PROBLEMATIQUE DE L EAU DANS LE MONDE DANS LA REGION MEDITERRANEENNE ET EN TUNISIE
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- Alphonse Thomas
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1 PROBLEMATIQUE DE L EAU DANS LE MONDE DANS LA REGION MEDITERRANEENNE ET EN TUNISIE
2 PROBLEMATIQUE DE L EAU DANS LE MONDE, DANS LA REGION MEDITERRANEENNE & EN TUNISIE INTRODUCTION Il est très probable que durant la 2 ème moitié du siècle en cours, le monde ait à faire face à des problèmes de pénurie d eau qui pourraient dans certaines régions se transformer en crises socioéconomiques sévères. Les risques anticipés dans ce domaine découlent des changements climatiques, de l augmentation des besoins alimentaires dans le monde, de la multiplication des mégapoles, de l agression urbaine sur les écosystèmes aquatiques, les terres agricoles et les zones de recharge des nappes aquifères, de la détérioration de la qualité de l eau destinée à la consommation humaine et à l irrigation et enfin, des conflits politico-militaires sur le partage des eaux de ruissellement transnationales voire même des eaux internationales. 1- LA PROBLEMATIQUE AU NIVEAU MONDIAL Dans l état actuel de l offre, les steppes et les zones arides du monde, où habitent 21% de la population mondiale (qui est passée de 2 milliards en 1900 à 6,2 milliards en 2000) et qui couvrent 28,2% de la superficie continentale (133,6 millions de Km²) ne reçoivent que 2,2% du débit mondial des eaux de ruissellement des rivières (40606 Km 3 /an).
3 Les disponibilités en eau dans le monde sont illustrées dans l atlas mondial ciaprès : On parle donc d absence de pénurie lorsque les ressources en eau sont abondantes par rapport à l usage (moins de 25% des débits des rivières sont prélevés) ; de pénurie physique de l eau, lorsque plus de 75% des débits sont prélevés pour l agriculture, l industrie et le résidentiel (y compris l eau usée 2
4 recyclée) ; de pénurie économique lorsque les manques de capitaux humains, financiers et institutionnels limitent l accès à l eau, pourtant disponible. Du côté de la problématique de la demande, qui provient essentiellement de l irrigation des terres agricoles, les superficies irriguées ont augmenté à raison de 0,8 à 1% l an, pour atteindre 264 millions d hectares en 2000, et atteindraient 307 et 331 millions d hectares respectivement en 2025 et La consommation totale d eau, quant à elle, a doublé entre 1900 et 1950 et entre 1950 et 1980 et augmentera par la suite au rythme de 0,8 à 1%/an pour atteindre en 2025 et 2050 respectivement 2321 et 2511 Km 3 /an. Mais la plus sérieuse des problématiques est liée aux changements climatiques attendus et dont les effets se font déjà sensiblement sentir au niveau des anomalies de précipitations. Ces pénuries et anomalies de précipitations à l échelle mondiale auront des conséquences économico-socio-politiques majeures dont les principales seraient : - les conséquences sur la production alimentaire dans le monde, - et les conséquences sécuritaires régionales. La 2 ème moitié du siècle en cours connaîtrait probablement une crise alimentaire aigue due aux effets négatifs des changements climatiques : sécheresse dans certaines parties du monde, excès de pluies dans d autres, inondations violentes suivies d érosion intensive des sols cultivables, envahissement par la mer des terres agricoles basses etc Ces effets seront de surcroit, aggravés par l augmentation de la population mondiale qui atteindrait les 9 milliards de personnes en La façon dont les variations des précipitations affecteront les régions du monde est illustrée dans la carte et le tableau ci-après : 3
5 Changements climatiques : Variation des précipitations Régions Période Décembre-Mars 4 Variations ( ) par rapport à ( ) Période Juin-Septembre Afrique équatoriale +25% +10% Sahel Africain +10% +30% Afrique du Nord -15% -10% Europe du Sud +10% -20% Europe du Nord +25% +15% Amérique du Nord +10% +10% Source : IEPF Liaison Energie Francophone Sept Sur le plan des conséquences sur la sécurité dans le monde, on pourrait prévoir des conflits au niveau des fleuves transnationaux engendrés par des prélèvements excessifs en amont pour les besoins grandissants des cultures
