLEMENT COMPLET «JEU BONS PLANS ETUDIANTS EN PARTENARIAT AVEC NRJ Mobile»
REGLEMENT COMPLET «JEU BONS PLANS ETUDIANTS EN PARTENARIAT AVEC NRJ Mobile» ARTICLE 1 : SOCIÉTÉ ORGANISATRICE La société France QUICK SAS, société par actions simplifiée, au capital de 92 225 000, immatriculée
Plus en détailA PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES
IED PARIS 8 A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES La procédure d équivalence permet de dispenser les étudiants de certains enseignements dans la mesure où ils peuvent justifier de l acquisition
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détailH A C C P. Hazard Analysis, Critical Control Point. Analyse des dangers, maîtrise des points critiques. Programme de formations.
H A C C P Hazard Analysis, Critical Control Point Analyse des dangers, maîtrise des points critiques Objectifs : L'HACCP est une norme de mise en œuvre destinée à évaluer les dangers, et, mettre en place
Plus en détailPrincipes directeurs régissant le règlement uniforme des litiges relatifs aux noms de domaine
Principes directeurs régissant le règlement uniforme des litiges relatifs aux noms de domaine Principes directeurs adoptés le 26 août 1999 Documents d application approuvés le 24 octobre 1999 Traduction
Plus en détailSciences-Croisées. Mots clés : Entretien-Inconscient-Interprétation-Psychanalyse-Rapport au savoir-sens.
Sciences-Croisées Numéro 6 : Le langage Du langage attendu sur un rapport professionnel au savoir au langage inattendu Valérie Paule Roman-Ramos Université de Provence (Département des Sciences de L éducation
Plus en détailINTRODUCTION. A. PETITPIERRE-SAUVAIN, Droit des sociétés et groupes de sociétés, Genève, Georg, 1972, p. 1. 4
INTRODUCTION INTRODUCTION Les groupes de sociétés, généralement décrits comme des entités composées de «plusieurs entreprises ou sociétés juridiquement indépendantes mais économiquement unies» 3, sont
Plus en détailRien sur la mère. Romain-Pierre Renou (Section clinique de Paris-Ile de France)
Rien sur la mère Romain-Pierre Renou (Section clinique de Paris-Ile de France) C est dans un dispositif institutionnel proposant des entretiens gratuits avec un psychologue que j ai reçu cet homme âgé
Plus en détailRECUEIL DE LEGISLATION. S o m m a i r e COMMISSION DES NORMES COMPTABLES
MEMORIAL Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg 3383 1623 MEMORIAL Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION A N 177 110 2 octobre 22 mai 2009 2013 S o m m a i r e COMMISSION
Plus en détailAnnée universitaire 2011-2012
Association Institut de Psychosomatique Pierre Marty IPSO Pierre Marty Centre d enseignement et de formation CEFP Année universitaire 2011-2012 20 rue Bellier Dedouvre - 75013 Paris Secrétariat : 06 85
Plus en détailORGANISATION MONDIALE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE GENÈVE RÉUNION D INFORMATION SUR LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE EN MATIÈRE DE BASES DE DONNÉES
OMPI DB/IM/7 ORIGINAL : anglais DATE : 18 novembre 1997 ORGANISATION MONDIALE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE GENÈVE RÉUNION D INFORMATION SUR LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE EN MATIÈRE DE BASES DE DONNÉES
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR ESPACE JEUNES DIVONNE-LES-BAINS
Avenue des Thermes - BP 71 01220 Divonne-les-Bains Tel/Fax : 04 50 20 29 15 Courriel : divonne.espacejeunes@alfa3a.org REGLEMENT INTERIEUR ESPACE JEUNES DIVONNE-LES-BAINS A compter du 1 er septembre 2014
Plus en détailQuelle est la meilleure solution :
Quelle est la meilleure solution : un FERR ou une rente? Question : Je viens tout juste d avoir 71 ans et j ai reçu un avis selon lequel je dois transformer mon régime enregistré d épargne retraite (REER)
Plus en détailLE FOREX ou marché des changes
LE FOREX ou marché des changes L essentiel sur $ Le risque est au bout du clic En partenariat avec Qu est-ce que c est? Le Forex est le marché des changes (FOReign EXchange en anglais, marché des devises).
Plus en détailRèglement du Jeu SMS/Audiotel «Instant Gagnant 7»
Règlement du Jeu SMS/Audiotel «Instant Gagnant 7» ARTICLE 1 OBJET La société Média 4 You située au 18 rue Joseph Van Boterdael à 1070 Bruxelles, n d entreprise et TVA 0887 888 114, organise un jeu gratuit
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. PENTA Editions Des livres qui résonnent
DOSSIER DE PRESSE En couverture : Ludwig van Beethoven, impression couleur d après une peinture de Johann Baptist Reiter Beethoven-Haus Bonn Partie de violon de quatuor à cordes op. 135 de Ludwig van Beethoven,
Plus en détailBIG DATA : PASSER D UNE ANALYSE DE CORRÉLATION
BIG DATA : PASSER D UNE ANALYSE DE CORRÉLATION À UNE INTERPRÉTATION CAUSALE Arthur Charpentier Professeur d actuariat à l Université du Québec, Montréal Amadou Diogo Barry Chercheur à l Institut de santé
Plus en détailFace aux troubles du comportement : une pédagogie institutionnelle adaptée
Face aux troubles du comportement : une pédagogie institutionnelle adaptée Sylvie Canat Cadre et problématique Cette réflexion sur la nature des troubles du comportement des élèves et la Pédagogie Institutionnelle
Plus en détailMathématiques financières
Mathématiques financières Table des matières 1 Intérêt simple 1 1.1 Exercices........................................ 1 2 Intérêt composé 2 2.1 Taux nominal, taux périodique, taux réel.......................
Plus en détailPROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET
PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES
Plus en détailMylène a besoin d aide!
ER ER Cahier de l élève Mylène a besoin d aide! Enseignement religieux 5 e année Nom de l élève 5 e année 1 Mylène a besoin d aide Description de tâche Dans cette tâche, tu examineras la situation de Mylène
Plus en détailRichard Abibon. «Le sujet reçoit de l Autre son propre message sous une forme inversée»
Richard Abibon «Le sujet reçoit de l Autre son propre message sous une forme inversée» Cette formule, on la trouve presque telle quelle dans l «Ouverture de ce recueil» qui introduit les «Ecrits» de Lacan.
Plus en détailMODALITES de CANDIDATURE CERTIFICATION de PERSONNES en HACCP
p. 1/7 MODALITES de CANDIDATURE CERTIFICATION de PERSONNES en HACCP 1. Préalable L examen de certification de personnes en HACCP s adresse à des professionnels confirmés qui maîtrisent l HACCP dans un
Plus en détail