Sécurité Incendie Services Sàrl

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1 Le feu, élément dévastateur, provoque chaque année de nombreuses victimes et entraîne des dégâts importants avec des coûts élevés en particulier dans les industries de pointe. Des années de travail partent alors en fumée en quelques secondes ou minutes. La formation sécurité incendie est obligatoire. Elle a pour objectif de connaître les notions essentielles sur le phénomène du feu, de sensibiliser aux différents modes de propagation et effet de l incendie, expliquer les principes d extinction, connaître les moyens de secours et de lutte contre l incendie mis à la disposition du personnel sur les lieux du travail, et la conduite à tenir en cas de sinistres. A travers l étude des gestes quotidiens de prévention, des conseils et une méthodologie d action, on doit être prêt à réagir en cas de sinistre. Certaines normes et obligations sont imposées par des réglementations strictes sur les lieux de travail. Ces règles font rarement l objet d une dérogation. L incident n arrive pas que chez les autres. Les personnes formées seront un élément déterminant de l action de lutte contre le feu et permettra ainsi la sauvegarde des personnes et des biens. LA COMBUSTION La combustion : C est une réaction chimique complexe dégageant la chaleur qui résulte de la combinaison de deux corps. Un combustible et un comburant, qui débute grâce à une certaine quantité d énergie. Le type de combustion est déterminé par la quantité de chaleur produite et la vitesse à laquelle celle-ci est cédée au milieu. Elle peut être lente (phénomène de création de la rouille) Elle peut être vive avec apparition de flamme et de chaleur (le feu et l incendie) Elle peut être instantanée (vitesse et montée en pression fulgurante, c est la déflagration ou l explosion) C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 1

2 L incendie : C est le résultat d une combustion vive se déclarant en présence simultanée d un combustible, d un comburant, d une source de chaleur. Le comburant : C est principalement l oxygène de l air. Composition de l air : 21% d oxygène (0²) 79% d azote (N) et 1% de gaz rares L énergie d activation ou chaleur : C est l énergie qui déclenche la réaction de combustion : flamme, élévation de température (appareils électriques, surtension etc.) étincelles (interrupteur, sonnerie, etc.) Le combustible : C est de la matière dont la combustion dégage de l énergie calorifique (état physique et composition chimique d un produit) Il se trouve sous trois formes : solide liquide gazeux Le triangle du feu : Pour que l incendie se déclare, il faut impérativement les trois éléments. C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 2

3 LES DIFFERENTS COMBUSTIBLES Les combustibles solides : Ils sont très divers selon leur composition, leur forme La combustion est en fonction de trois aspects principaux : l état de division de la matière (bloc ou feuille de papier) l importance de la source de chaleur le produit de distillation du combustible impliqué Quelques mesures à respecter : Ranger chaque objet à sa place Ne pas faire de gros stockages dans les locaux (cartons, polystyrène, etc, mais les éliminer quotidiennement. Les combustibles gazeux : L inflammation du combustible sous forme gazeuse ne peut se déclarer que si la concentration dans l air est comprise entre deux valeurs qui sont : la limite inférieure d inflammabilité (L.I.I.) ou la limite inférieure d explosivité (L.I.E.) et la limite supérieure d inflammabilité (L.S.I) ou la limite supérieure d explosivité (L.S.E) En dehors de ces valeurs, le mélange gazeux n est pas dans des proportions favorables pour initier une réaction de combustion. Le mélange est soit trop pauvre, soit trop riche en combustible. Chaque gaz possède des valeurs spécifiques. Exemples : CH 4 Méthane : L.I.E = 5% L.S.E. = 15% Hydrogène : L.I.E = 4% L.S.E. = 75% Exemple : Propane L.I.I. L.I.E. L.S.E. L.S.I. 0% 2,4% 9,4% 100% S il n y a pas assez ou au contraire s il y a trop de gaz dans un local, la réaction est impossible. Entre la L.I.E. et la L.S.E., la moindre étincelle provoque la catastrophe. Quelques mesures à respecter : Vérifiez la ventilation des locaux, notamment dans les lieux de stockage des produits inflammables. Vérifiez l état des installations électriques et signalez toutes les anomalies. C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 3

