LE METIER DE PLAQUISTE
|
|
- Yves Charles
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LE METIER DE PLAQUISTE
2 Le métier de plaquiste Identification du métier Les activités et les tâches Les matériaux Dépistage et prévention des risques Dangers généraux du bâtiment Spécificités de l exposition du plaquiste Évaluations complémentaires à envisager Dans l entreprise En amont de l entreprise
3 LE METIER
4 Activités - Approvisionnement du chantier - Isolation et doublage (murs extérieurs, toits) - Montage de cloisons intérieures - Habillage et coffrage de gaines
5 Tâches - Déchargement des matériels - Traçage des lignes d'implantation des supports (laser ) - Pose des supports de fixation des montants - Mesurage et coupage des montants (en métal ou en bois) - Clouage, vissage ou clipage des montants - Découpage de l'isolant - Mise en place de l'isolant - Découpage des plaques - Vissage des plaques sur les tringles - Collage des plaques isolantes sur les murs extérieurs - Pose des joints, enduisage et finition - Nettoyage du chantier
6 Matériaux - Isolants : laine de roche, laine de verre, polystyrène - Placoplatre* : BA13*, BA 25*, Placopan* - Plaque isolante : placoplatre* + isolant (PMI*, PEGIMAX* ) - Montants et supports de fixation (métal, bois) - Joints papier et acrylique - Enduits et colles
7 LES RISQUES
8 Les risques Dangers du bâtiment en général liés à l activité de chantier à la multiplication des intervenants Spécificités de l exposition du plaquiste conditionnées par l activité, les tâches liées aux matériaux utilisés
9 Dangers du bâtiment
10
11 Multiplication des intervenants
12 Multiplication des dangers Exposition à un danger généré par une autre profession - Non prise en compte du risque encouru (bruit, poussière ) - Ignorance d un danger spécifique (CO ) - Danger reconnu mais exposition difficilement évitable dans le contexte (chute d outils et matériaux )
13 du niveau sonore général Sommation des bruits machines et outils + martelage + chutes d'objets + appels et interpellations + postes de radiodiffusion dans des locaux vides où le son est souvent amplifié par réverbération.
14 empoussièrement - Multiplication des sources de production de poussières - Diversification des types de poussières - Augmentation du brassage d'air - Augmentation du piétinement soulevant la poussière tombée au sol ± Tabagisme passif
15 Coordination santé - sécurité Pas de coordinateur sur les petits chantiers Problème de la déresponsabilisation de chacun vis-à-vis de la tenue générale du chantier
16 Escaliers métalliques initialement protégés par ceux qui les ont installés sont utilisés par tous les corps de métier qui se succèdent sur le chantier
17 L exposition du plaquiste
18 L activité spécifique La spécificité de l exposition est conditionnée par plusieurs éléments Les tâches spécifiques au métier La phase d avancement des travaux à laquelle interviennent les plaquistes La répétitivité des gestes et la nécessité de rendement à la surface
19 Conditions climatiques Pas d exposition à la pluie Bâtiments non chauffés et non isolés
20 Travail sur escabeau et échelle - Hauteur sous combles ++ - Déplacement constant - Hauteur variable sous rampant Difficulté d utilisation d'échafaudage sécurisé
21 Activité physique et manutention - déchargement - montée en étage - soulèvement - maintien au plafond
22 Martelage et outils vibrants - Clouage des supports de montants - Vissage électrique - Posture : bras en l'air tête en extension
23 Le bruit
24 Le bruit Quelques mesurages simples : Clouage au marteau Entre 99 et 104 db Vissage électrique 97 à 100 db en butée Le micro du sonomètre a été placé à côté de l'oreille du plaquiste
25 Le niveau laser De plus en plus utilisé pour l'implantation des supports Risque limité pendant le traçage (regard centrifuge) Appareil fréquemment laissé allumé
26 L inhalation des poussières Poussières de toutes natures - Venant du chantier (maçons, charpentiers, menuisiers, électriciens, plombiers ) - Transportées de l'extérieur Poussières des matériaux particuliers utilisés par les plaquistes
27 Les matériaux Le placoplatre Le polystyrène La laine minérale, "de verre" ou "de roche"
28 Le placoplatre Plâtre aggloméré sur simple feuille de papier - Incision au cutter = peu de poussière - Sciage manuel = < 5 mg / m3 en fraction inhalable (et beaucoup moins en respirable) - Sciage électrique = beaucoup plus (rare avec le matériau actuel)
29 Le polystyrène Différentes densités Utilisé très généralement en produit combiné, collé au placoplatre Scié manuellement à froid, il ne produit que de grosses particules
