Chapitre 7 Activités prioritaires venant s ajouter au DMU
|
|
- Gisèle Duquette
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chapitre 7 Activités prioritaires venant s ajouter au DMU Dans la version test de terrain de 2010 du Manuel de terrain interorganisations sur la santé reproductive en situations de crise humanitaire, d autres activités prioritaires minimums ont été identifiées au-delà des objectifs prioritaires du DMU. Le manuel souligne en particulier qu il est important de garantir que : des contraceptifs soient disponibles à la demande, que la prise en charge syndromique des IST existe pour les patients qui en présentent les symptômes, et que des ARV soient disponibles pour continuer le traitement des personnes déjà sous ARV, y compris dans le cadre de la PTME. En outre, des protections hygiéniques (généralement accompagnées d autres articles de toilette dans les «kits d'hygiène») culturellement appropriées, doivent être distribuées aux femmes et aux jeunes filles. 66
2 Garantir que des contraceptifs soient disponibles pour répondre à la demande Pourquoi est-il important de mettre des contraceptifs à disposition lorsqu une crise humanitaire débute? La santé reproductive des femmes, des hommes et des adolescents ne doit pas disparaître lorsqu ils doivent fuir leurs habitations et communautés à la suite d'un conflit ou d une catastrophe naturelle. Les déplacements peuvent même augmenter chez ces personnes le désir et le besoin d avoir recours à la contraception, au moment même où elles rencontrent des obstacles pour en bénéficier. Ceux qui doivent fuir en urgence ne peuvent pas emmener leurs contraceptifs avec eux ou les obtenir sur leur lieu de refuge. Les femmes peuvent aussi vouloir remettre à plus tard le désir de grossesse ou interrompre celle-ci en urgence pour éviter à leur enfant nouveau-né les risques du déplacement. Le bouleversement de la famille et des structures de soutien social peut poser davantage de problèmes pour les adolescents, qui, sans avoir accès aux informations et aux services, peuvent se trouver encore plus exposés à des pratiques sexuelles à risque. C est pourquoi il est vital que la planification familiale soit intégrée dans la réponse humanitaire et que les systèmes d approvisionnement garantissent que des contraceptifs, tels que des préservatifs, la pilule, des contraceptifs injectables, la pilule de contraception d urgence et les dispositifs intra-utérins (DIU), soient mis à disposition pour répondre à la demande dès le déclenchement d une urgence. Un programme de planification familiale complet doit être mis en place dès que la situation se stabilise. Cela implique la formation du personnel, l éducation de la communauté, la mise en place d un suivi, la proposition de méthodes à long terme et la gestion d une chaîne d approvisionnement en contraceptifs. Bonnes pratiques en Haïti Une ONG internationale a utilisé un financement existant pour répondre à la demande élevée en contraceptifs dès le début de l urgence, en mettant à disposition des contraceptifs gratuits dans les cliniques mobiles de 15 camps de Cité Soleil. L organisation a noté que la disponibilité des fonds était un facteur clé dans la capacité à fournir des contraceptifs, révélant ainsi l'importance de la préparation et des plans de secours. Une autre ONG internationale a rapporté qu elle fournissait des contraceptifs dans toutes les structures et qu elle établissait un réseau actif de personnes de la communauté travaillant pour la santé qui fournissaient des contraceptifs d une tente à l autre. Module d apprentissage à distance 67
3 Le personnel de santé doit être averti du fait que les adolescents en demande de contraceptifs ont le droit à ces services, quel que soit leur âge ou leur statut marital. Les adolescents se présentant pour une demande de planification familiale doivent être soumis à un examen sur d'éventuels symptômes d'ist, et la planification familiale doit être discutée avec ceux qui viennent aux dispensaires traitant les IST. Prise en charge syndromique des infections sexuellement transmissibles disponible dans les établissements de soins Pourquoi la prise en charge syndromique des IST est-elle importante en situation de crise humanitaire? Les IST sont des problèmes de santé courants avec des conséquences potentiellement graves, dont l infertilité, les maladies chroniques et la mort. Les IST peuvent aussi augmenter la transmission du VIH. Les circonstances engendrées par les crises humanitaires, telles qu une misère soudaine, une insécurité alimentaire, un manque d accès aux services de santé, la mobilité et un manque de