Organisations collectives et formes coopératives : points de repères et enjeux Damien Rousselière Séminaire VALPARESO 20 novembre 2012
|
|
- Pauline Labelle
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Organisations collectives et formes coopératives : points de repères et enjeux Damien Rousselière Séminaire VALPARESO 20 novembre 2012 AGROCAMPUS-OUEST Centre d Angers Institut National d Horticulture et de Paysage 1
2 2012 Année des coopératives Déclarée par l ONU (journée de la coopération chaque année le 1 er samedi de juillet)
3 Objectifs de la présentation Quelques repères sur les formes collectives (entrepreneuriat collectif? Économie sociale?) Diversité des formes Diversité des objectifs => Préciser les idées et faire un peu de ménage la dedans En quoi sont-elles une réponse pertinente pour des objectifs de valorisation des produits locaux (débat à suivre)? Séminaire valpareso / novembres
4 Quelques sites internet Site du GNC (Groupement national de la coopération) Rapport annuel sur les coopératives Sites de l Alliance Coopérative Internationale & des fédérations internationales spécialisées Site du agricole Séminaire valpareso / novembres
5 Plan Présentation générale des coopératives: Qu est ce coopérative? Quelques éléments de Les principes du Les (certaines) formes de coopératives: CC, CUMA, SAPO, SCA, SICA, SCAEC, SCIC, SCOP, SCE, SCIM, UES para-coopératives : pourquoi une coopérative plutôt association ou un GIE, une OP? 5
6 Une coopérative se caractérise : -par des principes d action -l adhésion à des valeurs (l Alliance Coopérative Internationale) -un statut juridique particulier (en France une forme particulière des sociétés commerciales ou des sociétés civiles) -des objets économiques => La combinaison de l ensemble conduit à des compromis ou des difficultés (La coopération comme «visée» et la coopération comme «pratique» (Vienney 1966)) 6
7 Des principes d action Une démocratie interne (un homme = une voix) La double qualité : sociétaires = clients ou usagers et propriétaires. Idée d exclusivisme et en général principe de la base «homogène» de sociétariat Une propriété collective (notion de réserves impartageables ne pouvant en cas de dissolution être versées uniquement à une autre coopérative ou à l Etat) Versement nul ou limité d intérêt sur le capital (en France : max = taux moyen de rémunération des obligations privées) 7
8 Des valeurs exprimées: la déclaration de l ACI sur l identité coopérative 1er principe, adhésion volontaire et ouverte à tous ; 2e principe, gestion démocratique (un hommeune voix) ; 3e principe, participation économique des adhérents ; 4e principe, autonomie et indépendance ; 5e principe, éducation, formation et information ; 6e principe, coopération entre coopératives ; 7e principe, engagement envers la communauté. 8
9 Elements de Principe de la loi générale (loi 10 septembre 1947) à l application dans des lois sectorielles particulières - il est possible de créer une coopérative loi 1947 mais cela est très contraignant (aucune dérogation aux principes) - En pratique on s appuie sur les lois sectorielles - Remarques - on peut transformer une entreprise commerciale ou une association en coopérative sans création de nouvelle personne morale - L inverse n est pas vrai (sauf cas exceptionnel) 9
10 Elements de Principe de la loi générale (loi 10 septembre 1947) à l application dans des lois sectorielles particulières - il est possible de créer une coopérative loi 1947 mais cela est très contraignant (aucune dérogation aux principes) - En pratique on s appuie sur les lois sectorielles 1
11 Elements de Principes généraux - Principe de la ristourne (reversement d une partie des bénéfices à proportion de la participation avec la coopérative) - Principe de dévolution désintéressée des réserves impartageables => Exonération d impôts pour la partie des excédents attribués à ces deux aspects - Une personne (morale ou physique) = une voix - Sociétés à capital variable avec parts nominatives - Statuts prévoient conditions de retraits, d adhésion et d exclusion des membres - Principe de révision coopérative 1
12 Classification habituelle des coopératives Les coopératives d entreprises Les coopératives d usagers (financières et non financières) Cas particuliers (classées à part ou dans une de ces catégories) Les coopératives de travail Les coopératives multipartenariales 1
13 Les coopératives agricoles : SCA, SICA, CUMA SCA : Société coopérative agricole SICA : société d intérêt collectif agricole CUMA : Coopérative d utilisation de matériel agricole Droit de la coopération agricole dans le Code rural : «l utilisation en commun par des agriculteurs, de tous les moyens propres à faciliter ou à développer leur activité économique, à améliorer ou à accroître les résultats de cette activité» (en France : code rural, article L521.1). Statut type proposé par le HCCA (Haut conseil de la coopération agricole) qui statue sur leur création (statut, zone géographique) et la révision coopérative 1