6 irriguées. De même qu on pourrait prévoir des déplacements en masse de populations des zones de sécheresse vers les zones plus humides et donc une intensification des mouvements de migrations sud-nord et sud-sud. 2- LA PROBLEMATIQUE AU NIVEAU REGIONAL, PARTICULIEREMENT MEDITERRANEEN Le bassin méditerranéen (Sud de l Europe, Afrique du Nord et Subsahara, Proche Orient et Asie Mineure) serait probablement la région du monde la plus affectée par les pénuries d eau, les effets négatifs des changements climatiques et les conflits liés aux problèmes de l eau. La population des zones arides de la région méditerranéenne constituerait à l horizon de 2050 entre 8 et 10% de la population mondiale ayant pour la plupart, comme c est déjà le cas aujourd hui, des économies fragiles, un déficit alimentaire et une dynamique démographique et migratoire forte. Les pénuries d eau à prévoir sur cet horizon temporel accentueraient cette fragilité. Ceci est d autant plus préoccupant que la côte nord du bassin méditerranéen, l Europe du sud elle-même, connaîtra une nette diminution de ses précipitations. Les apports des rivières du sud de l Europe débouchant en méditerranée diminueraient en conséquence, et les prélèvements y augmenteraient. Cela rendrait illusoire l idée souvent entretenue d amener les eaux par pipeline sous marins depuis la côte nord à la côte sud méditerranéenne. Cette dernière doit donc compter sur des solutions nationales. Sur le plan sécuritaire, il faudra également prévoir des conflits autour des eaux provenant de l Asie Mineure vers le moyen orient en particulier de la Turquie vers la Syrie et l Irak, des eaux provenant du Liban vers la Jordanie, la Palestine et Israël ; autour du bassin et de la vallée du Nil ; autour du lac 5
7 Chad et du fleuve Sénégal et enfin autour des eaux souterraines du continental intercalaire distribuées sur l Algérie, la Tunisie et la Libye. Sur le plan alimentaire la situation serait plutôt alarmante en Afrique du Nord et au Proche Orient. En effet, les besoins alimentaires dans ces régions atteindraient en 2050 un niveau supérieur au double de leur niveau en 2000, (390 millions t/an comparées à 154 millions t/an) alors que les surfaces cultivables ne pourront suivre ces besoins puisque déjà en 2000 les surfaces cultivées (86 million Ha) représentaient 87% des superficies cultivables (99 millions Ha) et la production ne dépasserait pas 166 millions t/an. Le déficit alimentaire s élèverait en 2050 à -224 Millions de Tonnes. Par contre, en Afrique subsaharienne la situation alimentaire serait probablement moins catastrophique. D abord en termes d apport pluviométrique, les changements climatiques anticipés se traduiront par une augmentation des précipitations de 30%, durant la saison chaude. En second lieu les surfaces cultivées en 2000 ne représentaient que 22% des superficies cultivables. Il y a par conséquent de la marge pour les augmenter, produire plus et éventuellement dégager un surplus de produits alimentaires malgré l augmentation des besoins alimentaires dans cette région qui augmenteraient plus que 5 fois en 2050 par rapport à 2000 (1350 millions t/an comparées à 262 millions t/an). 3- L ORIENTATION FUTURE : L ECONOMIE DE L EAU Au vu de ce qui précède, l économie de l eau devient vitale et plus particulièrement en Afrique du Nord. Cette économie passe par les trois types d actions suivants : 1- Réduction des pertes entre l eau réellement utilisée par la plante et celle reçue sur le lieu de plantations (le champ) qu elle soit pluviale ou d irrigation. Ces pertes sont essentiellement constituées par 6