protection contre la violence et/ou l exploitation de la part des forces militaires, forces de maintien de la paix et autres, augmentent la vulnérabilité des personnes aux IST. Que peut faire un agent de santé reproductive pour assurer que le traitement soit disponible? L agent de santé reproductive doit travailler dans le cadre du secteur/groupe en charge de la santé, afin d identifier les protocoles de traitement nationaux pour le diagnostic et le traitement des IST, et pour déterminer s ils s alignent sur les standards internationaux. S il n existe pas de protocoles nationaux ou si les protocoles existants ne correspondent pas aux standards internationaux, les protocoles de l'oms doivent être utilisés. L agent de santé reproductive peut aussi faire en sorte de garantir que les personnes se présentant aux structures de soins avec des symptômes d IST bénéficient d une prise en charge syndromique, et reçoivent des préservatifs pour éviter toute contamination future. Bonne pratique Une ONG internationale en Haïti accrochait une liste de protocoles syndromiques sur un fil dans une clinique mobile, alors qu une autre ONG mettait des affiches au mur. 68 Dispositif minimum d urgence (DMU) en santé reproductive dans les situations de crise
4 Faire en sorte que des antirétroviraux (ARV) soient disponibles pour poursuivre le traitement des personnes déjà sous ARV, y compris dans le cadre de la prévention de la transmission mère-enfant (PTME) Il est important que les agents de santé reproductive travaillent au sein du secteur/groupe en charge de la santé pour garantir que le traitement des personnes sous ARV ne soit pas interrompu, y compris dans le cadre de la PTME. Pourquoi est-il important de veiller à ne pas interrompre les ARV? Après une crise, les structures où les personnes recevaient des ARV peuvent avoir été détruites, ou ne plus avoir de fournisseurs à disposition. Les personnes déjà sous traitement peuvent donc ne plus y avoir accès. Il s agit d un problème grave, car pour être efficaces, les ARV doivent être pris à des doses adaptées à chacun et à intervalles réguliers. En outre, interrompre la prise de médicaments peut mener à une résistance à ces derniers. 89 Que peut-on faire pour faciliter l accès aux ARV, en particulier des femmes enceintes? L'agent de santé reproductive peut travailler au sein du secteur/groupe en charge de la santé pour garantir l effort coordonné des personnes porteuses du VIH, du MdS et des organisations locales et internationales en charge du VIH. Des efforts doivent être fournis pour identifier les personnes (y compris les femmes enceintes) qui étaient sous ARV avant la crise et pour les informer, au moyen de campagnes de communication et par le biais du personnel de santé, des lieux où elles peuvent bénéficier d un traitement. Dans certains cas d urgence, un correspondant en VIH est désigné. Dans ce cas, il est crucial que l agent de santé reproductive collabore avec ce correspondant, dans le but d administrer des ARV aux personnes déjà sous traitement. Il faut noter que les kits de santé reproductive interorganisations ne contiennent pas d ARV, excepté ceux pour la PPE suite à un viol (Kit 3) qui sont aussi disponibles dans le kit sanitaire d urgence interorganisations (IEHK). De plus, les traitements de première ligne varient d un pays à l autre, par conséquent, il n existe pas de kit global à l heure actuelle. Les agents de santé reproductive doivent s assurer que le secteur/groupe en charge de la santé obtiennent les informations pertinentes de la part du MdS, de l OMS et du Programme joint des Nations Unies sur le VIH et le SIDA (ONUSIDA), ou de la Croix Rouge nationale, permettant d assurer la disponibilité des ARV. Zone urbaine : identifier les moyens de communication au sein des populations urbaines déplacées et leur fournir des informations sur la nécessité de poursuivre un traitement d'arv. Il est important également de partager ces informations avec les fournisseurs de services. 89 Commission des femmes pour les réfugiés, Prévention et contrôle du VIH/SIDA : Cours abrégé pour les travailleurs humanitaires : Manuel de l animateur, Consortium RHRC, Disponible sur Module d apprentissage à distance 69
