FRANCOPHONE GRENOBLOIS DES NATIONS UNIES

Transcription

1 Rapport I Vème édition AG 1 Désarmement Armes nucléaires, évolutions actuelles, enjeux MODELE FRANCOPHONE GRENOBLOIS DES NATIONS UNIES Lisa Chrétien

2 Forum : Désarmement Sujet : Armes nucléaires, évolutions actuelles, enjeux Membre de l État-major : Lisa Chrétien Position : Facilitatrice Introduction Les armes de destruction massive ont été inventées au 20 ème siècle pour des guerres, qui aujourd hui ont pris d autres formes. Nous verrons quelles évolutions, au niveau de la sécurité, de la gestion de cette arme ont été apportées depuis le début de cette ère nucléaire, on s intéressera également à celles à venir. Considérées comme des «armes de dissuasion», les armes nucléaires sont des enjeux importants dans le monde. Nous verrons dans quelles mesures cela pourrait-être une importante menace pour notre monde, mais également comment elle permet de garder le contrôle d un certain nombre d'événements. Définition des termes clefs Nucléaire Le nucléaire est une énergie utilisable civilement ou militairement. En matière civile, le nucléaire est utilisé en médecine (radiothérapie) ou pour la production d'énergie (centrale nucléaire) ; en matière militaire, le nucléaire est utilisé en armement (bombe à fusion, à fission, à neutrons) Dissuasion nucléaire L arme nucléaire et ses effets dévastateurs devant faire reculer n importe quel adversaire, ou à tout le moins le faire réfléchir à deux fois avant de s attaquer au pays détenteur ou à leurs protégés, elle repose sur trois principes fondamentaux : -la permanence : le dispositif de dissuasion est toujours actif et certain. -la crédibilité : les deux composantes (océanique et aéroporté terrestre), sont complémentaires en termes de portée et de précision, et disposent de modes de pénétration différents. -la stricte suffisance : le dispositif d armement est strictement nécessaire aux besoins défensifs du pays, et la dissuasion nucléaire est strictement défensive.

3 TICE Le Traité sur l'interdiction complète des essais nucléaires est un accord multilatéral ouvert à la signature le 24 septembre 1996 après de longues années de négociations au sein de la Conférence du désarmement. Il prévoit un important régime de vérification, et notamment la création d'un Système de surveillance international, des inspections sur place ainsi que des mesures de confiance. TNP Signé en 1970, le traité de non-prolifération (TNP) vise à éviter une guerre nucléaire et à instaurer une coopération. Ratifié par 188 pays, le traité est fondé sur la distinction entre les cinq puissances (États-Unis, Russie, France, Grande-Bretagne et Chine) qui ont fait exploser une arme avant 1967 et les États qui n'en étaient pas dotés à ce moment. Bombe radiologique Également appelée bombe sale, c est une bombe conventionnelle, entourée de matériaux radioactifs destinés à être répandus en poussière lors de l'explosion. Cette explosion a donc l'intensité thermique et mécanique d'une bombe conventionnelle, mais dissémine autour d'elle des éléments radioactifs qui auront des effets à long terme. Aperçu général Début de l ère atomique et prolifération Les premières armes nucléaires ont vu le jour durant la Seconde Guerre Mondiale, elles ont été inventées et utilisées la première fois par les États-Unis lors des attaques d Hiroshima, le 6 août 1945, et de Nagasaki le 9 août 1945 : elles ont fait, à elles deux, plus de morts au Japon. Cela sera la seule et unique attaque nucléaire de l histoire. De fait après ce massacre, l utilisation de cette arme a été très rapidement réglementée afin d éviter des attaques plus importantes. Prolifération et conséquences mondiales D autres pays se sont cependant rapidement armés de la même façon, l URSS en 1949, le Royaume-Uni en 1952, la France en 1960 et la Chine en Ainsi tous les pays siégeant à l ONU comme membres permanents disposent de l arme nucléaire dès les années 60. Dès les années 1990, les États issus de la séparation de l URSS, sont «nésnucléaires», en revanche d autres états ont cherchés à l obtenir pendant des années, comme Israël et le Pakistan, qui à ce jour sont dotés de l arme nucléaire. On peut parler depuis le création de cette arme de course à l armement.