4 Les combustibles liquides : Il est important de connaître les notions de l état physique des liquides. Le point éclair (P.E.) c est la température minimale à laquelle un solide ou un liquide émet des vapeurs suffisantes qui s enflamment au contact d une flamme mais cessent si l on retire cette flamme. Exemple : essence 18 C gasoil de + 5O à C Le point d inflammation (P.I.) c est la température minimale à laquelle un corps émet des vapeurs suffisantes pour maintenir sa combustion sans la présence de la flamme. Le point d auto-inflammation (P.A.I.) c est la température minimale à partir de laquelle les vapeurs émises sont suffisantes pour s enflammer sans apport d une flamme initiale. Il y a inflammation spontanée. Exemple : Ether éthylique (PE) -45 C Méthanol (PAI) + 46 C CONSEILS : La prévention ira dans le sens du choix des solvants, les alcools, l éther etc les acétones ont un P.E. élevé. Chacun doit impérativement lire les indications inscrites sur les étiquettes des produits chimiques. Respecter la quantité de solvants autorisés dans les laboratoires ou ateliers. (Réglementation spécifiques aux stockages et utilisations) Les combustibles liquides : Lorsqu un liquide passe à l état gazeux, il subit une vaporisation, il y deux phénomènes distincts : l évaporation se produit à la surface du liquide, quelle que soit la température. l ébullition se produit en profondeur à une température et une pression données. Lorsque ces deux phénomènes se réalisent en vase clos, un équilibre des molécules s organise entre celles qui proviennent de la phase liquide, et celles qui y retournent. On dit que l atmosphères est saturée. La pression s appelle «Pression de vapeur saturée» (P.V.S) Le risque d explosion correspond à une concentration de produit située entre la L.I.E. et la L.S.E. C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 4

5 CONSEILS : (laboratoire de recherche) Ne pas stocker d animaux anesthésiés à l éther dans un réfrigérateur non sécurisé, car la moindre étincelle peut provoquer une explosion si la concentration de la P.V.S. se situe entre la L.I.E. et la L.S.E. Les installations électriques devraient être antidéflagrantes. L INCENDIE L EXPLOSION Le feu Le feu est un phénomène de combustion développé sans contrôle et qui dégénère. La propagation est très rapide, un verre d eau, un seau d eau, une tonne d eau après on fait ce que l on peut. l intervention doit être immédiate. Les principales causes du feu (naturelles énergétiques accidentelles) Le soleil, la foudre, la fermentation L électricité statique Le gaz, fuite de gaz, détérioration d appareillage Echauffement d appareils, mauvaise utilisation, vétusté, défaut Réactions chimiques non contrôlées Flammes nues, becs de buseurs, chalumeaux, briquets Inattention, maladresse, malveillance, imprudence, ignorance La réaction au feu des matériaux au cours d un incendie varie en fonction de la qualité de ces matériaux (M0 à M4) Les modes de propagation du feu : Lorsque la combustion vive se déclare, l incendie se développe grâce à des phénomènes précis qu il est essentiel de connaître. Le rayonnement : La transmission de la chaleur se réalise sur les objets à proximité du foyer de façon horizontale et verticale. A courte distance, il transporte l énergie par radiation. La projection : La transmission de l incendie est due à un support matériel qui se déplace dans l espace, des brandons, des flammèches, des matériaux en ignition. La conduction : La transmission de la chaleur du foyer passe par ou à travers un support solide de façon verticale ou horizontale (porte en fer, tuyau métallique ) C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 5

6 La convection : La transmission de la chaleur du foyer se fait de manière verticale par mouvement ascendant d air réchauffé au contact de cette source chaude (ascension des gaz chauds brûlés vers d autres locaux) L accumulation : L accumulation de la chaleur et des fumées dans un volume donné peut créer un embrasement généralisé. Les effets de l incendie : La fumée : Lors d un incendie, en particulier les produits techniques (photocopieurs PVC), la production de fumée comportant des aérosols de petites particules solides ou liquides sont très importantes. Ces microparticules sont toxiques, irritantes, opaques, agressives. Elles sont à l origine de nombreux décès dans les incendies. Les gaz de combustion : L émanation est en fonction de la nature et de la qualité de la combustion. Ces gaz sont chauds et très toxiques (CO dérivés de chlore acide cyanhydrique dioxyde d azote etc.) Ce sont ces gaz qui sont à l origine de la diminution de l O² (oxygène) La chaleur Les flammes : Elles seront d autant plus importantes que la combustion est vive, le pouvoir calorifique du combustible impliqué est élevé. L augmentation thermique entraîne la déformation et la destruction des matériaux avec parfois l effondrement des structures. La brûlure peut entraîner la mort : Les brûlures peuvent être externes par contact ou internes par inhalation de gaz chauds. Une brûlure doit être traitée sans délais. Si une personne est atteinte par des flammes, il faut l immobiliser rapidement au sol et étouffer les flammes avec une couverture anti-feu, un vêtement ou une blouse en coton de préférence. Attention à ne pas se brûler, pour cela il faut se protéger les mains et les bras convenablement. Pratiquez les gestes secouristes. Quelques conseils : Evacuer les lieux si le feu ne peut être circonscrit rapidement avec les moyens appropriés. Se tenir près du sol pour avoir de l air plus frais. Se protéger les voies respiratoires avec un mouchoir ou torchon légèrement humide. Attention aux structures métalliques qui s effondrent sans prévenir lorsqu elles sont soumises au feu. En cas de brûlures, rincer abondamment avec de l eau, le plus rapidement possible en attendant les secours. C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 6

