50ÈME ANNIVERSAIRE DU TRAITÉ DE L'ÉLYSÉE. Discours de Mme Angela Merkel, chancelière allemande, devant le Bundestag. Berlin, 22.1.
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- Mathilde Lecours
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1 Frankreich Info Herausgeber: Französische Botschaft Presse- und Kommunikationsabteilung Pariser Platz Berlin ÈME ANNIVERSAIRE DU TRAITÉ DE L'ÉLYSÉE Discours de Mme Angela Merkel, chancelière allemande, devant le Bundestag Berlin, Monsieur le Président du Parlement, Monsieur le Président de la République, cher François HOLLANDE, Monsieur le Président fédéral allemand, Monsieur le Premier Ministre, cher Jean-Marc AYRAULT, Monsieur le Président du Bundesrat de la Cour constitutionnelle, chers collègues des deux gouvernements, des parlements également, aujourd hui, il y a cinquante ans, c est la raison pour laquelle nous nous rencontrons aujourd hui, le Traité de l Elysée a été signé à Paris. Les deux hommes d Etat, Konrad ADENAUER et Charles de GAULLE, ont ici scellé grâce à cette signature, mais aussi grâce à une poignée de mains c est ainsi qu on a scellé le Traité de l Elysée. Cher François HOLLANDE, aujourd hui, je souhaiterais vous adresser mes remerciements, parce que vous m avez invitée le 8 juillet dernier sur les traces, finalement, de Konrad ADENAUER et Charles de GAULLE, lorsque nous nous sommes retrouvés à Reims, lorsque nous nous sommes remémorés la «grand-messe» qui avait été prononcée là-bas. A Ludwigsburg, en septembre 2012, nous nous sommes également retrouvés làbas, nous avons rappelé le fait qu il y a cinquante ans, Charles de GAULLE avait adressé un discours à la jeunesse allemande. Un discours qui était poignant, non seulement parce que Charles de GAULLE s était exprimé en allemand, mais parce qu il a fait beaucoup de bien aux jeunes Allemands. Il leur a affirmé qu ils étaient les jeunes d un grand pays, un pays qui, certes avait commis des erreurs graves, mais un pays qui avait également beaucoup avancé d un point de vue historique. Le Traité de l Elysée, à l époque, constituait un véritable espoir, et aujourd hui, nous le savons, il a véritablement permis de façonner à nouveau, d un point de vue politique, les relations franco-allemandes. Ce Traité a entériné, a ouvert la voie vers une relation franco-allemande forte. Il a également créé les conditions pour une profonde amitié pour un nombre d initiatives multiples au niveau de la société civile, au niveau politique, et qui ont une importance significative en Europe et en France, mais également dans
2 2 toute l Europe. C est la raison pour laquelle je suis ravie qu aujourd hui, nous soyons tous réunis ici à Berlin. Nous nous réunissons dans une période qui est tout autre que facile. La crise dans la zone euro, nous le savons, elle fait que l Europe traverse une période difficile, et cette crise qui est encore plus grave, elle a des conséquences très difficiles sur le quotidien de nombre d Européens. Je pense que nous pouvons le dire aujourd hui, cette crise met l Union européenne devant son plus grand défi. Mais que pouvons-nous apprendre? Quelle leçon pouvons-nous tirer des cinquante ans de l amitié franco-allemande? Nous pouvons en tirer la leçon suivante : les plus grands problèmes peuvent être surmontés lorsque nous nous appuyons sur la force de la paix, de la liberté et surtout lorsque nous avons la volonté de faire évoluer les choses en mieux. Aujourd hui, nous le répétons souvent le président GAUCK l a dit, le chancelier ADENAUER également nous avons engagé une véritable réconciliation, et en scellant ce Traité, le signer, signer ce Traité n était pas quelque chose de facile, nous le savons! A Reims, nous avons rencontré un certain nombre de personnes qui étaient présentes lorsque Charles de GAULLE et Konrad ADENAUER sont venus à Reims. Nous leur avons demandé : «Comment vous sentiez-vous à l époque?». Ils nous ont dit qu ils ne croyaient pas en cette réconciliation, il y a cinquante ans, après tout ce qui s était passé durant la Deuxième guerre mondiale. Toutefois, nous le savons, les contacts entre les Allemands et les Français, à la fin de la Deuxième guerre mondiale, ces contacts avaient commencé avant même la signature du Traité de l Elysée. A l époque, contacts entre les membres du gouvernement, contacts entre les jeunesses, des jumelages également ; tout cela avait commencé avant même le Traité de l Elysée. Mais malgré tout, nombre de personnes se posaient la question : la réconciliation, en ayant conscience de tout ce qui s est passé, de toutes les horreurs de la Deuxième guerre mondiale, la guerre, les destructions, cette réconciliation pourrait-elle être durable ou pas? Les Allemands et les Français pouvaient-ils véritablement sceller une amitié, une amitié durable? Et cette relation très particulière, quelle allait être sa portée au niveau européen pour l œuvre européenne? Or quelques années plus tard, avec les Traités de