APPEL A PROJETS 2010 Volet «RECHERCHE»

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2 APPEL A PROJETS 2010 VOLET «RECHERCHE» DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION VOLET RECHERCHE APPEL A PROJETS 2010 ************ TITRE DU PROJET Cuivres, bronzes et laitons : une histoire de rebondissements de stratégies techniques NOM DU COORDINATEUR DU PROJET : Michel PERNOT NOM DU LABORATOIRE : Maison des Sciences de l Homme d Aquitaine 2

3 APPEL A PROJETS 2010 LIEN AVEC LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL I Retombées socio-économiques du projet Il conviendra de préciser quelles retombées sont attendues pour l Aquitaine. Ces retombées seront inscrites dans la convention qui vous liera avec le Conseil Régional si votre projet est retenu et constituera dès lors un engagement des porteurs de projet. L aboutissement du projet repose sur des rencontres scientifiques régulières, environ deux par an, qui se tiendront toutes à Bordeaux. Le but final est la réalisation d un ouvrage de référence qui sera publié par un éditeur bordelais. Les deux collègues étrangers, l un italien et l autre québécois, fréquentent déjà régulièrement la région Aquitaine ; ils ont été plusieurs fois professeurs invités de l université Bordeaux 3. Des échanges d étudiants, ont débuté ; ils démultiplient ainsi cette fréquentation. La projet de recherche devra se clôturer par un colloque international d envergure. Une exposition d objets en cuivre, illustrant ses usages depuis l Antiquité jusqu à nos jours, accompagnera et prolongera cette dernière phase du projet. L exposition aura lieu à la Maison de l Archéologie à Pessac. Les locaux et les équipements du laboratoire IRAMAT nous permettent de développer des recherches sur les métaux de très haute technicité et constituent un pôle de recherche et de formation de premier ordre. Ces outils performants valorisent l émergence et le développement des compétences et positionnement la région aquitaine à la pointe dans la mise en œuvre de technologies appliquées au domaine des archéomatériaux. L achat d un appareil de polissage des métaux de dernière génération est prévu dans le cadre du projet. II Justification du projet au regard des critères régionaux Il convient de situer le projet au regard des quatre critères régionaux précisés dans l appel à projets Le projet répond principalement au second critère régional, celui de la structuration de la recherche autour d une thématique prioritaire, celle de l archéologie. Il dépasse néanmoins largement son cadre classique car le projet possède l ambition d étudier l histoire du cuivre et de ses 3

4 alliages dans la longue durée, du XXe s. av. J.-C. à nos jours. Cette perspective implique un lien clair avec la culture matérielle des sociétés. À partir de l Antiquité, des sources iconographiques et textuelles existent ; pour les périodes les plus anciennes, la seule source documentaire disponible est celles des découvertes archéologiques. En effet, des textes et des images relatifs au monde des techniques du cuivre apparaissent vers le milieu de la période considérée ; en revanche, la documentation archéologique reste une source continue sur toute la durée. III Suivi de l impact du projet sur les priorités régionales Nous vous invitons à proposer un/des indicateur(s) pour chaque priorité régionale concernée : Priorité 1 : Lien recherche et développement économique et social régional Association au projet d au moins un industriel aquitain de collecte, de tri et de recyclage de métaux ; et d au moins une société régionale de réalisation de bronzes d art Priorité 2 : Inscription dans une thématique prioritaire régionale : Archéologie Collaboration avec les opérateurs d archéologie préventive (au moins une action) Réalisation de 4 séminaires thématiques à destination d étudiants en Master et doctorat des universités Bordeaux 1 et Bordeaux 3 (avec des conférenciers invités) Réalisation d une exposition grand public sur au moins un site (Archéopôle, Pessac). Priorité 3 : Contribution au développement de l espace européen de la recherche Chercheurs européens accueillis dans le cadre du projet (2 ou plus ; fréquence, durée des séjours : 2 séjours/an ou plus ; séminaires/conférences données aux étudiants : 2 par an ou plus) ; Organisation d un colloque de clôture à dimension européenne Priorité 4 : Attractivité et accueil de nouvelles équipes en Aquitaine Autre : Contribution à la reconnaissance scientifique des laboratoires aquitains Accueil à Bordeaux/Pessac d un chercheur extra-européen ; 4

