Cartographie dynamique guide d'utilisation

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1 Cartographie dynamique guide d'utilisation Introduction L'interface de cartographie dynamique a été mise au point dans le but de permettre aux utilisateurs de disposer d'un outil de visualisation géographique des données disponibles qui se veut accessible sans exiger de compétences particulières dans le domaine des SIG (systèmes d'informations géographiques). Un certain nombre de fonctionnalités sont mises à disposition de l'utilisateur par l'intermédiaire d'actions conjuguées effectuées à l'aide de la souris et du clavier. Elles sont décrites précisément dans la suite de ce document. Généralités Choix techniques L'application est installée sur un serveur dédié disponible de manière permanente. Elle a été développée en PHP pour la partie serveur et en Javascript pour la partie client. Le moteur cartographique utilisé est Mapserver que l'on peut assimiler schématiquement à un «géomaticien virtuel». Il reçoit des requêtes de l'utilisateur, les met en œuvre dans une instance du serveur et retourne une image du résultat. Compatibilités L'interface peut être utilisée dans un environnement Windows (Linux non testé). Les navigateurs les plus courants donnent des résultats quasiment similaires : Internet Explorer (6 et 7) lié au système d'exploitation Windows, Mozilla Firefox (3) téléchargeable et utilisable gratuitement, ainsi que Opera (9) également gratuit (à noter que chez ce dernier, certains curseurs personnalisés pour la souris ne sont pas disponibles). En termes de performances et de rapidité, il est conseillé d'utiliser Firefox ou Opera qui se défend bien, le dernier de la classe étant Internet Explorer 6. L'application nécessite l'ouverture de fenêtre «popup» mais les navigateurs peuvent être paramétrés par défaut pour les bloquer. Pour pallier cette éventualité : Internet Explorer 6 : menu > Outils > Options Internet > onglet > Sécurité > bouton > Personnaliser le niveau > aller à la ligne > Utiliser le bloqueur de fenêtres publicitaires intempestives > choisir > Désactiver Mozilla Firefox : menu > Outils > Options > onglet > Contenu > aller à la ligne > Bloquer les fenêtres popup > décocher Maintenance Des développements complémentaires, des mises à jour ou des corrections de «bugs» sont intégrés en temps réel sur le serveur et peuvent ainsi modifier le comportement de l'application. Afin que le navigateur de l'utilisateur puisse afficher toutes les modifications de la manière la plus fluide, il convient de «vider le cache» régulièrement de la manière suivante : Internet Explorer 6 : menu > Outils > Options Internet > bouton > Supprimer les fichiers Mozilla Firefox : menu > Outils > Effacer mes traces Opera : menu > Supprimer les informations privées Présentation de l'interface La barre de titre de la fenêtre du navigateur présente toujours les nom, prénom et structure de l'utilisateur ainsi que son niveau d'accès :

2 1. Système de coordonnées La projection utilisée est le Lambert II étendu. Pour information, les coordonnées du curseur de la souris sur la carte peuvent être lues de manière dynamique à droite de la barre d'outils située au-dessus de la carte. 2. Types de données géographiques Les données disponibles dans l'interface proposée peuvent être classées en 2 familles aux caractéristiques bien distinctes : les couches «vecteur» : elles sont composées d'un ensemble d'objets géométriques (point, ligne ou polygone) associés à une liste variable d'informations (code, nom, type, superficie, etc....) que l'on appelle données «attributaires». Ce sont ces couches qui pourront être interrogées (voir l'outil «identifier» ci-dessous) et dans lesquelles on pourra faire des recherches. Ce type de couche peut être affiché par le biais d'une analyse thématique fondée sur les valeur de l'un de ses attributs (ex. : pouvoir distinguer par 2 couleurs les Znieffs 1ère génération en fonction du type ( I ou II )).