Rome, nous avons atteint une nouvelle étape historique. Et souvent, nous avons tendance également à oublier, finalement, l importance de l amitié allemande dans les pays : au sein des partis, au sein des pays, combien estce qu il a fallu œuvrer pour convaincre les uns et les autres! Notamment il y a cinquante ans, période caractérisée par la confrontation Est-Ouest! Rappelons également qu en août 1961, le Mur de Berlin a été construit. Au Check-point Charlie, nous avions, d une part des véhicules de l Armée américaine, de l autre côté, des véhicules de l Armée soviétique, puis nous avons eu la crise de Cuba. A nouveau elle a mis le monde entier au bord du gouffre, le risque d une nouvelle guerre nucléaire. Voilà le contexte des débats qui ont été menés à l époque. François HOLLANDE a mentionné à nouveau le préambule de ce Traité. En Allemagne, il y avait une inquiétude : le fait que ce Traité francoallemand pourrait être un signal contre la Grande-Bretagne, contre les Etats- Unis, contre l intégration européenne, ou encore contre l entente au sein de l OTAN. Et à l époque, la situation était difficile! Donc peu de gens étaient véritablement, ou plutôt plus de gens étaient convaincus que c était soit le Traité de l Elysée, soit les autres relations. Soit un traité européen, soit un
3 3 traité transatlantique. Heureusement aujourd hui, cinquante ans plus tard, tout cela va de soi! Nous n avons pas un choix à faire. Nous savons qu à l époque, les mentalités étaient plus restreintes et donc nous savons aujourd hui que nous pouvons nous appuyer sur une coopération politique qui est nécessaire, qui est essentielle au niveau de l Allemagne et de la France, au niveau européen, mais également au niveau transatlantique avec l OTAN. Mais aujourd hui, nous le savons, les négociations menées par ADENAUER et de GAULLE étaient visionnaires. Ces hommes étaient visionnaires. Ils avaient beaucoup ils savaient ce qui les attendaient à l avenir. Petit à petit, nous avons observé un rapprochement, et puis c est une véritable amitié qui s est dégagée. La réconciliation franco-allemande a suscité la curiosité des voisins. L envie, presque. Je pense que cette envie, nous devons la maintenir, nous devons faire en sorte que notre amitié demeure solide et qu on nous envie autour de nous cette amitié. Car qui n est pas curieux, finalement, ne peut pas non plus sceller quoi que ce soit dans un traité! Ce n est pas grâce à un traité qu on pourra s intéresser les uns aux autres! Echanges des jeunes, coopérations au niveau politique, au niveau économique, projets culturels, recherche, etc., voilà les projets qui, aujourd hui, constituent la réalité de nos deux pays, de nos deux sociétés civiles et qui montrent qu elles travaillent main dans la main. Et ces contacts personnels, ce sont eux qui rendent possible le fait que l Allemagne et la France aujourd hui puissent œuvrer ensemble à un renforcement de l Europe. Bien entendu, les contacts entre les parlementaires sont très importants! Nous avons nombre d initiatives qui font que nous ne nous rencontrons pas uniquement lors de cérémonies, mais bel et bien au quotidien, dans la construction, dans le renforcement de l Europe! Ainsi, nous pouvons renforcer notre coopération. Et d ailleurs, nous avons ici le président du Parlement européen qui est présent! Et c est au sein de ces institutions que nous devons également renforcer notre coopération. Il y a donc une portée historique de ce Traité! Non seulement pour nos deux peuples, mais également pour l Europe tout entière. Je souhaite aujourd hui rapporter, ou plutôt rappeler qu en 1988, vingt-cinq ans après le Traité de l Elysée, le chancelier allemand de l époque et le président français de l époque ont été récompensés du Prix Charlemagne. Helmut KOHL et François MITTERRAND ont reçu ensemble ce Prix, et d ailleurs je suis ravie que notre président de l époque, le président du Bundestag, Richard Von WEIZSACKER, ait été présent. Et il est présent ici aujourd hui et c est lui qui a prononcé le discours. Il a déclaré, je cite en substance : «Ce que nous ne pourrons jamais oublier» il s adressait ici, bien entendu à Helmut KOHL et François MITTERRAND «ce que nous n oublierons surtout pas, c est votre rencontre en septembre 1984, sur le champ de bataille de Verdun, là où le père du chancelier avait été tué lors de la Première guerre mondiale, là où le président français avait œuvré, avait agi en tant que soldat pendant la Deuxième guerre mondiale». Et Richard Von WEIZSACKER a également mentionné dans son discours deux points centraux des travaux francoallemands. Tout d abord «la nécessité» et je le cite une fois de plus «la nécessité de dégager une union monétaire et économique», et puis également «la nécessité de mettre en place une politique de sécurité commune». Et je cite en substance : «Personne ne peut douter du fait que nous protégerons notre liberté si celle-ci est, un jour, menacée» ; fin de citation.
