Unité Enseignement Mère-Enfant
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- Anaïs Lucille André
- il y a 7 ans
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1 Unité Enseignement Mère-Enfant N 143. Vaccinations - Connaître les différents types de vaccins et les modalités d administration. - Connaître le calendrier vaccinal pour la population générale. - Savoir programmer un rattrapage vaccinal. - Adapter l indication des vaccinations en fonction du risque individuel et collectif. - Connaître les contre-indications et les principaux effets indésirables des vaccins. - Argumenter la balance bénéfices/risques des principaux vaccins. Professeur Gérard Ducos
2 Voie d administration vaccinale : IM ou S/C Préférence de la voie IM pour la vaccination des enfants comme des adultes en bonne santé La voie IM améliore la réponse immunologique sérique La voie IM diminue le risque de réaction locale. La voie SC est réservée au BCG 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 2
3 Noël a 20 mois Que doit-on trouver dans son carnet de santé à la rubrique «vaccin»? 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 3
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7 Pourquoi 2 doses de ROR Pour rattraper ceux non vacciné en temps recommandé Parce que c est obligatoire Pour immuniser ceux pour qui une dose s avère insuffisante ou inefficace Pour les filles uniquement 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 7
8 Pourquoi 2 doses de ROR Pour rattraper ceux non vacciné en temps recommandé Parce que c est obligatoire Pour immuniser ceux pour qui une dose s avère insuffisante ou inefficace Pour les filles uniquement 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 8
9 Pourquoi 2 doses de ROR Pour tenter d éradiquer la maladie En vaccinant un maximum d enfant = rattrapage de ceux non vacciné en temps recommandé En immunisant ceux pour qui une dose s avère insuffisante ou inefficace 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 9
10 Pourquoi à 12 mois Réponse immunitaire significativement inférieure chez les nourrissons vaccinés à l âge de 9 mois, comparée à celle obtenue chez ceux vaccinés à l âge de 12 mois. Cette différence persiste après l administration de la seconde dose Le risque de survenue de rougeole chez les personnes vaccinées à 2 doses est d autant plus élevé que la vaccination a été initiée tôt. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 10
11 la rougeole en France L année 2009 a aussi été caractérisée par la persistance de l épidémie de rougeole débutée à l automne 2008 et touche l ensemble du territoire 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 11
12 Méningites 90% des Infections invasives à méningoque (IIM) sont dus aux sérogroupes A,B,C,Y et W135 Incidence Prés de 1% de la population en Afrique En Amérique 0,3 à 4 cas pour habitants En Europe 0,2 à 14 cas pour habitants Au Moyen-Orient fort taux de portage recensés au retour de la Mecque 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 12
13 Situation en France 628 cas déclaré en 2009 (1,1 pour habitants) Taux de létalité = 10 à 12% Population les plus vulnérables : Enfants entre 0 et 4 ans Ado et jeunes adultes de 15 à 224 ans Le HCSP recommande que tous les nourrissons âgés de 12 à 24 mois reçoivent une dose de vaccin et que, en rattrapage et de façon transitoire, les enfants, adolescents et jeunes adultes jusqu à l âge de 24 ans révolus soient également vaccinés 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 13
14 MENINGOCOQUE Vaccin polysaccharidique Vaccin Méningococcique A+C, MENOMUNE Après 18 mois, tous les 3 ans si voyage en zone d endémie Vaccins conjugués : MENINGITEC MENJUGATEKIT NEISVAC Le vaccin méningococcique oligosidique C conjugué vaccination de l enfant à partir de l âge de 2 mois. Enfants de 12 mois et plus, adolescents et adultes : une dose unique de 0,5 ml. Vaccin polyosidique des groupes A, C, Y, W135 (MENCEVAX* MENVEO*) : Chercheurs, sujet contact, zone endémique (Afrique subsaharienne en saison sèche et zone où sévit une épidémie 10 jours avant le départ), pèlerinage à la Mecque 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 14
15 vaccin anti-pneumococcique conjugué 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 15
16 Vaccin conjugué contre les infections invasives à pneumocoque recommandée chez tous les enfants de moins de 2 ans en prévention des infections invasives à pneumocoque En 2010, nouveau vaccin conjugué comprenant 13 valences : deux injections à M2 et M4, et un rappel à l âge de 11 mois. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 16
