Ecoprocess TM Filtre Coco Unité de traitement

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Ecoprocess TM Filtre Coco Unité de traitement"

Transcription

1 NOUVELLES TECHNOLOGIES DE TRAITEMENT DES EAUX USÉES FICHE D INFORMATION TECHNIQUE Ecoprocess TM Filtre Coco Unité de traitement Domaines d application : Fiche de niveau : Commercial, institutionnel et communautaire En démonstration Mai 2014 (procédure 2009) Révision décembre 2014 (procédure 2009)

2 1- DONNÉES GÉNÉRALES Nom de la technologie Ecoprocess TM Filtre Coco Unité de traitement Cadre juridique régissant l installation de la technologie Chaque installation nécessite une autorisation préalable du ministère du Développement durable, de l Environnement, de la Faune et des Parcs, en vertu de l article 32 de la Loi sur la qualité de l environnement. Nom et coordonnées du promoteur Premier Tech Aqua 1, avenue Premier Rivière-du-Loup (Québec) G5R 6C1 Tél. : Téléc. : Site Web : Personne-ressource : Marie-Christine Bélanger, ing., M.Sc.A. Directrice Développement technologique Courriel : belm2@premiertech.com 2- DESCRIPTION DE LA TECHNOLOGIE Généralités La chaîne normale de traitement comprend une fosse septique standard, un ou plusieurs préfiltres, un poste de pompage, un système de séparation du débit et des biofiltres Ecoprocess TM Filtre Coco Unité de traitement (EFC) fonctionnant en parallèle. Chaque biofiltre inclut un matériau filtrant à base de fragments de coco dans un réservoir qui peut être fabriqué en composite de fibres de verre et de résine de polyester, en polyéthylène ou en béton. Il peut aussi être réalisé sur le site même, à l aide d une membrane étanche, ou être installé de manière à permettre l infiltration de l effluent traité directement dans le sol sous l installation. Description détaillée Les eaux usées prétraitées sont distribuées sur la surface des biofiltres à l aide du système de plaques et bascules lorsqu elle est confinée dans un module Ecoflo ou dans les autres cas, d'un système de distribution à faible pression assurant une distribution uniforme des eaux à traiter (bras giratoires ou réseau de conduites perforées permettant de solliciter une surface d application équivalente). De plus, une unité de dosage assure l alimentation des biofiltres. Elle permet de répartir l eau durant la journée à raison d une dose toutes les 30 à 50 minutes, selon le réglage. Les biofiltres sont composés d un média organique naturel à base de coco. Le lit filtrant, d une hauteur de 70 cm, est fait de fragments grossiers et de fibres compactés lors de la mise en place. Une seconde couche de coco, non compacté, d une hauteur de 30 cm, est ajoutée à la surface afin de recouvrir les conduites de distribution déposées sur le matériel filtrant. Elle remplit un double rôle de protection et d isolation. 2 de 7

3 Schéma de procédé Affluent Fosse septique Préfiltres Poste de pompage et de régularisation Séparateur de débit Biofiltres EFC Effluent Effluent par infiltration Description de la technologie évaluée au cours des essais expérimentaux Site expérimental S il y a infiltration dans le sol. Le suivi expérimental a été réalisé à la station expérimentale de Premier Tech Aqua située à Rivièredu-Loup. Il s est échelonné du 15 octobre 2012 au 30 septembre L installation expérimentale était alimentée en eaux usées à partir de l affluent prétraité (après dégrillage et dessablage) de la station de traitement des eaux usées de la Ville de Rivière-du-Loup. Le système d alimentation permettait un dosage par bâchées de la fosse septique de l installation expérimentale. Les eaux usées étaient acheminées dans un réservoir de 40 L (petits barils de 40 L situés à l intérieur de la station expérimentale) où une flotte s activait lorsque le volume souhaité était atteint, ce qui arrêtait le remplissage du réservoir. Sur une base quotidienne, il y avait trois périodes d alimentation de quatre heures chacune et de débit égal. Les trois périodes se sont étendues de 0 h à 3 h, de 5 h à 8 h et de 11 h à 14 h. L installation a reçu, au total, 144 doses quotidiennes de 26,4 L chacune, ce qui donne un débit journalier visé de L/d ou de L/d par biofiltre. Chaque dose de 26,4 L était composée de 0,66 L de supplément organique à base de lait en poudre et de 25,74 L d eaux usées pour maintenir la stabilité des concentrations. L installation expérimentale comprenait une fosse septique d une capacité liquide de L. Dans le deuxième compartiment de la fosse, une voûte de pompage avec préfiltre munie d une pompe de 0,5 HP permettait de pomper l effluent de la fosse septique vers un répartiteur de débit, lequel distribuait l eau uniformément vers deux stations de pompage indépendantes ayant un volume utile de 75 L chacune. Le volume de marnage de la fosse septique était de L. Dans chacune de ces stations de pompage, une flotte arrêt-départ permettait d alimenter un biofiltre. Une unité de dosage assurait le bon fonctionnement de ces pompes pour que chacun des biofiltres reçoive une dose d eaux usées de 75 L toutes les 48 minutes, durant les périodes où de l eau était acheminée aux postes de pompage. Les deux biofiltres utilisés lors des essais ont été montés dans un confinement en composite de fibre de verre et de résine de polyester de 2,3 m de longueur, 2,3 m de largeur et 1,14 m de hauteur. Le média filtrant utilisé, d une hauteur de 70 cm, était composé de fragments de coco et sa surface mesurait 4,0 m 2 (8 m 2 pour les deux biofiltres). La distribution de l eau sur la surface des biofiltres était assurée par un système de distribution sous 3 de 7

