CHAPITRE En ne conservant que deux chiffres significatifs, on arrondit
|
|
- Charlotte Durand
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chapitre 1 Arithmétique des grandeurs physiques 1 CHAPITRE 1 EXERCICES a) 3 chiffres significatifs b) 3 chiffres significatifs c) 5 chiffres significatifs d) 3 chiffres significatifs e) 4 chiffres significatifs f) 5 chiffres significatifs. a) 0,07; un chiffre significatif b) 5,7; trois chiffres significatifs c) 813,5; cinq chiffres significatifs d) 0,00; aucun chiffre significatif e) 51,39; quatre chiffres significatifs f),04; trois chiffres significatifs 3. a) 53,6 b) 54,38 c) 353,7 d) 357,3 e) 53,8 f) 0, a) 79,1 b) 13,48 c) 39 d) 4,0 e) 5,35 f) 3,319 g) 17,11 h) A = c = (15,4) = 37,16. En ne conservant que trois chiffres significatifs, on arrondit à 37 cm. 6. A = πr = 3, (6,3/) = 3048, cm. En ne conservant que trois chiffres significatifs, on arrondit à cm V = π r3 4 = 3, ( 67) 3 = , cm En ne conservant que deux chiffres significatifs, on arrondit à cm 3 ou 1, cm a) En ne conservant qu une seule décimale, on a : 185,9 b) En ne conservant qu une seule décimale, on a : 55,3 c) En ne conservant qu une seule décimale, on a : 79,8 d) En ne conservant que trois chiffres significatifs on a : 3 45 e) En ne conservant que trois chiffres significatifs on a : 648 f) En ne conservant que trois chiffres significatifs on a : 9,8 9. a) En ne conservant que trois chiffres significatifs on a : 840, b) En ne conservant que trois chiffres significatifs on a : 57 c) En ne conservant que trois chiffres significatifs on a : 507 d) En ne conservant que trois chiffres significatifs on a : 158 e) En ne conservant que trois chiffres significatifs on a : 7,84 f) En ne conservant que trois chiffres significatifs on a : 6,65 g) En ne conservant que trois chiffres significatifs on a : 1,7 h) En ne conservant que trois chiffres significatifs on a : 0,36 d ( 10, ) 10. a) Le volume d un cylindre est : V =π h =π 15 = 15, cm3 130 cm3 4 4 On peut donner 1, cm 3. b) La longueur de l intérieur de la boîte est de 40,8 cm et la largeur intérieure de 30,6 cm et la hauteur intérieure est de 15,0 cm. Le volume intérieur est donc : V = 30,6 40,8 15,0 = 18 77, cm cm 3 ou 1, cm 3. c) La longueur de l extérieur de la boîte est de 43, cm et la largeur extérieure de 33,0 cm et la hauteur extérieure est de 16, cm. Le volume extérieur est donc : V = 33,0 43, 16, = 3 094,7 cm 3. Soit cm 3 ou, cm 3.
2 Chapitre 1 Arithmétique des grandeurs physiques 11. a) 3, b) 5, c), d) 3, a) b) 0, c) d) 0, a) (3,3,56) ( ) = 8,7 10 b) 33, 103 = 56, , 10 7, 103 c) = 04, , 10 d) (7, ) + (0, ) = (7,07 + 0,37) 10 6 = 7, e) (0, ) + (7,56 10 ) = (0, ,56) 10 = 7,98 10 f) (4, ) (0, ) = (4,7 0,635) 10 1 = 3, a) 7 MHz (mégahertz) b) 53 kω (kiloohms) c) 80 pf (picofarads) d) 1,8 kw (kilowatts) e) 5 kv (kilovolts) f) 15 km 15. a) 0,034 s b) 0,048 m c) 340 W d) V e) m f) 0, F g) 0,046 A h) 0, F EXERCICES mol Cu 1. Puisqu un échantillon de cuivre contient 1 mol par 63,55 g, on a : 41,8 g Cu = 6, mol Cu 63, 55 g Cu Dans cette opération, le nombre qui comporte le moins de chiffres significatifs en a 4 et en arrondissant, on donnera 6,496 mol Cu. Puisque le nombre d atomes d une mole est 6,0 10 3, on a : 6,0 10 atomes 3 6, mol Cu = 39, atomes 1 mol Cu En arrondissant et en ajustant la mantisse, on obtient 3, atomes.. La masse d une mole est donnée par : 6,0 10 3, = 15,99443 que l on arrondit à 15,99 g Il nous faut d abord calculer la surface de contact qui est l aire d un cercle dont le rayon est de 1 cm ou de 0,1 m. L aire est donc : A = π 0,1 = 0, m, soit 0,045 m F La pression étant le rapport de la force sur la surface de contact, on a p =, d où : F = pa. Cela donne : A F = 900 Pa 0, m = 416, N. La force exercée est donc estimée à 416 N. 4. La hauteur sera multipliée par 180/40 = 9/. Le volume sera donc multiplié par (9/) 3. La sculpture devant être réalisée dans le même matériau que la maquette, sa masse sera : = 3 = kg 5. Les volumes sont directement proportionnels au cube de leurs lignes homologues et les masses de solides du même matériau sont directement proportionnelles au volume. On a donc : M M1 d 3 d M M d =, d où = d1 3 1 = 10 = 513, g 73