17 Impact de la vaccination sur les infections à pneumocoque Effets directs (chez vaccinés) sur les : - infections invasives (méningites, bactériémies), - pneumopathies, - otites. Effets indirects via la diminution du portage pharyngé des ST vaccinaux chez : - les personnes âgées, - les nourrissons de moins de 2 mois. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 17
18 Les parents de Noël se posent des questions Et le BCG on le fait? Il existe un vaccin contre la gastro? 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 18
19 BCG La protection est estimée entre 65 et 80%, toutes formes de tuberculose confondues, et ce pour une durée de protection estimée à 15 ans Au delà de 6 mois d âge il faut faire une IDR avant de vacciner On n a pas le droit de ne pas vacciner les enfants à risque ou tout enfant dont les parents le demandent 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 19
20 Tuberculose en France enfants de moins de 15 ans : 0-4 ans : 4, ans : 2,5 incidence non diminuée depuis méningites tuberculeuses dont 2 chez enfants < 5 ans 256 chez professionnels «sanitaire ou social» dont 60% nés en France BEH n 18/ /11/2014 Pf Gérard Ducos 20
21 BCG : enfants à risques enfant né dans un pays de forte endémie enfant dont au moins 1 des parents est originaire de ces pays enfant devant séjourné au moins 1 mois d affilé dans 1 de ces pays enfant ayant des antécédents familiaux de tuberculose Enfant bénéficiant de la CMU enfant résidant en île de France ou en Guyane enfant dans toute situation jugée par le médecin à risque d exposition au BK (contexte socio-économique défavorable ) BEH n 18/ /11/2014 Pf Gérard Ducos 21
22 BCG : enfants à risques enfant né dans un pays de forte endémie enfant dont au moins 1 des parents est originaire de ces pays enfant devant séjourné au moins 1 mois d affilé dans 1 de ces pays enfant ayant des antécédents familiaux de tuberculose enfant bénéficiant de la CMU enfant résidant en île de France ou en Guyane enfant dans toute situation jugée par le médecin à risque d exposition au BK (contexte socio-économique défavorable ) BEH n 18/ /11/2014 Pf Gérard Ducos 22
23 vaccins contre la gastroentérite à rotavirus Indiqué dans l'immunisation active des nourrissons à partir de l'âge de 6 semaines pour la prévention des gastroentérites dues à une infection à rotavirus 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 23
24 La vaccination des nourrissons contre les gastroentérites à rotavirus est maintenant recommandée en France Chaque année, les gastroentérites aiguës à rotavirus sont responsables en France chez les enfants de moins de 3 ans d'environ consultations en médecine générale, recours aux urgences hospitalières et hospitalisations. Le nombre moyen de décès liés à une gastroentérite à rotavirus est estimée dans une fourchette de 7,6 à 17,3 par an. La décision de recommander la vaccination contre les rotavirus des nourrissons âgés de moins de 6 mois par le Haut Conseil de la santé publique dans son avis du 20 novembre 2013 mis en ligne le 14 février /11/2014 Pf Gérard Ducos 24
25 Arguments épidémiologiques Poids de la maladie : la fréquence des gastroentérites à rotavirus nosocomiales, la survenue concomitante des épidémies hivernales ont un impact négatif en termes d'organisation du système de santé lmpact de la vaccination sur le taux de réduction d'hospitalisation l'intérêt de l'immunité de groupe, qui confère la protection des personnes non éligibles à la vaccination (enfants, adolescents, adultes), mais qui nécessite une couverture vaccinale élevée ; Impact limité des campagnes d'incitation à mieux utiliser les solutés de réhydratation orale pour le traitement des diarrhées aiguës du nourrisson âgé de moins de un an ; 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 25
26 Risque d invagination S'agissant de l'augmentation du risque d'invagination intestinale aiguë, les études de sécurité post-commercialisation conduites dans plusieurs pays ont permis d'évaluer de manière plus précise ce risque. Comparé à la fréquence des invaginations intestinales aiguës spontanées (30 à 60 cas pour enfants), ce risque est faible (1 à 6 cas pour enfants vaccinés), essentiellement limité à la période de 7 jours suivant l'administration de la première dose. Le Haut Conseil de la santé publique recommande que le suivi renforcé de pharmacovigilance, relatif à la notification des invaginations intestinales aiguës soit poursuivi, que l'information de ce phénomène, L'observation de ces signes doit inciter les parents de ces enfants à consulter sans délai pour une prise en charge médicale rapide. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 26