5 Bonne pratique Suite à la crise qui a éclaté après les élections au Kenya, les institutions internationales et locales, ainsi que le gouvernement, se sont mobilisés pour que les personnes sous ARV reçoivent leurs doses et ne développent pas de résistance aux médicaments. Les organisations ont eu recours à des moyens innovants pour coordonner leurs actions et pour informer les patients et autres personnes déplacées. Des hotlines et des réseaux de téléphones cellulaires ont permis aux organisations, comme Médecins Sans Frontières - France et l AMPATH (modèle académique pour la prévention et le traitement du VIH), de diffuser des informations et de localiser les personnes concernées. Les programmes contre le VIH, fortement implantés en Haïti avant le tremblement de terre, ont semblé avoir largement aidé à la mise à disposition des ARV pour les populations déplacées, dès les premiers jours et premières semaines qui ont suivi le tremblement de terre. Cela démontre à quel point un programme solide (comprenant des stocks de matériel et de médicaments avant une crise humanitaire) peut réduire l impact sur la population et après la crise. 90 Garantir que des protections hygiéniques culturellement appropriées soient distribuées aux femmes et aux jeunes filles Suite à une crise ou à un déplacement, les femmes et les jeunes filles peuvent ne plus avoir accès aux protections hygiéniques. Pour résoudre ce problème, il est important de parler avec les femmes et les jeunes filles pour savoir ce qu elles utilisent habituellement comme protections hygiéniques. Des protections hygiéniques périodiques culturellement appropriées doivent ensuite être incluses dans les kits de produits d hygiène non alimentaires, et être distribuées aux femmes et jeunes filles en âge de procréer. Liste de contrôle de surveillance des activités prioritaires supplémentaires Pourcentage des établissements de santé fournissant des méthodes contraceptives de base pour répondre à la demande Pourcentage des établissements de santé fournissant des ARV aux patients en traitement, dans le cadre de la PTME Pourcentage des établissements de santé proposant un traitement des IST Nombre de kits d hygiène distribués Quel matériel ou quels kits de santé reproductive interorganisations peut-on commander pour répondre à cela? 91 Numéro Nom Couleur Kit 1 Préservatif (parties A + B) Rouge Kit 4 Contraception orale et injectable Blanc Kit 5 IST Turquoise 90 Commission des femmes pour les réfugiés, Four Months On: A Snapshot of Priority Reproductive Health Activities in Haiti: An Inter-agency MISP Assessment Conducted by CARE, International Planned Parenthood Federation, Save the Children and Women s Refugee Commission, May 17-21, 2010, Octobre Disponible sur 91 Groupe de travail interorganisations (IAWG) sur la santé reproductive, Inter-Agency Reproductive Health Kits for Crisis Situations (quatrième édition), janvier Disponible sur 70 Dispositif minimum d urgence (DMU) en santé reproductive dans les situations de crise
6 Chapitre 7 Quiz (réponses pages ) Quelles sont les activités prioritaires venant s ajouter au DMU? a. Garantir la disponibilité des contraceptifs b. Garantir la prise en charge syndromique des IST c. Garantir la disponibilité des ARV d. Garantir la distribution de protections hygiéniques e. toutes les réponses ci-dessus Le bouleversement de la famille et des structures de soutien social peut poser davantage de problèmes pour les adolescents, qui, sans avoir accès aux informations et aux services, peuvent se trouver encore plus exposés à des pratiques sexuelles à risques. Vrai Faux Quelles méthodes contraceptives doivent être disponibles dès le début d une situation d'urgence? a. Les préservatifs et la pilule b. Les contraceptifs injectables c. Les dispositifs intra-utérins d. La pilule contraceptive d urgence e. toutes les réponses ci-dessus Que peut-on faire pour garantir que la prise en charge syndromique des IST soit disponible dans les établissements de santé? a. S assurer que le bébé est au sec, chaudement enveloppé et a la tête couverte immédiatement après la naissance b. Identifier les protocoles nationaux de traitement des IST c. Mettre à disposition les protocoles de traitement des IST dans les établissements de santé d. Coordonner la formation communautaire sur la prévention des IST e. b et c Qui l agent de santé reproductive doit-il contacter pour assurer que des ARV soient mis à disposition? a. Le Ministère de la Santé b. L OMS c. ONUSIDA d. La Croix Rouge Nationale e. toutes les réponses ci-dessus Module d apprentissage à distance 71
Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents
Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents Le tableau suivant est destiné à donner un aperçu des principales actions à entreprendre pour répondre aux besoins
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détailTRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO
TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000
Plus en détailVIH : Parlons-en franchement!