14 SCA : Société coopérative agricole Coopérative d approvisionnement ou de services Coopérative de commercialisation Sociétariat essentiellement composé d agriculteurs en activité (limité à 20% d extérieur) Essentiel activité avec les membres (autres : limité à 20% CA) Engagement de souscription du capital (cf. lettre engagement) Notion d apport total / partiel ou obligations approvisionnement auprès de la coopérative (selon les statuts) Principe de transfert de la propriété des produits 1
15 CUMA: Coopérative d utilisation de matériel agricole Coopérative de services Mêmes obligations que les SCA Montage juridique souvent complexe (idée de coopérative agricole de production) et à géométrie variable SICA : Société d intérêt collectif agricole Au moins 20% de sociétaires non agriculteurs Jusqu à 50% activité avec non membres Gestion d installation d intérêt agricole (marché aux fleurs, abattoirs, électricité ) 1
16 Le GAEC : Groupement agricole d exploitation en commun. Une «société civile agricole permettant à des agriculteurs associés la réalisation d un travail en commun dans des conditions comparables à celles existant dans les exploitations de caractère familial» Statut fiscal de chef d entreprise, statut social de salarié Idée initiale (forme de coopérative) différente de l utilisation réelle (société familiale : pèrefils / frère-frère et maintenant époux-épouse) Même principe (une personne = une voix) Différence importante : pas de réserves impartageables 1
17 La (seule) SCAEC : Société coopérative agricole d exploitation en commun Coopérative possédant l exploitation agricole Les coopérateurs sont salariés de la coopérative Une différence importante : possibilité d hériter du statut de coopérateur La SCOP : société coopérative (ouvrière) de production Principe salarié= coopérateur = coentrepreneur Minimum 65% des droits de vote et 51% du capital pour les travailleurs Autre forme : la SAPO (Société anonyme à participation ouvrière) (loi 1917) 1
18 La SCIC : Société coopérative d intérêt collectif Répartition des voix par collège (dérogation au principe une personne = une voix / possibilité de pondération par collège (min 10% - max 50%) Peuvent être associés : salariés, usagers, bénévoles, collectivités publiques et «Toute personne physique ou morale qui contribue par tout autre moyen à l'activité de la coopérative». trois des catégories d'associés dont nécessairement salariés et usagers Pas de ristourne et réserves impartageables importantes Agrément préfectoral 1
19 Quelques formes para-coopératives Arbitrage association / coopérative (et notamment SCIC) grande capacité d adaptation du statut associatif (sous réserve notion de gestion de fait pour collectivité locale et salarié) mais objet social limité Question des investissements et du capital social Question (idéologique) du non lucratif / non commercial Intérêt : l association permet de garder du «flou» Limite : droit de la concurrence pour les associations d entreprise (= cartel sauf si reconnaissance OP) Les coopératives peuvent être reconnues groupements d employeurs 1
20 Quelques formes para-coopératives Différence organisations de productions / coopérative Les coopératives (de commercialisation) peuvent être des organisations de producteurs Toutes les organisations de producteurs ne sont pas des coopératives (en F&L environ 80% des OP sont des coopératives) Reconnaissance ministérielle selon critères économiques (taille minimum) et d organisation (majorité de producteurs au CA) Outil de politique publique pour l OCM F&L (financement européen pour les mesures agroenvironnementales, appui aux filières dans pays de l Est ) 2
21 Quelques formes para-coopératives Différence organisations de productions / coopérative Apport total est la règle Sauf pour revente en circuit-court Ex. F&L : jusqu à 25% de la production en circuit-court quand production conventionnelle et 50% quand production biologique 2
22 Quelques formes para-coopératives Différence GIE / coopérative GIE : Groupement d intérêt économique Mise en commun de moyens pour développer l activité des membres Capital social ou non Souplesse dans le fonctionnement (et mode de répartition des pouvoirs) Important: responsabilité illimité sur les pertes (en pratique limitée à activités peu intensives en capital) 2
L Economie Sociale et Solidaire
1 L Economie Sociale et Solidaire L ESS EST UNE ÉCONOMIE QUI SE VEUT ÊTRE DIFFÉRENTE DE L ÉCONOMIE CLASSIQUE. DES PRINCIPES FONDAMENTAUX ONT ÉTÉ DÉFINIS ET CONSTITUENT LES PILIERS DE CE SECTEUR. 2 LES
Plus en détailQu est ce que l Economie Sociale?