30 Les laines minérales Laine "de verre" ou "de roche" - en rouleaux de 120 cm de largeur - coupés sans être déroulés en lais standards de 60 cm - recoupée pour finir les surfaces - quantité de particules liée à la qualité - Irritation cutanée de contact
31 La laine de verre Poussières : mesurages au DUST TRACK Activité pratiquée et endroit de la mesure Type aérosol Relevé moyen Relevé minimum Relevé maximum Durée du mesurage Découpage et pose au plafond inhalable mn 22s " alvéolaire mn 21s en mg / m 3
32 Donc Importance des EPI
33 la prévention C est aussi prendre des mesures simples
34 dans l entreprise Prise en compte dans l organisation de travail
35 comme au niveau individuel
36 Type d'activité Danger Risque Prévention Isolation des soupentes Chantier hivernal "en altitude" Travail sous les toits par temps caniculaire Chargement des plaques Travail en hauteur Froid Chaleur Manutention Chute de hauteur Dépassement des capacités d'adaptation métabolique Dépassement - Sécurisation des escabeaux - Vêtements adaptés - Chauffage de chantier - Fourniture d'eau potable suffisante sur le chantier - Livraison en étage par les fenêtres - Aides à la manutention Vissage électrique Posture bras en l'air des - Echafaudages à hauteur variable (plaques et montants) Clouage des Vibrations manubrachiales capacités d'adaptation musculo- - Outils à manche ergonomique - Changer d'outil d 1 jour à l'autre - Utiliser des vis adaptées supports de Gestes répétitifs squelettique - Alterner les tâches + et difficiles Tringles Bruit Trauma. auditif - EPI (bouchons auditifs moulés) Sciage des plaques Poussières Toxicité - Nettoyage et aération du chantier - Humidification (sol & matériaux) respiratoire - EPI (masques FP2 ou FP3) Découpage et pose de laine de verre / laine de roche Fibres minérales Irritation cutanée - Utilisation de laines non friables et entourées d'un film cellulosique - EPI (vêtements fermés, aérés, gants, cagoule, "moustiquaire")
37 Évaluations complémentaires à envisager
38 Dans l entreprise Évaluations : des contraintes et astreintes physiques des fractions inhalables et respirables des poussières du niveau d exposition au bruit
39 Risques liés à l activité physique - Estimer la charge de travail des différentes tâches - Analyser le retentissement des mesures d'économie énergétique (aide à la manutention ou travail par paire d'ouvriers ) - Etudier une adaptation individuelle dans le cadre d'un aménagement de poste éventuel Cardiofréquencemétrie
40 Risques liés aux fibres minérales artificielles - Risque respiratoire?? - Irritation cutanée manifeste Répertoire des produits les plus volatils détectés au Dust Track (FDS) Evaluations souhaitables de la fraction respirable avec des pompes individuelles
41 Risques liés au bruit Activités de fixation des panneaux : Clouage Vissage électrique Résonance de la pièce vide Rapprochement entre la source sonore et l'oreille bruits impulsifs = dosimétries individuelles
42 En amont de l entreprise Risques liés aux fibres minérales artificielles contenues dans les laines d isolation
43 Fibres naturelles artificielless organiques minérales organiques minérales cristallines vitreuses non siliceuses siliceuses chanvre lin laine de mouton autres polymères amiante woolastonite zéolite cellulose aramide polyoléfine polyuréthane autres polymères carbone polytitanate alumine whiskers fibres d isolation - verre - roche - laitier
44 Le modèle «amiante» Les études in vitro comme les études animales sont ciblées sur les éléments connus de la pathogénicité des fibres d amiante : Caractéristiques physiques : longueur (> 8 à 10 µ m), finesse (Ø < 0.25 µm), rigidité Biopersistance Les études de morbidité comme de mortalité sont ciblées sur les maladies liées à l exposition à l amiante fibrose pulmonaire, cancer pulmonaire, mésothéliome Pour les étude de morbidité, on ne dispose que d études transversales et pas de suivi sur le long terme.
45 Le modèle «amiante» Pour une substance de composition chimique identique, la structure fibreuse présente un potentiel toxique + élevé que la structure granulaire (note de l INRS relative à la substitution)
46 Pathogénicité Nocivité en rapport avec les 3 D : Dimension Durabilité = biopersistance Dose
47 Dimension Fibre respirable ( ~ diamètre aérodynamique) définition OMS longueur > 5 µm diamètre < 3 µm longueur / diamètre > 3
48 Diamètres de différentes fibres Type de fibres Cheveux humains Coton Soie naturelle Laine de roche/verre Fibres céramiques Fibres de verre aéronautique Fibres de verre filtration Fibrille d amiante Particule de fumée de cigarette Diamètre moyen (en µ m) ~ à à 15 3 à 5 2,5 à 4 1,5 0.2 à à à 1 Il s agit de Ø moyens et toutes les laines minérales artificielles contiennent des fibres «respirables» d un diamètre de l ordre de 1 µm
