Unité Enseignement Mère-Enfant

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Unité Enseignement Mère-Enfant"

Transcription

1 Unité Enseignement Mère-Enfant N 143. Vaccinations - Connaître les différents types de vaccins et les modalités d administration. - Connaître le calendrier vaccinal pour la population générale. - Savoir programmer un rattrapage vaccinal. - Adapter l indication des vaccinations en fonction du risque individuel et collectif. - Connaître les contre-indications et les principaux effets indésirables des vaccins. - Argumenter la balance bénéfices/risques des principaux vaccins. Professeur Gérard Ducos

2 Voie d administration vaccinale : IM ou S/C Préférence de la voie IM pour la vaccination des enfants comme des adultes en bonne santé La voie IM améliore la réponse immunologique sérique La voie IM diminue le risque de réaction locale. La voie SC est réservée au BCG 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 2

3 Noël a 20 mois Que doit-on trouver dans son carnet de santé à la rubrique «vaccin»? 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 3

4

5

6

7 Pourquoi 2 doses de ROR Pour rattraper ceux non vacciné en temps recommandé Parce que c est obligatoire Pour immuniser ceux pour qui une dose s avère insuffisante ou inefficace Pour les filles uniquement 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 7

8 Pourquoi 2 doses de ROR Pour rattraper ceux non vacciné en temps recommandé Parce que c est obligatoire Pour immuniser ceux pour qui une dose s avère insuffisante ou inefficace Pour les filles uniquement 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 8

9 Pourquoi 2 doses de ROR Pour tenter d éradiquer la maladie En vaccinant un maximum d enfant = rattrapage de ceux non vacciné en temps recommandé En immunisant ceux pour qui une dose s avère insuffisante ou inefficace 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 9

10 Pourquoi à 12 mois Réponse immunitaire significativement inférieure chez les nourrissons vaccinés à l âge de 9 mois, comparée à celle obtenue chez ceux vaccinés à l âge de 12 mois. Cette différence persiste après l administration de la seconde dose Le risque de survenue de rougeole chez les personnes vaccinées à 2 doses est d autant plus élevé que la vaccination a été initiée tôt. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 10

11 la rougeole en France L année 2009 a aussi été caractérisée par la persistance de l épidémie de rougeole débutée à l automne 2008 et touche l ensemble du territoire 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 11

12 Méningites 90% des Infections invasives à méningoque (IIM) sont dus aux sérogroupes A,B,C,Y et W135 Incidence Prés de 1% de la population en Afrique En Amérique 0,3 à 4 cas pour habitants En Europe 0,2 à 14 cas pour habitants Au Moyen-Orient fort taux de portage recensés au retour de la Mecque 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 12

13 Situation en France 628 cas déclaré en 2009 (1,1 pour habitants) Taux de létalité = 10 à 12% Population les plus vulnérables : Enfants entre 0 et 4 ans Ado et jeunes adultes de 15 à 224 ans Le HCSP recommande que tous les nourrissons âgés de 12 à 24 mois reçoivent une dose de vaccin et que, en rattrapage et de façon transitoire, les enfants, adolescents et jeunes adultes jusqu à l âge de 24 ans révolus soient également vaccinés 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 13

14 MENINGOCOQUE Vaccin polysaccharidique Vaccin Méningococcique A+C, MENOMUNE Après 18 mois, tous les 3 ans si voyage en zone d endémie Vaccins conjugués : MENINGITEC MENJUGATEKIT NEISVAC Le vaccin méningococcique oligosidique C conjugué vaccination de l enfant à partir de l âge de 2 mois. Enfants de 12 mois et plus, adolescents et adultes : une dose unique de 0,5 ml. Vaccin polyosidique des groupes A, C, Y, W135 (MENCEVAX* MENVEO*) : Chercheurs, sujet contact, zone endémique (Afrique subsaharienne en saison sèche et zone où sévit une épidémie 10 jours avant le départ), pèlerinage à la Mecque 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 14

15 vaccin anti-pneumococcique conjugué 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 15

16 Vaccin conjugué contre les infections invasives à pneumocoque recommandée chez tous les enfants de moins de 2 ans en prévention des infections invasives à pneumocoque En 2010, nouveau vaccin conjugué comprenant 13 valences : deux injections à M2 et M4, et un rappel à l âge de 11 mois. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 16

17 Impact de la vaccination sur les infections à pneumocoque Effets directs (chez vaccinés) sur les : - infections invasives (méningites, bactériémies), - pneumopathies, - otites. Effets indirects via la diminution du portage pharyngé des ST vaccinaux chez : - les personnes âgées, - les nourrissons de moins de 2 mois. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 17