4 faible pression de 2,76 m 2 (1,66 m x 1,66 m). Celui-ci était composé de 5 lignes de distribution comprenant chacune 10 orifices de 8 mm de diamètre. Par-dessus le cadre de distribution, une couche de 30 cm de fragments de coco était placée pour protéger le système de distribution et servir d isolant. L effluent traité par les biofiltres était acheminé par gravité à l intérieur de la station expérimentale, où s effectuaient les relevés de débits journaliers et l échantillonnage de l effluent. Les débits moyens mesurés à l effluent ont été de L/d pour le premier biofiltre, avec un écart type de 148 L/d, et de L/d pour le deuxième, avec un écart type de 130 L/d. Le débit moyen pour l ensemble des deux biofiltres se situait donc à L/d. Cas de charge observés Les taux de charge observés sur les biofiltres durant les essais sont les suivants : Le taux de charge hydraulique moyen qui a été appliqué se situait à 468 L/m².d. Selon la concentration des eaux à l effluent de la fosse septique, le taux de charge organique moyen appliqué a été de 55 g de DBO 5 C/m 2.d. 3- PERFORMANCES ÉPURATOIRES OBTENUES AU COURS DES ESSAIS Les concentrations observées à l effluent de la fosse septique lors des essais sont présentées dans le tableau ci-dessous. Caractéristiques observées à l effluent de la fosse septique (1) Paramètre moyenne minimale maximale Écart type DCO (mg/l) DBOC 5 (mg/l) MES (mg/l) ,7 NTK (mg/l) 27 16,8 36 4,6 Coliformes fécaux (UFC/100 ml) (2) ,1 x 10 6 s. o. (3) ph 6,9 6,7 7,3 0,15 Température ( o C) 10,1 (4) 6,3 14,6 (4) 2,6 (4) (1) Les données sont basées sur 19 résultats d analyse pour la DCO, 33 pour la DBO 5, les MES et le NTK, 40 pour les coliformes fécaux, 24 pour le ph et 21 pour la température. (2) Il s agit d une moyenne géométrique. (3) L abréviation s. o. signifie «sans objet». (4) La température n a pas été mesurée en été (elle se situait entre 20 et 21 o C durant l été 2012). Dans les conditions d application décrites à la section 2, les concentrations obtenues à l effluent du système de traitement Ecoprocess TM Filtre Coco Unité de traitement au cours des essais expérimentaux sont indiquées dans le tableau ci-dessous. 4 de 7

5 Caractéristiques observées à l effluent (1) Paramètre moyenne Écart type LRMA (2) LRMS (3) LRMP (4) DCO (mg/l) (5) 40 5,4 44 s. o. 50 DBOC 5 (mg/l) (5) 6,8 2,3 8,7 s. o. 11,8 MES (mg/l) (5) 6,9 3,4 9,6 s. o. 14,5 NTK (mg/l) (6) 3,8 1,0 4,6 4,9 5,4 NO x (mg/l) 15,2 6,5 s. o. s. o. s. o. Coliformes fécaux (UFC/100 ml) (5) (7) s. o ph 7,3 0,3 s. o. s. o. s. o. Température ( o C) 12,5 4,0 s. o. s. o. s. o. Transmittance 48 7,4 s. o. s. o. s. o. Oxygène dissous (mg/l) 4,4 1,6 s. o. s. o. s. o. (1) Données basées sur 34 résultats d analyse pour la DCO, 60 pour la DBO 5, les MES, la température, la transmittance et l oxygène dissous, 59 pour le NTK et les NO x, 71 pour les coliformes fécaux et 42 pour le ph. (2) Limite de rejet en moyenne annuelle (LRMA) définie selon un percentile de non-dépassement de 99 % avec un degré de confiance de 95 % pour la moyenne de 12 résultats. (3) Limite de rejet en moyenne saisonnière (LRMS) définie selon un percentile de non-dépassement de 99 % avec un degré de confiance de 95 % pour la moyenne de 6 résultats. (4) Limite de rejet en moyenne périodique (LRMP) définie selon un percentile de non-dépassement de 99 % avec un degré de confiance de 95 % pour la moyenne de 3 résultats. (5) Selon une distribution log-normale. (6) Selon une distribution normale. (7) Moyenne géométrique. Le Comité d évaluation des nouvelles technologies de traitement des eaux usées d origine domestique (Comité) considère que le calcul des LRMA, LRMS et LRMP n est valable que pour des conditions d application similaires à celles qui ont été observées lors des essais. 4- EXPLOITATION ET ENTRETIEN Le guide intitulé Ecoprocess TM Filtre Coco Unité de traitement Guide d exploitation et d entretien (édition de janvier 2014), produit par Premier Tech Aqua, doit être fourni au propriétaire. Le fournisseur de la technologie est responsable des recommandations sur l utilisation, l exploitation, l inspection et l entretien que renferme ce guide. 5- DOMAINES D APPLICATION Les conditions d essai de l installation expérimentale de la technologie Ecoprocess TM Filtre Coco Unité de traitement répondaient aux domaines d application suivants : Commercial, institutionnel et communautaire 5 de 7