27 2 Vaccins ROTATEQ et ROTARIX Dans les essais cliniques, l'efficacité a été démontrée contre les gastroentérites dues à des rotavirus de sérotypes G1P[8], G2P[4], G3P[8], G4P[8] et G9P[8] Le Haut Conseil de la santé publique recommande également que la stratégie de vacciner les nourrissons contre les gastro-entérites aiguës à rotavirus ne devrait être mise en place que si les prix des vaccins conduisent à des ratios coût/efficacité acceptables. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 27
28 Recommandations vaccinales contre la coqueluche 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 28
29 Recommandations vaccinales contre la coqueluche Importance d un rappel coquelucheux à ans chez tous les adolescents Mais attention, pour les enfants qui échappent à ce rappel à ans, le rattrapage à l âge de ans ne se fera plus dans le nouveau calendrier 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 29
30 Recommandations vaccinales contre la coqueluche Importance d une vaccination avec le vaccin quadrivalent dtcapolio des adultes ayant un projet parental Et, à l occasion d une grossesse, la mise à jour des vaccinations des membres de l entourage durant la grossesse, pour le père, la fratrie et, le cas échéant les adultes en charge de la garde du nourrisson pendant les 6 premiers mois de vie, le plus tôt possible après l accouchement pour la mère (l allaitement ne constitue pas une contreindication à la vaccination anticoquelucheuse), 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 30
31 Raphaëlle 13 ans n a pas été vaccinée pour l hépatite B On m a dit que le vaccin pour l hépatite était trop dangereux? 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 31
32 Le vaccin contre l hépatite B Il donne la sclérose en plaque C est impossible qu il donne la sclérose en plaque Il vaut mieux attendre pour le faire à la puberté Deux rappels suffisent entre 11 et 15 ans 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 32
33 Le vaccin contre l hépatite B Il donne la sclérose en plaque C est impossible qu il donne la sclérose en plaque Il vaut mieux attendre pour le faire à la puberté Deux rappels suffisent entre 11 et 15 ans 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 33
34 le Haut Conseil de la santé publique Considère Qu aucune nouvelle publication n apporte aucun élément scientifiquement fondé en faveur d un lien entre la vaccination contre l hépatite B du sous-groupe visé et la survenue d atteinte démyélinisante du système nerveux central ; que l hépatite B reste un problème de santé publique en France ; 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 34
35 le Haut Conseil de la santé publique recommande le maintien de la politique vaccinale vis-àvis de l hépatite B chez l enfant, telle qu elle est définie dans le calendrier vaccinal ; le renforcement de la mise en œuvre de cette politique, compte tenu des faibles couvertures vaccinales actuelles. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 35
36 VACCINATION CONTRE-INDICATIONS DEFINITIVES Vaccins vivants si déficit immunitaire ROR, Grippe, Fièvre jaune si allergie à l œuf Coqueluche si affection neurologique évolutive Tous si réaction sévère lors de la 1ère dose TEMPORAIRES Infection intercurrente Poussée majeure d eczéma Décompensation maladie chronique Vaccins viraux vivants si injection récente d Ig 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 37
37 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 38
38 contre-indications abusives aux vaccinations Contrairement à l opinion courante, les épisodes infectieux mineurs, l asthme, l eczéma, les dermatoses chroniques, les affections chroniques cardiaques, respiratoires, rénales, hépatiques, les séquelles neurologiques, le diabète, la malnutrition, la prématurité ne constituent pas des contre-indications aux vaccinations. Les contre-indications seront discutées en fonction de chaque vaccin et de la situation clinique rencontrée. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 39
39 Sécurité et méfiance des vaccins : le grand paradoxe Dans la chaîne de production des vaccins, 70% du temps est consacré aux contrôles de qualité. Afssaps et industrie exercent une surveillance draconienne pendant la production, mais aussi après par un réseau de pharmacovigilance très étendu. Le point sur les effets secondaires bénins et graves reprochés à tort ou raison aux vaccins : effets secondaires ou coïncidences? Les médecins sont au cœur de la vaccination, mais ils doivent se faire aider de campagnes grand public. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 40
