Implémentation d un système de reconnaissance automatique de la parole visuelle par les SVMs

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Implémentation d un système de reconnaissance automatique de la parole visuelle par les SVMs"

Transcription

1 1 Implémentation d un système de reconnaissance automatique de la parole visuelle par les SVMs Nadia BAKIR 1, Mohammed DEBYECHE 2 et Abderrahmene AMROUCHE 2 Résumé Dans cet article, nous avons élaboré un système de Reconnaissance Automatique de la Parole Visuelle (RAPV) par les Supports à Vecteurs Machines (SVM) comme méthodes de reconnaissance. Nous avons utilisé plusieurs méthodes de paramétrisation du signal parole visuel, pour trouver la meilleure méthode qui s adapte mieux à la base de données utilisée ainsi que le système de reconnaissance. La première méthode est l approche par estimation du gradient qui nécessite plusieurs prétraitements, la deuxième méthode est basée sur les contours actifs par approche des ensembles de niveaux, elle permet une estimation moyenne des contours extérieurs des lèvres, mes ne permet pas d avoir une bonne détection sur tout la base de données, car ces paramètres change d une image à une autre. Nous avons opté pour la DCT comme solution à nos problèmes, elle a permet d avoir un très bon taux de reconnaissance. Mots clés RAP visuelle, SVM, contours actifs, DCT. L I. INTRODUCTION a parole est un moyen de communication. Le message parlé est plus intelligible quand il est accompagné de la vision des lèvres du locuteur, surtout quand le milieu de transmission est dégradé [1]. Dans le cadre de la communication homme-machine, le signal visuel des lèvres parlantes peut s appréhender à la fois comme modalités d entrée et de sortie. La machine peut lire sur les lèvres en intégrant des paramètres labiaux dans les systèmes de RAP visuelle et réduire considérablement sa sensibilité au bruit ambiant. L enjeu est d isoler et de caractériser les gestes de parole produits par les lèvres. Pour pouvoir utiliser la parole visuelle dans les applications réelles [3], il semble nécessaire d étudier l extraction des paramètres labiaux sur des images en niveau de gris acquises sans préparation du locuteur dans un environnement réaliste soumis à des variations d éclairement. Dans ce travail nous nous intéressons à la RAP visuelle, et cela par l utilisation de différentes méthodes de caractérisation du signal visuel de parole, ainsi que l utilisation d un moteur de reconnaissance les machines à vecteurs de support désignées par SVM (Support Vector Machines) qui permet d avoir des résultats satisfaisants et d amélioré celles qui font l objet de ce travail. II. SYSTEME DE RAP VISUELLE Comme le montre le schéma synoptique de la figure 1, un système de RAP visuelle nécessite une base de données qui contient l information du signal parole. Dans le cadre de cette étude il s agit d une base de données audiovisuelle. Ce système comprend trois phases : phase de lecture du signal visuel, phase de prétraitements et traitements du signal visuel et la phase de reconnaissance. Une fois le signal parole est caractérisé, on passe à l étape de la reconnaissance par SVM qui attribue chaque information à une classe selon un processus d apprentissage qui va classifier chaque mot ou chaque chiffre à sa place selon l application utilisée. Fig. 1. Schéma global d un système RAP visuelle. III. PARAMETRISATION DU SIGNAL PAROLE VISUEL A. Définition du signal parole visuel Les caractéristiques visuelles d un signal parole reposent sur la lecture labiale qui permet de comprendre le message parlé en mettant en relation les mouvements des lèvres. Un signal audiovisuel est représenté dans un signal vidéo numérique qui contient les deux informations acoustique et visuelle, la paramétrisation du signal visuelle revient à extraire l information visuelle de la vidéo. B. Méthodes d analyse du signal visuel La RAP visuelle a pour objet la transformation automatique d un signal vidéo en image puis évaluer les différents changements issus des mouvements des lèvres pour les traduire, idéalement, au mot prononcé par un locuteur. Le traitement visuel de la parole regroupe l acquisition du signal visuel, son débruitage et l extraction des coefficients caractéristiques de ce signal. Donc, le signal parole est représenté par une suite de vecteurs qui constituent l information relative au mouvement des lèvres de chaque image dans une séquence vidéo. Nous allons aborder différentes approches : une approche pour la détection de contour classique [] et une autre pour la détection de contour actif : ensemble de niveaux (level set ) [] et la DCT.

2 2 1) Approche classique a) Prétraitements Les prétraitements sont faits par des étapes successives obtenus pour la détection des contours des lèvres. L organigramme utilisé concernant l approche classique est Fig. 2. Image filtrée avec sigma= comme elles sont présentées comme suite : Filtrage gaussien : On applique un filtrage gaussien Fig. 3. Application du masque vertical à l image filtrée et son Histogramme. d un écart type sigma=. 1 Application du masque 0 à l image filtrée. 1 Seuillage : Comme on peut le voir sur l histogramme de l image prétraitée (seuil=0). Sur la figure a, on voit bien l effet de bord créé par le filtrage gaussien, ce qui va générer par la suite des contours artificiels, et ça engendrera une information redondante sur le processus de reconnaissance. Pour remédier à cela, un a. Filtrage par Effets de bord Fig. 7. Organigramme de l algorithme de la paramétrisation du signal visuel par la méthode classique. illustrée par la figure 7 : 2) Approche par détection de contour actif (level set) Le principe général de l algorithme des contours actifs utilisés est d initialiser une courbe dite zero level set, et puis faire subir une évolution (déformation de la courbe) jusqu'à atteindre le contour extérieur des lèvres, et cela grâce à la minimisation d une fonctionnelle d énergie. b. Redimensionnement de l image traitée c. Image seuillée. Fig. Seuillage après filtrage et redimensionnement redimensionnement de l image pour éliminer ce problème. a) Détection de contour On a utilisé 6 filtres représentés sur la figure 6. Comme on peut le voir, les frontières des lèvres inférieures ne sont pas détectées, ce qui ne caractérise pas l information relative à la séquence vidéo du mot prononcé. Malgré les prétraitements utilisés, on n a pas pu avoir une bonne détection des contours des lèvres. Comme on l a Prewitt canny zerocross Sobel Roberts log Fig.6 Détection des contours des lèvres par plusieurs filtres. appliqué. La figure ci-dessus représente les meilleurs résultats Fig. 8. Organigramme de l algorithme de paramétrisation du signal visuel par les contours actifs. L implémentation de l algorithme de parametrisation du signal visuel par les contours actifs est donnée par la figure 8 : 3) Caractérisation par la DCT Comme cette méthode est déjà faite dans les travaux précédents [3], on applique la DCT sur les images des lèvres. La dimension de l image est de 80x60, où sont conservés seulement 00 coefficients de basses fréquences. Ainsi les tailles des vecteurs caractéristiques sont comme suites : - Base d apprentissage [63, 00,]. - Base de test [63, 00, 0] IV. MÉTHODE DE RECONNAISSANCE SVM A. Principe de fonctionnement 1) Notions de base : hyperplan, marge et support vecteur Pour deux classes d exemples donnés, le but du SVM est de trouver un classificateur qui va séparer les données et