VihCouv_vert(2011_02) 08/02/11 13:27 Page1 DESSINS PHILIPPE DELESTRE VIH : Parlons-en franchement! VIH : Parlons-en franchement! LE VIH C EST QUOI? Le VIH est un virus. C est le virus du Sida. VIH ÇA VEUT
Plus en détailLE MALI L HÔPITAL GABRIEL TOURE L HÔPITAL DU POINT G INTRODUCTION 2 INTRODUCTION 1 DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE
DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE KALLE A.D A (1), BENGALY L (2)., KONE D ( 1), COULIBALY S.M (2). DIAKITE A.S. (2) DIAMOUTENE A (2) (1) Service de Pharmacie Hôpital Gabriel
Plus en détailProjet de Femmes et Familles de l Afrique pour la Préparation au Traitement et l Education en matière de Traitement
Projet de Femmes et Familles de l Afrique pour la Préparation au Traitement et l Education en matière de Traitement GUIDE DE DEMANDE DE SUBVENTION RESERVE AUX RESEAUX NATIONAUX DES FEMMES VIVANT AVEC LE
Plus en détailSélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA. Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005
Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005 Sélection et Évaluation Quantitative Références Sélection
Plus en détailEvaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo
Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537
Plus en détail1 ère manche Questions fermées
Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée
Plus en détailPacte européen pour la santé mentale et le bien-être
Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailFINANCEMENT DE «PARTENAIRE PILOTE»
Manuel de mise en œuvre de la communication pour le changement social et comportemental (CCSC) à destination des adolescents en milieu urbain en matière de santé sexuelle et reproductive (SSR) Organisation
Plus en détail1 OCTOBRE 2004 30 SEPTEMBRE
HHFDS/HS-2007 HAITI HEALTHIER FAMILIES OF DESIRED SIZE 1 OCTOBRE 2004 30 SEPTEMBRE 2007 Uder Antoine, Chef de Mission Adjoint Plan Brève présentation du projet Stratégies spécifiques Mécanismes de financement
Plus en détailLe début de l aventure
CONTEXTE L Hôpital Credit Valley et le Centre de Santé Trillium : au cœur du roulement de patient Contexte L Hôpital Credit Valley et le Centre de Santé Trillium forment un nouveau groupe hospitalier qui
Plus en détailRendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte
Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Il est prévu que les recommandations contenues dans ce document resteront valables jusqu
Plus en détailSOMMAIRE STANDARDS MINIMUMS POUR LA PROTECTION DE L'ENFANCE DANS L'INTERVENTION HUMANITAIRE
SOMMAIRE STANDARDS MINIMUMS POUR LA PROTECTION DE L'ENFANCE DANS L'INTERVENTION HUMANITAIRE Veuillez trouver ci-après la version sommaire des Standards Minimums pour la protection de l enfance dans l intervention
Plus en détailD A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S
REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les
Plus en détailFACTSHEET HAITI DEUX ANS APRES
HAITI DEUX ANS APRES Les actions de la Commission européenne pour reconstruire le pays Janvier 2012 Table of contents 1 L aide de l UE en bref 3 2 L aide humanitaire de la Commission européenne à Haïti.