8 l évaporation dans l atmosphère suite à l aspersion, à l arrosage, aux précipitations naturelles et au transport de l eau. 2- Augmentation de l efficacité hydrique des plantes et végétaux cultivés (en réduisant la transpiration) et optimisation du choix des types de cultures les mieux adaptées. Les produits végétaux ont des besoins inégaux en eau. Il convient de favoriser le développement agricole de ceux ayant les besoins en eau les moins élevés. Produits végétaux Besoins en eau (M 3 /t) Riz Blé 1000 Maïs 700 Agrumes 400 Maraichage Pomme de terre 100 Sources : Académie des Sciences, 2006, Paris. 3- Adaptation des régimes alimentaires : D une façon générale, un régime carné utilise plus d eau qu un régime végétarien. Un régime sain peut être défini entre ces deux extrêmes et peut constituer une économie substantielle d eau. Produits animaux Besoins en eau (M 3 /t) Bœuf Volaille 4100 Œufs 2700 Lait 850 Sources : Académie des Sciences, 2006, Paris. 7
9 4- LA PROBLEMATIQUE AU NIVEAU DE LA TUNISIE La Tunisie est un pays méditerranéen ayant une position géographique et des conditions climatiques qui le placent dans un environnement d irrégularité et de rareté d eau. L effort national fourni depuis l indépendance du pays pour la mise en place d une infrastructure hydraulique adéquate, a permis de répondre à la demande en eau des différents secteurs (alimentation en eau potable, agriculture, industrie, tourisme, etc ) et de dépasser les périodes difficiles liées aux sécheresses et aux inondations. Cet effort de mobilisation a fait apparaître comme le montrent différentes études et évaluations du secteur hydraulique, les limites des ressources traditionnelles et le besoin de disposer d une vision stratégique à long terme afin d éviter au pays, l aggravation du stress hydrique, le conflit entre les secteurs demandeurs en eau et l impact négatif des changements climatiques. Ressources en eau disponibles en Tunisie en m 3 /an/habitant * 2050 * 1036 * Selon les tendances enregistrées 532 Stress hydrique Cette vision stratégique devrait assurer dans le cadre de la durabilité, la sécurité hydraulique ainsi qu alimentaire du pays tout en garantissant son développent escompté. A l horizon 2050, la population du pays aura atteint un niveau de stabilité qui permet de cerner avec une meilleure précision les besoins en eau des différents secteurs économiques. En outre, la mobilisation des ressources hydriques conventionnelles sera proche des limites des disponibilités. Une vision stratégique est nécessaire dans le but de mieux identifier la demande mais également de mieux cerner l offre, assurer sa durabilité et mettre en 8
10 place les mesures d accompagnement en vue d atténuer les risques de pénuries et d opter à temps pour les solutions de rechange. Les développements de la problématique dans les paragraphes précédents aux niveaux mondial et régional montrent que la question de l eau est, entre autre, intimement liée à la problématique de la sécurité alimentaire. C est sous cet angle que la problématique de l eau en Tunisie devra donc être minutieusement examinée, c est à dire dans le cadre d une vision globale de bilan hydrique national et de gestion économique de ce bilan. Cette vision, basée sur une approche technico-économique des ressources naturelles en eau, englobera les grands axes et objectifs suivants : 1- Un bilan hydrique national actualisé : Les évolutions récentes de la science et de la technologie permettent d établir des bilans hydriques globaux plus complets. Il s agit du volume des précipitations totales annuelles sur le territoire et leurs destinations et usages naturels à savoir : les eaux qui s écoulent en surface et qui seront retenues par les barrages et les lacs ; les eaux qui se perdent par écoulement vers la mer et vers les Sebkhas ; les eaux qui s infiltrent dans les aquifères de surface et profonds ; les eaux qui sont consommées par les forêts et les pâturages ; les eaux consommées par l agriculture pluviale et irriguée ; les eaux consommées par l industrie ; les eaux domestiques ; les eaux qui sont retenues par les sols sous forme d humidité interstitielle, et enfin les eaux qui s évaporent dans l atmosphère lors des précipitations et après celles-ci. 2- Une mobilisation optimale des ressources : Mobiliser le maximum utile de ce bilan de façon à ce que le Tunisien n ait jamais soif et que l eau ne constitue jamais une contrainte au 9