3 3 des séries de dix mots des chiffres arabes tirés aléatoirement, sans répétition, appelés en élocution continue [3]. Fig. 9. Hyperplan séparateur optimal. maximiser la distance entre deux classes [6]. Dans la figure si dessus, on détermine un hyper plan qui sépare les deux ensembles de points.les points les plus proches, qui seuls sont utilisés pour la détermination de l hyperplan, sont appelés vecteurs de support. On appelle la distance marge entre l hyperplan et les exemples. L hyperplan séparateur optimal est celui qui maximise la marge. Comme on cherche à maximiser cette marge, on parlera de séparateur à vaste marge. 2) Extensions des SVMs aux problèmes multi-classes Les SVMs sont des classifieurs binaires permettant de séparer deux classes de données uniquement. Leurs extensions aux problèmes multi-classes peuvent être établies selon différentes approches procédant toutes par la combinaison de plusieurs SVMs. [ref2] telles que : - L approche un contre tous (OAA : One-Against-All) : dans laquelle chaque SVM est entrainé par séparer une classe de Fig. 12. Schéma synoptique du banc d acquisition [2] La figure suivante présente le schéma synoptique du banc d acquisition : Normalisation Une normalisation de la base de données s impose pour simplifier la tâche à l algorithme de traitement et de reconnaissance. La matrice finale est de 4 dimensions (hauteur, largeur, nombre d images maximal, nombre de clips). L apprentissage des modèles visuels se fait par estimation de leurs paramètres sur un corpus dit Apprentissage qui doit être disjoint du corpus dit Test. Nous avons utilisé 60% de la base globale pour l apprentissage et % pour le test. B. Schéma synoptique du système de RAP visuelle Fig.. Schéma synoptique pour l approche un contre tous (OAA). toutes les autres classes). - L approche un contre un (OAO: One-Against-One) : C est une méthode dite de un contre un, au lieu d apprendre N Fig. 11. Schéma synoptique pour l approche un contre un OAO. fonction de décision, chaque classe est discriminé d une autre. V. EXPERIENCES ET RESULTATS A. Base de données La base de données utilisée est une base audiovisuelle comportant des chiffres arabes isolés prélevés à une fréquence d échantillonnage de 16 KHz et 2 images/s. Elle est constituée de 2 répétitions des mots isolés (siffer, wahed, ithnani, thalatha, arbaa, khamssa, sitta, sabaa, thamania, tissaa) prononcés par une seule locutrice arabisante. Donc c est une base monolocuteur, elle a été apprise sur le mot à reconnaître pour le même style de corpus de parole. A savoir Fig. 13. Schéma synoptique du système de RAP visuelle par SVM mis en œuvre. Le schéma général du système implémenté est donné par la figure 13. Comme le montre la figure 13 la base de données globale est divisée en deux: Base Test BT et Base Apprentissage BA. Et après sa normalisation, leurs tailles sont : - la matrice de la base Apprentissage est de [60,80,63,]. - la matrice de la base Test est de dimension [60,80,63,0]. a : Image originale b : Histogramme du l'image originale c : Image modifié. d : Modification de l'histogramme. Fig. 14 : Modification d une image par son histogramme Avant tout, on va chercher les caractéristiques des images

4 emes JOURNEES DU LABORATOIRE DE COMMUNIPARLEE ET DE TRAITEMENT DES SIGNAUX 4 de la base de données. La figure 14 montre l amélioration de l information visuelle par la modification de l histogramme. Après les modifications sur l histogramme, on obtient l image modifiée représenté dans la figure 14.c, on constate que les lèvres supérieures sont confondues avec la partie inférieure des lèvres inférieures, qui sont confondues avec le reste de l image. Cela est dû à l acquisition de la base de données. C. Résultats par la détection des contours actifs Avant toute chose, on applique un filtre gaussien de l écarttype 1 sur l image, et on redimensionne l image pour éliminer l effet de bord. Comme le montre les figures 14.a et 14.b, on initialise la fonction Level Set LS (rectangle en rouge). On applique l évolution avec les paramètres suivants : ε =1., μ = 0.04, λ =, ν =1, nombre d itérations =00. Sur la figure 14.a : la fonction level set finale est représentée en rouge sur l image originale. On peut dire a. Initialisation de la fonction LS b. Initialisation de la fonction LS (lèvres fermées). (lèvres ouvertes). c. Contour final après 00 itérations. d. Contour final après 00 itérations. Fig. 14 : Résultats du contour sans application du masque vertical. quand à une détection moyenne des contours extérieurs des lèvres. On refait le même travail sur des lèvres ouvertes avec les mêmes paramètres. Le résultat final est moins bon comme le montre la figure 14.d, par rapport au résultat obtenu sur les lèvres fermées de la figure 14.c. On filtre maintenant l image avec le masque vertical après a. Initialisation de la fonction LS b. Initialisation de la fonction LS (lèvres fermées). (lèvres ouvertes). de la figure 14 mais il est moins précis par rapport au contour de la figure 6. Discussion La caractérisation du signal visuel de la parole avec les deux méthodes proposées ont données de résultats un peu satisfaisants et cela à cause des conditions réels d acquisition du signal visuel. On a vu que pour la détection de contours avec l approche classique nécessite plusieurs prétraitements pour détecter les contours intérieurs et extérieurs des lèvres. La deuxième méthode nous a révélé que ces paramètres changent d une image à une autre, d une image où les lèvres sont fermées à une image où les lèvres sont ouvertes. On se retrouve à poser le problème suivant : est-ce-qu on peut faire une meilleure paramétrisation sur toute la base de données sans faire des changements des paramètres avec moins de prétraitements. La méthode qui répond à tous ces contraintes est la DCT [3]. D. Résultats de la classification On va présenter les résultats de la classification par les SVMs sur les résultats de la caractérisation par la DCT. Les matrices d entrés des SVMs doivent être représenté en 2-D, or que les taille des matrice sont en 3-D. Les matrices contenant les caractéristiques visuelles des deux bases respectivement Apprentissage et de Test sont réorganisées comme suit : Base Apprentissage: [, 63*00]. Base Test: [0, 63*00]. Ou chaque ligne de la matrice (apprentissage ou test) représente les 00 coefficients des 63 images d un clip, c.-à-d., une ligne représente la caractérisation d une répétition d un chiffre. Les résultats de la classification sont représentés par le paramètre Taux Moyen de Bon Reconnaissance TMBR : TMBR = N i C ii nombre de répétitions c. Contour final après 00 itérations. d. Contour final après 00 itérations. Fig. 1 : Résultats du contour avec application du masque vertical. le redimensionnement, et on applique l algorithme comme il est présenté sur la figure 1. Comme on peut le voir sur les figures 1.a et.b, l initialisation de la fonction level set sur l image filtré par le masque vertical. Les figures 1.c et 1.d nous montrent les contours finals sur les images originales respectivement lèvres fermés et ouverts. On peut dire que le contour est fermé par rapport au contour Fig. 16. Influence du noyaux sur le TMBR pour chaque chiffre. Avec: N: nombre de classes (chiffres) =. Nombre de répétitions = 1 (Apprentissage) et (Test). Classification par noyaux La figure16 présente l influence des différents noyaux sur le TMBR pour chaque chiffre, ou le système à fait une erreur de % pour le chiffre 7 pour les noyaux Linéaires et RBF, et pour remédier à cette erreur, on applique le noyau linéaire à la classe d erreur et le noyau RBF sur les autres classes. On obtient résultat meilleur TMBR = 0%. On peut représenter l influence du type de noyaux sur le TMBR global par la figure ci-dessous.

