BIDC, au cœur du développement de l Afrique de l Ouest
|
|
- François-Xavier Déry
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LA BIDC EN BREF BIDC, au cœur du développement de l Afrique de l Ouest
2 TABLE DES MATIERES RAPPEL HISTORIQUE 2 PROFIL PRESENTATION VISION MISSION CAPITAL OBJET SOCIAL DOMAINES D INTERVENTION CRITERES D INTERVENTION Bénéficiaires des interventions Conditions générales applicables Monnaie Montant Taux d intérêt Commission Durée Introduction de la requête de financement ORGANISATION ET GESTION 7 ENJEUX MOBILISATION DES RESSOURCES FINANCIERES ET 7 ENGAGEMENTS 2 - DEVELOPPEMENT DU SECTEUR PUBLIC ET PROMOTION DU SECTEUR PRIVE LUTTE CONTRE LA PAUVRETE LA BIDC ET LE NEPAD 9 PERSPECTIVES 10 INFORMATION 10 1
3 RAPPEL HISTORIQUE Créée le 28 mai 1975 afin de du Fonds de la CEDEAO en une promouvoir la coopération et société holding régionale dénommée l intégration des pays de l Afrique de Banque d investissement et de l Ouest, la Communauté économique développement de la CEDEAO (BIDC) des Etats de l Afrique de l Ouest avec deux filiales spécialisées, le (CEDEAO) comprend actuellement Fonds régional de développement de quinze (15) Etats membres que sont la CEDEAO (FRDC) et la Banque le Bénin, le Burkina-Faso, le Cap Vert, régionale d investissement de la la Côte d Ivoire, la Gambie, le Ghana, CEDEAO (BRIC). Le groupe de la la Guinée, la Guinée-Bissau, le BIDC est devenu opérationnel en Libéria, le Mali, le Niger, le Nigeria, le Sénégal, la Sierra Léone et le Togo. Le Traité portant création de la CEDEAO Dans l optique de favoriser la institua également le Fonds de concentration des activités du groupe coopération, de compensation et de de la BIDC, de manière à rationaliser développement de la CEDEAO (Fonds les charges d exploitation, la de la CEDEAO) en tant qu instrument Conférence des Chefs d Etat et de financier de la Communauté. Il est Gouvernement de la CEDEAO a devenu opérationnel en décidé de sa réorganisation en une structure unique le 14 juin Afin de renforcer les ressources financières du Fonds à travers Ces réformes institutionnelles et l ouverture de son capital aux stratégiques successives ont pour but partenaires non-régionaux, la fondamental de permettre à la BIDC Conférence des Chefs d Etat et de d atteindre ses objectifs et Gouvernement, en sa vingt-deuxième d accomplir convenablement la session tenue les 09 et 10 décembre mission qui lui a été assignée par les 1999, a décidé de la transformation instances de la CEDEAO. Sénégal Gambie Cap Vert Guinée Bissau Guinée Bénin 2
4 PROFIL 1- PRESENTATION La BIDC est une institution financière internationale instituée par l article 21 nouveau du Traité révisé tel qu amendé par l Acte additionnel A/SA.9/01/07 du 19 janvier Elle comprend deux guichets dont l un est destiné à la promotion du secteur privé et l autre au développement du secteur public. Siège de la BIDC à Lomé (Togo) de richesse et de promotion de l emploi en vue du bien être des Son objectif essentiel est de populations de la région. contribuer à l essor économique de l Afrique de l Ouest à travers le 3 - MISSION financement des projets et programmes de la CEDEAO et du Contribuer à la création des NEPAD (Nouveau partenariat pour le conditions permettant l éclosion développement de l Afrique) qui sont, d u n e A f r i q u e d e l O u e s t entre autres, les programmes relatifs é c o n o m i q u e m e n t f o r t e, au transport, à l énergie, à la i n d u s t r i a l i s é e, p r o s p è r e e t télécommunication, à l industrie, à la parfaitement intégrée tant au plan réduction de la pauvreté, à interne que par rapport au système l environnement et aux ressources économique mondial, afin de profiter naturelles. des opportunités offertes par la mondialisation. 2 - VISION 4 - CAPITAL Faire de la BIDC la première banque régionale de financement de Le capital initial autorisé de la BIDC l i n v e s t i s s e m e n t e t d u est de 603 millions d unités de développement en Afrique de 1 compte (UC) soit environ 750 l Ouest, une puissante institution millions de dollars EU. Ce capital financière de promotion et de est détenu à 67% par les membres financement du secteur privé dans la régionaux et offert à 33% à la région, un véritable instrument de souscription des membres non lutte contre la pauvreté, de création régionaux. 1 L unité de compte équivaut au droit de tirage spécial (DTS) du Fonds monétaire international (FMI). 3
5 Les membres régionaux sont les Etats membres de la CEDEAO. Les membres non régionaux sont les Etats et les autres personnes morales n appartenant pas à la Communauté. 5 - OBJET SOCIAL La BIDC a pour objet : d accorder des prêts et garanties de développement ; pour le financement de projets et programmes d investissement de recevoir et de gérer la part de r e l a t i f s a u d é v e l o p p e m e n t r e s s o u r c e s d u p r é l è v e m e n t économique et social des Etats communautaire destinées au membres ; financement des actions de développement de la Communauté ; de mobiliser à l intérieur et hors de la Communauté des ressources de gérer tous fonds spéciaux de destinées au financement de ses la Communauté relatifs à son objet ; p r o j e t s e t p r o g r a m m e s d investissement ; de mener toute activité commerciale, industrielle ou agricole, de fournir l assistance technique dans la mesure où celle-ci serait qui peut être nécessaire au sein de la accessoire à son objet ou nécessaire Communauté pour l étude, la au recouvrement de ses créances. préparation, le financement et l exécution de projets et programmes Dans le cadre de son objet social, la banque coopère avec les organismes nationaux et sous-régionaux de développement opérant dans la Communauté. Aux mêmes fins, elle coopère avec d autres organisations internationales ayant un but analogue et avec d autres institutions s intéressant au développement de la Communauté. 4