6 6- CLASSE DE PERFORMANCE Compte tenu du suivi effectué lors des essais, la performance de la technologie Ecoprocess TM Filtre Coco Unité de traitement a atteint, pour les cas de charge observés sur l installation expérimentale, les classes de performance suivantes : Classe de performance Paramètre Concentration moyenne annuelle Concentration moyenne saisonnière Concentration moyenne périodique DBO 5 C (mg/l) 10 s. o. 15 MES (mg/l) 10 s. o. 15 Coliformes fécaux (UFC/100 ml) ND* ND * L abréviation ND signifie qu aucune classe de performance n a été déterminée pour ce paramètre. 7- VALIDATION DU SUIVI DE PERFORMANCE Le Comité a vérifié les rapports d ingénierie préparés par Premier Tech Aqua suivant les prescriptions du document intitulé Procédure de validation de la performance des nouvelles technologies de traitement des eaux usées d origine domestique (version de février 2009). Il a jugé que les données obtenues au cours des essais effectués à la station expérimentale de Premier Tech Aqua à Rivière-du-Loup répondaient aux critères d évaluation définis dans les procédures pour la publication d une fiche d information technique de niveau «en démonstration». La technologie doit être conçue, installée, exploitée et entretenue de manière à respecter les performances épuratoires visées. Les données contenues dans cette description de performance pourront être révisées, à la hausse ou à la baisse, à la suite de l obtention d autres résultats. La présente fiche d information technique est une description de la performance de la technologie sur une plateforme d essai. Elle ne constitue pas une certification ou une autre forme d homologation. Le Comité ainsi que le ministère des Affaires municipales, des Régions et de l Occupation du territoire et le ministère du Développement durable, de l Environnement, de la Faune et des Parcs ne peuvent être tenus responsables de la contre-performance d un système de traitement d eaux usées qui a été conçu suivant les renseignements contenus dans cette fiche d information technique. L entreprise demeure responsable de l information fournie, et les vérifications effectuées par le Comité ne dégagent en rien l ingénieur concepteur et l entreprise de fabrication ou de distribution de leurs obligations, garanties et responsabilités. 8- RECOMMANDATIONS DU FOURNISSEUR Traitement primaire La fosse septique doit respecter les critères de la section 3.4 du Guide pour l étude des technologies conventionnelles de traitement des eaux usées d origine domestique du ministère du 6 de 7

7 Développement durable, de l Environnement, de la Faune et des Parcs. À la sortie de la fosse septique, il doit y avoir un préfiltre qui permet de retenir les solides à flottabilité neutre présentant une arête ou un diamètre supérieur à 3,2 mm. Traitement secondaire La répartition de l eau entre les biofiltres peut être effectuée à l aide d une valve de distribution indexable ou de tout autre moyen éprouvé. Le poste de pompage situé en amont des biofiltres doit avoir un volume de réserve suffisant pour effectuer une régularisation du débit. Le taux de charge hydraulique moyen appliqué sur les biofiltres doit atteindre 468 L/m².d. Le taux de charge organique moyen appliqué sur les biofiltres doit être de 55 g de DBO 5 C/m 2.d Désinfection L effluent peut être désinfecté à l aide d un réacteur UV dont la dose a été validée selon la transmittance de l effluent. La dose UV produite par le réacteur doit être supérieure à celle qui a été calculée selon les prescriptions du Guide pour l étude des technologies conventionnelles de traitement des eaux usées d origine domestique du ministère du Développement durable, de l Environnement, de la Faune et des Parcs, en fonction de la transmittance UV de l effluent. De plus, elle doit être suffisante pour respecter les exigences de rejet en vigueur. 7 de 7

Guide d installation Agrément n 2010-018

Guide d installation Agrément n 2010-018 Filtres EPURFIX COMPACT COCO PEHD 5 et 7E.H. C.P. (Série «Compact») Guide d installation Agrément n 2010-018 Ce GUIDE D INSTALLATION contient l information nécessaire à la préparation et à la réalisation

Plus en détail

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».

Plus en détail

Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.

Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide. Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal

Plus en détail

Une production économique! Echangeur d ions TKA

Une production économique! Echangeur d ions TKA Une eau totalement déminéralisée Une production économique! Echangeur d ions TKA Eau déminéralisée pour autoclaves, laveurs, analyseurs automatiques, appareils d'eau ultra pure... SYSTÈMES DE PURIFICATION

Plus en détail

Exemple du SATESE MAGE 42

Exemple du SATESE MAGE 42 LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux

Plus en détail

DIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR

DIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR COMMUNE DE LA VALLA EN GIER Le Bourg 42131 La Valla-en-Gier DIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR Rapport de Phase III Juin 2012 ICA ENVIRONNEMENT 6 Rue Emile Noirot - 42300

Plus en détail

Manuel d application pour S&P C-Sheet 240

Manuel d application pour S&P C-Sheet 240 Manuel d application pour Exigences de qualité générale: Adhérence minimale du support > 1.0 N/mm 2 Température du support au minimum 3 C au-dessus de la température du point de rosée Humidité maximale

Plus en détail

VILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES

VILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES VILLE DE QUÉBEC RÈGLEMENT R.V.Q. 416 RÈGLEMENT SUR LA QUANTITÉ ET LA QUALITÉ DES EAUX USÉES Avis de motion donné le 18 août 2003 Adopté le 2 septembre 2003 En vigueur le 6 août 2004 NOTES EXPLICATIVES

Plus en détail

Séparateurs d huile/eau

Séparateurs d huile/eau Les Systèmes Customeng, Conception, R&D et manufacturier d équipements spécialisés 10717 Rue Waverly, Montréal, Québec, H3L 2W7, T : 514331-5121, F : 514-331-5292 Séparateurs d huile/eau Préparé par: Gilles

Plus en détail

CONVENTION POUR LE RACCORDEMENT DES INDUSTRIELS DE SAINT-BRIEUC AU RESEAU D'ASSAINISSEMENT. Mesdames, Messieurs,

CONVENTION POUR LE RACCORDEMENT DES INDUSTRIELS DE SAINT-BRIEUC AU RESEAU D'ASSAINISSEMENT. Mesdames, Messieurs, Ville de SAINT-BRIEUC ------------------------------- Conseil Municipal ---------------------- Séance du 8 décembre 2000 ----------------- Rapporteur : M. MANGOLD ----------------- N 10 CONVENTION POUR

Plus en détail

Systèmes de stockage simples à installer et économiques

Systèmes de stockage simples à installer et économiques Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de

Plus en détail

Matériau S235JR - DIN EN 10025 Finition de surface. Epaisseur du matériau 1,5 mm. Désignation Filetage M Cote X Longueur L Charge de traction

Matériau S235JR - DIN EN 10025 Finition de surface. Epaisseur du matériau 1,5 mm. Désignation Filetage M Cote X Longueur L Charge de traction Plaque de base MP Pour la pose de deux tubes avec un seul point de fixation Pour installation de 2 colliers sur un seul point de fixation Matériau S235JR - DIN EN 10025 Epaisseur du matériau 1,5 mm Les

Plus en détail

Le chantier compte 4 étapes :

Le chantier compte 4 étapes : 02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton

Plus en détail

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51

Plus en détail

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie La gestion responsable des eaux pluviales : UNE SOLUTION ACTUELLE POUR UN AVENIR DURABLE L eau est une ressource essentielle à toute forme de vie sur Terre.