5 [6] Y. Ben Ayad, Détection de mots clés dans un flux de parole, Thèse PHD, Ecole Nationale Supérieure des Télécommunications ENST, France, 03. Fig. 17. Comparaison des differents noyaux du SVM sur le TMBRG. VI. CONCLUSION Notre travail présenté dans ce document a porté sur la RAP Visuelle. Nous avons ainsi abordé les principaux problèmes de la RAPV, à savoir la paramétrisation des informations de parole et la nature du système de Reconnaissance. Nous avons choisi pour résoudre ces problèmes en appuyant sur des travaux réalisés dans le domaine de la perception visuelle de la parole. Nous nous sommes intéressés, en premier temps, à l extraction des paramètres visuels. Elles sont calculées sur des images fixes basées sur la forme et les mouvements des lèvres, et paramétrées par trois méthodes : La premier est la détection de contour par estimation de gradient (Approche classique), la deuxième méthode est la détection des contours actifs par la formulation Level Set et la dernier méthode c est la DCT. Nous avons ensuite mis en œuvre le système de RAP visuelle fondé sur le module de reconnaissance SVMs. Aux cours de l évaluation de notre système, on a constaté que la méthode de paramétrisation classique ne donne pas de bonne résultats, car cette méthode permet de détecter tous les contours présents dans l image, ainsi il nous a fallu employer plusieurs prétraitements, mes la nature de la base de données utilisée (milieu réel) a engendré plusieurs problèmes liés à la détection des contours des lèvres. Par contre la méthode Level Set permet de détecter les contours extérieurs des lèvres, mais ces paramètres changent d une image à une autre. Pour remédier à ces problèmes, on a utilisé la DCT qui nous a donné un TMBR (Taux Moyen de Bonne Reconnaissance) égale à 0%. La DCT reste toujours la meilleure approche pour la caractérisation des images par rapport aux autres méthodes. REFERENCES [1] A. Rogonza, Etude de la fusion des données hétérogènes pour la reconnaissance automatique de la parole audiovisuelle, Thèse PHD, Ecole doctorale en électronique de l université d Orsay, Paris, [2] N. Bakir,. Debyeche, Y. Chibani, Reconnaissance automatique des chiffres arabes en milieu réel par fusion audiovisuelle, ème Congrès Français d'acoustique, Lyon, France, Avril. [3] N. Bakir, Reconnaissance automatique de la parole par fusion audiovisuelle dans un milieu réel, Thèse Magister en Électronique, Université des Sciences et de la Technologie Houari Boumediene USTHB, Alger, 08. [4] A. Bovik, Handbouk of Image and Vide Processing, Academic Press, p891 (00). [] H. Mehrotra, G. Agrawal and M.C. Srivastava, Automatic Lip Contour Tracking and Visual Character Recognition for Computerized Lip Reading, International Journal of Computer Science 4:1 09.

Traitement bas-niveau

Traitement bas-niveau Plan Introduction L approche contour (frontière) Introduction Objectifs Les traitements ont pour but d extraire l information utile et pertinente contenue dans l image en regard de l application considérée.

Plus en détail

L analyse d images regroupe plusieurs disciplines que l on classe en deux catégories :

L analyse d images regroupe plusieurs disciplines que l on classe en deux catégories : La vision nous permet de percevoir et d interpreter le monde qui nous entoure. La vision artificielle a pour but de reproduire certaines fonctionnalités de la vision humaine au travers de l analyse d images.

Plus en détail

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE Le schéma synoptique ci-dessous décrit les différentes étapes du traitement numérique

Plus en détail

Master IMA - UMPC Paris 6 RDMM - Année 2009-2010 Fiche de TP

Master IMA - UMPC Paris 6 RDMM - Année 2009-2010 Fiche de TP Master IMA - UMPC Paris 6 RDMM - Année 2009-200 Fiche de TP Préliminaires. Récupérez l archive du logiciel de TP à partir du lien suivant : http://www.ensta.fr/~manzaner/cours/ima/tp2009.tar 2. Développez

Plus en détail

Dan Istrate. Directeur de thèse : Eric Castelli Co-Directeur : Laurent Besacier

Dan Istrate. Directeur de thèse : Eric Castelli Co-Directeur : Laurent Besacier Détection et reconnaissance des sons pour la surveillance médicale Dan Istrate le 16 décembre 2003 Directeur de thèse : Eric Castelli Co-Directeur : Laurent Besacier Thèse mené dans le cadre d une collaboration

Plus en détail

Utilisation d informations visuelles dynamiques en asservissement visuel Armel Crétual IRISA, projet TEMIS puis VISTA L asservissement visuel géométrique Principe : Réalisation d une tâche robotique par