49 Biopersistance Faisant intervenir la biosolubilité, la biopersistance est inversement proportionnelle à la richesse en oxydes alcalins : > 18 % = F. les moins biopersistantes < 18 % = F. les plus biopersistantes
50 Biopersistance Type de fibres longueur > 20 µm Amosite Crocidolite Laine de roche Laine de laitier Laine de verre Demi-vie (jours) Après inhalation chez le rat
51 Classifications CIRC : seuls les produits les + biopersistants restent classés dans le groupe 2b Les laines d isolations passent en groupe 3 Monographies : vol 81,9 du 16-X-2001 UE : FMA dont le Ø moy < 6 µm en 3 groupes - filaments continus = non K - oxydes alcalins > 18 % = cat. 3 - oxydes alcalins < 18 % = cat. 2 Directive fibres 97/69/CE du 5 décembre 1997
52 Classifications France : reprend la classification européenne laines de verre / roche / laitier = Cancérogène catégorie 3, R40 - R38 FCR = Cancérogène catégorie 2, R49 - R38 DRT 99/10 du 13 août 1999 En Allemagne et en Suisse les FCR sont également considérées comme cancérogènes sur la base d études animales
53 Dose Concentration dans l atmosphère de travail : - des laines isolantes Fabrication : à fibres/m 3 Application à l air libre : f/m 3 à l ext et f/m 3 à l intérieur des bâtiments - des FCR : Fabrication : fibres/m 3 Application : fibres/m 3 - Reconstruction des fours : > f/m 3 Hürlimann E, SUVA, 1988
54 Dose France : VME des FMA de laines d isolation = 1 fibre/cm 3 (verre / roche / laitier) VME des FCR = 0,6 fibres/cm 3 ACGIH : VME des FMA = 1 fibre/cm 3 Suisse (SUVA, 1997) : VME des FMA = 0,5 fibre/ml Amiante : VME = 0,25 fibre/ml
55 Donc? Actuellement, FMA = FSA Bon recul épidémiologique mais prudence des auteurs sur le risque cancérogène humain Conclusions prudentes des législations nationales : basées sur l expérimentation animale VME proches de celles de l amiante Prudence pour les FCR et les microfibres
56 Et en pratique EPI adaptés ( demi-masque FFP2) Travailler à l humide Découpe manuelle ou Outils à vitesse lentes Favoriser les matériaux prédécoupés Laines minérales munies d une enveloppe cellulosique protectrice Prudence lors de la déconstruction
57 Merci de votre attention
58
59 Conclusion L amélioration de la sécurité, de la santé et des conditions de travail de chaque travailleur nécessite que le médecin et l employeur travaillent ensemble sur cet objectif commun
60 Du dépistage à l expertise Déclarations des AT et MP peu fiables : profession récente constante évolution (matériaux et techniques) ouvriers jeunes pour la grande majorité Etude de dépistage et d observation mesurages complémentaires
61 Aider le médecin Effectif par médecin équivalent temps plein salariés : BTP = 2433 ASMI = 2500 entreprises : BTP = 367 ASMI = 250
62 Aider le médecin Intérêt de travailler par métier pour : Acquérir une meilleure connaissance des tâches et des dangers Optimiser l étude des risques dans la réalisation des fiches d entreprise de chaque corps de métier du bâtiment Développer un véritable partenariat avec l entreprise ; le MDTR disposant d un modèle adaptable de dépistage
63 Aider l employeur A travers un compte-rendu personnalisé résumé sur une page Proposer une démarche lisible Activités Dangers Risques Prévention
64 Aider l employeur Utilisable comme outil pour l élaboration du D.U. Pistes pour une stratégie de gestion des risques Dépistage Observation Analyse Expertise Avis sur l exposition des travailleurs et la déclaration à envisager : SMR ou non
Amiante. On se protège! Aide-mémoire sur les dangers d exposition à l amiante et sur les mesures de prévention
Amiante On se protège! Aide-mémoire sur les dangers d exposition à l amiante et sur les mesures de prévention Le Québec est un important producteur et exportateur d amiante, un minerai reconnu pour ses
Plus en détailSilice cristalline dans une entreprise de transport : un risque sous-évalué
Silice cristalline dans une entreprise de transport : un risque sous-évalué Laurent MERCATORIS * Dr Pascale GEHIN * * ACST Strasbourg XXIII èmes Journées Franco-Suisses de Santé au Travail Chambéry, les
Plus en détailPréambule. Précisions supplémentaires
Préambule Les prescriptions de sécurité préconisées dans ces fiches ne concernent que les risques liés à la présence d amiante non friable. Elles visent uniquement les matériaux non dégradés dans lesquels
Plus en détailPrésentation d une matrice emplois-expositions aux fibres céramiques réfractaires
Santé travail Maladies chroniques et traumatismes Présentation d une matrice emplois-expositions aux fibres céramiques réfractaires Quelques applications à un échantillon de population en France Groupe
Plus en détailVDIAGNOSTICS IMMOBILIER 9 rue Henri Matisse 76120 GRAND QUEVILLY Télécopie : 09 55 32 26 60 Portable : 06 18 60 62 96 Email : vdiagimmo@free.