4 L ancien Président Jacques Chirac a donné des précisions sur sa conception de l arme nucléaire et nous reprenons ici son discours qui explique clairement les raisons qui poussent un pays à acquérir l arme nucléaire: «La dissuasion nucléaire est en premier lieu un facteur essentiel de la stabilité internationale. C'est grâce à cette dissuasion que l Europe a été préservée pendant plus de cinquante ans des ravages qu elle a connus au cours du 20è siècle. Exigeant la retenue, en appelant à la raison, la menace nucléaire crédible commande la paix. ( ) Nos forces nucléaires ne sont dirigées contre aucun pays, et nous avons toujours refusé que l arme nucléaire soit considérée comme une arme de champ de bataille utilisée dans la stratégie militaire ( ). Ce que j affirme devant vous est que la France, tout en restant fidèle à son concept de non-usage, a et conservera les moyens de maintenir la crédibilité de sa dissuasion face à toute nouvelle menace» (Juin 2001) L arme nucléaire modifie le rapport entre les Nations, un pays peut se retrouver en position de faiblesse s il ne dispose pas de cette arme ou s il ne peut défendre sa population contre celle-ci. Face au risque de destruction mutuelle assurée, les États utilisent désormais l arme nucléaire comme processus de dissuasion, créant ainsi un état de stabilité internationale. L arme nucléaire a permis de maintenir pendant la Guerre Froide un «équilibre de la terreur», les deux grandes puissances ne pouvant user de cette arme. «Les armes nucléaires ne nous apportent rien d autre que l équilibre de la terreur, et la terreur, même en équilibre, c est encore de la terreur» a dit Georges Wald, prix Nobel de médecine en Cela a fait entrer le monde dans un état de «Paix impossible, guerre improbable» (Raymond Aron), même si certains épisodes historiques (crise de Cuba en 1962) ont frôlé la catastrophe. Limitation de la prolifération La communauté internationale s est rapidement aperçue des effets néfastes de la course à l arme nucléaire. Pour y mettre fin, les grandes puissances ont installé un régime international de non-prolifération des armes de destruction massive. Le président américain John Fitzgerald Kennedy reprend le mot en juillet 1963 à la veille de la signature du Traité d Interdiction des Essais Atmosphériques : «Les quatre puissances nucléaires ont un devoir capital, celui d utiliser le temps qui nous reste pour empêcher la dissémination des armes nucléaires» Les premières questions à ce propos ont lieu en dès 1958, et donnent naissance à différents traités, Moscou en 1963, Washington en 1971, etc. Les accords SALT (Strategic Arms Reducty Treaty) de 1972 et 1979 sont parmi les plus importants en matière de non-prolifération nucléaire. L ouverture à signature du Traité de Non-Prolifération des armes nucléaires à lieu en 1968, il entre en vigueur en Le traité de non-prolifération (TNP) de 1968 reste celui qui maintient le monde dans un certain état de stabilité. Le traité avait été conclu pour 25 ans, en 1995 il a été reconduit pour une durée indéfinie. Conclu entre les États dotés de l arme nucléaire et les États qui n en sont pas dotés, il oblige les États qui possèdent l arme nucléaire à ne pas aider les autres à l obtenir, les autres États s engageant à ne rien faire pour l obtenir. Les essais nucléaires sont également interdits par le TICE.