Plus en détailLA RéPOnSe COLLeCTive. Adhérez à Tulipe! La plaquette d information pour tout savoir sur notre politique de partenariat
LA RéPOnSe COLLeCTive des entreprises de SAnTé Aux POPuLATiOnS en SiTuATiOn de détresse Adhérez à Tulipe! La plaquette d information pour tout savoir sur notre politique de partenariat Qui sommes nous?
Plus en détailMISSING. Le moteur de recherche mondial des disparus de catastrophes naturelles. En partenariat avec :
MISSING Le moteur de recherche mondial des disparus de catastrophes naturelles En partenariat avec : DES DISPARUS LAISSES A L ABANDON Chaque catastrophe humanitaire majeure entraîne la disparition de nombreux
Plus en détailMédecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI
Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailDOMAINES D INTERVENTION EN DEMANDE
DOMAINES D INTERVENTION EN DEMANDE Critères valables pour toute affectation en tant que Volontaire des Nations Unies, pas uniquement pour les affectations en réponse à la crise du virus Ebola. Les exigences
Plus en détailChez les étudiantes consommatrices de cannabis, 2 fois plus de recours à la pilule du lendemain et 4 fois plus d IVG
Dossier de presse 11 février 2014 Enquête santé / Vie étudiante / Chiffres clés La sexualité des étudiants en 2013 8 ème enquête nationale Chez les étudiantes consommatrices de cannabis, 2 fois plus de
Plus en détailTNS. BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA FORCE
15/01/10-08:01 - Page 1/3 Ref. Doc. : 2500-4318690-8 A : Service de presse / VEOLIA ENVIRONNEMENT Mot-Clé : VEOLIA BFM LE GRAND JOURNAL Le 14/01/2010 20:17:51 Invité : Thierry VANDEVELDE, fondateur VEOLIA
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailDes soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6
Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les
Plus en détailEnsemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola
Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Août 2014 l enfance aux enfants Organisation mondiale de la Santé 2014 Tous droits réservés. Les appellations employées dans la présente
Plus en détailZ I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor
Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE
Plus en détailP.S.E. 1 ère situation d évaluation
Lycée X Ville Session 201 P.S.E. 1 ère situation d évaluation Première Bac Professionnel Spécialité du diplôme Académie de Nancy-Metz Durée : 55 minutes NOM :. Prénom :. NOTE : / 18 NOTE : / 09 FOLIO :
Plus en détailCatalogue Formation 2015
Catalogue Formation 2015 Because you care about CONSUMERS HEALTH HACCP Expertise, votre partenaire en sécurité des aliments Présentation du catalogue Pourquoi faire de la formation? Formation préventive
Plus en détailPolitique du UNHCR en matière de traitement antirétroviral pour les réfugiés
Politique du UNHCR en matière de traitement antirétroviral pour les réfugiés Janvier 2007 UNHCR, 2007. Tous droits réserves. La reproduction et la distribution à toute fin éducationnelle et non commerciale
Plus en détailSituation sanitaire dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est
SOIXANTE-HUITIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A68/INF./4 Point 20 de l ordre du jour provisoire 15 mai 2015 Situation sanitaire dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est Le Directeur
Plus en détailMaisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailRapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde
Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,
Plus en détailLes jeunes non mariés
Les jeunes non mariés et les grossesses non désirées Introduction Il est important de veiller à ce que les jeunes non mariés disposent d informations et de services de contraception. Les grossesses non