3 Toutes les couches de ce type sont matérialisées par des fichiers numériques présents sur le serveur qui héberge l'application et les bases de données. Les couches «raster» : elles alimentent les fonds de cartes. Elles sont composées généralement d'une mosaïque d'images géoréférencées (dont la position est connue dans le système de coordonnées). L'IGN est le principal fournisseur de ce type de données disponibles dans l'interface avec le Scan100 (carte au 1/ ou Top100 en version papier), le Scan25 (carte au 1/ ou Top25 en version papier) et la BdOrtho (mosaïque de photographies aériennes rectifiées). Ces couches ne portent pas d'informations attributaires puisqu'elles sont généralement implicitement contenues dans les images elles-mêmes : visuelles pour les photographies et textuelles pour les cartes. Les fichiers numériques qui constituent ces couches ne sont pas gérés au niveau régional mais sont accessibles sur un serveur national (BRGM) par le biais de services web (WMS) déployés dans le cadre d'un protocole signé entre l'ign et les services de l'état. 3. Actions sur la carte Toute action faite par l'utuilisateur va nécessiter un temps de traitement. Il inclus les temps de calculs effectués par le serveur (modulés par le nombre et le type d'informations à afficher) ainsi que les délais de transfert de l'image résultante (conditionnés par le type de connection internet utilisé). Il est donc difficile pour l'application de connaître a priori cette durée. Néanmoins, une image animée d'attente ( ) centrée sur la carte indique à l'utilisateur que le traitement est en cours. Plus de 30 secondes d'attente est le signe d'une anomalie («bug» de l'application, problème de serveur, de connection,...). Si cela se produit, cliquer sur le bouton (vue globale). Si la barre d'attente ne disparaît pas, il faut relancer le navigateur et vider son «cache» (comme c'est expliqué plus haut) puis relancer l'application. Si le problème persiste, il devient nécessaire de contacter un interlocuteur du SST qui centralise les problèmes rencontrés par les utilisateurs. La barre d'outils verticale à droite de la carte permet d'interagir avec la carte : vue globale au click sur le bouton : affiche l'emprise maximale définie pour l'application. zoom «avant» : choix de l'outil au click sur le bouton puis, sur la carte, choix de la zone rectangulaire à cadrer en faisant glisser la souris, bouton gauche enfoncé. Le rectangle se dessine en temps réel et une fois le bouton gauche de la souris relâché, le zoom s'applique. À noter que le curseur de le souris change au survol de la carte. zoom «arrière» : choix de l'outil au click sur le bouton puis un click sur la carte centrera la carte à cet endroit avec une échelle divisée par 2. déplacement : choix de l'outil au click sur le bouton puis, sur la carte, déplacement en faisant glisser la souris, bouton gauche enfoncé. La carte se déplace en temps réel et une fois le bouton gauche de la souris relâché, la nouvelle vue s'applique. À noter que le curseur de le souris change au survol de la carte. zoom précédent au click sur le bouton : affiche la vue précédente si elle existe, sinon le bouton n'est pas disponible. Le nombre de retours possibles est limité à 10. zoom suivant au click sur le bouton : affiche la vue suivante si elle existe, sinon le bouton n'est pas disponible. mesures : choix de l'outil au click sur le bouton. Un cadre apparaît alors en bas à droite de la fenêtre afin de pouvoir afficher les valeurs mesurées. Sur la carte, les clicks successifs permettent de dessiner une ligne brisée et simultanément d'afficher dans le cadre la longueur du dernier tronçon et la longueur cumulée depuis le premier point. Le nombre de points n'est pas limité. L'utilisateur peut à tout moment faire un double click qui aura pour effet de fermer la ligne brisée créant ainsi une surface. Le cadre affiche alors sa superficie en ha et son périmètre en km. Un bouton «Effacer» permet de remettre les valeurs à 0 afin de pouvoir procéder à de nouvelles mesures. À noter que le curseur de le souris change au survol de la carte. Le choix d'un autre outil désactive la fonction de mesures. identifier au point : choix de l'outil au click sur le bouton, puis un click sur la carte va lancer la recherche de tous les objets de toutes les couches visibles présents à cet endroit précis (tolérance de 10 pixels autour du click). identifier dans un rectangle : choix de l'outil au click sur le bouton puis, sur la carte, choix de

4 la zone rectangulaire en faisant glisser la souris en diagonale, bouton gauche enfoncé. Le rectangle se dessine en temps réel et la recherche de tous les objets de toutes les couches visibles qu'il contient (même partiellement) débute une fois le bouton gauche de la souris relâché. Une nouvelle fenêtre du navigateur s'ouvre pour afficher les résultats. Ils sont présentés sous la forme de tableaux successifs (un par couche visible sur la carte) dont les lignes détaillent les informations associées à chaque objet trouvé. En entête de chaque ligne, un bouton permet à l'utilisateur de centrer la vue sur cet objet. L'échelle de la carte s'adapte automatiquement pour afficher l'intégralité de sa géométrie. Afin de garder la lisibilité, l'échelle maximale est le 1/20000 même quand il s'agit d'un petit objet qui pourrait théoriquement être afficher à une échelle plus