18 Les parents de Noël se posent des questions Et le BCG on le fait? Il existe un vaccin contre la gastro? 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 18

19 BCG La protection est estimée entre 65 et 80%, toutes formes de tuberculose confondues, et ce pour une durée de protection estimée à 15 ans Au delà de 6 mois d âge il faut faire une IDR avant de vacciner On n a pas le droit de ne pas vacciner les enfants à risque ou tout enfant dont les parents le demandent 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 19

20 Tuberculose en France enfants de moins de 15 ans : 0-4 ans : 4, ans : 2,5 incidence non diminuée depuis méningites tuberculeuses dont 2 chez enfants < 5 ans 256 chez professionnels «sanitaire ou social» dont 60% nés en France BEH n 18/ /11/2014 Pf Gérard Ducos 20

21 BCG : enfants à risques enfant né dans un pays de forte endémie enfant dont au moins 1 des parents est originaire de ces pays enfant devant séjourné au moins 1 mois d affilé dans 1 de ces pays enfant ayant des antécédents familiaux de tuberculose Enfant bénéficiant de la CMU enfant résidant en île de France ou en Guyane enfant dans toute situation jugée par le médecin à risque d exposition au BK (contexte socio-économique défavorable ) BEH n 18/ /11/2014 Pf Gérard Ducos 21

22 BCG : enfants à risques enfant né dans un pays de forte endémie enfant dont au moins 1 des parents est originaire de ces pays enfant devant séjourné au moins 1 mois d affilé dans 1 de ces pays enfant ayant des antécédents familiaux de tuberculose enfant bénéficiant de la CMU enfant résidant en île de France ou en Guyane enfant dans toute situation jugée par le médecin à risque d exposition au BK (contexte socio-économique défavorable ) BEH n 18/ /11/2014 Pf Gérard Ducos 22

23 vaccins contre la gastroentérite à rotavirus Indiqué dans l'immunisation active des nourrissons à partir de l'âge de 6 semaines pour la prévention des gastroentérites dues à une infection à rotavirus 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 23

24 La vaccination des nourrissons contre les gastroentérites à rotavirus est maintenant recommandée en France Chaque année, les gastroentérites aiguës à rotavirus sont responsables en France chez les enfants de moins de 3 ans d'environ consultations en médecine générale, recours aux urgences hospitalières et hospitalisations. Le nombre moyen de décès liés à une gastroentérite à rotavirus est estimée dans une fourchette de 7,6 à 17,3 par an. La décision de recommander la vaccination contre les rotavirus des nourrissons âgés de moins de 6 mois par le Haut Conseil de la santé publique dans son avis du 20 novembre 2013 mis en ligne le 14 février /11/2014 Pf Gérard Ducos 24

25 Arguments épidémiologiques Poids de la maladie : la fréquence des gastroentérites à rotavirus nosocomiales, la survenue concomitante des épidémies hivernales ont un impact négatif en termes d'organisation du système de santé lmpact de la vaccination sur le taux de réduction d'hospitalisation l'intérêt de l'immunité de groupe, qui confère la protection des personnes non éligibles à la vaccination (enfants, adolescents, adultes), mais qui nécessite une couverture vaccinale élevée ; Impact limité des campagnes d'incitation à mieux utiliser les solutés de réhydratation orale pour le traitement des diarrhées aiguës du nourrisson âgé de moins de un an ; 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 25

26 Risque d invagination S'agissant de l'augmentation du risque d'invagination intestinale aiguë, les études de sécurité post-commercialisation conduites dans plusieurs pays ont permis d'évaluer de manière plus précise ce risque. Comparé à la fréquence des invaginations intestinales aiguës spontanées (30 à 60 cas pour enfants), ce risque est faible (1 à 6 cas pour enfants vaccinés), essentiellement limité à la période de 7 jours suivant l'administration de la première dose. Le Haut Conseil de la santé publique recommande que le suivi renforcé de pharmacovigilance, relatif à la notification des invaginations intestinales aiguës soit poursuivi, que l'information de ce phénomène, L'observation de ces signes doit inciter les parents de ces enfants à consulter sans délai pour une prise en charge médicale rapide. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 26

27 2 Vaccins ROTATEQ et ROTARIX Dans les essais cliniques, l'efficacité a été démontrée contre les gastroentérites dues à des rotavirus de sérotypes G1P[8], G2P[4], G3P[8], G4P[8] et G9P[8] Le Haut Conseil de la santé publique recommande également que la stratégie de vacciner les nourrissons contre les gastro-entérites aiguës à rotavirus ne devrait être mise en place que si les prix des vaccins conduisent à des ratios coût/efficacité acceptables. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 27