Fiche n 2 Les entreprises : Qu est ce que l Economie Sociale? Les de toutes natures (salariés, usagers, ), les mutuelles (assurance ou prévoyance santé), les associations et les fondations constituent
Plus en détailFormation : BIENVENUE EN SCOP
Formation : BIENVENUE EN SCOP Devenir associé de sa SCOP, pourquoi, comment? s Démarche pédagogique Dates Tout salarié souhaitant devenir associé de sa Scop et nouveaux salariés associés Favoriser la vie
Plus en détailLivret d accueil. Présentation de l économie sociale et solidaire à destination de ses acteurs. S associer coopérer mutualiser
Livret d accueil Présentation de l économie sociale et solidaire à destination de ses acteurs S associer coopérer mutualiser PRÉAMBULE Accueillir au sein des structures de l Économie Sociale et Solidaire
Plus en détailSommaire ! " +$% & , & & & ) . & / 2, %
#$%%&%' Sommaire #$% & '() *$% % +$% &, & & & $% $% ). & / 01/ 2, % Fiche n 1 : Réfléchir sur son projet avec le Point Accueil Installation ) ) ) ))) ) ) ) Le projet personnel : # $ % $ & ' (& ) Le projet
Plus en détailHistoire des coopératives
Histoire des coopératives Les premières pratiques coopératives permanentes et organisées apparaissent en Europe au cours des années 1840 : coopérative de consommation des Equitables pionniers de Rochdale
Plus en détailIntroduction : histoire et concept de l économie sociale Lucile Manoury
Introduction : histoire et concept de l économie sociale Lucile Manoury Lucile Manoury Chargée d études, Collège coopératif, Aix-en-Provence Bonjour à tous. Je vais vous faire une présentation un peu théorique
Plus en détailBienvenue dans. L économie Sociale et Solidaire!
Bienvenue dans L économie Sociale et Solidaire! 1 Bienvenue dans L économie Sociale et Solidaire! Préambule Vous intégrez une Association? Une Coopérative? Une Mutuelle? Bienvenue dans l Économie Sociale
Plus en détail1. Consolider l emploi dans les entreprises d insertion
ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE SOUTIEN AUX EMPLOIS DE L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE ECONOMIE 17.12 DESCRIPTIF DE L'INTERVENTION OBJECTIFS Consolider l emploi des entreprises de l économie sociale et solidaire
Plus en détailLa loi sur l économie sociale et solidaire. Les principales dispositions et quelques angles de vue
La loi sur l économie sociale et solidaire Les principales dispositions et quelques angles de vue La loi ESS du 31 juillet 2014 les racines de l ESS Un peu d histoire: Des lois sur les coopératives, les
Plus en détailLOI DU 31 JUILLET 2014 RELATIVE A L ESS 25 JUIN 2015
LOI DU 31 JUILLET 2014 RELATIVE A L ESS 25 JUIN 2015 POINTS CLES DATES - 2000 Guy Hascoët - 1 er secrétaire d Etat à l ESS propose une loi - 2010 premier rapport par Francis Vercamer - 2011 Benoit Hamont
Plus en détailAgence pour le Développement des Entreprises Sociales et Solidaires. en Haute-Normandie
Agence pour le Développement des Entreprises Sociales et Solidaires en Haute-Normandie VIDEO Entreprendre autrement Economie sociale et solidaire? Mutuelles, banques coopératives, fondations Associations
Plus en détailTerritoire. Territoire. Parc d activités économiques. Quartier populaire
rural Centre-ville Quartier populaire Parc d activités économiques Problématique Problématique enclavé Banlieue pavillonnaire Problematique Problematique Insertion Petite enfance Problématique Problématique
Plus en détailLE CADRE JURIDIQUE DES COOPÉRATIVES D ENTREPRISES
LE CADRE JURIDIQUE DES COOPÉRATIVES D ENTREPRISES Un cadre fragmenté, mais des logiques communes Essai de droit comparé par Chantal Chomel (*) (*) Directrice des affaires juridiques et fiscales, Coop de
Plus en détailANNEXE 1 «CONTRAT REGIONAL EMPLOI TREMPLIN» REGLEMENT : BOURSE REGIONALE DESIR D'ENTREPRENDRE (BRDE)
«CONTRAT REGIONAL EMPLOI TREMPLIN» REGLEMENT : BOURSE REGIONALE DESIR D'ENTREPRENDRE (BRDE) Objectif Favoriser la création ou la reprise d activité par des porteurs de projet qui souhaitent créer leur
Plus en détailDOSSIER D AFFILIATION DES NON SALARIES AGRICOLES
DOSSIER D AFFILIATION DES NON SALARIES AGRICOLES Non salarié agricole Un dossier pour votre affiliation à la MSA Afin de vous aider à remplir ce dossier d affiliation, nous vous informons que selon le
Plus en détailLes entreprises coopératives un potentiel de développement
Les entreprises coopératives un potentiel de développement en Provence-Alpes-Côte d Azur n 1 PROVENCE-ALPES-CÔTE D AZUR Préambule Les entreprises coopératives sont des acteurs économiques incontournables
Plus en détailLA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES
LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES Version A Aide sollicitée auprès du Conseil Régional de Picardie au titre de (cocher l aide sollicitée) : o L investissement en agriculture biologique o
Plus en détailinfo ACTUALITÉ JURIDIQUE SPECIAL LOI ESS
n 14 > 29 juillet 2014 info ACTUALITÉ JURIDIQUE SPECIAL LOI ESS Ce troisième volet consacré au projet de loi relatif à la reconnaissance et au développement de l Economie sociale et solidaire intervient
Plus en détailGuide de l investissement collectif dans le photovoltaïque
Guide de l investissement collectif dans le photovoltaïque SOMMAIRE 1! INTRODUCTION... 1! 2! POURQUOI UN PROJET COLLECTIF?... 1! 3! TYPOLOGIE DE PROJETS... 2! 3.1! TYPE 1 : LA COPROPRIETE... 2! 3.1.1!