Plus en détail

Détection et suivi d'objets dans une séquence d'images par contours actifs

Détection et suivi d'objets dans une séquence d'images par contours actifs Détection et suivi d'objets dans une séquence d'images par contours actifs A. Fekir (1), N. Benamrane (2) et A. Taleb-Ahmed (3) (1) Département d informatique, Université de Mustapha Stambouli, BP 763,

Plus en détail

Vérification audiovisuelle de l identité

Vérification audiovisuelle de l identité Vérification audiovisuelle de l identité Rémi Landais, Hervé Bredin, Leila Zouari, et Gérard Chollet École Nationale Supérieure des Télécommunications, Département Traitement du Signal et des Images, Laboratoire

Plus en détail

Systèmes de transmission

Systèmes de transmission Systèmes de transmission Conception d une transmission série FABRE Maxime 2012 Introduction La transmission de données désigne le transport de quelque sorte d'information que ce soit, d'un endroit à un

Plus en détail

Mesures de temps de propagation de groupe sur convertisseurs de fréquence sans accès aux OL

Mesures de temps de propagation de groupe sur convertisseurs de fréquence sans accès aux OL Mesures de temps de propagation de groupe sur convertisseurs de fréquence sans accès aux Comment mesurer le temps de propagation de groupe sur des convertisseurs de fréquence dans lesquels le ou les oscillateurs

Plus en détail

Projet de Traitement du Signal Segmentation d images SAR

Projet de Traitement du Signal Segmentation d images SAR Projet de Traitement du Signal Segmentation d images SAR Introduction En analyse d images, la segmentation est une étape essentielle, préliminaire à des traitements de haut niveau tels que la classification,

Plus en détail

Master IAD Module PS. Reconnaissance de la parole (suite) Alignement temporel et Programmation dynamique. Gaël RICHARD Février 2008

Master IAD Module PS. Reconnaissance de la parole (suite) Alignement temporel et Programmation dynamique. Gaël RICHARD Février 2008 Master IAD Module PS Reconnaissance de la parole (suite) Alignement temporel et Programmation dynamique Gaël RICHARD Février 2008 1 Reconnaissance de la parole Introduction Approches pour la reconnaissance

Plus en détail

FctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines

FctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines FctsAffines.nb 1 Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008 Fonctions affines Supports de cours de mathématiques de degré secondaire II, lien hpertete vers la page mère http://www.deleze.name/marcel/sec2/inde.html

Plus en détail

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes. Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de

Plus en détail

Une comparaison de méthodes de discrimination des masses de véhicules automobiles

Une comparaison de méthodes de discrimination des masses de véhicules automobiles p.1/34 Une comparaison de méthodes de discrimination des masses de véhicules automobiles A. Rakotomamonjy, R. Le Riche et D. Gualandris INSA de Rouen / CNRS 1884 et SMS / PSA Enquêtes en clientèle dans

Plus en détail

Programmation linéaire

Programmation linéaire 1 Programmation linéaire 1. Le problème, un exemple. 2. Le cas b = 0 3. Théorème de dualité 4. L algorithme du simplexe 5. Problèmes équivalents 6. Complexité de l Algorithme 2 Position du problème Soit

Plus en détail

Expérience 3 Formats de signalisation binaire

Expérience 3 Formats de signalisation binaire Expérience 3 Formats de signalisation binaire Introduction Procédures Effectuez les commandes suivantes: >> xhost nat >> rlogin nat >> setenv DISPLAY machine:0 >> setenv MATLABPATH /gel/usr/telecom/comm_tbx

Plus en détail

Amélioration de la fiabilité d inspection en CND grâce à la fusion d information : applications en rayons X et ultrasons

Amélioration de la fiabilité d inspection en CND grâce à la fusion d information : applications en rayons X et ultrasons Amélioration de la fiabilité d inspection en CND grâce à la fusion d information : applications en rayons X et ultrasons Ahmad OSMAN 1a, Valérie KAFTANDJIAN b, Ulf HASSLER a a Fraunhofer Development Center

Plus en détail

Intelligence Artificielle et Systèmes Multi-Agents. Badr Benmammar bbm@badr-benmammar.com

Intelligence Artificielle et Systèmes Multi-Agents. Badr Benmammar bbm@badr-benmammar.com Intelligence Artificielle et Systèmes Multi-Agents Badr Benmammar bbm@badr-benmammar.com Plan La première partie : L intelligence artificielle (IA) Définition de l intelligence artificielle (IA) Domaines

Plus en détail

Abdenour Hacine-Gharbi. Sélection de paramètres acoustiques pertinents pour la reconnaissance de la parole

Abdenour Hacine-Gharbi. Sélection de paramètres acoustiques pertinents pour la reconnaissance de la parole ÉCOLE DOCTORALE SCIENCES ET TECHNOLOGIES (ORLEANS) FACULTÉ de TECHNOLOGIE (Sétif) Laboratoire PRISME THÈSE EN COTUTELLE INTERNATIONALE présentée par : Abdenour Hacine-Gharbi soutenue le : 09 décembre 2012

Plus en détail

Projet audio. Analyse des Signaux ELE2700

Projet audio. Analyse des Signaux ELE2700 ÉCOLE POLYTECHNIQUE DE MONTRÉAL Département de Génie Électrique Projet audio Analyse des Signaux ELE2700 Saad Chidami - 2014 Table des matières Objectif du laboratoire... 4 Caractérisation du bruit...

Plus en détail

Optimisation de la compression fractale D images basée sur les réseaux de neurones

Optimisation de la compression fractale D images basée sur les réseaux de neurones Optimisation de la compression fractale D images basée sur les réseaux de neurones D r BOUKELIF Aoued Communication Networks,Architectures and Mutimedia laboratory University of S.B.A aoued@hotmail.com

Plus en détail

10ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 2010

10ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 2010 1ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 21 Identification du dommage par EA de stratifiés composites chargés en statique et cyclique M. Kharoubi 1, L. Fatmi 1, A. El Mahi 2, R. EL Guerjouma

Plus en détail

Commande Prédictive des. Convertisseurs Statiques

Commande Prédictive des. Convertisseurs Statiques Commande Prédictive des Convertisseurs Statiques 1 Classification des méthodes de commande pour les convertisseurs statiques Commande des convertisseurs Hystérésis MLI Cde Linéaire Fuzzy Logic Sliding

Plus en détail

Modules Multimédia PAO (Adobe)