Plus en détailTravaux d adaptation du logement pour les personnes âgées
Fiche pratique Personnes âgées Travaux d adaptation du logement pour les personnes âgées Accéder à son logement - utiliser les escaliers - prendre l ascenseur - accéder aux équipements Profiter de son
Plus en détailLES PROFESSIONNELS DE LA SANTE
AD'PROSANTE : DES FORMATIONS POUR LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE - GROUPE SOFT FORMATION 84, Boulevard de la Corderie 13007 Marseille Tél : 04.91.15.71.03 Fax : 04.91.81.52.62 1 NOTRE OFFRE
Plus en détailMédicaments et fournitures médicales
Médicaments et fournitures médicales Politique et principes directeurs du HCR 2013 I médicaments essentiels et fournitures médicales, unhcr politique et principes directeurs 2013 UNHCR, 2013. Tous droits
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailTABLE RONDE MISE EN PLACE DE RECOURS EFFECTIFS VISANT A CONTESTER LES CONDITIONS DE DETENTION
TABLE RONDE MISE EN PLACE DE RECOURS EFFECTIFS VISANT A CONTESTER LES CONDITIONS DE DETENTION organisée dans le cadre du projet financé par le Fonds fiduciaire «droits de l homme» (HRTF) Conseil de l Europe,
Plus en détailImplication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA
Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Réunion Icône 2015 STRASBOURG Laurence Boyer - PH -SMIT- CHU Nancy Contexte Plan VIH/Sida/IST- 2010/14: Augmenter le dépistage:
Plus en détailRéseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *
République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS
Plus en détailFP2020 Estimations pour les Indicateurs de base CAMEROUN
FP2020 Estimations pour les Indicateurs de base CAMEROUN Publié en novembre 2014 Afin de bien former des interventions, évaluer les progrès, et selon le cas, raffiner leurs stratégies, les décideurs ont
Plus en détailNations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011
Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011 Initiatives montrant des bonnes pratiques ainsi que des pratiques efficaces dans l adoption d une approche fondée sur les droits
Plus en détailIntroduction. 1 Communication de la Commission au Conseil, au Parlement européen, au Comité économique et social
Observations du HCR sur la Communication de la Commission européenne «Programme commun pour l intégration : Cadre relatif à l intégration des ressortissants de pays tiers dans l Union européenne» (COM
Plus en détailDONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT
DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne
CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une
Plus en détailEVALUATION DE LA COMMUNICATION DES BÉNÉFICIAIRES
Fédération Internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge EVALUATION DE LA COMMUNICATION DES BÉNÉFICIAIRES Résumé Executif / Haiti / 2011 Avant-propos d Eduard Tschan, directeur de
Plus en détailAnnexe 1 L Agenda politique d Istikshaf
This project is funded by The European Union Annexe 1 L Agenda politique d Istikshaf This project is funded by The European Union Istikshaf: explorer la mobilité Agenda politique régional pour la mobilité
Plus en détailAssises Nationales du Maintien à Domicile 14 17 juin 2000 La douleur Les soins palliatifs. EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS
EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS INTRODUCTION (Présentation de l'association François-Xavier Bagnoud) L'Association L'association qui porte le nom de François-Xavier Bagnoud est une
Plus en détailProtocole. [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit.
Protocole [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit. 1. 2. Descriptif du dispositif Le contexte... p. 4 Les objectifs... p. 5 Les bénéficiaires... p. 5 Le chéquier et les coupons... p.