3 Chapitre 1 Arithmétique des grandeurs physiques 3 6. Les volumes sont directement proportionnels au cube de leurs lignes homologues et les masses de solides du même matériau sont directement proportionnelles au volume. On a donc : M M1 d 3 M d d d d M =, d où = et = = 18, , 8 cm 16, 5 7. Soit m la masse et é l élongation. La masse qu il faut suspendre est directement proportionnelle à l élongation que l on veut obtenir. La constante de proportionnalité est donc le rapport de la masse suspendue sur l élongation qui en résulte, ce qui donne : m 30 g k = = = 6 gcm é 5 cm Pour avoir une élongation de 7 cm, on trouve m = ké = 6 g/cm 7 cm = 4 g. 8. a) Masse de 1 mol de N : 1 114,01 g = 14,01 g Masse de 3 mol de H : 3 1,008 g = 3,04 g Masse de 1 mol de NH 3 : = 17,03 g b) Masse de 1 mol de Na : 1,99 g =,99 g Masse de 1 mol de Cl : 1 1,008 g = 35,45 g Masse de 1 mol de NaCl : = 58,44 g c) Masse de 1 mol de C : 1 1,01 g = 1,01 g Masse de 1 mol de O : 16,00 g = 3,00 g Masse de 1 mol de CO : = 44,01 g 9. La distance est de 3 km lorsque le son nous parvient 9 secondes après l éclair. Elle est donc de 1/3 de kilomètres pour chaque seconde de délai. Si le temps écoulé est de 4 secondes, la distance est alors 4/3 km. La constante de proportionnalité représente donc la distance en kilomètres qui nous sépare de la foudre pour chaque seconde de délai. 10. Représentons par y la longueur des supports et x, la distance en mètres à partir du bas de la rampe. On a alors y = 1,5x/9 puisque la longueur du support est directement proportionnelle à la distance du bas de la rampe. On trouve alors les données du tableau ci-dessous : 9 m 1,5 m x (m) y (m) 0,17 0,33 0,5 0,67 0,83 1,0 1,17 1,33 1,5 11. Le rapport des poids de deux corps semblables est égal au rapport de leurs volumes et le rapport des volumes est égal au cube du rapport de leurs lignes homologues. Le rapport des lignes homologues étant de,4/0,3 = 8, le rapport des volumes est donc égal à 8 3 et le rapport des poids est : y x = 8 3 = 51 on a donc y = 51x. Le poids de la maquette étant de 1,75 kg, le poids de la sculpture sera : y = 51 1,75 = 896 kg 1. Soit m la masse et é l élongation. L élongation est directement proportionnelle à la masse. La constante de proportionnalité est donc le rapport de l élongation sur la masse suspendue, ce qui donne : 34, cm k = = 0, , 4 14 kg cm kg En suspendant une masse de 4 kg, l élongation sera : 3,4 cm é = k m = 0, cm/kg 4 kg/cm = 5, ,8 cm 14 kg 13. a) Le volume du lingot est : V = 0,70 m 0,37 m 0,1 m = 0, ,054 m 3. Dans les calculs, on doit conserver tous les chiffres. La masse volumique est alors : M V = 485 kg = 8917, kg m 3. On retiendra 9,0 10 0,05439 kg/m 3.
4 4 Chapitre 1 Arithmétique des grandeurs physiques b) Il faut arrondir à 9 000, compte tenu de la précision des mesures. La densité relative du métal est 9. c) Probablement un lingot de cuivre ou un alliage contenant beaucoup de cuivre. 1 cm 70 cm 37 cm 14. Le panneau signifie que la dénivellation est de 16 mètres pour une distance horizontale de 100 mètres. 15. Puisque 0,4 m = cm, l aire de la boîte est : x + 160x = d où : x + 160x = 0 (x 40)(x + 100) = 0 qui donne x = 0 et x = 100. Cette deuxième valeur est à rejeter. Les dimensions devront être 0 cm par 0 cm par 40 cm. Le volume est 0,016 m 3. x x 40 cm 16. L aire de la boîte est : x + 360x = d où : x + 360x = 0 (x + 440)(x 40) = 0 qui donne x = 40 et x = 0. Cette deuxième valeur est à rejeter. Les dimensions devront être 40 cm par 80 cm par 60 cm. Le volume est 0,19 m cm x x 17. a) 0 kpa b) 4,4 kpa 18. Pour résoudre ce problème, on peut regrouper les variables du même côté de l égalité pour obtenir V = a. T Exprimons les températures en kelvins : T 1 = 14,5 C + 73 C = 87,5 K et T = 39,4 C + 73 C = 31,4 K Posons V 1 = 4,38 