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1 «Les minorités et l éducation»

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3 Des inégalités de réussite scolaire dues au milieu social D après l analyse de Pierre Bourdieu & Jean-Claude Passeron

4 Les chances scolaires selon l origine sociale Un fils de cadre supérieur a 40 fois plus de chance d entrer à l université qu un fils d ouvrier Les catégories les plus défavorisées n ont guère aujourd hui que des chances symboliques d envoyer leurs enfants en faculté (moins de 5 chances sur 100)

5 Même si elles ne sont pas estimées consciemment par les intéressés, des variations aussi fortes dans les chances scolaires objectives de mille manières dans le champ des perceptions quotidiennes et déterminent, selon les milieux sociaux, une image des études supérieures comme avenir «impossible», «possible», ou «normal» qui devient à son tour un déterminant des vocations scolaires L expérience de l avenir scolaire ne peut être la même pour un fils de cadre supérieur qui, ayant plus d 1 chance sur 2 d aller en faculté, rencontre nécessairement autour de lui, et même dans sa famille, les études supérieures comme un destin banal et quotidien, et pour le fils d ouvrier qui, ayant moins de 2 chances sur 100 d y accéder, ne connait les études et les étudiants que par personnes ou par milieux interposés

6 Probabilité d accès à une discipline selon l origine sociale et le sexe Dans cette distribution inégale des chances scolaires, garçons et filles sont grosso modo à égalité. Mais le léger désavantage des filles se marque plus nettement dans les basses classes Le désavantage scolaire s exprime aussi dans la restriction du choix des études qui peuvent être raisonnablement envisagée par une catégorie donnée Le choix a d autant plus de chances d être limité que les étudiants appartiennent à un milieu plus défavorisé

7 En règle générale, la restriction des choix s impose aux basses classes plus qu aux classes privilégiées et aux étudiantes plus qu aux étudiants, le désavantage étant d autant plus marqué pour les files qu elles sont de plus basse origine

8 L origine sociale et la vie étudiante

9 Comment parler, même par manière de simplification, de «condition étudiante» pour désigner un milieu où l aide de la famille fait vivre 14% des étudiants fils de ruraux, d ouvriers, d employés et plus de 57% des fils de cadres supérieurs ou de professions libérales, tandis que 36% des premiers sont contraints à un travail en dehors de leurs études et seulement 11% des seconds? Oscillant (suivant la discipline) de 10 à 20% pour les fils de paysans et d ouvriers, le taux d étudiants qui logent dans leur famille s élève à 50% et parfois 60% dans le cas des étudiants issus des hautes classes

10 C est tout au long de la scolarité, et particulièrement lors des grands tournants de la carrière scolaire, que s exerce l influence de l origine sociale : la conscience que les études (et surtout certaines) coûtent cher et qu il est des professions où l on ne peut s engager sans un patrimoine, les inégalités de l information sur les études et leurs débouchés, les modèles culturels qui associent certaines professions et certains choix scolaires (le latin, par exemple) à un milieu social, enfin la prédisposition, socialement conditionnée, à s adapter aux modèles, aux règles et aux valeurs qui régissent l Ecole, tout cet ensemble de facteurs qui font que l on se sent «à sa place» ou «déplacé» à l Ecole et que l on y est perçu comme tel, déterminent, toutes aptitudes égales d ailleurs, un taux de réussite scolaire inégal selon les classes sociales, et particulièrement dans les disciplines qui supposent tout un acquis, qu il s agisse d instruments intellectuels, d habitudes culturelles ou de revenus. On sait par exemple que la réussite scolaire dépend étroitement de l aptitude à manier la langue d idées propres à l enseignement et que la réussite en ce domaine va à ceux qui ont fait des études classiques.

11 L origine sociale et la vie artistique des étudiants

12 Les étudiants les plus favorisés ne doivent pas seulement à leur milieu d origine des habitudes, des entraînements et des attitudes qui les servent directement dans leurs tâches scolaires; ils en héritent aussi des savoirs et un savoir-faire, des goûts et un «bon goût» dont la rentabilité scolaire, pour être indirecte, n en est pas moins certaine. Le privilège culturel est manifeste lorsqu il s agit de la familiarité avec les œuvres que seule peut donner la fréquentation régulière du théâtre, du musée ou du concert (fréquentation qui n est pas organisée par l Ecole, ou seulement de façon sporadique).

13 En quelque domaine culturel qu on les mesure, théâtre, musique, peinture, jazz ou cinéma, les étudiants ont des connaissances d autant plus riches et plus étendues que leur origine sociale est plus élevée. Si la forte variation de la pratique d un instrument de musique, de la connaissance des pièces par le spectacle ou de la musique classique par le concert n a rien qui puisse étonner puisque les habitudes culturelles de classe et les facteurs économiques cumulent ici leurs effets, il est remarquable que les étudiants se distinguent encore nettement, selon leur origine sociale, en ce qui concerne la fréquentation des musées et même la connaissance de l histoire du jazz ou de cinéma, souvent présentés comme des «arts de masse».