28 Recommandations vaccinales contre la coqueluche 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 28

29 Recommandations vaccinales contre la coqueluche Importance d un rappel coquelucheux à ans chez tous les adolescents Mais attention, pour les enfants qui échappent à ce rappel à ans, le rattrapage à l âge de ans ne se fera plus dans le nouveau calendrier 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 29

30 Recommandations vaccinales contre la coqueluche Importance d une vaccination avec le vaccin quadrivalent dtcapolio des adultes ayant un projet parental Et, à l occasion d une grossesse, la mise à jour des vaccinations des membres de l entourage durant la grossesse, pour le père, la fratrie et, le cas échéant les adultes en charge de la garde du nourrisson pendant les 6 premiers mois de vie, le plus tôt possible après l accouchement pour la mère (l allaitement ne constitue pas une contreindication à la vaccination anticoquelucheuse), 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 30

31 Raphaëlle 13 ans n a pas été vaccinée pour l hépatite B On m a dit que le vaccin pour l hépatite était trop dangereux? 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 31

32 Le vaccin contre l hépatite B Il donne la sclérose en plaque C est impossible qu il donne la sclérose en plaque Il vaut mieux attendre pour le faire à la puberté Deux rappels suffisent entre 11 et 15 ans 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 32

33 Le vaccin contre l hépatite B Il donne la sclérose en plaque C est impossible qu il donne la sclérose en plaque Il vaut mieux attendre pour le faire à la puberté Deux rappels suffisent entre 11 et 15 ans 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 33

34 le Haut Conseil de la santé publique Considère Qu aucune nouvelle publication n apporte aucun élément scientifiquement fondé en faveur d un lien entre la vaccination contre l hépatite B du sous-groupe visé et la survenue d atteinte démyélinisante du système nerveux central ; que l hépatite B reste un problème de santé publique en France ; 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 34

35 le Haut Conseil de la santé publique recommande le maintien de la politique vaccinale vis-àvis de l hépatite B chez l enfant, telle qu elle est définie dans le calendrier vaccinal ; le renforcement de la mise en œuvre de cette politique, compte tenu des faibles couvertures vaccinales actuelles. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 35

36 VACCINATION CONTRE-INDICATIONS DEFINITIVES Vaccins vivants si déficit immunitaire ROR, Grippe, Fièvre jaune si allergie à l œuf Coqueluche si affection neurologique évolutive Tous si réaction sévère lors de la 1ère dose TEMPORAIRES Infection intercurrente Poussée majeure d eczéma Décompensation maladie chronique Vaccins viraux vivants si injection récente d Ig 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 37

37 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 38

38 contre-indications abusives aux vaccinations Contrairement à l opinion courante, les épisodes infectieux mineurs, l asthme, l eczéma, les dermatoses chroniques, les affections chroniques cardiaques, respiratoires, rénales, hépatiques, les séquelles neurologiques, le diabète, la malnutrition, la prématurité ne constituent pas des contre-indications aux vaccinations. Les contre-indications seront discutées en fonction de chaque vaccin et de la situation clinique rencontrée. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 39

39 Sécurité et méfiance des vaccins : le grand paradoxe Dans la chaîne de production des vaccins, 70% du temps est consacré aux contrôles de qualité. Afssaps et industrie exercent une surveillance draconienne pendant la production, mais aussi après par un réseau de pharmacovigilance très étendu. Le point sur les effets secondaires bénins et graves reprochés à tort ou raison aux vaccins : effets secondaires ou coïncidences? Les médecins sont au cœur de la vaccination, mais ils doivent se faire aider de campagnes grand public. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 40

40 Raphaëlle 13 ans maintenant vaccinée pour l hépatite B Elle n a pas eu la varicelle docteur, il faut la vacciner? 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 41

41 Recommandations du conseil supérieur d hygiène publique de France Varicelle L effet bénéfique de la vaccination sur la baisse de l incidence des cas de varicelle est à contrebalancer avec le déplacement de l âge des cas de varicelle et l augmentation transitoire des cas de zona. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 42

42 Le Conseil supérieur d hygiène publique de France Le CSHPF ne recommande donc pas la vaccination généralisée contre la varicelle des enfants à partir de l âge de 12 mois. recommande la vaccination post-exposition dans les 3 jours suivant l exposition à un patient avec éruption chez les adultes des adolescents de 12 à 18 ans n ayant pas d antécédent clinique de varicelle ou dont l histoire est douteuse (contrôle sérologique possible) 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 43

43 Le Conseil supérieur d hygiène publique de France recommande la vaccination contre la varicelle dans les six mois précédant une greffe d organe solide chez les enfants candidats receveurs sans antécédents de varicelle (ou dont l histoire est douteuse) et dont la sérologie est négative, 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 44