Plus en détailDomaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé
Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules
Plus en détailCONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A
CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A ONUSIDA/CCP (36)/15.12 Date de publication : 24 juin 2015 TRENTE-SIXIÈME RÉUNION Date : 30 juin - 2 juillet 2015 Lieu : Salle du conseil exécutif,
Plus en détailPromouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre
inégalité Note de Synthèse Protection sociale pour les Enfants Réduction de la pauvreté q protection sociale Février 2009 exclusion sociale Politiques Sociales atteindre les OMD sécurité stratégies politiques
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailEvaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire
Evaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire Date : L évaluation multisectorielle s est déroulée du 26 au 28/08/2015. Zone d évaluation : Localité
Plus en détailPerspectives en sciences sociales et santé publique. Bernard Taverne (CRCF/IRD)
Perspectives en sciences sociales et santé publique Bernard Taverne (CRCF/IRD) Journée scientifique ANRS, Dakar 25 juin 2010 Le devenir des patients au delà d un processus de recherche clinique, Organisation
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailTITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)
TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en
Plus en détailL infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un
Plus en détailRAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX
Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailLa planification familiale pour les femmes et couples après une réparation de la fistule
La planification familiale pour les femmes et couples après une réparation de la fistule Fistula Care à EngenderHealth 440 Ninth Avenue, 13th Floor New York, NY, USA 10001 Tel: 212-561-8000 E-mail: fistulacare@engenderhealth.org
Plus en détailConsulter le Modèle d Accessibilité de référence. Le modèle a considéré quatre types de diversité fonctionnelle :
Consulter le Modèle d Accessibilité de référence. Le modèle a considéré quatre types de diversité fonctionnelle : Personnes ayant une diversité fonctionnelle physique Personnes ayant une diversité fonctionnelle
Plus en détail3F4/2 Modalités de renfort en personnels dans les domaines non sanitaires
FICHE-MESURE Plan pandémie grippale 3F4/2 Modalités de renfort en personnels dans les domaines non sanitaires Validation : 13/10/2011 Ministère-pilote et rédacteur : Ministère chargé de l intérieur Ministères
Plus en détailLieux de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015
Lieux de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015 Lieux de stage, structures d accueil et sujets de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015 Pays Structure
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailAteliers Santé Ville de Marseille
Ateliers Santé Ville de Marseille QUESTIONS-REPONSES SUR LES DROITS A LA COUVERTURE MALADIE Dernière mise à jour : 07 mars 2011 Préambule Ce document est destiné aux professionnels concernés par les questions
Plus en détailNotice sur les allégements dans l exécution des peines et mesures
Notice sur les allégements dans l exécution des peines et mesures 1. Situation actuelle De l article 123 al. 2 de la Constitution fédérale (RS 101) découle le principe selon lequel l exécution des sanctions
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailActeur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS
Acteur majeur de la lutte contre le sida Antenne genevoise de l Aide Suisse contre le Sida Membre de la Coalition internationale PLUS Groupe sida Genève 9, rue du Grand-Pré CH-1202 Genève info@groupesida.ch
Plus en détailDRC-IHP: Plans de communication, positionnement et de marquage LA PLANIFICATION FAMILIALE DANS LE PMA. Par Dr Colette LOSSO. PF Advisor PROSANI
DRC-IHP: Plans de communication, positionnement et de marquage LA PLANIFICATION FAMILIALE DANS LE PMA Par Dr Colette LOSSO PF Advisor PROSANI 1 PLAN DE LA PRESENTATION 1. LE PROJET PROSANI ET LES DOMAINES
Plus en détailUn Pass santé contraception. pour les jeunes francilien-ne-s
Un Pass santé contraception pour les jeunes francilien-ne-s Mardi 26 avril 2011 Lycée Elisa Lemonnier Contacts Presse Emmanuel Georges-Picot 01.53.85.57.33 emmanuel.georges-picot@iledefrance.fr Véronique