Plus en détaildonner du pouvoir d agir aux salariés
2 donner du pouvoir d agir aux salariés 2 Donner du pouvoir d agir aux salariés Renforcer le «pouvoir d agir» des Français est une des clés du rebond de notre pays. En cela, l Economie sociale et solidaire
Plus en détailCommuniqué de presse
Paris, le 3 février 2006 Communiqué de presse «Coopératives et mutuelles : un gouvernement d entreprise original» Les 30 recommandations du rapport sur le gouvernement d entreprise des coopératives et
Plus en détailProposition de politique agricole au Ministère de l agriculture des pêcheries et de l alimentation du Québec
Proposition de politique agricole au Ministère de l agriculture des pêcheries et de l alimentation du Québec «L agriculture du Québec mûre pour sa révolution tranquille» Rédaction : Union paysanne Dessins
Plus en détailPrincipales mesures du projet de loi Économie Sociale et Solidaire
Principales mesures du projet de loi Adopté le 21 juillet 2014 Document édité le 22 juillet 2014 #loiess Sommaire Introduction aux principales mesures du projet de loi relatif à l Économie sociale et solidaire...
Plus en détailEntreprendre autrement: Introduction à l économie sociale et solidaire et à l Entrepreneuriat social
Entreprendre autrement: Introduction à l économie sociale et solidaire et à l Entrepreneuriat social Université de Caen - Master 2 : Entrepreneuriat UFR - Sciences Economiques et de Gestion Février 2009
Plus en détailL ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE
L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE Définitions Un peu d histoire Quelques chiffres, les acteurs La finance solidaire Définitions L économie sociale et solidaire (ESS) rassemble deux concepts, rappelé dans
Plus en détailNOMINATION OBLIGATOIRE DU COMMISSAIRE AUX COMPTES (tableau de synthèse)
NOMINATION OBLIGATOIRE DU COMMISSAIRE AUX COMPTES (tableau de synthèse) Entités Textes applicables Organes compétents (en cours de vie sociale) Observations Administrateurs et mandataires judiciaires C.
Plus en détailinfo ACTUALITÉ JURIDIQUE DROIT FISCAL Déclaration des revenus 2014 au titre des revenus 2013 Opérations particulières concernant les coopérateurs
n 7 > 4 avril 2014 info Sommaire > Droit fiscal : déclaration des revenus 2014 au titre des revenus 2013 - opérations particulières concernant les coopérateurs ACTUALITÉ JURIDIQUE DROIT FISCAL Déclaration
Plus en détailIntroduction : reconnaître et développer
Introduction : reconnaître et développer l Économie sociale et solidaire Qu est-ce que l ESS? chiffres clés z 200000 structures z 2,4 milions de salariés z + 23 % d emplois créés depuis 10 ans Coopératives
Plus en détailLépine Providence DOSSIER DE PRESSE
Lépine Providence L E S E N S D E L A V I E DOSSIER DE PRESSE Réunir & innover au service des personnes âgées Depuis 2010, la Ville de Versailles est titulaire du label Bien vieillir. Véritable récompense
Plus en détailLOI RELATIVE. du 31 juillet 2014
LOI RELATIVE À L ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE du 31 juillet 2014 Par LES ACTEURS DE l économie sociale et solidaire et le conseil national des cress 31/10/2014 SOMMAIRE Principes et champs de l ESS....P.
Plus en détailNOMINATION OBLIGATOIRE DU COMMISSAIRE AUX COMPTES (tableau de synthèse)
NOMINATION OBLIGATOIRE DU COMMISSAIRE AUX COMPTES (tableau de synthèse) Entités Textes applicables Organes compétents (en cours de vie sociale) Observations Administrateurs judiciaires C. com. art. L.