7 L explosion : L explosion est une combustion instantanée avec une brusque augmentation de pression. La déflagration entraîne la destruction des structures et des installations techniques, l effondrement et la projection de matériaux dans l espace. Elle peut être suivie ou non d un incendie. L extinction : Les principes d extinction sont très simples : il faut agir sur 1 des éléments du triangle du feu, soit sur le combustible, soit sur le comburant, soit sur la chaleur. L action sur le combustible : Surpression éloignement (couper l arrivée de gaz déplacer ou éloigner le combustible solide ou liquide) Cette action est souvent difficilement réalisable Le refroidissement (abaissement de la température) Modification de la concentration (réaction chimique) L action sur le comburant : Supprimer l O² de l air par étouffement (couverture, eau pulvérisée avec additif, sable, mousse, poudres ) Diminuer le pourcentage de l O² dans l air pour rendre l atmosphère incomburantes (utilisation de gaz inerte, CO2, azote etc ) Action sur la réaction de combustion (inhibition de la réaction de combustion : poudres, gaz inerte) L action sur la chaleur : En refroidissant (eau pulvérisée ou par jet de lance R.I.A) Les principes d extinction sont très simples, il faut agir sur 1 des éléments du triangle du feu. Surpression éloignement (couper l arrivée de gaz déplacer ou éloigner le combustible solide ou liquide). Cette action est souvent difficilement réalisable. C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 7

8 Classification des feux : Le classement concerne «l aliment du feu» c est à dire la nature du combustible (solide liquide gazeux) A B C D Les classes de feux sont représentées par un pictogramme que l on retrouve sur les extincteurs. Classe de feu Nature de la matière Exemples Feu Classe A Combustibles solides, Formation de braises Bois, charbon, papier, textile Au début flammes puis dégazéification de la braise Classe B Combustibles solides, fusibles sans formation de braises Combustibles liquides Hydrocarbures Cire, résine, paraffine, Ether, alcool, acétone, benzine, benzol, vernis, huiles, graisses, goudron Flammes Classe C Combustibles gazeux Acétylène, butane, gaz de coke, méthane, hydrogène Flammes Classe D Métaux combustibles Aluminium, potasium, sodium, magnésium, plutonium, uranium, cérium, zirconium Braises métalliques Installation électrique sous tension Toutes les machines électriques, appareils de commutation et de distribution Conformément à la matière combustible C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 8

9 Les agents extincteurs : l eau et l eau pulvérisée Le plus utilisé, le moins cher, un des plus efficaces. L eau pulvérisée agit par privation d oxygène (étouffement) et refroidissement. Elle permet également la protection de l agent vis à vis de l intensité du rayonnement du foyer en créant un «écran» protecteur. L eau projetée au moyen d une lance «jet bâton» a également un effet de choc sur le foyer. Attention son utilisation peut provoquer des dégâts par projection sur son environnement proche et engendrer un risque d inondation plus dévastateur que le feu lui-même. l eau avec additif Les additifs sont des émulseurs c est à dire des produits qui, à faible concentration, accroissent l efficacité de l eau en la rendant plus mouillante, plus pénétrante car elle abaisse sa tension superficielle (la goûte d eau s étale beaucoup plus). Il forme une pellicule étanche à la surface du combustible (ce film est imperméable et évite le risque de réinflammation). les poudres Les poudres sont des produits chimiques (bicarbonate de sodium, potassium, phosphate d ammonium ) Elles agissent en tant «qu inhibiteur de flamme». Il existe plusieurs types de poudres : BC ABC ou «Polyvalentes» D (Marcalina / Graphex) Ces poudres n assurant pas de pouvoir de refroidissement, leur action d extinction doit être complétée, surtout pour les foyers de classe A, par le refroidissement au moyen d eau pulvérisée. A noter que leur pouvoir d expansion (6m² par g de poudre, si extincteur de 9 kg = 5,4 hectares de grains de poudre) et de salissures qui résulte de leur utilisation, conduit à en déconseiller leur utilisation sur du matériel électronique, électrique, informatique ou appareillages délicats. la mousse (liquide émulseur) Un liquide émulseur est un produit qui, dilué dans de l eau en proportion convenable, permet d obtenir par incorporation d air ou de gaz, une mousse utilisable pour la lutte contre les incendies. La mousse agit par privation d oxygène (étouffement) et refroidissement. C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 9