44 Vaccin contre le papillomavirus La vaccination contre les infections à papillomavirus humains est recommandée pour toutes les jeunes filles âgées de 11 ans, révolus afin de les immuniser avant qu elles soient exposées au risque d infection à HPV, avec un rattrapage jusqu à 19 ans sans restrictions 2 doses espacées de 6 mois pour les jeunes filles âgées de 11 à 13 ans révolus à la première dose Les données scientifiques montrent que la réponse immunitaire est meilleure lorsque le vaccin est administré avant 14 ans plutôt qu après Permet de profiter du rendez-vous vaccinal prévu pour le rappel dtcap pour proposer de co-administrer vaccin HPV et dtcap. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 45

45 MAIS le cancer du col reste une complication rare d une infection très fréquente. La protection vaccinale étant au mieux partielle, le vaccin ne supprime pas la nécessité du dépistage, 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 46

46 Et la grippe docteur??? 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 47

47 Vaccination grippe saisonnière La vaccination concerne les cibles habituelles : les maladies chroniques broncho-pulmonaires (dont l asthme), et cardiaques, les insuffisances rénales, les syndromes néphrotiques, certaines maladies du sang (drépanocytose ), le diabète, les déficits immunitaires cellulaires (chez les sujets infectés par le VIH, l équipe qui suit le patient prend la décision) les enfants séjournant dans des établissements de moyen ou long séjour. Enfin, les enfants recevant un traitement prolongé par aspirine pour syndrome de Kawasaki ou arthrite chronique juvénile. Il faut autour de trois semaines pour que le vaccin produise son effet et protège l organisme 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 48

48 Synthèse et mots clefs BCG : De la naissance à 15 ans chez les enfants à risque DTP : M2.M4. M11. 6ans, 11/13 et 25 ans Coqueluche : rappel à 25 ans (des futurs parents) Hépatite B : débute à 2 mois et peut être réalisée jusqu à 15 ans inclus. À partir de 16 ans chez les personnes exposées Pneumocoque : débute à 2 mois, au-delà de 24 mois dans des situations particulières Méningocoque C : à 12 mois avec un rattrapage jusqu à l âge de 24 ans inclus. ROR : à 12 mois avec rappel entre 16 et 18 mois. Les personnes nées à partir de 1980 doivent avoir eu deux doses Papillomavirus humain (HPV) : chez les jeunes filles à partir de 11 ans avec un rattrapage jusqu à 19 ans révolus. Grippe : chez les enfants à risque à partir de 6 mois 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 49

49 Nous partons en voyage Toute la famille part dans 3 mois en vacances La mère et le père Les 2 enfants de 8 et 14 ans On est sur que le DTP est à jour Alors docteur? 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 50

50 Pour tous et quelle que soit la destination Adultes : mise à jour des vaccinations incluses dans le calendrier vaccinal, notamment contre le tétanos, la poliomyélite et la diphtérie et éventuellement la coqueluche et la rougeole. Enfants : mise à jour des vaccinations incluses dans le calendrier vaccinal français, certaines pouvant être réalisées à un âge plus précoce : ROR à partir de 12 mois Hépatite B dès la naissance si le risque est élevé ; BCG, dès la naissance si l enfant doit séjourner au moins un mois d affilée dans un pays de forte endémie tuberculeuse 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 51

51 Zones d endémie de la fièvre jaune 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 52

52 En fonction de la situation épidémiologique de la zone visitée Fièvre jaune Indispensable pour tout séjour dans une zone endémique même en l absence d obligation administrative. Enfant : La vaccination est possible dès 9 mois (de 6 à 9 mois, uniquement dans des circonstances épidémiologiques particulières, notamment épidémie ou séjour en milieu rural ou en forêt, en zone de transmission). Femme enceinte : La vaccination est déconseillée pendant toute la durée de la grossesse, mais si le séjour ou le voyage en zone d endémie ne peuvent être reportés, elle est alors justifiée, en raison de la létalité élevée de la maladie. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 53

53 Zones de circulation du virus de l encéphalite japonaise 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 54

54 En fonction de la situation épidémiologique de la zone visitée Encéphalite japonaise Séjour en zone rurale plusieurs semaines ou pendant la saison de transmission (saison des pluies), du Pakistan à l Ouest, aux Philippines à l Est, de la Chine au Nord, à l Indonésie au Sud Vaccin disponible uniquement dans les centres agréés de vaccination Possible chez l enfant à partir de l âge de un an (entre 1 et 3 ans : demi-dose). 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 55