6 6 - DOMAINES D INTERVENTION minière, autres industries, transfert d e t e c h n o l o g i e, i n n o v a t i o n Les domaines d intervention de la technologique) ; BIDC sont les suivants : services (services financiers, infrastructures et équipements de services relatifs aux technologies de base relatifs au transport, à l énergie l information, ingénierie, hôtellerie, et aux télécommunications (routes, etc.). ouvrages d art, chemins de fer, infrastructures portuaires et 7 - CRITERES D INTERVENTION aéroportuaires, infrastructure de production, de transport et de 7.1. Bénéficiaires des interventions distribution d énergie, dispositifs de télécommunication) ; Sont éligibles à l assistance financière et technique de la BIDC : d é v e l o p p e m e n t r u r a l e t environnement (irrigation, contrôle Les Etats membres de la CEDEAO des crues, hydraulique rurale, ou leurs démembrements ; agriculture, élevage, pêche, p r o t e c t i o n d e l é c o s y s t è m e, Les entreprises publiques et renforcement des capacités) ; privées ainsi que les sociétés d économie mixte des Etats membres; secteur social (formation professionnelle, éducation, santé, appui à la décentralisation, équipements municipaux) ; industrie (agro-industrie, industrie Les institutions financières locales ; L e s p e r s o n n e s m o r a l e s ressortissantes de la CEDEAO ou étrangères, désireuses d investir dans la zone CEDEAO, dans des opérations relevant des domaines d intervention de la BIDC Conditions générales applicables Monnaie Le montant des prêts est exprimé en u n i t é d e c o m p t e ( U C ). Exceptionnellement, il peut l être en 5
7 monnaie locale si les ressources sont levées localement. Le montant des garanties émises ou reçues par la BIDC est exprimé dans la monnaie de l opération garantie. La commission de dossier, les intérêts et les autres commissions sont exprimés dans la monnaie du prêt, de la garantie ou de la contre garantie selon le cas. 6,5% et 12% l an Montant Le niveau d intervention par opération de prêt de la Banque est fixé comme suit : 1 million d UC au minimum ; Les taux sont fixés de manière à assurer l équilibre financier de l institution tout en offrant aux emprunteurs, des conditions de faveur. Ils sont revus périodiquement en fonction de l évolution des perspectives financières de la Banque et des tendances du marché. 10 millions d UC au maximum, lorsque le projet est d envergure Commission nationale ; La commission d engagement sur 15 millions d UC au maximum, prêt varie de 0,5% à 0,75% l an. La lorsque le projet est d envergure commission d engagement par régionale. signature est comprise dans une fourchette de 1,5% à 5% l an. La Taux d intérêt commission de dossier est de 1% flat. Les autres commissions sont Les taux d intérêt de la BIDC sont négociées au cas par cas. appliqués en fonction de la nature des projets et de leur rentabilité. Ils Durée varient entre 1,5% et 4% l an pour les projets du secteur public. La durée des prêts est déterminée en fonction de la nature des projets et de Pour les projets relevant du secteur leur rentabilité. Les prêts consentis privé les taux sont compris entre par la BIDC peuvent être à : 6
8 Le Conseil des gouverneurs est l instance suprême de prise de décision. Il détient tous les pouvoirs de contrôle en matière de gestion, de fonctionnement et d administration. Le Conseil d administration est responsable de la conduite des opérations générales de la Banque. court terme (de 0 à 2 ans) ; La gestion courante de la BIDC relève de la compétence de son Président dont les pouvoirs sont définis par les Statuts. Il est assisté de deux Vice- Présidents, l un étant chargé des opérations et l autres des finances et des services institutionnels. moyen terme (de 2 à 7 ans); long terme (plus de 7 ans). Au besoin, la Banque peut accorder un différé d amortissement du capital du prêt Introduction de la requête de financement Les requêtes de financement sont adressées au Président de la BIDC. 8 - ORGANISATION ET GESTION Les instances de décision de la BIDC sont : Le Conseil des Gouverneurs ; Le Conseil d Administration ; Le Président. ENJEUX 1 - MOBILISATION DES RESSOURCES FINANCIERES ET ENGAGEMENTS La mobilisation des ressources financières internes et externes revêt une importance capitale pour la BIDC car ce n est que par ce processus qu elle pourra donner l impulsion n é c e s s a i r e à s e s a c t i v i t é s opérationnelles et accomplir convenablement la mission qui lui est assignée à savoir la contribution au développement et à l intégration des Etats membres de la Communauté à travers le financement des projets et programmes de développement définis par celle-ci. 7
9 Ce processus constitue un défi majeur que l Institution devra relever, en considérant d une part le niveau de ses engagements et d autre part, les besoins de financement des projets et programmes prioritaires de la CEDEAO et du NEPAD ainsi que des projets et programmes propres à chacun des quinze pays membres de la CEDEAO. Le Plan stratégique de la BIDC présente le programme prévisionnel d octroi de financements ci-après: 2 - DEVELOPPEMENT DU SECTEUR PUBLIC ET PROMOTION DU SECTEUR PRIVE Les domaines d intervention de la BIDC cités plus haut, couvrent aussi bien le secteur public que privé. Dans ses interventions au profit du secteur public, La BIDC accorde la priorité aux projets d infrastructures économiques de base. En effet, les infrastructures économiques de base dont la construction incombe aux Etats, constituent des supports à la Engagements directs Engagements par signature Total ,24 25,56 139,80 Les montants sont exprimés en millions d UC De 2007 à 2011, la BIDC compte prendre de nouveaux engagements à hauteur de 832,57 millions d UC, soit environ 1 276,93 millions de dollars EU au titre des prêts directs et des garanties pour la réalisation des projets et programmes relevant de ses domaines d intervention. La réalisation de ces prévisions portera les engagements cumulés de la Banque à plus de 1 017,53 millions d UC, soit environ 1 560,61 millions de dollars EU en fin ,84 10,80 169, ,57 21,60 157, ,32 21,60 181, ,44 21,60 184,04 Total 731,41 101,16 832,57 production. Elles contribuent à la réduction des coûts des facteurs et au renforcement de la compétitivité du secteur privé, ce dernier étant le catalyseur de la croissance, de la création d emplois et de richesses dans les Etats. En ce qui concerne le secteur privé, la B I D C s e f o c a l i s e s u r l e développement des capacités de production ainsi que l amélioration de la qualité, de la compétitivité et la diversification des industries et des services. 8