Plus en détail

Les rencontres de l Agence de l eau Clermont Ferrand 10 janvier 2012. TECHNIQUES D EPURATION Dispositifs agréés Abdel LAKEL, CSTB

Les rencontres de l Agence de l eau Clermont Ferrand 10 janvier 2012. TECHNIQUES D EPURATION Dispositifs agréés Abdel LAKEL, CSTB Les rencontres de l Agence de l eau Clermont Ferrand 10 janvier 2012 TECHNIQUES D EPURATION Dispositifs agréés Abdel LAKEL, CSTB 1 Dispositifs agréés Typologie et principe Procédés à écoulement saturé

Plus en détail

«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE

«La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-f & P4-f - 185/180 - Standard P2-f & P4-f - 170/165 - Compact P2-f & P4-f - 200/195 - Confort MODELE H DH P2f-4f - 185/180 - Standard 340 171 P2f-4f - 170/165 - Compact

Plus en détail

Installez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif

Installez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif Installez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif Lors de l installation de la clôture Zenturo ou Zenturo Super en tant que mur décoratif, vous devez tenir compte de quelques

Plus en détail

POUBELLES POUR MEUBLE BAS "NABER"

POUBELLES POUR MEUBLE BAS NABER POUBELLE COX BASE Cox base est un collecteur de déchets intégré particulièrement ingénieux qui vous séduira par ses qualités exceptionnelles, son confort et sa technique de coulisse. La technique de coulisse

Plus en détail

RETOURS D'EXPERIENCES sur les filières d'assainissement non collectif

RETOURS D'EXPERIENCES sur les filières d'assainissement non collectif RETOURS D'EXPERIENCES sur les filières d'assainissement non collectif DOCUMENT DE TRAVAIL EVOLUTIF mai 2011 - VERSION1 Res'eau ASNC "Réseau Rhône Alpes des acteurs de l'anc" GRAIE Version 1 - février 2011

Plus en détail

Comparaison théorique de dispositifs d ANC

Comparaison théorique de dispositifs d ANC 2013 Thème «assainissement» - Action 45 Comparaison théorique de dispositifs d ANC les filières par «cultures fixées sur supports fins» autorisées au 1 er novembre 2013 Rapport final Catherine BOUTIN (Irstea,

Plus en détail

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise

Plus en détail

PARTICIPATIONS FINANCIERES H.T. DES ADHERENTS POUR L ANNEE 2010 ADOPTEES PAR LE COMITE SYNDICAL DU 19 FEVRIER

PARTICIPATIONS FINANCIERES H.T. DES ADHERENTS POUR L ANNEE 2010 ADOPTEES PAR LE COMITE SYNDICAL DU 19 FEVRIER ANNEXE COMPETENCES A LA CARTE DE LA BRANCHE EAU PARTICIPATIONS FINANCIERES H.T. DES ADHERENTS POUR L ANNEE 2010 ADOPTEES PAR LE COMITE SYNDICAL DU 19 FEVRIER 2010 Page 1 /14 26/02/2010 OPTION MAINTENANCE

Plus en détail

Assainissement des campings. - 11 janvier 2011

Assainissement des campings. - 11 janvier 2011 Assainissement des campings - 11 janvier 2011 Etat des lieux de l assainissement non collectif (ANC) en Finistère Caractéristiques des eaux usées des campings Contexte et cadre réglementaire Les chiffres

Plus en détail

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER

Plus en détail

INSTRUCTIONS DE POSE ET D UTILISATION: Caniveaux à fente

INSTRUCTIONS DE POSE ET D UTILISATION: Caniveaux à fente INSTRUCTIONS DE POSE ET D UTILISATION: Caniveaux à fente 1. RÉSUMÉ DES CONSIGNES DE SÉCURITÉ a. TRANSPORT/ARRIMAGE DE LA CARGAISON Tous les transports de nos produits doivent se faire conformément à la

Plus en détail

Installations d assainissement jusqu à 12 Equivalents Habitants

Installations d assainissement jusqu à 12 Equivalents Habitants Installations d assainissement jusqu à 12 Equivalents Habitants Version du 10 septembre 2014 Félicitations pour votre choix 2 GUIDE DE L UTILISATEUR S O M M A I R E 1 - Constitution de votre installation...p.4

Plus en détail

Theta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe

Theta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe heta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe Un module pour la production de l ECS et du chauffage central Echangeur à plaques avec circulateur ECS primaire, une vanne trois voies,

Plus en détail

Rapport d'évaluation CCMC 12835-R IGLOO Wall Insulation

Rapport d'évaluation CCMC 12835-R IGLOO Wall Insulation CONSTRUCTION Rapport d'évaluation CCMC 12835-R IGLOO Wall Insulation RÉPERTOIRE Révision Jamais Réévaluation Non : NORMATIF : 07 21 23.06 Publication en de l'évaluation : 1997-12-08 Réévaluation cours

Plus en détail

Des innovations avec des matériaux plastiques haute performance. La gamme complète en PTFE, une gamme leader.