5 Respect et non-respect des accords internationaux Hiroshima et Nagasaki ont été les seuls endroits visés par des bombardements nucléaires en Aujourd hui, la puissance destructrice des armes nucléaires est telle qu elle est réduite à un instrument de dissuasion entre États. De nombreux États tentent de respecter les accords de non-prolifération. La France a donc diminué son arsenal nucléaire de 3 à 2 composantes, fermé son site d expérimentation nucléaire du Pacifique, et arrêté la production de matières fissiles (qui peut subir une fission nucléaire) à usage militaire. Quelques États refusent d admettre que seules les grandes puissances puissent bénéficier de l arme nucléaire. La Corée du Nord a ainsi fait obstacle aux contrôles destinées à faire respecter le TNP. L Iran a utilisé l énergie atomique civile fournie par les occidentaux pour s engager dans des activités d enrichissement d uranium dans le but d obtenir l arme nucléaire. Même si le pays avait bien signé le traité de non-prolifération, la révolution de 1979 a mis fin aux accords que le pays maintenait avec les occidentaux. Le Sénat américain a rejeté en 1999 le TICE, alors que les États-Unis disposent du premier parc mondial de centrales nucléaires au monde. L utilisation des armes nucléaires ne doit pas empêcher le respect des règles du droit humanitaire (distinction civil/combattants, limitation des pertes humaines et des victimes, éviter les souffrances inutiles, etc.). Les civils doivent donc être protégés des armes nucléaires. La Cour internationale de Justice a du se prononcer sur la légalité de l emploi des armes nucléaires en Dans son avis, elle a rappelé l interdiction d utiliser des armes ne permettant pas de distinguer les civils des militaires, et qui de plus aggravent inutilement la souffrance des hommes hors de combat. La Cour affirme que l usage des armes nucléaires n est donc pas compatible avec les exigences du droit humanitaire. Elle ne s est néanmoins pas prononcée sur la légalité ou l illégalité du recours à l arme nucléaire.

6 Le terrorisme nucléaire : une menace réelle? La crainte liée au phénomène du terrorisme nucléaire est un risque bien réel mais plus ou moins pris au sérieux dû aux faibles chances qu'il ne survienne. «Le monde doit davantage se prémunir contre le risque de terrorisme nucléaire», estime le patron de l Agence internationale de l énergie atomique (AIEA), Yukiya Amano. Il soutient que la possibilité d un attentat de ce type, aux conséquences dévastatrices, peut de moins en moins être exclue. Selon l'aiea, la menace est réelle car, depuis 1993, 175 cas de trafic de matériel nucléaire et 201 cas de trafic d'autres sources radioactives ont été observés. Cependant, seulement 18 de ces cas ont impliqué du matériel nécessaire à la fabrication d'une bombe nucléaire. Les experts de l'aiea affirment que les quantités impliquées dans ces trafics n'étaient pas suffisantes pour construire une bombe atomique. De plus, certains groupes terroristes, comme Al-Qaïda, auraient tenté d'acquérir du matériel nucléaire. En revanche, aucune utilisation de quelconque arme nucléaire n a été relevée (Ces groupes ont des problèmes techniques à résoudre). Trois sources d approvisionnement illégales en matière de nucléaire, ont été identifiées : les installations et le matériel nucléaires ainsi que les sources radioactives. En effet dans la grande majorité des pays, le niveau de sécurité est considéré comme élevé, en revanche dans d autres pays, le domaine du nucléaire peut présenter des brèches, ce qui peut être une possible ouverture pour les organisations terroristes. Au début de l année 2016 des centrales nucléaires françaises ont été survolée par des drones non-identifiés, ce qui illustre bien le risque grandissant du terrorisme nucléaire. En une vingtaine d'années, l AIEA a recensé près de cas de trafic, de détention illicite ou de "perte" de substances nucléaires, dont un incident en Irak l an dernier. Au total, il existe dans le monde suffisamment de plutonium et d'uranium enrichi pour fabriquer l'équivalent de bombes d'hiroshima, selon le Panel international sur les matériaux fissiles. Une organisation comme le groupe État islamique pourrait donc aisément confectionner une "bombe sale", qui répandrait des substances radioactives au moyen d'un explosif classique. Nous pouvons donc parler d un risque réel, grandissant d année en année, qui concerne tous les états du monde. En 2014, 35 pays ont pris des engagements, mais des puissances importantes comme la Chine, l'inde et le Pakistan n'ont pas participé à ces engagements. Stabilité et instabilité Malgré la présence d'importants stocks d'armes nucléaires, aucun emploi n'en a été fait sur des civils depuis 1945, donc l'avenir ne peut pas être totalement sombre. De plus, la théorie de la dissuasion nucléaire semble bien fonctionner depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale, ce qui réduit fortement les chances de déclenchement d'une guerre nucléaire. Cependant, l'utilisation du nucléaire à une petite échelle n'est pas à écarter. En outre, la stabilité reposant sur la dissuasion nucléaire est actuellement ébranlée par les dernières actions de la Corée du Nord qui sèment l'incertitude suite au manque d'informations concernant les réelles volontés de l'état nord-coréen.