10 3 - LUTTE CONTRE LA PAUVRETE 4 LA BIDC ET LE NEPAD En sa qualité d institution financière de développement, la BIDC fait de la lutte contre la pauvreté l une de ses priorités, afin de permettre aux Etats membres de la Communauté d atteindre les OMD (Objectifs du Millénaire pour le Développement). La stratégie de la BIDC en matière de réduction de la pauvreté consiste d une part à mettre l accent sur le f i n a n c e m e n t d e s p r o j e t s d infrastructures économiques de base et des projets relevant des secteurs social, du développement rural et de l environnement, conformément au DSRP régional (document de stratégie de réduction de la pauvreté) et, d autre part, à mobiliser auprès des bailleurs de fonds des ressources financières prévues à cet effet, sous forme de dons, de subventions, de lignes de crédit ou de fonds spéciaux. Les interventions de la BIDC en faveur des Etats se font soit par financement direct des projets, soit par financement indirect par le biais de structures intermédiaires telles que l e s o r g a n i s a t i o n s n o n gouvernementales (ONG), les associations, les organisations de microfinance, les banques locales, etc. LA CEDEAO ayant été désignée comme agence d exécution du Plan d actions pour la mise en œuvre du NEPAD en Afrique de l Ouest, la BIDC en tant que bras financier de la CEDEAO, devient de fait l une des institutions de financement du NEPAD pour l Afrique de l Ouest. ATOUTS La BIDC est une institution financière internationale qui a été créée par la CEDEAO et bénéficie de ce fait de son appui. La BIDC intervient dans la zone CEDEAO, qui s étend aux quinze Etats membres, sur plus de 6 millions de km2 avec une population de plus de 232 millions d habitants. Ce marché est porteur, avec des besoins en f i n a n c e m e n t d e p r o j e t s d e développement considérables. La BIDC fonctionne selon les normes internationales et offre un cadre p r o p i c e e t s û r p o u r l e s investissements dans les quinze Etats membres de la CEDEAO. 9
11 PERSPECTIVES Conformément à sa politique de développement et à sa vision, les enjeux auxquels la BIDC devra faire face sont de taille. Il s agit essentiellement de la mobilisation de ressources financières substantielles, de l intensification des activités opérationnelles relatives au f i n a n c e m e n t d e p r o j e t s e t programmes, relevant aussi bien du secteur public que privé ainsi que du renforcement de sa crédibilité au sein de la communauté financière toute entière. Pour ce faire, elle bénéficie de l appui de la CEDEAO et d une zone d intervention couvrant quinze pays de l Afrique de l Ouest où les besoins en financement de projets de développement sont importants. Elle compte également à son actif, la croissance soutenue de ses activités, ainsi que l intérêt de plus en plus prononcé que lui portent les bailleurs de fonds, ce qui augure de bonnes perspectives financières. INFORMATION Pour plus d informations, veuillez nous contacter à l adresse suivante: 128, Boulevard du 13 janvier, BP Lomé République Togolaise Tél. : (00228) Fax : (00228) Site Internet : bidc@bidc-ebid.org 10
TERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES
TERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES Avril 2014 TDR pour le renforcement du Service Juridique de la BIDC Page - 1 - I. CONTEXTE ET JUSTIFICATION La BIDC,
Plus en détailGUIDE PRATIQUE des opérateurs privés. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
GUIDE PRATIQUE des opérateurs privés Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT BOAD - Guide pratique GUIDE PRATIQUE DESTINE AUX OPERATEURS ECONOMIQUES PRIVES 1. PRESENTATION La Banque Ouest
Plus en détailAtelier sur le Financement de la Filière Coton en Côte d'ivoire: Création d'un Fonds de Garantie
Atelier sur le Financement de la Filière Coton en Côte d'ivoire: Création d'un Fonds de Garantie René AZOKLY/ Président du Fonds International de Garantie Les Fonds de Garantie en Afrique de l'ouest: Particularités,
Plus en détailla solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire
la solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire HISTORIQUE Le Centre pour le Développement des Exportations Africaines CEDEXA S.A. CEDEXA
Plus en détailBOAD en Bref. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
BOAD en Bref Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT LA BANQUE OUEST AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT EN BREF 1. CRÉATION ET OBJET La Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) est l institution
Plus en détailDocteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV
Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV 1 CONTEXTE EN ALGERIE Recrudescence des TIA HACCP obligatoire depuis 2010 Mise à niveau
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE UEMOA OUEST AFRICAINE ----------- CONFERENCE DES CHEFS D ETAT ET DE GOUVERNEMENT
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE UEMOA OUEST AFRICAINE ----------- CONFERENCE DES CHEFS D ETAT ET DE GOUVERNEMENT TRAITE PORTANT CREATION DU PARLEMENT DE L UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE PREAMBULE
Plus en détailREGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI)
REGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI) 1. PRESENTATION DU PROGRAMME Le Fonds Français pour l Environnement Mondial (FFEM) lance une quatrième phase du Programme
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CONSULTANT / INFORMATICIEN EN CONCEPTION DE BASE DE DONNEES.
TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CONSULTANT / INFORMATICIEN EN CONCEPTION DE BASE DE DONNEES. Recruté par la Banque de Développement Autrichienne (OeEB) mai 2014 CONTEXTE / JUSTIFICATION La
Plus en détailConnaissances et compétences requises : coordonnées géographiques, réflexion critique, recherche de documentation, rédaction, support cartographique.
Activité : «Mais où est donc..?» Afrique Géographie : problématique de la faim. Age : 10-13 ans Outil pédagogique développé par l équipe jeunesse du PAM. Résumé Connaissances et compétences requises :
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un comptable, d un assistant administratif et un chauffeur
AFRISTAT PROGRAMME DE COMPARAISON INTERNATIONALE-AFRIQUE Termes de référence pour le recrutement d un comptable, d un assistant administratif et un chauffeur Contexte Au cours de l année 2004, AFRISTAT
Plus en détailProfils-pays de la fiscalité des produits du tabac dans la CEDEAO : SYNTHÈSE RÉGIONALE. Abidjan, Côte d Ivoire, 12 Février 2014
Profils-pays de la fiscalité des produits du tabac dans la CEDEAO : SYNTHÈSE RÉGIONALE Abidjan, Côte d Ivoire, 12 Février 2014 Objectifs et Enjeux Objectifs Décrire et analyser les fondements, la pratique
Plus en détailFiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA
Fiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA Dr Amadou Moctar MBAYE & Gérard FOULON Direction santé - Département du Développement Social 2ème Colloque
Plus en détailPrésenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq
Plus en détailLA BEI EN AFRIQUE DE L OUEST
LA BEI EN AFRIQUE DE L OUEST APPUI AU DEVELOPPEMENT DU SECTEUR PRIVE BEI Bureau Régional Afrique de l Ouest Cotonou, 16 décembre 2014 1 1 La BEI Instruments et Conditions 2 Activité et portefeuille 3 Stratégie
Plus en détailPARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE
PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan
Plus en détailMinistère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM)
Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM) FICHE SYNOPTIQUE DE PRESENTATION DU PN-PTFM I. INFORMATIONS
Plus en détailAVIS DE RECRUTEMENT UN(E) ASSISTANT(E) TRESORIER(E) GROUPEMENT INTERBANCAIRE MONETIQUE DE TERMES DE REFERENCE
Lot P 10, Ouest Foire, Route de l Aéroport - BP : 8853 Dakar Yoff Tél : (221) 33 869 95 95 Fax : (221) 33 820 54 65 Email: gim-uemoa@gim-uemoa.org - Site Web: www.gim-uemoa.org AVIS DE RECRUTEMENT UN(E)
Plus en détailETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR
BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L AFRIQUE DE L OUEST (BCEAO) Avenue Abdoulaye FADIGA BP 3108 Dakar - Sénégal ETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR LES SYSTÈMES FINANCIERS DÉCENTRALISÉS DE L UEMOA RAPPORT DE
Plus en détailRapport de fin du Programme
Observatoire Economique et Statistique d Afrique Subsaharienne Département des Affaires Economiques et Sociales du Secrétariat Général des Nations Unies Programme des Nations Unies pour le Développement
Plus en détailProtocole d Accord de Coopération. Entre. Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS)
COMITE PERMANENT INTER-ETATS DE LUTTE CONTRE LA SECHERESSE DANS LE SAHEL AGENCE PANAFRICAINE DE LA GRANDE MURAILLE VERTE Protocole d Accord de Coopération Entre Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un consultant en communication
Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication A. Contexte La Conférence des Ministres de l Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) est une organisation
Plus en détailINCITATIONS FISCALES EN AFRIQUE DE L'OUEST
4 INCITATIONS FISCALES EN AFRIQUE DE L'OUEST Cette partie du rapport procède à une brève analyse d'une autre opportunité manquée d'accroître la base fiscale dans l'espace CEDEAO : les avantages fiscaux.
Plus en détailBAREME GENERAL DES CONDITIONS APPLICABLES A LA CLIENTELE
BAREME GENERAL DES CONDITIONS APPLICABLES A LA CLIENTELE A PARTIR DU 1ER JUIN 2008 (Document non limitatif et modifiable) 2 I - OUVERTURE DE COMPTE Compte épargne Marina : 100.000 FCFA Dantokpa, Jéricho,
Plus en détailPrésenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
PERSPECTIVES DES MARCHES D ASSURANCES AFRICAINS Présenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème qui nous a été confié porte sur les
Plus en détailL Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)
L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE
Plus en détailet à Hammamet (en Tunisie) 4, en mars 2013. Ces consultations ont été complétées par une enquête en ligne 5 amorcée en 2011.