11 développement économique, industriel et social de la Tunisie. La façon de mobiliser l eau devra de même viser la sécurité hydrique du pays, l économie de l eau et l équité hydrique dans le sens de la solidarité hydrique nationale et générationnelle. Les principales priorités dans cet axe seront : La construction de nouveaux barrages et lacs collinaires là où c est encore possible. L entretien et la réhabilitation des barrages existants en anticipation de leur envasement, mais aussi en prévision du risque associé à la modification des fréquences d inondations et pour allonger leur durée de vie. La recharge artificielle des nappes de surface et profondes pour remédier à la surexploitation et à l épuisement des grandes nappes principales du pays. Le recyclage des eaux usées pour augmenter les apports en ressources utiles. L intensification des travaux de conservation des eaux et du sol (CES). L optimisation des techniques d irrigation. La connexion des barrages et leur mise en réseau. Le dessalement des eaux saumâtres et des eaux de mer. La lutte contre les pertes par évaporation des eaux de surfaces et des eaux pluviales. La lutte contre les pertes lors du transport et de la distribution de l eau. 3- Un usage optimal: Optimiser l usage de l eau en agriculture, en industrie et pour l utilisation domestique. 10
12 Les principales priorités dans cet axe sont : Les cultures irriguées et économes en eau et leur valeur ajoutée économique. La qualité de l eau pour les usages domestique et agricole et les risques de plus en plus grands de salinisation des eaux et des sols. L eau virtuelle, sous-jacente à tout produit agricole, et son rôle dans la stratégie de la sécurité alimentaire du pays. Les cultures énergétiques. La recherche et développement en appui dans tous ces domaines. 4- L agriculture pluviale, un intérêt spécial : L agriculture pluviale est un usage qui allie un grand nombre d avantages : - une meilleure mobilisation en terme de volume d eau, - un meilleur usage en terme de valeur ajoutée économique. - une plus grande économie d eau, - une plus grande sécurité alimentaire, - une grande source d emplois. - et un important outil de développement régional. Les principales priorités dans cet axe concernent : La lutte contre l érosion des sols cultivables et l agression urbaine. L irrigation complémentaire au moment crucial du cycle de croissance. La lutte contre l effet vaporisant des vents. La recherche et développement dans le domaine de la tolérance des plantes à la sécheresse et au sel et dans les techniques d assolement. Les reformes structurelles et foncières. 11
13 5- La sécurité hydrique : Cela passe par : La gestion de la sécheresse, Les changements climatiques et la gestion des irrégularités pluviométriques, de leur sévérité et de leur imprévisibilité, La protection des barrages contre l envasement, les crises violentes de toutes natures, l obsolescence et la vulnérabilité. 6- Les mesures d accompagnement et les réformes institutionnelles : Pour une meilleure «redevabilité» dans le cadre de la lutte contre les pertes d eau : La séparation des fonctions de production, de transport et de distribution des eaux domestiques, industrielles, agricoles et des eaux usées recyclées, La révision du code des eaux suite à la nécessité de recourir au dessalement, au recyclage des eaux usées, aux impératifs d une plus grande économie, d une protection plus active, d une valorisation plus optimale, à la nécessité d adaptation du code de CES et de l environnement, de mise en place de nouveaux instruments de gestion des eaux pluviales et des événements climatiques extrêmes. La création éventuelle du conseil national de l hydraulique. 5- CONCLUSION Le futur de l eau en Tunisie pourra être mieux éclairé à travers l approfondissement des 6 thématiques énumérées dans le paragraphe précédent qui pourront faire l objet d une étude stratégique globale ou, de préférence, de plusieurs études stratégiques à mener et à synthétiser. 12./.
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