10 le CO2 Il agit par privation d oxygène (étouffement) En extincteur il est émis à l état gazeux avec formation partielle de neige carbonique solide qui se transforme rapidement en gaz. Il est surtout efficace pour les feux électriques ainsi que sur des petits foyers de classe B et dans des espaces confinés. Attention à la manipulation des appareils du fait de graves gelures provoquées par les projections sur la peau. Ne jamais tenir à la main le «tromblon» d un extincteur au CO2( -52 C à l état de gaz, -78 C à l état de gaz carbonique) A chaque type de foyer = un moyen de lutte CLASSE NATURE DU COMBUSTIBLE AGENT D EXTINCTEUR MODE D ACTION A Solides Eau pulvérisée Refroidissement Etouffement Choc Souffle B Liquides et solides liquéfiables Poudre Mousse Neige carbonique CO2 Refroidissement Ecran Abattement Inhibition de la réaction chimique C Gaz Poudre CO2 Isolement Etouffement Ecran D Métaux Sable Poudres Liquides spéciaux Ecran C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 10

11 Les moyens de luttes : Les extincteurs : Appareil contenant un agent extincteur (eau, eau+additif, poudre, etc ) qui sert à attaquer un début de feu. Ils sont soit à pression permanente, soit à pression auxiliaire. En fonction de leur masse, ils sont portatifs (inférieur à 16 kg), portables ou sur roues. A chaque type de foyer correspond un extincteur. Certains d entre eux sont homologués pour lutter contre plusieurs classes de feux. C est simple, tout est inscrit sur chaque appareil = foyer homologué, mode d emploi, recommandations Mode d emploi et conseils d utilisation Tenir l appareil par la poignée Enlever la goupille de sécurité Appuyer fortement sur le levier ou sur le «coup de poing» (appareils à pression auxiliaire) Vérifier s il n est pas vide en appuyant sur la gâchette avant de s avancer vers le foyer Attaquer le feu à la base des flammes, le vent dans le dos si possible Commencer par le bord le plus proche du foyer principal et balayer lentement pour atteindre toute la surface enflammée. Contrôler le débit de la soufflette ATTENTION Ne jamais mettre sa tête au dessus de la poignée lors du percutage de l appareil. Un extincteur utilisé même partiellement doit être immédiatement rechargé et vérifié. La réglementation impose que les extincteurs soient contrôlés 1 fois par an. Tous les 10 ans pour épreuves décennales. Pour attaquer un feu électrique : débrancher la prise ou couper le courant si possible. C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 11

12 Pour les feux de gaz : arrêter impérativement le robinet ou la vanne d urgence de barrage de gaz avant d éteindre la flamme. En effet, en cas de soufflage de la flamme sans coupure préalable, le fuite de gaz risque de provoquer une explosion plus dévastatrice que le feu lui-même. La distance d attaque dépend du type d extincteur : Distance Classe de feu C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 12