Document final des consultations régionales sur le programme de développement après-2015 Contexte Partout dans le monde, les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) ont généré des actions de
Plus en détailAmeth Saloum NDIAYE. Colloque régional UEMOA-CRDI 2009 1
Ameth Saloum NDIAYE CEPOD, Ministère de l Economie et des Finances, Sénégal Colloque régional UEMOA-CRDI, Ouagadougou, Burkina Faso, 8-10 décembre 2009 1 Problématique et justification Objectifs du papier
Plus en détailC est quoi le District Health Information Software 2?
Introduction Actions entreprises C est quoi le Health Information Software 2? Avantages Inconvénients Conclusion Le système d information sanitaire est l un des piliers du Système de Santé Il contribue
Plus en détailMécanisme de Fonds Commissionnés pour la Recherche Agricole Appel à Propositions de Projets (PP)
Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles West and Central African Council for Agricultural Research and Development Mécanisme de Fonds Commissionnés pour la Recherche
Plus en détailINSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE
INSTRUCTION N 002 RELATIVE AUX NORMES PRUDENTIELLES DES COOPERATIVES D EPARGNE ET DE CREDIT AINSI QUE DES INSTITUTIONS DE MICRO FINANCE La Banque Centrale du Congo, Vu la loi n 005/2002 du 07 mai 2002
Plus en détailI. Les entreprises concernées et l opération
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 10-DCC-172 du 29 novembre 2010 relative à la prise de contrôle exclusif de la société Crédit Foncier et Communal d Alsace et de Lorraine Banque par la société Crédit Mutuel
Plus en détailLE FONDS NATIONAL DE GARANTIE
LE FONDS NATIONAL DE GARANTIE Le fonds National de Garantie a été institué par la loi n 100 du 31 décembre 1981 portant loi de Finances pour la gestion 1982, article 73 tel que modifié par l article 66
Plus en détailPage 02 Page 05 Page 08 Page 11 Page 13 Page 15 Page 17 Page 20 Page 28 Page 32 Page 34 Page 36 Page 37
Livret pour l Assainissement en Milieu Rural ²²² Communes de Ngogom et de Gainte Kaye Plan du livret Page 02 Présentation du projet Page 05 La mise en œuvre du service public d assainissement Page 08 L
Plus en détailProgramme statistique du Secrétariat Exécutif de la CEDEAO
COMMUNAUTE ECONOMIQUE DES ETATS DE L=AFRIQUE DE L=OUEST ECONOMIC COMMUNITY OF WEST AFRICAN STATES Réunion de lancement du programme de comparaison Internationale pour l Afrique Addis Abéba, 2-4 décembre
Plus en détailAGENCE FRANCAISE DE DEVELOPPEMENT. Commission de l UEMOA
NCO NOTE DE COMMUNICATION PUBLIQUE D OPERATION AGENCE FRANCAISE DE DEVELOPPEMENT Commission de l UEMOA Projet d appui à l extension de la couverture du risque maladie dans les États membres de l UEMOA
Plus en détailNote Simplifiée. UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------ PROJET D APPUI A L EXTENSION DE LA COUVERTURE DU RISQUE MALADIE DANS LES PAYS MEMBRES DE L UEMOA Note Simplifiée
Plus en détailrapport annuel D activites 2011
73 OBJECTIF OPÉRATIONNEL 3 ASSURER EFFICACEMENT LE SUIVI DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS INTERNATIONALES ET ORGANISMES DE COOPÉRATION A CARACTÈRE ÉCONOMIQUE ET FINANCIER & & & Le dispositif de suivi
Plus en détailSELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA
TERMES DE REFERENCE SELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA TDR : REFERENTIELS ET PROCEDURES
Plus en détailS.A.E.I.F - Bureau d Études
La société Africaine d Études & d Ingénierie Financière est un bureau d Études multidisciplinaire qui travaille depuis 1997 dans le domaine de l appui au développement en Afrique. La SAEIF Bureau d Études
Plus en détailINVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.
INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES
Plus en détailEdy K. ANTHONY Secrétariat Exécutif, OCAL
PRESENTATION DU PROJET/PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT PAR L'OCAL Edy K. ANTHONY Secrétariat Exécutif, OCAL Tunis, 22 24 Avril 2014 SOMMAIRE Introduction ti OCAL Expériences Description du projet Cadre de mise
Plus en détailRENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL
RENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL Project type: Secondary project type: Geographical coverage: Executing
Plus en détailOFFICE TOGOLAIS DES RECETTES Commissariat Général REPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberté Patrie
OFFICE TOGOLAIS DES RECETTES.. Commissariat Général. Commissariat des Services Généraux REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberté Patrie Sollicitation publique de manifestations d intérêt AMI N 01/2014/CG/CSG/DRHFP
Plus en détailPROGRAMME BOURSES D'ETUDES ET DE STAGES «HORS PROJET»
PROGRAMME BOURSES D'ETUDES ET DE STAGES «HORS PROJET» Cette brochure présente les différentes possibilités de financement octroyées par l Agence belge de développement aux ressortissants maliens qui désirent
Plus en détailPLAN R E V A RETOUR VERS L AGRICULTURE
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------ MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L HYDRAULIQUE RURALE ET DE LA SECURITE ALIMENTAIRE ------------ NOUVELLE ORIENTATION DE LA POLITIQUE AGRICOLE
Plus en détailPLAN D'ACTION POUR UNE GESTION APAISEE DE LA TRANSHUMANCE TRANSFRONTALIERE ENTRE LE SAHEL ET LA COTE
1 PLAN D'ACTION POUR UNE GESTION APAISEE DE LA TRANSHUMANCE TRANSFRONTALIERE ENTRE LE SAHEL ET LA COTE 1. LE RENFORCEMENT DE LA COMPLEMENTARITE DES ACTIVITES AGRICOLES ET D'ELEVAGE, UN LEVIER VITAL POUR
Plus en détailOrganisation africaine de la Propriété Intellectuelle ***************
Organisation africaine de la Propriété Intellectuelle *************** 2 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION... 3 I PRESENTATION DE L OAPI... 4 II TERRITOIRE OAPI... 4 III - GENERALITES... 5 IV - DE LA CONSTITUTION
Plus en détailINTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général --------
INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général -------- Colloque UEMOA-CRDI, du 08-10 Décembre 2009, Ouagadougou Samuel T. KABORE; Dieudonné OUEDRAOGO,
Plus en détailAUTORITÉ DU BASSIN DU NIGER (ABN)
Langue: Français Original: Français Diffusion: Restreinte AUTORITÉ DU BASSIN DU NIGER (ABN) PROGRAMME INTÉGRÉ DE DÉVELOPPEMENT AGRICOLE ET D ADAPTATION AU CHANGEMENT CLIMATIQUE DANS LE BASSIN DU NIGER
Plus en détailPopulation : 20.3 millions Taux de croissance PIB: 9,4% (2013)
Disclaimer : Cette fiche pays ne constitue qu un outil de base destiné à présenter aux lecteurs une synthèse globale des régimes juridiques et fiscaux des entreprises d investissement à capital fixe. Elle
Plus en détailRÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013
RÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013 [Include National Partner logo] www.afrobarometer.org www.crop-africa.org 1 [Include National Partner logo] Afrobaromètre:
Plus en détailÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 25 AVRIL 2015. Pour l unité, pour le progrès, pour le Togo, je vote
ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 25 AVRIL 2015 Pour l unité, pour le progrès, pour le Togo, je vote Chers Citoyens, Chers Compatriotes, Ce 25 avril 2015, notre pays sera appelé à élire la personnalité la plus apte
Plus en détaildemain Aujourd hui ACDIC A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS
ACDIC Aujourd hui & demain A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS D. QUATRE THEMES D ACTIONS PRIORITAIRES E. NOS AMBITIONS
Plus en détailPROGRAMME D APPUI A MAÎTRISE D OUVRAGE DES ADMINISTRATIONS DU SECTEUR RURAL MINADER-MINEPIA (AMO) PHASE II 2013-2016 FINANCEMENT C2D
MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL MINISTERE DE L ELEVAGE, DES PÊCHES ET DES INDUSTRIES ANIMANES PROGRAMME D APPUI A MAÎTRISE D OUVRAGE DES ADMINISTRATIONS DU SECTEUR RURAL MINADER-MINEPIA
Plus en détailTITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)
TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en
Plus en détailNOVEMBRE 2013. Dossier de presse. Société Générale, 1 er réseau de banque universelle. en Afrique au service des Entreprises
NOVEMBRE 2013 Dossier de presse Société Générale, COMMUNIQUÉ DE PRESSE Casablanca, le 21 novembre 2013 Présent dans 16 pays africains, le groupe Société Générale présente un positionnement unique, qui
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un Assistant pour la gestion des bases de données
Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles West and Central African Council for Agricultural Research and Development Termes de référence pour le recrutement d un
Plus en détailMANUEL DE SUIVI-EVALUATION
Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles West and Central African Council for Agricultural Research and Development MANUEL DE SUIVI-EVALUATION Unité de Panification
Plus en détailHarmonisation fiscale dans les pays de la Zone Franc
Commission juridique et fiscale Harmonisation fiscale dans les pays de la Zone Franc Réunion du 3 février 2010 au Cabinet CMS Bureau Francis Lefebvre CEMAC = 40,11 millions habitants UEMOA = 92,087 millions
Plus en détailLa version 3.0 de Corman S
La version 3.0 de Corman S 0. Généralités Versions précédentes : Version 1.0, développée sur plate-forme MS-DOS, et exploitée de 1996 à 1999 sur un réseau local Novell NetWare Version 2.0, développée sur
