L EAU PROTÉGÉE DE LA NATURE À LA NATURE EN PASSANT PAR CHEZ VOUS

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1 L EAU PROTÉGÉE DE LA NATURE À LA NATURE EN PASSANT PAR CHEZ VOUS EN SAVOIR PLUS En fonction de la demande formulée, le C.I.EAU donne : par téléphone les informations souhaitées par courrier les copies des documents demandés sur rendez-vous les informations aux personnes désirant mener une recherche approfondie la piste à suivre s il ne possède pas de données répondant à la question, en particulier sur des questions techniques dépassant sa vocation généraliste Le C.I.EAU a signé une convention pour le copyright avec le Centre français d exploitation du droit de copie. COMMENT S ADRESSER AU C.I.EAU? Tél. : Fax : Courrier : B.P Paris Cedex 08 C.I.eau - Association Loi SIREN Crédits photos : XXXXX - Tous droits réservés - Mai 2010 p p1

2 Au cours de son cycle éternel qui la fait circuler entre le ciel, la terre, les rivières et les océans, l eau fait parfois un détour par nos robinets afin de satisfaire tous nos besoins. Des usages qui exigent une contrepartie : la dépollution des eaux usées, pour pouvoir retourner à la nature et réintégrer le grand Cycle de l Eau. L eau a besoin des hommes pour être protégée. L EAU, RESSOURCE VITALE À PROTÉGER L ASSAINISSEMENT, UNE NÉCESSITÉ ABSOLUE 1 LITRE D EAU UTILISÉ = 1 LITRE D EAU USÉE DE L ÉVIER À L USINE DES TRAITEMENTS SOPHISTIQUÉS L ASSAINISSEMENT INDIVIDUEL QUE DEVIENNENT LES BOUES LE PRIX DU DÉVELOPPEMENT DURABLE DES REJETS CONTROLÉS OÙ TROUVER L INFORMATION SUR L EAU? SOMMAIRE L exposition est composée de 10 panneaux de 46 cm de Large et 160 cm de Haut. Elle est mise à disposition gratuitement avec une convention de prêt. p2 p3

3 p4 L EAU, RESSOURCE VITALE À PROTÉGER Depuis 4 milliards d années, c est la même quantité d eau qui circule en permanence entre l atmosphère, la surface et le sous-sol de notre planète : c est le grand cycle de l eau. La France dispose d une quantité de ressources en eau suffisante pour satisfaire nos besoins. Mais en revanche, une détérioration de sa qualité remettrait en cause cette disponibilité. Trop polluées, nos réserves ne seraient plus utilisables pour produire de l eau potable, sinon à des coûts toujours plus élevés. Il est donc impératif de lutter contre la pollution des nappes souterraines, des rivières et des lacs. C est ce qu impose l Union européenne à travers la Directive Cadre sur l Eau (DCE) adoptée en 2000, qui fixe aux états membres un objectif de «bon état des milieux aquatiques», afin de préserver notre patrimoine naturel, notre qualité de vie et les usages économiques, touristiques et de loisirs liés à l eau. L ASSAINISSEMENT, UNE NÉCESSITÉ ABSOLUE La démographie et l urbanisation vont sans cesse croissant. Les besoins en eau augmentent. Le développement des activités humaines s accompagne, inévitablement, d une production de rejets polluants. Nettoyer les eaux usées est une nécessité absolue. Si les rivières peuvent absorber une partie de nos rejets polluants, la nature ne peut plus accomplir, seule, ce grand travail d épuration des eaux usées. Elle a besoin de l aide des hommes et de leur technologie. «Laver» l eau pour la restituer au milieu naturel, un geste durable, indispensable pour la santé humaine et la préservation de l environnement. UNE FORTE PRISE DE CONSCIENCE DE L OPINION 96% des Français estiment que la dépollution des eaux usées est indispensable pour protéger la nature. Ils admettent leur responsabilité vis-à-vis de leur propre pollution. 79% affirment : «moi aussi, dans ma vie quotidienne, je contribue à la pollution de l eau». Une prise de conscience qui se confirme lorsque 91% se disent attentifs aux déchets qu ils rejettent avec les eaux usées. (Baromètre TNS Sofres / C.I.EAU 2010) L EAU, RESSOURCE VITALE À PROTÉGER L ASSAINISSEMENT, UNE NECÉSSITÉ ABSOLUE p5