grande. À noter que le curseur de le souris change au survol de la carte. Le choix d'un autre outil désactive la fonction de mesures. déselectionner : quand un zoom sur un objet est demandé (voir ci-dessus), celui-ci est mis en surbrillance dans la carte résultante avec un fond jaune translucide et un contour cyan. Un click sur cet outil permet d'enlever cette surbrillance. La barre d'outils située au-dessus de la carte contient dans sa partie centrale, 2 contrôles qui modifient l'échelle de la carte : saisie manuelle de la valeur du dénominateur de l'échelle désirée après avoir cliqué dans la fenêtre de saisie : l'utilisateur valide en tapant la touche «Entrée» de son clavier, ce qui déclenche la nouvelle vue si la valeur saisie est valide ; sinon la valeur courante s'affiche à nouveau dans le cadre prévue pour la saisie. Toute valeur contenant au moins un caractère non numérique (exceptés les espaces) ne sera pas prise en compte.. Il n est pas possible d entrer une valeur inférieure à 500 et supérieure à ajustement visuel de l'échelle : il se fait à l'aide d'un curseur que l'on déplace pour faire varier sa valeur entre les seuils prédéfinis dans l'application (apparents aux extrémités de la barre du curseur). Pour déplacer le curseur, il suffit de cliquer sur celui-ci et de le faire glisser vers la gauche où vers la droite tout en gardant le bouton gauche de la souris enfoncé. Pendant ce déplacement, la carte change «visuellement» d'échelle pour permettre à l'utilisateur d'ajuster sa prochaine vue. Le changement d'échelle deviendra effectif quand le bouton gauche de la souris sera relâché. En bas à droite de la carte principale, une vue globale sert à localiser la vue courante à l'échelle de la région : Elle est matérialisée par un carré rouge et s'adapte automatiquement après chaque changement de vue. Quand l'échelle de la carte est devenue trop grande pour qu'elle puisse être représentée par un carré, une croix rouge remplace le carré. La vue globale est dynamique : un click à n'importe quel endroit du cadre aura pour effet de déplacer la vue de la carte principale jusqu'à cet endroit. L'utilisateur peut également cliquer dans le carré rouge et, en maintenant le bouton gauche de la souris enfoncé, le faire glisser jusqu'à la position désirée. Une fois le bouton de la souris relâché, le recentrage s'exécute. 4. Contrôle des couches Les modalités d''affichage des données sur la carte sont totalement accessibles par l'intermédiaire del a légende (ou «contrôle des couches»). C'est une arborescence (du type «explorateur de fichiers» sous Windows) d'une profondeur à 4 niveaux pour les couches et jusqu'à 6 pour l'affichage des classes d'analyses thématiques le cas échéant. Un click sur ou déploie ou referme un niveau. Un click sur ou affiche ou masque une couche sur la carte. Lorsqu'une couche est affichée, son symbole de légende apparaît à côté de son nom : Au 4ème niveau de l'arborescence, les icônes et précèdent le nom des couches respectivement, sans ou avec analyses thématiques disponibles.

5 La barre d'outils située sous le contrôle des couches présente des «boutons d'options» qui agissent sur l'apparence globale de l'arborescence : un click sur la flèche ( ) déroule les options : un click sur la flèche ( ) déroule les options : La possibilité de masquer les couches non affichées sur la carte est intéressante quand on veut une vision synthétique de la légende. L'apparence des noms de couches peut varier : : la couche peut être affichée normalement en cochant la case prévue. : la couche ne peut pas être affichée à cette échelle ce qui n'empêche pas de cocher la case prévue. Les seuils de zoom sont fréquemment utilisés dans les interfaces cartographiques. Ils permettent de restreindre l'affichage de données à l'intérieur d'une plage d'échelle et concernent surtout les fonds de cartes dont la lisibilité est prévue à une échelle relativement précise. Ils peuvent cependant être utilisés pour empêcher d'afficher simultanément des couches de précision trop différentes, ou dans le but de masquer la localisation précise d'une donnée sensible. Ici, les seuils de zoom ont été prédéfinis uniquement pour les fonds de carte afin de les afficher à des échelles pertinentes et pour limiter le temps de transfert entre le serveur et poste de l'utilisateur (dans le cas de l'orthophotographie, plus le territoire à couvrir est vaste, plus le temps de traitement pour générer l'image est long et la taille de celle-ci est importante). La couleur du nom des couches relative aux seuils de zoom change automatiquement en fonction de l échelle de la carte principale. En l'absence de plage de zoom spécifique prédéfinie, une couche s'affiche dans la plage par défaut de l'application soit entre 1/ (minimum) et 1/500 (maximum). : ces couches prévues initialement ne sont pas accessibles pour des raisons diverses liées à l'administration du serveur. Ce cas devrait rester marginal. : un click sur le nom d'une couche permet de la définir comme couche active (surlignée en jaune). Elle devient la cible de toutes les fonctionnalités disponibles dans la barre d'outils située audessus de l'arborescence et décrites dans le chapitre suivant. 