Plus en détailNOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant
Plus en détailPrésentation de la GUINEE au séminaire régional de l'afritac OUEST sur le thème "Gestion des Crises Bancaires et Politiques de Restructuration"
1 SOMMAIRE 1. Crise bancaire : contexte sociopolitique 2. Résolution des crises 3. Situation du système bancaire 4. Vulnérabilités 2 I. CRISES BANCAIRES : CONTEXTE SOCIOPOLITIQUES A l accession de la Guinée
Plus en détailROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES
ROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES www.oc.gov.ma 2007 La reproduction des informations contenues dans la présente publication est autorisée sous réserve d en mentionner expressément la source. 1 TABLE
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Décret n o 2014-444 du 29 avril 2014 relatif au fonds de soutien aux collectivités territoriales et à certains
Plus en détailSITUATION DES SERVICES FINANCIERS VIA LA TELEPHONIE MOBILE DANS L UEMOA
SITUATION DES SERVICES FINANCIERS VIA LA TELEPHONIE MOBILE DANS L UEMOA Année 2014 DIRECTION GENERALE DES OPERATIONS ET DES ACTIVITES FIDUCIAIRES Direction des Systèmes et Moyens de Paiement SITUATION
Plus en détailJOURNAL OFFICIEL DU SENEGAL
1 sur 6 12.11.2010 16:41 JOURNAL OFFICIEL DU SENEGAL LOI D ORIENTATION n 2008-29 du 28 juillet 2008 LOI D ORIENTATION n 2008-29 du 28 juillet 2008 relative à la promotion et au développement des petites
Plus en détailPRESENTATION AFD- juin 2004
PRESENTATION AFD- juin 2004 Présentation de FINADEV Bénin- Groupe FINANCIAL AFD Paris - juin 2004 1 1. PRESENTATION GENERALE Si vous le permettez, avant de vous exposer la situation de FINADEV BENIN, première
Plus en détailCURRICULUM VITAE. 26 mai 1963 à Diourbel (Sénégal) Directeur Général de GMC www.gmcconseils.com
CURRICULUM VITAE NOM GAYE PRENOM Magaye NE LE 26 mai 1963 à Diourbel (Sénégal) NATIONALITE Sénégalaise SITUATION DE FAMILLE Marié ADRESSE Cices foire n 232 Dakar Sénégal TELEPHONE Bureau 221 77 245 07
Plus en détailFinlande. Extrait de : Statistiques bancaires de l'ocde : Notes méthodologiques par pays 2010
Extrait de : Statistiques bancaires de l'ocde : Notes méthodologiques par pays 2010 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/bank_country-200-fr Merci de citer ce chapitre comme suit : OCDE
Plus en détailINDICATIONS COMPLÉMENTAIRES
eduscol Sciences économiques et sociales - Première ES Science économique 4. La monnaie et le financement Ressources pour le lycée général et technologique Fiche 4.3 : Qui crée la monnaie? INDICATIONS
Plus en détailLa Nouvelle politique de la monnaie et de crédit de la Banque Centrale de Etats de l Afrique de l Ouest
La Nouvelle politique de la monnaie et de crédit de la Banque Centrale de Etats de l Afrique de l Ouest Par : Union Monétaire Ouest Africaine Publication : Octobre 1989 17 pages Depuis le 1er juillet 1975,
Plus en détailREPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION
REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET
Plus en détailBanque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013
Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer
Plus en détailLa cotation Banque de France
ENTREPRISES PROFESSION BANCAIRE La cotation Banque de France Guide de référence 2011 Une référence pour le dialogue entre la banque et l entreprise Sommaire LA COTATION BANQUE DE FRANCE 1.1. UNE COTATION
Plus en détailFonds. Soutien aux Entreprises en Afrique
Fonds d Investissement et de Soutien aux Entreprises en Afrique Paul Kabré S impliquer et investir aux côtés des entreprises africaines PROMOUVOIR LA CROISSANCE ET L EMPLOI EN AFRIQUE FISEA est un fonds
Plus en détailMAQUETTE GENERALE MASTER DIDL.
MAQUETTE GENERALE MASTER DIDL. PROGRAMME DE FORMATION AU MASTER EN «DECENTRALISATION ET INGENIERIE DU DEVELOPPEMENT LOCAL» DE BAMAKO 2009-2010 Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
Plus en détailConférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone
Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone Hôtel Teranga, Saly, Sénégal, du 18-19 Octobre 2011 Note de cadrage Contexte et justification L importance que revêt
Plus en détailSTRATÉGIE POUR LA MODERNISATION DE L INFRASTRUCTURE DU SYSTÈME DE PAIEMENT EN RÉPUBLIQUE DE GUINÉE
STRATÉGIE POUR LA MODERNISATION DE L INFRASTRUCTURE DU SYSTÈME DE PAIEMENT EN RÉPUBLIQUE DE GUINÉE La qualité du système de paiement d un pays (ou d une union monétaire et économique) est un bon indicateur
Plus en détailTITRE PRELIMINAIRE : TERMINOLOGIE ARTICLE PREMIER. Au sens de la présente ordonnance, il faut entendre par :
LA REPRESSION DES INFRACTIONS EN MATIERE DE CHEQUE, DE CARTE BANCAIRE ET D AUTRES INSTRUMENTS ET PROCEDES ELECTRONIQUES DE PAIEMENT (ORDONNANCE 2009-388 DU 1er DECEMBRE 2009 RELATIVE A LA REPRESSION DES
Plus en détailAttijariwafa bank Présentation. Conseil d administration. Chiffres-clés Consolidés / IFRS. Réseau et effectifs Décembre 2014
Février 2015 Attijariwafa bank Présentation Attijariwafa bank est le premier groupe bancaire et financier du Maghreb et de l UEMOA (Union Économique et Monétaire Ouest Africaine) et acteur de référence
Plus en détailFONDS EUROPEEN DE FINANCEMENT SOLIDAIRE POUR L AFRIQUE FEFISOL-SA (SICAV-SIF)
FONDS EUROPEEN DE FINANCEMENT SOLIDAIRE POUR L AFRIQUE FEFISOL-SA (SICAV-SIF) 1. MISSION DE FEFISOL Appui financier et technique aux structures en développement ou en consolidation, en Afrique, et qui
Plus en détailUne information plus détaillée sur ce document est disponible sur demande écrite.