4 p6 1 LITRE D EAU UTILISÉE = 1 LITRE D EAU USÉE Toutes les activités humaines, qu elles soient domestiques, industrielles, artisanales, agricoles produisent des eaux usées. Les eaux usées «domestiques», proviennent des différents usages de l eau par les particuliers. Essentiellement chargées en pollution organique, elles sont constituées : Des eaux ménagères qui sont issues des salles de bains et des cuisines, chargées en détergents, graisses, solvants et débris organiques. Des eaux-vannes provenant des toilettes, sont chargées en matières organiques azotées et germes fécaux. Les eaux usées industrielles et artisanales, généralement plus chargées en polluants que les eaux domestiques, doivent souvent faire l objet d un pré-traitement avant d être rejetées dans le réseau de collecte. Les eaux pluviales ou de ruissellement peuvent être la cause de pollutions importantes des cours d eau, notamment en période orageuse. Dans les villes, elles se chargent en impuretés des toits et des chaussées. Dans les zones agricoles, elles sont susceptibles de se charger en engrais et pesticides. DE L ÉVIER A L USINE Les eaux usées sont recueillies dans des collecteurs pour être acheminées vers un réseau d égouts. Les eaux pluviales peuvent être collectées en même temps que les eaux domestiques ou bien séparément. On parle alors de réseau unitaire ou séparatif. La France est sillonnée par Km de canalisations d eaux usées auxquels s ajoutent Km de tuyaux d évacuation des eaux pluviales. L entretien des réseaux de collecte revêt une importance particulière, car ils sont particulièrement sujets à la corrosion. Les fuites, mais aussi les engorgements, sont susceptibles de présenter des risques pour la santé publique et l environnement. Le raccordement des habitations aux égouts est obligatoire. MA POLLUTION À MOI Si j utilise chaque jour, 150 à 200 litres d eau, mes eaux usées contiennent : 1 à 10 milliards de germes par 100 ml (virus, bactéries, protozoaires, oeufs de vers parasites). 90 g de matières organiques ou minérales en suspension dans l eau sous forme de particules. 57 g de matières oxydables. 15 g de matières azotées principales responsables de l eutrophisation. 4 g de phosphore (issus des détergents ou du corps humain). 0,05 g de composés organohalogénés (fluor, chlore, brome ou iode). 0,23 g de résidus de métaux lourds (plomb, cadmium, arsenic, mercure). 1 LITRE D EAU UTILISÉ = 1 LITRE D EAU USÉE DE L EVIER A L USINE p7

5 L ASSAINISSEMENT INDIVIDUEL DES TRAITEMENTS SOPHISTIQUÉS L ASSAINISSEMENT COLLECTIF EN FRANCE, STATIONS DE DÉPOLLUTION LE RELEVAGE D EAUX USÉES TRAITENT 7 MILLIARDS DE M 3 D EFFLUENTS CHAQUE ANNÉE. 3 LA COLLECTE Les eaux usées sont acheminées par les égouts jusqu à la station de dépollution. LE RELEVAGE Les eaux usées, transportées dans les collecteurs, s écoulent généralement en fonction de la pente jusqu à la station d épuration. Quand elles arrivent à un niveau plus bas que les installations, elles sont relevées par des pompes ou des vis d Archimède. LE DÉGRILLAGE TAMISAGE Les eaux usées passent au travers de grilles puis de tamis, aux mailles plus ou moins larges, qui retiennent les plus gros déchets. LE DESSABLAGE ET LE DÉSHUILAGE Les sables et les graviers se déposent au fond des bassins et sont évacués, tandis que les graisses, grâce à une injection d air, remontent à la surface où elles sont collectées. LE TRAITEMENT PRIMAIRE Il fait appel à des procédés physiques, éventuellement assortis de procédés physico-chimiques, pour éliminer les matières en suspension qui se déposent au fond du bassin et sont récupérées par raclage. Elles forment les «boues primaires». LE TRAITEMENT SECONDAIRE Ce traitement biologique reproduit les phénomènes d autoépuration existant dans la nature. Des bactéries présentes dans les eaux usées sont utilisées pour dégrader les matières polluantes dissoutes. LA CLARIFICATION L eau épurée est séparée des boues que l on récupère. À ce stade, l eau épurée peut être rejetée dans le milieu naturel. LE TRAITEMENT TERTIAIRE Les eaux épurées font parfois l objet d un traitement complémentaire pour désinfecter l eau et éliminer l azote et le phosphore. LE REJET EN RIVIÈRE Après traitement, 90 % des eaux sont rejetées dans les eaux continentales, 8 % dans les eaux marines et 2 % sont réutilisées (exemple : irrigation). Les stations d épuration sont souvent équipées de systèmes de désodorisation afin de lutter contre les gaz malodorants, un facteur de nuisance pour le voisinage. L EAU PROTÉGÉE DE LA NATURE À LA NATURE EN PASSANT PAR CHEZ VOUS 1 LA COLLECTE 5 2 LE TRAITEMENT PRIMAIRE LE TRAITEMENT SECONDAIRE 6 LE DÉGRILLAGE TAMISAGE LA CLARIFICATION p8 p9 p9 bis 7 LE TRAITEMENT TERTIAIRE 4 LE DESSABLAGE ET LE DÉSHUILAGE 8 LE REJET EN RIVIERE