4 4 En 1984, pardon en 1988, rappelons-le, c était un an avant la chute du Mur de Berlin, et personne ne pensait que cette réalité arriverait aussi rapidement. Et Helmut KOHL dans son discours de remerciements, a déclaré, et je cite : «Si aujourd hui, nous essayons d avancer encore plus dans la constitution de l Union européenne, dans son renforcement, nous devons également faire participer tout un chacun au sein de notre continent en espérant qu un jour, nous pourrons tous vivre en bon voisinage et que cette œuvre de paix qu est l Union européenne pourra demeurer et exister». L Europe doit donc rester unie, et un an après ce Prix Charlemagne à MITTERRAND et à Helmut KOHL, le Mur de Berlin tombait. Et aujourd hui, nous sommes les citoyens, les citoyennes du Nord, du Sud de l Europe, de l Europe de l Est, de l Europe de l Ouest, nous sommes tous réunis au sein de l Union européenne et nous en sommes ravis. Tout comme cela avait été prévu il y a cinquante ans par le Traité de Rome. Nous sommes heureux d être unis. Et l Allemagne et la France ont toujours été les forces motrices, les forces motrices pour développer cette œuvre d unification européenne. Nous le savons, une entente franco-allemande dans une union de 27 pays n est pas ne suffit pas! Mais sans cette entente, les progrès ne seront pas possibles. Ou tout du moins, ces progrès seront bien plus difficiles à atteindre. C est la raison pour laquelle aujourd hui, l Allemagne et la France savent très bien qu à l avenir, cette responsabilité leur incombera toujours. Pour nos deux pays, bien entendu, mais également dans le contexte plus général, celui de l Europe! C est-à-dire que l Europe qui a souffert à travers nos œuvres, c est quelque chose que nous devons empêcher à l avenir. Nous devons garantir la paix. Et nous sommes convaincus que l Europe constitue notre avenir commun. Aujourd hui, nous ne partons pas uniquement du principe que l Europe est une œuvre de paix! Mais même si Rien que cela serait suffisant pour justifier nos objectifs! Mais je pense que nous le savons, il n y aura plus jamais de guerre en Europe, mais nous allons bien plus loin. Au vu de la mondialisation oui, certes, il y a encore une guerre au Kosovo, nous le savons, nous essayons d œuvrer pour résoudre ce problème. Ce que j entends dire ici, c est qu au sein de l Union européenne, il n y a plus de guerre je poursuis. Ensemble, nous œuvrons pour faire en sorte que dans cent ans, dans un monde ou plutôt pour que cette Europe en 2013, avec 500 millions de personnes en Europe, pour que cette Europe puisse avancer. Bien entendu, nous avons la démocratie, nous souhaitons garantir la liberté d expression, la liberté de religion, la possibilité de vivre ensemble, de cohabiter, mais nous allons poursuivre notre vie commune et nous n en discuterons (sic) jamais (sic) au cours des derniers mois nous en avons parlé lorsque j étais au Portugal, en Grèce, je suis ravie que là-bas, les gens aient le droit de manifester, qu on n aille pas en prison parce qu on manifeste, que tout un chacun ait la liberté de s exprimer, et je pense qu en Europe, nous devons garantir ces droits et ces libertés fondamentales. Ensemble, nous œuvrons pour une Union européenne influencée par la fraternité, par l unité, par la force de la liberté, mais également par le respect pour la dignité de tout un chacun, de chaque individu. Et c est exactement ce que nous, les Allemands et les Français, c est le principe que nous suivons! Et j en reviens à Richard Von WEIZSACKER, qui en 1988, avait dit des mots qui sont d actualité aujourd hui encore : travailler pour une union monétaire et également pour une politique de sécurité commune. Si nous parlons, par exemple, de l union monétaire, je reviendrai à Jacques DELORS! Jacques DELORS qui était un visionnaire! Qui, bien avant que l on développe l euro, avait mentionné qu il était nécessaire d avoir une