L et V = x L. Par la loi de Charles, on doit avoir : V V = a =, d où : = et V T T1 T T1 T = T 1 En substituant les données, en effectuant les calculs et en simplifiant les unités, on obtient : 4,38 L 31, 4 K x = = 4, L 87, 5 K Compte tenu de la précision des données, on acceptera 4,76 L comme volume occupé par le gaz à 39,4 C et une pression de 101,3 kpa. 19. Posons V 1 =,84 L, p 1 = 5, Pa, V = x L et p = 1, Pa. pv Par la loi de Boyle-Mariotte, on doit avoir : p 1 V 1 = a = p V, d où : p 1 V 1 = p V et 1 1 V = p En substituant les données, en effectuant les calculs et en simplifiant les unités, on obtient : 58, 103 Pa 84, L x = = 1, L 1, Pa Compte tenu de la précision des données, on acceptera 1,6 L comme volume occupé à une pression de 1, Pa. 0. On doit avoir V m C m = V f C f. En considérant que la solution mère a une concentration unitaire et en substituant les données, on obtient : 1 V m 1= 400 µ L = 10 µ L 40 Il faut préparer une solution fille à partir de 390 µl du liquide de dilution demandé et transférer 10 µl de la solution mère dans le contenant de la solution fille. Volume 900 µl 10 Volume 890 µl µl 390 µl 0,05%
5 Chapitre 1 Arithmétique des grandeurs physiques 5 1 mol Al 1. Puisqu un échantillon d aluminium contient 1 mol par 6,98 g, on a : 34, 7 g Al = 8, mol Al 6,98 g Al Dans cette opération, le nombre qui comporte le moins de chiffres significatifs en a 4 et en arrondissant, on donnera 8,699 mol Al. Puisque le nombre d atomes d une mole est 6,0 10 3, on a : 6,0 10 atomes 3 8, mol Al = 5, atomes 1 mol Al En arrondissant et en ajustant la mantisse, on obtient 5, atomes. La masse de l échantillon est 8,699 moles et il contient 5, atomes. On doit avoir V m C m = V f C f. En substituant les données, on obtient : V m 0,15 = 0,10, d où V m V m =. Il faut préparer une solution fille de 00 µl et prélever de la solution mère. 3. Posons V 1 = 11,8 L, n 1 = 0,50 mol, V = x L et n =,30 mol. 15 % V Par la loi d Avogadro, on a : =, d où V n n1 n = n 1 En substituant les données, en effectuant les calculs et en simplifiant les unités, on obtient : 11,8 L,30 mol x = = 54, 8 L 0,50 mol Compte tenu de la précision des données, on acceptera 54 L comme volume occupé par,30 mol de ce gaz µl 00 µl 15 % 0 % 40 µl 5 10 % 4. a) b) 40 µl 39 µl µl 8 µl 398 µl 40 µl 686 µl µl L 300 µl 00 µl 3 µl 10 % 4 µl 396 µl 398 µl 6 µl µl 300 µl % 300 µl 00 µl Étape Étape 8 µl 10 % 1% µl 398 µl 6 µl 10 % 00 µl 1% 00 µl 6 µl 10 % 1% 0,5% 6 µl 10 % 1% 0,5% 5. a) Puisque 1/ 1/0 = 1/40, il faudra prélever la moitié du contenu de la première solution fille pour préparer la deuxième. Pour préparer la troisième, il faudra prélever la moitié de la deuxième puisque 1/ 1/40 = 1/80. Pour qu il reste chaque fois, ces solutions doivent être de 100 µl. La concentration de la solution mère est de 100 % et celle de la première solution fille doit être de 1/0 (0,05 %). La proportion de la solution mère dans la première solution fille doit être de : 0, = 60 µl Cette première solution devra donc contenir 1140 µl du liquide de solution et 60 µl de la solution mère. La démarche est illustrée à la page suivante.
6 6 Chapitre 1 Arithmétique des grandeurs physiques Il faut préparer une première solution fille contenant µl du liquide de dilution, une seconde contenant 600 µl et une troisième contenant également. À la première étape, on prélève 60 µl de solution mère. À la deuxième étape, on prélève de la première fille et, à la troisième, également de la deuxième fille. b) Il faut au moins 10 µl de solution mère x µl 60 µl? 10 µl 1140 µl / µl 0,05% 6. Puisque 3O (g) O 3 (g), on a : mol O3 mol O3 no = n 3 O = 075, mol O 3mol O = 050, mol O3 3mol O Les données sont V 1 = 18,3 L, n 1 = O,75 mol O et n = O,50 mol O 3. V On cherche V. Par la loi d Avogadro, on a =, d où V n n1 n = n 1 D où : V = 18, L 075, 050, mol=1,13 L. L ozone occupe un volume de 1 L. mol 7. a) Étape? 10 µl? 10 µl 1 1/0 1/40 0 0,05% 100 µl 0,05% 1 1/0 1/40 1/80 0,05% 0,05% 100 µl 0,015% i) x µl 540 µl µl L? µl 10 Étape? 10 µl? 10 µl 1 1 µl 588 µl 588 µl 1 % 3 µl 1 % 597 µl 597 µl 597 µl 0,5% ii) x µl 675 µl µl L? 10 µl Étape? 10 µl? 10 µl 750 µl µl µl 450 µl 750 µl 450 µl % 150 µl % 0,5% b) 150 µl de solution mère et 175 µl d un liquide de dilution