VDIAGNOSTICS IMMOBILIER 9 rue Henri Matisse 76120 GRAND QUEVILLY Télécopie : 09 55 32 26 60 Portable : 06 18 60 62 96 Email : vdiagimmo@free.fr RAPPORT DE MISSION DE REPERAGE DES MATERIAUX ET PRODUITS
Plus en détailAMIANTE REGLEMENTATION AMIANTE ET SECOND ŒUVRE DU BATIMENT
REGLEMENTATION AMIANTE ET SECOND ŒUVRE DU BATIMENT Evaluer les risques avant toute intervention, notamment le risque amiante par tout moyen approprié Informer et former le personnel d encadrement et opérateurs
Plus en détailMÉMO SANTÉ CONTRAINTES PHYSIQUES : LES REFLEXES À ADOPTER PLOMBIERS CHAUFFAGISTES
MÉMO SANTÉ PLOMBIERS CHAUFFAGISTES CONTRAINTES PHYSIQUES : LES REFLEXES À ADOPTER Il est essentiel de préserver sa santé et celle de ses salariés pour réaliser un travail efficace et de qualité. De nombreuses
Plus en détailFiche résumée : ELECTRICIEN
Fiche résumée : ELECTRICIEN Câbleur Monteur câbleur Monteur Raccordeur réseaux télé vidéo communications Traceur CITP 88 : 7137 CITP 2008 : 7411 PCS 2003 : 633a 633d 681b ROME 1999 : 44331 FAST : 01 10
Plus en détailOrganiser, plannifier
Dossier HABITAT - Organiser, plannifier Organiser, plannifier 010-011 Les métiers et l organisation Situation de départ : Les travaux de la maison vont commencer, qui doit intervenir en premier, comment
Plus en détailL APSAM APSAM L AMIANTE : dangers et mesures de prévention ATTENTION. L APSAM Spécial amiante
Travaux à risque élevé : friables, sauf si un sac à gants est utilisé ou si le volume de débris n excède pas 1 pi pour chaque rénovation mineure nettoyage ou enlèvement d un système de ventilation dans
Plus en détailFixer et accrocher. Photo : CIP Maison Phenix - Mareuil-les-Meaux. Fixer et accrocher. dans les ouvrages en plaques de plâtre ou en carreaux de plâtre
Fixer et accrocher Novembre 2004 Code : F3824 Photo : CIP Maison Phenix - Mareuil-les-Meaux Fixer et accrocher dans les ouvrages en plaques de plâtre ou en carreaux de plâtre Vous voulez : fixer des étagères,
Plus en détailMÉMO SANTÉ CONTRAINTES PHYSIQUES : LES REFLEXES À ADOPTER ÉLECTRICIENS
MÉMO SANTÉ ÉLECTRICIENS CONTRAINTES PHYSIQUES : LES REFLEXES À ADOPTER Il est essentiel de préserver sa santé et celle de ses salariés pour réaliser un travail efficace et de qualité. De nombreuses solutions
Plus en détailMÉMO SANTÉ CONTRAINTES PHYSIQUES : LES REFLEXES À ADOPTER MAÇONS CARRELEURS
MÉMO SANTÉ MAÇONS CARRELEURS CONTRAINTES PHYSIQUES : LES REFLEXES À ADOPTER Il est essentiel de préserver sa santé et celle de ses salariés pour réaliser un travail efficace et de qualité. De nombreuses
Plus en détailEffets sur la santé des fibres de substitution à l'amiante
Effets sur la santé des fibres de substitution à l'amiante Rapport établi à la demande de la Direction Générale de la Santé et de la Direction des Relations du Travail (Ministère de l'emploi et de la Solidarité)
Plus en détailL Institut universitaire romand de Santé au Travail vous propose des services spécifi ques dans un contexte pluridisciplinaire:
L Institut universitaire romand de Santé au Travail vous propose des services spécifi ques dans un contexte pluridisciplinaire: Expertises, conseils et chantiers Sylvain L Eplattenier, Maude Favre Analyses
Plus en détailAmiante Protection des travailleurs
COLLECTION DES AIDE-MÉMOIRE JURIDIQUES aide-mémoire TJ 4 Ces aide-mémoire présentent de manière synthétique la réglementation sur un sujet précis. Selon les thèmes, certains d entre eux sont publiés dans
Plus en détailMarquage laser des métaux
62 Colorer Marquage laser des métaux TherMark Produit à base aqueuse pour un nettoyage rapide. Appliquer une fine couche de produit sur le métal, laisser sécher moins de 2 minutes et graver au laser. L
Plus en détailAmiante : risques, prévention et formation
Entreprises artisanales de plomberie-chauffage Amiante : risques, prévention et formation L amiante c est quoi? L amiante est un matériau : Naturel Minéral Fibreux Utilisé massivement pendant plus de 130
Plus en détailDuo Tech System Mur, révolutionnez vos chantiers.