Plus en détailELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE
ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS
BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS N 73 DU 27 JUILLET 2009 DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES 4 H-3-09 INSTRUCTION DU 24 JUILLET 2009 IMPOT SUR LES SOCIETES. DISPOSITIONS PARTICULIERES. REGIME FISCAL
Plus en détailProjet de pôle de développement de l Économie Sociale et Solidaire
Projet de pôle de développement de l Économie Sociale et Solidaire Étude de préfiguration Restitution aux acteurs 15 octobre 2008 Dossier remis aux participants 1 Version n 3 Sommaire Méthodologie Priorités
Plus en détailL économie sociale et solidaire
L économie sociale et solidaire Traditionnellement le mois de novembre est le mois de l Economie Sociale et Solidaire. Cette année comme les années précédentes de nombreuses actions et rencontres ont eu
Plus en détailEtre societaire, pour vivre la banque autrement.
PREAMBULE Se fondant tout particulièrement sur la notion de valeurs, les coopératives ont montré qu elles constituaient un modèle commercial, robuste et viable, susceptible de prospérer même pendant les
Plus en détailStatistiques Exercice 2011
Statistiques Exercice 2011 Bénéfices Industriels et Commerciaux MISE EN GARDE AUX UTILISATEURS Les informations consignées dans ce fascicule sont communiquées à titre indicatif et ne peuvent être considérées,
Plus en détailUn projet d'entreprise sociale et solidaire?
Un projet d'entreprise sociale et solidaire? Programme Qu'est-ce qu'une entreprise sociale et solidaire? Objectif : repérer les éléments fondateurs de ce type de projets Les réponses de l'adress Objectif
Plus en détailConsolider le développement du Jardin
Association «Solidarité & Initiative» pour le développement du Jardin de Cocagne de la Haute Borne pour la création de la Table de Cocagne de la Haute Borne Projet 2014 Adresse : 10 rue Héloïse Europarc
Plus en détailjanvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE
janvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE Préambule Pourquoi ce guide? Avant propos Dans le département du Rhône, l étalement urbain grandissant et les grands projets
Plus en détailL exploitation agricole flexible au cœur de nouveaux modes de partenariats
L exploitation agricole flexible au cœur de nouveaux modes de partenariats Le contexte agricole change profondément depuis quelques années et génère de des évolutions qui dessinent sans doute progressivement
Plus en détailL écosystème de l ESS en Languedoc-Roussillon
L écosystème de l ESS en Languedoc-Roussillon Debate 7. Muriel Nivert-Boudou DG Cress LR www.cresslr.org www.coventis.org Bref historique de l ESS en France L Economie sociale est née et a pris son essor
Plus en détailPrincipales mesures de la loi relative à l Économie Sociale et Solidaire
Principales mesures de la loi relative à l Promulguée le 31 juillet 2014 #loiess Sommaire Introduction aux principales mesures du projet de loi relatif à l Économie sociale et solidaire........................................................5
Plus en détailL équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance
IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un
Plus en détailCe support de cours a été réalisé à l attention des
Note de l auteur Ce support de cours a été réalisé à l attention des professeurs de sciences économiques. Il retiendra peut-être également l attention des professeurs d histoire et géographie. Il vise
Plus en détailRAPPORTS DU CONSEIL D ADMINISTRATION SUR L EXERCICE 2013
ASSOCIATION NATIONALE DE GESTION AGREEE INTERPROFESSIONNELLE DE FRANCE (ANGAIF) Siège social 75008 PARIS, 56, rue de Londres Association régie par la loi du 1er juillet 1901 et par le décret du 16 août
Plus en détailEconomie autrement quinzaine du Narthex 19-11-2014
Economie autrement quinzaine du Narthex 19-11-2014 2 LE CREDIT COOPERATIF Ø banque à part entière, Ø banque coopérative actrice d une finance patiente, Ø banque engagée, Ø banque de l économie sociale
Plus en détailLA FONCTION DIRIGEANTE
EQUAL EST Économie Sociale & Territoire LA FONCTION DIRIGEANTE D UNE SOCIETE COOPERATIVE D INTERET COLLECTIF «Entreprendre collectivement sur un territoire» Préambule * Les mots ombrés font l objet d une
Plus en détailNOMENCLATURE ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE (ESS)
NOMENCLATURE ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE (ESS) Nomenclature ESS Nomenclature d'activité Nomenclature Catégorie Juridique 100 Coopérative 110 Coopérative secteur agricole 111 Sociétés de coop. agricole 112
Plus en détailINVESTISSEMENT PARTICIPATIF DANS LES PROJETS DE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR D ENERGIES RENOUVELABLES
INVESTISSEMENT PARTICIPATIF DANS LES PROJETS DE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR D ENERGIES RENOUVELABLES Travail réalisé dans le cadre du stage de fin d études d Alexandre Aglave IAE de Lyon septembre
Plus en détailPrincipales aides financières au Développement Export
Principales aides financières au Développement Export Retrouver en page 5 " L appui régional aux Projets Stratégiques d Entreprises" > Régionales Programme ASTREE / Aide Stratégique Régionale à l Entreprise
Plus en détailAccompagnement et financements solidaires : quels organismes?