5 Participation à au moins un congrès à l étranger ; Réalisation d un ouvrage de référence en français ; Publication d au moins trois articles par an dans des revues nationales ou internationales ; IV Politique de valorisation des résultats émanant de la Recherche L objectif final du projet est d aboutir à la publication d un ouvrage en français traitant de l histoire de l emploi du cuivre et des ses alliages en Europe occidentale dans la longue durée, c està-dire sur une quarantaine de siècles. Cet ouvrage sera collectif ; il regroupera les contributions illustrées d une douzaine de spécialistes des diverses époques ; il atteindra environ 400 pages. Un colloque international sera organisé lors de la sortie du livre afin d assurer une large diffusion en dehors de la France. Recyclés depuis toujours, le cuivre et ses alliages prennent aujourd hui une valeur emblématique de cet acte de citoyen responsable ; le travail de ce projet pourra être valorisé à ce titre par une plaquette destinée à tout public. Un partenariat avec une entreprise aquitaine de collecte et/ou de tri et/ou de recyclage de métaux sera recherché. Une exposition d objets en cuivre, illustrant ses usages depuis l Antiquité jusqu à nos jours, accompagnera et prolongera la dernière phase du projet. Dans ce cadre la coopération de l entreprise de récupération de métaux et d un atelier de fabrication de bronzes d art est envisagée. L exposition aura lieu à l Archéopôle à Pessac. 5

6 APPEL A PROJETS 2010 PRESENTATION POUR UN PUBLIC NON SPECIALISTE Présentation synthétique et vulgarisatrice du projet pour un public nonspécialiste DESCRIPTION DU PROJET : Que serait la fée électricité sans les conducteurs en cuivre? Que serait la révolution informatique sans les connecteurs en alliages à base de cuivre? Bien sûr, l histoire du cuivre et de ses alliages ne commence pas par des emplois liés aux propriétés électriques. Les balbutiements de la métallurgie de l or, du cuivre et d alliages peu contrôlés, car non intentionnels, s enchaînent à la néolithisation de l Ancien monde. Ce développement d économies de production de biens de consommation alimentaire, mais aussi de matériaux de synthèse non comestibles, telle la céramique puis le métal, s accompagne de la mise en place de structures sociales hiérarchisées, donc inégalitaires. Ces inégalités ne sont pas seulement reliées à des phénomènes d oppression, mais aussi de développement technique. Le parallélisme entre le passage de la chefferie à l état et la complexification des pratiques métallurgiques n est absolument pas un hasard. La montée en puissance des fabrications d objets, d abord en cuivre, ensuite en bronze alliage de cuivre et d étain, se renforce tout au long du IIe millénaire avant J.-C. dans l aire méditerranéenne et dans l Europe des latitudes tempérées. Le caractère demi noble, c est-à-dire la faible altérabilité, associé à une masse volumique forte (la densité est proche de 9), à de multiples possibilités de mise en forme (via la fonderie et la déformation plastique), à un recyclage aisé, font du cuivre et de ses alliages une classe de matériaux à forte valeur ajoutée, une sorte concentré de richesse idéal pour constituer des trésors. Ce métal, lourd et qui sonne, peut être poli pour briller du fameux éclat métallique. De plus, toute une gamme de couleur est accessible ; le cuivre non allié est rouge ; suivant la teneur en étain, un bronze est rosé, jaune comme de l or, ou bien encore blanc comme de l argent. Bien sûr, les propriétés mécaniques de résistance aux chocs s ajoutent à ce palmarès. Ainsi, ce sont des objets de parure, des armes, des outils et de la vaisselle de luxe, qui constituent l essentiel des productions ; il ne faut cependant jamais oublier le rôle de stockage de richesse trésor, butin ou étalon d échanges représenté par le matériau indépendamment de l objet. L or est de plus grande valeur, mais les quantités de bronze en circulation sont incomparablement plus importantes. L âge du Bronze est celui de la guerre de Troie ; Homère parle sans cesse du bronze éblouissant des armes, c est aussi le cas pour les bijoux ou encore la décoration des chars et la parure des chevaux. Les élites guerrières et religieuses de ces sociétés, où le concept d État voit le jour, pratiquent la 6