Des innovations avec des matériaux plastiques haute performance. La gamme complète en PTFE, une gamme leader. Des innovations avec des matériaux plastiques haute performance. La gamme complète en PTFE, une gamme leader. Nos solutions d ingénierie en PTFE : elles montrent la voie. Vaste et complète : notre gamme

Plus en détail

Traitement de l eau par flux dynamique

Traitement de l eau par flux dynamique GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat

Plus en détail

de l Université Laval Orientations et exigences générales et techniques de construction

de l Université Laval Orientations et exigences générales et techniques de construction de l Université Laval Orientations et exigences générales et techniques de construction Guide de conception de projets GC-3.2.4 Fabrication et distribution de l'air comprimé et de l'eau réfrigérée (11/2007)

Plus en détail

Sources. la Newsletter. Activités, services et produits dʼhauraton France Juin 2012

Sources. la Newsletter. Activités, services et produits dʼhauraton France Juin 2012 Sources 8 la Newsletter Activités, services et produits dʼhauraton France Juin 2012 Edito Thierry Platz, Gérant Norme EN 1433 Conformité, sécurité des caniveaux hydrauliques et responsabilité pénale. NORME

Plus en détail

EDFR/AC/KP/A4/030215

EDFR/AC/KP/A4/030215 Solutions rotomoulées pour le stockage et la distribution de gazole, de lubrifiants et d AdBlue. Systèmes de récupération des eaux de pluie et systèmes d assainissement non-collectifs. Solutions de stockage

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF

GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Actualisé 22/02/2008 - FL GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Un bon entretien de votre spa comporte 2 étapes indissociables : le traitement mécanique et le traitement chimique. TRAITEMENT

Plus en détail

Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures

Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures TZ-fert_franz.QXD 20.09.2006 13:52 Uhr Seite 1 Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures Préparation: Ajouter la quantité d eau requise (voir indications

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

Le point en recherche

Le point en recherche Le point en recherche Octobre 2005 Série technique 05-110 Télésurveillance et commande à distance des installations sur place de traitement et de recyclage des eaux usées, et de réutilisation de l eau

Plus en détail

VILLE DE SAINT-MAUR-DES-FOSSÉS MISE EN CONFORMITÉ DE L ASSAINISSEMENT INTÉRIEUR D UNE PROPRIÉTÉ

VILLE DE SAINT-MAUR-DES-FOSSÉS MISE EN CONFORMITÉ DE L ASSAINISSEMENT INTÉRIEUR D UNE PROPRIÉTÉ VILLE DE SAINT-MAUR-DES-FOSSÉS MISE EN CONFORMITÉ DE L ASSAINISSEMENT INTÉRIEUR D UNE PROPRIÉTÉ Ce document regroupe, sous forme de fiches, les informations nécessaires à la réalisation des travaux de

Plus en détail

Les Stations Compactes EPARCO à massif de zéolithe. Stations Compactes EPARCO de 5 à 20 Equivalents Habitants

Les Stations Compactes EPARCO à massif de zéolithe. Stations Compactes EPARCO de 5 à 20 Equivalents Habitants Les Stations Compactes EPARCO à massif de zéolithe Stations Compactes EPARCO de 5 à 20 Equivalents Habitants Version du 5 Juillet 2010 révisée le 15 Janvier 2014 INTRODUCTION AUX STATIONS COMPACTES EPARCO

Plus en détail

III.2 SPECTROPHOTOMÈTRES

III.2 SPECTROPHOTOMÈTRES instrumentation III.2 SPECTROPHOTOMÈTRES Spectrophotomètres UV/visibles 2 à 4 Spectrophotomètres visibles 5 à 7 0100100100100100011100110100100100100100 110100100100100100 011100110100100100100100 00100100100100011100110100100100100100

Plus en détail

USAGERS. Assainissement non collectif. Guide d information sur les installations. Outil d aide au choix

USAGERS. Assainissement non collectif. Guide d information sur les installations. Outil d aide au choix USAGERS Assainissement non collectif Guide d information sur les installations Outil d aide au choix Ministère de l'écologie, du Développement durable et de l Énergie www.developpement-durable.gouv.fr

Plus en détail

L enfouissement des déchets ultimes

L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)

Plus en détail

NOTICE DE MISE EN SERVICE

NOTICE DE MISE EN SERVICE NOTICE DE MISE EN SERVICE Dispositif de Surpression à Variation, pompe de 2,2kW 1. GENERALITES Avant de procéder à l installation, lire attentivement cette notice de mise en service. CONTROLE PRELIMINAIRE

Plus en détail

SERIE S Technologie Mouvex

SERIE S Technologie Mouvex FICHE TECHNIQUE 100-001 F SECTION : 1001 En vigueur : Janvier 009 Remplace : Mai 005 SERIE S Technologie Mouvex Pompes à piston excentré Etanchéité Conçue sans garniture mécanique, tresse ou entraînement

Plus en détail

La recherche d'indices par fluorescence

La recherche d'indices par fluorescence La recherche d'indices par fluorescence Ces sources d éclairage à haute intensité permettent, en fluorescence, la mise en évidence d indices qui ne sont pas visibles ou peu à l oeil nu. Ex : empreintes

Plus en détail

L'assainissement individuel : est-ce une solution archaïque et chère?

L'assainissement individuel : est-ce une solution archaïque et chère? février 2015 L'assainissement individuel : est-ce une solution archaïque et chère? L essentiel Document rédigé par Elodie Sanchez-Collet (Graie) Relecteurs : le réseau des acteurs de l ANC du Graie et

Plus en détail

DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE

DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE DOUBLE PARK ECO «La solution» DESCRIPTION TECHNIQUE P2-F et P4-F 185 (Modèle standard) P2-F et P4-F 170 MODELE P2/4-F 170 P2/4-F 185 (Standard) P2/4-F 195 P2-F et P4-F 195 H 325 340 350 DH 156 171 181

Plus en détail

MUNICIPALITÉ DE SAINTE-BARBE RÈGLEMENT NUMÉRO 2013-02 SUR LES BRANCHEMENTS D'ÉGOUT ET D AQUEDUC CODIFICATION ADMINISTRATIVE