Accompagnement et financements solidaires : quels organismes? Animé par : ADIE Association des CIGALES de Bretagne BCS BGE Ille & Vilaine Bretagne Active Les CAE d Ille & Vilaine PRESOL Huit acteurs de
Plus en détailNiger. Régime général des mutuelles de santé
Régime général des mutuelles de santé Loi n 2008-10 du 30 avril 2008 [NB - Loi n 2008-10 du 30 avril 2008 portant régime général des mutuelles de santé en République du ] Titre 1 - Dispositions générales
Plus en détailProjet éolien d Herbitzhein un projet citoyen? Possibilités et avantages d un financement participatif.
Projet éolien d Herbitzhein un projet citoyen? Possibilités et avantages d un financement participatif. Un projet citoyen Le citoyen devient actionnaire il permet la création de synergies entre les citoyens
Plus en détailI. PRESENTATION DES FACTURES DE DOIT
CHAPITRE 05 : LES OPERATIONS D ACHATS ET DE VENTES I. PRESENTATION DES FACTURES DE DOIT A. Définition La facture est un écrit dressé par un commerçant et constatant les conditions auxquelles il a vendu
Plus en détailSéminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?
Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?» Le Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) de la baie
Plus en détailCHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU
CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU 1. Le compte de production... 129 2. Le compte d exploitation... 129 3. Le compte de revenu d entreprise... 130 4. Les indicateurs de revenu
Plus en détailCartographie & libellés cantonaux
Lexique Cartographie & libellés cantonaux Capobianco Sagro-di-Santa-Giulia Corte Venaco Calvi Calenzana Niolu-Omessa Deux-Sevi Deux-Sorru Bastelica Ajaccio Île-Rousse Cruzini-Cinarca Celavo-Mezzana Santa-Maria-Siché
Plus en détailFonctionnement et procédure Prêt REER-RAP La Capitale
Fonctionnement et procédure Prêt REER-RAP La Capitale Formulaires à remplir (fichiers PDF) Contrat de prêt REER-RAP T128 Demande d adhésion-instruction RER (pour RAP) T015 Régime d accession à la propriété
Plus en détailRéponse de la MAIF à la consultation de la Commission européenne sur son Livre vert «Le cadre de la gouvernance d entreprise dans l UE».
Réponse de la MAIF à la consultation de la Commission européenne sur son Livre vert «Le cadre de la gouvernance d entreprise dans l UE». A propos de la MAIF La MAIF (Mutuelle d Assurance des Instituteurs
Plus en détailPrésentation effectuée dans le cadre du plan académique de formation (PAF) proposé par les inspecteurs d académie.
Présentation effectuée dans le cadre du plan académique de formation (PAF) proposé par les inspecteurs d académie. Journées de conférences organisées par le programme de formation des enseignants d économie
Plus en détailLes EPFL sont des établissements publics dont la mission est d assister les collectivités
Fiche B2 juin 2013 CETE Nord Picardie Connaître les acteurs du foncier Les établissements publics fonciers locaux (EPFL) Laurent Mignaux/METL-MEDDE Les EPFL sont des établissements publics dont la mission
Plus en détailDossier de Candidature Sélection des Agents
Dossier de Candidature Sélection des Agents Conditions Générales Conditions Générales Vous de sirez adhe rer a un important re seau de distribution expe rimente et vous avez un esprit d e quipe, le sens
Plus en détailCHEF D ENTREPRISE : Quelle forme juridique pour votre petite entreprise?
CHEF D ENTREPRISE : Quelle forme juridique pour votre petite entreprise? Quelles conséquences sur le choix de votre statut social : Salarié ou Travailleurs Non salariés? Intervenants René-jacques MALAFOSSE,
Plus en détailÉDITORIAL. Chiffres Clés. 29% des emplois. 11% des établissements employeurs de la région
ÉDITORIAL Les mutations environnementales, économiques et sociales n ont de cesse et depuis quelques années nous ressentons que cette vitesse d évolution tend à devenir exponentielle Que sera demain? Cette
Plus en détailDIFFÉRENCE (n.f) : QUALITÉ QUI NOUS DISTINGUE ET NOUS UNIT. une Banque coopérative. De PROXIMITÉ. Au CŒuR Du DÉVELOPPEMENT
DIFFÉRENCE (n.f) : QUALITÉ QUI NOUS DISTINGUE ET NOUS UNIT. En 2012, la Caisse d Epargne Loire Drôme Ardèche a consacré 1 408 500 à des projets de solidarité locale. une Banque coopérative De PROXIMITÉ
Plus en détailLa Retenue à la source obligatoire en Tunisie : Article 52 du Code de l IS et de l IRPP (à jour jusqu à la Loi de finances 2008)
La Retenue à la source obligatoire en Tunisie : Article 52 du Code de l IS et de l IRPP (à jour jusqu à la Loi de finances 2008) Objet Article Dispositions Taux Principe 52-I Règle générale Hôtels Bureaux
Plus en détailCARCASSONNE AGGLO DEMANDE DE SUBVENTION
CARCASSONNE AGGLO DEMANDE DE SUBVENTION 1 - LE DEMANDEUR Nom du demandeur :...... Sigle :... Objet :... N SIRET... Date de publication de la création au Journal Officiel :.... Activités principales :...