13 Les différents types d extincteurs : On distingue quatre types d'extincteurs différents : à eau pulvérisée, à eau pulvérisée avec additif, à CO2 et à poudre. Intéressons-nous plus précisément à chacun d'entre eux : Les extincteurs à eau pulvérisée : on les utilise pour les feux de classe A et pour les feux sur les personnes. Leur contenance peut être de 6 ou 9 litres. Pour les mettre en oeuvre : 1. Dégoupiller ( enlever la sécurité ) ; 2. Percuter ( mise sous pression ) ; 3. Vérifier le bon fonctionnement. Leur distance d'attaque varie de 2 à 3 mètres. L'eau agit par refroidissement. Il ne faut pas les utiliser sur une installation électrique supérieure à la moyenne tension ( 1000 Volts ). Les extincteurs à eau pulvérisée avec additif : on les utilise pour les feux de classe A et B ( suivant l'additif ). Leur contenance peut être de 6 ou 9 litres ( plus additif ). Pour les mettre en oeuvre : Schéma légendé de ce type d'extincteur : 1. Dégoupiller ( enlever la sécurité ) ; 2. Percuter ( mise sous pression ) ; 3. Vérifier le bon fonctionnement. C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 13

14 Leur distance d'attaque varie de 2 à 3 mètres. Ils agissent par refroidissement sur les feux de classe A et par étouffement sur les feux de classe B. Il ne faut pas les utiliser sur les feux de liquides polaires ( alcool... ) car cela se mélange avec l'eau. Il ne faut pas les utiliser sur une installation électrique supérieure à la moyenne tension ( 1000 Volts ). Les extincteurs à CO2 / à neige carbonique : on les utilise pour les feux de liquides inflammables B et pour les feux d'origine électrique. Leur contenance peut être de 2 ou 5 kg de CO2. Leur distance d'attaque atteint 0,5 à 1 mètre maximum. Le CO2 agit par étouffement et/ou par refroidissement. Pour les mettre en oeuvre : Schéma légendé de ce type d'extincteur : 1. Dégoupiller ( enlever la sécurité ) ; 2. Agir Il est recommandé de ventiler le local après l'extinction du feu avec ce type d'appareil. Il ne faut surtout pas toucher ni le tromblon ni la base de l'extincteur car la température descend à -78 C. Voici un schéma légendé de ce type d'extincteur : Les extincteurs à poudre : on trouve deux types de poudre. La poudre BC est utilisée pour les feux de liquides inflammables et les feux de gaz. La poudre ABC est utilisée pour les feux de solides, de liquides et de gaz. Leur contenance peut être de 6 ou 9 kg de poudre. Leur distance d'attaque varie de 4 à 5 mètres. La poudre BC agit par inhibition alors que la poudre ABC agit par inhibition et étouffement. Pour les mettre en oeuvre : Schéma légendé de ce type d'extincteur : 1. Dégoupiller ( enlever la sécurité ) ; 2. Percuter ( mise sous pression ) ; 3. Vérifier le bon fonctionnement. C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 14

15 Les autres moyens de luttes : Les R.I.A. : (Robinet d Incendie Armé) La prévention, c est à dire la réglementation de toutes les mesures en matière de sécurité, impose de très nombreuses règles au niveau de la construction, de l aménagement intérieur, du nombre et de la largeur des issues de secours, des moyens de secours etc Les Robinets d'incendie Armés constituent des moyens de secours de première intervention. Ils sont implantés à l'intérieur des bâtiments, le plus près possible des risques à protéger. Le nombre et le choix de leurs emplacements doit être tels que toutes la surface des locaux puisse être atteinte (dans les locaux à risques importants, tout point de la surface doit pouvoir être atteint par au moins deux jets de lance ). Voilà à quoi ressemble un Robinet d'incendie Armé : Voici les éléments constitutifs d'une installation R.I.A. C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 15

16 Les sprinklers : L'appellation réglementaire est "installation fixe d'extinction automatique à eau". Une telle installation a pour but : de surveiller en permanence un risque ( 24 / 24 h ) ; de déclencher une alarme en cas d'incendie ; d'éteindre ou de contenir un début d'incendie ( attaque immédiate du foyer ). On trouve deux types de têtes de Sprinkler : avec fusible ou avec ampoule. Leur fonctionnement est identique. Dès la destruction, soit du fusible, soit de l'ampoule, par la montée en température, il s'en suit l'arrosage, comme l'explique ce schéma : Tête avec fusible Tête avec ampoule Pour ce qui est des têtes avec ampoule, cette dernière est remplie d'un liquide non inflammable qui se brise sous l'effet de la chaleur. Il s'en suit alors l'arrosage. Le C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 16