Modules Multimédia PAO (Adobe) Modules Multimédia PAO (Adobe) Pré-requis : Bonne maîtrise de la manipulation d'un PC (environnement Windows ou Mac) et de la navigation Internet. Disposition pour le graphisme recommandée. Mémoire visuelle,

Plus en détail

Laboratoire 4 Développement d un système intelligent

Laboratoire 4 Développement d un système intelligent DÉPARTEMENT DE GÉNIE LOGICIEL ET DES TI LOG770 - SYSTÈMES INTELLIGENTS ÉTÉ 2012 Laboratoire 4 Développement d un système intelligent 1 Introduction Ce quatrième et dernier laboratoire porte sur le développement

Plus en détail

Programme des sessions 2014

Programme des sessions 2014 Programme des sessions 2014 1 - Gestion d'entreprise La gestion comptable dans une TPE Réf : 314-01 Durée 14 hrs Sessions Maîtriser les bases de la saisie comptable dans une TPE. 3/10 février 7/14 mars

Plus en détail

Introduction au Data-Mining

Introduction au Data-Mining Introduction au Data-Mining Alain Rakotomamonjy - Gilles Gasso. INSA Rouen -Département ASI Laboratoire PSI Introduction au Data-Mining p. 1/25 Data-Mining : Kèkecé? Traduction : Fouille de données. Terme

Plus en détail

Introduction. I Étude rapide du réseau - Apprentissage. II Application à la reconnaissance des notes.

Introduction. I Étude rapide du réseau - Apprentissage. II Application à la reconnaissance des notes. Introduction L'objectif de mon TIPE est la reconnaissance de sons ou de notes de musique à l'aide d'un réseau de neurones. Ce réseau doit être capable d'apprendre à distinguer les exemples présentés puis

Plus en détail

TP Modulation Démodulation BPSK

TP Modulation Démodulation BPSK I- INTRODUCTION : TP Modulation Démodulation BPSK La modulation BPSK est une modulation de phase (Phase Shift Keying = saut discret de phase) par signal numérique binaire (Binary). La phase d une porteuse

Plus en détail

INITIATION AU LANGAGE C SUR PIC DE MICROSHIP

INITIATION AU LANGAGE C SUR PIC DE MICROSHIP COURS PROGRAMMATION INITIATION AU LANGAGE C SUR MICROCONTROLEUR PIC page 1 / 7 INITIATION AU LANGAGE C SUR PIC DE MICROSHIP I. Historique du langage C 1972 : naissance du C dans les laboratoires BELL par

Plus en détail

Comparatif entre Matrox RT.X2 et Adobe Premiere Pro CS3 (logiciel seul)

Comparatif entre Matrox RT.X2 et Adobe Premiere Pro CS3 (logiciel seul) Comparatif entre et Adobe Premiere Pro CS3 (logiciel seul) offre la puissance de montage en temps réel et les outils de productivité supplémentaires dont vous avez besoin pour tirer pleinement parti d'adobe

Plus en détail

LISACode. Un simulateur opérationnel pour LISA. Antoine PETITEAU LISAFrance - le 16 mai 2006

LISACode. Un simulateur opérationnel pour LISA. Antoine PETITEAU LISAFrance - le 16 mai 2006 LISACode Un simulateur opérationnel pour LISA Antoine PETITEAU LISAFrance - le 16 mai 2006 Plan Rappel sur LISACode. Validation du simulateur. Possibilités du simulateur. Résultats obtenus. Bruit de confusion.

Plus en détail

Introduction à MATLAB R

Introduction à MATLAB R Introduction à MATLAB R Romain Tavenard 10 septembre 2009 MATLAB R est un environnement de calcul numérique propriétaire orienté vers le calcul matriciel. Il se compose d un langage de programmation, d

Plus en détail

Analyse Sémantique de Nuages de Points 3D et d Images dans les Milieux Urbains

Analyse Sémantique de Nuages de Points 3D et d Images dans les Milieux Urbains Analyse Sémantique de Nuages de Points 3D et d Images dans les Milieux Urbains Andrés Felipe SERNA MORALES Directrice de thèse: Beatriz MARCOTEGUI ITURMENDI serna@cmm.ensmp.fr MINES ParisTech, Mathématiques

Plus en détail

Compte-rendu Réunion générale. Grenoble, le 29 juin 2011 URBASIS

Compte-rendu Réunion générale. Grenoble, le 29 juin 2011 URBASIS URBASIS Sismologie urbaine : évaluation de la vulnérabilité et des dommages sismiques par méthodes innovantes ANR09RISK009 URBASIS Compterendu Réunion générale Grenoble, le 29 juin 2011 Participants: J.

Plus en détail

Identification de nouveaux membres dans des familles d'interleukines

Identification de nouveaux membres dans des familles d'interleukines Identification de nouveaux membres dans des familles d'interleukines Nicolas Beaume Jérôme Mickolajczak Gérard Ramstein Yannick Jacques 1ère partie : Définition de la problématique Les familles de gènes

Plus en détail

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de

Plus en détail

Mathématique et Automatique : de la boucle ouverte à la boucle fermée. Maïtine bergounioux Laboratoire MAPMO - UMR 6628 Université d'orléans

Mathématique et Automatique : de la boucle ouverte à la boucle fermée. Maïtine bergounioux Laboratoire MAPMO - UMR 6628 Université d'orléans Mathématique et Automatique : de la boucle ouverte à la boucle fermée Maïtine bergounioux Laboratoire MAPMO - UMR 6628 Université d'orléans Maitine.Bergounioux@labomath.univ-orleans.fr Plan 1. Un peu de

Plus en détail

Chapitre 7. Récurrences

Chapitre 7. Récurrences Chapitre 7 Récurrences 333 Plan 1. Introduction 2. Applications 3. Classification des récurrences 4. Résolution de récurrences 5. Résumé et comparaisons Lectures conseillées : I MCS, chapitre 20. I Rosen,

Plus en détail

Coup de Projecteur sur les Réseaux de Neurones

Coup de Projecteur sur les Réseaux de Neurones Coup de Projecteur sur les Réseaux de Neurones Les réseaux de neurones peuvent être utilisés pour des problèmes de prévision ou de classification. La représentation la plus populaire est le réseau multicouche

Plus en détail

COMPTE-RENDU «MATHS EN JEANS» LYCEE OZENNE Groupe 1 : Comment faire une carte juste de la Terre?