MUNICIPALITÉ DE SAINTE-BARBE RÈGLEMENT NUMÉRO 2013-02 SUR LES BRANCHEMENTS D'ÉGOUT ET D AQUEDUC CODIFICATION ADMINISTRATIVE MUNICIPALITÉ DE SAINTE-BARBE RÈGLEMENT NUMÉRO 2013-02 SUR LES BRANCHEMENTS D'ÉGOUT ET D AQUEDUC CODIFICATION ADMINISTRATIVE MARS 2014 Municipalité de Sainte-Barbe Amendements au règlement numéro 2013-02

Plus en détail

Essais de charge sur plaque

Essais de charge sur plaque Page No.: 1 L essai de charge sur plaque est exécuté entre autres dans des galeries d exploration ou dans des puits, mais il peut aussi être exécuté à la surface en appliquant un poids mort ou en chargeant

Plus en détail

Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ) / Office National de l Assainissement (ONAS)

Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ) / Office National de l Assainissement (ONAS) Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ) / Office National de l Assainissement (ONAS) PROGRAMME DE GESTION DURABLE ET INTEGREE DE L EAU (SWIM) MISSION POUR L ETUDE D EVALUATION DE LA SITUATION

Plus en détail

LES PIÈCES A SCELLER

LES PIÈCES A SCELLER COORDINATION SYNDICALE DES INDUSTRIES DE LA PISCINE 9, RUE LA PÉROUSE - 75784 PARIS CEDEX 16 - TÉL. : 01 40 69 53 25 - FAX : 01 47 20 43 25 DIRECTIVES TECHNIQUES PISCINES LES PIÈCES A SCELLER DTP n 8 Janvier

Plus en détail

Douille expansibleécarteur

Douille expansibleécarteur 08/2011 Instructions de montage 999415003 fr Douille expansibleécarteur 15,0 Référence 581120000 Description La douille expansible écarteur 15,0 sert à l ancrage du coffrage une face dans le béton. Il

Plus en détail

Technique de mesure WIKA. aussi fiable qu une horloge suisse

Technique de mesure WIKA. aussi fiable qu une horloge suisse Technique de mesure WIKA aussi fiable qu une horloge suisse La précision compte! Nous sommes entourés de technique. Elle envahit notre société et pénètre partout. Les techniques de mesure et d étalonnage

Plus en détail

C 248-02. Nias Dual. Chaudières murales à tirage forcé, foyer étanche et ballon eau chaude sanitaire. chaleur à vivre. Nord Africa

C 248-02. Nias Dual. Chaudières murales à tirage forcé, foyer étanche et ballon eau chaude sanitaire. chaleur à vivre. Nord Africa C 248-02 made in Italy Nias Dual Chaudières murales à tirage forcé, foyer étanche et ballon eau chaude sanitaire chaleur à vivre FR Nord Africa Chaudières murales à tirage forcé, foyer étanche et ballon

Plus en détail

Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino

Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino RAPPORT TECHNIQUE Evacuation des eaux et alimentation en eau potable Dossier 10N026 Version 001 26 novembre 2010 RWB Holding SA Aménagement du territoire

Plus en détail

Soudal Panel System SPS. La force extrême derrière vos panneaux de façade. www.soudal.com SOUDAL PANEL SYSTEM. Soudal Panel System 1 SPS SOUDAL PANEL

Soudal Panel System SPS. La force extrême derrière vos panneaux de façade. www.soudal.com SOUDAL PANEL SYSTEM. Soudal Panel System 1 SPS SOUDAL PANEL www.soudal.com Soudal Panel System La force extrême derrière vos panneaux de façade WINDOW Soudal Panel System 1 Soudal Panel System () Qu est-ce que le? Les panneaux de façade existent dans tous les modèles

Plus en détail

Série M Débitmètres Eletta. Débitmètre à P avec sortie programmable

Série M Débitmètres Eletta. Débitmètre à P avec sortie programmable Série M Débitmètres Eletta Débitmètre à P avec sortie programmable Débitmètre à fonctions multiples pour gaz et liquides M3 Le débitmètre série M, avec sa conception polyvalente et conviviale, trouve tout

Plus en détail

Collecteur de distribution de fluide

Collecteur de distribution de fluide Collecteur de distribution de fluide Guide des applications Un sous-système prêt-à-monter Des sous-systèmes prêts-à-monter, disponibles en quelques semaines et non en quelques mois. Une conception testée

Plus en détail

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE

Plus en détail

Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-013) Version CT-Q 2011-11-15

Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-013) Version CT-Q 2011-11-15 Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-03) Version CT-Q 0--5 Groupe cible Collaborateurs qui doivent effectuer des mesures EX-OX-TOX sur un terrain d exploitation, les interpréter

Plus en détail

GUIDE TECHNIQUE DE REALISATION DES BRANCHEMENTS PARTICULIERS AUX RESEAUX D ASSAINISSEMENT ET D EAU POTABLE

GUIDE TECHNIQUE DE REALISATION DES BRANCHEMENTS PARTICULIERS AUX RESEAUX D ASSAINISSEMENT ET D EAU POTABLE Communauté d Agglomération Carcassonne Agglo DIRECTION EAU POTABLE & ASSAINISSEMENT 1, rue Pierre GERMAIN 11890 CARCASSONNE CEDEX 9 GUIDE TECHNIQUE DE REALISATION DES BRANCHEMENTS PARTICULIERS AUX RESEAUX

Plus en détail

FiveGo. FiveGo Appareils portables ph mv / Redox Conductivité TDS Teneur en sel Oxygène dissous. Economique & fiable L accès mobile au monde du ph

FiveGo. FiveGo Appareils portables ph mv / Redox Conductivité TDS Teneur en sel Oxygène dissous. Economique & fiable L accès mobile au monde du ph FiveGo FiveGo Appareils portables ph mv / Redox Conductivité TDS Teneur en sel Oxygène dissous Economique & fiable L accès mobile au monde du ph FiveGo 5 x 5 arguments pour FiveGo ph, conductivité et oxygène