55 Encéphalite à tiques 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 56

56 En fonction de la situation épidémiologique de la zone visitée Encéphalite à tiques Séjour en zone rurale ou forestière d endémie en Europe centrale, orientale et septentrionale (en particulier Autriche, Suisse, sud de l Allemagne, Pologne, République Tchèque, Hongrie, Républiques Baltes, ou Fédération de Russie), du printemps à l automne. Il existe désormais une présentation pédiatrique, administrable à partir de 1 an. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 57

57 En fonction de la situation épidémiologique de la zone visitée Infections invasives à méningocoque : Trois vaccins contre les méningocoques sont actuellement disponibles en France La vaccination est recommandée : aux enfants de plus de 2 ans et aux jeunes adultes (de moins de 30 ans) se rendant dans une zone où sévit une épidémie ;. La vaccination par le vaccin tétravalent est exigée par les autorités saoudiennes pour les personnes se rendant au pèlerinage de La Mecque et de Médine; elle doit dater de plus de 10 jours et de moins de trois ans. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 58

58 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 59

59 En fonction des conditions et de la durée du séjour Hépatite A : Pour tout type de séjour dans un pays où l hygiène est précaire, et particulièrement chez le voyageur porteur d une maladie chronique du foie. Peut être faite à partir de l âge de 1 an. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 60

60 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 61

61 En fonction des conditions et de la durée du séjour Fièvre typhoïde : Séjours prolongés ou dans de mauvaises conditions dans des pays où l hygiène est précaire. Enfants : à partir de 2 ans. Hépatite B : En dehors des recommandations du calendrier vaccinal (enfants, professions de santé et/ou conduites à risque), cette vaccination est recommandée pour des séjours fréquents ou prolongés dans les pays à forte prévalence du portage chronique du virus. En cas de départ rapide il existe un protocole accéléré Il existe une présentation enfant. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 62

62 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 63

63 En fonction des conditions et de la durée du séjour Rage à titre préventif : Séjour prolongé ou aventureux et en situation d isolement dans un pays à haut risque (pays en développement, à l exception de quelques îles). Recommandée en particulier chez les jeunes enfants dès l âge de la marche. La vaccination préventive ne dispense pas d un traitement curatif, qui doit être mis en œuvre le plus tôt possible en cas d exposition avérée ou suspectée. 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 64

64 10/11/2014 Pf Gérard Ducos 65

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON 20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES

Plus en détail

Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis

Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis 12/09/2013 2 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012 : Nourrisson 3 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012

Plus en détail

Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.

Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal

Plus en détail

Vaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban

Vaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec

Plus en détail

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013

313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,

Plus en détail

Prévenir... par la vaccination

Prévenir... par la vaccination Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 décembre 2010

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 décembre 2010 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 décembre 2010 MENVEO, poudre et solution pour injection Vaccin méningococcique des groupes A, C, W-135 et Y conjugué B/1 flacon + 1 seringue préremplie (CIP: 360 379-1)

Plus en détail

Vaccination contre la grippe saisonnière

Vaccination contre la grippe saisonnière le point sur risques infectieux > Vaccinations Vaccination contre la grippe saisonnière Questions / Réponses - Professionnels de santé Document élaboré le 14 octobre 2014 1 - Quand a lieu la campagne de

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes

Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction générale de la santé Sous-direction de la prévention des risques infectieux Bureau des maladies infectieuses, des risques

Plus en détail

Vaccinations et milieu professionnel

Vaccinations et milieu professionnel La place de la vaccination dans la prévention des risques infectieux La prévention des risques infectieux au travail ne se réduit pas à la protection vaccinale. La vaccination s inscrit comme une des mesures

Plus en détail

Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS.

Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS. Calendrier des vaccinations et recommandations vaccinales 2015 PROTÉGEONS-NOUS, VACCINONS-NOUS. Sommaire 1. Points-clés sur les nouvelles recommandations 4 2. Recommandations 5 Vaccination des personnes

Plus en détail

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion

Plus en détail

Club Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005

Club Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Club Santé «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Contacts Presse : Florence PARIS Fanny ALLAIRE Tél : 01.39.17.90.85 Fax : 01.39.17.86.56 Adresses e-mail

Plus en détail

Définition de l Infectiologie

Définition de l Infectiologie Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage

Plus en détail

Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse

Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Professeur Emmanuel Grimprel Service de Pédiatrie Générale, Hôpital Trousseau, Paris Université Pierre et Marie Curie, Paris Déclaration

Plus en détail

Guide des vaccinations Édition 2006. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations

Guide des vaccinations Édition 2006. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations Guide des vaccinations Édition 2006 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 200 La vaccination contre les infections invasives à méningocoque Depuis l introduction du vaccin contre