COMPTE-RENDU «MATHS EN JEANS» LYCEE OZENNE Groupe 1 : Comment faire une carte juste de la Terre? Claire FORGACZ Marion GALLART Hasnia GOUDJILI COMPTERENDU «MATHS EN JEANS» LYCEE OZENNE Groupe 1 : Comment faire une carte juste de la Terre? Si l on se pose la question de savoir comment on peut faire

Plus en détail

FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc)

FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc) 87 FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc) Dans le cadre de la réforme pédagogique et de l intérêt que porte le Ministère de l Éducation

Plus en détail

Chaine de transmission

Chaine de transmission Chaine de transmission Chaine de transmission 1. analogiques à l origine 2. convertis en signaux binaires Échantillonnage + quantification + codage 3. brassage des signaux binaires Multiplexage 4. séparation

Plus en détail

Un Vrai Changement dans la Gestion des Espèces

Un Vrai Changement dans la Gestion des Espèces Un Vrai Changement dans la Gestion des Espèces TM Solution SMARTtill Coûts et avantages La gestion des espèces représente un processus long et coûteux dans tout environnement nécessitant la manipulation

Plus en détail

NON-LINEARITE ET RESEAUX NEURONAUX

NON-LINEARITE ET RESEAUX NEURONAUX NON-LINEARITE ET RESEAUX NEURONAUX Vêlayoudom MARIMOUTOU Laboratoire d Analyse et de Recherche Economiques Université de Bordeaux IV Avenue. Leon Duguit, 33608 PESSAC, France tel. 05 56 84 85 77 e-mail

Plus en détail

Continuité et dérivabilité d une fonction

Continuité et dérivabilité d une fonction DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité

Plus en détail

Opérations de base sur ImageJ

Opérations de base sur ImageJ Opérations de base sur ImageJ TPs d hydrodynamique de l ESPCI, J. Bico, M. Reyssat, M. Fermigier ImageJ est un logiciel libre, qui fonctionne aussi bien sous plate-forme Windows, Mac ou Linux. Initialement

Plus en détail

Choisir entre le détourage plume et le détourage par les couches.

Choisir entre le détourage plume et le détourage par les couches. Choisir entre le détourage plume et le détourage par les couches. QUEL CHOIX D OUTILS ET QUELLE METHODE, POUR QUEL OBJECTIF? Il existe différentes techniques de détourage. De la plus simple à la plus délicate,

Plus en détail

Le traitement du 5ème concours A.I.P. pour l objet SH2-155 de Franck JOBARD

Le traitement du 5ème concours A.I.P. pour l objet SH2-155 de Franck JOBARD Le traitement du 5ème concours A.I.P. pour l objet SH2-155 de Franck JOBARD J ai fait le choix d utiliser Pixinsight en utilisant le process icons de l aip v3-21 pour le prétraitement. 1. Prétraitement

Plus en détail

Techniques d interaction dans la visualisation de l information Séminaire DIVA

Techniques d interaction dans la visualisation de l information Séminaire DIVA Techniques d interaction dans la visualisation de l information Séminaire DIVA Zingg Luca, luca.zingg@unifr.ch 13 février 2007 Résumé Le but de cet article est d avoir une vision globale des techniques

Plus en détail

Introduction au datamining

Introduction au datamining Introduction au datamining Patrick Naïm janvier 2005 Définition Définition Historique Mot utilisé au départ par les statisticiens Le mot indiquait une utilisation intensive des données conduisant à des

Plus en détail

Projet SINF2275 «Data mining and decision making» Projet classification et credit scoring

Projet SINF2275 «Data mining and decision making» Projet classification et credit scoring Projet SINF2275 «Data mining and decision making» Projet classification et credit scoring Année académique 2006-2007 Professeurs : Marco Saerens Adresse : Université catholique de Louvain Information Systems

Plus en détail

Géométrie discrète Chapitre V

Géométrie discrète Chapitre V Géométrie discrète Chapitre V Introduction au traitement d'images Géométrie euclidienne : espace continu Géométrie discrète (GD) : espace discrétisé notamment en grille de pixels GD définition des objets

Plus en détail

Calcul des indicateurs de sonie : revue des algorithmes et implémentation

Calcul des indicateurs de sonie : revue des algorithmes et implémentation Calcul des indicateurs de sonie : revue des algorithmes et implémentation Stéphane Molla 1, Isabelle Boullet 2, Sabine Meunier 2, Guy Rabau 2, Benoît Gauduin 1, Patrick Boussard 1 1 GENESIS S.A., Domaine

Plus en détail

Par Richard Beauregard. Novembre 2011

Par Richard Beauregard. Novembre 2011 Par Richard Beauregard Novembre 2011 La lutte contre le bruit et autres parasites lumineux Le temps d exposition versus le compositage Les images de prétraitement L'image de précharge (Offset ou Bias)

Plus en détail

Souad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/

Souad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation

Plus en détail

Enregistrement et transformation du son. S. Natkin Novembre 2001

Enregistrement et transformation du son. S. Natkin Novembre 2001 Enregistrement et transformation du son S. Natkin Novembre 2001 1 Éléments d acoustique 2 Dynamique de la puissance sonore 3 Acoustique géométrique: effets de diffusion et de diffraction des ondes sonores

Plus en détail

FICHE METIER. «Opérateur de prises de vue» Opérateur de prises de vue vidéo. Cadreur. Pointeur vidéo APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER

FICHE METIER. «Opérateur de prises de vue» Opérateur de prises de vue vidéo. Cadreur. Pointeur vidéo APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER Opérateur de prises de vue Version 1 «Opérateur de prises de vue» APPELLATION(S) DU METIER Opérateur de prises de vue vidéo Cadreur Pointeur vidéo DEFINITION DU METIER L'opérateur de prises de vue assure

Plus en détail

Formation continue. Ensae-Ensai Formation Continue (Cepe)

Formation continue. Ensae-Ensai Formation Continue (Cepe) CertifiCat de data scientist Formation continue Ensae-Ensai Formation Continue (Cepe) CertifiCat de data scientist La demande de data scientists est croissante mais peu de formations existent. Ce certificat

Plus en détail

Etude d Algorithmes Parallèles de Data Mining

Etude d Algorithmes Parallèles de Data Mining REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, DE LA TECHNOLOGIE ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE DE TUNIS ELMANAR FACULTE DES SCIENCES DE TUNIS DEPARTEMENT DES SCIENCES DE L INFORMATIQUE

Plus en détail

DEMANDE D INFORMATION RFI (Request for information)

DEMANDE D INFORMATION RFI (Request for information) DOD SEICAM RFI Demande d information EVDEC Réf. : RFI_EVDEC- GT5_Outil_reporting_BI_v4.doc Page 1/11 DEMANDE D INFORMATION RFI (Request for information) OUTIL INTÉGRÉ DE REPORTING ET D ANALYSE DÉCISIONNELLE

Plus en détail

Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications

Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications A. Optimisation sans contrainte.... Généralités.... Condition nécessaire et condition suffisante

Plus en détail

Créer le schéma relationnel d une base de données ACCESS

Créer le schéma relationnel d une base de données ACCESS Utilisation du SGBD ACCESS Polycopié réalisé par Chihab Hanachi et Jean-Marc Thévenin Créer le schéma relationnel d une base de données ACCESS GENERALITES SUR ACCESS... 1 A PROPOS DE L UTILISATION D ACCESS...