Plus en détailLa Mutualité Française Limousin
La Mutualité Française Limousin Un mouvement pour une santé solidaire en région 87 Haute-Vienne 23 Creuse 19 Corrèze Le mouvement mutualiste : un acteur majeur de la santé. La Fédération nationale de la
Plus en détailamplifier le financement des entreprises et structures de l Économie sociale et solidaire
1 amplifier le financement des entreprises et structures de l Économie sociale et solidaire 1 - Amplifier le financement des entreprises et structures de l Économie sociale et solidaire Les entreprises
Plus en détailC. N. E. E. TRANSCRIPTION DES DIRECTIVES 92/49/CEE 92/96/CEE et 92/50/CEE. Titre II Article 6
C. N. E. E. TRANSCRIPTION DES DIRECTIVES 92/49/CEE 92/96/CEE et 92/50/CEE Assurances vie et non vie. La Directive 92/49/CEE du Conseil du 18 juin 1992 porte coordination des dispositions législatives,
Plus en détailCoopératives et mutuelles : un gouvernement d entreprise original Janvier 2006
Coopératives et mutuelles : un gouvernement d entreprise original Janvier 2006 Rapport du groupe de travail présidé par Etienne Pflimlin dans le cadre de l Institut Français des Administrateurs AV A N
Plus en détailREPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES
REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES UNITES ET VARIABLES A REPERTORIER SEMINAIRE DU CEFIL SUR L AVANCEMENT DES TRAVAUX CONCERNANT LA MISE EN PLACE D UN REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL
Plus en détailLes sociétés agricoles
Les sociétés agricoles L exercice d une activité agricole peut se faire soit dans le cadre d une entreprise individuelle soit dans le cadre d une société. Dans cette dernière situation, la loi prévoit
Plus en détailPromouvoir l identité coopérative via la RSE? Quelques premiers résultats sur données européennes et françaises
Promouvoir l identité coopérative via la RSE? Quelques premiers résultats sur données européennes et françaises Nadine Richez-Battesti (Lest et Université de la Méditerranée) nrichezbattesti@wanadoo.fr
Plus en détailImpacts de la Loi ESS sur la culture...1
Impacts de la Loi ESS sur la culture Impacts de la Loi ESS sur la culture...1 1. Introduction...4 1.1. Qui suis-je?...4 1.2. Pourquoi une Loi ESS?...5 1.3. Contexte...5 1.4. Le contenu de la Loi...5 1.4.1.
Plus en détailFORMULAIRE DE DEMANDE DE SUBVENTION 2014
N FORMULAIRE DE DEMANDE DE SUBVENTION 2014 PLAN DE PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE DIAGNOSTIC SEUL DISPOSITIF N 121 C1 DU PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT RURAL HEXAGONAL DE LA RÉGION NORD PAS DE CALAIS Cette demande
Plus en détailOBJECTIF DU GUIDE 1-L ENCADREMENT JURIDIQUE DES ACTIVITES D ASSURANCE
OBJECTIF DU GUIDE Présenter au public et en particulier aux investisseurs, les règles de constitution et de fonctionnement des organismes d assurance. Arrêté n 2005-0773 du 14 décembre 2005 fixant les
Plus en détailStatistiques Exercice 2012
Statistiques Exercice 2012 Bénéfices Industriels et Commerciaux MISE EN GARDE AUX UTILISATEURS Les informations communiquées dans ce fascicule sont communiquées titre indicatif et ne peuvent être considérées,
Plus en détailINTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur
Université Montesquieu Bordeaux IV 1 ère année Licence AES Année universitaire 2012-2013 INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur Questions préliminaires
Plus en détailGÉRER SON ASSOCIATION
2 ème partie GÉRER SON ASSOCIATION 1 LES ASSEMBLÉES GÉNÉRALES L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ORDINAIRE 1 - Les convocations Chaque association doit réunir au moins une fois par an une assemblée générale. Son organisation
Plus en détailArt. 2. Les vérificateurs environnementaux, tels que définis à l article 2, point 20) du règlement (CE), relèvent du régime suivant :
Projet de loi portant certaines modalités d application et sanction du règlement (CE) no 1221/2009 du Parlement européen et du Conseil du 25 novembre 2009 concernant la participation volontaire des organisations
Plus en détailLOI RELATIVE À L ÉCONOMIE
LOI RELATIVE À L ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE DU 31 JUILLET 2014 PAR LES ACTEURS DE L ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE ET LE CONSEIL NATIONAL DES CRESS 20/11/2014 SOMMAIRE Principes et champs de l ESS....