17 liquide contenu dans l'ampoule a un coefficient de dilatation différent en fonction de la température de fonctionnement souhaitée. Le schéma suivant vous décompose les éléments constitutifs d'une installation Sprinkler : Les canalisations sont réservées exclusivement à l'alimentation en eau de l'installation. Les postes de contrôle ( P.C. ) ont pour but de donner l'alarme suite au passage de l'eau. Les caractéristiques des pompes doivent permettre d'assurer la pression et le débit exigés. La détection : Un système de détection a pour rôle de déceler, signaler et localiser l incendie dans les meilleurs délais. Il est relié à une centrale qui peut provoquer la mise en service «d asservissement» comme : émission d une alarme arrêt de la climatisation ouverture des trappes de désenfumage mise en service d extinction automatique fermeture des portes coupe-feu etc Il existe plusieurs modèles de détecteurs en fonction du risque. Ils sont sensibles : aux odeurs (détecteur à variation ionisant), à la fumée (détecteur optique de fumée), aux flammes (détecteur optique de flammes), à la chaleur (détecteur thermique) etc Phénomène physique détecté Fumée Type de détecteur(s) ionique / optique C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 17

18 Flamme Chaleur infra-rouge / ultra-violet thermostatique / thermovélocimétrique Le graphique qui suit permet de savoir quel type de détecteur utiliser pour les phénomènes physiques à détecter : Le désenfumage : Il permet l évacuation des fumées toxiques, des gaz chauds pour faciliter l attaque du foyer et l évacuation des personnes. Il peut se réaliser naturellement ou mécaniquement. Il y a deux types de désenfumage : le désenfumage naturel : il a l'avantage d'être peu onéreux mais il reste toujours assez aléatoire ( il peut être affecté par les conditions atmosphériques ) le désenfumage mécanique : il fait appel à deux techniques (le balayage des locaux par de l'air frais et l'instauration d'une hiérarchie des pressions ) et il est le seul à même de contrôler vraiment les mouvements des fumées. L alarme : C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 18

19 Un signal sonore permet de prévenir soit le poste de sécurité, soit l ensemble du personnel afin d évacuer le local ou l établissement. Il s agit en général de déclencheurs manuels disposés dans certains locaux et dans les circulations. Les portes coupe-feu : Ces portes cantonnent les fumées, flammes et chaleur pendant un temps précis. Asservies à la détection, elles se ferment en cas de déclenchement d alarme. Si celle-ci ne sont pas asservies, elles doivent être obligatoirement maintenues fermées pour assurer leur fonction. L éclairage de sécurité : Il permet la visualisation lors de la défaillance de l éclairage normal des cheminements et des issues de secours assurant l évacuation sûre et facile vers l extérieur. Ce sont des blocs lumineux d ambiance, de balisage ou de signalisation. (exemple : sortie de secours) L alerte : C est l action de demande d intervention d un service public de secours et de lutte contre l incendie. (téléphone, ligne directe, radio, etc ) Les boutons d arrêt d urgence / Vanne police / Coupures diverses : Ce sont des boîtiers fixes de couleur rouge identifiés (ex : coupure d urgence du gaz) et généralement munis d une vitre cassante qui déclenche une action spécifique : coupure d électricité, coupure de la ventilation, etc C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 19

20 Les colonnes sèches / Colonnes humides : Ce sont des tuyauteries d incendie fixes installées sur la hauteur du bâtiment avec des raccords à chaque étage. Ces colonnes sont soit en eau (humides) soit vides (sèches). Ce matériel est réservé uniquement aux sapeurs-pompiers. Les consignes de sécurité / Plans d évacuation : L affichage des consignes générales de sécurité, l emplacement des moyens de secours et le plan d évacuation des locaux sont positionnés dans les lieux communs et locaux spécifiques. Les poteaux d incendie / Bouches d incendie : Les poteaux d incendie (P.I.) ou bouches d incendie (B.I.) sont des prises d eau destinées aux sapeurs-pompiers pour alimenter les engins d incendie. Le service de sécurité : Du personnel formé, équipé pour la première intervention de la lutte contre le feu, est en place dans certains établissements. Il a un double rôle de prévention (surveillance et application des règles de sécurité, vérification des installations techniques, information ) et de prévision (alerte des secours, organiser l évacuation, lutter contre l incendie ) C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 20

21 Conduite à tenir en cas de sinistre : Attention : ces quelques lignes ne sont pas destinées à faire de vous des Sapeurs- Pompiers, mais à vous apprendre à réagir au bon moment pour être efficace le jour où Garder son calme, ne pas crier «au feu» pour éviter tout mouvement de panique Déclencher l alarme Prévenir ou faire prévenir les secours organisés Utiliser les moyens de secours adaptés à votre disposition (panneaux signalétiques de couleur rouge) C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 21