Plus en détail

Optimisation, traitement d image et éclipse de Soleil

Optimisation, traitement d image et éclipse de Soleil Kléber, PCSI1&3 014-015 I. Introduction 1/8 Optimisation, traitement d image et éclipse de Soleil Partie I Introduction Le 0 mars 015 a eu lieu en France une éclipse partielle de Soleil qu il était particulièrement

Plus en détail

Arithmétique binaire. Chapitre. 5.1 Notions. 5.1.1 Bit. 5.1.2 Mot

Arithmétique binaire. Chapitre. 5.1 Notions. 5.1.1 Bit. 5.1.2 Mot Chapitre 5 Arithmétique binaire L es codes sont manipulés au quotidien sans qu on s en rende compte, et leur compréhension est quasi instinctive. Le seul fait de lire fait appel au codage alphabétique,

Plus en détail

Déroulement d un projet en DATA MINING, préparation et analyse des données. Walid AYADI

Déroulement d un projet en DATA MINING, préparation et analyse des données. Walid AYADI 1 Déroulement d un projet en DATA MINING, préparation et analyse des données Walid AYADI 2 Les étapes d un projet Choix du sujet - Définition des objectifs Inventaire des données existantes Collecte, nettoyage

Plus en détail

Utilisation du logiciel ImageJ gratuit

Utilisation du logiciel ImageJ gratuit Utilisation du logiciel ImageJ gratuit on peut récupérer sur le lien suivant : http://rsbweb.nih.gov/ij/ à partir duquel ce résumé très bref (!!) a été élaboré Lancer ImageJ Vous avez une fenêtre qui s'ouvre

Plus en détail

Programme de Formation Office 2010 Word, Excel, Powerpoint et Outlook 2010 pour Windows

Programme de Formation Office 2010 Word, Excel, Powerpoint et Outlook 2010 pour Windows MICROSOFT WORD MODIFICATION DE TEXTE Insérer des traits d'union/espaces insécables Provoquer un saut de page Rechercher du texte Remplacer un texte par un autre Activer la coupure de mots automatique Effectuer

Plus en détail

P2: Perception auditive

P2: Perception auditive P2: Perception auditive Daniel Pressnitzer Laboratoire des Systèmes Perceptifs, CNRS & Département d études cognitives, Ecole normale supérieure 29 rue d Ulm, 75230 Paris cedex 05 daniel.pressnitzer@ens.fr

Plus en détail

La classification automatique de données quantitatives

La classification automatique de données quantitatives La classification automatique de données quantitatives 1 Introduction Parmi les méthodes de statistique exploratoire multidimensionnelle, dont l objectif est d extraire d une masse de données des informations

Plus en détail

Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes

Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes Pages 4 à 48 barèmes 4 à 48 donnes Condensé en une page: Page 2 barèmes 4 à 32 ( nombre pair de donnes ) Page 3 Tous les autres barèmes ( PV de

Plus en détail

Windows Internet Name Service (WINS)

Windows Internet Name Service (WINS) Windows Internet Name Service (WINS) WINDOWS INTERNET NAME SERVICE (WINS)...2 1.) Introduction au Service de nom Internet Windows (WINS)...2 1.1) Les Noms NetBIOS...2 1.2) Le processus de résolution WINS...2

Plus en détail

TS 35 Numériser. Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S

TS 35 Numériser. Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S FICHE Fiche à destination des enseignants TS 35 Numériser Type d'activité Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S Compétences

Plus en détail

Représentation d une distribution

Représentation d une distribution 5 Représentation d une distribution VARIABLE DISCRÈTE : FRÉQUENCES RELATIVES DES CLASSES Si dans un graphique représentant une distribution, on place en ordonnées le rapport des effectifs n i de chaque

Plus en détail

Les algorithmes de base du graphisme

Les algorithmes de base du graphisme Les algorithmes de base du graphisme Table des matières 1 Traçage 2 1.1 Segments de droites......................... 2 1.1.1 Algorithmes simples.................... 3 1.1.2 Algorithmes de Bresenham (1965).............

Plus en détail

DEMAND MANAGEMENT inc

DEMAND MANAGEMENT inc Mars 2009 Pour vos appels d offre OPTIMISATION DES STOCKS 2 e ÉDITION DEMAND MANAGEMENT inc SupplyChainMagazine.fr 19, rue Saint-Georges - 94700 Maisons-Alfort QUESTIONNAIRE EDITEURS DE LOGICIELS D OPTIMISATION

Plus en détail

Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007

Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007 Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses Guillaume Martinez 17 décembre 2007 1 Table des matières 1 Le projet 3 1.1 Objectif................................ 3 1.2 Les choix techniques.........................

Plus en détail

CATALOGUE 2015. Parcours de Formations E-Learning BILAN FORMATION STAGE. e-learning

CATALOGUE 2015. Parcours de Formations E-Learning BILAN FORMATION STAGE. e-learning CATALOGUE 2015 Parcours de Formations E-Learning FORMATION Mise à niveau ACQUIS enseignement METIERS se former STAGE BILAN expérience APPRENTISSAGE projet emploi PROFESSIONNELLE évolution compétences e-learning

Plus en détail

Pentaho Business Analytics Intégrer > Explorer > Prévoir

Pentaho Business Analytics Intégrer > Explorer > Prévoir Pentaho Business Analytics Intégrer > Explorer > Prévoir Pentaho lie étroitement intégration de données et analytique. En effet, les services informatiques et les utilisateurs métiers peuvent accéder aux

Plus en détail

Mesure agnostique de la qualité des images.