Plus en détail

DES PÈLERINS SE RENDANT À LA MECQUE

DES PÈLERINS SE RENDANT À LA MECQUE DES PÈLERINS SE RENDANT À LA MECQUE Pour accomplir votre pèlerinage, vous devez acheter votre voyage auprès d un opérateur immatriculé au registre des opérateurs de voyages et de séjours tenu par Atout

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE AVIS DU COMITE TECHNIQUE DES VACCINATIONS / DU CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE PUBLIQUE DE FRANCE relatif à la vaccination par le vaccin

Plus en détail

VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES

VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES Infections respiratoires SPIF - 15 Novembre 2014 Patrick Petitpretz Déclaration de liens d'intérêts J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affiliation

Plus en détail

Guide des vaccinations Édition 2012. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations

Guide des vaccinations Édition 2012. Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations Guide des vaccinations Édition 2012 Direction générale de la santé Comité technique des vaccinations 293 Vaccinations pour les personnels de santé INTRODUCTION La vaccination des personnels de santé a

Plus en détail

INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire

INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral

Plus en détail

Pour l'entrée en institut de formation paramédicale

Pour l'entrée en institut de formation paramédicale FORMER Dossier médical Pour l'entrée en institut de formation paramédicale Avril 2015 Aide-soignant-e Auxiliaire de puériculture Infirmier-e Masseur-kinésithérapeute Manipulateur-trice en électroradiologie

Plus en détail

Vaccinations pour les professionnels : actualités

Vaccinations pour les professionnels : actualités Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

Du 20 au 27 avril 2013 Semaine européenne de la vaccination

Du 20 au 27 avril 2013 Semaine européenne de la vaccination Du 20 au 27 avril 2013 Semaine européenne de la vaccination Vaccination : êtes-vous à jour? DOSSIER DE PRESSE Dossier de presse national complété des informations en Vaucluse où la semaine se prolonge

Plus en détail

LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD

LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres

Plus en détail

LA VACCINATION PROFESSIONNELLE

LA VACCINATION PROFESSIONNELLE F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège

Plus en détail

Programme DPC des infirmiers

Programme DPC des infirmiers Catalogue de formations de la FNFCEPPCS pour l année 2015 Programme DPC des infirmiers Le catalogue peut évoluer en cours d année ; nous vous en tiendrons informés. 1 L INFIRMIER DE CENTRE DE SANTÉ FACE

Plus en détail

Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012

Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012 Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012 Conclusions provisoires rapport du HCSP juillet 2011 Valeur prédictive positive des

Plus en détail

Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé

Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,

Plus en détail

Vaccins et chimiothérapies chez l adulte

Vaccins et chimiothérapies chez l adulte Vaccins et chimiothérapies chez l adulte 1 1 Coordination Pr Odile LAUNAY (CIC Vaccinologie, Cochin-Pasteur; Paris), Dr Pierre LOULERGUE (CIC Vaccinologie, Cochin-Pasteur; Paris) Membres du groupe de travail

Plus en détail

Questionnaire Médical

Questionnaire Médical Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant

Plus en détail

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de

Plus en détail

La vaccination, une bonne protection

La vaccination, une bonne protection Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie

Plus en détail

L assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices. Édition 2013

L assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices. Édition 2013 1 L assurance maternité des femmes chefs d entreprises et des conjointes collaboratrices Édition 2013 L assurance maternité Sommaire Les prestations maternité 3 Cas particuliers 8 Le congé paternité 11

Plus en détail

C a p a c i t é d e M é d e c i n e T r o p i c a l e

C a p a c i t é d e M é d e c i n e T r o p i c a l e C a p a c i t é d e M é d e c i n e T r o p i c a l e Etude préalable à la mise en place du carnet de vaccination électronique au Burkina Faso Présenté par MME DELPHINE RUIZ Directeur Pr JEAN-LOUIS KOECK

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron

Plus en détail

Les vaccinations en milieu professionnel

Les vaccinations en milieu professionnel Les vaccinations en milieu professionnel Mise à jour Août 2008 Dans le cadre de la prévention du risque biologique, le code du travail précise, aux articles R.4421-1 et suivants, la démarche d'analyse

Plus en détail

PARTAGER NOTRE PASSION. Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins

PARTAGER NOTRE PASSION. Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins PARTAGER NOTRE PASSION Livret de présentation de la vaccination et de nos vaccins PARTAGER NOTRE PASSION LIVRET DE PRÉSENTATION DE LA VACCINATION ET DE NOS VACCINS Ces hommes qui ont fait l histoire de

Plus en détail

Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012

Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012 Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