22 Attaquer le feu le plus rapidement possible avec les moyens adaptés : extincteurs, R.I.A. Actionner les organes de coupure (électricité, gaz, etc ) Si le feu devient important, évacuer les lieux en empruntant un itinéraire que vous aurez reconnu en temps normal (panneaux de signalisation de couleur verte) Rester le plus près du sol possible, l air frais se trouve en partie basse Ne pas utiliser les ascenseurs, ni les monte-charges Fermer les portes et les fenêtres S assurer qu il n y a plus personne dans les locaux Ne pas revenir en arrière sans l accord des pompiers Attendre les secours, les guider et leur fournir des renseignements sur le sinistre Si la fumée et la chaleur rendent les couloirs ou les escaliers impraticables, rester dans votre local et vous manifester à la fenêtre. Une porte fermée mouillée, rendue étanche par des chiffons humides protège longtemps. Si vous êtes atteint par le feu : ne courez pas, jetez-vous à terre et roulezvous au sol, arrosez-vous abondamment avec de l eau. Message d alerte au standard du Centre de Traitement de l Alerte des Sapeurspompiers (C.T.A.) : L alerte est un maillon essentiel de la chaîne de secours. C est lui qui permet l envoi adapté des engins et des véhicules spécialisés en fonction des renseignements précis qui sont fournis. 1 Lieu Donner votre adresse précise avec le nom de la rue, le numéro de la rue, le nom de l établissement, l étage, et surtout la commune. Le sapeur-pompier qui vous répond se trouve dans la ville où est implanté le centre de traitement de l alerte : un ou plusieurs C.T.A. par département) C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 22

23 2 Nature Indiquer s il s agit d un incendie, une explosion, un accident de personnel, une pollution, une personne brûlée, etc 3 Nombre de victimes Déterminer le nombre de victimes avec un bilan «secouriste» si possible 4 Risques particuliers Fournir les renseignements particuliers comme la présence de produits chimiques, de corps radioactifs 5 Votre numéro de téléphone Il permet de vous rappeler en cas de besoin et de vérifier l exactitude de l appel. (identification automatique et instantanée de l appelant) ATTENTION : ne raccrocher jamais en premier, attendre que le standardiste vous en donne l ordre. Cela signifie qu il possède tous les renseignements pour l envoi adapté des secours. Rôle du personnel en matière de sécurité : Le but est de permettre au personnel de mieux cerner la sécurité dans son établissement et de pouvoir faire face à un éventuel incident. Pour cela, il faut connaître son établissement : Votre bâtiment est-il un I.G.H. ou un E.R.P.? Connaissez-vous bien tous les locaux? C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 23

24 Où sont stockés les produits dangereux? Quels sont les dangers des produits que j utilise tous les jours? Où se trouve l alarme? A quoi servent tous ces boîtiers rouges dans les couloirs? Y a-t-il un désenfumage mécanique? Existe-t-il une extinction automatique? au CO2, au gaz inerte? Où se trouve l extincteur le plus proche? Sais-je m en servir? Quels feux éteint-il? Est-il adapté aux risques? Où sont les consignes de sécurité? Où se trouve le lieu de rassemblement en cas d évacuation? Si je dois appeler les sapeurs-pompiers, que vais-je leur dire? Quelle est l adresse exacte? C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 24

25 La sécurité incendie ne s improvise pas, elle dépend de chacun d entre nous. Il faut être conscient que l incendie ne se déclare pas que chez les autres et qu un jour, vous serez peut-être impliqué dans la lutte contre cet élément dévastateur et dangereux que représente le feu ou l explosion. En cas de sinistre, ne jouez pas au héros, agissez à votre niveau dans les meilleurs délais, prévenez les secours organisés de l entreprise et laissez faire les professionnels. Pour votre sécurité et celle des autres, formez-vous dans le domaine de l incendie et des premiers secours (S.S.T. Sauveteur secouriste du travail ou AFPS attestation de formation aux premiers secours= Une vie n a pas de prix. Quelques heures suffisent pour acquérir des notions essentielles de secourisme et de formation incendie. C:\Documents and Settings\Claude.Geist\Mes documents\formation-presentations\enseignement d'ouverture\ \ue transvserale\interventions\formation INSERM.doc - Page 25

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