Plus en détail

Tubes Fluorescents Haut Rendement Garantie Longue Durée : 60 Mois

Tubes Fluorescents Haut Rendement Garantie Longue Durée : 60 Mois Tubes Fluorescents Haut Rendement Garantie Longue Durée : 60 Mois Modèle T8-18 W (60 cm) / 36 W (120 cm) / 58 W (150 cm) 830 (Blanc Chaud) / 840 (Blanc Deluxe) / 865 (Lumière du Jour) Les Tubes Fluorescents

Plus en détail

Etanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42

Etanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Etanchéité à l air dans la construction bois Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Pourquoi des bâtiments étanches à l air? Ne pas confondre : étanchéité à l air et confinement Une bonne étanchéité à l air

Plus en détail

BeLux Piscine EMINENCE 10m / 5m

BeLux Piscine EMINENCE 10m / 5m BeLux Piscine EMINENCE 10m / 5m Composition de la formule EMINENCE La Maçonnerie Tous les blocs de maçonnerie sont prévus pour construire une piscine d'une dimension de 10m de longueur et 5m de largeur.

Plus en détail

Notice technique La filtration sur terre

Notice technique La filtration sur terre Notice technique La filtration sur terre 1 PRINCIPES ET DEFINITIONS La filtration du vin est une pratique très ancienne. Le mot lui même est un dérivé de «filtrum», le feutre qui était alors utilisé pour

Plus en détail

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http:// 2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation

Plus en détail

CHROMATOGRAPHE BTEX GC 5000 BTX

CHROMATOGRAPHE BTEX GC 5000 BTX FICHE PRODUIT - Le a été spécialement développé pour la surveillance en continu des polluants organiques dans l air ambiant dans la gamme C4-C12. L instrument se caractérise par son design compact et sa

Plus en détail

RÈGLEMENT 2011-011. Règlement concernant les branchements à l aqueduc et à l égout municipal

RÈGLEMENT 2011-011. Règlement concernant les branchements à l aqueduc et à l égout municipal CANADA PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE PAPINEAUVILLE COMTÉ DE PAPINEAU RÈGLEMENT 2011-011 Règlement concernant les branchements à l aqueduc et à l égout municipal que la municipalité exploite un réseau

Plus en détail

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l

Plus en détail

Les Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire

Les Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire Les Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire 1- Hygiène du personnel Lors de l'embauche à l entreprise, toute personne affectée au travail et à la manipulation des produits est soumise

Plus en détail

UNEP /UNESCO /UNCH / ECA

UNEP /UNESCO /UNCH / ECA UNEP /UNESCO /UNCH / ECA URBAN POLLUTION OF SURFICIAL AND GROUNDWATER AQUIFERS VULNERABILITY IN AFRICA Bénin, Guinée, Niger, Mali, Côte d Ivoire, Sénégal, Burkina Faso AQUIFERE SUPERFICIEL ET POLLUTION

Plus en détail

Carat. Assainissement Micro-stations d épuration. UNE GAMME COMPLèTE MICRO-STATIONS CARAT TRAITEMENT BIOLOGIQUE SBR FOSSES TOUTES EAUX

Carat. Assainissement Micro-stations d épuration. UNE GAMME COMPLèTE MICRO-STATIONS CARAT TRAITEMENT BIOLOGIQUE SBR FOSSES TOUTES EAUX Assainissement Micro-stations d épuration 2011 UNE GAMME COMPLèTE Carat MICRO-STATIONS CARAT TRAITEMENT BIOLOGIQUE SBR FOSSES TOUTES EAUX TUNNELS D EPANDAGE GRAF - Le spécialiste de l épuration Nouveau

Plus en détail

COLLOQUE Solaire thermique & Habitat collectif. François GIBERT directeur EKLOR. Instrumentation et régulation : la vision d un fabricant

COLLOQUE Solaire thermique & Habitat collectif. François GIBERT directeur EKLOR. Instrumentation et régulation : la vision d un fabricant COLLOQUE Solaire thermique & Habitat collectif 20 FÉVRIER 2013 : EUREXPO SALON DES ENR François GIBERT directeur EKLOR Instrumentation et régulation : la vision d un fabricant 1 2 2 3 3 Les fonctions d

Plus en détail

Oxydation par voie Humide : Expérience de Toulouse

Oxydation par voie Humide : Expérience de Toulouse XII ème Colloque AQUATECH LIMOGES 13 octobre 2005 Oxydation par voie Humide : Expérience de Toulouse Merzak BELKHODJA Direction Technique Veolia Water Principe Principe Oxydation thermique en phase liquide

Plus en détail

PCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678

PCB 20 Plancher collaborant. Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 Plancher collaborant Fiche technique Avis technique CSTB N 3/11-678 V1/2011 caractéristiques du profil DÉTAIL GÉOMÉTRIQUE DU 22 728 104 épaisseur (mm) 0,5 0,7 poids (dan/m 2 ) 5,3 7,4 APPLICATION CONSEILLÉE

Plus en détail

Outillage d atelier. Consommables

Outillage d atelier. Consommables Outillage d atelier Consommables Equiper son atelier pour la climatisation Détection de fuite par rayon UV Coffret Lampe ultraviolet sans fil Ref : 420A58 Kit de détection de fuites air conditionné véhicule.

Plus en détail

= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE

= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE PAVÉS EN BETON CONCEPTION APPROPRIÉE + MISE EN OEUVRE PROFESSIONNELLE = RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE 10 règles de base pour une mise en œuvre correcte de revêtements de pavés en béton 1 2 3 4 5 6 7 8

Plus en détail

FORMULAIRE DE POLICE D ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC (F.P.Q.)