14 L origine sociale et la connaissance du théâtre

15 La simple comparaison des médianes montre que le nombre de pièces vues sur scène s élève lorsqu on passe des basses classes aux classes moyennes et supérieures. Dans tous les cas, le mode se situe de 4 à 8, mais une partie (un quart) des fils de cadres supérieurs a des résultats supérieurs au mode de la population globale. Pour toutes les catégories, la lecture est le moyen d accès au théâtre le plus fréquent. Les résultats se hiérarchisent selon l origine sociale dans le cas de la connaissance par la scène. Dans le cas de l accès direct aux œuvres théâtrales le clivage s établit entre les fils de cadres supérieurs et l ensemble des autres étudiants.

16 L origine sociale et la connaissance de la musique

17 Ici encore, la simple comparaison des médianes montre que le nombre des œuvres entendues en concert s élève lorsqu on passe des basses classes et classes moyennes aux fils de cadres supérieurs. La comparaison des médianes indique que l accès direct par le concert est plus rare que l accès indirect par le disque.

18 L étude PISA et l immigration en France

19 En France, le milieu socio-économique pèse plus qu ailleurs. L enquête Pisa questionne les élèves sur le statut professionnel et le niveau de formation de leurs parents, le nombre de livres à la maison, la langue parlée en famille... Il en ressort qu en France, ces facteurs expliquent 28 % de la variation de la performance des élèves, contre 22% en moyenne dans l OCDE. A titre de comparaison, ce pourcentage est inférieur à 18 % en Islande, en Israël, au Canada, en Corée et en Estonie, mais supérieur à 26 % en Autriche, en France donc, en Belgique et au Luxembourg. L étude montre que les pays qui accusent de fortes disparités socioéconomiques ne les répercutent pas forcément à l école. «Ce constat est important aussi, car il donne à penser que l égalité des chances dans l éducation est possible même lorsque le milieu socio-économique des élèves varie fortement», remarque l OCDE.

20 Les élèves issus de l immigration à la traîne En France, les élèves issus de l immigration représentent 13% de l échantillon interrogé, une proportion comparable à celle de la Belgique, des Pays-Bas ou du Royaume-Uni. Ces élèves ont globalement plus de mal que les autres en compréhension de l écrit. Les nouveaux arrivants (issus de la première génération) ont deux fois plus de risques de compter parmi les élèves «peu performants». Cette inégalité est commune aux autres pays étudiés, comme la Suède par exemple, mais il semble qu elle soit particulièrement forte en France. L écart entre les élèves immigrés de la première génération et les autres est de 79 points soit l équivalent de plus d une année d études contre 52 points en moyenne dans l OCDE.

21 Les statistiques de l immigration en France

22 Perception du système éducatif et projets Sept ans après leur d'avenir entrée sixième, des les enfants d'immigrés d'immigrés portent sur leur passé scolaire et leur avenir professionnel et universitaire un regard qui, comme pour les autres jeunes, tient pour beaucoup à leur situation scolaire, mais reste néanmoins singulier. Lycéens professionnels ou déjà sortis du système éducatif, ils jugent plus négativement que les autres jeunes la manière dont s'est déroulée leur orientation : celle-ci leur apparaît plus contrainte par des résultats scolaires insuffisants que vraiment voulue et ils expriment plus fréquemment un sentiment d'injustice. Quelle que soit leur situation scolaire, les enfants d'immigrés évaluent de manière plus critique leur dernier établissement scolaire. Ils se distinguent aussi des autres élèves dans leurs projets d'avenir. Ils souhaitent plus souvent entreprendre des études supérieures et envisagent différemment leur futur métier. Filles ou garçons, ils accordent une place plus large aux professions commerciales et administratives et rejettent plus nettement la condition ouvrière.

23 Situation au 1er mai 2002 des jeunes entrés en sixième en 1995

24 Part d'enfants d'immigrés lycéens généraux selon le pays d'origine de la famille (en %)

25 Contraintes de niveau scolaire ayant pesé sur la manière dont s est déroulée la dernière orientation

26 Demande d orientation en seconde générale et technologique selon la note au contrôle continu du brevet

27 Jugements sur la manière dont s est déroulée la dernière orientation (en %)

28 Diplôme de l enseignement secondaire le plus élevé espéré par les jeunes désirant poursuivre ou reprendre leurs études (en %)

29 Part de jeunes envisageant de faire des études supérieures selon la catégorie de lycéens (en %)

30 Le métier qu exercent ou ont exercé vos parents...

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