5. Actions sur une couche Afin de garantir un minimum d'homogénéité entre les cartes produites par un ou plusieurs utilisateurs, la charte graphique est prédéfinie dans l'application ; en d'autres termes, les changements de couleurs, de trames,de styles de lignes, de symboles pour les points ne sont pas possibles au niveau de l'interface. Néanmoins, les fonctions proposées donnent suffisamment de souplesse à l'utilisateur dans la superposition de plusieurs couches sur une carte sans trop d'ambiguïtés. La barre d'outils située au-dessus de l'arborescence propose des actions qui s'appliquent exclusivement à la couche active (surlignée en jaune) : Fonctions de zoom : zoom sur la couche au click sur le bouton : affiche toute la couche active. zoom à l'échelle maximale définie pour la couche au click sur le bouton : voir plus haut l'utilisation des seuils de zoom. zoom à l'échelle minimale définie pour la couche au click sur le bouton. Modification de l'apparence : un click sur la flèche ( ) déroule les options disponibles : L'affichage en niveaux de gris d'un fond de carte peut s 'avérer utile pour faire ressortir les données des couches superposées. Ce bouton d'options n'est disponible que lorsque la couche active est de type «raster». un click sur la flèche ( ) déroule les options disponibles : Des objets de grande taille contenus dans la couche active recouvrir des données intéressantes. Dans ce cas, l'utilisateur pourra n'afficher que le contour des objets. Ce bouton d'options n'est disponible que lorsque la couche active est de type «vecteur» et contient des objets de type «polygone». un click sur la flèche ( ) déroule les options disponibles : Les choix possibles (1 à

6 8) correspondent à l'épaisseur en pixel des contours des objets. Ce bouton d'options n'est disponible que lorsque la couche active est de type «vecteur» et contient des objets de type «ligne» ou «polygone». un click sur la flèche ( ) déroule les options disponibles : Les choix possibles (3 à 17) correspondent à la taille en pixel des symboles des objets. Ce bouton d'options n'est disponible que lorsque la couche active est de type «vecteur» et contient des objets de type «point». réglage de la transparence de la couche active : il se fait à l'aide d'un curseur que l'on déplace pour faire varier le pourcentage de transparence de 0% (opaque) à 100% (invisible).. Pour déplacer le curseur, il suffit de cliquer sur celui-ci et de le faire glisser vers la gauche où vers la droite tout en gardant le bouton gauche de la souris enfoncé. Le changement deviendra effectif quand le bouton gauche de la souris sera relâché. Analyses thématiques : affichage des analyses thématiques quand elles sont prédéfinies pour la couche active sinon ce bouton est désactivé. Un click sur ce bouton ajoute 2 niveaux d'arborescence à la couche active : au 1er niveau le nom de l'analyse thématique peut être coché ou décoché sachant que toutes les analyses prévues pour cette couche apparaissent à ce niveau (on rencontre assez rarement plus d'une analyse par couche).. au 2ème niveau les classes peuvent être affichées indépendamment les unes des autres en cochant ou décochant leur nom. Les possibilités de modification de l'apparence des classes (comme elles existent pour les couches) ne sont pas encore opérationnelles. Métadonnées : affichage des métadonnées de la couche active (quand elles sont disponibles). Elles consistent en une liste d'informations qui décrivent la couche : la source des données, la date de mise à jour, le type d'objet contenu dans la couche, la description des attributs associés, etc... Accès aux données : téléchargement de la couche active. Le paramétrage de l'application permet de rendre accessible au téléchargement chaque couche de manière individuelle en fonction de l'utilisateur identifié. Un click sur ce bouton ouvre une fenêtre «popup» qui affiche l'avertissement relatif à l'utilisation de la donnée mise à disposition. Au bas de cette fenêtre, deux listes déroulantes permettent de choisir d'une part, le format SIG désiré (Mapinfo, Esri,...) et d'autre part le système de projection qui n'est pas nécessairement le Lambert II étendu (par défaut sur le serveur). Si le téléchargement s'opère correctement, le fichier ZIP reçu doit contenir outre l'avertissement mentionné plus haut, un dossier «sig» pour la couche et un dossier «mtd» pour les fichiers de métadonnées (fiche, documents associés,...). 6. Fonctions de recherche La barre d'outils située en haut à gauche de la carte sera utilisée pour la recherche rapide. Cette recherche s'effectue au choix dans l'une des 3 couches parmi les plus couramment utilisées : les communes (BdTopo ), les lieux-dits (BdNyme ) et les cours d'eau (BdTopo ) de la région Midi- Pyrénées. un click sur la flèche ( ) déroule les options : La recgherche se fait dans les 3 cas sur le nom de l'objet. saisie manuelle d'une ou plusieurs lettres sensées être contenues dans le nom cherché. L'utilisateur valide en tapant la touche «Entrée» de son clavier, ce qui déclenche la recherche. Une fois terminée la fenêtre de résultats s'ouvre pour afficher le tableau des objets dont les noms vérifient le texte saisi. Un click sur le bouton en entête d'une des lignes centre la carte sur l'objet choisi. Afin d'être plus précis dans les résultats proposés, l'application prend en compte les «*» comme caractères de remplacement dans le texte saisi : «toul*» revient à chercher tous les noms qui commencent par «toul». «*toul» revient à chercher tous les noms qui finissent par «toul».