7 consommation ritualisée de boissons contenant des substances psychotropes ; dans ces banquets, la vaisselle métallique de grand luxe contribue à l affichage de leur rang social. Un lien fort existe entre la structuration sociale et l exercice des techniques du métal. La maîtrise de celles-ci impose une formation longue ; une société fortement hiérarchisée est capable d autoriser certains de ses membres à ne pas être productifs pendant des années, pour qu ils apprennent, et d imposer aux autres membres cet investissement sociétal. Le début du développement de l emploi du matériau fer se situe vers la transition entre le IIe et le Ier millénaire ; ceci ne signe nullement le déclin du bronze. Un partage se met en place progressivement ; dans le monde occidental, le fer devient, dans la première moitié du Ier millénaire avant J.-C., le matériau des armes et des outils. La production de bronze continue cependant de croître ; le développement de la grande statuaire en bronze, à partir du monde grec classique, dans le courant de la seconde moitié du Ier millénaire, en témoigne clairement. Il est par ailleurs notable que le fer reste aussi un matériau de la parure dans le monde celtique et dans le monde romain. L affirmation, trop souvent rencontrée, le fer remplace le bronze est manifestement fausse. La seconde moitié du Ier siècle avant J.-C. voit se développer l emploi intensif du laiton, alliage de cuivre et de zinc. Là encore, ce laiton ne remplace pas le bronze, il occupe une niche relativement précise qui touche des objets de parure et de harnachement, ainsi que des monnaies. En revanche, la vaisselle et la grande statuaire restent très majoritairement réalisées avec des alliages cuivre-étain. Dans les trois derniers siècles avant notre ère, certaines productions, comme celles d objets de parure et de monnaies, sont réalisées en grandes séries. Il est maintenant établi que les alliages à base de cuivre, qui servaient surtout d affichage du pouvoir jusque vers le milieu du Ier millénaire avant J.-C., deviennent progressivement des matériaux de grande consommation ; ils contribuent à la production de richesse au travers de la taxation de la circulation des matières et des objets finis. Plusieurs des mécanismes de ce qui deviendra le monde industriel sont alors enclenchés. Durant la période médiévale, la production d objets mi-lourds (de quelques kilogrammes) en alliages à base de cuivre, associés aux rituels religieux de l Église, reste fort importante. En parallèle, des fabrications en grandes séries de très petites pièces décoratives (paillettes, boucles de ceintures ) liées au vêtement fonctionnent intensément ; à l opposé, en terme de quantité de métal, la coulée de cloches réactive des pratiques dans la lignée de la réalisation de grands bronzes. Au-delà d une continuité dans la production d objets décoratifs, de vaisselles et aussi de monnaies, la période moderne comporte, à un bout de l échelle, la production de canons en bronze, et, à l autre bout, celle de petites pièces soigneusement exécutées, prémisses de la mécanique de précision. En effet, dans l horlogerie en particulier, des alliages à base de cuivre restent les matériaux privilégiés pour la réalisation des engrenages ; peu oxydables, ces alliages présentent aussi de bonnes propriétés vis-à-vis du frottement. D autres phénomènes, observés à cette période, sont à mettre en relation. Au XVIIe s., 7

8 l exportation vers l Amérique du Nord, liée à la traite des fourrures, de vaisselle en alliages à base de cuivre battus est intense. C est à ce même moment que débute en Europe la production de zinc métal qui autorise un nouveau mode d élaboration du laiton. Le XVIIIe s. voit le développement du procédé de laminage qui permettra au XIXe s. la production de grande série de tôles de cuivre et de laiton. Une autre étape déterminante de l histoire du cuivre est la mise en œuvre de la coulée continue vers Des faits techniques doivent d abord être établis à partir de l étude des vestiges de la culture matérielle; la documentation iconographique et les textes sont également exploités lorsque cela est possible. Ce programme ne traitera pas des tout débuts, mais d une métallurgie mature qui maîtrise toute une gamme d alliage et de procédés ; en termes chronologiques ceci concerne la période qui va environ du XXe siècle avant J.-C. au XXe siècle après J.-C. Quelques rares livres traitent des débuts de la métallurgie du cuivre, plus sous l angle de l extraction du minerai et de l obtention du métal que sous celui de la fabrication d objets. De nombreux travaux sur l âge du bronze existent dans des revues ou dans des actes de colloque ; ils seront l objet d une synthèse. Des travaux épars sur l emploi des alliages cuivreux à l âge du fer et dans l Antiquité sont également à regrouper. En dehors d un travail très récent, le Moyen Âge est très pauvre en études de ce type, alors qu il en existe plus relatifs à la période moderne. L histoire contemporaine semble ne s être quasiment pas intéressée à l emploi du cuivre. Il s agit d aboutir à un ouvrage collectif qui n existe nulle part traitant largement, l exhaustivité étant invraisemblable, de l histoire technique du cuivre et de ses principaux alliages. L histoire technique considérée ici est celle des divers emplois de cette classe de matériaux pour fabriquer des objets de toutes natures ; les procédés de mise en forme sont étudiés ; en revanche, les aspects relatifs aux activités minières et à l élaboration du métal sont ignorés. La finalité des études doit être de replacer les choix techniques, quels qu ils soient, dans le contexte sociétal. L aire géographique principalement prise en compte est l Europe de l ouest des latitudes tempérées ; cependant, à titre d ouverture, des regards seront portés sur la Méditerranée orientale à l âge du bronze et même sur le Japon du XXe siècle. En effet, cet ouvrage n est qu une étape ; des histoires du cuivre, celles de l Amérique précolombienne, de l Asie et de l Afrique restent à écrire. De même, d autres rebondissements vont probablement se produire Un certain nombre de compétences sont aujourd hui présentes en Aquitaine, c est pourquoi cette région peut être l épicentre porteur du projet. 8

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