7 Discuter de la stabilité et de l'instabilité en matière de stratégie nucléaire ne correspond pas tout-à-fait aux débats stratégiques sur l'équilibre des puissances. D'abord parce que la perception de cet équilibre ne se réduit pas au domaine nucléaire. Cet «équilibre nucléaire» n est pas représentatif des réels rapports de force entre les états. Durant un bon demi-siècle, tout un paradoxe de la stabilité/instabilité réside dans l'existence de la bombe nucléaire comme facteur de paix globale et de guerre locale. Avec un certain retour du nucléaire dans le grand débat stratégique contemporain, c'est tout ce paradoxe qui ressurgit avec une forte inquiétude sur la tendance plutôt à l'instabilité. En effet, il existe toujours de par le monde de quoi détruire la surface de la planète plusieurs fois et la course technologique continue de faire évoluer ces arsenaux. Pays et organisations concernées France Il s'agit de la troisième plus grande force nucléaire au monde. La force de dissuasion nucléaire française, aussi nommée «Force de frappe», désigne les deux composantes qui peuvent être utilisées par les Forces armées françaises pour l'emploi de ses armes nucléaires : au sein de l'armée de l'air française, ou embarquée à bord de sous-marins nucléaires lanceurs d'engins. Le Traité d interdiction complète des essais nucléaire (TICE) de 1996 a obligé la France à démanteler progressivement son Centre d expérimentation du Pacifique. États-Unis Les États-Unis sont le premier pays à avoir développé des armes nucléaires et le seul à les avoir utilisées en temps de guerre, lors des bombardements atomiques de Hiroshima et Nagasaki. Au 30 septembre 2015, il était composé officiellement de têtes nucléaires. Ce sont les États-Unis qui, au début des années 1990, ont réussi à imposer le thème de la prolifération aux Nations Unies avec une déclaration du Conseil de sécurité de 1992 qui proclame que «la prolifération des armes de destruction massive constitue une menace pour la paix et la sécurité internationale». Corée du Nord La Corée du Nord est un pays suscitant incertitudes et questionnement à propos de l arme nucléaire. En effet elle est accusée d avoir effectué un essai nucléaire, ce qui confirme sa possession de l arme atomique. Le monde reste cependant en interrogation sur ce qui se passe réellement en Corée du Nord. Mais il ne fait aucun doute que le problème nord-coréen est une menace sérieuse pour la sécurité de la région est-asiatique à court et à long terme.

8 Histogramme des premiers essais nucléaires pour différents pays dans le monde entier Russie L union soviétique fut la deuxième puissance nucléaire du monde. Suite à la Seconde Guerre Mondiale et pendant la Guerre Froide, l industrie nucléaire russe développa son arsenal avec des très nombreux types d armes, afin de concurrencer les Etats-Unis. L'Union soviétique a effectué officiellement un total de 715 essais nucléaires entre le 29 août 1949 et le 24 octobre 1990, dont 124 à titre pacifiques. Les Forces des missiles stratégiques disposaient de la majorité de l'arsenal de l'armée russe, elles furent le principal pilier de la triade nucléaire soviétique et se développèrent rapidement. Carte des bases d'icbm en URSS dans les années