Duo Tech System Mur, révolutionnez vos chantiers. Sommaire Placoplatre : L innovation au cœur des enjeux. Découvrez notre dernière révolution technologique : Duo' Tech System Mur. La révolution de la contre-cloison
Plus en détailPrincipe de précaution! 8 Catégorie de produits TYPE A partir du 1/1/2010 g/l prêt à être utilisé Revêtements mats pour murs et plafonds Revêtements brillants pour murs et plafonds Murs extérieurs
Plus en détailAMIANTE PAS FORME PAS TOUCHER
AMIANTE PAS FORME PAS TOUCHER Où trouve-t-on de l amiante? Interdit en France depuis 1997, l'amiante est toujours présente dans les bâtiments construits avant cette date. Des dizaines de millions de mètres
Plus en détailRisque amiante. La Sécurité sociale au service de la prévention R 387
La Sécurité sociale au service de la prévention R 387 Risque amiante Caisse nationale de l assurance maladie des travailleurs salariés - Département prévention des accidents du travail - Tour Maine Montparnasse
Plus en détailISOLER LA TOITURE INCLINÉE
Lisez aussi : Fiche 1 INTRODUCTION + Fiche 2 MAÎTRISER L ÉTANCHÉITÉ ET PROTÉGER L ISOLANT + Fiche 10 AMÉLIORER LA VENTILATION RÉNOVER POUR CONSOMMER MOINS D ÉNERGIE : GUIDE PRATIQUE ISOLER LA TOITURE INCLINÉE
Plus en détailPLOMBIERS CHAUFFAGISTES ECO ARTISAN
PLOMBIERS CHAUFFAGISTES Le monde change, votre métier aussi. Aujourd hui vos clients n ont qu un mot à la bouche : ECONOMIES D ENERGIE. Écoutez-les! Pour la performance environnementale et économique de
Plus en détailAuteurs Index alphabétique n o 2002/1 15 04 2002 n o 2001/1 30 01 2001
Table des matières 1. Généralités Introduction Table des matières Auteurs Index alphabétique n o 2002/1 15 04 2002 n o 2001/1 30 01 2001 2. Politique de sécurité Accueil et formation des nouveaux engagés
Plus en détailEVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE
EVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE Cette évaluation doit être systématique, quelle que soit l activité de l entreprise, même s il n y a pas d exposition a priori du fait des activités de travail. L'objectif
Plus en détailSYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 -
SYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 - OBJECTIF DE L ETUDE L objectif de cette étude est de répertorier tous les risques professionnels dans un pressing (base de l évaluation des
Plus en détailA-ESSE s.p.a. FICHE DE SÉCURITÉ
A-ESSE s.p.a. USINE OXYDES de ZINC FICHE DE SÉCURITÉ Oxyde de zinc 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT CHIMIQUE ET DE LA SOCIÉTÉ NOM DU PRODUIT: DÉNOMINATION COMMUNE, COMMERCIALE ET SYNONYMES: UTILISATION DE
Plus en détailMur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat
Détails 1. Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Crochet type mur sec Mortier Membrane d'étanchéite Chaînage béton Brique
Plus en détailFiche résumée : TECHNICIEN DE MAINTENANCE EN CENTRALE DE COGÉNÉRATION
Fiche résumée : TECHNICIEN DE MAINTENANCE EN CENTRALE DE COGÉNÉRATION CITP 88 : 3115 PCS 2003 : 473b ROME 1999 : 44212 CITP 2008 : 3115 Le principe de la cogénération est d'utiliser le cycle de génération
Plus en détailL HABITAT. Technologie 5ème
L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,
Plus en détailProtection des structures et constructions à ossature bois par plaques de plâtre
D01 Protection au feu des structures Protection des structures et constructions à ossature bois par plaques de plâtre Généralités et principes La stabilité au feu des structures évite, en cas d incendie,
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailProthésistes dentaires. Aide au cahier des charges d un nouveau laboratoire
Prothésistes dentaires Aide au cahier des charges d un nouveau laboratoire Carsat Centre Ouest Assurance des risques professionnels 37, avenue du Président René Coty 87048 LIMOGES CEDEX LOCAUX DE TRAVAIL
Plus en détailSERRURIERS-MÉTALLIERS
SERRURIERS-MÉTALLIERS Cet AUTO-QUESTIONNAIRE a pour but d aider votre médecin traitant à identifier d éventuels risques ou problèmes de santé liés à votre activité professionnelle. Il est donc essentiel
Plus en détailEVALUATION DES RISQUES A PARTIR DES VISITES DES LIEUX DE TRAVAIL
EVALUATION DES RISQUES DES PEINTRES A PARTIR DES VISITES DES LIEUX DE TRAVAIL R. FASSI Médecin du travail APST BTP 06 Versailles 25, 26, 27 mai 2011 ACTION EN PARTENARIAT APST BTP 06 DIRECCTE PACA Unité
Plus en détailManuel d'utilisation du détecteur de fumée
Manuel d'utilisation du détecteur de fumée Détecteur de fumée photoélectrique alimenté par pile alcaline 9V. Introduction Merci d'avoir choisi notre produit pour vos besoin en détection de fumée. Vous
Plus en détailLibre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse
Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse 60 Tarif Public H.T. (réservé aux professionnels) Verre cellulaire FOAMGLAS T4+ FOAMGLAS S3 FOAMGLAS F FOAMGLAS TAPERED FOAMGLAS BOARD PANNEAU READY
Plus en détailEnfin un mur Éco Écologique Économique
En instance de brevet Enfin un mur Éco Écologique Économique Le mur HighTech 2 fabriqué par Ultratec apporte une amélioration considérable aux standards actuels de fabrication de l industrie. Excédant
Plus en détailPRÉGYMÉTALTM. Mise en œuvre CONTRE-CLOISONS PRINCIPES DE POSE POINTS SINGULIERS ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES
PRÉGYMÉTALTM Mise en œuvre Caractéristiques techniques pages 90 à 9 PRINCIPES DE POSE A POINTS SINGULIERS 7 A 0 ACCROCHAGES & FIXATIONS LOCAUX HUMIDES LOCAUX TRÈS HUMIDES TRAÇAGE ET POSE DES RAILS CONTRE-CLOISONS
Plus en détaildescription du système
description du système a. conception technique système constructif Le projet proposé est un système modulaire industrialisé d'assemblage d'éléments préfabriqués tridimensionnels. Il est basé sur un module
Plus en détail1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants
Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier
Plus en détailLe maçon à son poste de travail
Fiche Prévention - E2 F 03 14 Le maçon à son poste de travail Partie 2 : la protection face au vide La réalisation de murs en maçonnerie est une opération courante sur les chantiers du bâtiment (maison
Plus en détailTemps nécessaire à la pose du FERMACELL
FERMACELL Conseil de pro: Temps nécessaire à la pose du FERMACELL Remarque: Pour chaque type de construction FERMACELL, vous trouvez un descriptif des éléments et une esquisse correspondante. Les matériaux
Plus en détailESCALIERS ESCAMOTABLES. Catalogue - Tarif TOUT LE SAVOIR FAIRE DE L INVENTEUR DE L ESCALIER ESCAMOTABLE
ESCALIERS ESCAMOTABLES Catalogue - Tarif TOUT LE SAVOIR FAIRE DE L INVENTEUR DE L ESCALIER ESCAMOTABLE 2005 2 LA GAMME D ESCALIERS ESCAMOTABLES se décline en bois et en aluminium. Des matériaux nobles
Plus en détailFiche résumée : MENUISIER BOIS FABRICATION
Fiche résumée : MENUISIER BOIS FABRICATION Conducteur/conductrice de machine de fabrication des industries de l'ameublement et du bois et matériaux associés Façonneur/façonneuse bois et matériaux associés
Plus en détailWILLCO Aventi - Directives d application
WILLCO Aventi - Directives d application Plaque d appui pour crépi 1 Généralités Les présentes directives d application sont spécifiquement destinées à la fixation dlaques de construction Aventi WILLCO
Plus en détailSoltis Toitures et Isolation Durable
Soltis Toitures et Isolation Durable Contactez-nous au 02 779 97 12 www.soltis.be info@soltis.be département de Soltis S.A. avenue Général Wahis 16G 1030 Bruxelles Soltis Toitures et Isolation Durable
Plus en détailPLOMBIER. Liste des domaines étudiés Listes des produits Liste des produits avec nom d usage
Répertoire des activités de travail exposant aux cancérogènes GISCOP93 Université Paris 13 (Bobigny) plombierv2 Page 1 sur 9 PLOMBIER Liste des domaines étudiés Listes des produits Liste des produits avec
Plus en détailGUIDE DE L'ENTREPRISE : ENVIRONNEMENT / HYGIENE / SECURITE. Plomberie Chauffage
Vous voulez démarrer une activité de plombier chauffagiste. Cette fiche rassemble l essentiel de la réglementation en matière d'environnement et de sécurité et quelques conseils importants pour être en
Plus en détailGrattage et évacuation des peintures écaillées contenant du plomb dans les cages d escalier n 4 et 16.
Maîtrise d Œuvre : C3C 21 rue Normande 28230 EPERNON Tél : 06.32.89.12.95 Fax : 09.58.83.45.69 E-mail : c3c.capelle@gmail.com Maître d Ouvrage LYCEE LAKANAL 3, avenue du Président Roosevelt 92330 SCEAUX
Plus en détailHUMI-BLOCK - TOUPRET
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET
Plus en détailIsole des bruits de musique, TV, rires, cris, ronflements, toux, machine à laver
> Isole des bruits de musique, TV, rires, cris, ronflements, toux, machine à laver L ESA, un matériau révolutionnaire hautes performances (Brevet n 9711656) Efficacité testée par le CSTB * *Centre Scientifique
Plus en détailCampagne de mesures d exposition aux fibres d amiante par microscopie électronique à transmission analytique (META)
Campagne de mesures d exposition aux fibres d amiante par microscopie électronique à transmission analytique (META) Synthèse des résultats et recommandations F. CLERC 1, C. EYPERT- BLAISON 1, M. GUIMON
Plus en détaillevenok.com Identification du lot sur le document four ni par le demandeur
levenok.com Architectes D.P.L.G. RAPPORT DE MISSION DE REPERAGE des matériaux et produits contenant de l'amiante pour l'établissement du constat établi à l'occasion de la vente d'un immeuble bâti REFERENCES
Plus en détailHabillages des combles
A01 Plafonds sur ossature métallique Placostil Travaux préparatoires et dispositions générales Les travaux ne doivent être entrepris que dans les constructions dont l état d avancement met les ouvrages
Plus en détailBâtiment PLÂTRIER- PLAQUISTE
Bâtiment PLÂTRIER- PLAQUISTE PLÂTRIER- PLAQUISTE Le plâtrier-plaquiste réalise plafonds, plafonds suspendus et cloisons. Il assure également l isolation thermique et acoustique et la protection contre
Plus en détailFiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR
Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage
Plus en détailBRICOLAGE. Les précautions à prendre
BRICOLAGE Les précautions à prendre Chaque année, près de 300 000 personnes arrivent aux Urgences à la suite d un accident de bricolage et/ou de jardinage. Respecter quelques règles simples de prévention
Plus en détailFICHE D ENTREPRISE DE
FICHE D ENTREPRISE DE Article R. 241-41-3 du code du travail Dans chaque entreprise ou établissement qu il a en charge, le médecin du travail établit et met à jour une fiche d entreprise sur laquelle sont
Plus en détailQuels travaux confier à un professionnel?
CONSEILS AUX PARTICULIERS Travaux dangereux dans votre logement Quels travaux confier à un professionnel? Vous voulez réaliser des travaux chez vous, attention, certains présentent des risques importants!