6 p8 L ASSAINISSEMENT INDIVIDUEL DES TRAITEMENTS SOPHISTIQUÉS L ASSAINISSEMENT COLLECTIF EN FRANCE, STATIONS DE DÉPOLLUTION D EAUX USÉES TRAITENT 7 MILLIARDS DE M 3 D EFFLUENTS CHAQUE ANNÉE. LA COLLECTE Les eaux usées sont acheminées par les égouts jusqu à la station de dépollution. LE RELEVAGE Les eaux usées, transportées dans les collecteurs, s écoulent généralement en fonction de la pente jusqu à la station d épuration. Quand elles arrivent à un niveau plus bas que les installations, elles sont relevées par des pompes ou des vis d Archimède. LE DÉGRILLAGE TAMISAGE Les eaux usées passent au travers de grilles puis de tamis, aux mailles plus ou moins larges, qui retiennent les plus gros déchets. LE DESSABLAGE ET LE DÉSHUILAGE Les sables et les graviers se déposent au fond des bassins et sont évacués, tandis que les graisses, grâce à une injection d air, remontent à la surface où elles sont collectées. LE TRAITEMENT PRIMAIRE Il fait appel à des procédés physiques, éventuellement assortis de procédés physico-chimiques, pour éliminer les matières en suspension qui se déposent au fond du bassin et sont récupérées par raclage. Elles forment les «boues primaires». LE TRAITEMENT SECONDAIRE Ce traitement biologique reproduit les phénomènes d autoépuration existant dans la nature. Des bactéries présentes dans les eaux usées sont utilisées pour dégrader les matières polluantes dissoutes. LA CLARIFICATION L eau épurée est séparée des boues que l on récupère. À ce stade, l eau épurée peut être rejetée dans le milieu naturel. LE TRAITEMENT TERTIAIRE Les eaux épurées font parfois l objet d un traitement complémentaire pour désinfecter l eau et éliminer l azote et le phosphore. LE REJET EN RIVIÈRE Après traitement, 90 % des eaux sont rejetées dans les eaux continentales, 8 % dans les eaux marines et 2 % sont réutilisées (exemple : irrigation). Les stations d épuration sont souvent équipées de systèmes de désodorisation afin de lutter contre les gaz malodorants, un facteur de nuisance pour le voisinage. L ASSAINISSEMENT INDIVIDUEL Certaines habitations ne sont pas reliées à une station d épuration et dépolluent leurs eaux usées au moyen d un assainissement individuel. Cette situation concerne plus de 5 millions de logements, soit environ 12 millions d habitants. À la campagne les distances entre les habitations sont trop importantes pour que la construction d un réseau d égouts se justifie économiquement. Un obstacle technique peut également s opposer à la création d un réseau ou au raccordement d un bâtiment. Bien mené, l assainissement individuel est aussi efficace que l assainissement collectif. Les eaux usées sont généralement collectées dans une fosse septique, ou fosse «toutes eaux», puis canalisées dans un lit d épandage souterrain qui permet d achever leur épuration par l action des bactéries du sol. Cependant, de nombreuses installations ne permettent plus de dépolluer de façon satisfaisante. Les mairies ont jusqu à fin 2012 pour mettre en place un service public d assainissement non collectif (SPANC) qui a pour mission de contrôler et, éventuellement, d entretenir les installations d assainissement non collectif. p9 ter