7 Chapitre 1 Arithmétique des grandeurs physiques cm 100 cm 100 cm = cm 3 9. a) 1 mm = 1/10 cm, d où 1 mm = 1/10 cm 1/10 cm = 1/100 cm = 0,01 cm b) 0,1 mm = 1/100 cm, d où 0,1 mm 3 = 1/100 cm 1/100 cm 1/100 cm = cm L d eau correspond à g, soit 1 kg. 31. a) b) 1 g 1 cm 1 L 1000 cm g = g, d où x 1 cm cm 3 = =. 1 L d eau correspond à cm 3. x cm 1g 3 3 L = x, d où 1 cm 3 correspond à L, soit 1 ml d eau. 1 cm 3 3 c) Puisque 1 cm = 10 mm, 1 cm 3 = 1000 mm 3. On a donc x mm 1 L 1 L d eau correspond à 10 6 mm m 1000 mm 1 L = , d où x = 3 = 1 10 L 1 10 L x ml ml d) Puisque 1 L = 1000 ml, 3 = ml 0,1 mm 6 3, d où x = = ,1 mm 10 mm 6 3 ml. Par conséquent, 10 mm 0,1 mm 3 correspond à ml ou 0,1 µl. e) Puisque 0,1 mm 3 correspond à ml, 1 mm 3 correspond à ml. 3. a) Puisque 0,1 mm 3 correspond à ml, on a x cell. 50 cell. 50 cell. 1 ml = 4, d où x = 4 = cell. 1 ml 10 ml 10 ml L éprouvette contient, cellules (tous les nombres de ce calcul sont des nombres exacts). b) La concentration est de, cell./ ml. c) On doit avoir x cell. cell. = 4 104, d où x = cell. 5 ml 4 5 = 0 10 cell. = 10 cell. Il faut donc faire 5 ml 1 ml 1 ml un prélèvement qui comportera 10 cell. dans une éprouvette contenant 1 ml et dont la concentration est de, cell./ ml. On doit donc avoir : Cela donne :, cell. cell. = 10 5 qui donne x = 5 10 cell. 1 ml 1 6 = 08, 10 ml, soit 0,08 ml ou 80 µl. 1 ml x ml,5 10 cell. Il faut donc prélever 80 µl. 3 6 mm a) Puisque 0,1 mm 3 correspond à cell. x cell. 300 cell. 5 ml ml, on a = 4, d où x = = ml 5 ml 1 10 ml La boîte contient 1, cellules. 7 15, 10 cell. 7 b) La concentration est c = = 03, 10 cell. ml, soit 3, cell./ ml. 5 ml c) Pour avoir une concentration de 3, cell./ml. dans une boîte contenant 5 ml, il faut prélever 3, cell./ml 5 ml = 17, cell. = 1, cell , 10 cell. 175, 10 cell. On doit donc prélever x ml tel que =, ce qui donne : 1 ml x ml 5 175, 10 cell. 1 ml x = = , ml = 00583, ml = 58,3 µ L 30, 10 cell. Il faut donc prélever 58,3 µl. 4 cell. 34. a) i) Puisque 0,1 mm 3 correspond à ml, on a 1, 10 cell. x cell. = ml 5 ml La boîte contient 6, cellules. 9 6 ii) c = 10 cell. = 1, 10 5 ml 9 cell. ml 5 5 1, 10 cell. 5 ml 9 et x = = 6 10 cell ml
8 8 Chapitre 1 Arithmétique des grandeurs physiques b) i) On extrait 6, cell. ii) La concentration sera de 6, cell./ml. c) Le nombre de cellules pour obtenir une concentration de 1, cell./ml dans 4 ml, est : n = 1, cell./ml 4 ml = 6, cell , On doit prélever x ml tel que cell. = cell., d où 1 ml x ml 4 60, 10 cell. 1 ml 5 x = 9 = 1 10 ml = 0,01 µ L 60, 10 cell. Il faut donc prélever environ 0,01 µl. Remarque : Vous apprendrez que, dans le cadre d une culture cellulaire, une concentration de 6, cell./ml peut être trop élevée. 35. a) i) ml 1,0mL 8, c./ml 1,0 ml 0 0 1,5 ml 1,75 ml 4 ml ml 1,5 ml 8, c./ml4, c./ml 0,5 ml 1,75 ml Étape 1 1/ 1/4 0 3,5 ml ml ml 1,75 ml 8, c./ml4, c./ml, c./ml 0,5 ml 3,5 ml ml ml 8, c./ml4, c./ml, c./ml Étape 4 1 1/ / 1/4 1/8 ml 1, c./ml 8, c. 4, c., c.
9 Chapitre 1 Arithmétique des grandeurs physiques 9 ii) ml 1,75 ml 8, c./ml 1,75 ml 0 0 1,5 ml 1,0 ml 3,5 ml 3,5 ml 1,5 ml 8, c./ml4, c./ml 1,5 ml 1,0 ml Étape 1 1/ 1/4 0 3,5 ml,0 ml 3,0 ml 1,0 ml 8, c./ml4, c./ml, c./ml 1,0 ml 1 1/ 1/4 1/8 3,5 ml,0 ml,0 ml,0 ml 8, c.m/l4, c./ml, c./ml1, c./ml Étape 4 1 1/ 0 0 8, c. 4, c., c. b) Les boîtes contiendront respectivement 8,00 10 cell., 4,00 10 cell. et,00 10 cell. 1,75 ml de solution mère et 4,5 ml de liquide de dilution 36. a) i) ml 0,45 ml, c.m/l 0,05 ml 0 0 0,475 ml 0,49 ml 0,95 ml 0,5 ml 0,475 ml, c./ml, c./ml 0,05 ml 0,49 ml Étape 1 1/10 1/0 0 0,95 ml 0,5 ml 0,5 ml 0,49 ml, c./ml, c./ml1, c./ml 0,01 ml 0,915 ml 0,5 ml 0,5 ml 0,5 ml, c./ml, c./ml1, c./ml5, c./ml Étape 4 1 1/ /10 1/0 1/50 1, c. 6, c., c.