Plus en détailWILLCO Aventi - Directives d application
WILLCO Aventi - Directives d application Recouvrement de façade non ventilé Plaque d appui pour crépi 1 Généralités Ces instructions d application sont spécialement destinées à l application des panneaux
Plus en détailVersion du 17 octobre 2011. Le bruit
Version du 17 octobre 2011 Le bruit Bruit et BTP Etat des lieux Surdité professionnelle : handicap irréversible SUMMER 2003 : 25% des salariés victimes du bruit Maladies professionnelles (tableau N 42)
Plus en détailINRS. Exposition à l amiante dans les travaux d entretien et de maintenance. Guide de prévention ED 809 INSTITUT NATIONAL DE RECHERCHE ET DE SECURITE
INRS INSTITUT NATIONAL DE RECHERCHE ET DE SECURITE Exposition à l amiante dans les travaux d entretien et de maintenance Guide de prévention ED 809 Ce document est destiné à informer et à fournir des conseils
Plus en détailAmiante, on se protège!
www.csst.qc.ca Amiante, on se protège! Aide-mémoire sur les dangers de l exposition à l amiante et mesures de prévention Cet aide-mémoire a été réalisé par la CSST, en collaboration avec ses partenaires,
Plus en détailContre-châssis Scrigno Gold Base pour plaques de plâtre
Contre-châssis Scrigno Gold Base pour plaques de plâtre Description Le Contre-châssis Scrigno Gold Base version plaques de plâtre est destiné à des cloisons intérieures en plaques de plâtre pour une épaisseur
Plus en détailTECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance
TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques
Plus en détailB2.- Performances acoustiques de divers éléments de construction
B2.- Performances acoustiques de divers éléments de construction B2.1.- Caractéristiques d absorption B2.1.1.- Coefficients d absorption de surfaces couvertes par différents éléments Maçonnerie et enduits
Plus en détailISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS. En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. Entreprise certifiée
En isolation, le progrès c est aussi de savoir s inspirer de la nature. ISOLANTS EN FIBRES DE BOIS SyLvAcTIS Entreprise certifiée PEFC/10-31-2030 PROMOUVOIR LA GESTION DURABLE DE LA FORÊT UNE ISOLATION
Plus en détail30% SolivBox 34 : une solution innovante, pour utiliser et. Valoriser les combles perdus. Economies. Valoisation de votre habitation
SolivBox 34 : une solution innovante, pour utiliser et Valoriser les combles perdus s Un bâtiment perd de la chaleur par le haut, car la chaleur monte. L isolation de la toiture est donc la priorité. 30
Plus en détailPLAQUES DE PLÂTRE CLOISONS - DOUBLAGES
CONSEILS ILLUSTRÉS D'ISOLAVA PLAQUES DE PLÂTRE CLOISONS - DOUBLAGES GUIDE DE MISE EN OEUVRE VITE et BIEN FAIT SOMMAIRE 1. Cloison de séparation sur ossature p 3 étallique -Matériaux nécessaires par 2 de
Plus en détailS il vous plait, pas d accidents professionnels!
22 fa chwis sen Prévention d accidents et protection de la santé S il vous plait, pas d accidents professionnels! De nombreux accidents surviennent lors de simples activités: en marchant, en montant les
Plus en détailEtanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42
Etanchéité à l air dans la construction bois Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Pourquoi des bâtiments étanches à l air? Ne pas confondre : étanchéité à l air et confinement Une bonne étanchéité à l air
Plus en détailA unique sol ution for yo ur i
TM > Catalogue de produits L unique solution pour vos besoins en isolation A unique sol ution for yo ur i Des produits isolants pour l ensemble de la construction SECTION 07 01 > STYRO RAIL TM LA COMPAGNIE
Plus en détailLes bonnes pratiques de l isolation. Guide de l étanchéité à l air des combles perdus ou aménagés
Les bonnes pratiques de l isolation Guide de l étanchéité à l air des combles perdus ou aménagés Une bonne Une bonne isolation La recherche de la performance énergétique du niveau de la basse consommation
Plus en détail«RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux. Date d édition : 1 septembre 2014
«RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux Ce document présente : Date d édition : 1 septembre 2014 Les qualifications et certifications «RGE»
Plus en détailComment optimiser la performance énergétique de son logement?
Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Janvier 2014 AHF / J.M. VOGEL Plan de la présentation Contexte Objectifs Faire un premier bilan énergétique Les différents travaux d économies
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailDe La Terre Au Soleil
De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,
Plus en détailPrévention des risques professionnels Date : Classe : Séquence 5 : Les risques professionnels dans l activité de travail.
Nom : Prénom : Prévention des risques professionnels Date : Classe : Séquence 5 : Les risques professionnels dans l activité de travail. Objectif : Analyser une situation de travail à partir des dangers
Plus en détailEpreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014 DOSSIER REPONSE
SUJET DE CONCOURS COMMUN AUX CENTRES DE GESTION : CONCOURS D ADJOINT TECHNIQUE DE 1ERE CLASSE SESSION 2014 SPECIALITE «ENVIRONNEMENT, HYGIENE» Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014
Plus en détailRt 5. L isolant Thermo-réfléchissant. Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! 6.1 10.2. www.thermosulit.be. Système de recouvrements plats
6. 0. L isolant Thermo-réfléchissant Rt 5 m²k/w (Rapport CIM 0/007) Système de recouvrements plats Isolation Maximum... Épaisseur Minimum! www.thermosulit.be Découvrez Thermosulit Thermosulit 6. et 0.