FORMULAIRE DE POLICE D ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC (F.P.Q.) FORMULAIRE DE POLICE D ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC (F.P.Q.) N o 5 Formulaire d assurance complémentaire pour les dommages occasionnés au véhicule assuré (assurance de remplacement) F.P.Q. N o 5 1 er

Plus en détail

Document Technique d Application

Document Technique d Application Document Technique d Application Référence Avis Technique 13/15-1273 Annule et remplace le Document Technique d Application 13/12-1140*V1 Chape non destinée à l enrobage de planchers chauffants Chape fluide

Plus en détail

Cours de Structures en béton

Cours de Structures en béton Cours de Structures en béton Chapitre 12 DETAILS DE CONSTRUCTION Section 12.3 Les murs 12.3.1 Le mur extérieur en béton armé 12.3.2 Le mur extérieur en maçonnerie traditionnelle 12.3.3 Le mur extérieur

Plus en détail

SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM

SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM Nouvelle solution en grès cérame grande épaisseur pour l aménagement extérieur. Dalles en grès cérame fin coloré pleine masse de 2 cm d épaisseur, obtenues par atomisation

Plus en détail

kst ag Module thermoactif klima system technologie klima system technologie

kst ag Module thermoactif klima system technologie klima system technologie kst ag Module thermoactif system klima technologie klima system technologie 2 Confort climatique et bien-être Le module thermoactif de KST AG intègre la masse du bâtiment dans la gestion énergétique du

Plus en détail

STOCKAGE DES BOUES DE STATIONS D EPURATION URBAINES Bassin Artois Picardie

STOCKAGE DES BOUES DE STATIONS D EPURATION URBAINES Bassin Artois Picardie PREFECTURE REGION NORD PAS DE CALAIS Direction Régionale de l Environnement Nord - Pas de Calais Service Eau, Milieux Aquatiques et Risques Naturels Cellule Réglementation et Gestion Territoriale de l'eau

Plus en détail

Panneau solaire ALDEN

Panneau solaire ALDEN SOMMAIRE 1. Présentation... 1.1. Mise en situation... 1.2. Analyse du besoin... 4 1.. Problématique... 4 1.4. Expression du besoin... 5 1.5. Validation du besoin... 5 2. Analyse fonctionnelle... 2.1. Définition

Plus en détail

Analyser Détecter Rapporter

Analyser Détecter Rapporter A LA RECHERCHE DE LA PURETE... Analyser Détecter Rapporter DÉTECTION DES MÉTAUX POUR L INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE EARNING CUSTOMER CONFIDENCE Analyser Détecter Rapporter A LA RECHERCHE DE LA PURETE... Lock

Plus en détail

12.1. ACE 20 A0KN001N A0KN002N (avec kit pour véhicules hybrides et électriques)

12.1. ACE 20 A0KN001N A0KN002N (avec kit pour véhicules hybrides et électriques) 12.1. ACE 20 A0KN001N A0KN002N (avec kit pour véhicules hybrides et électriques) Du fait des nouvelles normes de protection d'environnement et d une réduction globale des coûts de fabrication, les systèmes

Plus en détail

GUIDE D'INSTALLATION. Lave-Vaisselle

GUIDE D'INSTALLATION. Lave-Vaisselle GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle SOMMAIRE 1/ CONSIGNES DE SECURITE Avertissements importants 03 2/ INSTALLATION DE VOTRE LAVE-VAISSELLE Appareil non encastré 04 Appareil encastré 04 Appareil encastré

Plus en détail

«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte»

«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» «Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» Silva Cell Module d enracinement pour arbres Application : - Le module Silva Cell crée un espace souterrain permettant l enracinement des arbres en ville.

Plus en détail

La relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable.

La relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable. 111 39 240 1812 906 La relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable. La relève de chaudière, qu est ce que c est? On parle de relève de chaudière lorsqu on installe une pompe à

Plus en détail

www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E

www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E Solutions pour l analyse de l eau en ligne AnaSense Analyseur en ligne d AGV, des bicarbonates

Plus en détail

2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE

2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE «La solution» 2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE SP2-F et SP4-F 295/310 SP2-F et SP4-F 295/310 MODELE H DH SP2/4-F 295 295 163 SP2/4-F 310* 310 163 *Standard Garage avec porte frontale devant parking mécanique

Plus en détail

Système de bridage rapide main-robot «QL»

Système de bridage rapide main-robot «QL» ELEMENTS DE PREHENSION 4 170 Principe général valable pour tous les modèles Élément femelle côté préhenseur Pour permettre le changement rapide des systèmes de préhension, les systèmes de bridages rapides

Plus en détail

HISTORIQUE et EXPLOITATION DETRIVAL I. ISDI et déchets d amiante lié à des matériaux inertes (amiante ciment) Commune de VIGNOC 35

HISTORIQUE et EXPLOITATION DETRIVAL I. ISDI et déchets d amiante lié à des matériaux inertes (amiante ciment) Commune de VIGNOC 35 HISTORIQUE et EXPLOITATION DETRIVAL I ISDI et déchets d amiante lié à des matériaux inertes (amiante ciment) Commune de VIGNOC 35 Vue aérienne du site de stockage amiante ciment Page 1-6 DETRIVAL I : ISDI

Plus en détail

COFFRETS EXTINCTEURS. Gamme tertiaire / esthétique. Coffret IRYS : le design au service de la sécurité. Caractéristiques :

COFFRETS EXTINCTEURS. Gamme tertiaire / esthétique. Coffret IRYS : le design au service de la sécurité. Caractéristiques : Extinction - Extincteurs COFFRETS EXTINCTEURS Dans tous les lieux où l extincteur peut être exposé à des intempéries, soumis à des milieux agressifs ou utilisation abusive, les coffrets et les housses

Plus en détail

Monitoring de la qualité des eaux marines dans les secteurs coquilliers

Monitoring de la qualité des eaux marines dans les secteurs coquilliers Monitoring de la qualité des eaux marines dans les secteurs coquilliers Jacques Sénéchal, Monitoring de la qualité des eaux marines, Environnement Canada 12 et 13 mars 2013 Programme canadien de contrôle

Plus en détail