40 Raphaëlle 13 ans maintenant vaccinée pour l hépatite B Elle n a pas eu la varicelle docteur, il faut la vacciner? 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 41
41 Recommandations du conseil supérieur d hygiène publique de France Varicelle L effet bénéfique de la vaccination sur la baisse de l incidence des cas de varicelle est à contrebalancer avec le déplacement de l âge des cas de varicelle et l augmentation transitoire des cas de zona. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 42
42 Le Conseil supérieur d hygiène publique de France Le CSHPF ne recommande donc pas la vaccination généralisée contre la varicelle des enfants à partir de l âge de 12 mois. recommande la vaccination post-exposition dans les 3 jours suivant l exposition à un patient avec éruption chez les adultes des adolescents de 12 à 18 ans n ayant pas d antécédent clinique de varicelle ou dont l histoire est douteuse (contrôle sérologique possible) 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 43
43 Le Conseil supérieur d hygiène publique de France recommande la vaccination contre la varicelle dans les six mois précédant une greffe d organe solide chez les enfants candidats receveurs sans antécédents de varicelle (ou dont l histoire est douteuse) et dont la sérologie est négative, 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 44
44 Vaccin contre le papillomavirus La vaccination contre les infections à papillomavirus humains est recommandée pour toutes les jeunes filles âgées de 11 ans, révolus afin de les immuniser avant qu elles soient exposées au risque d infection à HPV, avec un rattrapage jusqu à 19 ans sans restrictions 2 doses espacées de 6 mois pour les jeunes filles âgées de 11 à 13 ans révolus à la première dose Les données scientifiques montrent que la réponse immunitaire est meilleure lorsque le vaccin est administré avant 14 ans plutôt qu après Permet de profiter du rendez-vous vaccinal prévu pour le rappel dtcap pour proposer de co-administrer vaccin HPV et dtcap. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 45
45 MAIS le cancer du col reste une complication rare d une infection très fréquente. La protection vaccinale étant au mieux partielle, le vaccin ne supprime pas la nécessité du dépistage, 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 46
46 Et la grippe docteur??? 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 47
47 Vaccination grippe saisonnière La vaccination concerne les cibles habituelles : les maladies chroniques broncho-pulmonaires (dont l asthme), et cardiaques, les insuffisances rénales, les syndromes néphrotiques, certaines maladies du sang (drépanocytose ), le diabète, les déficits immunitaires cellulaires (chez les sujets infectés par le VIH, l équipe qui suit le patient prend la décision) les enfants séjournant dans des établissements de moyen ou long séjour. Enfin, les enfants recevant un traitement prolongé par aspirine pour syndrome de Kawasaki ou arthrite chronique juvénile. Il faut autour de trois semaines pour que le vaccin produise son effet et protège l organisme 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 48
48 Synthèse et mots clefs BCG : De la naissance à 15 ans chez les enfants à risque DTP : M2.M4. M11. 6ans, 11/13 et 25 ans Coqueluche : rappel à 25 ans (des futurs parents) Hépatite B : débute à 2 mois et peut être réalisée jusqu à 15 ans inclus. À partir de 16 ans chez les personnes exposées Pneumocoque : débute à 2 mois, au-delà de 24 mois dans des situations particulières Méningocoque C : à 12 mois avec un rattrapage jusqu à l âge de 24 ans inclus. ROR : à 12 mois avec rappel entre 16 et 18 mois. Les personnes nées à partir de 1980 doivent avoir eu deux doses Papillomavirus humain (HPV) : chez les jeunes filles à partir de 11 ans avec un rattrapage jusqu à 19 ans révolus. Grippe : chez les enfants à risque à partir de 6 mois 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 49
49 Nous partons en voyage Toute la famille part dans 3 mois en vacances La mère et le père Les 2 enfants de 8 et 14 ans On est sur que le DTP est à jour Alors docteur? 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 50