RESUME DE LA POLITIQUE DE PREVENTION ET DE GESTION DES CONFLITS D INTERETS DU GROUPE CREDIT AGRICOLE APPLIQUEE A LA CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE CHARENTE- PERIGORD 1) PRESENTATION Le Groupe Crédit
Plus en détailTHEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE
RESEAU DES CAISSES POPULAIRES DU BURKINA ********************************* Fédération des Caisses Populaires du Burkina (F.C.P.B.) Tél.: 50.30.48.41, Fax : 50.30.49.10 ; E-mail : fcpb@fasonet.bf ; Adresse
Plus en détailEdition 2015. Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64
Edition 2015 Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64 Section K : ACTIVITÉS FINANCIÈRES ET D ASSURANCE Cette section comprend les activités des
Plus en détailCONVENTION PORTANT CREATION DE L'AGENCE PANAFRICAINE DE LA GRANDE MURAILLE VERTE
CONVENTION PORTANT CREATION DE L'AGENCE PANAFRICAINE DE LA GRANDE MURAILLE VERTE 1,._.1... _._~--~------ / Les Etats Africains Sahélo- sahariens soussignés, Burkina Faso; La République de Djibouti; L'Etat
Plus en détailComité monétaire et financier international
Comité monétaire et financier international Vingt-neuvième réunion Le 12 avril 2014 Déclaration de M. Akagha-Mba, Ministre de l Économie et de la Prospective, Gabon Représentant les pays suivants : Bénin,
Plus en détailInformations pour les bénéficiaires de projets
L AGENCE AMÉRICAINE POUR LE COMMERCE ET LE DÉVELOPPEMENT Informations pour les bénéficiaires de projets L Agence Américaine pour le Commerce et le Développement (U.S. Trade and Development Agency) 1000
Plus en détailDakar, Sénégal : du 17au 28 Juillet 2006
En Collaboration avec le Réseau des Partenaires Francophones en Population et Santé de la Reproduction Partenaires en Population, SR et Réformes du Système de Santé «S ADAPTER AU CHANGEMENT :: Atttteiindrre
Plus en détailDiscours d ouverture de Sem Alassane Ouattara
Discours d ouverture de Sem Alassane Ouattara Monsieur Daniel Kablan Duncan, Premier Ministre de la République de Côte d Ivoire, Madame Hélène Conway, Ministre des Français de l Etranger de la République
Plus en détailPROCEDURE D AGREMENT EN QUALITE DE BANQUE ET ETABLISSEMENT FINANCIER
PROCEDURE D AGREMENT EN QUALITE DE BANQUE ET ETABLISSEMENT FINANCIER PREFACE Dans le cadre de la mise en œuvre et du renforcement de la politique d'intégration sous-regionale, le Conseil des Ministres
Plus en détailLes économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique
Les économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique Ce bref portrait statistique porte sur l Afrique de l Ouest, région qui regroupe ici les quinze pays membres de la CEDEAO (Communauté Economique
Plus en détailAIDES EN MATIERE D AGRICULTURE. Investissements de création ou de modernisation pour les fermes auberges
Ce dossier est à adresser à : Monsieur Nicolas ROULY Président du Département de Seine-Maritime Hôtel du Département DEE/SAP Quai Jean Moulin CS 56101 76101 ROUEN CEDEX 1 AIDES EN MATIERE D AGRICULTURE
Plus en détailLa culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT
La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT SOMMAIRE Introduction... 2 I. Aperçu sur le fondement de la gestion axée sur les résultats... 3 1.1. De nouveaux
Plus en détailClimat des investissement et développement des entreprises pour l Emergence
Climat des investissement et développement des entreprises pour l Emergence Mamadou Lamine BA, Directeur Environnement des Affaires APIX Promoteur African Investment Academy 3 ème Salon international des
Plus en détailFacilitation du Commerce liée aux Transports terrestres et transit
Facilitation du Commerce liée aux Transports terrestres et transit LES CONVENTIONS INTERNATIONALES, RÉGIONALES ET SOUS RÉGIONALES : CAUSES ET CONSEQUENCES DE LA NON MISE EN ŒUVRE IDOINE EN AFRIQUE Par:
Plus en détailPlan de l exposé L assurance maladie obligatoire pour tous: Cas particulier de la république du Rwanda
Plan de l exposé L assurance maladie obligatoire pour tous: Cas particulier de la république du Rwanda!"#$%&'()*"#+," &-).!!/&01&23425,)&6778 Données générales du pays Contexte historique des mutuelles
Plus en détailINTEGREE DES RESSOURCES EN EAU
Forum de l eau de Kyoto Contribution à la session du RIOB «Les progrès réalisés dans le monde dans la gestion intégrée des ressources en eau par bassin» GESTION INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Par M. Jean-Michel
Plus en détailETUDES SUR LES INSTRUMENTS DE GARANTIE ET LE MARCHE DES GARANTIES BANCAIRES DANS LA ZONE DE L UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE (UEMOA)
ETUDES SUR LES INSTRUMENTS DE GARANTIE ET LE MARCHE DES GARANTIES BANCAIRES DANS LA ZONE DE L UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE (UEMOA) BANQUE OUEST AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT AGENCE FRANÇAISE
Plus en détailDirection du Logement et de l'habitat Sous-Direction de l'habitat
Bureau de la Protection des Locaux d'habitation Direction du Logement et de l'habitat Sous-Direction de l'habitat Règlement municipal fixant les conditions de délivrance des autorisations de changement
Plus en détail