Plus en détailLe comparateur des Mutuelles Solidaires et Ethiques! Sans actionnaires et sans stocks options!
Le comparateur des Mutuelles Solidaires et Ethiques! Sans actionnaires et sans stocks options! Le comparateur Ethique et Solidaire des Complémentaires Santé Qualitatives, Engagées et Responsable Dossier
Plus en détailLa Fiscalité de l Épargne Salariale
FISCALITÉ La Fiscalité de l Épargne Salariale Le cadre fiscal et social pour l entreprise A - Les versements dans les dispositifs Pour l entreprise Nature du versement Charges sociales et taxes patronales
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS
BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS DIRECTION GÉNÉRALE DES IMPÔTS 5 E-10-01 N 123 du 10 JUILLET 2001 5 F.P. / 52 E 3234 INSTRUCTION DU 29 JUIN 2001 BENEFICES AGRICOLES. DETERMINATION DU BENEFICE IMPOSABLE. FRAIS
Plus en détailAQUI-INVEST : un outil financier de la Région Aquitaine Présentation Conférence de Presse
AQUI-INVEST : un outil financier de la Région Aquitaine Présentation Conférence de Presse 2 décembre 2010 Un constat national et communautaire L accès déficient aux formes appropriées de financement obstacle
Plus en détailBarème simplifié des cotisations d'assurances sociales agricoles applicables à compter du 1er novembre 2012
Cultures spécialisées, producteurs de plantes médicinales 3,15% TOTAL des TAUX 22,96% 44,16% 5,63% TESA >> Ligne E 20,102% n'ayant pas atteint l'ancienneté requise pour bénéficier de la Complémentaire
Plus en détailAinsi, les utilisateurs auront à leur disposition une série cohérente et complète portant sur la période 1974 à 2013.
N 688 Les Tableaux Economiques d Ensemble 2002 à 2013 Introduction Nous mettons à la disposition des divers utilisateurs une nouvelle série de Tableaux Economiques d Ensemble (TEE) pour les années 2002
Plus en détailLe PLAN COMPTABLE DES ASSOCIATIONS détaillé
Loi1901.com présente : Le PLAN COMPTABLE DES ASSOCIATIONS détaillé (Prenant en compte les nouvelles dispositions du règlement N 99-01 du 16 février 1999 relatif aux modalités d établissement des comptes
Plus en détailL évolution des formes
L évolution des formes d emploi 5 décembre 2014 Conseil d orientation pour l emploi Plan de la présenta-on I. Les formes d emploi: un paysage en évolution et de plus en plus complexe II. Les causes de
Plus en détailQUESTIONS. décembre 2014
QUESTIONS RéPONSES RELATIF à l agrément, aux missions et au fonctionnemement des organismes paritaires collecteurs agréés au titre de la formation professionnelle continue décembre 2014 questions-réponses
Plus en détailÉtablissement Public Foncier de l'ain Dossier de présentation
Établissement Public Foncier de l'ain Dossier de présentation 26 bis, avenue Alsace Lorraine 01000 Bourg-en-Bresse tél. 04 74 32 69 05 fax 04 74 32 69 43 epf01@epf01.fr www.epf01.fr Présentation L Établissement
Plus en détailLe financement de la microfinance à travers les fonds solidaires. Forum des Innovations Financières pour le Développement 4 mars 2010
Le financement de la microfinance à travers les fonds solidaires Forum des Innovations Financières pour le Développement 4 mars 2010 Sommaire 1. Définition des «fonds solidaires» et des entreprises solidaires
Plus en détailVotre Réseau est-il prêt?
Adapter les Infrastructures à la Convergence Voix Données Votre Réseau est-il prêt? Conférence IDG Communications Joseph SAOUMA Responsable Offre ToIP Rappel - Définition Voix sur IP (VoIP) Technologie
Plus en détailRendez-vous de l ESS régionale. Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch.
Rendez-vous de l ESS régionale Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch.org %! "! $!!" # % " Les entreprises d économie sociale et solidaire
Plus en détailPRIORITÉS POUR LE BUDGET FÉDÉRAL DE 2012
PRIORITÉS POUR LE BUDGET FÉDÉRAL DE 2012 DOCUMENT PRÉPARÉ PAR L ASSOCIATION CANADIENNE DES COMPAGNIES D ASSURANCE MUTUELLES À L INTENTION DU COMITÉ PERMANENT DES FINANCES DE LA CHAMBRE DES COMMUNES Août
Plus en détail