5 5 coopération renforcée, notamment au niveau économique! Elle était essentielle! Certes, nous avons un Pacte budgétaire, certes nous avons un Pacte pour la croissance ; néanmoins, nous ne sommes pas à la fin de nos efforts, et je suis ravie, reconnaissante que nous ayons adopté un accord qui inclut des propositions pour renforcer la coopération, qui s inspire de notre modèle de l économie sociale de marché, également de la compétitivité et qui souhaite également garantir d autre part donc, la compétitivité et la protection sociale. L Allemagne et la France agiront tout en respectant leur réflexion unique, leur réflexion particulière et leurs propres traditions! Je pense qu il est intéressant, par exemple, qu en France aujourd hui, il y ait un véritable effort pour faire avancer, pour porter en avant un dialogue entre les partenaires sociaux. Et François HOLLANDE et moi-même avons décidé que les partenaires sociaux en Allemagne et les partenaires sociaux en France suivent cette même voie, qu ils discutent ensemble et qu ils réfléchissent à un modèle d économie sociale de marché. Bien entendu, nous avons une responsabilité : celle de l union financière. En Europe, comme souhaitons-nous mettre, comment pourrionsnous mettre en place un pacte, ou plutôt promouvoir la croissance sans pacte budgétaire? Je pense ici que nous devons, bien entendu, aller au-delà de nos intérêts personnels, dégager un consensus, un compromis, dégager des propositions pour faire en sorte que cette tâche puisse être mise en place dans les sept années à venir. Je suis ravie que dans notre déclaration commune, nous ayons également pu ouvrir de nouveaux chapitres, comme par exemple la coopération dans le domaine de la politique énergétique, je pense qu il s agit d un point essentiel, avec notre expérience dans le domaine du développement des énergies renouvelables, nous devons, à l avenir, dégager des voies communes. Et Mesdames et Messieurs, un dernier exemple si vous me le permettez. Bien entendu, en ce qui concerne la réglementation des marchés financiers, la surveillance bancaire et aujourd hui cela a été décidé, de par l introduction d une transaction financière nous souhaitons avancer dans notre coopération très étroite. Car les peuples, en France, en Allemagne et dans les autres pays d Europe, n accepteront pas que l économie sociale de marché soit gênée, soit dérangée tout simplement parce qu il y a des erreurs qui sont mises en place (sic) ; parce que certains ont tous les droits, étant donné que la réglementation financière n est pas suffisante. Il est impossible Cela n est pas acceptable. L Etat est celui qui doit protéger l ordre et la justice pour tous. Donc voilà nos contributions. Nous souhaitons également contribuer à une plus grande union politique et nous faisons face également, nous avons des grands défis politiques à relever. En 1988, Richard Von WEIZSACKER ne pouvait pas savoir qu aujourd hui, nous devrions lutter, par exemple, contre des islamistes armés! Qu aujourd hui, cela requiert nos forces unies! Mais cela va de soi! Ce défi, nous le relèverons ensemble. C est la raison pour laquelle la France se trouve aux côtés de Pardon, l Allemagne se trouve aux côtés de la France concernant l engagement français au Mali. Nous apportons tout notre soutien à l action française. Si nous l avons bien compris, ou plutôt nous partons du principe qu aujourd hui, la sécurité, notre sécurité, nous devons la protéger bien audelà des frontières de l Union européenne. C est la raison pour laquelle je souhaite remercier nos soldats, les soldats allemands, les soldats français, qui
6 6 aujourd hui dans le monde entier sont engagés, et je leur souhaite tout le meilleur, et j espère que bientôt, ils pourront tous rentrer chez eux. Chers collègues, Mesdames et Messieurs, à l avenir également, nous allons devoir résoudre un certain nombre de problèmes. Hier, nous avons eu la possibilité d échanger avec 200 jeunes, des Allemands, des Français. François HOLLANDE et moi-même, nous avons discuté avec eux de l avenir de l Europe. Et leur vision de ce que nous avons atteint, la possibilité de la libre circulation, le fait de pouvoir apprendre les langues des uns et des autres, les programmes ERASMUS, les programmes d échanges, cela me donne beaucoup de courage, le courage d avoir la force de relever finalement les défis de l avenir, et je suis sûre que l Allemagne et la France pourront relever ces défis ensemble. Je vous remercie tous d avoir été présents ici aujourd hui.
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