10 10 Chapitre 1 Arithmétique des grandeurs physiques ii) ml 0,765 ml, c./ml 0,085 ml 0 0 0,35 ml 0,30 ml 0,915 ml 0,85 ml 0,35 ml, c./ml, c./ml 0,35 ml 0,30 ml Étape 1 1/10 1/0 0 0,915 ml 0,5 ml 0,7 ml 0,30 ml, c./ml, c./ml1, c./ml 0,0 ml 0,915 ml 0,5 ml 0,5 ml 0,5 ml, c./ml, c./ml1, c./ml5, c./ml Étape 4 1 1/ /10 1/0 1/50 1, c. 6, c., c. b) Les boîtes contiendront respectivement 7, cell., 3, cell. et 1, cell, 0,85 ml de solution mère et 1,415 ml d un liquide de dilution.
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détailInitiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI
Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides
Plus en détailMesures et incertitudes
En physique et en chimie, toute grandeur, mesurée ou calculée, est entachée d erreur, ce qui ne l empêche pas d être exploitée pour prendre des décisions. Aujourd hui, la notion d erreur a son vocabulaire
Plus en détailLA TYPOGRAPHIE (Norme ISO 31)
LA TYPOGRAPHIE (Norme ISO 31) AVERTISSEMENT : Les exemples en vert sont recommandés, ceux en rouge, interdits. L'écriture des unités de mesure Les unités de mesure s'écrivent en totalité lorsqu'elles -
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailModule d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere
Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailSP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution :
SP. 3 Concentration molaire exercices Savoir son cours Concentrations : Calculer les concentrations molaires en soluté apporté des solutions désinfectantes suivantes : a) Une solution de 2,0 L contenant
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET
SESSION 2010 France métropolitaine BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE ÉPREUVE N 2 DU PREMIER GROUPE ÉPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Option : Génie des équipements agricoles Durée : 3 heures 30 Matériel
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détailChapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique
Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant
Plus en détailRéglementation incendie en ERP
R. ARTERO, Chef de produits Réglementation incendie en ERP à respecter pour la pose d un bâti-support WC Rappel de vocabulaire et réglementation Résistance au feu La résistance au feu caractérise le comportement
Plus en détailHELIOS UNITÉ SUSPENDUE
HELIOS UNITÉ SUSPENDUE INDIVIDUELLE AVEC 1 BRAS À HAUTEUR FIXE code: PS1BLF rev. 5 du 10.02.2006 (dans les illustrations exemples de configuration HELIOS et modules de gaz et eletriques) INFORMATIONS GÉNÉRALES
Plus en détailLivret de formules. Calcul Professionnel Boulangère-Pâtissière-Confiseuse AFP Boulanger-Pâtissier-Confiseur AFP
Version 2: 13.11.2014 Livret de formules Calcul Professionnel Boulangère-Pâtissière-Confiseuse AFP Boulanger-Pâtissier-Confiseur AFP Economie d entreprise Boulangère-Pâtissière-Confiseuse CFC Boulanger-Pâtissier-Confiseur
Plus en détailB = A = B = A = B = A = B = A = Recopier sur la copie chaque expression numérique et la réponse exacte. Réponse A Réponse B Réponse C Solution
Q.C.M. Recopier sur la copie chaque expression numérique et la réponse exacte. Réponse A Réponse B Réponse C Solution Exercice 1 On considère les trois nombres A, B et C : 2 x (60 5 x 4 ²) (8 15) Calculer
Plus en détailChapitre 7: Dynamique des fluides
Chapitre 7: Dynamique des fluides But du chapitre: comprendre les principes qui permettent de décrire la circulation sanguine. Ceci revient à étudier la manière dont les fluides circulent dans les tuyaux.
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailGaz moléculaire et formation stellaire dans les galaxies proches : maintenant et à l'époque ALMA Jonathan Braine
Gaz moléculaire et formation stellaire dans les galaxies proches : maintenant et à l'époque ALMA Jonathan Braine Laboratoire d'astrophysique de Bordeaux Scénario de base Le gaz moléculaire se forme par
Plus en détailCHALLENGE FORMULA CLASSIC
REGLEMENT TECHNIQUE 2013 CHALLENGE FORMULA CLASSIC ARTICLE 1 : définition Les monoplaces acceptées dans les épreuves de Formula Classic doivent être dans leur configuration d origine. La cylindrée sera
Plus en détailNEOTECHA. Robinets à tournant sphérique - Modèles SNB et SNC
NEOTECHA Robinet à tournant sphérique en acier inoxydable revêtu de PFA avec dimension face à face courte et conception sphère / tige avec tourillon arbrée éprouvée pour une utilisation dans les industries
Plus en détailItems étudiés dans le CHAPITRE N5. 7 et 9 p 129 D14 Déterminer par le calcul l'antécédent d'un nombre par une fonction linéaire
CHAPITRE N5 FONCTIONS LINEAIRES NOTION DE FONCTION FONCTIONS LINEAIRES NOTION DE FONCTION FONCTIONS LINEAIRES NOTION DE FONCTION Code item D0 D2 N30[S] Items étudiés dans le CHAPITRE N5 Déterminer l'image
Plus en détailLA PUISSANCE DES MOTEURS. Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile?
LA PUISSANCE DES MOTEURS Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile? Chaque modèle y est décliné en plusieurs versions, les différences portant essentiellement sur la puissance
Plus en détailProjet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer
ÉOLIENNES OFFSHORE DU CALVADOS avril 2013 Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer Synthèse d étude relative à la protection des câbles Sommaire 1. CONTEXTE ET OBJECTIF DE L ETUDE...