50 Pour tous et quelle que soit la destination Adultes : mise à jour des vaccinations incluses dans le calendrier vaccinal, notamment contre le tétanos, la poliomyélite et la diphtérie et éventuellement la coqueluche et la rougeole. Enfants : mise à jour des vaccinations incluses dans le calendrier vaccinal français, certaines pouvant être réalisées à un âge plus précoce : ROR à partir de 12 mois Hépatite B dès la naissance si le risque est élevé ; BCG, dès la naissance si l enfant doit séjourner au moins un mois d affilée dans un pays de forte endémie tuberculeuse 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 51
51 Zones d endémie de la fièvre jaune 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 52
52 En fonction de la situation épidémiologique de la zone visitée Fièvre jaune Indispensable pour tout séjour dans une zone endémique même en l absence d obligation administrative. Enfant : La vaccination est possible dès 9 mois (de 6 à 9 mois, uniquement dans des circonstances épidémiologiques particulières, notamment épidémie ou séjour en milieu rural ou en forêt, en zone de transmission). Femme enceinte : La vaccination est déconseillée pendant toute la durée de la grossesse, mais si le séjour ou le voyage en zone d endémie ne peuvent être reportés, elle est alors justifiée, en raison de la létalité élevée de la maladie. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 53
53 Zones de circulation du virus de l encéphalite japonaise 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 54
54 En fonction de la situation épidémiologique de la zone visitée Encéphalite japonaise Séjour en zone rurale plusieurs semaines ou pendant la saison de transmission (saison des pluies), du Pakistan à l Ouest, aux Philippines à l Est, de la Chine au Nord, à l Indonésie au Sud Vaccin disponible uniquement dans les centres agréés de vaccination Possible chez l enfant à partir de l âge de un an (entre 1 et 3 ans : demi-dose). 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 55
55 Encéphalite à tiques 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 56
56 En fonction de la situation épidémiologique de la zone visitée Encéphalite à tiques Séjour en zone rurale ou forestière d endémie en Europe centrale, orientale et septentrionale (en particulier Autriche, Suisse, sud de l Allemagne, Pologne, République Tchèque, Hongrie, Républiques Baltes, ou Fédération de Russie), du printemps à l automne. Il existe désormais une présentation pédiatrique, administrable à partir de 1 an. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 57
57 En fonction de la situation épidémiologique de la zone visitée Infections invasives à méningocoque : Trois vaccins contre les méningocoques sont actuellement disponibles en France La vaccination est recommandée : aux enfants de plus de 2 ans et aux jeunes adultes (de moins de 30 ans) se rendant dans une zone où sévit une épidémie ;. La vaccination par le vaccin tétravalent est exigée par les autorités saoudiennes pour les personnes se rendant au pèlerinage de La Mecque et de Médine; elle doit dater de plus de 10 jours et de moins de trois ans. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 58
58 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 59
59 En fonction des conditions et de la durée du séjour Hépatite A : Pour tout type de séjour dans un pays où l hygiène est précaire, et particulièrement chez le voyageur porteur d une maladie chronique du foie. Peut être faite à partir de l âge de 1 an. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 60
60 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 61
61 En fonction des conditions et de la durée du séjour Fièvre typhoïde : Séjours prolongés ou dans de mauvaises conditions dans des pays où l hygiène est précaire. Enfants : à partir de 2 ans. Hépatite B : En dehors des recommandations du calendrier vaccinal (enfants, professions de santé et/ou conduites à risque), cette vaccination est recommandée pour des séjours fréquents ou prolongés dans les pays à forte prévalence du portage chronique du virus. En cas de départ rapide il existe un protocole accéléré Il existe une présentation enfant. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 62
62 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 63
63 En fonction des conditions et de la durée du séjour Rage à titre préventif : Séjour prolongé ou aventureux et en situation d isolement dans un pays à haut risque (pays en développement, à l exception de quelques îles). Recommandée en particulier chez les jeunes enfants dès l âge de la marche. La vaccination préventive ne dispense pas d un traitement curatif, qui doit être mis en œuvre le plus tôt possible en cas d exposition avérée ou suspectée. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 64
64 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 65
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