AMMA HOSPI-PLAN Déclaration de sinistre

AMMA HOSPI-PLAN Déclaration de sinistre AMMA HOSPI-PLAN Déclaration de sinistre AMMA ASSURANCES a.m. Association Mutuelle Médicale d Assurances entreprise d assurance mutuelle association d assurance mutuelle à cotisations fixes conformément

Plus en détail

Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente

Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Examens périodiques de santé pour tout assuré social (sauf RSI) Les examens périodiques de santé Pour qui? En règle générale Pour tous les assurés sociaux

Plus en détail

DEPLACEMENTS PROFESSIONNELS et EXPATRIATION Aspects pratiques et législatifs

DEPLACEMENTS PROFESSIONNELS et EXPATRIATION Aspects pratiques et législatifs DEPLACEMENTS PROFESSIONNELS et EXPATRIATION Aspects pratiques et législatifs Sabine GENTY Médecin Groupe Technip (secteur International) Ex Prat Att à la Consultation des Voyages Hôpital Avicenne BOBIGNY

Plus en détail

vaccinale en France Mesure de la couverture Bilan des outils et des méthodes en l an 2000

vaccinale en France Mesure de la couverture Bilan des outils et des méthodes en l an 2000 Mesure de la couverture vaccinale en France Bilan des outils et des méthodes en l an 2000 Document préparé par le Comité de pilotage sur la couverture vaccinale en France sous la coordination de l InVS

Plus en détail

Simplification du calendrier vaccinal. Collection Avis et Rapports

Simplification du calendrier vaccinal. Collection Avis et Rapports Simplification du calendrier vaccinal Collection Avis et Rapports Simplification du calendrier vaccinal Rapport 21 décembre 2012 Ce rapport a été adopté par la Commission spécialisée Maladies transmissibles

Plus en détail

vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)

vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

MISE À JOUR SUR L UTILISATION DES VACCINS CONJUGUÉS QUADRIVALENTS CONTRE LE MÉNINGOCOQUE

MISE À JOUR SUR L UTILISATION DES VACCINS CONJUGUÉS QUADRIVALENTS CONTRE LE MÉNINGOCOQUE RELEVÉ DES MALADIES TRANSMISSIBLES AU CANADA RMTC JANVIER 213 VOLUME 39 DCC-1 ISSN 1481-8531 Une déclaration d un comité consultatif (DCC) Comité consultatif national de l immunisation (CCNI) MISE À JOUR

Plus en détail

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la

Plus en détail

Z I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor

Z I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE

Plus en détail

Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI

Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a

Plus en détail

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. 1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises

Plus en détail

D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S

D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les

Plus en détail

+ Questions et réponses

+ Questions et réponses HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de

Plus en détail

Tout savoir sur la vaccination de 0 à 6 ans. Mikalou se fait vacciner

Tout savoir sur la vaccination de 0 à 6 ans. Mikalou se fait vacciner Tout savoir sur la vaccination de 0 à 6 ans Mikalou se fait vacciner Récit Mikalou n a peur de rien Dans le jardin, Mikalou s assoit sur la balançoire. Il n est pas une poule mouillée, et pourtant, il

Plus en détail

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile

Complément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n

Plus en détail

GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE

GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE Vous êtes à la recherche d un médecin de famille? Le CSSS-IUGS peut vous aider. Inscrivez-vous au guichet d accès à un médecin de famille en remplissant le formulaire

Plus en détail

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault

Plus en détail

Item 127 : Transplantation d'organes

Item 127 : Transplantation d'organes Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3

Plus en détail

Parasites externes du chat et du chien

Parasites externes du chat et du chien Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?

Plus en détail

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:

Plus en détail

PROTOCOLE D IMMUNISATION DU QUÉBEC, ÉDITION MAI 2013 Liste des mises à jour d AVRIL 2014

PROTOCOLE D IMMUNISATION DU QUÉBEC, ÉDITION MAI 2013 Liste des mises à jour d AVRIL 2014 PROTOCOLE D IMMUNISATION DU QUÉBEC, ÉDITION MAI 2013 Liste des mises à jour d AVRIL 2014 Mois Année Chapitre Section Sujets : changements - nouveautés Pages à changer Avril 2014 Table des matières Correction

Plus en détail

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on

Plus en détail

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,

Plus en détail

TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE

TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et

Plus en détail

Etes-vous vacciné? La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch

Etes-vous vacciné? La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch Etes-vous vacciné? La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch 0844 448 448 La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch Eliminer la rougeole un objectif international

Plus en détail

Présentation générale du Programme

Présentation générale du Programme Contexte Le Propias fait suite à Plan stratégique national 2009-2013 de prévention des infections associées aux soins Programme national de prévention des infections nosocomiales 2009-2013 (Propin) Programme

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC

Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC 1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur

Plus en détail

DASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006

DASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006 DASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006 Place des Nouveaux Tests de Dosage de L INTERFERON GAMMA dans le diagnostic de la Tuberculose Fadi ANTOUN, Cellule Tuberculose DASES Le Quotidien du Médecin 2005

Plus en détail

«Les antibiotiques c est pas automatique», 12 ans après, quels sont les changements laissés par ce slogan percutant?