Plus en détailLes Technologies au Service de la solidarité en temps de crise Humanitaire
Les Technologies au Service de la solidarité en temps de crise Humanitaire #CIVSOCIAL Par Jean-Patrick EHOUMAN Sommet Européen des Crisis Camp à Paris 27 Mai 2011 Présentation Un Hub Technologique Une
Plus en détailCluster Éducation Mali Réunion 14 janvier 2014
Cluster Éducation Mali Réunion 14 janvier 2014 Cluster Éducation Mali Agenda : réunion 14 janvier 2014 1. Présentation des participants et validation de l agenda 2. Suivi des points d action de la réunion
Plus en détailSECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL
SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire
Plus en détailLa planification en cas d urgence ou de catastrophe dans le Nord
A FemNorthNet Fact Sheet La planification en cas d urgence ou de catastrophe dans le Nord Qu est-ce que la planification en cas d urgence ou de catastrophe? Voici comment l Alberta Emergency Management
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailURGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS
1. EVALUATION 2. VACCINATION ROUGEOLE 3. EAU & SANITATION 4. ALIMENTATION & NUTRITION 5. ABRIS & CAMPS 6. SOINS DE SANTE 7. MALADIES TRANSMISSIBLES 8. SANTE PUBLIQUE 9. RESSOURCES HUMAINES 10. COORDINATION
Plus en détaileduscol Santé et social Enseignement d'exploration
eduscol Consultation nationale sur les programmes Projets de programmes de la classe de seconde générale et technologique Santé et social Enseignement d'exploration L'organisation de la consultation des
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailDÉTERMINANTS COMPORTEMENTAUX DE LA SANTÉ SEXUELLE ET REPRODUCTIVE DES JEUNES EN MILIEU URBAIN
DÉTERMINANTS COMPORTEMENTAUX DE LA SANTÉ SEXUELLE ET REPRODUCTIVE DES JEUNES EN MILIEU URBAIN Analyse secondaire des données des enquêtes démographiques et de santé réalisées au Bénin et à Madagascar Avril
Plus en détailREFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CQP AIDE DENTAIRE
REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CQP AIDE DENTAIRE 1 ACTIVITES TECHNIQUES AIDE DENTAIRE / GESTION DU RISQUE INFECTIEUX Préparer et entretenir la salle de soins Entretenir la salle de stérilisation
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailSCHEMA POUR LE RAPPORT FINAL DU (CO-)FINANCEMENT
SCHEMA POUR LE RAPPORT FINAL DU (CO-)FINANCEMENT (s appliquant aux projets d aide d urgence, de réhabilitation/ reconstruction et de prévention/ réduction des risques et de résilience) Le rapport final
Plus en détailPrésentation des 6 projets financés sur le FED via le PESCC
Présentation des 6 projets financés sur le FED via le PESCC 6projets financés couvrant 7 régions pour un montant total 106 594 738 MRO dont 95 588 077MRO sur contribution FED. Un projet mis en œuvre par
Plus en détailUn poste à votre mesure!
Titre du poste : INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE (IPSPL) Direction : Direction des soins infirmiers Statut : Temps complet - 35 heures/semaine Quart : Jour LIBELLÉ DU TITRE D EMPLOI Personne
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailles télésoins à domicile
Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION
Plus en détailAsie centrale. Environnement opérationnel. Kazakhstan. Kirghizistan. Ouzbékistan. Tadjikistan. Turkménistan
Environnement opérationnel Kazakhstan Kirghizistan Ouzbékistan Tadjikistan Turkménistan Les abondantes réserves de pétrole et de gaz de l Asie centrale expliquent en partie l importance géopolitique que
Plus en détailPour les entreprises de taille moyenne. Descriptif Produit Oracle Real Application Clusters (RAC)
Pour les entreprises de taille moyenne Descriptif Produit Oracle Real Application Clusters (RAC) POURQUOI VOTRE ENTREPRISE A BESOIN DE CLUSTERISER LES SERVEURS La continuité opérationnelle est cruciale
Plus en détailMISSION DE VERIFICATION D'INFORMATION ET PROTECTION DES CIVILES - AGUEL-HOC
1 MISSION DE VERIFICATION D'INFORMATION ET PROTECTION DES CIVILES - AGUEL-HOC IEDA Relief 25 au 27 Juin 2014 Participants : Chef du bureau MINUSMA de Kidal ; Chef de mission IEDA-Relief ; Section Droits
Plus en détail2. Bailleurs de fonds internationaux majeurs, coordination et possibilité de division du travail, exercices d évaluation conjointe (harmonization)
DIREZIONE GENERALE PER LA COOPERAZIONE ALLO SVILUPPO Ufficio IV Cadre Pays Stream 2013-2015 BURKINA FASO 1. Contexte et finalités de la présence de la coopération italienne Le Burkina Faso est l'un des
Plus en détail