Plus en détailTSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1
TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailREGIE AUTONOME INTERCOMMUNALE DE DISTRIBUTION D'EAU D'ELECTRICITE DE LA PROVINCE D'EL JADIDA R.A.D.E.E.J.
REGIE AUTONOME INTERCOMMUNALE DE DISTRIBUTION D'EAU D'ELECTRICITE DE LA PROVINCE D'EL JADIDA R.A.D.E.E.J. BORDEREAU DES PRIX POUR L'ETABLISSEMENT DES DEVIS DES LOTISSEMENTS,DOUARS,BRANCHEMENT BT ET BRANCHEMENT
Plus en détailElectrique / eau chaude. Discret. Rideaux d air ventilation seule. Simple - intelligent. Confortable - innovant
PW/PE en applique Electrique / eau chaude Esthétique soignée Commande intégrée ou à distance Barrière thermique de 1 m, 1,5 m et 2 m Confort intérieur ou appoint chauffage Hauteur de montage 2 à 3,5 m
Plus en détail1 Mise en application
Université Paris 7 - Denis Diderot 2013-2014 TD : Corrigé TD1 - partie 2 1 Mise en application Exercice 1 corrigé Exercice 2 corrigé - Vibration d une goutte La fréquence de vibration d une goutte d eau
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome
PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -
Plus en détailVII Escaliers et rampes
VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son
Plus en détailSite : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 2003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ
Site : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ LE JUS E FRUIT 35(0,Ê5(3$57,(%LRFKLPLHSRLQWV L'analyse d'un jus de fruit révèle la présence d'un composé
Plus en détailCONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE
CONSTRUCTION D UN CHAUFFE EAU SOLAIRE Motivé par le développement durable je voulais absolument trouver la méthode pour me fabriquer un chauffe eau solaire. J ai donc décidé moi aussi de m investir dans
Plus en détailLe Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.
Le Soleil Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil, une formidable centrale à Fusion Nucléaire Le Soleil a pris naissance au sein d un nuage d hydrogène de composition relative en moles
Plus en détailDISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert
DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions
Plus en détailRAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS
RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS 1 SITUATION DE L ÉTUDE Les données météorologiques sont des données primordiales pour le bon déroulement des calculs et pour avoir des résultats les plus proches de la réalité.
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailDYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES
A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,
Plus en détailÉVALUATION EN FIN DE CM1. Année scolaire 2014 2015 LIVRET DE L'ÉLÈVE MATHÉMATIQUES
ÉVALUATION EN FIN DE CM1 Année scolaire 2014 2015 LIVRET DE L'ÉLÈVE MATHÉMATIQUES NOM :....... Prénom :....... Né le :./../ École :............ Classe : Domaine Score de réussite NOMBRES ET CALCUL GÉOMÉTRIE
Plus en détailLes fonction affines
Les fonction affines EXERCICE 1 : Voir le cours EXERCICE 2 : Optimisation 1) Traduire, pour une semaine de location, chaque formule par une écriture de la forme (où x désigne le nombre de kilomètres parcourus
Plus en détailPage : 1 de 6 MAJ: 01.03.2010. 2-10_Chaudieresbuches_serie VX_FR_010310.odt. Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol :
Page : 1 de 6 Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol : Référence article 058.01.250: VX18 Référence article 058.01.251: VX20 Référence article 058.01.252: VX30 Chaudière spéciale à gazéification
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailRéférences pour la commande
avec fonction de détection de défaillance G3PC Détecte les dysfonctionnements des relais statiques utilisés pour la régulation de température des éléments chauffants et émet simultanément des signaux d'alarme.
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailSituations d apprentissage. Mat-2101-3
Situations d apprentissage Mat-2101-3 Un vendredi au chalet (Activités 1, 2 et 3) Le taxi (Activités 1 et 2) Un entrepôt «sans dessus dessous» (Activités 1, 2, 3 et 4) France Dugal Diane Garneau Commission
Plus en détailMéthodes de Caractérisation des Matériaux. Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/
Méthodes de Caractérisation des Matériaux Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/ 1. Symboles standards et grandeurs électriques 3 2. Le courant électrique 4 3. La résistance électrique 4 4. Le
Plus en détailTOTALREX. Z.C Le Kenyah Nord 56400 PLOUGOUMELEN Tel : 02.97.24.48.98 ou 06.09.30.44.81 Fax : 02.97.24.01.56 Email : euroouest@orange.
REX Tel : 02.97.24.48.98 ou 06.09.30.44.81 Fax : 02.97.24.01.56 Email : euroouest@orange.fr 1/14 La gae des plateformes à ciseaux s agrandit avec l arrivée de solutions qui permettent la présence d une
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailβ-galactosidase A.2.1) à 37 C, en tampon phosphate de sodium 0,1 mol/l ph 7 plus 2-mercaptoéthanol 1 mmol/l et MgCl 2 1 mmol/l (tampon P)
bioch/enzymo/tp-betagal-initiation-michaelis.odt JF Perrin maj sept 2008-sept 2012 page 1/6 Etude de la β-galactosidase de E. Coli : mise en évidence d'un comportement Michaélien lors de l'hydrolyse du
Plus en détailA. Énergie nucléaire 1. Fission nucléaire 2. Fusion nucléaire 3. La centrale nucléaire
Énergie Table des A. Énergie 1. 2. 3. La centrale Énergie Table des Pour ce chapitre du cours il vous faut à peu près 90 minutes. A la fin de ce chapitre, vous pouvez : -distinguer entre fission et fusion.