«Les antibiotiques c est pas automatique», 12 ans après, quels sont les changements laissés par ce slogan percutant? «Les antibiotiques c est pas automatique», 12 ans après, quels sont les changements laissés par ce slogan percutant? Thèse présentée et soutenue publiquement Le 17 juin 2014 Pour obtenir le Diplôme d État

Plus en détail

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055

Plus en détail

Le don de moelle osseuse :

Le don de moelle osseuse : DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui

Plus en détail

Conseils aux voyageurs

Conseils aux voyageurs Conseils aux voyageurs Informations issues du site du Ministère des Affaires Etrangères en France : http://www.diplomatie.gouv.fr/ Entrée / Séjour : Un visa d entrée est nécessaire pour les ressortissants

Plus en détail

Protégeons-nous ensemble!

Protégeons-nous ensemble! Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en

Plus en détail

Formation d Auxiliaire ambulancier

Formation d Auxiliaire ambulancier Formation d Dossier d inscription Site de Lyon L Ambulancier assure les transports sanitaires et la surveillance de patients stables à bord des Véhicules Sanitaires Légers. Il est le second membre de l

Plus en détail

Recommandations de la Société de Pneumologie de Langue Française sur la prise en charge de la tuberculose en France

Recommandations de la Société de Pneumologie de Langue Française sur la prise en charge de la tuberculose en France Recommandations de la Société de Pneumologie de Langue Française sur la prise en charge de la tuberculose en France Conférence d experts texte court Société de Pneumologie de Langue Française La Société

Plus en détail

AIDE MÉMOIRE DE PROMOTION DU DON DE SANG

AIDE MÉMOIRE DE PROMOTION DU DON DE SANG CENTRE NATIONAL DE TRANSFUSION SANGUINE ---------------------------------- DIRECTION DE LA COMMUNICATION ET DE LA PROMOTION DU DON DE SANG AIDE MÉMOIRE DE PROMOTION DU DON DE SANG Pour vos dons et activités

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SOLIDARITÉS

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SOLIDARITÉS SOLIDARITÉS ETABLISSEMENTS SOCIAUX ET MÉDICO-SOCIAUX MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE Direction générale de la cohésion sociale Service

Plus en détail

PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON

PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON Pourquoi une structure innovante pour jeunes adultes autistes dits «évolués»? L association Sésame-Autisme Rhône-Alpes souhaite offrir aux

Plus en détail

Etablissement Français du Sang

Etablissement Français du Sang Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité

Plus en détail

LA CAISSE PRIMAIRE D ASSURANCE MALADIE (CPAM) COMMENT ÇA MARCHE?

LA CAISSE PRIMAIRE D ASSURANCE MALADIE (CPAM) COMMENT ÇA MARCHE? LA CAISSE PRIMAIRE D ASSURANCE MALADIE (CPAM) COMMENT ÇA MARCHE? La CPAM (sécurité sociale) permet d être remboursé entre 15 et 100% en fonction des soins donnés. Une mutuelle peut prendre en charge le

Plus en détail

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008 Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas

Plus en détail

Assurance maladie grave

Assurance maladie grave ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès

Plus en détail

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller

Plus en détail

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît

Plus en détail

LES HEPATITES VIRALES

LES HEPATITES VIRALES LES HEPATITES VIRALES Infect virales atteignant préférentiellement le foie avec lés inflammatoires, altérat hépatocytaire (cytolsye hépatique) et élévat des transaminases. Etiolo gie Transm ission Contam

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

L ANGINE. A Epidémiologie :

L ANGINE. A Epidémiologie : L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable

Plus en détail

RESTAURANT SCOLAIRE MACOT ET LA PLAGNE LA PLAGNE Tél. 04.79.06.87.62 MACOT : Tél. 04.79.08.97.83

RESTAURANT SCOLAIRE MACOT ET LA PLAGNE LA PLAGNE Tél. 04.79.06.87.62 MACOT : Tél. 04.79.08.97.83 REGLEMENT INTERIEUR Les services de cantines scolaires, qui n ont pas de caractère obligatoire, ont pour but, de permettre la restauration des enfants scolarisés, dont les parents travaillent. Les enfants

Plus en détail

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6

Plus en détail