7 «*toul*» revient à chercher tous les noms qui contiennent «toul». «toul» revient à chercher le nom «toul». La recherche est insensible à la casse (pas de distinction entre majuscule et minuscule) et les lettres accentuées sont prises en compte. 7. Administration des données Ce chapitre s'adresse aux personnes qui, en tant que gestionnaires, ont accès à la mise à jour de certaines couches et de leurs métadonnées respectives. Elles se sont préalablement identifiées par la saisie d'un identifiant et d'un mot de passe. Les 2 boutons suivants leur permettent d'intervenir sur les données présentent sur le serveur par des opérations d' «upload» de leurs propres données. Chaque couche est modifiable par un gestionnaire unique. mise à jour de la couche active. Pour l'intervenant autorisé, le nom des couches modifiables apparaît en vert dans le contrôle des couches. Le format des données à fournir est prédéfini dans l'application. Il peut être de 3 types : une couche SIG au format Mapinfo (tab) ou Esri (shp) composée d'au moins 4 fichiers. Ceux-ci doivent être «zippés» avant d'être envoyés. La structure et le contenu de la table attributaire pourront être vérifiés conformémént à des règles fixées au préalable au sein du groupe des gestionnaires. 2 tables au format Ascii (txt ou csv) ou Excel (xls). Elles vont servir de source à l'application pour constituer à la volée une couche au format SIG. - la 1ère table deviendra la table attributaire. La 1ère colonne doit contenir les identifiants des objets à créer. Les noms des champs ne doivent pas dépasser 10 caractères (contrainte DBF). Le nom de la table s'écrira exclusivement de cette manière : <nom quelconque>_attrib.<extension>. - la 2ème est la table de liaison entre les identifiants des objets à créer et ceux issus du référentiel utilisé pour constituer la couche (communale en général). La 1ère colonne doit contenir les identifiants des objets à créer. Comme aucun contrôle n'est effectué sur le contenu de cette table, la couche résultatnte peut s'avérer incompléte (objets manquants ou incomplets). Des liaisons superflues ne perturbent pas la création de couche : on peut garder par exemple une table «France entière» pour générer une couche régionale. Le nom de la table s'écrira exclusivement de cette manière : <nom quelconque>_liste.<extension>. Ces 2 fichiers doivent être «zippés» avant d'être envoyés. 1 table au format Ascii (txt ou csv) ou Excel (xls). Elle va servir de source à l'application pour constituer à la volée une couche au format SIG. La table doit disposer d'au moins une colonne qui contient les identifiants des objets issus du référentiel utilisé pour constituer la couche (ex : code INSEE des communes). Elle deviendra la table attributaire de la couche. Des colonnes supplémentaires peuvent figurer dans la table pour contenir éventuellement des valeurs utiles à une ou plusieurs analyses thématiques (à paramétrer dans l'outil au préalable) ou simplement des informations accessibles par les outils d'interrogation d'une couche. Les noms des champs ne doivent pas dépasser 10 caractères (contrainte DBF). Le nom de la table s'écrira exclusivement de cette manière : <nom quelconque>_thema.<extension>. mise à jour des métadonnées de la couche active Pour l'intervenant autorisé, le nom des couches modifiables apparaît en vert dans le contrôle des couches. La fiche de métadonnées à fournir doit être au format PDF.