Plus en détailSECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène
SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles
Plus en détailÀ propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire
À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet
Plus en détailVI Basse consommation inverter
[ VERSION SURBAISSÉE ] CV CH CH 7 W pour 1 kw diffusé Applications Chauffage et/ou climatisation en résidentiel ou tertiaire NC Avantages Une offre compétitive en ventilo-convecteurs pour systèmes à eau
Plus en détailREPRESENTER LA TERRE Cartographie et navigation
REPRESENTER LA TERRE Seconde Page 1 TRAVAUX DIRIGES REPRESENTER LA TERRE Cartographie et navigation Casterman TINTIN "Le trésor de Rackham Le Rouge" 1 TRIGONOMETRIE : Calcul du chemin le plus court. 1)
Plus en détailSuivi d une réaction lente par chromatographie
TS Activité Chapitre 8 Cinétique chimique Suivi d une réaction lente par chromatographie Objectifs : Analyser un protocole expérimental de synthèse chimique Analyser un chromatogramme pour mettre en évidence
Plus en détailSystèmes de stockage et de manutention automatisés Ingénierie Logistique
Systèmes de stockage et de manutention automatisés Ingénierie Logistique ITALIE: Via dell Industria - 40064 Ozzano E. - Bo Italy Sede Legale - Uff.comm.italia e Servizio assitenza Via Bernardino verro,
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailUnités: m 3. 1,3 kg m 3 * V = πr 2 h.
1. Masse volumique Définition: La masse volumique ρ est définie comme étant la masse M par unité de volume V: ρ = M V Unités: kg ou éventuellement 3 m g cm 3. Ordres de grandeur: Matière Eau Air * Aluminium
Plus en détailCes robinets à tournant sphérique sont utilisés pour une large gamme d'applications dans de nombreuses industries
Robinets à tournant sphérique. DN 15-150 Ces robinets à tournant sphérique sont utilisés pour une large gamme d'applications dans de nombreuses industries Caractéristiques Le revêtement PFA offre une excellente
Plus en détailIndicateur. IDé 500. Descriptif indicateur. Schéma/Encombrement
Indicateur ML IDé 500 Descriptif indicateur Terminal de pesage compatible avec tous les capteurs de pesage analogiques à jauge de contrainte, optimisé pour les capteurs numériques ARPEGE MASTER K. Cet
Plus en détailUNITÉS ET MESURES UNITÉS DE MESURE DES LONGUEURS. Dossier n 1 Juin 2005
UNITÉS ET MESURES UNITÉS DE MESURE DES LONGUEURS Dossier n 1 Juin 2005 Tous droits réservés au réseau AGRIMÉDIA Conçu et réalisé par : Marie-Christine LIEFOOGHE Bruno VANBAELINGHEM Annie VANDERSTRAELE
Plus en détailMISAPOR verre cellulaire
MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch
Plus en détailCORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE
Thème : L eau CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 Domaine : Eau et énergie CORRIGE 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE 2.1. Enoncé L'alimentation électrique d'une navette spatiale
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailSOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... LES MESURES
SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... SOMMAIRE... LES MESURES MES 1 Les mesures de longueurs MES 2 Lecture de l heure MES 3 Les mesures de masse MES 4 Comparer des longueurs, périmètres.
Plus en détail1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..
1 Définition GÉNÉRALITÉS Statique 1 2 Systèmes matériels et solides Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..une pièce mais aussi un liquide ou un gaz Le solide : Il est supposé
Plus en détailPlan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailChapitre 2 Caractéristiques des ondes
Chapitre Caractéristiques des ondes Manuel pages 31 à 50 Choix pédagogiques Le cours de ce chapitre débute par l étude de la propagation des ondes progressives. La description de ce phénomène est illustrée
Plus en détail1- Gaz-mm British standrad to mm. DIAMÈTRE EXTÉRIEUR FILETÉ mm. DIAMÈTRE INTÉRIEUR TARAUDÉ mm
1- Gaz-mm British standrad to mm PAS BRITISH STANDARD DIAMÈTRE EXTÉRIEUR FILETÉ mm DIAMÈTRE INTÉRIEUR TARAUDÉ mm DIAMÈTRE DE L'AVANT- TROU mm RACCORD PLOMBERIE G 1/8" 9,73 8,85 8,80 G 1/4" 13,16 11,89
Plus en détailRemeha ZentaSOL. La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement
Remeha ZentaSOL La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement ZentaSOL Système de chauffe-eau solaire Remeha ZentaSOL L'énergie solaire est la source de chaleur la plus écologique et
Plus en détailThème Le domaine continental et sa dynamique
Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels
Plus en détailPRIME Á LA CASSE POUR L'AUTOMOBILE Etude de fonction Recherche d extremum. DIMINUTION DE LA POLLUTION Suites numériques
BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL ÉPREUVE ORALE DE CONTRÔLE MATHÉMATIQUES ET SCIENCES PHYSIQUE ET CHIMIQUE EXEMPLES DE SUPPORTS POUVANT ÊTRE UTILISÉS POUR ÉLABORER DES SUJETS EXEMPLE 1 : EXEMPLE 2 : EXEMPLE 3
Plus en détailEPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian
1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul
Plus en détailCâbles de réseau basse tension et câbles moyenne tension
Câbles de réseau basse tension et câbles moyenne tension Exper t mondial en câbles et sy s tèmes de câblage S o m m a i r e Introduction 4 C â b l e s Réseau d e B a s s e Te n s i o n Désignation des
Plus en détailInfluence de la géométrie du conducteur sur la température dans un poste sous enveloppe métallique
SYMPOSIUM DE GENIE ELECTRIQUE (SGE 14) : EF-EPF-MGE 2014, 8-10 JUILLET 2014, ENS CACHAN, FRANCE Influence de la géométrie du conducteur sur la dans un poste sous enveloppe métallique Nesrine REBZANI 1,2,3,
Plus en détailRapport d'évaluation CCMC 12835-R IGLOO Wall Insulation
CONSTRUCTION Rapport d'évaluation CCMC 12835-R IGLOO Wall Insulation RÉPERTOIRE Révision Jamais Réévaluation Non : NORMATIF : 07 21 23.06 Publication en de l'évaluation : 1997-12-08 Réévaluation cours
Plus en détailService correctionnel du Canada Direction des services techniques Systèmes électroniques NORMES EN ÉLECTRONIQUE
Service correctionnel du Canada Systèmes électroniques SE/NE-0401 Révision 1 NORMES EN ÉLECTRONIQUE SYSTÈME DE DÉTECTION À LA CLÔTURE SYSTÈME PÉRIMÉTRIQUE DE DÉTECTION DES INTRUSIONS Préparé par : Approuvé
Plus en détailTP 3 diffusion à travers une membrane
TP 3 diffusion à travers une membrane CONSIGNES DE SÉCURITÉ Ce TP nécessite la manipulation de liquides pouvant tacher les vêtements. Le port de la blouse est fortement conseillé. Les essuie tout en papier
Plus en détailAC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =
LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste
Plus en détail1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2
EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de
Plus en détailExprimer ce coefficient de proportionnalité sous forme de pourcentage : 3,5 %
23 CALCUL DE L INTÉRÊT Tau d intérêt Paul et Rémi ont reçu pour Noël, respectivement, 20 et 80. Ils placent cet argent dans une banque, au même tau. Au bout d une année, ce placement leur rapportera une
Plus en détailEau chaude Eau glacée
Chauffage de Grands Volumes Aérothermes Eau chaude Eau glacée AZN AZN-X Carrosserie Inox AZN Aérotherme EAU CHAUDE AZN AZN-X inox Avantages Caractéristiques Carrosserie laquée ou inox Installation en hauteur
Plus en détailProduction d électricité d origine renouvelable (Projets réalisés) Octobre 2014
Production d électricité d origine renouvelable (Projets réalisés) Octobre 2014 Sommaire I. Présentation de la société CEEG. Spa II. Présentation des Projets EnR réalisés 2/25 I. Présentation de la société
Plus en détailDéfauts dan les sachets souples état date stérilisables en autoclave nouveau 31/05/2002 Caractérisation et classification
4 1 CHAPITRE 4 MÉTHODES D EXAMEN ET D ÉVALUATION Il existe un certain nombre d essais d intégrité du contenant qui peuvent être effectués sur les sachets stérilisables en autoclave. Il convient de demander
Plus en détailPremier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détail2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE
«La solution» 2.000 Kg DESCRIPTION TECHNIQUE SP2-F et SP4-F 295/310 SP2-F et SP4-F 295/310 MODELE H DH SP2/4-F 295 295 163 SP2/4-F 310* 310 163 *Standard Garage avec porte frontale devant parking mécanique
Plus en détailVanne " Tout ou Rien" à siège incliné Type 3353
Vanne " Tout ou Rien" à siège incliné Type 3353 Application Vanne "Tout ou Rien" avec servomoteur pneumatique à piston Diamètre nominal DN 15 ( 1 2 ) à 50 (2 ) Pression nominale PN Plage de température
Plus en détailPROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F)
PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) LIGNES DIRECTRICES POUR LE PARCOURS À OBSTACLES VERSION 4.1 CANADIENNE-FRANÇAISE Les activités d entraînement et d évaluation du WSP-F 4.1 peuvent se dérouler
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailUnités, mesures et précision
Unités, mesures et précision Définition Une grandeur physique est un élément mesurable permettant de décrire sans ambiguïté une partie d un phénomène physique, chacune de ces grandeurs faisant l objet
Plus en détailCONSTRUIRE VOTRE EVENEMENT
CONSTRUIRE VOTRE EVENEMENT 15 DOCUMENTATION TECHNIQUE PARIS www.jaulin.com +33 (0)1 69 79 20 20 commercial@jaulin.com Du rêve à la réalité, De la conception à la réalisation Conception et production Auditoire
Plus en détailBREVET 2 * Principes physiques régissant la plongée. Première partie
BREVET 2 * Principes physiques régissant la plongée Première partie Objectifs de ce cours: 1. Introduction à la formation du 2* 2. Comprendre les lois fondamentales régissant : la flottabilité (Archimède)
Plus en détailFILTERS. SYSTEM CARE - Filtres en derivation INFORMATIONS TECHNIQUES CODIFICATION POUR COMMANDE INDICATEUR DE COLMATAGE
ILTERS HYDRAULIC DIVISION - iltres en derivation O INORMATIONS TECHNIQUES CODIICATION POUR COMMANDE COURBES DE PERTE DE CHARGE ( p) SCHEMA ONCTIONNEL INORMATIONS POUR LA COMMANDE DE PIECES DETACHEES DINSIONS
Plus en détail