9 Inde L apparition du nucléaire en Inde date à peu près de leur indépendance. Dès 1948, l' Atomic Energy Act vise au développement de l énergie nucléaire, mais non pas pour l armée. Aujourd'hui non signataire du traité de non-prolifération nucléaire, l'inde n'en est pas moins une grande puissance nucléaire. Leur premier essai nucléaire date de 1974 et le dernier recensé de Le ministère de l'energie atomique est créé en 1954, avec l'aide des États- Unis et du Canada. L'Inde est alors bénéficiaire du programme Atoms for Peace lancé par le président américain Eisenhower. Pakistan La République islamique du Pakistan est le 7e pays du monde à réussir à développer et tester des armes nucléaires. Le pays posséderait de 300 à 350 ogives nucléaires en 2013 contre une cinquantaine en Débuté en janvier 1972 sous le premier ministre Zulfikar Alî Bhutto, le programme nucléaire pakistanais est, à l'origine, une réponse au développement d'armes nucléaires par l'inde. Le Pakistan accède au nucléaire militaire en 1987, année durant laquelle le docteur Abdul Qadeer Khan, directeur du programme, confirme dans une interview les allégations de la CIA concernant l obtention de capacités nucléaires militaires. Le Pakistan n'est pas signataire du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires Développements récents Israël reste dans l ambiguïté tant qu à sa possession de la bombe, cela ne ni démenti, ni confirmé. L État juif s est doté du feu nucléaire dès les années 1960, avec probablement l aide de la France et des États-Unis. Il possède, selon les estimations, entre 80 et 200 ogives. L autre cas inquiétant est l Iran, soupçonné depuis la révélation d un programme secret par des opposants, en 2002, de chercher à se doter de l arme atomique. Téhéran jure qu il s agit d un programme strictement civil, destiné à la production d électricité et pour la médecine. Il est assez probable que la République islamique cherche à devenir, à l instar du Japon, un pays du seuil nucléaire, et à développer tous les moyens nécessaires pour se doter de la bombe le jour où il la jugerait indispensable à sa survie. En 2016, le 12 mai, les États-Unis ont activé leur système de défense antimissile construit à Deveselu, en Roumanie, en dépit des protestations de Moscou qui estime que le dispositif est dirigé contre son potentiel militaire. Les États-Unis ont également chargé leurs militaires de retirer les armes nucléaires US du territoire turc dans les plus brefs délais. Implication de l ONU L ONU, dans ce cas, est là pour gérer les pays qui ont l arme nucléaire et ceux qui ne l ont pas. De plus son rôle est d éviter les débordements par la négociation et la discussion. Cela s inscrit également dans l environnement car en plus des conséquences directes, une arme nucléaire aurait des conséquences sur le long terme, graves et susceptibles de détruire la planète.

10 Solutions possibles Bien qu il soit difficile de gérer ce phénomène, des solutions existent : -Certains pays considérés comme dangereux ou instables, devraient avoir l interdiction de posséder l arme nucléaire, et être contrôlés pour cela afin que nous soyons sûr qu il ne puisse agir à l aide de l arme nucléaire. -L idée déjà existante que l arme nucléaire est une arme de dissuasion devrait être précisée dans des traités qui seraient appliqués à tous les pays disposant de cette arme et donc susceptible de l utiliser. -Des polices internationales spécialisées dans le nucléaire devraient être mise en place afin d avoir un contrôle presque total sur ces armes atomiques qui représentent un danger important actuellement. Bibliographie et Sitographie Institut DRP - %20nucleaires.pdf - Les enjeux des armes nucléaires ; Sophie Lefeez ; 09/16 Ministère de la défense - La dissuasion nucléaire ; 09/16 ONU - Désarmement ; 09/16 Dictionnaire environnement - Traité de non-prolifération ; 09/16 Le monde politique - Armes nucléaires ; 09/16 Perspective monde - codeanalyse=313 Les armes nucléaires: évolution et enjeux ; 09/16 Les Echos - Accord sur le nucléaire ; 10/16 Europe Le terrorisme nucléaire ; 10/16 L OBS - Armes nucléaires ; 10/16