Plus en détailC O N S E I L. C a s t o r a m a. La moquette page 2 La préparation page 2&3 La pose. La pose «spécial escalier» page 6 La finition page 6
40.03 POSER UNE MOQUETTE C O N S E I L C a s t o r a m a La moquette page 2 La préparation page 2&3 La pose pages 3&4&5 La pose «spécial escalier» page 6 La finition page 6 page 1/6 - Fiche Conseil n 40.03
Plus en détailConstruction. Sarnavap 5000E SA. Pare-vapeur. Description du produit. Tests
Notice Produit Edition 09.2012 Identification no4794 Version no. 2012-208 Sarnavap 5000E SA Pare-vapeur Description du produit Sarnavap 5000E SA est un pare-vapeur auto-adhésif pour système en adhérence
Plus en détailConstruisons en aluminium pour les générations futures
Construisons en aluminium pour les générations futures La Haute Qualité Environnementale avec l aluminium Les qualités de l aluminium (résistance, légèreté, malléabilité, recyclabilité ) répondent aux
Plus en détailLa mise en œuvre BBC. Formation pour entreprises IBSE
La mise en œuvre BBC Formation pour entreprises IBSE 2 Les labels Maison bioclimatique Maison conçue pour bénéficier de tous les avantages du climat et du terrain ainsi que de la végétation environnante.
Plus en détailGuide d installation
PANNEAUX POLYVALENTS EN FIBROCIMENT Guide d installation Finex : solide par nature Finex inc. est un chef de file dans le domaine de la construction en fibrociment. Finex fabrique et offre une ligne de
Plus en détailMONIER CLIMA COMFORT PLUS L isolation de toiture la plus mince. Des performances thermiques maximales et plus de confort
MONIER CLIMA COMFORT PLUS L isolation de toiture la plus mince. Des performances thermiques maximales et plus de confort www.monier.be MONIER systèmes d isolation de toiture à l extérieur Savez-vous que
Plus en détailUNE IMPERIEUSE NECESSITE CHALONS EN CHAMPAGNE 1 er juillet 2011
ETANCHEITE A L AIR DANS LE BATIMENT UNE IMPERIEUSE NECESSITE CHALONS EN CHAMPAGNE 1 er juillet 2011 Ressources documentaires: bureaux d étude: WIGWAM, ALSATECH, EXPAIR 21, AFORDEX, ENERTECH Contexte général
Plus en détail/ kit camping-car - modèle avec 2 panneaux
/ En quelques mots / Exemple de composition de kit (100W) : Merci pour l achat de ce kit solaire pour camping-car. Ce kit est composé de : -2 panneaux solaires -1 régulateur solaire surveillant la charge
Plus en détailSchlüter -KERDI-BOARD Support de pose, panneau de construction, étanchéité composite
Support de pose, panneau de construction, étanchéité composite Le support de pose universel pour carrelages Important! Qu il s agisse d'une mosaïque ou de carreaux de grand format, la qualité d un revêtement
Plus en détailPROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES
PROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES Destinés essentiellement à protéger contre les salissures, les vêtements de travail permettent également de valoriser l image des entreprises (personnalisation
Plus en détailProtégez-vous des risques liés aux fumées de soudage. Information prévention. Vous êtes soudeurs en atelier de Métallerie Serrurerie?
Réseaux de veille et de prévention des risques professionnels en PACA Information prévention agir pour votre santé au travail Vous êtes soudeurs en atelier de Métallerie Serrurerie? Protégez-vous des risques
Plus en détailGITE D'ETAPE "chez Mimile"
GITE D'ETAPE "chez Mimile" Notre gîte d'étape est en train de voir le jour, après des mois et des années d'études et de recherche de fonds pour sa réalisation. Merci au Conseil Général, à la Région, au
Plus en détailPrincipe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds
Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds CAPENA GmbH - PISCINES - Gruber Strasse 6-85551 KIRCHHEIM Allemagne
Plus en détailD'une demande d'amélioration aux
D'une demande d'amélioration aux indicateurs de l'action Auteurs : Philippe Meslage, Philippe Di Driat, Gérard Maigné, Jean-François Bergamini, Dominique Dubois Picard, Dominique Leuxe 31 ème journées
Plus en détailEau (N CAS) 7732-18-5 67.5 Non classifié Urea (N CAS) 57-13-6 32.5 Non classifié. Version : 1.0
Date de révision : 15 mai 2015 Date de parution : 15 mai 2015 Remplace la version datée du : 06/09/2013 RUBRIQUE 1 : IDENTIFICATION 1.1. Identificateur du produit Forme du produit : Mélange Nom du produit
Plus en détailIsolation de conduites à base d'amiante
*F01 Cordons, anneaux d'étanchéité et bandes d'isolation électrique en amiante Des cordons à haute teneur en amiante ont souvent été utilisés comme joints anti feu dans des poêles à mazout ou en aïence,
Plus en détail