7 p10 QUE DEVIENNENT LES BOUES? LE PRIX DU DÉVELOPPEMENT DURABLE? QUE DEVIENNENT LES BOUES? À l issue du traitement des eaux usées dans la station d épuration une quantité importante de sous-produits, les «boues», doit également être traitée. C est également le sort des matières de vidange qui doivent être extraites régulièrement des fosses toutes eaux des assainissements individuels. Les boues sont déshydratées afin d en réduire le volume. La stabilisation biologique (ou chimique ou thermique ) en diminue le pouvoir de fermentation. Une fois traités, 62 % des volumes sont valorisés en agriculture. Les boues contiennent en effet des éléments fertilisants (carbone, azote, phosphore, oligo-éléments). L épandage agricole, solution la plus naturelle et la moins onéreuse s effectue selon des règles très strictes. Par exemple, il est interdit sur les cultures maraîchères. Combinées à des sciures ou à des déchets verts, les boues peuvent également être utilisées comme compost. 21 % des boues sont incinérées pour produire de l énergie. Enfin, 13 % des boues produites chaque année en France continuent à être envoyées en décharge, même si cette pratique est en principe interdite depuis UNE EXIGENCE POUR LA QUALITÉ DES TRAITEMENTS En vertu de la directive européenne du 21 mai 1991 relative au traitement des eaux résiduaires urbaines, les agglomérations de plus de habitants sont, presque toutes, raccordées à une station d épuration permettant un traitement secondaire des eaux usées. Dans le même temps, plus de la moitié des stations de plus de habitants mettent en œuvre des traitements tertiaires. Les traitements tertiaires sont appliqués dès que le milieu récepteur l exige. C est le cas dans les zones sensibles, comme les lieux de baignade ou de conchyliculture où une réduction du taux d azote et de phosphore dans les rejets s impose. Les traitements peuvent aller jusqu à la désinfection. LE PRIX DU DÉVELOPPEMENT DURABLE Que l assainissement soit collectif ou individuel, c est la commune (ou l établissement public de coopération intercommunale) qui en est responsable sur son territoire. La commune est également propriétaire des installations d assainissement collectif et fixe les tarifs selon le niveau de service et les exigences d exploitation. La part assainissement représente en moyenne 37 % du montant des factures. Elle a tendance à augmenter car il faut financer des équipements de plus en plus sophistiqués. Elle varie d une commune à l autre en fonction des conditions spécifiques de collecte, de traitement et des investissements consentis ou à prévoir. Nous rejetons tous des eaux usées. Nous devons par conséquent tous contribuer à leur dépollution pour assurer la protection des ressources. Ainsi l usager paie dans sa facture d eau un ensemble de services dont la dépollution des eaux usées et la protection de l environnement. Le montant figurant sur la facture à la rubrique «collecte et traitement des eaux usées» est calculé sur la base de la consommation d eau. Pour moderniser leurs installations, les communes peuvent bénéficier de subventions ; notamment de la part des Agences de l eau qui reversent, sous forme de financements en faveur de l assainissement des eaux usées, une partie des redevances pollution acquittées par les consommateurs. Ainsi, près de 11,6 milliards d euros d investissements seront consacrés jusqu en 2015 à la lutte contre la pollution (DCE). RÉPARTITION DES COÛTS DE L EAU EN % 37% 18% du prix est lié à la production, au traitement et à la distribution de l eau potable. concerne l assainissement des eaux usées. correspondent aux redevances et taxes, dont la TVA. 45% 18% 37% p11