Mesure agnostique de la qualité des images. Mesure agnostique de la qualité des images. Application en biométrie Christophe Charrier Université de Caen Basse-Normandie GREYC, UMR CNRS 6072 Caen, France 8 avril, 2013 C. Charrier NR-IQA 1 / 34 Sommaire

Plus en détail

Mesure de la couverture en propre du réseau d un opérateur mobile

Mesure de la couverture en propre du réseau d un opérateur mobile Mesure de la couverture en propre du réseau d un opérateur mobile Janvier Mars 2015 Rapport SOMMAIRE 1 SPECIFICATIONS DE L ENQUETE... 3 1.1 OBJECTIFS ET CONFIGURATION... 3 1.2 OUTIL DE MESURE ET TERMINAUX...

Plus en détail

Reconnaissance de gestes : approches 2D & 3D

Reconnaissance de gestes : approches 2D & 3D Reconnaissance de gestes : approches 2D & 3D Maher Mkhinini et Patrick Horain Institut Mines-Télécom/Télécom SudParis Département Électronique et Physique, 9 rue Charles Fourier, 91011 Evry, France Email

Plus en détail

GUIDE Excel (version débutante) Version 2013

GUIDE Excel (version débutante) Version 2013 Table des matières GUIDE Excel (version débutante) Version 2013 1. Créer un nouveau document Excel... 3 2. Modifier un document Excel... 3 3. La fenêtre Excel... 4 4. Les rubans... 4 5. Saisir du texte

Plus en détail

Préparée au Laboratoire d'analyse et d'architecture des Systèmes du CNRS. Spécialité : Systèmes Automatiques. Par CLAUDIA VICTORIA ISAZA NARVAEZ

Préparée au Laboratoire d'analyse et d'architecture des Systèmes du CNRS. Spécialité : Systèmes Automatiques. Par CLAUDIA VICTORIA ISAZA NARVAEZ Année 2007 THÈSE Préparée au Laboratoire d'analyse et d'architecture des Systèmes du CNRS En vue de l'obtention du titre de Docteur de l'université de Toulouse, délivré par l Institut National des Sciences

Plus en détail

Les Français et le chauffage. Résultats de l étude menée

Les Français et le chauffage. Résultats de l étude menée Les Français et le chauffage Résultats de l étude menée par IPSOS pour Via sèva Méthodologie et échantillon METHODOLOGIE : Cette étude a été réalisée en adhoc online, auprès d un échantillon issu de l

Plus en détail

Etude comparative de différents motifs utilisés pour le lancé de rayon

Etude comparative de différents motifs utilisés pour le lancé de rayon Etude comparative de différents motifs utilisés pour le lancé de rayon Alexandre Bonhomme Université de Montréal 1 Introduction Au cours des dernières années les processeurs ont vu leurs capacités de calcul

Plus en détail

à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq

à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq e élevé Risque faible Risq à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq L e s I n d i c e s F u n d a t a é Risque Les Indices de faible risque

Plus en détail

Équivalence masse-énergie

Équivalence masse-énergie CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en

Plus en détail

Fonctions de deux variables. Mai 2011

Fonctions de deux variables. Mai 2011 Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs

Plus en détail

Echantillonnage Non uniforme

Echantillonnage Non uniforme Echantillonnage Non uniforme Marie CHABERT IRIT/INP-ENSEEIHT/ ENSEEIHT/TéSASA Patrice MICHEL et Bernard LACAZE TéSA 1 Plan Introduction Echantillonnage uniforme Echantillonnage irrégulier Comparaison Cas

Plus en détail

Synchroniser le son et la vidéo dans Lightworks

Synchroniser le son et la vidéo dans Lightworks Formation de Duduf http://www.duduf.training Ce document n est qu un résumé, un pense-bête, d un bout de formation dispensée par Duduf. Il réunit les principaux points théoriques à retenir sans être exhaustif,

Plus en détail

Alarme domestique- Présentation

Alarme domestique- Présentation STI2D PROJET SIN Alarme domestique- Présentation Document réponses Séquence découverte Le fonctionnement du système d alarme domestique: (Démarche d investigation) Après avoir fait une présentation de

Plus en détail

Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault

Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault Page 1 25 octobre 2012 Journée «Contrôle non destructif et caractérisation de défauts» Caractérisation de défauts par Magnétoscopie, Ressuage, Courants de Foucault Henri Walaszek sqr@cetim.fr Tel 0344673324

Plus en détail

Apprentissage incrémental par sélection de données dans un flux pour une application de sécurité routière

Apprentissage incrémental par sélection de données dans un flux pour une application de sécurité routière Apprentissage incrémental par sélection de données dans un flux pour une application de sécurité routière Nicolas Saunier INRETS Télécom Paris Sophie Midenet INRETS Alain Grumbach Télécom Paris Conférence

Plus en détail

COURS WINDEV NUMERO 3

COURS WINDEV NUMERO 3 COURS WINDEV NUMERO 3 01/02/2015 Travailler avec un fichier de données Etude du gestionnaire d analyse, Manipulation des tables mémoires, Manipulation de données, Création d états, Pré requis : Cours WinDev

Plus en détail

Programmation Linéaire - Cours 1

Programmation Linéaire - Cours 1 Programmation Linéaire - Cours 1 P. Pesneau pierre.pesneau@math.u-bordeaux1.fr Université Bordeaux 1 Bât A33 - Bur 265 Ouvrages de référence V. Chvátal - Linear Programming, W.H.Freeman, New York, 1983.

Plus en détail

Livret 10. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire

Livret 10. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire Élaborer mon étude financière Livret 10 Calculer mon seuil de rentabilité Mise à jour février 2008 Département Tertiaire Avertissement au lecteur Le présent fascicule fait l'objet d'une protection relative

Plus en détail

Analyse de la vidéo. Chapitre 4.1 - La modélisation pour le suivi d objet. 10 mars 2015. Chapitre 4.1 - La modélisation d objet 1 / 57

Analyse de la vidéo. Chapitre 4.1 - La modélisation pour le suivi d objet. 10 mars 2015. Chapitre 4.1 - La modélisation d objet 1 / 57 Analyse de la vidéo Chapitre 4.1 - La modélisation pour le suivi d objet 10 mars 2015 Chapitre 4.1 - La modélisation d objet 1 / 57 La représentation d objets Plan de la présentation 1 La représentation

Plus en détail

Utilisation des méthodes Support Vector Machine (SVM) dans l analyse des bases de données

Utilisation des méthodes Support Vector Machine (SVM) dans l analyse des bases de données Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Université Mohamed Khider - Biskra Faculté des Sciences Exactes et des Sciences de la Nature et de la Vie Département d Informatique

Plus en détail