8 p12 DES REJETS CONTROLÉS LA DÉPOLLUTION COMMENCE À LA MAISON DES REJETS CONTRÔLÉS Les Pouvoirs Publics effectuent des contrôles pour vérifier la qualité des rejets d eau et de boues et leur conformité avec les exigences légales. De plus, la loi a institué une obligation d autosurveillance des exploitants de l ensemble du circuit de dépollution : de la collecte au rejet, traitement des boues compris. A l issue du traitement, les eaux dépolluées sont rejetées sans risque pour le milieu naturel qui peut terminer le travail de nettoyage, grâce à ses capacités d autoépuration. LA DÉPOLLUTION COMMENCE À LA MAISON SOYONS HYPER ATTENTIFS À LIMITER NOS POLLUTIONS DOMESTIQUES Ne jetons rien dans la nature, les cours d eau ou la mer : ni objets usagés, ni batteries, ni produits chimiques. Rappelons-nous que les éviers, les toilettes et les égouts ne sont pas des poubelles! Ne nous débarrassons pas des résidus d huiles, d essences, de peintures et autres produits chimiques dans les éviers ou les toilettes. Ils empêchent le bon déroulement des traitements pratiqués en station de dépollution. En effet, des bactéries présentes dans les eaux usées sont utilisées pour dégrader les matières polluantes dissoutes. Or tous ces produits sont toxiques pour les bactéries. De plus, ils peuvent intoxiquer les agents du service assainissement et détériorer les canalisations. Apportons-les en déchetterie où ils sont traités dans des filières adaptées. Ne jetons pas nos médicaments dans les éviers et les toilettes. Malgré les traitements de dépollution, certaines molécules peuvent se retrouver dans les cours d eau à l état de traces. Rapportons nos médicaments non utilisés ou périmés à la pharmacie. Halte aux lingettes dans les toilettes : elles peuvent boucher les canalisations et altérer le bon fonctionnement des stations de dépollution. Jetons tous les produits solides dans la poubelle. Réduisons les doses de détergents pour la vaisselle, le ménage, l hygiène et la lessive et utilisons des produits biodégradables. Au jardin, utilisons engrais, pesticides et désherbants avec parcimonie. Favorisons les produits biologiques ou le fumier, la tourbe ou le compost. Ne lavons pas notre voiture dans la nature ou dans la rue. Confions là à un centre de lavage : il est équipé d un système de collecte des huiles et résidus d essence et évite ainsi de les larguer dans les égouts. Entretenons régulièrement les dispositifs d assainissement autonome. p13

9 p14 EAU POTABLE, EAUX USÉES OÙ TROUVER L INFORMATION SUR L EAU? EAU POTABLE, EAUX USÉES, DEUX CIRCUITS BIEN DISTINCTS Ainsi, il ne faut pas confondre traitement de l eau potable (potabilisation) et assainissement des eaux usées (dépollution). L eau potable qui coule de nos robinets provient d une usine de potabilisation. Tandis que nos eaux usées sont dépolluées dans une station d épuration. Le C.I.EAU met également à votre disposition la brochure : l Eau Apprivoisée de la nature à la nature en passant par chez vous. Pour mieux comprendre le cycle de l eau domestique, les traitements pour rendre l eau potable OÙ TROUVER L INFORMATION SUR L EAU? En mairie : les résultats des analyses effectuées par la DDASS (Directions Départementales des Affaires Sanitaires et Sociales) sont affichés. En mairie : le rapport annuel sur le prix et la qualité des services de l eau (loi du 2 février 1995) est mis à disposition du public dans les communes de plus de habitants, sinon il faut le demander. Avec la facture : une note de synthèse annuelle sur la qualité de l eau préparée par la DDASS (arrêté du 10 juillet 1996) est adressée aux abonnés. Auprès du service des eaux : l information pour toutes les questions relatives à l alimentation en eau, à la qualité, au prix, au branchement, au compteur, etc. Pensez à consulter leur site Internet. Le C.I.EAU est une association créée en 1995 par les Entreprises de l Eau pour répondre aux interrogations de tous les publics (consommateurs, enseignants, journalistes, professionnels de santé, intervenants du secteur de l eau ) sur l ensemble de la thématique de l eau domestique (ressources, qualité, consommation, prix, production, distribution, assainissement). p15

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